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Le forum de l'admission en IFSI

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Message par aneso81 »

MSF propose une nouvelle approche contre la malnutrition

Reuters - il y a 2 heures 31 minutes
PARIS (Reuters) - Médecins Sans Frontières (MSF) lance un appel aux agences de Nations unies et aux bailleurs de fonds pour développer l'utilisation des pâtes nutritives prêtes à l'emploi face à la mortalité infantile liée à la malnutrition.

Chaque année cinq millions d'enfants malnutris meurent avant l'âge de cinq ans et l'aide alimentaire ne répond pas aux besoins des enfants les plus à risque, souligne mercredi l'organisation dans un communiqué.

"La question n'est pas seulement la quantité de nourriture que reçoivent les enfants, mais la qualité", souligne Christophe Fournier, président du Conseil international de MSF.

"S'ils n'ont pas l'apport nécessaire de vitamines et de nutriments essentiels dans leur alimentation, les jeunes enfants deviennent vulnérables face à des maladies qu'ils auraient normalement pu combattre facilement", ajoute-t-il.

MSF estime que les appels en faveur de l'augmentation de l'aide alimentaire "ignorent les besoins spécifiques des enfants en bas âge, qui sont le plus en danger de mort."

Les pâtes nutritives prêtes à l'emploi, qui se présentent sous forme de rations individuelles, contiennent tous les nutriments, vitamines et minéraux essentiels pour la croissance des jeunes enfants, souligne MSF.

Ces pâtes denses, à base de poudre de lait, de sucre et de graisses végétales, peuvent être produites localement, stockées et transportées facilement, même sous les climats chauds.

Selon MSF, le traitement des enfants les plus vulnérables coûterait 750 millions d'euros.

Les plus importants foyers de mortalité infantile liée à la malnutrition se trouvent dans la Corne de l'Afrique, au Sahel et en Asie du Sud.

Selon une estimation de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) citée par MSF, 20 millions de jeunes enfants souffrent de malnutrition aiguë sévère dans le monde. Or seulement 3% d'entre eux auront reçu des pâtes nutritives prêtes à l'emploi en 2007.
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Message par aneso81 »

La pollution a réduit d'un an l'espérance de vie en Europe, selon l'AEE

AFP - il y a 1 heure 23 minutes
BELGRADE (AFP) - L'Europe doit prendre des mesures énergiques contre la pollution qui a réduit de près d'un an l'espérance de vie de sa population et compromis la croissance des enfants, selon un rapport de l'Agence européenne pour l'environnement (AEE), diffusé mercredi à Belgrade



"On estime que les niveaux actuels, surtout d'oxyde d'azote, de particules fines et d'ozone au sol, réduisent l'espérance de vie moyenne dans les pays d'Europe occidentale et centrale de près d'un an et compromettent la croissance des enfants", souligne le rapport, intitulé "L'environnement en Europe".

Ce document de 440 pages a été présenté à Belgrade dans le cadre d'une conférence réunissant 56 pays, organisée sous les auspices de la commission économique des Nations unies pour l'Europe (CEE-ONU).

Il établit un état de l'environnement dans 53 pays dont la population totale dépasse 870 millions de personnes, une région qui comprend l'Europe de l'Est, le Caucase et l'Asie centrale, l'Europe du Sud-Est, ainsi que l'Europe occidentale et centrale.

Dans cette région, "plus de 100 millions de personnes n'ont accès ni à de l'eau potable ni à des installations sanitaires de qualité", tandis qu'au cours des 15 dernières années "la qualité de l'approvisionnement en eau et des installations sanitaires s'est détériorée" en particulier en Europe de l'Est, Caucase, Asie centrale et Europe du Sud-Est.

Depuis 2000 "la plupart des émissions polluantes ont augmenté de 10 % en raison de la reprise économique" en Europe de l'Est, dans le Caucase et en Asie centrale, souligne le rapport.

Il attire également l'attention sur "plusieurs aspects préoccupants tels que la surpêche, l'eutrophisation et des pressions grandissantes sur les zones côtières". Même si le nombre de marées noires accidentelles a diminué dans les mers européennes, "les rejets d'hydrocarbures dans le cadre des activités de routine demeurent importants", indique-t-il.

En ce qui concerne la biodiversité, "plus de 700 espèces européennes sont menacées d'extinction (...) à cause de la destruction, de la dégradation et de la perturbation de leurs habitats".

"Nous devons renforcer la volonté d'agir sur les problématiques environnementales dans la région paneuropéenne", a souligné devant la presse Jacqueline McGlade, directrice exécutive de l'AEE.

"Pour ce faire, il importe que nous comprenions mieux les problèmes qui se posent, leur nature et leur répartition parmi les différentes sociétés et générations", a-t-elle ajouté.
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Message par aneso81 »

Contre la maladie d’Alzheimer, un traitement en forme de repas

[11 octobre 2007 - 09:45]

Le repas peut-il être considéré comme un soin en gérontologie, notamment en cas de maladie d’Alzheimer ? La réponse prend la forme d’un grand OUI. A condition toutefois que ce repas fasse partie d’un véritable projet de vie. Et surtout qu’il comporte un ingrédient essentiel : le temps !

Le Dr Jean-François Pujol, gériatre et président du réseau professionnel Althéa, parle ainsi de « repas thérapeutique ». Un concept qu’il a pris soin de détailler aux 300 participants (directeurs de maisons de retraite, cuisiniers, soignants….) d’un colloque organisé récemment à Montaigu (Vendée). Le thème en était particulièrement savoureux, puisqu’il s’agissait de Conserver la mémoire du goût.

Aux yeux de Jean-François Pujol, le repas devient un soin à condition de répondre à 3 objectifs : « il doit bien sûr garantir les besoins nutritionnels spécifiques (du patient), apporter une dimension sociologique » -autrement dit, être un moment de partage- et « contribuer à maintenir l’autonomie ».

Pour le Dr Pujol, ce repas thérapeutique doit durer au moins une heure. Pas moins ! Un avis confirmé par Yves Clerq, psychologue à l’Institut Meslay de Montaigu : « Si le repas dure effectivement une heure, nous diminuons le risque de dénutrition dans des proportions considérables ». Mais d’autres détails ont leur importance : « laisser les gens choisir leur place à table, ne pas présenter à un sujet malvoyant des aliments de couleur pâle dans une assiette blanche ». Sans oublier bien sûr des mesures simples, comme le fait d’adapter l’alimentation aux capacités de mastication et de déglutition de chacun.

Comme le rappelle Jean-François Pujol, « les malades d’Alzheimer présentent un grand risque de dénutrition, laquelle est une source d’aggravation de la maladie. Une vigilance accrue par des soignants formés permet une prévention adaptée ». Rappelons que 800 000 personnes souffrent de la maladie d’Alzheimer actuellement en France. Et que seulement 40% d’entre elles vivent en institution.
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Message par aneso81 »

Contre la maladie d’Alzheimer, un traitement en forme de repas

[11 octobre 2007 - 09:45]

Le repas peut-il être considéré comme un soin en gérontologie, notamment en cas de maladie d’Alzheimer ? La réponse prend la forme d’un grand OUI. A condition toutefois que ce repas fasse partie d’un véritable projet de vie. Et surtout qu’il comporte un ingrédient essentiel : le temps !

Le Dr Jean-François Pujol, gériatre et président du réseau professionnel Althéa, parle ainsi de « repas thérapeutique ». Un concept qu’il a pris soin de détailler aux 300 participants (directeurs de maisons de retraite, cuisiniers, soignants….) d’un colloque organisé récemment à Montaigu (Vendée). Le thème en était particulièrement savoureux, puisqu’il s’agissait de Conserver la mémoire du goût.

Aux yeux de Jean-François Pujol, le repas devient un soin à condition de répondre à 3 objectifs : « il doit bien sûr garantir les besoins nutritionnels spécifiques (du patient), apporter une dimension sociologique » -autrement dit, être un moment de partage- et « contribuer à maintenir l’autonomie ».

Pour le Dr Pujol, ce repas thérapeutique doit durer au moins une heure. Pas moins ! Un avis confirmé par Yves Clerq, psychologue à l’Institut Meslay de Montaigu : « Si le repas dure effectivement une heure, nous diminuons le risque de dénutrition dans des proportions considérables ». Mais d’autres détails ont leur importance : « laisser les gens choisir leur place à table, ne pas présenter à un sujet malvoyant des aliments de couleur pâle dans une assiette blanche ». Sans oublier bien sûr des mesures simples, comme le fait d’adapter l’alimentation aux capacités de mastication et de déglutition de chacun.

Comme le rappelle Jean-François Pujol, « les malades d’Alzheimer présentent un grand risque de dénutrition, laquelle est une source d’aggravation de la maladie. Une vigilance accrue par des soignants formés permet une prévention adaptée ». Rappelons que 800 000 personnes souffrent de la maladie d’Alzheimer actuellement en France. Et que seulement 40% d’entre elles vivent en institution.
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Message par aneso81 »

Carte Vitale 2, c’est parti !

[12 octobre 2007 - 07:50]

Depuis le mois de septembre, tous les jeunes qui atteignent leur seizième anniversaire se voient adresser… les documents nécessaires à l’obtention de leur carte Vitale 2. Après une phase de démarrage d’une durée de 6 mois en Bretagne, celle-ci est désormais disponible dans toute la France.

Les assurés qui n’ont plus de carte (vol, perte, carte défectueuse) doivent pour leur part prendre contact avec leur caisse d’Assurance-maladie. Ils reçoivent en retour un imprimé à remplir… et puis c’est tout simple ! Il suffit de suivre les indications données et de joindre une photo d’identité. Au cours de l’année 2008, la carte Vitale 1 sera progressivement remplacée. Et d’ici 2011, près de 59 millions de nouvelles cartes seront diffusées.
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Message par aneso81 »

Les micronutriments ? Au secours d’une assiette déjà équilibrée

[12 octobre 2007 - 11:02]

Au menu : pizza, viennoiserie, un p’tit soda et… des compléments alimentaires pour se donner bonne conscience. Eh bien, c’est raté ! Les compléments alimentaires ne sont pas là pour compenser la consommation de « calories vides ». Vides de quoi ? Surtout de micronutriments, justement.

C’est tout le problème des hamburgers, pizzas et autres barres chocolatées. Ils ne contribuent en rien à nourrir les cellules de notre organisme. Bien au contraire. La solution ? Privilégier les viandes, poissons, y compris les poissons gras, riches en oméga 3, les fruits et légumes, et utiliser, si nécessaire, avec l’aide d’un spécialiste, des compléments de micronutrition.

Comme leur nom l’indique, le rôle de ces derniers est de « compléter » une alimentation équilibrée et diversifiée mais néanmoins susceptible d’être carencée. Car le fait de manger sainement n’éloigne pas pour autant les risques de déficits en éléments essentiels ! Et pour cause : nous sommes tous uniques, c’est notre patrimoine génétique qui en interaction avec notre alimentation va dicter le résultat : chacun d’entre nous digère, tolère, assimile, fabrique, métabolise à sa façon, évidemment différente de celle du voisin.

D’autres paramètres peuvent aussi entrer en ligne de compte, liés à des situation de vie particulière. Comme le stress, la fatigue, la pratique intensive d’une activité physique, la grossesse, l’allaitement… Et pour savoir si votre alimentation est favorable à votre santé, adaptée à vos besoins et à votre mode de vie, demandez l’avis d’un médecin compétent en micronutrition. A l’aide d’outils spécifiques, il vous permettra d’ajuster votre alimentation et si besoin il vous conseillera les compléments alimentaires adaptés.
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Message par aneso81 »

La pénurie de médecins menace la France… dès 2008

[12 octobre 2007 - 12:15]

« L’hypothèse d’une pénurie prochaine de médecins paraît d’autant plus paradoxale que la France n’a jamais compté autant de praticiens en activité qu’aujourd’hui », souligne Jean Marc Juilhard (UMP), sénateur du Puy de Dôme.

Dans son rapport sur la crise de la démographique médicale, il avance à cela trois explications :

La réduction entre 1983 et 1993 du nombre d’étudiants en médecine à cause du numerus clausus ;
Le nombre croissant de médecins partant à la retraite ;
Et la demande accrue de soins exprimée par une population vieillissante.
En fait de 2008 à 2015, le nombre des cessations d’activité sera supérieur à celui des installations (de médecins) et l’écart va s’accroître progressivement. « Pendant cette période, les modifications (liées) au numerus clausus décidées en 2004 n’auront aucune influence sur le nombre de médecins en activité. Il faudra attendre 2025 pour que le nombre d’entrées égale celui des sorties ». Si la France comptait 207 277 médecins en 2006, elle n’en aura plus que 186 000 en 2025.

Cette pénurie devrait s’accompagner d’une aggravation des inégalités d’accès aux soins entre les régions. Aujourd’hui, 2,3 millions de Français vivent dans des zones « en difficulté ou fragiles en termes de présence médicale ». Ce problème devrait s’amplifier, notamment à la campagne. Un sondage réalisé par l’Ordre national des médecins fait apparaître que 63% des étudiants en médecine et 60% des jeunes praticiens n’envisagent pas de s’installer en zone rurale.
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Message par aneso81 »

Chaque minute, 80 avortements volontaires

[12 octobre 2007 - 17:33]

Le chiffre peut paraître ahurissant, mais il est (malheureusement…) vérifiable : 9 femmes sur 10 en moyenne dans le monde ont eu, ont, ou auront recours à l’avortement dans le courant de leur vie, que cette interruption volontaire de grossesse (IVG) soit médicalement assistée ou non. Et ce n’est pas en la frappant d’illégalité que cette pratique diminuera. En fait, ce serait plutôt l’inverse. La majorité des IVG concerne en effet des pays qui ne l’ont pas légalisée.

Dans le dernier numéro du Lancet, publié ce matin et consacré à la santé de la femme, les Drs Gilda Sedgh du Guttmacher Institute (New York) et Iqbal Shah de l’OMS, livrent une importante méta-analyse sur le sujet. Leurs conclusions sont édifiantes.

Sur les 42 millions d’avortements pratiqués chaque année dans le monde… 35 millions se déroulent dans des pays en développement. En 2003, 48% de toutes les IVG ont été menées hors de toute assistance médicale, soit une croissance de 4 points depuis 1995. Or indiquent les auteurs, « si dans les pays développés 92% des IVG sont pratiquées dans de bonnes conditions (techniques), ce n’est pas du tout le cas pour 55% de celles qui sont menées dans des pays en développement ». Du coup, 97% des IVG réalisées dans les pires conditions possibles le sont dans ces pays !

Il est intéressant également, de constater à quel point avortement et contraception sont liés. Si en 2003 il y a eu 31 avortements pour 100 naissances dans le monde, le record des IVG est détenu – avec 105 IVG pour 100 naissances ! - par les anciens pays de l’Europe de l’Est. Encore ce dernier chiffre est-il en baisse de… 50% sur la période 1995-2003. Un progrès que les auteurs attribuent au fait que les femmes de ces pays aient enfin accédé depuis lors, aux moyens modernes de contraception.
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Message par aneso81 »

L'avortement, légal ou non, est pratiqué dans les mêmes proportions, selon une étude

AP - Vendredi 12 octobre, 16h03
LONDRES - Les femmes sont tout autant susceptibles d'avoir recours à l'avortement dans les pays où il est interdit que dans ceux où il est légal, d'après une étude publiée vendredi dans le "Lancet" par des instituts de recherche américains en partenariat avec l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Dans cette étude des évolutions de l'avortement entre 1995 et 2003, les experts relèvent qu'au cours de la période considérée, les taux d'avortement étaient pratiquement égaux dans les pays développés et dans ceux en développement, et que plus de la moitié des interruptions volontaires de grossesse dans le monde étaient pratiquées dans des conditions dangereuses.

"Le statut légal de l'avortement n'a jamais dissuadé les femmes et les couples, qui, pour une quelconque raison, cherchent à mettre terme à une grossesse", souligne Beth Fredrick, de l'International Women's Health Coalition aux Etats-Unis, dans un commentaire accompagnant l'article.

L'avortement est la cause de mortalité maternelle dans 13% des cas dans le monde. Près de 70.000 femmes meurent chaque année d'avortements dangereux. Près de cinq millions de femmes souffrent de blessures permanentes ou temporaires.

"Le taux élevé continu d'avortements dangereux dans les pays en développement représente une crise de santé publique et une atrocité au niveau des droits de l'Homme", écrit Beth Fredrick.

Le nombre d'avortements dans le monde a légèrement diminué, passant de 46 millions en 1995 à 42 millions en 2003, selon l'étude. Mais il n'y a pas de changement concernant le taux d'avortements dangereux. Près de la moitié sont réalisés illégallement dans des conditions potentiellement dangereuses.

"La seule façon de faire diminuer l'avortement dangereux est d'augmenter la contraception", observe Sharon Camp, présidente de l'institut Guttmacher, organe de réflexion basé à New York, qui a contribué à l'enquête.

Mme Camp note que davantage de pays permettent aux femmes d'avoir recours de façon légale à l'avortement, mais que beaucoup de femmes ne bénéficient d'un suivi médical qu'après un mauvais déroulement de la procédure.

La grande majorité des avortements -35 millions- ont lieu dans les pays en développement. Près de 97% des IVG dangereux sont pratiqués eu lieu dans les pays pauvres. Dans le monde, une grossesse sur cinq finit par un avortement et neuf femmes sur dix se feront avorter avant d'avoir 45 ans, selon le rapport, qui cite des données de 2003.

En Europe de l'Est, il y a plus d'avortements que de naissances: 105 avortements pour 100 naissances, selon l'enquête. En Europe occidentale, le différentiel est de 23 avortements pour 100 naissances.

En Amérique du Nord, on compte 33 avortements pour 100 naissances, alors qu'en Afrique, où l'avortement est illégal dans la plupart des pays, 17 avortements sont pratiqués pour 100 naissances.

Les données des experts proviennent de statistiques gouvernementales, de données hospitalières et de sondages nationaux. Là où les chiffres ne sont pas disponibles, ils sont fondés sur ceux d'avant ou sur des comparaisons faites avec des pays semblables.

Améliorer la santé des femmes signifie accroître l'accès à l'avortement autorisé, expliquent les experts. Ceux-ci critiquent les restrictions qui accompagnent souvent les dons d'argent. Par exemple, les fonds du gouvernement américain ne peuvent pas être utilisés pour des services de santé associés à l'avortement.

Dans la mesure où les avortements médicalisés dépendent d'un système d'assurance santé qui fonctionne, les experts constatent que s'attaquer à ce problème est difficile. Ils observent également que l'aide apportée aux femmes s'est peu améliorée.

Contrairement à l'aide médicale aux enfants, relativement facile à prodiguer notamment en immunisant les enfants contre des maladies, "vous ne pouvez pas donner aux femmes une pilule pour des complications obstétriques", résume Ann Starrs, vice-présidente de l'ONG américaine Family Care International.
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Message par aneso81 »

Des traces de plomb décelées dans des rouges à lèvres aux USA

Reuters - Vendredi 12 octobre, 11h54
ATLANTA (Reuters) - Un groupe américain de protection des consommateurs annonce avoir identifié des traces de plomb dans plus de la moitié des rouges à lèvres commercialisés aux Etats-Unis, y compris parmi les marques les plus prestigieuses, dont L'Oréal.


D'après The Campaign for safe cosmetics, un collectif constitué de professionnels de la santé et de militants écologistes et féministes, 61% des 33 marques de rouges à lèvres testées présentent des niveaux de plomb compris entre 0,03 et 0,65 partie par million (ppm).

Le groupe regrette que les autorités américaines de santé (la Federal drug administration) n'aient pas fixé une limite de présence de plomb pour ce type de maquillage.

Un tiers des rouges à lèvres testés contient davantage de plomb que la FDA ne l'autorise pour les bonbons, soit plus de 0,1 ppm, note le groupe.

"Il est crucial que les fabricants revoient leurs produits", estime Stacy Malkan, cofondatrice du collectif. "On peut faire des rouges à lèvres sans plomb. Tous les fabricants devraient le faire."

Ces tests, qui ont été réalisés d'un point de vue protocolaire par le Bodycote Testing Group, montrent également que les marques les plus prestigieuses, comme la gamme Dior Addict, présentent plus de plomb que des marques moins onéreuses comme Revlon.

Une association de fabricants de cosmétiques s'est défendue en expliquant que, si la FDA ne contrôle pas le niveau de plomb dans les rouges à lèvres, cette dernière a tout de même fixé des limites concernant la quantité de plomb présente dans les couleurs utilisées pour le maquillage.

De son côté, la branche américaine de L'Oréal a affirmé, dans un communiqué, être en parfaite conformité avec les exigences de la FDA, mais également avec les critères de sécurité sanitaire en vigueur sur de nombreux autres marchés.

Une exposition au plomb peut causer des troubles d'apprentissage et du comportement, mais également provoquer des fausses couches. Les enfants en bas âge et les femmes enceintes sont des sujets particulièrement exposés.
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Rendez-vous avec une mort douce, l'euthanasie a besoin d'un cadre légal

AFP - Vendredi 12 octobre, 23h20
STRASBOURG (AFP) - Rendez-vous avec une mort douce, l'euthanasie a besoin d'un cadre légal, comme en Belgique, en Suisse ou aux Pays-Bas.



En Belgique, comme en Suisse ou aux Pays-Bas, on fixe une date, on invite les parents et amis et peut-être aussi une infirmière ou un médecin proches, pour un rendez-vous programmé avec une mort douce, dans un strict cadre légal.

Délivré de l'angoisse de mourir seul, comme dans 20% des décès à l'hôpital, le malade se prépare, les proches aussi, et l'instant de la mort choisie est serein, affirment les associations militant pour l'euthanasie, en marge d'une réunion vendredi et samedi des associations européennes à Strasbourg.

"C'est une expérience vécue comme fabuleuse", explique Jacqueline Herremans, présidente de la fédération mondiale de l'association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD) et présidente de l'association belge.

Afin de ne pas endeuiller les instants heureux de l'avenir, les dates choisies pour l'événement évitent l'anniversaire d'un proche, les fêtes ou les examens, par exemple. On laisse aussi le temps à un enfant de revenir de l'étranger.

Souffrances physiques que rien ne peut plus apaiser (5 à 10% des souffrances sont dans ce cas), maladies dégénératives graves, incurables et irréversibles sont les motifs les plus fréquents du recours à l'euthanasie en Belgique depuis sa légalisation en 2002.

Il s'agit le plus souvent de cancers après traitements palliatifs de longue durée (83% des cas) avec douleurs, épuisement, plaies, obstructions digestives, hémorragies répétées. Mais aussi de souffrances psychiques comme la dépendance, la perte de dignité, le désespoir.

En Belgique, 30 à 40 euthanasies sont déclarées mensuellement, soit O,5% des décès. Mais pour dix demandes (en général après un diagnostic fatal), deux seulement sont effectuées. 40% des suicides assistés ont lieu au domicile du patient.

L'encadrement légal de l'euthanasie, tel qu'il se pratique en Belgique par exemple, est une nécessité absolue, car les médecins, les infirmières ou l'entourage des patients agissent "de toute façon" pour mettre un terme à leurs souffrances, que ce soit au Portugal, en France ou en Allemagne, selon la présidente de la fédération mondiale (37 pays représentés).

"Il ne faut pas se voiler la face, 40% des décisions médicales ont un impact sur la vie des patients", insiste cette juriste.

Résultat: les décisions ne sont pas toujours adaptées aux patients, car souvent prises en cachette, "par peur des dénonciations". "Tous les procès pour euthanasie en France ont eu lieu sur dénonciation", a rappelé Me Herremans.

En outre, selon Jean-Luc Romero, président d'ADMD-France, la légalisation de l'euthanasie permettrait d'éviter la mort horrible des seniors, dont 40% de ceux qui se suicident décident de recourir à la pendaison.

La loi autorisant le suicide assisté a permis en Suisse de donner "sécurité et tranquillité" au patient, mais aussi à sa famille et au médecin, selon la présidente suisse d'ADMD, Elke Baezner.
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Douleur chronique: près de 12 millions de Français concernés, selon une enquête

AP - il y a 2 heures 13 minutes
PARIS - En France, près de 12 millions de personnes souffriraient de douleurs chroniques, selon une enquête rendue publique à l'occasion de deuxième journée de prévention de la douleur, organisée lundi à l'initiative de la Société française d'étude et de traitement de la douleur (SFEDT), qui réclame une meilleure prise en charge des patients dans ce domaine.


Selon cette enquête menée auprès de 24.497 Français, 31,7% des personnes interrogées se plaignent de douleurs chroniques. Et 19,9% d'entre elles, ce qui représenterait 12 millions de personnes si on projette ces résultats sur l'ensemble de la population nationale, les évaluent d'intensité modérée à sévère, explique à l'Associated Press le Dr Alain Serrie, président de la SFEDT.

"L'espérance de vie augmente", rappelle-t-il. Et avec elle, "les risques d'avoir une pathologie douloureuse". "Nous souhaitons la mise à disposition de moyens permettant de prendre en charge ces patients", souligne-t-il. "Les compétences existent, les structures de la douleur existent, mais pas suffisamment".

Le Dr Serrie, qui dénonce des "délais d'attente en moyenne supérieurs à trois mois" pour les patients souffrant de douleurs chroniques rebelles, estime que "ce dysfonctionnement ne pourra aller qu'en s'accentuant, du fait du vieillissement de la population française".

Car toutes les douleurs ne peuvent pas être soulagées par un simple traitement. Les douleurs chroniques rebelles, par exemple, nécessitent une prise en charge globale, multidisciplinaire. Dans ce cas, "il faut faire un contrat avec le patient, un contrat individualisé, et se fixer des objectifs crédibles", défend ce spécialiste. "Le patient doit pouvoir vivre", dit-il. "Atteint dans son corps, il peut souffrir toute la vie" au risque de "perturber son entourage, de lasser sa famille qui devient une victime".

Avant toute chose, la prévention est fondamentale: "nous devons faire en sorte de prendre en charge les douleurs aiguës répétitives. Ce sont elles qui font en partie le lit de la 'chronicisation' des douleurs", a insisté Alain Serrie.

Dans le domaine des cancers, le dépistage précoce associé à des traitements de plus en plus efficaces a permis d'allonger l'espérance de vie des malades. Mais pas sans conséquences. Ainsi en est-il des douleurs qui subsistent après un cancer du sein. "Aujourd'hui, les traitements sont de plus en plus pourvoyeurs de douleurs, qu'il s'agisse de la chirurgie ou de la chimiothérapie", fait valoir le Dr Claire Delorme, coordinatrice du réseau régional douleur Basse-Normandie.

"Le cancer du sein, ce sont 42.000 nouveaux cas chaque année et 50.000 mammectomies (ablation du sein) par an", précise Claire Delorme. "La douleur ne doit pas être le prix à payer pour une rémission ou une guérison". Et d'évoquer le "syndrome du sein fantôme" ou encore "le syndrome douloureux après l'ablation d'un sein et le retrait des ganglions", qui se manifeste notamment par des douleurs neurologiques "sous l'aisselle et à la hauteur de la face antérieure du thorax". Des douleurs, selon elle, "très invalidantes".

"Les patientes vivent de plus en plus longtemps, les progrès thérapeutiques sont fabuleux, mais il faut apporter du confort à ces patientes".
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Santé. Les internes sont en grève. Ils ne veulent pas que le gouvernement touche à leur liberté d'installation. Va-t-on manquer de médecins à la campagne ?

L'ordonnance qui fâche


Pourra-t-on obliger demain un jeune médecin à s'installer au fin fond de la Creuse ? Même si hier soir à Angers, la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, réaffirmait «la liberté d'installation des médecins,» la question enflamme les internes en médecine depuis que Nicolas Sarkozy a décidé de réduire la fracture démographique en levant le tabou de la liberté d'installation.

Hier, à Toulouse, ils ont bloqué la circulation pendant une heure, n'hésitant pas à adopter le célèbre Haka des All Blacks pour se faire entendre. Les blouses blanches ont même annoncé la radicalisation de leur mouvement en annonçant la grève totale dans dix grandes villes de France à partir de lundi prochain. Pourtant les faits sont là. Les médecins vieillissent et devraient partir massivement à la retraite dans les prochaines années. Une véritable hémorragie. D'après le rapport Berland sur la démographie médicale, 30 000 médecins devraient manquer à l'appel en 2 015.Le paradoxe, c'est que l'on ne manque pas de médecins en France. Mais ils sont mal répartis sur le territoire. Pas assez nombreux au nord, dans les campagnes et les quartiers déshérités, ils se bousculent au soleil dans les villes et les quartiers chics.

Comment éviter que dans les dix prochaines années ne se forment de véritables déserts médicaux ?

Le sujet est explosif car il n'est pas du tout certain que les mesures d'incitation évoquées jusque-là suffisent à traiter le mal. Les primes d'honoraires jusqu'à 20 %, l'exonération de taxe professionnelle dans les communes de moins de 2000 habitants où les aides à l'installation en tous genres, sont pour l'instant aussi efficaces qu'un emplâtre sur une jambe de bois.

Pourtant il y a urgence. En zone rurale, un médecin sur deux pourrait partir dans les prochaines années sans laisser de successeur, et en 2010, 40 % des médecins du Grand Sud auront 60 ans. Il n'est pas sûr qu'ils soient nombreux à vouloir jouer les prolongations, comme Xavier Bertrand, alors ministre de la Santé, les a déjà invités à le faire. Reste la contrainte pour éviter demain une médecine à deux vitesses et une rupture dans l'égalité des soins. Mais il y a un risque. Celui de voir de jeunes médecins préférer se déconventionner plutôt que de renoncer à leur liberté d'installation. Et là, ce seront les patients qui, une fois encore, paieront l'addition.
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Message par aneso81 »

Des rouges à lèvres au plomb ?

[15 octobre 2007 - 17:39]

Une association américaine de consommateurs -The Campaign for Safe Cosmetics- a fait tester « par un laboratoire indépendant », 33 types de rouges à lèvres commercialisés aux Etats-Unis. Surprise, des traces de plomb ont été retrouvées dans 61% des produits ainsi contrôlés.

L’étude a été réalisée en septembre 2007 à partir de produits achetés à Boston (Massachusetts), Hartford (Connecticut), San Francisco (Californie) et Minneapolis (Minnesota). En d’autres termes, dans des régions diverses et éloignées les unes des autres. D’après ses résultats, les taux de plomb détectés dans ces produits s’élèveraient jusqu’à 0,65 ppm (parties par million), pour le rouge à lèvre L’Oréal Coulour Richie True Red, cité par l’association.

The Campaign for Safe Cosmetics épingle également des marques telles que Dior, Cover Girl et Revlon. Un tiers des produits testés renfermerait plus de 0,1 ppm de plomb, ce qui correspond à la limite tolérée par la Food and Drug Administration (FDA) pour les… sucreries. En revanche, aucune teneur maximale ne semble prévue, par l’Agence, pour les rouges à lèvres.

Fait aggravant, aucune des marques incriminées ne mentionnerait sur ses conditionnements, la présence de plomb dans ses rouges à lèvres. Or le plomb, qui tend à se fixer sur les os, est bien une substance toxique. Les femmes enceintes et les enfants y sont particulièrement vulnérables. Des cas de saturnisme -ou intoxications au plomb- se produisent encore régulièrement même dans un pays comme la France. Ils sont le plus souvent liés à la vétusté des logements. D’après l’OMS, « même à des niveaux relativement faibles, l’exposition peut avoir des effets graves : anémies, malaises et lésions du système nerveux par exemple ».

Interrogée sur le sujet, la FDA « a besoin de se faire confirmer les résultats de l’étude avant éventuellement de se prononcer », nous a précisé Stephanie Kwisnek, en charge du dossier. Quant aux marques incriminées (L’Oréal, Dior), nous les avons sollicitées mais pour l’heure, c’est le silence-radio.
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Message par aneso81 »

Sus au cholestérol… dès le p’tit dej !

[16 octobre 2007 - 08:40]

Lutter contre l’excès de cholestérol tout en se faisant plaisir ? Pourquoi pas ! C’est la promesse affichée par les nouvelles tartines Céréacol de Heudebert. Elles sont enrichies en fibres solubles d’avoine, lesquelles ont nettement démontré leur capacité à faire baisser naturellement le taux de cholestérol dans le sang.

Comme nous le confirme le Pr Eric Bruckert, endocrinologue et chef de service à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière (Paris), « de nombreuses études ont montré l’effet des bêta-glucanes (les fibres solubles, n.d.l.r.) d’avoine sur le cholestérol. La plupart des fibres ont un impact positif sur le cholestérol, et celles de l’avoine semblent avoir un effet particulièrement net ».

Riches en céréales et en fibres, ces tartines s’intègrent parfaitement dans une alimentation équilibrée et diversifiée. Associées à des mesures hygiéno-diététiques, elles ont toute leur place dans un régime hypocholestérolémiant.
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