Culture Générale
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Les seringues non stérilisées tuent 1,3 million de personnes gens par an
AFP - Mardi 23 octobre, 13h29
GENEVE (AFP) - Près de la moitié des injections administrées dans les pays en développement sont faites avec des seringues non-stérilisées, qui tuent chaque année 1,3 million de personnes à la surface du globe, a dénoncé mardi l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Chaque année, six milliards d'injections sont données à l'aide de seringues ou d'aiguilles réutilisées et non-stérilisées, ce qui représente 40% du total des injections pratiquées dans les pays en développement, a calculé l'OMS dans un communiqué.
Dans certains pays, le pourcentage monte jusqu'à 70%. Selon l'OMS, ces pratiques sont à l'origine de 5% des nouveaux cas de contamination par le virus du sida et de 2 millions de cas d'hépatite C.
"L'utilisation de seringues qu'on ne peut réutiliser et qui préviennent les blessures éviteraient 1,3 million de morts chaque année dans le monde en empêchant les infections et les épidémies qui en résultent", selon l'organisation.
L'OMS a demandé depuis 1999 à ses Etats membres de recourir aux injections de façon sûre, "mais la plupart des pays ne peuvent pas s'offrir les nouvelles technologies" de stérilisation, selon le communiqué. Des seringues bas de gamme ne coûtent que 0,02 euro, contre 0,10 euro pour les modèles les plus sophistiqués et les plus sûrs.
L'OMS a réuni mardi des experts à Genève pour un colloque de trois jours destiné à convaincre les producteurs de réduire le prix des seringues tout en appelant les pays du monde à mieux chiffrer leurs besoins et leurs commandes.
L'institution onusienne espère aussi favoriser les transferts de technologie entre fabricants des pays riches et pauvres.
AFP - Mardi 23 octobre, 13h29
GENEVE (AFP) - Près de la moitié des injections administrées dans les pays en développement sont faites avec des seringues non-stérilisées, qui tuent chaque année 1,3 million de personnes à la surface du globe, a dénoncé mardi l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Chaque année, six milliards d'injections sont données à l'aide de seringues ou d'aiguilles réutilisées et non-stérilisées, ce qui représente 40% du total des injections pratiquées dans les pays en développement, a calculé l'OMS dans un communiqué.
Dans certains pays, le pourcentage monte jusqu'à 70%. Selon l'OMS, ces pratiques sont à l'origine de 5% des nouveaux cas de contamination par le virus du sida et de 2 millions de cas d'hépatite C.
"L'utilisation de seringues qu'on ne peut réutiliser et qui préviennent les blessures éviteraient 1,3 million de morts chaque année dans le monde en empêchant les infections et les épidémies qui en résultent", selon l'organisation.
L'OMS a demandé depuis 1999 à ses Etats membres de recourir aux injections de façon sûre, "mais la plupart des pays ne peuvent pas s'offrir les nouvelles technologies" de stérilisation, selon le communiqué. Des seringues bas de gamme ne coûtent que 0,02 euro, contre 0,10 euro pour les modèles les plus sophistiqués et les plus sûrs.
L'OMS a réuni mardi des experts à Genève pour un colloque de trois jours destiné à convaincre les producteurs de réduire le prix des seringues tout en appelant les pays du monde à mieux chiffrer leurs besoins et leurs commandes.
L'institution onusienne espère aussi favoriser les transferts de technologie entre fabricants des pays riches et pauvres.
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Rhume, état grippal, otite: des affections courantes
AP - Mardi 23 octobre, 12h00
PARIS - Rhume, état grippal, mal de gorge, otite: l'hiver apporte son lot d'affections courantes que les enfants sont les premiers à contracter. Le plus souvent bénignes, ces affections sont par ailleurs indispensables au développement de leur système immunitaire.
Inutile de s'affoler. Dans leur grande majorité, les maladies dont souffrent les enfants, notamment les otites et les angines, lorsqu'elles sont virales, ainsi que les rhino-pharyngites, guérissent spontanément en une à deux semaines. La fièvre, le nez qui coule, la toux, sont autant de symptômes nécessaires qui prouvent le bon fonctionnement des défenses de l'organisme.
Avant de consulter un médecin, il est conseillé d'attendre deux ou trois jours que les premiers symptômes se développent. Le temps pour le médecin de faire un diagnostic précis. Les rhino-pharyngites étant d'origine virale, les antibiotiques qui n'agissent que sur les bactéries sont dans ce cas totalement inutiles.
Pour soulager vos enfants: lavez-leur le nez, notamment pour les plus petits en cas de nez bouché. Quand ils sont plus grands, il faut leur apprendre à se moucher, de préférence avec des mouchoirs jetables. Il faut aérer la chambre et humidifier l'atmosphère si elle est trop sèche. La température de la pièce doit être comprise entre 18 et 20 degrés. Les nourrissons peuvent d'ailleurs avoir un biberon en plus la nuit.
Si l'enfant a de la fièvre, il est conseillé de la faire baisser avec des médicaments. Les enfants doivent par ailleurs être dévêtus sans être totalement déshabillés. Si la fièvre demeure élevée, il faudra donner un bain tiède dont la température doit être de deux degrés en-dessous de la température du corps pendant 10 minutes et en mouillant la tête.
Certains symptômes doivent toutefois alerter et inciter à consulter rapidement: une fièvre à 40 degrés et plus, une somnolence, une gêne respiratoire, des maux de tête violents, des vomissements, des pleurs intenses et inexpliqués même sans fièvre et toute fièvre chez un enfant de moins de trois mois.
Première cause de consultation médicale de l'enfant après la rhinopharyngite, l'otite moyenne aiguë (infection de l'oreille moyenne) est une affection qui peut avoir des complications sévères, notamment une perte auditive à la suite de la suppuration de l'oreille moyenne.
L'otite résulte de l'action combinée de divers agents infectieux, virus et bactéries. Elle survient le plus souvent à la suite d'une infection virale de la sphère pharyngée. En altérant la trompe d'Eustache, l'organe qui relie la cavité nasale à l'oreille moyenne et qui la protège, l'infection virale permet à des bactéries de la flore rhinopharyngée de remonter dans l'oreille moyenne et d'y proliférer.
Si aucune amélioration n'est constatée pour la toux ou le nez qui coule au-delà de 10 jours, la consultation est nécessaire.
AP - Mardi 23 octobre, 12h00
PARIS - Rhume, état grippal, mal de gorge, otite: l'hiver apporte son lot d'affections courantes que les enfants sont les premiers à contracter. Le plus souvent bénignes, ces affections sont par ailleurs indispensables au développement de leur système immunitaire.
Inutile de s'affoler. Dans leur grande majorité, les maladies dont souffrent les enfants, notamment les otites et les angines, lorsqu'elles sont virales, ainsi que les rhino-pharyngites, guérissent spontanément en une à deux semaines. La fièvre, le nez qui coule, la toux, sont autant de symptômes nécessaires qui prouvent le bon fonctionnement des défenses de l'organisme.
Avant de consulter un médecin, il est conseillé d'attendre deux ou trois jours que les premiers symptômes se développent. Le temps pour le médecin de faire un diagnostic précis. Les rhino-pharyngites étant d'origine virale, les antibiotiques qui n'agissent que sur les bactéries sont dans ce cas totalement inutiles.
Pour soulager vos enfants: lavez-leur le nez, notamment pour les plus petits en cas de nez bouché. Quand ils sont plus grands, il faut leur apprendre à se moucher, de préférence avec des mouchoirs jetables. Il faut aérer la chambre et humidifier l'atmosphère si elle est trop sèche. La température de la pièce doit être comprise entre 18 et 20 degrés. Les nourrissons peuvent d'ailleurs avoir un biberon en plus la nuit.
Si l'enfant a de la fièvre, il est conseillé de la faire baisser avec des médicaments. Les enfants doivent par ailleurs être dévêtus sans être totalement déshabillés. Si la fièvre demeure élevée, il faudra donner un bain tiède dont la température doit être de deux degrés en-dessous de la température du corps pendant 10 minutes et en mouillant la tête.
Certains symptômes doivent toutefois alerter et inciter à consulter rapidement: une fièvre à 40 degrés et plus, une somnolence, une gêne respiratoire, des maux de tête violents, des vomissements, des pleurs intenses et inexpliqués même sans fièvre et toute fièvre chez un enfant de moins de trois mois.
Première cause de consultation médicale de l'enfant après la rhinopharyngite, l'otite moyenne aiguë (infection de l'oreille moyenne) est une affection qui peut avoir des complications sévères, notamment une perte auditive à la suite de la suppuration de l'oreille moyenne.
L'otite résulte de l'action combinée de divers agents infectieux, virus et bactéries. Elle survient le plus souvent à la suite d'une infection virale de la sphère pharyngée. En altérant la trompe d'Eustache, l'organe qui relie la cavité nasale à l'oreille moyenne et qui la protège, l'infection virale permet à des bactéries de la flore rhinopharyngée de remonter dans l'oreille moyenne et d'y proliférer.
Si aucune amélioration n'est constatée pour la toux ou le nez qui coule au-delà de 10 jours, la consultation est nécessaire.
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Le téléphone mobile, futur assistant médical
Reuters - Mardi 23 octobre, 18h15
PARIS (Reuters) - Le téléphone mobile sert déjà à bien autre chose qu'à téléphoner. Il va prochainement contribuer au maintien des personnes âgées à domicile et au suivi médical à distance des longues maladies, assurent les opérateurs.
Conscients du rôle potentiel de relais de croissance de l'"e-santé", les trois principaux opérateurs français préparent des offres en ce sens avec des partenaires issus des sociétés technologiques et des équipementiers médicaux.
Orange, qui a lancé en octobre une nouvelle division baptisée Orange Healthcare, prépare le lancement au premier semestre 2008 d'une offre pour le maintien à domicile des personnes âgées en France. Elle consistera en un terminal mobile doté d'un bouton d'appel vers une plate-forme d'assistance.
SFR expérimente de son côté "e-care". Un boîtier porté autour du cou permet de détecter une chute ou l'inactivité pendant 30 minutes et de déclencher si c'est le cas un message d'alerte auprès d'un hôpital ou d'un proche.
Pour la maladie d'Alzheimer, Orange commercialisera avant la fin de l'année le bracelet Columba. Muni d'un téléphone mobile, d'un GPS et d'un logiciel intelligent, le système déclenche une alarme à un centre d'appel médical lorsque la personne sort d'une zone prédéterminée autour de son domicile.
"Cela permet de maintenir ou de reconquérir une autonomie pour ces personnes qui peuvent ainsi sortir de chez elles de manière sécurisée", a expliqué à Reuters Laure Bernazzani, responsable des solutions de maintien à domicile chez Orange.
SUIVI DES LONGUES MALADIES
Les opérateurs veulent également faire du téléphone un relais avec le personnel soignant dans le cas d'une longue maladie comme le diabète.
Pour vérifier son état, Le patient se pique le doigt avec un équipement doté de la technologie Bluetooth, qui permet de transmettre le résultat de son taux de glycémie vers une interface web chez le médecin. Le résultat, qui s'affiche sous la forme d'une couleur (vert/orange/rouge) permet de rassurer les patients ou d'alerter le cas échéant le médecin.
"Le médecin a l'assurance de pouvoir établir un diagnostic en connaissance de cause", a déclaré à Reuters Nathalie Ricard Deffontaine, responsable du pôle projets pilotes chez SFR, qui a mené en 2006 une expérimentation baptisée T+ Diabète pendant un peu plus de six mois et compte l'amplifier l'année prochaine.
SFR compte aussi démarrer d'ici début 2008 des expérimentations sur l'asthme et l'hypertension. Demain, le téléphone mobile pourrait aider les personnes obèses ne pas reprendre du poids après avoir maigri, grâce à un suivi régulier.
Orange, qui chiffre à 7,5 millions le nombre de personnes concernées par le suivi d'une pathologie chronique en France, cherche avant tout à développer une gamme de solutions compatibles entre elles.
"L'idée est de permettre aux entités intervenant dans le maintien à domicile de choisir dans nos solutions les briques qui leur paraissent utiles", a observé Laure Bernazzani.
Bouygues Telecom (groupe Bouygues), troisième opérateur mobile français derrière Orange et SFR, développe notamment des solutions de visite médicale personnalisée et de diagnostic, permettant de faire le point à distance sur l'historique des soins reçus par un patient en cas d'intervention d'un infirmier à domicile, par exemple.
Franck Moine, responsable des activités "Machine to Machine" chez Bouygues Telecom, souligne que la mise au point d'équipements technologiques doit être clairement limitée aux maladies ne présentant pas de diagnostic vital.
"En cas de perturbation des systèmes qui ne remonteraient pas l'information pour une raison ou une autre, cela ne doit pas mettre pas en péril l'état de la personne", dit-il, mettant également l'accent sur la simplicité d'utilisation, en particulier pour les personnes âgées.
COMMERCIALISATION A DEFINIR
Face au volontarisme d'Orange, qui parie sur une croissance de 15 à 20% de l'ensemble du marché de l'e-santé dans les cinq prochaines années, les deux autres opérateurs se montrent très prudents.
"Nous n'avons aucun objectif commercial. Aujourd'hui, nous sommes plus en terrain d'expérimentation: on ne va pas s'improviser sur un secteur qui n'est pas le nôtre", explique Nathalie Ricard Deffontaine, de SFR. "Nous sommes intimement convaincus que c'est un secteur qui va bouger, mais c'est dur à chiffrer".
Le mode de commercialisation des offres n'est pas encore clairement défini, mais il paraît peu probable de voir apparaître une option "e-santé" dans les forfaits de téléphonie mobile.
Le spécialiste britannique d'équipements technologiques à usage médical T+ Medical, partenaire de SFR en France, commercialise aux Etats-Unis ses produits auprès d'hôpitaux, de médecins et d'équipementiers médicaux en partenariat avec des opérateurs télécoms.
Les opérateurs se rejoignent pour parer leurs expérimentations de vertus pour la collectivité au moment où le vieillissement de la population incite à rechercher des moyens pour réduire les dépenses de santé.
"La remontée d'informations par des moyens télécoms coûte nettement moins cher à la Sécurité sociale qu'une journée d'hospitalisation", observe Franck Moine
Reuters - Mardi 23 octobre, 18h15
PARIS (Reuters) - Le téléphone mobile sert déjà à bien autre chose qu'à téléphoner. Il va prochainement contribuer au maintien des personnes âgées à domicile et au suivi médical à distance des longues maladies, assurent les opérateurs.
Conscients du rôle potentiel de relais de croissance de l'"e-santé", les trois principaux opérateurs français préparent des offres en ce sens avec des partenaires issus des sociétés technologiques et des équipementiers médicaux.
Orange, qui a lancé en octobre une nouvelle division baptisée Orange Healthcare, prépare le lancement au premier semestre 2008 d'une offre pour le maintien à domicile des personnes âgées en France. Elle consistera en un terminal mobile doté d'un bouton d'appel vers une plate-forme d'assistance.
SFR expérimente de son côté "e-care". Un boîtier porté autour du cou permet de détecter une chute ou l'inactivité pendant 30 minutes et de déclencher si c'est le cas un message d'alerte auprès d'un hôpital ou d'un proche.
Pour la maladie d'Alzheimer, Orange commercialisera avant la fin de l'année le bracelet Columba. Muni d'un téléphone mobile, d'un GPS et d'un logiciel intelligent, le système déclenche une alarme à un centre d'appel médical lorsque la personne sort d'une zone prédéterminée autour de son domicile.
"Cela permet de maintenir ou de reconquérir une autonomie pour ces personnes qui peuvent ainsi sortir de chez elles de manière sécurisée", a expliqué à Reuters Laure Bernazzani, responsable des solutions de maintien à domicile chez Orange.
SUIVI DES LONGUES MALADIES
Les opérateurs veulent également faire du téléphone un relais avec le personnel soignant dans le cas d'une longue maladie comme le diabète.
Pour vérifier son état, Le patient se pique le doigt avec un équipement doté de la technologie Bluetooth, qui permet de transmettre le résultat de son taux de glycémie vers une interface web chez le médecin. Le résultat, qui s'affiche sous la forme d'une couleur (vert/orange/rouge) permet de rassurer les patients ou d'alerter le cas échéant le médecin.
"Le médecin a l'assurance de pouvoir établir un diagnostic en connaissance de cause", a déclaré à Reuters Nathalie Ricard Deffontaine, responsable du pôle projets pilotes chez SFR, qui a mené en 2006 une expérimentation baptisée T+ Diabète pendant un peu plus de six mois et compte l'amplifier l'année prochaine.
SFR compte aussi démarrer d'ici début 2008 des expérimentations sur l'asthme et l'hypertension. Demain, le téléphone mobile pourrait aider les personnes obèses ne pas reprendre du poids après avoir maigri, grâce à un suivi régulier.
Orange, qui chiffre à 7,5 millions le nombre de personnes concernées par le suivi d'une pathologie chronique en France, cherche avant tout à développer une gamme de solutions compatibles entre elles.
"L'idée est de permettre aux entités intervenant dans le maintien à domicile de choisir dans nos solutions les briques qui leur paraissent utiles", a observé Laure Bernazzani.
Bouygues Telecom (groupe Bouygues), troisième opérateur mobile français derrière Orange et SFR, développe notamment des solutions de visite médicale personnalisée et de diagnostic, permettant de faire le point à distance sur l'historique des soins reçus par un patient en cas d'intervention d'un infirmier à domicile, par exemple.
Franck Moine, responsable des activités "Machine to Machine" chez Bouygues Telecom, souligne que la mise au point d'équipements technologiques doit être clairement limitée aux maladies ne présentant pas de diagnostic vital.
"En cas de perturbation des systèmes qui ne remonteraient pas l'information pour une raison ou une autre, cela ne doit pas mettre pas en péril l'état de la personne", dit-il, mettant également l'accent sur la simplicité d'utilisation, en particulier pour les personnes âgées.
COMMERCIALISATION A DEFINIR
Face au volontarisme d'Orange, qui parie sur une croissance de 15 à 20% de l'ensemble du marché de l'e-santé dans les cinq prochaines années, les deux autres opérateurs se montrent très prudents.
"Nous n'avons aucun objectif commercial. Aujourd'hui, nous sommes plus en terrain d'expérimentation: on ne va pas s'improviser sur un secteur qui n'est pas le nôtre", explique Nathalie Ricard Deffontaine, de SFR. "Nous sommes intimement convaincus que c'est un secteur qui va bouger, mais c'est dur à chiffrer".
Le mode de commercialisation des offres n'est pas encore clairement défini, mais il paraît peu probable de voir apparaître une option "e-santé" dans les forfaits de téléphonie mobile.
Le spécialiste britannique d'équipements technologiques à usage médical T+ Medical, partenaire de SFR en France, commercialise aux Etats-Unis ses produits auprès d'hôpitaux, de médecins et d'équipementiers médicaux en partenariat avec des opérateurs télécoms.
Les opérateurs se rejoignent pour parer leurs expérimentations de vertus pour la collectivité au moment où le vieillissement de la population incite à rechercher des moyens pour réduire les dépenses de santé.
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Etre célibataire ou mâcher du chewing-gum évitent la prise de poids
AFP - Mercredi 24 octobre, 09h18
LA NOUVELLE-ORLEANS (AFP) - Etre célibataire ou mâcher du chewing-gum aideraient à garder un poids stable si l'on en croit les études présentées lors d'une conférence sur l'obésité à La Nouvelle-Orléans (sud) où 1.800 chercheurs, médecins et diététiciens ont exploré tous les moyens de lutter contre l'épidémie de surpoids.
Une étude menée sur près de 8.000 jeunes Américains pendant cinq ans, montre qu'on a plus de chance de grossir une fois marié que célibataire.
Avec l'âge, tout le monde prend du poids: en général sept kilos pour les femmes et presque 11 kilos pour les hommes, selon ces travaux de l'Université de Chapel Hill (Caroline du Nord).
Mais lorsqu'on se marie, la prise de poids est bien supérieure. Les hommes prennent encore trois kilos de plus, ce qui porte à 13,5 kilos la prise de poids totale.
Les femmes gagnent encore 4 kilos, ce qui les mène à 11 kilos supplémentaires en tout. "Est-ce la relation amoureuse ou le partage d'un même foyer, d'un même environnement qui joue ?" se demande Penny Gordon-Larsen une des auteurs, optant pour la deuxième solution. "Il y a plusieurs raisons", suggère Nathalie The, co-auteur de l'étude: "les enfants qui arrivent, le manque de temps pour faire de l'exercice".
Cet été, des travaux publiés dans le New England Journal of Medicine avaient montré que l'obésité pouvait être "socialement contagieuse" et que fréquenter des amis obèses ouvrait plus facilement la voie à devenir soi-même obèse (57% plus de risques).
"En fait on devrait utiliser l'influence que des partenaires peuvent avoir l'un sur l'autre dans un couple pour qu'ils aient une meilleure hygiène de vie", affirme Peggy Gordon-Larsen.
Une autre étude réalisée sur 357 couples dont un des partenaires diabétique suivait un programme intensif d'hygiène alimentaire et d'exercices démontre justement que l'époux ou l'épouse non-traité perd en fait aussi du poids rien qu'en étant solidaire du parcours de son partenaire.
Dans un autre champs d'activité, une scientifique écossaise, Marion Hetherington, de Glasgow Caledonian University, a voulu vérifier que les chewing-gums coupaient la faim.
Elle a invité un échantillon de 60 personnes à mâcher du chewing-gum en laboratoire alors qu'ils préparaient un repas ou après le repas. Comparativement à ceux qui n'en mâchaient pas, la sensation de faim était atténuée ainsi que le désir de grignoter. Au total, "la prise de calories était réduite de 46 kcal", affirme cette professeur en bio-psychologie.
Plusieurs travaux ont d'ailleurs insisté sur la nécessité de "mâcher" qui aide à obtenir une sensation de satiété.
Julie Flood et Barbara Rolls d'University Park (Pennsylvanie, est) se sont ainsi penchées sur les effets de la consommation de fruits entiers coupés, en compote ou en jus. Elles ont présenté à une soixantaine de sujets des en-cas de pommes sous ces différentes formes mais contenant la même quantité de calories (152 kcal). Un repas normal était offert ensuite. Il s'est avéré que ceux qui avaient mangé la vraie pomme coupée plutôt que la compote et surtout le jus, ne finissaient pas le repas. "Manger un fruit a un effet significatif sur la prise d'énergie du repas qui suit, jusqu'à moins 15%", a indiqué Julie Flood.
AFP - Mercredi 24 octobre, 09h18
LA NOUVELLE-ORLEANS (AFP) - Etre célibataire ou mâcher du chewing-gum aideraient à garder un poids stable si l'on en croit les études présentées lors d'une conférence sur l'obésité à La Nouvelle-Orléans (sud) où 1.800 chercheurs, médecins et diététiciens ont exploré tous les moyens de lutter contre l'épidémie de surpoids.
Une étude menée sur près de 8.000 jeunes Américains pendant cinq ans, montre qu'on a plus de chance de grossir une fois marié que célibataire.
Avec l'âge, tout le monde prend du poids: en général sept kilos pour les femmes et presque 11 kilos pour les hommes, selon ces travaux de l'Université de Chapel Hill (Caroline du Nord).
Mais lorsqu'on se marie, la prise de poids est bien supérieure. Les hommes prennent encore trois kilos de plus, ce qui porte à 13,5 kilos la prise de poids totale.
Les femmes gagnent encore 4 kilos, ce qui les mène à 11 kilos supplémentaires en tout. "Est-ce la relation amoureuse ou le partage d'un même foyer, d'un même environnement qui joue ?" se demande Penny Gordon-Larsen une des auteurs, optant pour la deuxième solution. "Il y a plusieurs raisons", suggère Nathalie The, co-auteur de l'étude: "les enfants qui arrivent, le manque de temps pour faire de l'exercice".
Cet été, des travaux publiés dans le New England Journal of Medicine avaient montré que l'obésité pouvait être "socialement contagieuse" et que fréquenter des amis obèses ouvrait plus facilement la voie à devenir soi-même obèse (57% plus de risques).
"En fait on devrait utiliser l'influence que des partenaires peuvent avoir l'un sur l'autre dans un couple pour qu'ils aient une meilleure hygiène de vie", affirme Peggy Gordon-Larsen.
Une autre étude réalisée sur 357 couples dont un des partenaires diabétique suivait un programme intensif d'hygiène alimentaire et d'exercices démontre justement que l'époux ou l'épouse non-traité perd en fait aussi du poids rien qu'en étant solidaire du parcours de son partenaire.
Dans un autre champs d'activité, une scientifique écossaise, Marion Hetherington, de Glasgow Caledonian University, a voulu vérifier que les chewing-gums coupaient la faim.
Elle a invité un échantillon de 60 personnes à mâcher du chewing-gum en laboratoire alors qu'ils préparaient un repas ou après le repas. Comparativement à ceux qui n'en mâchaient pas, la sensation de faim était atténuée ainsi que le désir de grignoter. Au total, "la prise de calories était réduite de 46 kcal", affirme cette professeur en bio-psychologie.
Plusieurs travaux ont d'ailleurs insisté sur la nécessité de "mâcher" qui aide à obtenir une sensation de satiété.
Julie Flood et Barbara Rolls d'University Park (Pennsylvanie, est) se sont ainsi penchées sur les effets de la consommation de fruits entiers coupés, en compote ou en jus. Elles ont présenté à une soixantaine de sujets des en-cas de pommes sous ces différentes formes mais contenant la même quantité de calories (152 kcal). Un repas normal était offert ensuite. Il s'est avéré que ceux qui avaient mangé la vraie pomme coupée plutôt que la compote et surtout le jus, ne finissaient pas le repas. "Manger un fruit a un effet significatif sur la prise d'énergie du repas qui suit, jusqu'à moins 15%", a indiqué Julie Flood.
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Les eurodéputés pour l'interdiction de la vente du tabac aux moins de 18 ans
AFP - Mercredi 24 octobre, 16h40
STRASBOURG (AFP) - Les eurodéputés ont suggéré mercredi la mise en place d'une taxe européenne minimum "élevée" sur les produits du tabac et l'interdiction de la vente des cigarettes aux moins de 18 ans dans toute l'Union européenne.
Estimant "inacceptable" que certains Etats membres encouragent l'achat de tabac en appliquant sur leur territoire une taxation peu élevée, ils demandent dans une résolution non contraignante que la Commission européenne "envisage un niveau minimum communautaire élevé de taxation des produits du tabac".
Dans ce texte adopté à une large majorité, les eurodéputés proposent aussi que la vente de tabac soit interdite aux moins de 18 ans.
Ils recommandent également que fumer en présence de mineurs soit interdit dans les moyens de transports privés.
La Commission est également invitée à présenter une modification de la "directive sur les produits du tabac" de 2001, pour mettre en place réglementation plus stricte pour les additifs.
Il s'agirait notamment d'interdire les additifs "addictifs", cancérigènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction, et d'améliorer l'information concernant les autres additifs.
Les parlementaires demandent aux Etats qui ne l'auront pas encore fait "d'instaurer dans les deux ans une interdiction totale de fumer dans tous les lieux de travail fermés, y compris dans le secteur de la restauration, ainsi que dans tous les établissements publics fermés et moyens de transport".
Le texte adopté mercredi n'oublie pas l'indiscipline d'eurodéputés qui n'ont toujours pas renoncé à fumer "dans les escaliers et au bar des députés" à Strasbourg. Il réclame "une interdiction absolue de fumer, dans tous les locaux du Parlement européen, avec effet immédiat".
La Commission européenne s'est prononcée en janvier pour une interdiction générale de fumer dans les espaces publics fermés, sans exception pour les restaurants, en lançant un large débat sur la nécessité ou non d'adopter une législation au niveau de l'UE.
Les initiatives nationales prises en Europe ne nécessitent pas l'appui de lois européennes contraignantes, avaient estimé la plupart des ministres de la Santé des 27 au cours d'un débat public à Bruxelles.
AFP - Mercredi 24 octobre, 16h40
STRASBOURG (AFP) - Les eurodéputés ont suggéré mercredi la mise en place d'une taxe européenne minimum "élevée" sur les produits du tabac et l'interdiction de la vente des cigarettes aux moins de 18 ans dans toute l'Union européenne.
Estimant "inacceptable" que certains Etats membres encouragent l'achat de tabac en appliquant sur leur territoire une taxation peu élevée, ils demandent dans une résolution non contraignante que la Commission européenne "envisage un niveau minimum communautaire élevé de taxation des produits du tabac".
Dans ce texte adopté à une large majorité, les eurodéputés proposent aussi que la vente de tabac soit interdite aux moins de 18 ans.
Ils recommandent également que fumer en présence de mineurs soit interdit dans les moyens de transports privés.
La Commission est également invitée à présenter une modification de la "directive sur les produits du tabac" de 2001, pour mettre en place réglementation plus stricte pour les additifs.
Il s'agirait notamment d'interdire les additifs "addictifs", cancérigènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction, et d'améliorer l'information concernant les autres additifs.
Les parlementaires demandent aux Etats qui ne l'auront pas encore fait "d'instaurer dans les deux ans une interdiction totale de fumer dans tous les lieux de travail fermés, y compris dans le secteur de la restauration, ainsi que dans tous les établissements publics fermés et moyens de transport".
Le texte adopté mercredi n'oublie pas l'indiscipline d'eurodéputés qui n'ont toujours pas renoncé à fumer "dans les escaliers et au bar des députés" à Strasbourg. Il réclame "une interdiction absolue de fumer, dans tous les locaux du Parlement européen, avec effet immédiat".
La Commission européenne s'est prononcée en janvier pour une interdiction générale de fumer dans les espaces publics fermés, sans exception pour les restaurants, en lançant un large débat sur la nécessité ou non d'adopter une législation au niveau de l'UE.
Les initiatives nationales prises en Europe ne nécessitent pas l'appui de lois européennes contraignantes, avaient estimé la plupart des ministres de la Santé des 27 au cours d'un débat public à Bruxelles.
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Le Grenelle rouvre le débat sur la réduction des pesticides
NOUVELOBS.COM | 25.10.2007 | 14:24
Le relevé officiel de conclusion parle d'une diminution de 50% de l'usage des pesticides "conditionnée" et sans date, alors que les écologistes avaient annoncé un accord sur une réduction de moitié en 10 ans. De son côté, Jean-Louis Borloo a annoncé un gel sur les cultures de maïs OGM.
Le revirement fut aussi important que rapide. Alors que les écologistes avaient annoncé jeudi matin un accord sur une réduction de moitié en 10 ans, le relevé officiel de conclusion disponible jeudi midi ne parle plus que d'une diminution de 50% de l'usage des pesticides dans l'agriculture française conditionnée… et sans date.
Pourtant, François Veillerette du Mouvement pour le respect des générations futures (MDRGF), qui participe aux négociations, avait affirmé plus tôt que les participants s'étaient engagés à "réduire de moitié en 10 ans la fréquence de traitements des pesticides" dans l'agriculture française.
Le ministre de l'Ecologie "Jean-Louis Borloo a tranché. La FNSEA (le principal syndicat agricole) s'est trouvée isolée", avait-il soutenu.
Augmentation de la part du "bio"
Ce gros couac fait planer le doute sur l'annonce d'un objectif portant la part du "bio" dans l'agriculture française à 6% en 2012 et 20% en 2020, contre 2% actuellement, rapporté par les ONG.
Ces objectifs concernent la part du "bio" sur l'ensemble des cultures (SAU, surface agricole utile).
Ils seront accompagnés d'un doublement du crédit d'impôts aux agriculteurs déterminés à passer à la culture biologique, selon Emmanuelle Brisse de Greenpeace.
Ces premières avancées sur le bio doivent être également appuyées par une décision, encore en négociation, de réserver 20% des commandes publiques dans la restauration (cantines) aux produits biologiques, a-t-elle ajouté.
Une certification "Haute valeur environnementale"
"C'est satisfaisant", estime la fédération France Nature environnement (FNE, 3.000 associations). "Cependant cette mesure (d'augmentation des cultures biologiques) doit s'accompagner d'une démarche environnementale au profit de l'agriculture conventionnelle", a insisté son porte-parole Arnaud Gossement.
La FNE réclame dès 2008 une certification nationale "Haute valeur environnementale" (HVE) pour les exploitations les plus respectueuses de l'environnement.
Gel des cultures OGM
Par ailleurs, Jean-Louis Borloo a annoncé un gel sur les cultures de maïs génétiquement modifié jusqu'à l'examen de la loi sur les OGM "dès janvier 2008". "On garde le gel du Mon 810 (maïs transgénique produit par la société Monsanto, le seul OGM cultivé en France) jusqu'au vote de la loi qui interviendra avant les prochains semis", a–t-il déclaré à sa sortie de la table ronde consacrée à l'agriculture et la biodiversité.
Il a précisé que le principe d'une loi réglementant les OGM en janvier a été entériné, de même que la mise en place d'une Haute autorité indépendante.
La loi devra décider de la question des essais en plein champ pour la recherche, a également indiqué le ministre.Jaqcues Pasquier, membre de la Confédération paysanne, avait expliqué à Nouvelobs.com que ce moratoire n'aura que peu d'effet, car la loi ne sera pas votée avant le printemps, or, on ne sème pas de maïs avant mai.
Les dernières tables rondes
Ces annonces ont été faites dans le cadre de la troisième table ronde, consacrée à "la préservation de la biodiversité et des ressources naturelles, pratiques agricoles et OGM". Outre les ministres de l'Ecologie Jean-Louis Borloo et la secrétaire d'Etat à l'Environnement Nathalie Kosciusko-Morizet, le ministre de l'Agriculture Michel Barnier s'est joint aux débats. La participation de la ministre de la Recherche, Valérie Pécresse, était également annoncée.
Après la 4e et dernière table ronde en début d'après-midi, les conclusions du Grenelle seront examinées par le président Nicolas Sarkozy qui doit prononcer un discours à partir de 16h00.
NOUVELOBS.COM | 25.10.2007 | 14:24
Le relevé officiel de conclusion parle d'une diminution de 50% de l'usage des pesticides "conditionnée" et sans date, alors que les écologistes avaient annoncé un accord sur une réduction de moitié en 10 ans. De son côté, Jean-Louis Borloo a annoncé un gel sur les cultures de maïs OGM.
Le revirement fut aussi important que rapide. Alors que les écologistes avaient annoncé jeudi matin un accord sur une réduction de moitié en 10 ans, le relevé officiel de conclusion disponible jeudi midi ne parle plus que d'une diminution de 50% de l'usage des pesticides dans l'agriculture française conditionnée… et sans date.
Pourtant, François Veillerette du Mouvement pour le respect des générations futures (MDRGF), qui participe aux négociations, avait affirmé plus tôt que les participants s'étaient engagés à "réduire de moitié en 10 ans la fréquence de traitements des pesticides" dans l'agriculture française.
Le ministre de l'Ecologie "Jean-Louis Borloo a tranché. La FNSEA (le principal syndicat agricole) s'est trouvée isolée", avait-il soutenu.
Augmentation de la part du "bio"
Ce gros couac fait planer le doute sur l'annonce d'un objectif portant la part du "bio" dans l'agriculture française à 6% en 2012 et 20% en 2020, contre 2% actuellement, rapporté par les ONG.
Ces objectifs concernent la part du "bio" sur l'ensemble des cultures (SAU, surface agricole utile).
Ils seront accompagnés d'un doublement du crédit d'impôts aux agriculteurs déterminés à passer à la culture biologique, selon Emmanuelle Brisse de Greenpeace.
Ces premières avancées sur le bio doivent être également appuyées par une décision, encore en négociation, de réserver 20% des commandes publiques dans la restauration (cantines) aux produits biologiques, a-t-elle ajouté.
Une certification "Haute valeur environnementale"
"C'est satisfaisant", estime la fédération France Nature environnement (FNE, 3.000 associations). "Cependant cette mesure (d'augmentation des cultures biologiques) doit s'accompagner d'une démarche environnementale au profit de l'agriculture conventionnelle", a insisté son porte-parole Arnaud Gossement.
La FNE réclame dès 2008 une certification nationale "Haute valeur environnementale" (HVE) pour les exploitations les plus respectueuses de l'environnement.
Gel des cultures OGM
Par ailleurs, Jean-Louis Borloo a annoncé un gel sur les cultures de maïs génétiquement modifié jusqu'à l'examen de la loi sur les OGM "dès janvier 2008". "On garde le gel du Mon 810 (maïs transgénique produit par la société Monsanto, le seul OGM cultivé en France) jusqu'au vote de la loi qui interviendra avant les prochains semis", a–t-il déclaré à sa sortie de la table ronde consacrée à l'agriculture et la biodiversité.
Il a précisé que le principe d'une loi réglementant les OGM en janvier a été entériné, de même que la mise en place d'une Haute autorité indépendante.
La loi devra décider de la question des essais en plein champ pour la recherche, a également indiqué le ministre.Jaqcues Pasquier, membre de la Confédération paysanne, avait expliqué à Nouvelobs.com que ce moratoire n'aura que peu d'effet, car la loi ne sera pas votée avant le printemps, or, on ne sème pas de maïs avant mai.
Les dernières tables rondes
Ces annonces ont été faites dans le cadre de la troisième table ronde, consacrée à "la préservation de la biodiversité et des ressources naturelles, pratiques agricoles et OGM". Outre les ministres de l'Ecologie Jean-Louis Borloo et la secrétaire d'Etat à l'Environnement Nathalie Kosciusko-Morizet, le ministre de l'Agriculture Michel Barnier s'est joint aux débats. La participation de la ministre de la Recherche, Valérie Pécresse, était également annoncée.
Après la 4e et dernière table ronde en début d'après-midi, les conclusions du Grenelle seront examinées par le président Nicolas Sarkozy qui doit prononcer un discours à partir de 16h00.
Courage à tous et à toutes !
dernière ligne droite, on y croit tous ! No stress que de la motivation !!!
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IMMIGRATION
Loi Hortefeux : le PS a saisi le Conseil constitutionnel
NOUVELOBS.COM | 25.10.2007 | 13:29
Les députés socialistes ont déposé un recours au Conseil constitutionnel et demandent à Jacques Chirac, qui en est membre, de censurer l'article sur les tests ADN.
Le Conseil constitutionnel
(c) Reuters
Les députés socialistes ont déposé, jeudi 25 octobre, un recours au Conseil constitutionnel contre "l'ensemble" de la loi Hortefeux sur l'immigration. Ils demandent au Conseil, où siège Jacques Chirac, de censurer notamment les articles sur les tests ADN et les statistiques ethniques.
"Nous déposons dans la journée (jeudi) un recours au Conseil constitutionnel. Le document est signé aussi par des députés du groupe GDR (communistes et Verts) et par François Bayrou", le président de l'UDF-Modem, a annoncé à la presse le président du groupe Jean-Marc Ayrault.
Chirac, "grand républicain"
Les signataires du recours "souhaitent s'adresser à la conscience de chacun des membres du Conseil, y compris ceux, comme les anciens présidents de la République, le président Chirac, le président Giscard d'Estaing, pour qu'ils écoutent notre argumentation", a déclaré Arnaud Montebourg (PS).
"Nous avons besoin que tous les républicains s'unissent contre le risque de dérive par rapport aux principes républicains" et "nous avons toujours salué" Jacques Chirac comme un "grand républicain", a souligné le député PS.
Mesure "disproportionnée"
L'article 13 introduit le recours aux tests ADN dans le cadre du regroupement familial, une mesure vivement contestée par l'opposition, les associations mais également des élus de la majorité.
Les signataires du recours estiment notamment que cet article "est entaché d'une violation du droit au regroupement familial et du droit à la vie privée et familiale" et que cette mesure "est manifestement disproportionnée au regard du principe de dignité humaine".
A propos de l'article 63 qui autorise les statistiques ethniques, ils estiment qu'il "convient de s'interroger sur son lien avec un texte relatif à l'immigration alors que de surcroît le législateur n'a pas apporté toutes les garanties nécessaires à la protection des droits fondamentaux en cause". (avec Reuters)
Loi Hortefeux : le PS a saisi le Conseil constitutionnel
NOUVELOBS.COM | 25.10.2007 | 13:29
Les députés socialistes ont déposé un recours au Conseil constitutionnel et demandent à Jacques Chirac, qui en est membre, de censurer l'article sur les tests ADN.
Le Conseil constitutionnel
(c) Reuters
Les députés socialistes ont déposé, jeudi 25 octobre, un recours au Conseil constitutionnel contre "l'ensemble" de la loi Hortefeux sur l'immigration. Ils demandent au Conseil, où siège Jacques Chirac, de censurer notamment les articles sur les tests ADN et les statistiques ethniques.
"Nous déposons dans la journée (jeudi) un recours au Conseil constitutionnel. Le document est signé aussi par des députés du groupe GDR (communistes et Verts) et par François Bayrou", le président de l'UDF-Modem, a annoncé à la presse le président du groupe Jean-Marc Ayrault.
Chirac, "grand républicain"
Les signataires du recours "souhaitent s'adresser à la conscience de chacun des membres du Conseil, y compris ceux, comme les anciens présidents de la République, le président Chirac, le président Giscard d'Estaing, pour qu'ils écoutent notre argumentation", a déclaré Arnaud Montebourg (PS).
"Nous avons besoin que tous les républicains s'unissent contre le risque de dérive par rapport aux principes républicains" et "nous avons toujours salué" Jacques Chirac comme un "grand républicain", a souligné le député PS.
Mesure "disproportionnée"
L'article 13 introduit le recours aux tests ADN dans le cadre du regroupement familial, une mesure vivement contestée par l'opposition, les associations mais également des élus de la majorité.
Les signataires du recours estiment notamment que cet article "est entaché d'une violation du droit au regroupement familial et du droit à la vie privée et familiale" et que cette mesure "est manifestement disproportionnée au regard du principe de dignité humaine".
A propos de l'article 63 qui autorise les statistiques ethniques, ils estiment qu'il "convient de s'interroger sur son lien avec un texte relatif à l'immigration alors que de surcroît le législateur n'a pas apporté toutes les garanties nécessaires à la protection des droits fondamentaux en cause". (avec Reuters)
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PAUVRETE
Accès aux soins difficile et faible prévention
NOUVELOBS.COM | 25.10.2007 | 10:53
Une étude montre que les personnes les plus pauvres, notamment les enfants, se rendent chez le médecin beaucoup moins souvent que la moyenne des Français.
(c) Reuters
Une étude de l'Insee rendue publique jeudi 25 octobre montre que les plus pauvres vont moins souvent chez le médecin que la moyenne des Français, et ce au détriment de la prévention. Selon cette même étude, les personnes à faibles revenus sont également moins couvertes par les complémentaires santé. Cette étude concerne plus de 7 millions de personnes en France qui vivent avec moins de 817 euros par mois (pour une seule personne). Lorsque ces personnes sont interrogées au sujet de leur santé, 8% d'entre elles déclarent que leur santé est mauvaise ou très mauvaise contre seulement 4% du reste de la population, écart qui tend à croître avec l'âge.
Les pauvres ne creusent pas le trou de la "sécu"
Ce ne sont pas les personnes pauvres qui creusent le trou de la sécurité sociale, leur consommation médicale étant plus faible que celle du reste de la population. Ils sont 21% des moins de 50 ans à ne pas avoir consulté de médecin l'année précédant l'enquête, contre 17%. Cet écart est encore plus grand lorsqu'il s'agit d'enfants, 20% contre 16%. Concernant la consultation de spécialistes, 53% des moins de 50 ans aux revenus faibles n'ont pas eu recours à des consultations spécialisées contre 40% pour le reste de la population. Là encore, l'écart est encore plus flagrant chez les enfants avec 58% contre 41%. En revanche, les personnes à faibles revenus fréquentent plus les hôpitaux que le reste de la population. 19% d'entre elles ont été hospitalisés au moins une fois au cours de l'année précédente contre 16% pour le reste de la population. Certaines pathologies sont plus répandues chez les personnes pauvres, comme par exemple les maladies de l'appareil digestif (20% en souffrent contre 17%). Les caries dentaires sont plus fréquentes (11% contre 6%). Après 50 ans, ce sont les maladies de l'appareil circulatoire comme les rhumatisme, les varices, l'arthrose ou encore les maux de dos qui touchent plus fortement ces personnes. Chez les enfants, les caries sont bien plus fréquentes (6% en ont contre 2%), tout comme l'asthme (6% contre 4%).
"L'explication est financière"
L'explication de cette situation est financière, bien qu'existe la couverture médicale universelle (CMU) et sa complémentaire. Mais soit les personnes pauvres ne demandent pas toujours à bénéficier de la CMU, soit leurs ressources sont supérieures au plafond requis pour en bénéficier. 22% de personnes à faibles revenus n'ont pas de complémentaire santé alors qu'ils ne sont que 7% dans le reste de la population. Il revient donc plus cher aux personnes pauvres de se soigner puisqu'elles ne sont pas couvertes et qu'elles ne sont remboursées que sur la base de la sécurité sociale obligatoire.
"Faible prévention"
Une moindre fréquentation médicale s'accompagne d'une plus faible prévention des personnes les plus pauvres. Par exemple, s'agissant de la prévention du cancer, 34% des femmes de plus de 40 ans qui appartiennent à des ménages modestes n'ont jamais réalisé de mammographie contre 19% des autres femmes, et 12% des femmes entre 20 et 70 ans n'ont jamais réalisé de frottis gynécologique, contre 6% dans le reste de la population. On retrouve ces écarts pour les tests de dépistage du VIH (sida). L'étude souligne que "ces différences de pratiques de prévention sont essentielles dans la mesure où elles contribuent à creuser encore l'écart entre les individus les plus pauvres et le reste de la population".
Accès aux soins difficile et faible prévention
NOUVELOBS.COM | 25.10.2007 | 10:53
Une étude montre que les personnes les plus pauvres, notamment les enfants, se rendent chez le médecin beaucoup moins souvent que la moyenne des Français.
(c) Reuters
Une étude de l'Insee rendue publique jeudi 25 octobre montre que les plus pauvres vont moins souvent chez le médecin que la moyenne des Français, et ce au détriment de la prévention. Selon cette même étude, les personnes à faibles revenus sont également moins couvertes par les complémentaires santé. Cette étude concerne plus de 7 millions de personnes en France qui vivent avec moins de 817 euros par mois (pour une seule personne). Lorsque ces personnes sont interrogées au sujet de leur santé, 8% d'entre elles déclarent que leur santé est mauvaise ou très mauvaise contre seulement 4% du reste de la population, écart qui tend à croître avec l'âge.
Les pauvres ne creusent pas le trou de la "sécu"
Ce ne sont pas les personnes pauvres qui creusent le trou de la sécurité sociale, leur consommation médicale étant plus faible que celle du reste de la population. Ils sont 21% des moins de 50 ans à ne pas avoir consulté de médecin l'année précédant l'enquête, contre 17%. Cet écart est encore plus grand lorsqu'il s'agit d'enfants, 20% contre 16%. Concernant la consultation de spécialistes, 53% des moins de 50 ans aux revenus faibles n'ont pas eu recours à des consultations spécialisées contre 40% pour le reste de la population. Là encore, l'écart est encore plus flagrant chez les enfants avec 58% contre 41%. En revanche, les personnes à faibles revenus fréquentent plus les hôpitaux que le reste de la population. 19% d'entre elles ont été hospitalisés au moins une fois au cours de l'année précédente contre 16% pour le reste de la population. Certaines pathologies sont plus répandues chez les personnes pauvres, comme par exemple les maladies de l'appareil digestif (20% en souffrent contre 17%). Les caries dentaires sont plus fréquentes (11% contre 6%). Après 50 ans, ce sont les maladies de l'appareil circulatoire comme les rhumatisme, les varices, l'arthrose ou encore les maux de dos qui touchent plus fortement ces personnes. Chez les enfants, les caries sont bien plus fréquentes (6% en ont contre 2%), tout comme l'asthme (6% contre 4%).
"L'explication est financière"
L'explication de cette situation est financière, bien qu'existe la couverture médicale universelle (CMU) et sa complémentaire. Mais soit les personnes pauvres ne demandent pas toujours à bénéficier de la CMU, soit leurs ressources sont supérieures au plafond requis pour en bénéficier. 22% de personnes à faibles revenus n'ont pas de complémentaire santé alors qu'ils ne sont que 7% dans le reste de la population. Il revient donc plus cher aux personnes pauvres de se soigner puisqu'elles ne sont pas couvertes et qu'elles ne sont remboursées que sur la base de la sécurité sociale obligatoire.
"Faible prévention"
Une moindre fréquentation médicale s'accompagne d'une plus faible prévention des personnes les plus pauvres. Par exemple, s'agissant de la prévention du cancer, 34% des femmes de plus de 40 ans qui appartiennent à des ménages modestes n'ont jamais réalisé de mammographie contre 19% des autres femmes, et 12% des femmes entre 20 et 70 ans n'ont jamais réalisé de frottis gynécologique, contre 6% dans le reste de la population. On retrouve ces écarts pour les tests de dépistage du VIH (sida). L'étude souligne que "ces différences de pratiques de prévention sont essentielles dans la mesure où elles contribuent à creuser encore l'écart entre les individus les plus pauvres et le reste de la population".
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Un nourrisson en garde à vue : "inhumain et dégradant"
LCI
La cour d'appel de Rennes a ordonné la libération d'un couple de sans papiers placé en garde à vue avec leur nourrisson de trois semaines.
Leur demande de statut de réfugié politique venait d'être refusée.
Alexandra GUILLET - le 25/10/2007 - 12h16
Parce que c'est "inhumain et dégradant", la cour d'appel de Rennes a ordonné la remise en liberté d'un couple de sans-papiers moldaves et de leur nourrisson de trois semaines. Les faits, révélés ce matin par France Info, remontent en fait au 17 octobre. Ian et Irina sont arrivés en France mi-2006. Plus précisément, à Gien, dans le Loiret. Leur demande de statut de réfugié politique a été refusée.
Une nouvelle audience était bien fixée fin novembre... Mais le 17 octobre, raconte France Info, les gendarmes les placent en garde à vue. Ian, Irina, et leur bébé de trois semaines, Kyrill. La garde à vue dure près de neuf heures. Ils sont ensuite conduits dans un centre de rétention près de Rennes.
Le lendemain, le juge des libertés et de la détention décide leur remise en liberté, estimant qu'il y a eu "traitement inhumain et dégradant". C'est l'article 3 de la Convention européenne des droits de l'homme. Le préfet fait appel de cette décision. Saisie en urgence, le 23 octobre, la Cour d'appel de Rennes a rendu son arrêt, qui confirme la décision du juge.
"Ce que monsieur le préfet a fait est un traitement inhumain et dégradant, a déclaré sur France Info l'avocat du couple, maître Gilles Piquois, reprenant les termes employés par les magistrats rennais. Ce qui tombe me semble-t-il sous le sens commun ne l'est pas pour un préfet qui a des statistiques à rendre place Beauveau. Il est quand même le premier préfet de France à avoir privé de liberté un nourrisson de trois semaines!".
LCI
La cour d'appel de Rennes a ordonné la libération d'un couple de sans papiers placé en garde à vue avec leur nourrisson de trois semaines.
Leur demande de statut de réfugié politique venait d'être refusée.
Alexandra GUILLET - le 25/10/2007 - 12h16
Parce que c'est "inhumain et dégradant", la cour d'appel de Rennes a ordonné la remise en liberté d'un couple de sans-papiers moldaves et de leur nourrisson de trois semaines. Les faits, révélés ce matin par France Info, remontent en fait au 17 octobre. Ian et Irina sont arrivés en France mi-2006. Plus précisément, à Gien, dans le Loiret. Leur demande de statut de réfugié politique a été refusée.
Une nouvelle audience était bien fixée fin novembre... Mais le 17 octobre, raconte France Info, les gendarmes les placent en garde à vue. Ian, Irina, et leur bébé de trois semaines, Kyrill. La garde à vue dure près de neuf heures. Ils sont ensuite conduits dans un centre de rétention près de Rennes.
Le lendemain, le juge des libertés et de la détention décide leur remise en liberté, estimant qu'il y a eu "traitement inhumain et dégradant". C'est l'article 3 de la Convention européenne des droits de l'homme. Le préfet fait appel de cette décision. Saisie en urgence, le 23 octobre, la Cour d'appel de Rennes a rendu son arrêt, qui confirme la décision du juge.
"Ce que monsieur le préfet a fait est un traitement inhumain et dégradant, a déclaré sur France Info l'avocat du couple, maître Gilles Piquois, reprenant les termes employés par les magistrats rennais. Ce qui tombe me semble-t-il sous le sens commun ne l'est pas pour un préfet qui a des statistiques à rendre place Beauveau. Il est quand même le premier préfet de France à avoir privé de liberté un nourrisson de trois semaines!".
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Internes en grève: vers une sortie de crise
TF1/LCI
Manifestation d'internes en médecine à Paris le 24 octobre 2007
Les internes et étudiants en médecine ont conclu un accord avec le gouvernement rendant possible la fin de leur grève.
Il s'agit d'amender le projet de budget 2008 de la Sécurité sociale.
- le 25/10/2007 - 10h05
Internes et étudiants en médecine ont conclu un accord avec le gouvernement rendant possible la fin de leur grève, après une importante manifestation à Paris mercredi contre toute limitation du nombre de praticiens dans les zones "surdotées", selon les syndicats. Peu après la fin de cette manifestation, des sources syndicales ont fait état d'un accord avec le ministère de la Santé pour amender le projet de budget 2008 de la Sécurité sociale (PLFSS).
"Cet amendement exclut les 'mesures dangereuses' et met en place une véritable politique constructive et incitative. Le gouvernement nous prend pour un partenaire responsable" a déclaré Fabien Quédeville, président du SNJMG (jeunes médecins généralistes), à la sortie du ministère. Une fois l'amendement voté, "le mouvement prendra fin à la signature du protocole d'accord en début de semaine prochaine" entre cinq syndicats ayant appelé à manifester et le gouvernement, a ajouté Chloé Moulin, porte-parole de l'Anemf (étudiants en médecine).
Conventionnement
En grève depuis près d'un mois, les internes réclamaient le retrait des dispositions du budget de la Sécurité sociale pour 2008, visant notamment à limiter l'installation des médecins libéraux dans les zones où ils sont déjà suffisamment nombreux. Ainsi, le PLFSS demande aux syndicats médicaux de négocier avec l'assurance maladie pour adapter "aux besoins de santé sur le territoire" les règles de conventionnement qui relient les médecins libéraux à la "Sécu" et permettent aux patients de bénéficier des tarifs remboursables.
Pour certains grévistes, le projet du gouvernement cachait ses véritables intentions: en utilisant la menace du déconventionnement, il favoriserait l'émergence d'une population de praticiens dont les consultations ne pourraient être remboursées aux patients que par le biais d'assurances privées.
"Liberté d'installation garantie"
Mercredi matin, une source parlementaire avait fait savoir que le gouvernement pourrait accepter une modification des articles incriminés lors du débat à l'Assemblée. "Un amendement parlementaire visant à supprimer la référence au conventionnement pourrait être déposé", avait ainsi déclaré mercredi Yves Bur (UMP), l'un des rapporteurs du PLFSS. "Le gouvernement est d'accord pour qu'on ne parle plus de conventionnement", a-t-il ajouté, en précisant cependant que le nouveau dispositif n'était pas encore complètement calé.
Roselyne Bachelot avait assuré mardi que "la liberté d'installation sera(it) garantie". "Le gouvernement n'est pas sur ce sujet fermé à la discussion. Nous acceptons même l'idée de laisser une marge pour amender notre texte", avait-elle dit.
TF1/LCI
Manifestation d'internes en médecine à Paris le 24 octobre 2007
Les internes et étudiants en médecine ont conclu un accord avec le gouvernement rendant possible la fin de leur grève.
Il s'agit d'amender le projet de budget 2008 de la Sécurité sociale.
- le 25/10/2007 - 10h05
Internes et étudiants en médecine ont conclu un accord avec le gouvernement rendant possible la fin de leur grève, après une importante manifestation à Paris mercredi contre toute limitation du nombre de praticiens dans les zones "surdotées", selon les syndicats. Peu après la fin de cette manifestation, des sources syndicales ont fait état d'un accord avec le ministère de la Santé pour amender le projet de budget 2008 de la Sécurité sociale (PLFSS).
"Cet amendement exclut les 'mesures dangereuses' et met en place une véritable politique constructive et incitative. Le gouvernement nous prend pour un partenaire responsable" a déclaré Fabien Quédeville, président du SNJMG (jeunes médecins généralistes), à la sortie du ministère. Une fois l'amendement voté, "le mouvement prendra fin à la signature du protocole d'accord en début de semaine prochaine" entre cinq syndicats ayant appelé à manifester et le gouvernement, a ajouté Chloé Moulin, porte-parole de l'Anemf (étudiants en médecine).
Conventionnement
En grève depuis près d'un mois, les internes réclamaient le retrait des dispositions du budget de la Sécurité sociale pour 2008, visant notamment à limiter l'installation des médecins libéraux dans les zones où ils sont déjà suffisamment nombreux. Ainsi, le PLFSS demande aux syndicats médicaux de négocier avec l'assurance maladie pour adapter "aux besoins de santé sur le territoire" les règles de conventionnement qui relient les médecins libéraux à la "Sécu" et permettent aux patients de bénéficier des tarifs remboursables.
Pour certains grévistes, le projet du gouvernement cachait ses véritables intentions: en utilisant la menace du déconventionnement, il favoriserait l'émergence d'une population de praticiens dont les consultations ne pourraient être remboursées aux patients que par le biais d'assurances privées.
"Liberté d'installation garantie"
Mercredi matin, une source parlementaire avait fait savoir que le gouvernement pourrait accepter une modification des articles incriminés lors du débat à l'Assemblée. "Un amendement parlementaire visant à supprimer la référence au conventionnement pourrait être déposé", avait ainsi déclaré mercredi Yves Bur (UMP), l'un des rapporteurs du PLFSS. "Le gouvernement est d'accord pour qu'on ne parle plus de conventionnement", a-t-il ajouté, en précisant cependant que le nouveau dispositif n'était pas encore complètement calé.
Roselyne Bachelot avait assuré mardi que "la liberté d'installation sera(it) garantie". "Le gouvernement n'est pas sur ce sujet fermé à la discussion. Nous acceptons même l'idée de laisser une marge pour amender notre texte", avait-elle dit.
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- Messages : 3
- Inscription : 14 sept. 2007 15:48
Preparation concours
Salut
J'ai besoin d'aide actuellement je prépare le concours avec mmpp de bordeaux, je suis assez à l'aise dans les sujets culture générale mais en ce qui concerne les maths je suis archi mais vraiment archi nulle
j'aimerais avoir quelques conseils pour progresser mais aussi de soutien pour ne pas perdre espoir
J'aimerais aussi avoir contact avec des étudiants de l'Ifsi de martinique pour savoir si c'est vrai qu'il est balaise comme ifsi
merci pour vos réponses bises
J'ai besoin d'aide actuellement je prépare le concours avec mmpp de bordeaux, je suis assez à l'aise dans les sujets culture générale mais en ce qui concerne les maths je suis archi mais vraiment archi nulle



Bonjour et bienvenue
Pour ce qui concerne les math, tu peux faire une recherche, il y a quelques sujet dont celui-ci (qui contrairement à son titre est accéssible à tous)
Exerces-toi, y'a que ça de vrai
Pour ce qui concerne l'ifsi de la Martinique, tu dois te rendre sur le forum des ifsi et poser la question sur le sujet de celui qui t'interesse (liste en post-it du forum ifsi)
Pour ce qui concerne les math, tu peux faire une recherche, il y a quelques sujet dont celui-ci (qui contrairement à son titre est accéssible à tous)
Exerces-toi, y'a que ça de vrai

Pour ce qui concerne l'ifsi de la Martinique, tu dois te rendre sur le forum des ifsi et poser la question sur le sujet de celui qui t'interesse (liste en post-it du forum ifsi)
La pensée vole, et les mots vont à pieds.
- aneso81
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- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
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Grossesse : le tabac favorise les troubles du comportement
[25 octobre 2007 - 10:54]
D’après une étude relayée dans Tabac Actualités, le tabagisme maternel au cours de la grossesse expose l’enfant à naître à différents troubles du comportement : agressivité, hyperactivité, troubles de la conduite… Plus la future maman fume, plus les risques sont majorés.
Liza Gatzke-Kopp et Théodore Beauchaine de l’Université de Washington, ont mené une enquête auprès de 137 femmes. Il en ressort que l’exposition in utero au tabac s’est révélée clairement associée à une augmentation de ces troubles. Et ceci, même chez les futures mamans exposées au tabagisme passif. En revanche, ils n’ont pas constaté de risque de dépression ni d’anxiété.
Pour la pédopsychiatre Marie-Hélène Le Heuzey, de l’hôpital Robert Debré à Paris, « les troubles du comportement sont favorisés par de multiples facteurs : petit poids de naissance, prématurité, alcoolisation maternelle…Le tabagisme in utero rend l’enfant plus vulnérable, mais cette vulnérabilité ne s’exprime que si d’autres conditions sont aussi présentes ». En d’autres termes, le tabac constitue un facteur défavorisant.
[25 octobre 2007 - 10:54]
D’après une étude relayée dans Tabac Actualités, le tabagisme maternel au cours de la grossesse expose l’enfant à naître à différents troubles du comportement : agressivité, hyperactivité, troubles de la conduite… Plus la future maman fume, plus les risques sont majorés.
Liza Gatzke-Kopp et Théodore Beauchaine de l’Université de Washington, ont mené une enquête auprès de 137 femmes. Il en ressort que l’exposition in utero au tabac s’est révélée clairement associée à une augmentation de ces troubles. Et ceci, même chez les futures mamans exposées au tabagisme passif. En revanche, ils n’ont pas constaté de risque de dépression ni d’anxiété.
Pour la pédopsychiatre Marie-Hélène Le Heuzey, de l’hôpital Robert Debré à Paris, « les troubles du comportement sont favorisés par de multiples facteurs : petit poids de naissance, prématurité, alcoolisation maternelle…Le tabagisme in utero rend l’enfant plus vulnérable, mais cette vulnérabilité ne s’exprime que si d’autres conditions sont aussi présentes ». En d’autres termes, le tabac constitue un facteur défavorisant.
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Une impulsion européenne grâce au Grenelle de l’Environnement ?
[25 octobre 2007 - 12:46]
Au Bureau régional de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour l’Europe, le Grenelle de l’Environnement est suivi avec intérêt. Le Dr Nata Menabde, Directeur adjoint du Bureau, espère notamment que « des intentions fortes en ressortiront dans le domaine de l’environnement et de la santé ».
Au point d’entraîner une dynamique à l’échelle européenne ? « Cela peut bien évidemment être le cas » nous a-t-elle précisé. Ce qui sous-entend que les conclusions de ce Grenelle pourraient aussi servir de « boîte à idées » pour d’autres pays.
« Même si l’OMS n’est pas présente physiquement à ce rendez-vous puisque cela n’entre pas dans notre mandat, l’initiative est en adéquation avec ce que nous tentons d’impulser en Europe » poursuit Nata Menabde. A l’image par exemple, des initiatives déjà prises pour une réduction du recours aux pesticides.
« Nous sommes ravis que le Président Sarkozy soit parvenu à réunir toutes les parties concernées ». D’autant que le sujet est particulièrement d’actualité à l’OMS : l’Organisation vient en effet d’annoncer le thème de la Journée mondiale de la Santé 2008 : protéger la santé face au changement climatique…
[25 octobre 2007 - 12:46]
Au Bureau régional de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour l’Europe, le Grenelle de l’Environnement est suivi avec intérêt. Le Dr Nata Menabde, Directeur adjoint du Bureau, espère notamment que « des intentions fortes en ressortiront dans le domaine de l’environnement et de la santé ».
Au point d’entraîner une dynamique à l’échelle européenne ? « Cela peut bien évidemment être le cas » nous a-t-elle précisé. Ce qui sous-entend que les conclusions de ce Grenelle pourraient aussi servir de « boîte à idées » pour d’autres pays.
« Même si l’OMS n’est pas présente physiquement à ce rendez-vous puisque cela n’entre pas dans notre mandat, l’initiative est en adéquation avec ce que nous tentons d’impulser en Europe » poursuit Nata Menabde. A l’image par exemple, des initiatives déjà prises pour une réduction du recours aux pesticides.
« Nous sommes ravis que le Président Sarkozy soit parvenu à réunir toutes les parties concernées ». D’autant que le sujet est particulièrement d’actualité à l’OMS : l’Organisation vient en effet d’annoncer le thème de la Journée mondiale de la Santé 2008 : protéger la santé face au changement climatique…
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Diabète : où en est la prise en charge en France ?
[26 octobre 2007 - 07:50]
Etat de santé des diabétiques, qualité et coûts de leur prise en charge… En 2001, la première étude Entred avait démontré l’insuffisance de la qualité de la prise en charge de ces malades. Qu’en est-il 6 ans après ? Mis en oeuvre récemment, le second volet de l’étude devrait nous en dire davantage.
Au total, 9 000 diabétiques de métropole et des départements d’outre-mer vont participer à ce travail. "Ils seront contactés par un médecin-conseil de leur Assurance-maladie jusqu’en novembre 2007", expliquent dans un communiqué conjoint les autorités sanitaires (Ministère de la Santé, InVS, HAS, INPES…) et l’Association française des Diabétiques (AFD).
Les résultats sont attendus avec impatience. Car le diabète est en pleine expansion. Chaque année en France, le nombre de malades augmente de 5,7% pour atteindre actuellement plus de 2,3 millions de personnes. Soit près de 4% de la population.
L’étude Entred 2007 devrait donc permettre d’estimer l’évolution de la prise en charge de la maladie depuis 2001. Et cela au moment où le débat sur les franchises médicales bat son plein. Des franchises qui inquiètent d’ailleurs l’AFD. A ses yeux, « elles vont accentuer les inégalités sociales. C’est une véritable politique de prévention et de prise en charge précoce qui permettra de réaliser des économies ».
[26 octobre 2007 - 07:50]
Etat de santé des diabétiques, qualité et coûts de leur prise en charge… En 2001, la première étude Entred avait démontré l’insuffisance de la qualité de la prise en charge de ces malades. Qu’en est-il 6 ans après ? Mis en oeuvre récemment, le second volet de l’étude devrait nous en dire davantage.
Au total, 9 000 diabétiques de métropole et des départements d’outre-mer vont participer à ce travail. "Ils seront contactés par un médecin-conseil de leur Assurance-maladie jusqu’en novembre 2007", expliquent dans un communiqué conjoint les autorités sanitaires (Ministère de la Santé, InVS, HAS, INPES…) et l’Association française des Diabétiques (AFD).
Les résultats sont attendus avec impatience. Car le diabète est en pleine expansion. Chaque année en France, le nombre de malades augmente de 5,7% pour atteindre actuellement plus de 2,3 millions de personnes. Soit près de 4% de la population.
L’étude Entred 2007 devrait donc permettre d’estimer l’évolution de la prise en charge de la maladie depuis 2001. Et cela au moment où le débat sur les franchises médicales bat son plein. Des franchises qui inquiètent d’ailleurs l’AFD. A ses yeux, « elles vont accentuer les inégalités sociales. C’est une véritable politique de prévention et de prise en charge précoce qui permettra de réaliser des économies ».
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