Culture Générale
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Fraudes à la sécu en Corse: plusieurs millions d'euros de préjudice
AFP - il y a 1 heure 57 minutes
BASTIA (AFP) - Des fraudes à la sécurité sociale portant sur des millions d'euros ont entraîné la mise en examen récente d'un contrôleur de la Caisse primaire d'assurance-maladie (CPAM) de Bastia, a indiqué mardi le procureur de la République de Bastia.
"L'escroquerie porte sur des sommes colossales. Le préjudice a été évalué à plusieurs millions d'euros et nous pensons qu'il s'agissait d'un système bien organisé", a précisé Jean-Jacques Fagni à l'AFP.
Le contrôleur de la caisse primaire de Haute-Corse a été mis en examen la semaine dernière pour complicité d'escroquerie en bande organisée et laissé en liberté sous contrôle judiciaire, a indiqué le procureur confirmant une information de l'Express.fr.
Avant lui, en juillet, deux médecins - un ex-coordonnateur de cette même caisse et un médecin libéral de Bastia - avaient été mis en examen dans cette affaire.
"Selon les cas, les escroqueries prenaient la forme d'un accroissement du taux d'invalidité auquel un patient pouvait prétendre ou de l'acceptation d'un dossier qui n'aurait pas normalement reçu l'aval de la CPAM", a précisé le magistrat.
Les enquêteurs s'efforcent maintenant de faire le tri entre les fraudes individuelles et celles qui relèvent du système d'arnaque mis en place.
"Nous ignorons combien de personnes sont impliquées dans cette affaire mais nous pensons qu'il y avait derrière un système parfaitement rodé", a indiqué le procureur.
L'enquête a démarré il y a plusieurs mois, à la suite de la plainte d'un ancien directeur de la caisse dénonçant des abus et des fraudes aux prestations.
En avril, la police judiciaire de Corse, épaulée par des techniciens en informatique de la PJ de Paris, a perquisitionné pendant deux jours les locaux de la CPAM de Haute-Corse. Un certain nombre de documents informatiques ont été saisis.
Les soupçons des enquêteurs portent sur des "indemnités diverses indûment versées" dans le cadre notamment d'accidents du travail présumés fictifs, mais pas seulement, selon une source proche du dossier interrogée à l'époque.
En juillet, la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam) avait indiqué avoir détecté "six fois plus de fraudes et abus" en 2006 qu'en 2005, pour un montant total de 120 millions d'euros, sous l'effet d'un meilleur contrôle.
La somme correspond, selon la CPAM, "au coût de 91 appareils IRM ou au coût de fonctionnement annuel de quatre hôpitaux publics moyens".
L'an dernier, 143 personnes ont été condamnées à des peines de prison ferme ou avec sursis pour avoir escroqué l'assurance maladie. Chez les praticiens, 351 interdictions de donner des soins allant de un mois à plus d'un an ont été prononcées par les Ordres médicaux.
AFP - il y a 1 heure 57 minutes
BASTIA (AFP) - Des fraudes à la sécurité sociale portant sur des millions d'euros ont entraîné la mise en examen récente d'un contrôleur de la Caisse primaire d'assurance-maladie (CPAM) de Bastia, a indiqué mardi le procureur de la République de Bastia.
"L'escroquerie porte sur des sommes colossales. Le préjudice a été évalué à plusieurs millions d'euros et nous pensons qu'il s'agissait d'un système bien organisé", a précisé Jean-Jacques Fagni à l'AFP.
Le contrôleur de la caisse primaire de Haute-Corse a été mis en examen la semaine dernière pour complicité d'escroquerie en bande organisée et laissé en liberté sous contrôle judiciaire, a indiqué le procureur confirmant une information de l'Express.fr.
Avant lui, en juillet, deux médecins - un ex-coordonnateur de cette même caisse et un médecin libéral de Bastia - avaient été mis en examen dans cette affaire.
"Selon les cas, les escroqueries prenaient la forme d'un accroissement du taux d'invalidité auquel un patient pouvait prétendre ou de l'acceptation d'un dossier qui n'aurait pas normalement reçu l'aval de la CPAM", a précisé le magistrat.
Les enquêteurs s'efforcent maintenant de faire le tri entre les fraudes individuelles et celles qui relèvent du système d'arnaque mis en place.
"Nous ignorons combien de personnes sont impliquées dans cette affaire mais nous pensons qu'il y avait derrière un système parfaitement rodé", a indiqué le procureur.
L'enquête a démarré il y a plusieurs mois, à la suite de la plainte d'un ancien directeur de la caisse dénonçant des abus et des fraudes aux prestations.
En avril, la police judiciaire de Corse, épaulée par des techniciens en informatique de la PJ de Paris, a perquisitionné pendant deux jours les locaux de la CPAM de Haute-Corse. Un certain nombre de documents informatiques ont été saisis.
Les soupçons des enquêteurs portent sur des "indemnités diverses indûment versées" dans le cadre notamment d'accidents du travail présumés fictifs, mais pas seulement, selon une source proche du dossier interrogée à l'époque.
En juillet, la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam) avait indiqué avoir détecté "six fois plus de fraudes et abus" en 2006 qu'en 2005, pour un montant total de 120 millions d'euros, sous l'effet d'un meilleur contrôle.
La somme correspond, selon la CPAM, "au coût de 91 appareils IRM ou au coût de fonctionnement annuel de quatre hôpitaux publics moyens".
L'an dernier, 143 personnes ont été condamnées à des peines de prison ferme ou avec sursis pour avoir escroqué l'assurance maladie. Chez les praticiens, 351 interdictions de donner des soins allant de un mois à plus d'un an ont été prononcées par les Ordres médicaux.
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Maïs et ruches contaminés par des OGM, selon une association
Reuters - il y a 1 heure 45 minutes
BORDEAUX (Reuters) - Le seul maïs OGM autorisé en France est à l'origine d'une "contamination généralisée" du pollen et des maïs non transgéniques, affirme dans une étude menée en Aquitaine la coordination "Aquitaine avenir sans OGM".
"On ne peut que constater la dissémination. La coexistence entre les OGM et les cultures traditionnelles est un mythe", a estimé lors d'une conférence de presse Jon Harlouchet, président de Bio d'Aquitaine, qui demande plus que jamais un moratoire sur les OGM alors que le Grenelle de l'environnement s'annonce.
L'étude réalisée sous contrôle d'huissier et avec l'appui de deux laboratoires d'analyses génétiques portait à la fois sur l'impact des OGM sur les ruches et sur les autres cultures.
Concernant les ruches, elles étaient situées dans un rayon pouvant aller jusqu'à 3 kilomètres d'une parcelle de maïs OGM.
"Les expérimentations 2007 ont confirmé les forts taux de contamination des pollen prélevés dans la plupart des ruches étudiées par le pollen de maïs GM (Bt Mon810, le maïs OGM autorisé en culture)", indique l'étude.
Selon Patrick de Kochko, cultivateur bio et membre de la coordination, ces taux varient "de 5 à 40%", mais de manières très diverses, les plus éloignées n'étant pas forcément les moins contaminées.
Une étude précédente en 2006 avait fait apparaître des taux de contamination autour de 40% dans une ruche située à 400 mètres, et entre 40 et 50% pour une implantée à 1.200 mètres.
Le pollen est un complément alimentaire et aussi un aliment indispensable aux larves d'abeilles.
Les traces d'OGM sont infimes dans le miel mais cela suffit selon la coordination pour détruire son image de marque.
Pour le suivi des cultures, deux parcelles de maïs bio ont été mises en place dans le Béarn et deux autres parcelles de maïs traditionnel proches d'une parcelle OGM ont été mises sous surveillance dans le Lot-et-Garonne mais elles ont subi une pollution chimique d'origine inconnue.
Les deux parcelles béarnaises de Bernard Pouey qui a déposé plainte contre X ont perdu pour cette raison leur label "bio".
Reuters - il y a 1 heure 45 minutes
BORDEAUX (Reuters) - Le seul maïs OGM autorisé en France est à l'origine d'une "contamination généralisée" du pollen et des maïs non transgéniques, affirme dans une étude menée en Aquitaine la coordination "Aquitaine avenir sans OGM".
"On ne peut que constater la dissémination. La coexistence entre les OGM et les cultures traditionnelles est un mythe", a estimé lors d'une conférence de presse Jon Harlouchet, président de Bio d'Aquitaine, qui demande plus que jamais un moratoire sur les OGM alors que le Grenelle de l'environnement s'annonce.
L'étude réalisée sous contrôle d'huissier et avec l'appui de deux laboratoires d'analyses génétiques portait à la fois sur l'impact des OGM sur les ruches et sur les autres cultures.
Concernant les ruches, elles étaient situées dans un rayon pouvant aller jusqu'à 3 kilomètres d'une parcelle de maïs OGM.
"Les expérimentations 2007 ont confirmé les forts taux de contamination des pollen prélevés dans la plupart des ruches étudiées par le pollen de maïs GM (Bt Mon810, le maïs OGM autorisé en culture)", indique l'étude.
Selon Patrick de Kochko, cultivateur bio et membre de la coordination, ces taux varient "de 5 à 40%", mais de manières très diverses, les plus éloignées n'étant pas forcément les moins contaminées.
Une étude précédente en 2006 avait fait apparaître des taux de contamination autour de 40% dans une ruche située à 400 mètres, et entre 40 et 50% pour une implantée à 1.200 mètres.
Le pollen est un complément alimentaire et aussi un aliment indispensable aux larves d'abeilles.
Les traces d'OGM sont infimes dans le miel mais cela suffit selon la coordination pour détruire son image de marque.
Pour le suivi des cultures, deux parcelles de maïs bio ont été mises en place dans le Béarn et deux autres parcelles de maïs traditionnel proches d'une parcelle OGM ont été mises sous surveillance dans le Lot-et-Garonne mais elles ont subi une pollution chimique d'origine inconnue.
Les deux parcelles béarnaises de Bernard Pouey qui a déposé plainte contre X ont perdu pour cette raison leur label "bio".
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Perdre ses ovaires… et la mémoire !
[3 octobre 2007 - 07:50]
Selon un travail américain, les femmes qui ont subi une ablation des ovaires – une ovariectomie - avant leur ménopause naturelle seraient exposées à des troubles de la mémoire, à une démence et à des tremblements tels que ceux constatés dans la maladie de Parkinson.
Le Pr Walter A. Rocca de la Mayo Clinic de Rochester, a suivi pendant 27 ans 1 500 femmes opérées et 1 500 autres qui ont constitué le groupe témoin. A intervalles réguliers, son équipe a évalué la mémoire de chaque participante. Au terme de son travail, l’auteur a constaté un doublement du risque de troubles cognitifs chez celles qui avaient subi une ovariectomie.
« Nous pensons que les estrogènes ont un rôle protecteur sur les fonctions cérébrales et en particulier sur la mémoire », souligne Walter Rocca. Par ailleurs, il a également constaté que plus l’ovariectomie intervenait tôt, plus les risques de développer la maladie de Parkinson étaient élevés.
[3 octobre 2007 - 07:50]
Selon un travail américain, les femmes qui ont subi une ablation des ovaires – une ovariectomie - avant leur ménopause naturelle seraient exposées à des troubles de la mémoire, à une démence et à des tremblements tels que ceux constatés dans la maladie de Parkinson.
Le Pr Walter A. Rocca de la Mayo Clinic de Rochester, a suivi pendant 27 ans 1 500 femmes opérées et 1 500 autres qui ont constitué le groupe témoin. A intervalles réguliers, son équipe a évalué la mémoire de chaque participante. Au terme de son travail, l’auteur a constaté un doublement du risque de troubles cognitifs chez celles qui avaient subi une ovariectomie.
« Nous pensons que les estrogènes ont un rôle protecteur sur les fonctions cérébrales et en particulier sur la mémoire », souligne Walter Rocca. Par ailleurs, il a également constaté que plus l’ovariectomie intervenait tôt, plus les risques de développer la maladie de Parkinson étaient élevés.
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Les traumatismes des dents ? Un enfant sur trois concerné
[3 octobre 2007 - 09:37]
A l’âge de 12 ans, près d’un enfant sur trois a déjà eu un traumatisme dentaire. Un grand nombre de ces accidents ont lieu entre 2 et 3 ans, principalement lors d’événements de la vie quotidienne. Et plus tard, gare aux activités sportives à risque…
« Pendant la période préscolaire, la majorité des traumatismes concerne les tissus de soutien » a souligné le Dr Chantal Naulin Ifi, praticien hospitalier à Paris, lors des récents Entretiens de Garancière. Chez les plus grands en revanche, les spécialistes sont davantage confrontés à des « fractures coronaires ». Autrement dit, des dents cassées puisqu’il s’agit ici de fractures de la « couronne » de la dent, et non pas d’un quelconque problème cardiologique...
« Le pic d’incidence a lieu chez les garçons de 9-10 ans » poursuit le médecin, « au moment où les jeux et activités sportives deviennent plus vigoureux. Parmi les sports à risque, elle cite les arts martiaux, le handball, le football, le rugby, le hockey ou le cyclisme.
La prévention ? Elle passe principalement par « le port de protège-dents voire de casques ». En cas d’accident enfin, ayez les bons réflexes. A savoir : « retrouver et conserver le morceau fracturé ou la dent expulsée, compresser la zone traumatisée avec une compresse et surtout, consulter un chirurgien dentiste ».
[3 octobre 2007 - 09:37]
A l’âge de 12 ans, près d’un enfant sur trois a déjà eu un traumatisme dentaire. Un grand nombre de ces accidents ont lieu entre 2 et 3 ans, principalement lors d’événements de la vie quotidienne. Et plus tard, gare aux activités sportives à risque…
« Pendant la période préscolaire, la majorité des traumatismes concerne les tissus de soutien » a souligné le Dr Chantal Naulin Ifi, praticien hospitalier à Paris, lors des récents Entretiens de Garancière. Chez les plus grands en revanche, les spécialistes sont davantage confrontés à des « fractures coronaires ». Autrement dit, des dents cassées puisqu’il s’agit ici de fractures de la « couronne » de la dent, et non pas d’un quelconque problème cardiologique...
« Le pic d’incidence a lieu chez les garçons de 9-10 ans » poursuit le médecin, « au moment où les jeux et activités sportives deviennent plus vigoureux. Parmi les sports à risque, elle cite les arts martiaux, le handball, le football, le rugby, le hockey ou le cyclisme.
La prévention ? Elle passe principalement par « le port de protège-dents voire de casques ». En cas d’accident enfin, ayez les bons réflexes. A savoir : « retrouver et conserver le morceau fracturé ou la dent expulsée, compresser la zone traumatisée avec une compresse et surtout, consulter un chirurgien dentiste ».
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Quand les labos vous parlent médicament…
[3 octobre 2007 - 11:10]
Du 15 au 21 octobre se tiendra la deuxième semaine du médicament, organisée par les laboratoires pharmaceutiques. Cette édition 2007 sera centrée sur le progrès thérapeutique… et les conditions pour y parvenir. Et dès le 9 octobre, des expositions seront déjà ouvertes au public.
« Le médicament parlons-en ! », un slogan qui résonne comme une invitation au dialogue entre industriels et chercheurs, mais aussi avec le public et les associations de patients.
Cette année, les laboratoires posent assez crûment la question qui leur brûle les lèvres : « l’innovation est-elle en panne ? » Au cours de cette semaine, des visites de sites, de centres de recherches et des conférences seront organisés.
[3 octobre 2007 - 11:10]
Du 15 au 21 octobre se tiendra la deuxième semaine du médicament, organisée par les laboratoires pharmaceutiques. Cette édition 2007 sera centrée sur le progrès thérapeutique… et les conditions pour y parvenir. Et dès le 9 octobre, des expositions seront déjà ouvertes au public.
« Le médicament parlons-en ! », un slogan qui résonne comme une invitation au dialogue entre industriels et chercheurs, mais aussi avec le public et les associations de patients.
Cette année, les laboratoires posent assez crûment la question qui leur brûle les lèvres : « l’innovation est-elle en panne ? » Au cours de cette semaine, des visites de sites, de centres de recherches et des conférences seront organisés.
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Alzheimer : le régime méditerranéen allongerait la vie !
[3 octobre 2007 - 12:25]
Décidément, le régime méditerranéen n’a pas fini de nous surprendre ! Des chercheurs américains viennent en effet de mettre au jour les bienfaits de cette alimentation riche en fruits et légumes chez des patients souffrant de la maladie d’Alzheimer. Ils vivraient tout bonnement, plus longtemps.
L’étude dirigée par le Dr Nikos Scarmeas ( Columbia University Medical Center, New York) en collaboration avec l’American Academy of Neurology, a porté sur 192 personnes atteintes de la maladie. En 4 ans et demi, 85 sont décédées. Mais pas n’importe lesquelles !
« Les patients qui suivaient scrupuleusement un régime alimentaire de type méditerranéen ont réduit leur risque de mortalité de 76% sur la durée de l’étude » constatent les auteurs. Ils ont ainsi gagné entre 1,3 an et 4 ans de vie par rapport au reste de la cohorte…
Le régime de type « méditerranéen » - ou crétois- se caractérise par une consommation importante de poissons, de céréales (pain, pâtes, riz, semoule...), de pommes de terre. Mais aussi de fruits et légumes et notamment de légumineux comme les haricots ou les fèves. L’huile d’olive constitue la principale source de graisse. Quant aux volailles, viandes rouges, yaourts et fromages, ils doivent enfin être consommés en quantité modérée.
[3 octobre 2007 - 12:25]
Décidément, le régime méditerranéen n’a pas fini de nous surprendre ! Des chercheurs américains viennent en effet de mettre au jour les bienfaits de cette alimentation riche en fruits et légumes chez des patients souffrant de la maladie d’Alzheimer. Ils vivraient tout bonnement, plus longtemps.
L’étude dirigée par le Dr Nikos Scarmeas ( Columbia University Medical Center, New York) en collaboration avec l’American Academy of Neurology, a porté sur 192 personnes atteintes de la maladie. En 4 ans et demi, 85 sont décédées. Mais pas n’importe lesquelles !
« Les patients qui suivaient scrupuleusement un régime alimentaire de type méditerranéen ont réduit leur risque de mortalité de 76% sur la durée de l’étude » constatent les auteurs. Ils ont ainsi gagné entre 1,3 an et 4 ans de vie par rapport au reste de la cohorte…
Le régime de type « méditerranéen » - ou crétois- se caractérise par une consommation importante de poissons, de céréales (pain, pâtes, riz, semoule...), de pommes de terre. Mais aussi de fruits et légumes et notamment de légumineux comme les haricots ou les fèves. L’huile d’olive constitue la principale source de graisse. Quant aux volailles, viandes rouges, yaourts et fromages, ils doivent enfin être consommés en quantité modérée.
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Cancer du sein: huit femmes ministres lancent le "mois rose"
AP - Mardi 2 octobre, 20h35
PARIS - A l'invitation de la ministre de la Santé Roselyne Bachelot-Narquin, huit femmes ministres et secrétaires d'Etat, rejointes par le Premier ministre François Fillon, ont pris la pose mardi en fin d'après-midi au pied des immenses photos de l'exposition "J'ai un cancer du sein. Et après" dont l'inauguration ouvrait le "mois rose" en faveur du dépistage du cancer du sein.
La scène se passait avenue Duquesne, dans le VIIe arrondissement de Paris. Sous des photos de plusieurs mètres de haut, placardées sur la façade du ministère de la Santé, représentant des femmes opérées d'un cancer du sein, les sept femmes ministres du gouvernement, deux femmes secrétaires d'Etat et M. Fillon sont ainsi venus apporter leur soutien à cette initiative.
Autour de Mme Bachelot-Narquin, hôte des lieux, et du Premier ministre étaient réunies Rachida Dati (Justice), Christine Lagarde (Economie), Michèle Alliot-Marie (Intérieur), Christine Boutin (Logement et Ville), Valérie Pécresse (Enseignement supérieur et Recherche), Christine Albanel (Culture), Nathalie Kosciusko-Morizet (Ecologie) et Valérie Létard (Solidarité), mais aussi une partie des femmes ayant accepté de poser pour les photos de l'exposition. Tous ont posé devant une nuée de photographes et cameramen désireux d'immortaliser la scène et sous le regard ébahi des passants et automobilistes, incrédules devant la présence d'un quart du gouvernement en pleine rue à l'heure de sortie des bureaux.
Mais ils -ou plutôt elles- étaient là pour la bonne cause: sensibiliser l'opinion à l'importance du dépistage du cancer du sein, cancer le plus répandu en France (42.000 cas par an) et première cause de décès féminins par cancer (11.600 décès par an).
"Notre premier objectif est de susciter une plus grande adhésion au dépistage organisé", a déclaré Mme Bachelot-Narquin dans un discours prononcé dans le hall du ministère après la séance photo et la visite de l'exposition. Avec cette campagne de sensibilisation du "mois rose" (du 2 au 31 octobre), la ministre espère donner "une image plus positive" du dépistage.
L'enjeu est de taille: car, si on parvient à atteindre, puis à dépasser un taux de 70% de femmes dépistées de 50 à 74 ans, "la réduction attendue de la mortalité est de 35%", a estimé la ministre après avoir donné la parole à quelques unes des femmes de l'exposition pour qu'elles livrent leur témoignage.
Pour que ce dépistage organisé touche un plus grand nombre de femmes et gagne en efficacité, Mme Bachelot-Narquin propose que la mammographie réalisée dans ce cadre puisse bénéficier, au même titre que celle pratiquée dans le cadre du dépistage individuel, de la "technologie numérique".
La population cible du dépistage organisé gratuit est de 8,4 millions de femmes (âgées de 50 à 74 ans). En 2005, le taux de participation à ce programme était inférieur à 50% (49,3%), hors dépistages individuels (avec ces derniers, le taux atteint 65%). Or, en 2004 (derniers chiffres connus), le programme de dépistage organisé a permis de dépister 10.640 cancers.
Sur les clichés pris par le photographe Florian Launette et par le Pr Pascal Bonnier, le chirurgien marseillais qui a opéré les 38 femmes présentes dans l'exposition, on peut voir des femmes photographiées à mi-hauteur, avec beaucoup de sensibilité, les seins dénudés portant une ou plusieurs cicatrices, parfois les mains posées pudiquement sur la poitrine, souvent le visage radieux et souriant. Et Mme Bachelot-Narquin de résumer le message: "après avoir appris à vivre avec, elles doivent apprendre à vivre après"...
AP - Mardi 2 octobre, 20h35
PARIS - A l'invitation de la ministre de la Santé Roselyne Bachelot-Narquin, huit femmes ministres et secrétaires d'Etat, rejointes par le Premier ministre François Fillon, ont pris la pose mardi en fin d'après-midi au pied des immenses photos de l'exposition "J'ai un cancer du sein. Et après" dont l'inauguration ouvrait le "mois rose" en faveur du dépistage du cancer du sein.
La scène se passait avenue Duquesne, dans le VIIe arrondissement de Paris. Sous des photos de plusieurs mètres de haut, placardées sur la façade du ministère de la Santé, représentant des femmes opérées d'un cancer du sein, les sept femmes ministres du gouvernement, deux femmes secrétaires d'Etat et M. Fillon sont ainsi venus apporter leur soutien à cette initiative.
Autour de Mme Bachelot-Narquin, hôte des lieux, et du Premier ministre étaient réunies Rachida Dati (Justice), Christine Lagarde (Economie), Michèle Alliot-Marie (Intérieur), Christine Boutin (Logement et Ville), Valérie Pécresse (Enseignement supérieur et Recherche), Christine Albanel (Culture), Nathalie Kosciusko-Morizet (Ecologie) et Valérie Létard (Solidarité), mais aussi une partie des femmes ayant accepté de poser pour les photos de l'exposition. Tous ont posé devant une nuée de photographes et cameramen désireux d'immortaliser la scène et sous le regard ébahi des passants et automobilistes, incrédules devant la présence d'un quart du gouvernement en pleine rue à l'heure de sortie des bureaux.
Mais ils -ou plutôt elles- étaient là pour la bonne cause: sensibiliser l'opinion à l'importance du dépistage du cancer du sein, cancer le plus répandu en France (42.000 cas par an) et première cause de décès féminins par cancer (11.600 décès par an).
"Notre premier objectif est de susciter une plus grande adhésion au dépistage organisé", a déclaré Mme Bachelot-Narquin dans un discours prononcé dans le hall du ministère après la séance photo et la visite de l'exposition. Avec cette campagne de sensibilisation du "mois rose" (du 2 au 31 octobre), la ministre espère donner "une image plus positive" du dépistage.
L'enjeu est de taille: car, si on parvient à atteindre, puis à dépasser un taux de 70% de femmes dépistées de 50 à 74 ans, "la réduction attendue de la mortalité est de 35%", a estimé la ministre après avoir donné la parole à quelques unes des femmes de l'exposition pour qu'elles livrent leur témoignage.
Pour que ce dépistage organisé touche un plus grand nombre de femmes et gagne en efficacité, Mme Bachelot-Narquin propose que la mammographie réalisée dans ce cadre puisse bénéficier, au même titre que celle pratiquée dans le cadre du dépistage individuel, de la "technologie numérique".
La population cible du dépistage organisé gratuit est de 8,4 millions de femmes (âgées de 50 à 74 ans). En 2005, le taux de participation à ce programme était inférieur à 50% (49,3%), hors dépistages individuels (avec ces derniers, le taux atteint 65%). Or, en 2004 (derniers chiffres connus), le programme de dépistage organisé a permis de dépister 10.640 cancers.
Sur les clichés pris par le photographe Florian Launette et par le Pr Pascal Bonnier, le chirurgien marseillais qui a opéré les 38 femmes présentes dans l'exposition, on peut voir des femmes photographiées à mi-hauteur, avec beaucoup de sensibilité, les seins dénudés portant une ou plusieurs cicatrices, parfois les mains posées pudiquement sur la poitrine, souvent le visage radieux et souriant. Et Mme Bachelot-Narquin de résumer le message: "après avoir appris à vivre avec, elles doivent apprendre à vivre après"...
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En Afrique quand le VIH ne tue pas, il fait encore trop d'orphelins
Mercredi 3 octobre, 09h25
Avec 14% de séropositivité au VIH – le virus du SIDA – dans sa population générale, le Malawi n'est pas le pays le plus gravement frappé par la pandémie en Afrique. Mais il est une bonne illustration des inégalités qui, en la matière, affectent la population. Inégalité hommes-femmes essentiellement : selon le Conseil national malawite du SIDA, 58% des séropositifs en 2005 étaient de sexe féminin !
Comme l'explique la représentante de l'UNICEF au Malawi Aida Girma, la situation est encore plus préoccupante chez les jeunes. « Parmi les 15-24 ans, l'incidence de la contamination à VIH est en effet 4 fois plus élevée chez les femmes (9%) que chez les garçons (2%). » De sorte que si ces derniers ont un taux de séropositivité largement inférieur à la moyenne nationale - il ne dépasse pas 4% - ce n'est pas le cas des filles.
Il y a plus préoccupant encore. Comme le souligne la responsable de l'UNICEF, « plus de 20% des femmes enceintes dans la tranche d'âge des 15-24 ans, étaient contaminées par le VIH en 2004", selon l'ONUSIDA. Ainsi donc le bilan de l'épidémie de VIH dans ce petit pays d'Afrique australe est-il contrasté. Certes, après une montée en puissance entre 1995 et 1999 où l'incidence du VIH dépassait 20%, l'épidémie enregistre depuis lors un fléchissement relatif. Mais seulement un tiers des 170 000 patients dont l'état justifierait la mise en œuvre d'un traitement antirétroviral en bénéficie réellement.
Aujourd'hui le pays compte 1 000 000 de séropositifs ou de malades du SIDA, dont près de la moitié vit dans les villes alors que le pays est essentiellement rural. Les femmes représentent donc près de 60% de cette cohorte et les enfants, 8%. Et plus de 100 000 femmes séropositives donnent chaque année, naissance à un enfant qui risque d'être contaminé au moment de l'accouchement. Il y a encore quelques années, l'OMS estimait que 800 000 enfants étaient ainsi contaminés à la naissance par leur mère séropositive !
Appuyée sur le don par son fabricant de l'antirétroviral Viramune, la mise en place dans 50 pays de programmes de prévention de la transmission du SIDA de la mère à l'enfant a remporté un réel succès. A tel point que l'UNICEF, l'IPPF et les laboratoires Boehringer-Ingehlheim viennent de fêter le traitement de la millionnième mère, précisément à Lilongwe (Malawi). En 6 ans, cette stratégie a sauvé des centaines de milliers d'enfants. Mais du fait de l'accès insuffisant au traitement pour les malades – et donc pour les futures mères – elle a eu un effet indésirable inattendu et dramatique : sur le million d'orphelins pour toutes causes confondues que compte le Malawi, plus de 500 000 sont ce qu'il est convenu d'appeler « des orphelins du SIDA ». Et ils étaient 14 millions dans le monde en 2004, d'après les chiffres rendus publics cette année-là par l'OMS à l'occasion de la Journée mondiale du SIDA.
Au Malawi, 13 millions d'habitants dont… 1 million d'orphelins
Les progrès sont certes réels. « En 4 ans de 2002 à 2006, le nombre de sites de dépistage et de conseil en prévention est passé au Malawi de 70 à 350, et celui des patients encore en vie et traités par antirétroviraux a bondi de 4 000 à plus de 66 000 » fait valoir Aida Girma. Il est encourageant également, de constater que l'observance des traitements dans les pays en développement est généralement identique à celle observée dans les pays riches… quand elle ne lui est pas supérieure !
Aujourd'hui pourtant, et pour une population globale inférieure à 13 millions d'habitants, le Malawi ne compte pas moins d'un million d'orphelins et un million de personnes vivant avec le VIH. Voilà qui plombe littéralement, toutes chances de développement ! Dans un pays dont les agences internationales évaluent le budget de la santé à moins de 43 euros par an et par habitant, cette situation provoque des situations dramatiques. Même s'il se développe, l'accès aux médicaments de base du VIH est encore très insuffisant. La couverture des Malawites par le Cotrimoxazole par exemple est qualifiée de « très insuffisante » par Aida Girma. Pourtant, l'OMS et l'ONUSIDA ont salué dès le mois d'avril 2000 le consensus international qui proposait son utilisation préventive contre certaines affections opportunistes chez les personnes infectées par le VIH !
Que faire alors ? Intensifier les programmes de co-développement menés par les agences internationales – UNICEF, Commission européenne – mais aussi coordonner les efforts individuels des industriels, comme le soulignait le Dr Michael Rabbow, responsable des politiques VIH des laboratoires Boehringer Ingelheim. De nombreuses entreprises s'investissent – souvent de très longue date – dans des programmes humanitaires à destination des pays en développement. Mais elles le font en ordre dispersé, et la mise en place de plans concertés visant tout à la fois le traitement des malades et la prévention de la transmission mère-enfant par exemple, fait aujourd'hui cruellement défaut. Voilà pour les lobbies internationaux, une recommandation autrement productive que le malencontreux procès intenté en 2001 à Prétoria, contre une initiative Sud-africaine de production de génériques anti-SIDA…
Mercredi 3 octobre, 09h25
Avec 14% de séropositivité au VIH – le virus du SIDA – dans sa population générale, le Malawi n'est pas le pays le plus gravement frappé par la pandémie en Afrique. Mais il est une bonne illustration des inégalités qui, en la matière, affectent la population. Inégalité hommes-femmes essentiellement : selon le Conseil national malawite du SIDA, 58% des séropositifs en 2005 étaient de sexe féminin !
Comme l'explique la représentante de l'UNICEF au Malawi Aida Girma, la situation est encore plus préoccupante chez les jeunes. « Parmi les 15-24 ans, l'incidence de la contamination à VIH est en effet 4 fois plus élevée chez les femmes (9%) que chez les garçons (2%). » De sorte que si ces derniers ont un taux de séropositivité largement inférieur à la moyenne nationale - il ne dépasse pas 4% - ce n'est pas le cas des filles.
Il y a plus préoccupant encore. Comme le souligne la responsable de l'UNICEF, « plus de 20% des femmes enceintes dans la tranche d'âge des 15-24 ans, étaient contaminées par le VIH en 2004", selon l'ONUSIDA. Ainsi donc le bilan de l'épidémie de VIH dans ce petit pays d'Afrique australe est-il contrasté. Certes, après une montée en puissance entre 1995 et 1999 où l'incidence du VIH dépassait 20%, l'épidémie enregistre depuis lors un fléchissement relatif. Mais seulement un tiers des 170 000 patients dont l'état justifierait la mise en œuvre d'un traitement antirétroviral en bénéficie réellement.
Aujourd'hui le pays compte 1 000 000 de séropositifs ou de malades du SIDA, dont près de la moitié vit dans les villes alors que le pays est essentiellement rural. Les femmes représentent donc près de 60% de cette cohorte et les enfants, 8%. Et plus de 100 000 femmes séropositives donnent chaque année, naissance à un enfant qui risque d'être contaminé au moment de l'accouchement. Il y a encore quelques années, l'OMS estimait que 800 000 enfants étaient ainsi contaminés à la naissance par leur mère séropositive !
Appuyée sur le don par son fabricant de l'antirétroviral Viramune, la mise en place dans 50 pays de programmes de prévention de la transmission du SIDA de la mère à l'enfant a remporté un réel succès. A tel point que l'UNICEF, l'IPPF et les laboratoires Boehringer-Ingehlheim viennent de fêter le traitement de la millionnième mère, précisément à Lilongwe (Malawi). En 6 ans, cette stratégie a sauvé des centaines de milliers d'enfants. Mais du fait de l'accès insuffisant au traitement pour les malades – et donc pour les futures mères – elle a eu un effet indésirable inattendu et dramatique : sur le million d'orphelins pour toutes causes confondues que compte le Malawi, plus de 500 000 sont ce qu'il est convenu d'appeler « des orphelins du SIDA ». Et ils étaient 14 millions dans le monde en 2004, d'après les chiffres rendus publics cette année-là par l'OMS à l'occasion de la Journée mondiale du SIDA.
Au Malawi, 13 millions d'habitants dont… 1 million d'orphelins
Les progrès sont certes réels. « En 4 ans de 2002 à 2006, le nombre de sites de dépistage et de conseil en prévention est passé au Malawi de 70 à 350, et celui des patients encore en vie et traités par antirétroviraux a bondi de 4 000 à plus de 66 000 » fait valoir Aida Girma. Il est encourageant également, de constater que l'observance des traitements dans les pays en développement est généralement identique à celle observée dans les pays riches… quand elle ne lui est pas supérieure !
Aujourd'hui pourtant, et pour une population globale inférieure à 13 millions d'habitants, le Malawi ne compte pas moins d'un million d'orphelins et un million de personnes vivant avec le VIH. Voilà qui plombe littéralement, toutes chances de développement ! Dans un pays dont les agences internationales évaluent le budget de la santé à moins de 43 euros par an et par habitant, cette situation provoque des situations dramatiques. Même s'il se développe, l'accès aux médicaments de base du VIH est encore très insuffisant. La couverture des Malawites par le Cotrimoxazole par exemple est qualifiée de « très insuffisante » par Aida Girma. Pourtant, l'OMS et l'ONUSIDA ont salué dès le mois d'avril 2000 le consensus international qui proposait son utilisation préventive contre certaines affections opportunistes chez les personnes infectées par le VIH !
Que faire alors ? Intensifier les programmes de co-développement menés par les agences internationales – UNICEF, Commission européenne – mais aussi coordonner les efforts individuels des industriels, comme le soulignait le Dr Michael Rabbow, responsable des politiques VIH des laboratoires Boehringer Ingelheim. De nombreuses entreprises s'investissent – souvent de très longue date – dans des programmes humanitaires à destination des pays en développement. Mais elles le font en ordre dispersé, et la mise en place de plans concertés visant tout à la fois le traitement des malades et la prévention de la transmission mère-enfant par exemple, fait aujourd'hui cruellement défaut. Voilà pour les lobbies internationaux, une recommandation autrement productive que le malencontreux procès intenté en 2001 à Prétoria, contre une initiative Sud-africaine de production de génériques anti-SIDA…
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Des athlètes asthmatiques, sans le savoir
[3 octobre 2007 - 14:25]
D’après un travail américain, près du tiers des jeunes athlètes se plaignant de difficultés respiratoires souffriraient en réalité d’un asthme d’effort. Les auteurs précisent que la plupart n’avaient aucun antécédent de maladie asthmatique.
L’asthme d’effort se manifeste par un essoufflement, une toux, des sifflements... à l’arrêt de l’effort voire entre 5 et 15 minutes plus tard. C’est à ce moment-là que peut survenir une crise parfois dramatique. Aux Etats-Unis entre 1993 et 2000, pas moins de 61 sportifs sont décédés après un exercice physique.
Le Pr Jonathan Parsons du Ohio State University Medical Center s’est intéressé à la santé respiratoire de 107 sportifs de haut niveau. Il s’est avéré que près de quatre sur dix présentaient un asthme d’effort. Et parmi eux, seuls 10% avaient déjà souffert d’un asthme pendant l’enfance. Un résultat qui montre « la forte proportion d’athlètes chez lesquels la maladie n’a pas été diagnostiquée », affirme-t-il.
Or selon lui, ce niveau si élevé de sportifs ignorant leur affection serait principalement dû à la faible utilisation de tests diagnostics fiables. « Pour chaque sujet qui s’engage dans une carrière de compétiteur, nous devrions utiliser l’hyperpnée volontaire eucapnique », assure Parsons. Il s’agit soulignons-le, du test de référence retenu par le Comité international olympique (CIO).
[3 octobre 2007 - 14:25]
D’après un travail américain, près du tiers des jeunes athlètes se plaignant de difficultés respiratoires souffriraient en réalité d’un asthme d’effort. Les auteurs précisent que la plupart n’avaient aucun antécédent de maladie asthmatique.
L’asthme d’effort se manifeste par un essoufflement, une toux, des sifflements... à l’arrêt de l’effort voire entre 5 et 15 minutes plus tard. C’est à ce moment-là que peut survenir une crise parfois dramatique. Aux Etats-Unis entre 1993 et 2000, pas moins de 61 sportifs sont décédés après un exercice physique.
Le Pr Jonathan Parsons du Ohio State University Medical Center s’est intéressé à la santé respiratoire de 107 sportifs de haut niveau. Il s’est avéré que près de quatre sur dix présentaient un asthme d’effort. Et parmi eux, seuls 10% avaient déjà souffert d’un asthme pendant l’enfance. Un résultat qui montre « la forte proportion d’athlètes chez lesquels la maladie n’a pas été diagnostiquée », affirme-t-il.
Or selon lui, ce niveau si élevé de sportifs ignorant leur affection serait principalement dû à la faible utilisation de tests diagnostics fiables. « Pour chaque sujet qui s’engage dans une carrière de compétiteur, nous devrions utiliser l’hyperpnée volontaire eucapnique », assure Parsons. Il s’agit soulignons-le, du test de référence retenu par le Comité international olympique (CIO).
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Accidents et maladies liés au travail : manifestation pour une "indemnisation intégrale" des victimes
AFP - il y a 15 minutes
PARIS (AFP) - L'indemnisation intégrale --et non forfaitaire-- des victimes d'accidents du travail et de maladies professionnelles sera la principale revendication d'une manifestation organisée à Paris le samedi 13 octobre par la Fnath et l'Andeva, ont indiqué mercredi les deux associations.
"Le premier mot d'ordre sera l'obtention d'une indemnisation intégrale des victimes du travail", a indiqué devant la presse Arnaud de Broca, secrétaire général de la Fnath, qui regroupe des "accidentés de la vie".
En effet, "contrairement à toutes les autres victimes, les accidentés du travail ne bénéficient pour l'instant que d'une réparation forfaitaire et ne sont donc pas indémnisés de tous leurs préjudices", a-t-il expliqué.
"Il est absolument injuste qu'au XXIe siècle, on puisse avoir des blessures ou une altération de sa santé sans en être indemnisé de toutes les conséquences", a ajouté François Desriaux, président de l'Association nationale de défense des victimes de l'amiante (Andeva).
Au printemps dernier, la Fnath et l'Andeva avaient appelé les syndicats à ne pas signer le protocole d'accord sur la prévention, la tarification et la réparation des risques professionnels, négocié entre les partenaires sociaux.
Seules la CFE-CGC et la CGT, qui appelle d'ailleurs aussi à manifester le 13 octobre, n'ont finalement pas signé le texte, contrairement à FO, CFTC et CFDT.
Les deux associations reprochent à ce texte "de maintenir la réparation forfaitaire" et de "porter en germe une remise en cause de la +faute inexcusable+ de l'employeur".
L'enjeu de la mobilisation est maintenant pour elles qu'il ne soit pas transposé dans une loi.
Le défilé du 13, qui partira vers 14H00 de la tour Montparnasse, aura aussi pour mot d'ordre l'opposition aux franchises médicales annoncées par le gouvernement, car "leur application aux accidents du travail et aux maladies professionnelles est contraire au principe de la réparation intégrale des préjudices", a expliqué Michel Parigot, vice-président de l'Andeva.
Au passage, la Fnath et l'Andeva ont pressé l'Etat d'écouter davantage les associations de victimes en matière de prévention des risques professionnels.
Elles ont récemment refusé le "strapontin" que le gouvernement leur a, selon elles, proposé à la conférence nationale sur les conditions de travail prévue jeudi.
AFP - il y a 15 minutes
PARIS (AFP) - L'indemnisation intégrale --et non forfaitaire-- des victimes d'accidents du travail et de maladies professionnelles sera la principale revendication d'une manifestation organisée à Paris le samedi 13 octobre par la Fnath et l'Andeva, ont indiqué mercredi les deux associations.
"Le premier mot d'ordre sera l'obtention d'une indemnisation intégrale des victimes du travail", a indiqué devant la presse Arnaud de Broca, secrétaire général de la Fnath, qui regroupe des "accidentés de la vie".
En effet, "contrairement à toutes les autres victimes, les accidentés du travail ne bénéficient pour l'instant que d'une réparation forfaitaire et ne sont donc pas indémnisés de tous leurs préjudices", a-t-il expliqué.
"Il est absolument injuste qu'au XXIe siècle, on puisse avoir des blessures ou une altération de sa santé sans en être indemnisé de toutes les conséquences", a ajouté François Desriaux, président de l'Association nationale de défense des victimes de l'amiante (Andeva).
Au printemps dernier, la Fnath et l'Andeva avaient appelé les syndicats à ne pas signer le protocole d'accord sur la prévention, la tarification et la réparation des risques professionnels, négocié entre les partenaires sociaux.
Seules la CFE-CGC et la CGT, qui appelle d'ailleurs aussi à manifester le 13 octobre, n'ont finalement pas signé le texte, contrairement à FO, CFTC et CFDT.
Les deux associations reprochent à ce texte "de maintenir la réparation forfaitaire" et de "porter en germe une remise en cause de la +faute inexcusable+ de l'employeur".
L'enjeu de la mobilisation est maintenant pour elles qu'il ne soit pas transposé dans une loi.
Le défilé du 13, qui partira vers 14H00 de la tour Montparnasse, aura aussi pour mot d'ordre l'opposition aux franchises médicales annoncées par le gouvernement, car "leur application aux accidents du travail et aux maladies professionnelles est contraire au principe de la réparation intégrale des préjudices", a expliqué Michel Parigot, vice-président de l'Andeva.
Au passage, la Fnath et l'Andeva ont pressé l'Etat d'écouter davantage les associations de victimes en matière de prévention des risques professionnels.
Elles ont récemment refusé le "strapontin" que le gouvernement leur a, selon elles, proposé à la conférence nationale sur les conditions de travail prévue jeudi.
Puéricultrice
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sans vouloir etre méchante les fiches sont propres a chacun celle d'amiwi lui correspondent il a releve ce qui pour lui etait importante mais es ce important pr vous et y avez vous trouvez tout ce dont vous aviez besoin
le travail passe par soi et pas par celui des autres vous en aurez besoin en 1ere année de cette notion ce n est pas le voisin qui ira au partiel pr vous
ok ça aide mais ça ne fait pas tout
les fiches aident bcp plus a l'oral car si vous etes limité a un nombre de lignes à l'ecrit àça sera dure de tout casé quand il faut aller au plus direct
et la cg ne fait pas tout les test sont d agal importance donc il faut les bosser atant que la cg
ou je sais je suis chiante mais que voulez vous
mes parents m ont faite ainsi
en tout cas bravo pour ton boulot
le travail passe par soi et pas par celui des autres vous en aurez besoin en 1ere année de cette notion ce n est pas le voisin qui ira au partiel pr vous
ok ça aide mais ça ne fait pas tout
les fiches aident bcp plus a l'oral car si vous etes limité a un nombre de lignes à l'ecrit àça sera dure de tout casé quand il faut aller au plus direct
et la cg ne fait pas tout les test sont d agal importance donc il faut les bosser atant que la cg
ou je sais je suis chiante mais que voulez vous
mes parents m ont faite ainsi
en tout cas bravo pour ton boulot
tout est faisable dans la vie et chacun de nos rêves se réalisera si on fait ce qu'il faut pour