Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
bonjour je reviens après quelques périples internet moi aussi je fais une reconversion je susi actuellement assistante de direction et je me réoriente vers le metiers d'infirmiere
il y a dix ans j'ai déjà effectué une année de rpéap donc pour celui làje ne peux lme permettre de faire une année de prépa (maison, enfant...) donc je le prépare toute seule chez moi je compte de pas oprendre beaucoup de livre car plsu tu en as et plus tu manque de temps pour tout faire et tu paniques
il y aussi les editions masson
moi je travaille essentiellement avec le méga guisde de massson qui coute aux alentours de 28 euros
il y a les sites aussi et la culture g mais ça il suffit de suivre l'actualité
bon courage
il y a dix ans j'ai déjà effectué une année de rpéap donc pour celui làje ne peux lme permettre de faire une année de prépa (maison, enfant...) donc je le prépare toute seule chez moi je compte de pas oprendre beaucoup de livre car plsu tu en as et plus tu manque de temps pour tout faire et tu paniques
il y aussi les editions masson
moi je travaille essentiellement avec le méga guisde de massson qui coute aux alentours de 28 euros
il y a les sites aussi et la culture g mais ça il suffit de suivre l'actualité
bon courage
Dans 3 mois l'écrit sera fait ... on y croit enfin j'y crois
- aneso81
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Attention au feu, un site pour prévenir
[8 octobre 2007 - 13:32]
Pratique et ludique, le premier site internet français entièrement dédié à la prévention des incendies domestiques. Sur www.attentionaufeu.fr , vous trouverez une mine d’informations pour vous aider à vous protéger au mieux d’un éventuel incendie.
Comme les enfants sont souvent les premières victimes, toute une partie du site leur est consacrée. Ils peuvent y découvrir les sources potentielles d’incendie grâce à des activités ludiques et interactives. Mais aussi poser des questions à des experts, ou bien encore tester leurs connaissances sur le feu.
Dans la rubrique « votre espace », vous trouverez de nombreux conseils, mais aussi tous les gestes pour éviter le pire et les comportements à adopter en cas d’incendie à la maison. Le site compte aussi une rubrique « juridique et assurance ». Edité par la société Kidde, www.attentionaufeu.fr présente également toutes les solutions matérielles pour se prémunir du feu : détecteur de fumée, couverture anti-feu, extincteur…
[8 octobre 2007 - 13:32]
Pratique et ludique, le premier site internet français entièrement dédié à la prévention des incendies domestiques. Sur www.attentionaufeu.fr , vous trouverez une mine d’informations pour vous aider à vous protéger au mieux d’un éventuel incendie.
Comme les enfants sont souvent les premières victimes, toute une partie du site leur est consacrée. Ils peuvent y découvrir les sources potentielles d’incendie grâce à des activités ludiques et interactives. Mais aussi poser des questions à des experts, ou bien encore tester leurs connaissances sur le feu.
Dans la rubrique « votre espace », vous trouverez de nombreux conseils, mais aussi tous les gestes pour éviter le pire et les comportements à adopter en cas d’incendie à la maison. Le site compte aussi une rubrique « juridique et assurance ». Edité par la société Kidde, www.attentionaufeu.fr présente également toutes les solutions matérielles pour se prémunir du feu : détecteur de fumée, couverture anti-feu, extincteur…
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Les ados et l’alcool : moins, mais plus fort
[9 octobre 2007 - 08:00]
Nos adolescents boivent un peu moins d’alcool qu’il y a 5 ans. Mais lorsqu’ils consomment en week-end, alcools forts et bière défilent ! C’est ce qui ressort de l’enquête Escapad 2005. Même les prémix (mélanges de sodas et d’alcool), ont plus la côte que le ballon de rouge. Aussi bien chez les filles que chez les garçons.
L’Enquête sur la Santé et les Consommations lors de l’Appel de Préparation à la Défense (Escapad) interroge chaque année un échantillon de participants à cette journée, seule survivance du service militaire. Cet outil propose une vision précise de la consommation des drogues, illicites et licites, chez les jeunes de 17 ans.
Il en ressort que les alcools forts sont les plus prisés des ados. Ils sont en effet un sur deux (49,4%) à consommer des spiritueux pour égayer leurs soirées. Et presque autant (44,6%) privilégient la bière. Viennent ensuite les champagnes et les mousseux (33%), les prémix (37,6%) puis loin derrière, le vin avec 22,2%.
Hormis pour les alcools forts, cette hiérarchie varie cependant selon les sexes. Si les garçons apprécient massivement la bière, les filles lui préfèrent les prémix. Des boissons qui, comme le souligne le Dr Patrick Fouilland président de la Fédération des Acteurs en Alcoologie et Addictologie, « sont un mode d’entrée bien réel dans la consommation d’alcool pour des jeunes pourtant sans désir initial de consommation »…
[9 octobre 2007 - 08:00]
Nos adolescents boivent un peu moins d’alcool qu’il y a 5 ans. Mais lorsqu’ils consomment en week-end, alcools forts et bière défilent ! C’est ce qui ressort de l’enquête Escapad 2005. Même les prémix (mélanges de sodas et d’alcool), ont plus la côte que le ballon de rouge. Aussi bien chez les filles que chez les garçons.
L’Enquête sur la Santé et les Consommations lors de l’Appel de Préparation à la Défense (Escapad) interroge chaque année un échantillon de participants à cette journée, seule survivance du service militaire. Cet outil propose une vision précise de la consommation des drogues, illicites et licites, chez les jeunes de 17 ans.
Il en ressort que les alcools forts sont les plus prisés des ados. Ils sont en effet un sur deux (49,4%) à consommer des spiritueux pour égayer leurs soirées. Et presque autant (44,6%) privilégient la bière. Viennent ensuite les champagnes et les mousseux (33%), les prémix (37,6%) puis loin derrière, le vin avec 22,2%.
Hormis pour les alcools forts, cette hiérarchie varie cependant selon les sexes. Si les garçons apprécient massivement la bière, les filles lui préfèrent les prémix. Des boissons qui, comme le souligne le Dr Patrick Fouilland président de la Fédération des Acteurs en Alcoologie et Addictologie, « sont un mode d’entrée bien réel dans la consommation d’alcool pour des jeunes pourtant sans désir initial de consommation »…
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Face à l’herpès, brisez le silence !
[9 octobre 2007 - 09:31]
« Ne laissez plus un bouton d’herpès gâcher les plus beaux moments de la vie ». La campagne d’information du laboratoire GSK, qui a débuté le 17 septembre, vise à encourager les patients à engager le dialogue avec leur médecin.
Près de 7 millions de Français présentent régulièrement des poussées d’herpès au niveau du visage. Celles-ci sont provoquées par un virus – le HSV – qui reste dans l’organisme entre les poussées. Il y demeure à vie, se manifestant sous formes de poussées plus ou moins fréquentes et qui durent de 6 à 12 jours. La poussée « type » se déroule en trois phases :
Des signes annonciateurs : sensations de brûlures, picotements, gonflement de la lèvre quelques jours ou quelques heures avant la crise ;
Ils sont suivis de rougeurs, puis de cloques et de croûtes ;
La cicatrisation enfin, n’intervient qu’une dizaine de jours en moyenne après le début de la crise.
Comme de nombreuses maladies virales, l’herpès est une maladie très contagieuse. La transmission se fait par contact direct, et si le risque est majoré en période de poussée il est également bien réel en l’absence de symptômes apparents.
Des mesures d’hygiène aux traitements, les solutions ne manquent pas. Aujourd’hui pourtant, près du tiers des patients les plus sévèrement atteints ne consultent pas ! Maladie taboue, l’herpès provoque trop souvent un repli sur soi. Le patient a le sentiment d’être sale, repoussant. L’objectif de la campagne en cours est précisément de rompre le silence : d’inciter les malades à parler de leur herpès avec leur médecin, pour bénéficier d’une prise en charge adaptée…
[9 octobre 2007 - 09:31]
« Ne laissez plus un bouton d’herpès gâcher les plus beaux moments de la vie ». La campagne d’information du laboratoire GSK, qui a débuté le 17 septembre, vise à encourager les patients à engager le dialogue avec leur médecin.
Près de 7 millions de Français présentent régulièrement des poussées d’herpès au niveau du visage. Celles-ci sont provoquées par un virus – le HSV – qui reste dans l’organisme entre les poussées. Il y demeure à vie, se manifestant sous formes de poussées plus ou moins fréquentes et qui durent de 6 à 12 jours. La poussée « type » se déroule en trois phases :
Des signes annonciateurs : sensations de brûlures, picotements, gonflement de la lèvre quelques jours ou quelques heures avant la crise ;
Ils sont suivis de rougeurs, puis de cloques et de croûtes ;
La cicatrisation enfin, n’intervient qu’une dizaine de jours en moyenne après le début de la crise.
Comme de nombreuses maladies virales, l’herpès est une maladie très contagieuse. La transmission se fait par contact direct, et si le risque est majoré en période de poussée il est également bien réel en l’absence de symptômes apparents.
Des mesures d’hygiène aux traitements, les solutions ne manquent pas. Aujourd’hui pourtant, près du tiers des patients les plus sévèrement atteints ne consultent pas ! Maladie taboue, l’herpès provoque trop souvent un repli sur soi. Le patient a le sentiment d’être sale, repoussant. L’objectif de la campagne en cours est précisément de rompre le silence : d’inciter les malades à parler de leur herpès avec leur médecin, pour bénéficier d’une prise en charge adaptée…
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Le Bégaiement : 600 000 Français concernés
[9 octobre 2007 - 11:05]
« Brisons le tabou, agissons ! ». C’est un véritable appel à l’action que les organisateurs de la 10ème Journée mondiale du bégaiement lanceront le 22 octobre prochain. « La première façon d’agir, c’est d’en parler autour de soi » souligne l’association Parole Bégaiement.
Trouble affectant la parole, le bégaiement est à l’origine d’une véritable souffrance pour les 600 000 Français concernés. Il débute souvent entre deux et quatre ans, rarement à l’âge adulte sauf après un traumatisme important.
En fait et plutôt qu’une cause précise, les spécialistes évoquent un ensemble de facteurs prédisposants : retard de parole, tensions familiales, anxiété… Certains événements peuvent aussi jouer un rôle déclencheur : naissance d’un autre enfant, déménagement, changement d’école ou séparation. Au même titre que certaines prédispositions génétiques d’ailleurs, encore que ce sujet soit toujours discuté.
« Si rien n’est entrepris, sur quatre enfants qui commencent à bégayer, un restera bègue à l’âge adulte. Et il n’existe aucun moyen de prévoir lequel » souligne l’association. « D’où l’importance d’une intervention précoce ». C’est-à-dire dès l’âge de 2 ans, auprès d’un orthophoniste.
[9 octobre 2007 - 11:05]
« Brisons le tabou, agissons ! ». C’est un véritable appel à l’action que les organisateurs de la 10ème Journée mondiale du bégaiement lanceront le 22 octobre prochain. « La première façon d’agir, c’est d’en parler autour de soi » souligne l’association Parole Bégaiement.
Trouble affectant la parole, le bégaiement est à l’origine d’une véritable souffrance pour les 600 000 Français concernés. Il débute souvent entre deux et quatre ans, rarement à l’âge adulte sauf après un traumatisme important.
En fait et plutôt qu’une cause précise, les spécialistes évoquent un ensemble de facteurs prédisposants : retard de parole, tensions familiales, anxiété… Certains événements peuvent aussi jouer un rôle déclencheur : naissance d’un autre enfant, déménagement, changement d’école ou séparation. Au même titre que certaines prédispositions génétiques d’ailleurs, encore que ce sujet soit toujours discuté.
« Si rien n’est entrepris, sur quatre enfants qui commencent à bégayer, un restera bègue à l’âge adulte. Et il n’existe aucun moyen de prévoir lequel » souligne l’association. « D’où l’importance d’une intervention précoce ». C’est-à-dire dès l’âge de 2 ans, auprès d’un orthophoniste.
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Grippe : la saison 2006-2007 a été « modérée »
[9 octobre 2007 - 14:00]
Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) de ce jour est entièrement consacré à la surveillance épidémiologique et virologique de la grippe saisonnière en France, pour la saison 2006-2007. Bilan : l’épidémie a été « d’une intensité modérée, sans sévérité particulière ».
Ainsi le virus grippal est-il apparu mi-janvier 2007 pour s’éteindre 7 semaines plus tard, début mars 2007. Durant cette période épidémique, 2,1 millions de personnes ont consulté leur généraliste pour un syndrome grippal.
Il s’agit donc d’un crû relativement modeste, selon les rédacteurs du BEH. « La saison 2006-2007 a été caractérisée par une épidémie d’intensité modérée et sans sévérité particulière. » La moyenne des 2,45 millions de malades observée ces dernières années n’a en effet pas été atteinte. Pour ce qui est des virus grippaux en circulation, ils étaient majoritairement apparentés à la souche A/Wisconsin/67/2005 présente dans le vaccin antigrippal de la saison concernée. Enfin, aucun cas humain de grippe d’origine aviaire n’a été diagnostiqué en France durant cette épidémie.
[9 octobre 2007 - 14:00]
Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) de ce jour est entièrement consacré à la surveillance épidémiologique et virologique de la grippe saisonnière en France, pour la saison 2006-2007. Bilan : l’épidémie a été « d’une intensité modérée, sans sévérité particulière ».
Ainsi le virus grippal est-il apparu mi-janvier 2007 pour s’éteindre 7 semaines plus tard, début mars 2007. Durant cette période épidémique, 2,1 millions de personnes ont consulté leur généraliste pour un syndrome grippal.
Il s’agit donc d’un crû relativement modeste, selon les rédacteurs du BEH. « La saison 2006-2007 a été caractérisée par une épidémie d’intensité modérée et sans sévérité particulière. » La moyenne des 2,45 millions de malades observée ces dernières années n’a en effet pas été atteinte. Pour ce qui est des virus grippaux en circulation, ils étaient majoritairement apparentés à la souche A/Wisconsin/67/2005 présente dans le vaccin antigrippal de la saison concernée. Enfin, aucun cas humain de grippe d’origine aviaire n’a été diagnostiqué en France durant cette épidémie.
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Les pesticides étouffent les agriculteurs
[10 octobre 2007 - 08:05]
D’après une étude réalisée aux Etats-Unis, l’usage des pesticides augmenterait le risque d’asthme parmi les agriculteurs. Certains produits constitueraient ainsi un facteur de risque indépendant de ceux qui sont traditionnellement reconnus comme les pollens, poils d’animaux, acariens et autres moisissures.
Le Dr Jane Hoppin, des Instituts nationaux de la Santé américains, a suivi plus de 20 000 agriculteurs de l’Iowa et de Caroline du Nord. Et d’après son travail, 16 pesticides différents peuvent entraîner une augmentation du risque de maladie asthmatique.
« L’asthme est lié à des produits chimiques spécifiques. Nous n’avons pas établi de relation ni avec des classes particulières de pesticides, ni avec tel ou tel mode d’utilisation », précise Jane Hoppin. « Nous montrons également qu’il suffit d’une seule exposition importante à des pesticides, pour doubler le risque d’asthme chez un agriculteur donné ».
[10 octobre 2007 - 08:05]
D’après une étude réalisée aux Etats-Unis, l’usage des pesticides augmenterait le risque d’asthme parmi les agriculteurs. Certains produits constitueraient ainsi un facteur de risque indépendant de ceux qui sont traditionnellement reconnus comme les pollens, poils d’animaux, acariens et autres moisissures.
Le Dr Jane Hoppin, des Instituts nationaux de la Santé américains, a suivi plus de 20 000 agriculteurs de l’Iowa et de Caroline du Nord. Et d’après son travail, 16 pesticides différents peuvent entraîner une augmentation du risque de maladie asthmatique.
« L’asthme est lié à des produits chimiques spécifiques. Nous n’avons pas établi de relation ni avec des classes particulières de pesticides, ni avec tel ou tel mode d’utilisation », précise Jane Hoppin. « Nous montrons également qu’il suffit d’une seule exposition importante à des pesticides, pour doubler le risque d’asthme chez un agriculteur donné ».
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Déprime ou dépression ?
[10 octobre 2007 - 09:53]
Comment faire la différence entre une déprime et une dépression ? Quelles sont les solutions de prise en charge ? Dans un livret téléchargeable en cliquant ici, vous trouverez toutes les réponses à ces questions … et à beaucoup d’autres.
La dépression : en savoir plus pour en sortir est édité par l’Institut national de Prévention et d’Education pour la Santé (INPES). En complément, vous pourrez aussi vous informer sur www.info-depression.fr. Ce dispositif est soutenu par un film d’animation diffusé à la télévision - du 29 octobre au 11 novembre - et par quatre annonces radio du 3 au 11 novembre.
Pourquoi l’INPES se lance-t-il ainsi dans des actions de masse ? Parce que près de 3 millions de Français souffrent de dépression. Parce que plus de 8 millions ont vécu ou vivront un épisode dépressif au cours de leur existence. Le problème aujourd’hui, c’est que 60% des personnes concernées ne consultent pas leur médecin. Et c’est particulièrement vrai pour les hommes, les jeunes et les personnes âgées. La dépression pourtant, requiert une vraie prise en charge. Et elle fait appel à de multiples acteurs, que le médecin traitant est sans doute le plus à même de coordonner.
[10 octobre 2007 - 09:53]
Comment faire la différence entre une déprime et une dépression ? Quelles sont les solutions de prise en charge ? Dans un livret téléchargeable en cliquant ici, vous trouverez toutes les réponses à ces questions … et à beaucoup d’autres.
La dépression : en savoir plus pour en sortir est édité par l’Institut national de Prévention et d’Education pour la Santé (INPES). En complément, vous pourrez aussi vous informer sur www.info-depression.fr. Ce dispositif est soutenu par un film d’animation diffusé à la télévision - du 29 octobre au 11 novembre - et par quatre annonces radio du 3 au 11 novembre.
Pourquoi l’INPES se lance-t-il ainsi dans des actions de masse ? Parce que près de 3 millions de Français souffrent de dépression. Parce que plus de 8 millions ont vécu ou vivront un épisode dépressif au cours de leur existence. Le problème aujourd’hui, c’est que 60% des personnes concernées ne consultent pas leur médecin. Et c’est particulièrement vrai pour les hommes, les jeunes et les personnes âgées. La dépression pourtant, requiert une vraie prise en charge. Et elle fait appel à de multiples acteurs, que le médecin traitant est sans doute le plus à même de coordonner.
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Etiquettes inversées, des lots de médicaments homéopathiques retirés
[10 octobre 2007 - 11:21]
En accord avec l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS), les laboratoires Boiron annoncent le retrait de plusieurs lots de deux médicaments homéopathiques : Gingko biloba et Equisetum arvense. Une inversion d’étiquetage est en cause.
« Les flacons étiquetés ‘teinture-mère de Gingko biloba’ contiennent de la ‘teinture-mère d’Equisetum arvense’ » et vice versa », indique l’AFSSaPS. « Au plan de la toxicité, cette inversion ne semble pas entraîner de risque particulier pour les patients ».
Les lots concernés par ce retrait sont les suivants : Gingko biloba, lot S7051865 (3548 unités) et lot S7041309 (126 unités) et Equisetum arvense, lot S7051862 (883 unités), lot S7072624 (175 unités) et lot S7062040 (167 unités). « Les pharmaciens devront diffuser cette information aux patients connus pour avoir fait la demande de l’un ou l’autre de ces deux produits entre mai et octobre 2007 » conclut l’AFSSaPS.
[10 octobre 2007 - 11:21]
En accord avec l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS), les laboratoires Boiron annoncent le retrait de plusieurs lots de deux médicaments homéopathiques : Gingko biloba et Equisetum arvense. Une inversion d’étiquetage est en cause.
« Les flacons étiquetés ‘teinture-mère de Gingko biloba’ contiennent de la ‘teinture-mère d’Equisetum arvense’ » et vice versa », indique l’AFSSaPS. « Au plan de la toxicité, cette inversion ne semble pas entraîner de risque particulier pour les patients ».
Les lots concernés par ce retrait sont les suivants : Gingko biloba, lot S7051865 (3548 unités) et lot S7041309 (126 unités) et Equisetum arvense, lot S7051862 (883 unités), lot S7072624 (175 unités) et lot S7062040 (167 unités). « Les pharmaciens devront diffuser cette information aux patients connus pour avoir fait la demande de l’un ou l’autre de ces deux produits entre mai et octobre 2007 » conclut l’AFSSaPS.
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Un mauvais mariage peut nuire à la santé
AP - Mardi 9 octobre, 19h26
CHICAGO - Un mauvais mariage peut vous rendre malade, au sens propre. Car avoir de mauvaises relations, qu'elles soient conjugales ou amicales, est un facteur de stress qui contribue au risque cardio-vasculaire, selon une étude britannique.
Menée auprès de 9.011 fonctionnaires britanniques suivis pendant 12 ans, pour la plupart mariés, l'étude souligne que ceux ayant la plus mauvaise relation conjugale ont un risque majoré de 34% de faire un infarctus ou tout autre problème cardiaque, par rapport à ceux qui jouissent de bonnes relations. Ces résultats son valables tant pour les conjoints que pour les parents proches et les amis.
L'étude publiée lundi dans" Les Archives de médecine interne" fait suite aux précédentes qui soulignaient déjà le lien entre les problèmes de santé et la solitude ou le peu de relations fortes.
Ici, les chercheurs se sont penchés sur la qualité du mariage et d'autres relations importantes. "Ce que nous ajoutons ici, c'est que d'accord, être marié est en général une bonne chose, mais faites attention à la personne que vous avez épousée, la qualité de la relation a de l'importance", a déclaré le principal auteur de l'étude, Roberto De Vogli, chercheur au Collège universitaire de Londres.
Son équipe de recherche, a-t-il expliqué, réalise des tests chez des individus entretenant de mauvaises relations, à la recherche de la moindre preuve biologique d'un stress qui pourrait faire le lit de maladies cardio-vasculaires. Ceci inclut l'inflammation et des niveaux élevés d'hormones de stress.
Une autre étude récente qui s'est penchée sur la qualité des relations a donné des résultats différents. Il n'existe, selon elle, aucune association entre le malheur conjugal en général et les risques cardio-vasculaires ou une mort prématurée.
Toutefois, l'étude a montré que sur une période de dix ans, les femmes qui subissaient en silence les disputes conjugales avaient plus de risques de mourir que celles qui s'exprimaient. Chez les hommes, le simple fait d'être marié semble réduire le risque de mourir. L'étude qui porte sur près de 4.000 hommes et femmes a été publiée en juillet sur le site en ligne du journal "Psychosomatic Medicine". Dans l'étude du professeur De Vogli, le risque pour la santé est le même pour les hommes et les femmes entretenant de mauvaises relations.
Pour ces recherches, les volontaires ont rempli des questionnaires destinés notamment à évaluer leur relation avec la personne dont ils sentaient le plus proche en fonction de divers critères. On leur a notamment demandé dans quelle mesure cette personne étaient pour eux "source d'inquiétude, de problèmes ou de stress", et s'ils estimaient pouvoir se confier à elle.
Au cours des 12 années de suivi, 589 participants ont souffert de problèmes cardio-vasculaires. Ceux qui présentaient les scores les plus négatifs sur le questionnaire avaient le risque le plus élevé, même en tenant compte d'autres facteurs liés aux maladies cardio-vasculaires comme l'obésité, la pression artérielle et le tabagisme.
Pour James Coyne, professeur de psychologie, Université de Pennsylvanie qui a aussi examiné l'impact des relations sociales sur la santé, l'étude de M. De Vogli ne démontre pas que de mauvaises relations peuvent être la cause de maladies cardio-vasculaires. AP
AP - Mardi 9 octobre, 19h26
CHICAGO - Un mauvais mariage peut vous rendre malade, au sens propre. Car avoir de mauvaises relations, qu'elles soient conjugales ou amicales, est un facteur de stress qui contribue au risque cardio-vasculaire, selon une étude britannique.
Menée auprès de 9.011 fonctionnaires britanniques suivis pendant 12 ans, pour la plupart mariés, l'étude souligne que ceux ayant la plus mauvaise relation conjugale ont un risque majoré de 34% de faire un infarctus ou tout autre problème cardiaque, par rapport à ceux qui jouissent de bonnes relations. Ces résultats son valables tant pour les conjoints que pour les parents proches et les amis.
L'étude publiée lundi dans" Les Archives de médecine interne" fait suite aux précédentes qui soulignaient déjà le lien entre les problèmes de santé et la solitude ou le peu de relations fortes.
Ici, les chercheurs se sont penchés sur la qualité du mariage et d'autres relations importantes. "Ce que nous ajoutons ici, c'est que d'accord, être marié est en général une bonne chose, mais faites attention à la personne que vous avez épousée, la qualité de la relation a de l'importance", a déclaré le principal auteur de l'étude, Roberto De Vogli, chercheur au Collège universitaire de Londres.
Son équipe de recherche, a-t-il expliqué, réalise des tests chez des individus entretenant de mauvaises relations, à la recherche de la moindre preuve biologique d'un stress qui pourrait faire le lit de maladies cardio-vasculaires. Ceci inclut l'inflammation et des niveaux élevés d'hormones de stress.
Une autre étude récente qui s'est penchée sur la qualité des relations a donné des résultats différents. Il n'existe, selon elle, aucune association entre le malheur conjugal en général et les risques cardio-vasculaires ou une mort prématurée.
Toutefois, l'étude a montré que sur une période de dix ans, les femmes qui subissaient en silence les disputes conjugales avaient plus de risques de mourir que celles qui s'exprimaient. Chez les hommes, le simple fait d'être marié semble réduire le risque de mourir. L'étude qui porte sur près de 4.000 hommes et femmes a été publiée en juillet sur le site en ligne du journal "Psychosomatic Medicine". Dans l'étude du professeur De Vogli, le risque pour la santé est le même pour les hommes et les femmes entretenant de mauvaises relations.
Pour ces recherches, les volontaires ont rempli des questionnaires destinés notamment à évaluer leur relation avec la personne dont ils sentaient le plus proche en fonction de divers critères. On leur a notamment demandé dans quelle mesure cette personne étaient pour eux "source d'inquiétude, de problèmes ou de stress", et s'ils estimaient pouvoir se confier à elle.
Au cours des 12 années de suivi, 589 participants ont souffert de problèmes cardio-vasculaires. Ceux qui présentaient les scores les plus négatifs sur le questionnaire avaient le risque le plus élevé, même en tenant compte d'autres facteurs liés aux maladies cardio-vasculaires comme l'obésité, la pression artérielle et le tabagisme.
Pour James Coyne, professeur de psychologie, Université de Pennsylvanie qui a aussi examiné l'impact des relations sociales sur la santé, l'étude de M. De Vogli ne démontre pas que de mauvaises relations peuvent être la cause de maladies cardio-vasculaires. AP
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Sénat: un rapport pour limiter le nombre de médecins en zone "surdotée"
AFP - Mercredi 10 octobre, 08h51
PARIS (AFP) - Un rapport sénatorial rendu public mercredi propose de limiter l'installation de médecins dans les zones où ils sont suffisamment nombreux et de développer la "télémédecine" pour améliorer "l'accès aux soins" dans les zones manquant de praticiens.
"Le nombre de médecins en exercice n'a jamais été aussi élevé et pourtant, les disparités entre régions deviennent trop importantes pour assurer un accès à des soins de qualité sur l'ensemble du territoire", écrit Jean-Marc Juilhard dont le rapport a été approuvé par la Commission des affaires sociales du Sénat.
Pour "réduire la fracture territoriale en matière d'offre de soins", le rapport propose de "développer la +télémédecine+", de sensibiliser les étudiants et les jeunes médecins, notamment en améliorant l'information sur les aides à l'installation en "zone sous-médicalisée", et de "réguler les installations dans les zones médicalement surdotées".
Cette "régulation" doit passer par des négociations entre les caisses de Sécurité sociale et les syndicats de médecins pouvant aboutir à des "mesures d'ordre financier" telle la "réduction du tarif de consultation des professionnels de santé s'installant dans une zone surmédicalisée", comme cela se fait déjà au Canada.
Ces négociations pourraient également permettre de "recourir à un conventionnement sélectif dans les zones surmédicalisées", qui devront être précisément répertoriées, selon le rapport.
Plusieurs autres rapports ont récemment également jugé nécessaire de limiter le nombre de médecins libéraux dans les zones sur-médicalisées, pour les amener à s'installer là où la France manque de praticiens, notamment les banlieues pauvres ou certaines régions rurales.
Dans son projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2008, le gouvernement a invité médecins et caisses de Sécurité sociale à "définir les outils pour réguler l'installation de nouveaux professionnels de santé".
Un article (numéro 32) prévoit d'adapter "en fonction des besoins de santé sur le territoire" les règles de conventionnement qui relient les praticiens à l'assurance maladie et permettent aux patients de bénéficier des tarifs remboursables.
Ces projets ont suscité la colère des internes en médecine qui appellent à une nouvelle journée d'action jeudi.
AFP - Mercredi 10 octobre, 08h51
PARIS (AFP) - Un rapport sénatorial rendu public mercredi propose de limiter l'installation de médecins dans les zones où ils sont suffisamment nombreux et de développer la "télémédecine" pour améliorer "l'accès aux soins" dans les zones manquant de praticiens.
"Le nombre de médecins en exercice n'a jamais été aussi élevé et pourtant, les disparités entre régions deviennent trop importantes pour assurer un accès à des soins de qualité sur l'ensemble du territoire", écrit Jean-Marc Juilhard dont le rapport a été approuvé par la Commission des affaires sociales du Sénat.
Pour "réduire la fracture territoriale en matière d'offre de soins", le rapport propose de "développer la +télémédecine+", de sensibiliser les étudiants et les jeunes médecins, notamment en améliorant l'information sur les aides à l'installation en "zone sous-médicalisée", et de "réguler les installations dans les zones médicalement surdotées".
Cette "régulation" doit passer par des négociations entre les caisses de Sécurité sociale et les syndicats de médecins pouvant aboutir à des "mesures d'ordre financier" telle la "réduction du tarif de consultation des professionnels de santé s'installant dans une zone surmédicalisée", comme cela se fait déjà au Canada.
Ces négociations pourraient également permettre de "recourir à un conventionnement sélectif dans les zones surmédicalisées", qui devront être précisément répertoriées, selon le rapport.
Plusieurs autres rapports ont récemment également jugé nécessaire de limiter le nombre de médecins libéraux dans les zones sur-médicalisées, pour les amener à s'installer là où la France manque de praticiens, notamment les banlieues pauvres ou certaines régions rurales.
Dans son projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2008, le gouvernement a invité médecins et caisses de Sécurité sociale à "définir les outils pour réguler l'installation de nouveaux professionnels de santé".
Un article (numéro 32) prévoit d'adapter "en fonction des besoins de santé sur le territoire" les règles de conventionnement qui relient les praticiens à l'assurance maladie et permettent aux patients de bénéficier des tarifs remboursables.
Ces projets ont suscité la colère des internes en médecine qui appellent à une nouvelle journée d'action jeudi.
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Grippe aviaire: bilan mitigé pour les recherches
AP - il y a 42 minutes
BERNE - Un an après le lancement de projets de recherche sur la grippe aviaire, le bilan est mitigé. Il n'a pas encore pu être établi avec certitude comment le virus H5N1, dangereux pour l'homme, a pu venir d'Asie en Europe. Le risque d'une irruption de la grippe aviaire est toujours là, qu'elle soit transportée par les oiseaux migrateurs ou par un autre vecteur.
"Comme par le passé, on ne sait pas encore clairement comment la grippe aviaire est arrivée en Europe", a expliqué à l'Associated Press Cathy Maret, porte-parole de l'Office vétérinaire fédéral suisse (OVF). En particulier, l'étude menée en Suisse par la station ornithologique de Sempach n'a pas permis de conclure que le virus est passé par la Russie, a-t-elle souligné.
Les spécialistes de Sempach ont bagué quelque 8.000 canards sauvages. Plusieurs de ces volatiles sont venus de Russie où la grippe aviaire a déjà frappé des élevages de volailles. Cette étude est réalisée avec le soutien de l'OVF, mais indépendamment des recherches internationales menées dans la région du Lac de Constance, le projet "Constanze".
En février et mars 2006, la grippe aviaire a fait une irruption soudaine dans ce secteur, à la frontière entre la Suisse, l'Allemagne et l'Autriche. Au total, 86 dépouilles d'oiseaux migrateurs contaminés par le virus H5N1 ont été découvertes. Par contre, aucun cas n'a été dépisté durant l'hiver et le début de l'année 2007. Cela montre que le virus n'est pas si fréquent parmi les oiseaux sauvages, a relevé Cathy Maret.
Malgré cela, des cas de grippe aviaire ont été dépistés cette année en France et en Allemagne. Cela signifie que le risque d'une arrivée de l'agent pathogène est toujours là. La vigilance des scientifiques ne s'est pas relâchée et ils maintiennent des contacts étroits afin de coordonner les recherches lorsqu'un cas positif est découvert.
Contrairement à l'hiver 2006, celui de 2007 a été tempéré. Il n'est donc pas exclu qu'un hiver doux entrave la diffusion de la grippe aviaire ou même l'empêche totalement. Les cas relevés en France et en Allemagne tendent à prouver que le virus se répand aussi lorsque les températures sont douces, a ajouté Mme Maret. Par contre, le virus peut survivre beaucoup plus longtemps dans l'environnement par basses températures.
Le projet trinational "Constanze", qui s'étend jusqu'en 2009, examine également si d'autres vecteurs que les oiseaux migrateurs ont servi à la diffusion du virus. Un sondage est en cours auprès des éleveurs de volailles afin qu'ils indiquent d'où proviennent leurs animaux et s'ils ont eu des contacts avec les oiseaux sauvages. Dans ce cadre, un modèle informatique va être élaboré afin de simuler la diffusion de la grippe aviaire. Là également, les travaux sont en cours, a précisé Cathy Maret.
En cas de nouvelle irruption du virus H5N1, la région du Lac de Constance sera mieux préparée qu'en 2006: elle fait l'objet d'une surveillance intensive. L'année dernière, tout le monde en a parlé et cela a permis de récolter beaucoup de dépouilles d'oiseaux contaminés. Selon l'OVF suisse, ce sera vraisemblablement à nouveau le cas si une nouvelle irruption du virus attire l'attention de l'opinion publique
AP - il y a 42 minutes
BERNE - Un an après le lancement de projets de recherche sur la grippe aviaire, le bilan est mitigé. Il n'a pas encore pu être établi avec certitude comment le virus H5N1, dangereux pour l'homme, a pu venir d'Asie en Europe. Le risque d'une irruption de la grippe aviaire est toujours là, qu'elle soit transportée par les oiseaux migrateurs ou par un autre vecteur.
"Comme par le passé, on ne sait pas encore clairement comment la grippe aviaire est arrivée en Europe", a expliqué à l'Associated Press Cathy Maret, porte-parole de l'Office vétérinaire fédéral suisse (OVF). En particulier, l'étude menée en Suisse par la station ornithologique de Sempach n'a pas permis de conclure que le virus est passé par la Russie, a-t-elle souligné.
Les spécialistes de Sempach ont bagué quelque 8.000 canards sauvages. Plusieurs de ces volatiles sont venus de Russie où la grippe aviaire a déjà frappé des élevages de volailles. Cette étude est réalisée avec le soutien de l'OVF, mais indépendamment des recherches internationales menées dans la région du Lac de Constance, le projet "Constanze".
En février et mars 2006, la grippe aviaire a fait une irruption soudaine dans ce secteur, à la frontière entre la Suisse, l'Allemagne et l'Autriche. Au total, 86 dépouilles d'oiseaux migrateurs contaminés par le virus H5N1 ont été découvertes. Par contre, aucun cas n'a été dépisté durant l'hiver et le début de l'année 2007. Cela montre que le virus n'est pas si fréquent parmi les oiseaux sauvages, a relevé Cathy Maret.
Malgré cela, des cas de grippe aviaire ont été dépistés cette année en France et en Allemagne. Cela signifie que le risque d'une arrivée de l'agent pathogène est toujours là. La vigilance des scientifiques ne s'est pas relâchée et ils maintiennent des contacts étroits afin de coordonner les recherches lorsqu'un cas positif est découvert.
Contrairement à l'hiver 2006, celui de 2007 a été tempéré. Il n'est donc pas exclu qu'un hiver doux entrave la diffusion de la grippe aviaire ou même l'empêche totalement. Les cas relevés en France et en Allemagne tendent à prouver que le virus se répand aussi lorsque les températures sont douces, a ajouté Mme Maret. Par contre, le virus peut survivre beaucoup plus longtemps dans l'environnement par basses températures.
Le projet trinational "Constanze", qui s'étend jusqu'en 2009, examine également si d'autres vecteurs que les oiseaux migrateurs ont servi à la diffusion du virus. Un sondage est en cours auprès des éleveurs de volailles afin qu'ils indiquent d'où proviennent leurs animaux et s'ils ont eu des contacts avec les oiseaux sauvages. Dans ce cadre, un modèle informatique va être élaboré afin de simuler la diffusion de la grippe aviaire. Là également, les travaux sont en cours, a précisé Cathy Maret.
En cas de nouvelle irruption du virus H5N1, la région du Lac de Constance sera mieux préparée qu'en 2006: elle fait l'objet d'une surveillance intensive. L'année dernière, tout le monde en a parlé et cela a permis de récolter beaucoup de dépouilles d'oiseaux contaminés. Selon l'OVF suisse, ce sera vraisemblablement à nouveau le cas si une nouvelle irruption du virus attire l'attention de l'opinion publique
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Le mobile augmenterait le risque de tumeur
Décennie de portable, l'heure du bilan
Paris, 04/10/07
Le téléphone portable est-il dangereux pour la santé ? Une récente étude vient de publier ses résultats : les chercheurs concluent qu’après 10 ans d’utilisation, le risque de développer une tumeur au cerveau est double. Le Docteur Lennart Hardell de l’hôpital universitaire d’Orebro en Suède précise que les risques majeurs se situent sur le côté du crâne, à l’endroit où le téléphone repose sur l’oreille.
Ces tumeurs au cerveau pourraient venir d’une exposition prolongée aux radiations électromagnétiques et sont d’autant plus difficiles à soigner qu’elles touchent le système nerveux. En effet, les amas de cellules grandissent à partir du nerf qui relie l’oreille au cerveau.
Jusqu’à présent, les scientifiques n’avaient pas assez de recul pour pouvoir faire des études à long terme. Aujourd’hui, cela devient possible puisque selon les scientifiques « 10 ans est une période minimum raisonnable » pour estimer les risques.
Le Docteur Hardell et son équipe ont synthétisé les résultats de 11 études évaluant sur du long terme les risques de développer une tumeur cérébrale. Seulement une étude sur les 11 a montré que l’utilisation des téléphones mobiles n’augmente pas le risque de tumeur.
De manière générale, une tumeur cérébrale a plus de risques de se développer dans les zones du cerveau les plus exposées à une radiation chronique pendant une décennie. Les chercheurs responsables de l’étude concluent qu’il faut continuer d’étudier le risque de croissance tumorale alors que d’autres types de tumeurs dont les origines sont inconnues pourraient provenir de l’utilisation des téléphones portables.
Décennie de portable, l'heure du bilan
Paris, 04/10/07
Le téléphone portable est-il dangereux pour la santé ? Une récente étude vient de publier ses résultats : les chercheurs concluent qu’après 10 ans d’utilisation, le risque de développer une tumeur au cerveau est double. Le Docteur Lennart Hardell de l’hôpital universitaire d’Orebro en Suède précise que les risques majeurs se situent sur le côté du crâne, à l’endroit où le téléphone repose sur l’oreille.
Ces tumeurs au cerveau pourraient venir d’une exposition prolongée aux radiations électromagnétiques et sont d’autant plus difficiles à soigner qu’elles touchent le système nerveux. En effet, les amas de cellules grandissent à partir du nerf qui relie l’oreille au cerveau.
Jusqu’à présent, les scientifiques n’avaient pas assez de recul pour pouvoir faire des études à long terme. Aujourd’hui, cela devient possible puisque selon les scientifiques « 10 ans est une période minimum raisonnable » pour estimer les risques.
Le Docteur Hardell et son équipe ont synthétisé les résultats de 11 études évaluant sur du long terme les risques de développer une tumeur cérébrale. Seulement une étude sur les 11 a montré que l’utilisation des téléphones mobiles n’augmente pas le risque de tumeur.
De manière générale, une tumeur cérébrale a plus de risques de se développer dans les zones du cerveau les plus exposées à une radiation chronique pendant une décennie. Les chercheurs responsables de l’étude concluent qu’il faut continuer d’étudier le risque de croissance tumorale alors que d’autres types de tumeurs dont les origines sont inconnues pourraient provenir de l’utilisation des téléphones portables.
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BPCO : la maladie du fumeur se porte… trop bien
[10 octobre 2007 - 14:26]
La broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) touche un nombre croissant de personnes à travers le monde. Bien plus en tout cas que les prévisions ne le laissaient envisager. Une nouvelle étude américaine lève le voile sur l’étendue de cette maladie, principalement causée par le tabagisme.
Dans The Lancet, le Dr Sonia Buist et ses collègues (Université Oregon Health and Sciences) soulignent que « la prévalence de la BPCO est plus élevée que prévue à travers le monde. Ce qui signifie que la maladie a été largement sous-estimée par le passé ».
Les auteurs ont étudié les cas de près de 10 000 femmes et hommes de plus de 40 ans, dans 12 pays. Le résultat est sans équivoque. En moyenne, 10,1% des participants présentaient une BPCO à un stade avancé. Soit 11,8% des hommes et 8,5% des femmes. « Des chiffres bien plus élevés que les 4,3% publiés dans une récente méta-analyse » précisent les auteurs.
Deux raisons sont avancées à cela : l’allongement de la durée de vie et le tabagisme. Un autre article également publié cette semaine dans le Lancet met en avant un facteur de risque supplémentaire : la faiblesse des fonctions respiratoires à la naissance. Cette dernière jouerait un rôle dans la propagation de la BPCO. Ce travail réalisé par des chercheurs américains de l’Université d’Arizona, propose ainsi de « mieux étudier les mécanismes qui contrôlent la maturation des poumons in utero. Cela permettrait de développer des stratégies de prévention de la BPCO à l’âge adulte ».
En France, 2,5 millions de personnes souffriraient de broncho-pneumopathie chronique obstructive, parfois même sans le savoir ! Caractérisée par une obstruction croissante des bronches, la BPCO -trop souvent confondue avec un asthme- entraîne une diminution progressive mais irréversible du débit respiratoire. En revanche c’est confirmé, l’arrêt du tabac permet bel et bien de faire reculer la mortalité. A bon entendeur…
[10 octobre 2007 - 14:26]
La broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) touche un nombre croissant de personnes à travers le monde. Bien plus en tout cas que les prévisions ne le laissaient envisager. Une nouvelle étude américaine lève le voile sur l’étendue de cette maladie, principalement causée par le tabagisme.
Dans The Lancet, le Dr Sonia Buist et ses collègues (Université Oregon Health and Sciences) soulignent que « la prévalence de la BPCO est plus élevée que prévue à travers le monde. Ce qui signifie que la maladie a été largement sous-estimée par le passé ».
Les auteurs ont étudié les cas de près de 10 000 femmes et hommes de plus de 40 ans, dans 12 pays. Le résultat est sans équivoque. En moyenne, 10,1% des participants présentaient une BPCO à un stade avancé. Soit 11,8% des hommes et 8,5% des femmes. « Des chiffres bien plus élevés que les 4,3% publiés dans une récente méta-analyse » précisent les auteurs.
Deux raisons sont avancées à cela : l’allongement de la durée de vie et le tabagisme. Un autre article également publié cette semaine dans le Lancet met en avant un facteur de risque supplémentaire : la faiblesse des fonctions respiratoires à la naissance. Cette dernière jouerait un rôle dans la propagation de la BPCO. Ce travail réalisé par des chercheurs américains de l’Université d’Arizona, propose ainsi de « mieux étudier les mécanismes qui contrôlent la maturation des poumons in utero. Cela permettrait de développer des stratégies de prévention de la BPCO à l’âge adulte ».
En France, 2,5 millions de personnes souffriraient de broncho-pneumopathie chronique obstructive, parfois même sans le savoir ! Caractérisée par une obstruction croissante des bronches, la BPCO -trop souvent confondue avec un asthme- entraîne une diminution progressive mais irréversible du débit respiratoire. En revanche c’est confirmé, l’arrêt du tabac permet bel et bien de faire reculer la mortalité. A bon entendeur…
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