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Le forum de l'admission en IFSI

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aneso81
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Message par aneso81 »

La marche, un coup de pied aux fesses pour la santé !

[19 octobre 2007 - 11:11]

Envie de perdre du poids ? Ou simplement d’exercer une activité physique au grand air ? Et si vous deveniez « actimarcheur » ! C’est-à-dire un pratiquant de l’Acti’March’®, un programme de marche dynamique accessible à tous. Et dont les bénéfices pour la santé sont prouvés.

Il entraîne par exemple une diminution des taux de LDL-cholestérol et de triglycérides sanguins, mais aussi une perte moyenne de 4 cm du tour de taille. La preuve en a été faite au terme d’une étude menée en 2006 à Toulouse, et dont Acti’March’®, développé par la Fédération française d’Education physique et de Gymnastique volontaire (FFEPGV), est le prolongement à grande échelle.

L’approche est professionnelle, et surtout personnalisée. « Nous établissons un programme pour chacun des pratiquants » nous explique Isabelle Gaubert, conseiller technique national à la FFEPGV. « Il est réalisé en fonction de tests physiques sur 2 km de marche ou 6 minutes, mais aussi des objectifs de chaque personne ».

Après cela, place à l’action ! Les séances sont étalées sur quatre mois, à raison de 3 par semaine pendant 20 à 45 minutes. Elles se font sur terrain plat et « en fonction des capacités de chacun ». Et tous les pratiquants sont équipés d’un cardio-fréquencemètre, ce qui permet de visualiser en temps réel leurs battements cardiaques et le nombre de calories brûlées.

Comme le souligne Isabelle Gaubert, « la notion de groupe est aussi importante pour la motivation, que les conseils techniques des animateurs ». Ces derniers vous apprennent en effet à… marcher, à vous ré entraîner à l’effort et à mesurer vos progrès. Mais aussi à vous sentir bien dans votre corps et votre tête.
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Message par aneso81 »

Ces désodorisants qui coupent le souffle !

[19 octobre 2007 - 12:20]

Et si l’asthme chez l’adulte, plongeait certaines de ses racines dans l’usage des désodorisants d’intérieur ? Une nouvelle étude espagnole pointe en effet du doigt la toxicité de ces produits, semble-t-il responsables « d’une augmentation importante du risque d’asthme » plus tard dans la vie.

Pour aboutir à cette conclusion, le Dr Jan-Paul Zock et ses collègues de l’Institut de Recherche médicale de Barcelone, ont passé en revue les données de l’étude longitudinale européenne sur la santé respiratoire (ECRHS). Cette dernière incluait 3 500 personnes qui avaient, entre autres, signalé la fréquence à laquelle elles avaient recours aux sprays d’intérieur. Leur capacité respiratoire avait également été évaluée.

Il en ressort que « l’usage fréquent des désodorisants augmente le risque d’asthme à l’âge adulte », conclut Zock. Un sur-risque qui peut atteindre… 50% chez celles et ceux qui ont recours à ces produits plus d’une fois par semaine. Sont concernés, les vaporisateurs et autres diffuseurs d’odeurs couramment utilisés. Même les nettoyants pour vitres sont épinglés…

En 2004, la dangerosité des désodorisants d’intérieur avait déjà été mise au jour par l’UFC-Que Choisir. A l’époque, l’association de défense des consommateurs y signalait la présence d’allergènes, de produits cancérigènes et même de phtalate, un perturbateur endocrinien !
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Message par aneso81 »

Un « brume écran » de Clarins dans le brouillard…

[19 octobre 2007 - 17:51]

Est-elle un peu trop alléchante, la promesse affichée par le produit Clarins Expertise 3P ? Lancé en janvier dernier, cet aérosol enrayerait les effets cutanés des rayonnements électromagnétiques ! Ceux des téléphones portables par exemple. La DGCCRF et l’AFSSaPS sont à l’affût…

Il faut dire que le fabricant n’a pas lésiné sur les allégations. Exemple : pensez-vous que les ondes électromagnétiques puissent traverser les murs sans traverser votre peau ? Pour la première fois Clarins, dans la recherche des soins anti-pollution, met en évidence le lien entre accélération du vieillissement cutané et exposition aux ondes électromagnétiques artificielles ».

Cette façon de communiquer n’a pas plu à tout le monde. En Italie, le fabricant a été contraint de nuancer son propos. Et en Grande-Bretagne, l’Advertising Standard Authority (ASA) est allée plus loin. Elle a sommé Clarins de ne pas affirmer, sans « preuves scientifiques solides », que l’usage d’appareils tels qu’un ordinateur ou un téléphone portable était susceptible d’endommager la peau ou d’en accélérer le vieillissement.

Le fabricant appuie sa promotion sur une étude publiée dans le Journal of Investigative of Dermatology. Précisons qu’il s’agit en fait d’une « Lettre à la Rédaction » et non d’une publication stricto sensu. Celle-ci évoque un travail réalisé « in vivo », à partir de cultures cellulaires. Mais pour l’ASA, « ce travail in vivo n’apporte aucune preuve de l’efficacité du produit sur le vieillissement de la peau ».

Comme nous l’a confirmé Lionel de Benetti, Directeur Recherche et Développement de Clarins, « nous avons travaillé durant 7 ans sur ce produit avant de présenter le dossier. En France, nous attendons toujours une réponse de la DGCCRF à qui nous avons communiqué les documents scientifiques en mars dernier ». Contacté par Destination Santé, le service de communication de la Répression des fraudes assure « ne pas pouvoir pour des raisons juridiques, nous donner d’informations nominatives sur une société ».

Un vrai climat de suspicion entoure donc cette « brume écran » commercialisée au prix de 36,20 euros les 10 ml. En France et selon les informations communiquées par Lionel de Benetti, les ventes ne semblent pas atteindre des sommets. « Le problème, c’est que les effets ne sont pas visibles immédiatement »…
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Message par aneso81 »

Prison avec sursis requise contre deux médecins d'une clinique de Neuilly

AFP - Vendredi 19 octobre, 20h36

NANTERRE (AFP) - Des peines de 18 mois et 9 mois de prison avec sursis ont été requises vendredi contre deux médecins jugés à Nanterre pour de graves négligences dans le suivi d'une patiente, décédée en 1998 d'une hémorragie après son accouchement dans une clinique de Neuilly.


Le jugement a été mis en délibéré au 22 novembre à 13H30.

L'obstétricien Patrick Sibella, 57 ans, qui exerce encore aujourd'hui à la clinique Sainte-Isabelle de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), a été le moins épargné par le parquet.

Traité d'"imposteur dangereux" par le substitut du procureur, il est également visé par une requête d'interdiction d'exercer sa profession pendant cinq ans, avec exécution provisoire (non suspendue par un éventuel appel, ndlr), et 10.000 euros d'amende.

Le parquet a requis 9 mois de prison avec sursis, deux ans d'interdiction professionnelle avec exécution provisoire et 5.000 euros d'amende pour le médecin anesthésiste Didier Bouquiaux, 60 ans.

Poursuivis pour homicide involontaire devant le tribunal correctionnel de Nanterre, les deux hommes sont mis en cause pour avoir quitté la clinique peu après l'accouchement, en pensant que l'état de la patiente s'était stabilisé, alors que celle-ci avait déjà eu ses premiers saignements.

La victime, Sophie Porte, avait subi une "hémorragie de la délivrance", perdant 38% de son sang dans les deux heures qui avaient suivi l'accouchement, selon un expert. Elle était décédée en fin de journée, environ sept heures après la naissance de son bébé, le 7 mai 1998.

M. Sibella s'était rendu à son cabinet privé pour des consultations. Didier Bouquiaux était parti sur un terrain de golf, éteignant son téléphone portable pour ne pas être dérangé.

Pendant ce temps, la sage-femme Françoise Bicheron, aujourd'hui âgée de 81 ans, était restée aux côtés de la victime et avait tenté de joindre les deux médecins.

Le parquet a estimé qu'elle aurait pu demander l'aide d'autres médecins, présents à la clinique, ou même au Samu, et a requis 3.000 euros d'amende contre elle.

150.000 euros d'amende ont également été requis contre la clinique Sainte-Isabelle, en tant que personne morale.

Durant son réquisitoire, Pierre Delattre a répété à plusieurs reprises que les faits, "incompréhensibles", s'étaient produits "en 1998, en France, à Neuilly, dans une clinique".

"Après neuf ans" d'une instruction fleuve qui a vu se succéder quatre magistrats, "je ne comprends toujours pas comment cela a été possible", a-t-il dit.

Reprenant les conclusions des experts, il a fustigé la sous-estimation par les prévenus du risque qu'encourait la victime, vue la taille de la fillette qui devait naître, un bébé de 4,7 kg.

Pierre Delattre a rappelé que Mme Porte avait déjà fait une "hémorragie de la délivrance" lors de son premier accouchement, un antécédent que connaissait M. Sibella.

De leur côté, les avocats des prévenus et de la clinique ont plaidé la relaxe. Lors des deux journées d'audience, les prévenus n'ont cessé de se renvoyer la balle sur leurs responsabilités, s'accusant mutuellement devant l'époux et la soeur de Mme Porte, parties civiles au procès.

Mais l'avocat de Didier Bouquiaux, Me Pierre Chaigne, est allé plus loin.

"Les femmes meurent encore en couche et toutes les familles ne font pas forcément un procès", a-t-il lancé, en dénonçant la "victimologie ambiante".

Evoquant un "coup du sort", il a suggéré une indemnisation de la famille, tout en proposant que son client soit relaxé.
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Message par aneso81 »

Neuf Français sur 10 jugent prioritaire la réduction de 50% des pesticides

Vendredi 19 octobre, 20h50

PARIS (AFP) - Neuf Français sur dix (91%) jugent prioritaire de réduire de moitié en dix ans les pesticides dans l'agriculture conventionnelle, selon un sondage CSA publié vendredi, à la demande de l'Alliance pour la planète, un collectif de 80 associations de défense de l'environnement.


78% des personnes interrogées jugent également prioritaire de développer l'agriculture biologique, tandis que 14% sont de cet avis pour le développement de cultures génétiquement modifiées (OGM).

80% estiment qu'il n'est "pas prioritaire" de développer les cultures d'OGM, et 20% pensent qu'il n'est "pas prioritaire" de développer l'agriculture bio.

Interrogés sur l'énergie, les Français jugent prioritaire (96%) de réaliser des économies d'énergie et de développer les énergies renouvelables (94%). En revanche, seulement 35% jugent prioritaire de développer l'énergie nucléaire.

Les travaux préliminaires du Grenelle de l'environnement n'ont pas permis d'aboutir sur un objectif chiffré de réduction des pesticides, et la place du parc nucléaire fait encore débat. La table ronde finale doit avoir lieu mercredi et jeudi, avant l'arbitrage jeudi du président de la République.

Le sondage a été réalisé auprès d'un échantillon représentatif de 1.003 personnes de 18 ans et plus selon la méthode des quotas, interrogées par téléphone le 10 octobre.
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Message par aneso81 »

Campagne de l'Institut Curie: "1 personne sur 2" aura un cancer dans sa vie

AFP - Samedi 20 octobre, 00h16

PARIS (AFP) - L'Institut Curie (Paris) lance samedi sa nouvelle campagne sur le thème "une personne sur deux sera atteinte du cancer au cours de sa vie. Ensemble, prenons les cancers de vitesse".


Ce message sera relayé sur les bus, dans le métro, les cinémas, la télévision, l'internet et la presse magazine (Dans ce bus, une personne sur deux sera atteinte d'un cancer...; un lecteur de ce magazine sur deux...), selon l'institut.

"Par une campagne de communication forte et responsable, nous avons décidé d'afficher publiquement ce message - Une personne sur deux sera atteinte d'un cancer au cours de sa vie -. Ce chiffre, qui a de quoi effrayer, correspond à la réalité", explique le Pr Claude Huriet, président de l'Institut Curie dans un communiqué.

"La bonne nouvelle, c'est que les traitements sont de plus en plus efficaces et que les progrès de la recherche sauvent de plus en plus de vies. Aujourd'hui, plus de 50 % des malades guérissent. C'est une avancée considérable, mais ce n'est pas suffisant", ajoute-t-il.

L'Institut Curie entend ainsi "interpeller l'ensemble de la société", jugeant qu'il doit en tant que "premier centre français de recherche et d'innovation en cancérologie, d'informer le public et de rappeler l'urgence de la situation".

S'il a pour rôle de redonner de l'espoir aux personnes atteintes, l'institut en appelle également à la responsabilité de chacun : adopter des comportements de prévention, privilégier un mode de vie sain, limiter la consommation de tabac et d'alcool, suivre les conseils de dépistage, tout particulièrement pour les cancers du sein, du côlon et du col de l'utérus, soutenir la recherche...

L'institut propose sur son site (www.curie.fr/campagne2007) des informations sur le cancer (types de cancers, chiffres, prévention, dépistage).

Cette affirmation qu'une personne sur deux aura un cancer est basée sur des données concernant les décès par cancer et le nombre de nouveaux cas annuels.

D'après le rapport de la Commission d'orientation sur le cancer de janvier 2003, le cancer est responsable en France de 1 décès sur 3 chez les hommes et de 1 décès sur 4 chez les femmes.

Cette campagne de communication est créée par l'agence McCann Paris.
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Message par aneso81 »

Mortalité infantile : pour la première fois, sous le seuil des 10 millions

[23 octobre 2007 - 09:35]

Avec 9,7 millions d’enfants de moins de 5 ans décédés en 2006, la mortalité infantile passe enfin en-dessous du cap symbolique des 10 millions par an. A titre indicatif, elle était encore de 13 millions en 1990… Si des progrès évidents ont été accomplis en la matière, l’UNICEF rappelle que le chemin est encore long avant que ne soient atteints les Objectifs du Millénaire pour le Développement.

L’un d’entre eux vise en effet à une réduction des deux tiers de la mortalité infantile entre 1990 et 2015. Ce qui permettrait de sauver 5,4 millions de vies supplémentaires dans les 7 prochaines années.

« Nous savons que c’est possible » martèle la Directrice générale de l’UNICEF, Ann Veneman. C’est possible certes, mais seulement « quand les enfants ont accès à des services de santé communautaires » poursuit-elle. Or en la matière, les disparités sont encore trop importantes. Sur les 9,7 millions d’enfants qui périssent chaque année, 3,1 millions sont en Asie du Sud et… 4,8 millions en Afrique subsaharienne.

Mais pour le continent noir, l’espoir est permis. Le Malawi par exemple a réussi à diminuer de 29% la mortalité des moins de cinq ans entre 2000 et 2004. Avec une baisse de 20% en moyenne, l’Ethiopie, le Mozambique, la Namibie, le Niger, le Rwanda et la Tanzanie sont également sur la bonne voie. D’autres pays ont enregistré des progrès spectaculaires ces dernières années. C’est le cas du Maroc, du Vietnam et de la République dominicaine qui tous ont réduit leur taux de mortalité infantile de plus d’un tiers.
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Message par aneso81 »

L’amiante ? Une bombe à retardement mieux surveillée !

[23 octobre 2007 - 10:07]

Mésothéliomes, cancers du poumon et « très vraisemblablement » du larynx… Cette semaine, le BEH est exclusivement consacré aux conséquences de l’exposition à l’amiante. C’est l’occasion de mesurer les progrès réalisés par la France en matière de surveillance épidémiologique. Mais aussi d’appuyer là où ça fait mal…

Dans son éditorial, Maurice Goldberg de l’Institut de Veille sanitaire (InVS), rappelle que la première étude française démontrant les dangers de l’amiante a été publiée en… 1906. Ensuite ? « La France n’a pas été particulièrement en avance dans la gestion de ce risque professionnel majeur, puisque la première réglementation en milieu du travail date de 1977 ».

Quant à la loi relative à l’interdiction d’importer et d’utiliser cette fibre, elle n’a été promulguée qu’en 1997… Huit pays avaient déjà pris une telle mesure. Dix ans après, « il semble que le retard que nous avions dans le domaine de la surveillance épidémiologique soit comblé, même s’il reste beaucoup à faire », poursuit Goldberg.

Aujourd’hui, l’incidence du mésothéliome de la plèvre fait l’objet « d’un suivi beaucoup plus précis » que par le passé. Chaque année en France, entre 700 et 800 cas sont répertoriés. La proportion de déclarations en maladie professionnelle semble également progresser, ce qui traduirait « une meilleure sensibilisation et information » des médecins comme des patients.

Le dossier « amiante » est loin d’être refermé pour autant. Car ses effets peuvent se manifester plusieurs dizaines d’années après une exposition répétée. Mais aussi à cause du « problème préoccupant de l’exposition environnementale passive dans certains locaux de travail ». Voilà pourquoi certains spécialistes n’hésitent pas à parler de « bombe à retardement ».
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Message par aneso81 »

Entre le soleil et vous… un peu de brocoli ?

[23 octobre 2007 - 14:12]

Vous connaissiez la salade et la quiche au brocoli, figurez-vous qu’il existe désormais… la crème anti-UV au brocoli ! Des chercheurs américains expérimentent en effet un produit présenté comme « très protecteur », élaboré à partir de cette plante crucifère qui cachait décidément bien son jeu.

Contrairement aux crèmes solaires classiques qui absorbent les rayons ultraviolets (UV) pour les empêcher de pénétrer la peau, la « crème au brocoli » stimulerait la fonction protectrice de nos cellules. En clair, elle laisserait les rayons traverser notre peau pour ensuite être refoulés par des super-cellules boostées au brocoli !

Et ce n’est pas tout. Cette nouvelle crème protègerait à long terme. Une seule application serait efficace pendant trois jours. Le secret, c’est le sulforaphane dont regorge le brocoli.

Pour aboutir à cette conclusion appétissante ( ?) l’équipe du Pr Paul Talalay de la Johns Hopkins University (Maryland) a travaillé 15 ans sur le brocoli. « Nous avons découvert que le sulforaphane réduisait de 37% les effets négatifs des UV sur notre peau et donc qu’à long terme, il diminuerait le risque de mélanome ». Seul bémol : les auteurs ne précisent pas si cette nouvelle crème imprègnera notre corps de la sulfureuse odeur du chou-fleur…
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Message par aneso81 »

Antidiabétiques oraux : l’Agence européenne du Médicament rassure

[23 octobre 2007 - 17:06]

L’Agence européenne du Médicament (EMEA) vient de confirmer que le rapport bénéfice/risque des antidiabétiques oraux rosiglitazone (Avandia®) et pioglitazone (Actos®) est bien « positif ». Cette décision a été prise après vérification de l’ensemble des données disponibles sur ces deux traitements.

Avandia® et Actos® appartiennent à la classe des glitazones. Leur innocuité a été plusieurs fois mise en cause ces derniers mois. Notamment dans un article du New England Journal of Medicine du 14 juin dernier, dans lequel ils étaient accusés de doubler certains risques cardiovasculaires.

Une augmentation du risque de fracture associée à ces deux produits a aussi été mise en évidence. Concernant spécifiquement la pioglitazone (Actos®) l’AFSSaPS a d’ailleurs diffusé une lettre d’information aux prescripteurs, le 19 avril 2007. Après plusieurs mois d’enquête, le constat de l’EMEA doit donc rassurer les patients comme les médecins : « les bénéfices de la rosiglitazone et de la pioglitazone dans le traitement du diabète de type 2 l’emportent toujours sur leurs risques ».
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Message par aneso81 »

Brugia Malayi : un parasite qui dévoile enfin son génome

[24 octobre 2007 - 08:20]

Une équipe internationale est parvenue à séquencer le génome de Brugia Malayi, la filaire de Malaisie. Et c’est une acquisition majeure, car ce ver est responsable de lourds handicaps chez plus de 40 millions de personnes dans le monde. Ce décodage génétique pourrait, à terme, ouvrir la voie à de nouveaux traitements.

Notamment contre l’éléphantiasis ou filariose lymphatique, qui menace plus d’un milliard de femmes et d’hommes en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud. Transmise par les moustiques, cette maladie défigurante et terriblement invalidante se manifeste le plus souvent par une hypertrophie de la jambe ou du bras, des organes génitaux ou des seins.

« Le séquençage du génome (de Brugia Malayi) nous permet de mieux comprendre le rôle des gènes dans les différents cycles de vie du parasite » explique le Dr Elodie Ghedin, de la faculté de médecine de l’Université de Pittsburg (Ohio, Etats-Unis) le principal auteur de ce travail. « Nous allons désormais pourvoir les cibler afin de détruire le ver ». Enfin… pas si vite. L’équipe du Dr Ghedin devra tout de même au préalable, passer au crible près de 2 000 gènes pour déterminer le rôle exact de chacun d’entre eux dans le développement de Brugia Malayi.
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Message par aneso81 »

Des médicaments sans ordonnance en grande surface ?

[24 octobre 2007 - 09:51]

Les pharmaciens ne sont pas contents. Ils craignent en effet de perdre leur monopole sur la vente des médicaments, à cause notamment de la volonté déclarée par la Commission Attali, de mettre fin aux marchés réglementés. Le souhait émis par le ministre de la Santé Roselyne Bachelot-Narquin, de « libéraliser » la vente en officine de certains médicaments non soumis à prescription, ne fait qu’aggraver l’appréhension des pharmaciens.

« Nous craignons que cette affaire de vente-libre ne soit un premier pas vers la sortie du médicament des officines » nous explique d’emblée un pharmacien des Vosges. Une crainte partagée par Gilles Bonnefond, secrétaire général de l’Union des Syndicats de Pharmaciens d’Officine (USPO).

« Cette rumeur persistante nous inquiète. Nous voulons des garanties. Nous sommes ouverts à quelques modifications du système de distribution des médicaments, mais certainement pas à une remise en question de notre monopole » Or justement, c’est là que le bât blesse.

Depuis de nombreuses années déjà, la grande distribution souhaite élargir son marché en proposant des produits d’automédication. « Il n’y a rien de nouveau là dedans » précise Gilles Bonnefond. « En revanche, lorsque j’entends la ministre de la santé demander que les médicaments sans ordonnance soient en vente libre sur le devant du comptoir de la pharmacie, je suis inquiet ». Est-ce en effet pour augmenter les ventes, ou pour mieux répondre aux besoins des patients ?

« Il s’agit de promouvoir une automédication responsable » tient à préciser le Leem, chambre patronale des laboratoires pharmaceutiques en France. Mais pour Gilles Bonnefond, la méfiance est de mise. « Le dossier est très compliqué. J’attends un signal clair de l’Elysée confirmant le maintien du système français de distribution des médicaments. Je ne veux pas que sous couvert de réduire les dépenses de santé en promouvant l’automédication, nous arrivions à la situation des 2 boîtes achetées, la 3ème offerte »…
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Message par aneso81 »

Les Français, la bouffe et la santé…

[24 octobre 2007 - 12:26]

Le lien entre l’alimentation et la santé est de plus en plus présent dans le discours des Français. Au point de reléguer le « plaisir » de se nourrir en deuxième position. C’est en tout cas ce que montrent les résultats du second Baromètre de l’alimentation rendus publics par le ministère de l’Agriculture et de la Pêche.

Grandes surfaces ou petits commerces ? Pour les Français ce sont d’abord la proximité géographique et le prix puis seulement la qualité des produits qui conditionnent le choix d’un lieu d’approvisionnement. Résultat, ils sont 74% à faire leurs courses dans les supermarchés. Mais une augmentation de la fréquentation des fermes est également perceptible.

Quant aux indicateurs de qualité d’un produit, les Français citent dans l’ordre son goût, son apparence et son prix. La marque bénéficie d’une moindre considération : seuls 50% des Français en font aujourd’hui un signe de qualité, alors qu’ils étaient 56% en 2006.

Au rayon des motifs de mécontentement, notons que les consommateurs sont critiques vis-à-vis des étiquettes. Ils s’estiment moins bien informés qu’auparavant sur la composition des produits. Et si enfin ils devaient se restreindre sur le plan alimentaire, ils sacrifieraient d’abord les boissons alcoolisées (62%), puis l’épicerie sèche (37%) et enfin les produits surgelés (20%).
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Message par aneso81 »

Pas si inoffensifs, les laxatifs à base de plantes…

[24 octobre 2007 - 14:19]

Contre la constipation, les plantes médicinales traditionnelles proposent une gamme étendue de laxatifs. Mais ces substances « naturelles » ne sont pas anodines. Gare aux effets indésirables et surtout aux interactions médicamenteuses.

« Tout laxatif est en principe susceptible de perturber l’absorption de médicaments » mettent en garde les rédacteurs de la Revue Prescrire. C’est plus particulièrement le cas de ceux qui renferment des argiles, des oxydes, des hydroxydes et des sels de magnésium ou d’aluminium mais aussi des laxatifs de lest. « Ils doivent être pris à distance d’autres médicaments ».

Et avec modération ! Tout abus prolongé augmente les risques de diarrhées chroniques et d’hypokaliémie, un trouble caractérisé par une diminution anormale du taux sanguin de potassium. Quant à la consommation excessive de laxatifs dits anthracéniques – extraits d’aloès, d’anis, de fucus, de bourdaine, de boldo, de tamarin et de cascara- elle a été associée à un risque de mélanose colique. En d’autres termes, la muqueuse intestinale devient… noire ! Un lien entre certains cancers coliques et la prise prolongée d’anthracéniques a aussi été évoqué dans une étude. A confirmer toutefois.

Rappelons enfin que la constipation se combat surtout en instaurant un régime riche en fruits et en fibres. Vous en trouverez en abondance dans le son de blé, le pain complet, les haricots blancs, les pois chiche, les amandes, les noix, mais aussi dans les carottes, les pommes de terre et les choux verts. Buvez abondamment et pratiquez un exercice physique. Et surtout, avant de recourir à telle ou telle substance, parlez-en à votre médecin.
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La diabolisation du préservatif freine la lutte contre le sida

Reuters - Mardi 23 octobre, 07h48

TEGUCIGALPA (Reuters) - La diabolisation du préservatif en Amérique latine entrave la lutte contre la propagation du sida, déplore Alberto Stella, coordinateur d'Onusida pour le Honduras, le Nicaragua et le Costa Rica.


Quelque 1,7 million de Latino-Américains sont contaminés par le sida et le nombre de nouveaux cas a atteint 410.000 en 2006, contre 320.000 en 2004, selon Onusida.

"En Amérique latine, l'utilisation du préservatif a été diabolisée, mais s'ils étaient utilisés pour chaque relation, je garantis que l'épidémie serait jugulée dans la région", a estimé Stella.

L'Eglise catholique, restée très influente en Amérique latine en dépit de la montée en puissance des Eglises évangéliques, s'oppose à toute forme de contraception et prône l'abstinence pour se protéger du sida.

"Le fait que les jeunes gens deviennent sexuellement actifs entre 15 et 19 ans sans éducation sexuelle contribue à la propagation du virus, ainsi que le fait qu'il est démontré que l'abstinence ne fonctionne pas", a dit Stella à Reuters.
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