Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Explosion des diabètes infantiles en France
[13 novembre 2007 - 14:05]
A l’occasion de la Journée mondiale du Diabète qui se tient demain, le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) publie un numéro thématique dédié aux diabètes de l’enfant, en France. Ses rédacteurs s’inquiètent naturellement, de la constante augmentation des diabètes de type I chez les moins de 4 ans, et du type II chez les ados.
La situation est en effet préoccupante. Avec une progression de 75% du type I chez les moins de 4 ans en une décennie, et une explosion du type II – les données manquent mais la tendance est confirmée - chez les adolescents, la France n’échappe pas à la situation qui prévaut dans tous les pays européens. Sans parler des Etats-Unis où les chiffres sont encore plus impressionnants.
Comme l’expliquent les éditorialistes du BEH, « l’accroissement de l’obésité, tout particulièrement dans l’enfance, pourrait fort bien être en cause dans l’augmentation de la prévalence des deux types de diabète chez les moins de 20 ans ».
Et il faut bien lire « des deux types de diabètes ». Car si le concours de l’obésité est confirmé dans 80% des cas de diabète de type II, son rôle dans la survenue du type I fait toujours débat. Mais nos éditorialistes n’hésitent pas à ouvrir une piste pour la prévention, avançant qu’ « il n’est pas illogique de penser que l’insulinorésistance liée au surpoids accélère la décomposition des cellules bétâ-pancréatiques fragilisées par le processus auto-immun, caractéristique du diabète de type I ». Ouf ! En clair la flambée du diabète quel qu’en soit le type, plongerait ses racines dans notre mode de vie occidental… Quand on sait qu’en 2010, un petit Européen sur dix sera obèse, c’est inquiétant…
[13 novembre 2007 - 14:05]
A l’occasion de la Journée mondiale du Diabète qui se tient demain, le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) publie un numéro thématique dédié aux diabètes de l’enfant, en France. Ses rédacteurs s’inquiètent naturellement, de la constante augmentation des diabètes de type I chez les moins de 4 ans, et du type II chez les ados.
La situation est en effet préoccupante. Avec une progression de 75% du type I chez les moins de 4 ans en une décennie, et une explosion du type II – les données manquent mais la tendance est confirmée - chez les adolescents, la France n’échappe pas à la situation qui prévaut dans tous les pays européens. Sans parler des Etats-Unis où les chiffres sont encore plus impressionnants.
Comme l’expliquent les éditorialistes du BEH, « l’accroissement de l’obésité, tout particulièrement dans l’enfance, pourrait fort bien être en cause dans l’augmentation de la prévalence des deux types de diabète chez les moins de 20 ans ».
Et il faut bien lire « des deux types de diabètes ». Car si le concours de l’obésité est confirmé dans 80% des cas de diabète de type II, son rôle dans la survenue du type I fait toujours débat. Mais nos éditorialistes n’hésitent pas à ouvrir une piste pour la prévention, avançant qu’ « il n’est pas illogique de penser que l’insulinorésistance liée au surpoids accélère la décomposition des cellules bétâ-pancréatiques fragilisées par le processus auto-immun, caractéristique du diabète de type I ». Ouf ! En clair la flambée du diabète quel qu’en soit le type, plongerait ses racines dans notre mode de vie occidental… Quand on sait qu’en 2010, un petit Européen sur dix sera obèse, c’est inquiétant…
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Asthme et BPCO : rappel de deux lots de Bricanyl
[13 novembre 2007 - 16:57]
En accord avec l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS), le laboratoire Astra Zeneca a procédé au rappel des lots 76912 et 76914 (péremption 04/2010 et 06/2010) de sa spécialité Bricanyl LP 5 mg.
Ce rappel fait suite à la mise en évidence de comprimés tachés lors du conditionnement d’un autre lot de Bricanyl, qui ne fut pas commercialisé en France. L’agence souligne ainsi que « des analyses complémentaires ont révélé une contamination croisée par des traces de naproxène », un anti-inflammatoire non-stéroïdien.
Bricanyl LP est un broncho-dilatateur qui permet de lutter contre la contraction anormale des bronches dans certaines conditions. Il est indiqué dans le traitement de fond de l’asthme et de certaines maladies des bronches comme la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO). L’AFSSaPS précise qu’aucun effet indésirable lié à cet accident de production n’a été rapporté à ce jour.
[13 novembre 2007 - 16:57]
En accord avec l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS), le laboratoire Astra Zeneca a procédé au rappel des lots 76912 et 76914 (péremption 04/2010 et 06/2010) de sa spécialité Bricanyl LP 5 mg.
Ce rappel fait suite à la mise en évidence de comprimés tachés lors du conditionnement d’un autre lot de Bricanyl, qui ne fut pas commercialisé en France. L’agence souligne ainsi que « des analyses complémentaires ont révélé une contamination croisée par des traces de naproxène », un anti-inflammatoire non-stéroïdien.
Bricanyl LP est un broncho-dilatateur qui permet de lutter contre la contraction anormale des bronches dans certaines conditions. Il est indiqué dans le traitement de fond de l’asthme et de certaines maladies des bronches comme la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO). L’AFSSaPS précise qu’aucun effet indésirable lié à cet accident de production n’a été rapporté à ce jour.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Maladie d’Alzheimer : combien de cas en France ?
[14 novembre 2007 - 07:50]
Quelques jours après la sortie du rapport Ménard, l’INSERM publie une expertise collective sobrement intitulée Maladie d’Alzheimer, Enjeux scientifiques, médicaux et sociétaux. Pour ses auteurs, la priorité est d’obtenir « une connaissance précise du nombre de cas de maladie d’Alzheimer en France ».
A leurs yeux, cela « apparaît en effet indispensable pour définir l’envergure des actions à mener ». Aujourd’hui « les estimations, probablement sous-évaluées », indiquent qu’il y aurait parmi les plus de 65 ans 850 000 cas de démence avérée. Dont 70% -soit 595 000- seraient des maladies d’Alzheimer.
Les femmes seraient trois fois plus nombreuses que les hommes. Quant à l’avenir, il paraît des plus sombres : si l’espérance de vie continue d’augmenter au rythme actuel, les experts prévoient d’ici 20 ans un doublement du nombre de personnes atteintes.
Outre l’amélioration des données épidémiologiques, les auteurs de l’expertise insistent sur l’importance d’appuyer la recherche « pour améliorer demain, le diagnostic et la prise en charge ». Dans le but par exemple de « reconnaître et analyser les premiers troubles cognitifs » susceptibles de conduire à une démence.
[14 novembre 2007 - 07:50]
Quelques jours après la sortie du rapport Ménard, l’INSERM publie une expertise collective sobrement intitulée Maladie d’Alzheimer, Enjeux scientifiques, médicaux et sociétaux. Pour ses auteurs, la priorité est d’obtenir « une connaissance précise du nombre de cas de maladie d’Alzheimer en France ».
A leurs yeux, cela « apparaît en effet indispensable pour définir l’envergure des actions à mener ». Aujourd’hui « les estimations, probablement sous-évaluées », indiquent qu’il y aurait parmi les plus de 65 ans 850 000 cas de démence avérée. Dont 70% -soit 595 000- seraient des maladies d’Alzheimer.
Les femmes seraient trois fois plus nombreuses que les hommes. Quant à l’avenir, il paraît des plus sombres : si l’espérance de vie continue d’augmenter au rythme actuel, les experts prévoient d’ici 20 ans un doublement du nombre de personnes atteintes.
Outre l’amélioration des données épidémiologiques, les auteurs de l’expertise insistent sur l’importance d’appuyer la recherche « pour améliorer demain, le diagnostic et la prise en charge ». Dans le but par exemple de « reconnaître et analyser les premiers troubles cognitifs » susceptibles de conduire à une démence.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
L’épidémie de chikungunya en 2006, liée à une mutation du virus
[14 novembre 2007 - 11:57]
Pour expliquer au moins en partie l’épidémie de chikungunya qui a frappé la Réunion début 2006, l’Institut Pasteur pointe du doigt une mutation du virus. Celle-ci aurait facilité à ce dernier la pénétration du vecteur - le moustique Aedes albopictus. Sans oublier les conditions particulières à la Réunion (environnement, hygiène) qui elles aussi ont alimenté l’épidémie.
Dès le printemps 2006, des chercheurs de l’Institut avaient mis en évidence une mutation particulière du virus. Ils ont montré que les Aedes albopictus transmettaient deux fois mieux le virus mutant que le virus non muté.
Quant au risque de chikungunya dans le Sud de la France, il est jugé non négligeable. « La présence d’Aedes Albopictus dans les zones touristiques du Sud de la France et de la Corse, doit être considérée comme une menace potentielle pour l’émergence du virus du chikungunya », prévient Anna-Bella Failloux, de l’Institut Pasteur.
[14 novembre 2007 - 11:57]
Pour expliquer au moins en partie l’épidémie de chikungunya qui a frappé la Réunion début 2006, l’Institut Pasteur pointe du doigt une mutation du virus. Celle-ci aurait facilité à ce dernier la pénétration du vecteur - le moustique Aedes albopictus. Sans oublier les conditions particulières à la Réunion (environnement, hygiène) qui elles aussi ont alimenté l’épidémie.
Dès le printemps 2006, des chercheurs de l’Institut avaient mis en évidence une mutation particulière du virus. Ils ont montré que les Aedes albopictus transmettaient deux fois mieux le virus mutant que le virus non muté.
Quant au risque de chikungunya dans le Sud de la France, il est jugé non négligeable. « La présence d’Aedes Albopictus dans les zones touristiques du Sud de la France et de la Corse, doit être considérée comme une menace potentielle pour l’émergence du virus du chikungunya », prévient Anna-Bella Failloux, de l’Institut Pasteur.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Contre l’herpès, des solutions existent
[15 novembre 2007 - 09:50]
« Miroir, mon beau miroir… » Dans une société où l’apparence est capitale, un simple bouton d’herpès sur le visage peut être ressenti comme un véritable handicap social. Et il s’ensuit alors des sensations de mal-être, de rejet, de gêne dans les relations…
Chez certains patients, la maladie provoque des perturbations psychologiques sans commune mesure avec la douleur réellement occasionnée par cette infection. Pourtant, quelques précautions toutes simples permettraient d’atténuer la fréquence et l’ampleur de la gêne liée à l’herpès :
D’abord en cas de crise, n’attendez pas trop. Consultez votre médecin traitant dès les signes annonciateurs de la crise. Il pourra prescrire, rapidement, un antiviral ;
Lavez-vous soigneusement et très souvent les mains ;
Ne vous touchez pas les yeux ;
Evitez le contact direct du bouton avec votre entourage. Et faites preuve d’une vigilance particulière vis-à-vis des personnes fragiles comme les femmes enceintes, les nouveaux-nés et tous les malades ;
Evitez naturellement, de partager votre linge et vos objets de toilette ;
Protégez-vous les lèvres avec un écran total.
Et en dehors des crises, prenez conseil auprès de votre médecin. Il vous informera sur les traitements qui permettent de réduire la fréquence des crises. Et suivez également les conseils suivants :
Dialoguez avec votre partenaire pour limiter au maximum les risques de transmission ;
Evitez au maximum les situations de stress et de tensions susceptibles de provoquer une crise ;
Si vous devez vous exposer au soleil, utilisez toujours une crème solaire ;
Apprenez enfin à reconnaître les signes annonciateurs d’une crise. Vous pourrez débuter le traitement le plus rapidement possible.
[15 novembre 2007 - 09:50]
« Miroir, mon beau miroir… » Dans une société où l’apparence est capitale, un simple bouton d’herpès sur le visage peut être ressenti comme un véritable handicap social. Et il s’ensuit alors des sensations de mal-être, de rejet, de gêne dans les relations…
Chez certains patients, la maladie provoque des perturbations psychologiques sans commune mesure avec la douleur réellement occasionnée par cette infection. Pourtant, quelques précautions toutes simples permettraient d’atténuer la fréquence et l’ampleur de la gêne liée à l’herpès :
D’abord en cas de crise, n’attendez pas trop. Consultez votre médecin traitant dès les signes annonciateurs de la crise. Il pourra prescrire, rapidement, un antiviral ;
Lavez-vous soigneusement et très souvent les mains ;
Ne vous touchez pas les yeux ;
Evitez le contact direct du bouton avec votre entourage. Et faites preuve d’une vigilance particulière vis-à-vis des personnes fragiles comme les femmes enceintes, les nouveaux-nés et tous les malades ;
Evitez naturellement, de partager votre linge et vos objets de toilette ;
Protégez-vous les lèvres avec un écran total.
Et en dehors des crises, prenez conseil auprès de votre médecin. Il vous informera sur les traitements qui permettent de réduire la fréquence des crises. Et suivez également les conseils suivants :
Dialoguez avec votre partenaire pour limiter au maximum les risques de transmission ;
Evitez au maximum les situations de stress et de tensions susceptibles de provoquer une crise ;
Si vous devez vous exposer au soleil, utilisez toujours une crème solaire ;
Apprenez enfin à reconnaître les signes annonciateurs d’une crise. Vous pourrez débuter le traitement le plus rapidement possible.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Quand l’allaitement va droit au cœur…
[16 novembre 2007 - 07:55]
Une nouvelle étude confirme les bienfaits de l’allaitement maternel pour les nourrissons. A l’âge adulte, ces derniers présenteraient moins de facteurs de risque cardio-vasculaires. Avec notamment un taux de HDL-cholestérol - le bon cholestérol - plus élevé que celui de sujets non allaités.
Le Pr Nisha Parikh du Beth Israel Deaconess Medical Center de Boston, a travaillé à partir de la fameuse étude de Framingham. Débutée en 1948 aux Etats-Unis avec pour ambition d’améliorer la recherche sur les maladies cardio-vasculaires, elle porte désormais sur trois générations !
L’auteur s’est concentré sur 962 adultes. « Parmi celles et ceux qui ont bénéficié d’un allaitement maternel, nous avons constaté que leur indice de masse corporelle (IMC) était en moyenne inférieur d’un point par rapport aux autres personnes non allaitées », précise l’auteur.
[16 novembre 2007 - 07:55]
Une nouvelle étude confirme les bienfaits de l’allaitement maternel pour les nourrissons. A l’âge adulte, ces derniers présenteraient moins de facteurs de risque cardio-vasculaires. Avec notamment un taux de HDL-cholestérol - le bon cholestérol - plus élevé que celui de sujets non allaités.
Le Pr Nisha Parikh du Beth Israel Deaconess Medical Center de Boston, a travaillé à partir de la fameuse étude de Framingham. Débutée en 1948 aux Etats-Unis avec pour ambition d’améliorer la recherche sur les maladies cardio-vasculaires, elle porte désormais sur trois générations !
L’auteur s’est concentré sur 962 adultes. « Parmi celles et ceux qui ont bénéficié d’un allaitement maternel, nous avons constaté que leur indice de masse corporelle (IMC) était en moyenne inférieur d’un point par rapport aux autres personnes non allaitées », précise l’auteur.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Gare au « syndrome de la bedaine » ! Surveillez votre tour de taille…
[16 novembre 2007 - 11:08]
Autrefois synonyme d’opulence, le « gros ventre » n’a plus bonne presse. En tout cas auprès des médecins. Dans son ouvrage, « Surveillez votre ventre », le Dr Boris Hansel de la Pitié-Salpêtrière (Paris) rappelle les causes et les risques associés à ce « syndrome de la bedaine ». Il traduit ce que l’on affuble quelquefois d’un nom à la mode mais… contesté : le « syndrome métabolique ».
« Il est déclenché par un excès de graisse à l’intérieur du ventre » nous explique-t-il. « Cette surcharge abdominale est responsable de nombreuses anomalies : prédiabète, excès de graisses dans le sang, hypertension… Elle peut entraîner l’apparition de maladies cardio-vasculaires, de cirrhose, d’infertilité et d’apnées du sommeil ».
Le tour de taille apparaît donc comme un vrai signal d’alerte. Chez une femme, sa valeur standard se situe en dessous de 80 cm. Au-delà, les spécialistes parlent de tour de taille élevé voire très élevé s’il dépasse 88 cm. Chez l’homme il doit être inférieur à 94 cm. Et l’on parle de « gros ventre » à partir de 102 cm.
Reste toutefois à bien réaliser la mesure. Pour cela, suivez les conseils du Dr Hansel : « prenez un mètre ruban, placez-le à mi-distance entre la dernière côte et le haut de l’os de la hanche. Tendez-le autour du ventre sans le serrer ni l’éloigner de la peau ».
[16 novembre 2007 - 11:08]
Autrefois synonyme d’opulence, le « gros ventre » n’a plus bonne presse. En tout cas auprès des médecins. Dans son ouvrage, « Surveillez votre ventre », le Dr Boris Hansel de la Pitié-Salpêtrière (Paris) rappelle les causes et les risques associés à ce « syndrome de la bedaine ». Il traduit ce que l’on affuble quelquefois d’un nom à la mode mais… contesté : le « syndrome métabolique ».
« Il est déclenché par un excès de graisse à l’intérieur du ventre » nous explique-t-il. « Cette surcharge abdominale est responsable de nombreuses anomalies : prédiabète, excès de graisses dans le sang, hypertension… Elle peut entraîner l’apparition de maladies cardio-vasculaires, de cirrhose, d’infertilité et d’apnées du sommeil ».
Le tour de taille apparaît donc comme un vrai signal d’alerte. Chez une femme, sa valeur standard se situe en dessous de 80 cm. Au-delà, les spécialistes parlent de tour de taille élevé voire très élevé s’il dépasse 88 cm. Chez l’homme il doit être inférieur à 94 cm. Et l’on parle de « gros ventre » à partir de 102 cm.
Reste toutefois à bien réaliser la mesure. Pour cela, suivez les conseils du Dr Hansel : « prenez un mètre ruban, placez-le à mi-distance entre la dernière côte et le haut de l’os de la hanche. Tendez-le autour du ventre sans le serrer ni l’éloigner de la peau ».
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Pour la santé publique, rien n’égale la vaccination !
[16 novembre 2007 - 12:17]
Coqueluche, poliomyélite, tétanos…Une nouvelle étude américaine vient confirmer chiffres à l’appui, que la vaccination systématique des nourrissons donne des résultats plus que satisfaisants en termes de santé publique. Y compris le vaccin contre l’hépatite B, pourtant si décrié en France !
Sandra W. Roush et ses collègues des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) d’Atlanta, ont passé au tamis les données (nombre de cas, taux de mortalité) concernant 13 maladies enregistrées aux Etats-Unis avant 2005 : oreillons, variole et diphtérie, coqueluche, rougeole et rubéole, haemophilus influenzae de type b (Hib), tétanos et poliomyélite, varicelle, hépatites A et B, infections pneumococciques. Les auteurs ont ensuite comparé ces données à celles rapportées à partir de 2006, c’est-à-dire après l’instauration aux Etats-Unis de la vaccination obligatoire des nourrissons contre l’ensemble de ces maladies.
Le résultat est sans appel. Dès la fin de l’année 2006, les cas de diphtérie ont chuté « de plus de » 99%. Le même tableau positif a été constaté pour la rougeole et la rubéole qui ont baissé de 99,9%, pour la poliomyélite (-100%) et la varicelle (-85%).
Les statistiques concernant la mortalité sont tout aussi impressionnantes. En un an, le taux pour la varicelle a ainsi chuté de près de 82% dans l’ensemble des Etats-Unis. Un recul de 25,4% a également été observé pour les pneumococcies invasives.
Le dernier point et non des moindres, concerne les hépatites A et B. La première a vu son taux de mortalité chuter de 86,9% et la seconde de 80,2%. Une réalité qui devrait faire réfléchir les Français qui demeurent frileux – ils sont les seuls parmi les pays développés…- vis-à-vis de la vaccination des enfants contre l’hépatite B. Une attitude liée à la rumeur lancée dans le pays à la fin des années 90, selon laquelle cette vaccination aurait induit des cas de sclérose en plaques (SEP). Maintes fois démentie par les données scientifiques, la rumeur circule toujours dans les foyers français… et parmi certains médecins, au grand dam de l’OMS. Résultat, la couverture vaccinale contre cette maladie est aujourd’hui très faible en milieu scolaire : elle oscille entre 33% et 42% seulement…
[16 novembre 2007 - 12:17]
Coqueluche, poliomyélite, tétanos…Une nouvelle étude américaine vient confirmer chiffres à l’appui, que la vaccination systématique des nourrissons donne des résultats plus que satisfaisants en termes de santé publique. Y compris le vaccin contre l’hépatite B, pourtant si décrié en France !
Sandra W. Roush et ses collègues des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) d’Atlanta, ont passé au tamis les données (nombre de cas, taux de mortalité) concernant 13 maladies enregistrées aux Etats-Unis avant 2005 : oreillons, variole et diphtérie, coqueluche, rougeole et rubéole, haemophilus influenzae de type b (Hib), tétanos et poliomyélite, varicelle, hépatites A et B, infections pneumococciques. Les auteurs ont ensuite comparé ces données à celles rapportées à partir de 2006, c’est-à-dire après l’instauration aux Etats-Unis de la vaccination obligatoire des nourrissons contre l’ensemble de ces maladies.
Le résultat est sans appel. Dès la fin de l’année 2006, les cas de diphtérie ont chuté « de plus de » 99%. Le même tableau positif a été constaté pour la rougeole et la rubéole qui ont baissé de 99,9%, pour la poliomyélite (-100%) et la varicelle (-85%).
Les statistiques concernant la mortalité sont tout aussi impressionnantes. En un an, le taux pour la varicelle a ainsi chuté de près de 82% dans l’ensemble des Etats-Unis. Un recul de 25,4% a également été observé pour les pneumococcies invasives.
Le dernier point et non des moindres, concerne les hépatites A et B. La première a vu son taux de mortalité chuter de 86,9% et la seconde de 80,2%. Une réalité qui devrait faire réfléchir les Français qui demeurent frileux – ils sont les seuls parmi les pays développés…- vis-à-vis de la vaccination des enfants contre l’hépatite B. Une attitude liée à la rumeur lancée dans le pays à la fin des années 90, selon laquelle cette vaccination aurait induit des cas de sclérose en plaques (SEP). Maintes fois démentie par les données scientifiques, la rumeur circule toujours dans les foyers français… et parmi certains médecins, au grand dam de l’OMS. Résultat, la couverture vaccinale contre cette maladie est aujourd’hui très faible en milieu scolaire : elle oscille entre 33% et 42% seulement…
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
La grippe arrive… vaccinez-vous !
[16 novembre 2007 - 17:08]
La panique n’est pas de mise, mais les premiers cas de grippe sont déjà là ! Alors avant que ne soit atteint le seuil épidémique, il est encore temps de vous faire vacciner. L’Assurance-maladie le recommande d’ailleurs aux populations les plus fragiles.
Car la grippe peut entraîner des complications sérieuses et parfois mortelles. Les plus de 65 ans, les malades atteints d’affections de longue durée (ALD) - diabète, maladies cardiovasculaires ou respiratoires - y sont particulièrement exposés.
Les candidats à la vaccination, doivent maintenant se hâter. Et pas seulement ceux qui relèvent de ces deux catégories. Les groupes à risque vont bien au-delà de cette définition. Les jeunes et les adolescents, qui vivent en communauté dans le cadre scolaire sont également concernés. Tout comme les actifs tels les enseignants, les employés, les usagers de services publics et les commerçants... Et enfin toutes celles et ceux qui voyagent beaucoup.
[16 novembre 2007 - 17:08]
La panique n’est pas de mise, mais les premiers cas de grippe sont déjà là ! Alors avant que ne soit atteint le seuil épidémique, il est encore temps de vous faire vacciner. L’Assurance-maladie le recommande d’ailleurs aux populations les plus fragiles.
Car la grippe peut entraîner des complications sérieuses et parfois mortelles. Les plus de 65 ans, les malades atteints d’affections de longue durée (ALD) - diabète, maladies cardiovasculaires ou respiratoires - y sont particulièrement exposés.
Les candidats à la vaccination, doivent maintenant se hâter. Et pas seulement ceux qui relèvent de ces deux catégories. Les groupes à risque vont bien au-delà de cette définition. Les jeunes et les adolescents, qui vivent en communauté dans le cadre scolaire sont également concernés. Tout comme les actifs tels les enseignants, les employés, les usagers de services publics et les commerçants... Et enfin toutes celles et ceux qui voyagent beaucoup.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Journée nationale de la trisomie 21 dimanche
AFP - il y a 1 heure 32 minutes
PARIS (AFP) - Plusieurs opérations de sensibilisation sont prévues dimanche dans plus de 60 villes à l'occasion de la 5e Journée nationale de la trisomie 21, "journée de partage et de convivialité" organisée par la fédération Trisomie 21 France.
Ces rencontres revêtiront des formes multiples: opérations petits-déjeuners, journées portes ouvertes, baptêmes moto, défilés de mode, stands sur les marchés, cours de cuisine, rencontres sportives, expositions de photos ou de peintures....
La trisomie 21 est la plus fréquente des anomalies chromosomiques. Elle est due à la présence d'un chromosome surnuméraire (47 au lieu de 46) sur la 21e paire et peut se traduire par de multiples malformations anatomiques et une déficience mentale plus ou moins sévère.
En France, "il naît actuellement plus d'un bébé porteur de trisomie 21 par jour", indique Trisomie 21 France, selon laquelle la prévalence est estimée à 1/2.000 naissances.
Trisomie 21 France, qui regroupe 61 associations départementales, rassemble la Fédération des associations pour l'insertion sociale des personnes porteuses d'une trisomie 21 (FAIT 21) et les Groupes d'étude pour l'insertion sociale des personnes porteuses d'une trisomie 21 (GEIST 21).
AFP - il y a 1 heure 32 minutes
PARIS (AFP) - Plusieurs opérations de sensibilisation sont prévues dimanche dans plus de 60 villes à l'occasion de la 5e Journée nationale de la trisomie 21, "journée de partage et de convivialité" organisée par la fédération Trisomie 21 France.
Ces rencontres revêtiront des formes multiples: opérations petits-déjeuners, journées portes ouvertes, baptêmes moto, défilés de mode, stands sur les marchés, cours de cuisine, rencontres sportives, expositions de photos ou de peintures....
La trisomie 21 est la plus fréquente des anomalies chromosomiques. Elle est due à la présence d'un chromosome surnuméraire (47 au lieu de 46) sur la 21e paire et peut se traduire par de multiples malformations anatomiques et une déficience mentale plus ou moins sévère.
En France, "il naît actuellement plus d'un bébé porteur de trisomie 21 par jour", indique Trisomie 21 France, selon laquelle la prévalence est estimée à 1/2.000 naissances.
Trisomie 21 France, qui regroupe 61 associations départementales, rassemble la Fédération des associations pour l'insertion sociale des personnes porteuses d'une trisomie 21 (FAIT 21) et les Groupes d'étude pour l'insertion sociale des personnes porteuses d'une trisomie 21 (GEIST 21).
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée
- aneso81
- Insatiable
- Messages : 624
- Inscription : 10 juil. 2007 14:10
- Localisation : Dans les nuages!!!xD
Des experts soulignent les dangers des pilules anti-obésité
AP - Vendredi 16 novembre, 17h16
LONDRES - Trois médicaments anti-obésité largement utilisés non seulement ne donneraient pas de résultats spectaculaires, mais auraient aussi des effets secondaires importants, selon une étude publiée vendredi dans le British Medical Journal.
Bien que la majorité de leurs utilisateurs restent trop gros, les experts estiment que ces molécules peuvent inverser la courbe des conséquences de l'obésité, en réduisant le nombre d'accidents cardiaques, de diabète et d'autres problèmes de santé.
Des chercheurs canadiens et brésiliens ont analysé les données existantes concernant trois des médicaments anti-obésité les plus prescrits: l'orlistat ou Xenical, la sibutramine ou Reductil, et le rimonabant ou Acomplia.
Selon ces données, les patients prenant ces médicaments, des hommes et des femmes âgés de 45 à 50 ans, et pesant environ 100 kilos, pour un indice de masse corporelle (IMC) de 35 environ, ont perdu moins de 5 kilos en moyenne. Le traitement avait duré de un à quatre ans.
Pour les experts, les quelques kilos que les patients perdent valent le coup. "Une perte de poids modeste apporte des bénéfices surprenants en terme de santé", a résumé Susan Jebb, directrice de la nutrition et de la santé au Conseil de la recherche médicale britannique. Susan Jebb est extérieure à tout autre étude.
"Nous ne cherchons pas simplement à combattre l'obésité, mais les choses qui l'accompagnent", a-t-elle ajouté. Ne perdre que deux kilos peut aider à réduire le risque de diabète et de maladies cardio-vasculaires.
"Ces médicaments ne sont pas un traitement miracle et ne sont pas valables pour tout le monde", a déclaré le Dr Raj Padwal, professeur assistant à l'Université d'Alberta, Canada. "Mais chez certains patients, ils ont des effets bénéfiques importants".
Padwal et ses collègues se sont penchés sur 16 études portant sur l'orlistat, et portant au total sur 10.631 personnes. Orlisat, qui agit en empêchant la digestion des graisses, aide les gens à perdre environ trois kilos en moyenne. Mais la molécule réduit le diabète, et améliore le taux de cholestérol et la tension artérielle. Toutefois, près de 30% des patients ont souffert d'effets secondaires digestifs et intestinaux désagréables, notamment d'incontinence.
Sur les 10 études concernant la sibutramine, qui inclut 2.623 personnes, les participants avaient perdu environ quatre kilos en moyenne et avaient amélioré leur taux de cholestérol. Pour près de 20% des patients, la sibutramine provoque des effets secondaires, notamment une augmentation de la tension artérielle et du pouls, une insomnie et des nausées.
Enfin, concernant les quatre études sur le rimonabant incluant 6.365 personnes, les scientifiques ont découvert que les utilisateurs ont perdu environ cinq kilos. Par ailleurs, le rimonabant, améliore la pression artérielle et le taux de cholestérol. Mais le risque de troubles de l'humeur augmente chez 6% des patients.
La sibutramine et le rimonabant agissent en interrompant l'influx nerveux dans le cerveau.
Une autre étude publiée vendredi dans "The Lancet" a aussi montré que la rimonabant augmentait le risque de problèmes psychiatriques, notamment de dépression et d'anxiété.
Un rapport émanant de la Food and Drug Administration (FDA, l'agence américaine du médicament), publié en juin souligne que 26% des personnes sous rimonabant, contre 14% seulement de celles sous placebo, ont souffert de dépression, d'anxiété et, dans des cas plus sévères, d'idées suicidaires. La FDA s'est en conséquence opposée à la commercialisation de cette molécule.
Le Rimonabant qui a été approuvé par l'Agence européenne, est disponible dans différents pays, notamment en Autriche, au Danemark, en Allemagne, en Grèce et au Royaume-Uni.
La sibutramine et l'orlistat ont tous les deux des licences pour être vendus aux Etats-Unis et en Europe. Une autre forme d'orlistat baptisée Alli est vendue sans ordonnance aux Etats-Unis, et son fabricant, GlaxoSmithKline PLC, attend une autorisation pour des ventes en Europe.
L'obésité est en augmentation dans le monde. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que trois milliards d'adultes seront trop gros ou obèses en 2015.
AP - Vendredi 16 novembre, 17h16
LONDRES - Trois médicaments anti-obésité largement utilisés non seulement ne donneraient pas de résultats spectaculaires, mais auraient aussi des effets secondaires importants, selon une étude publiée vendredi dans le British Medical Journal.
Bien que la majorité de leurs utilisateurs restent trop gros, les experts estiment que ces molécules peuvent inverser la courbe des conséquences de l'obésité, en réduisant le nombre d'accidents cardiaques, de diabète et d'autres problèmes de santé.
Des chercheurs canadiens et brésiliens ont analysé les données existantes concernant trois des médicaments anti-obésité les plus prescrits: l'orlistat ou Xenical, la sibutramine ou Reductil, et le rimonabant ou Acomplia.
Selon ces données, les patients prenant ces médicaments, des hommes et des femmes âgés de 45 à 50 ans, et pesant environ 100 kilos, pour un indice de masse corporelle (IMC) de 35 environ, ont perdu moins de 5 kilos en moyenne. Le traitement avait duré de un à quatre ans.
Pour les experts, les quelques kilos que les patients perdent valent le coup. "Une perte de poids modeste apporte des bénéfices surprenants en terme de santé", a résumé Susan Jebb, directrice de la nutrition et de la santé au Conseil de la recherche médicale britannique. Susan Jebb est extérieure à tout autre étude.
"Nous ne cherchons pas simplement à combattre l'obésité, mais les choses qui l'accompagnent", a-t-elle ajouté. Ne perdre que deux kilos peut aider à réduire le risque de diabète et de maladies cardio-vasculaires.
"Ces médicaments ne sont pas un traitement miracle et ne sont pas valables pour tout le monde", a déclaré le Dr Raj Padwal, professeur assistant à l'Université d'Alberta, Canada. "Mais chez certains patients, ils ont des effets bénéfiques importants".
Padwal et ses collègues se sont penchés sur 16 études portant sur l'orlistat, et portant au total sur 10.631 personnes. Orlisat, qui agit en empêchant la digestion des graisses, aide les gens à perdre environ trois kilos en moyenne. Mais la molécule réduit le diabète, et améliore le taux de cholestérol et la tension artérielle. Toutefois, près de 30% des patients ont souffert d'effets secondaires digestifs et intestinaux désagréables, notamment d'incontinence.
Sur les 10 études concernant la sibutramine, qui inclut 2.623 personnes, les participants avaient perdu environ quatre kilos en moyenne et avaient amélioré leur taux de cholestérol. Pour près de 20% des patients, la sibutramine provoque des effets secondaires, notamment une augmentation de la tension artérielle et du pouls, une insomnie et des nausées.
Enfin, concernant les quatre études sur le rimonabant incluant 6.365 personnes, les scientifiques ont découvert que les utilisateurs ont perdu environ cinq kilos. Par ailleurs, le rimonabant, améliore la pression artérielle et le taux de cholestérol. Mais le risque de troubles de l'humeur augmente chez 6% des patients.
La sibutramine et le rimonabant agissent en interrompant l'influx nerveux dans le cerveau.
Une autre étude publiée vendredi dans "The Lancet" a aussi montré que la rimonabant augmentait le risque de problèmes psychiatriques, notamment de dépression et d'anxiété.
Un rapport émanant de la Food and Drug Administration (FDA, l'agence américaine du médicament), publié en juin souligne que 26% des personnes sous rimonabant, contre 14% seulement de celles sous placebo, ont souffert de dépression, d'anxiété et, dans des cas plus sévères, d'idées suicidaires. La FDA s'est en conséquence opposée à la commercialisation de cette molécule.
Le Rimonabant qui a été approuvé par l'Agence européenne, est disponible dans différents pays, notamment en Autriche, au Danemark, en Allemagne, en Grèce et au Royaume-Uni.
La sibutramine et l'orlistat ont tous les deux des licences pour être vendus aux Etats-Unis et en Europe. Une autre forme d'orlistat baptisée Alli est vendue sans ordonnance aux Etats-Unis, et son fabricant, GlaxoSmithKline PLC, attend une autorisation pour des ventes en Europe.
L'obésité est en augmentation dans le monde. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que trois milliards d'adultes seront trop gros ou obèses en 2015.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
Vis un rêve éveillée