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HAMLET-30
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Message par HAMLET-30 »

Première baisse des cancers du sein en France

Martine Perez
19/02/2008 | Mise à jour : 10:24 | .
La diminution observée en France en 2005-2006 s'expliquerait par un moindre recours aux traitementsde la ménopause.
Le cancer du sein suivait une pente ascendante dans notre pays depuis le début des années 1980. Or pour la première fois, une enquête française met en évidence une diminution du nombre de nouveaux cas de cancer du sein en 2005 et en 2006. Les auteurs qui publient leurs résultats dans le Bulletin du cancer (janvier 2008) estiment que cette réduction est à mettre sur le compte de la chute de l'utilisation du traitement hormonal de la ménopause, en juillet 2002, après la publication d'une enquête américaine soulignant les risques d'un tel traitement. Cette baisse survient alors même que, le dépistage du cancer du sein s'étant généralisé en France, le nombre de cancers découverts aurait dû augmenter.

Ces premières données françaises corroborent les études publiées aux États-Unis l'an dernier qui faisaient état également de la même réduction du nombre de cancer du sein.

Le travail, initié par des médecins de la Caisse nationale d'assurance-maladie, se base sur les données du nombre de femmes atteintes par le cancer du sein et prises en charge entre 2000 et 2006. L'objectif était d'évaluer l'effet sur l'évolution de cette incidence de deux facteurs susceptibles de la modifier : la généralisation du dépistage et le coup d'arrêt à la diffusion massive des traitements hormonaux.

Les résultats montrent d'abord qu'entre 2000 et 2004 le nombre de nouveaux cas de cancer du sein en France progresse de 2,1 % par an (1,5 % pour les moins de 50 ans, 2,5 % pour les plus âgées). Le nombre de nouveaux cas a été maximal en 2004, avec 49 236 nouveaux cas recensés cette année-là par l'Assurance-maladie.

Depuis 2004, ce nombre n'a cessé de baisser (moins 4,3 % entre 2004 et 2005, et moins 3,3 % entre le premier semestre de 2005 et celui de 2006). Avec une diminution plus forte (6 %) pour les femmes de plus de 50 ans. En revanche, il n'y a pas eu de baisse significative chez celles de moins de 50 ans (moins 0,5 %) entre 2005 et 2006.


335 % de mammographies en plus

Comment expliquer une telle réduction ? «Entre 2002 et 2006, les traitements hormonaux exprimés en doses définies journalières pour 1 000 personnes et par jour ont diminué en France de 62 %», écrivent les auteurs de l'étude, Hubert Allemand, Brigitte Seradour, Alain Weill et Philippe Ricordeau. En l'espace de deux ans, les prescriptions ont chuté de moitié, avec la plus forte décroissance entre 2003 et 2004. Parallèlement, une forte majoration du nombre de mammographies dans le cadre du dépistage organisé est observée : 478 450 mammographies en 2000 contre 2 082 000 en 2006 soit une augmentation de plus 335 %.

Pour les auteurs de l'étude, il est clair que la réduction du nombre de cancer du sein est liée au reflux du traitement hormonal de la ménopause. «Bien qu'il n'existe pas de démonstration de causalité entre les traitements hormonaux et la baisse d'incidence des cancers du sein, il n'y a pas à notre connaissance d'autre modification majeure dans l'environnement français pouvant permettre une explication alternative à ce phénomène paradoxal : la baisse de l'incidence du cancer du sein en pleine période de déploiement de son programme de dépistage», expliquent les auteurs.

Ce phénomène n'est pas seulement franco-français. Il a été très bien documenté aux États-Unis où, après les résultats de l'étude en 2002 mettant en évidence les effets délétères du traitement hormonal, nombre de femmes ont aussi arrêté d'utiliser ces molécules. Il a également été mis en évidence au Canada et en Grande-Bretagne. Ces travaux sont d'autant plus importants qu'un certain nombre de médecins contestent le lien de causalité entre traitement hormonal et cancer du sein.
:choque: quelqu'un pourrait-il m'expliquer ? je ne suis pas sure d'avoir réellement compris :roll:
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Message par HAMLET-30 »

19 février 2008
Il est plus difficile de maigrir quand on a déjà fait de nombreux régimes
Vrai ! Surtout si on a enchaîné des régimes « yoyo » où l’on maigrit vite et où l’on reprend souvent aussitôt tous ses kilos plus quelques-uns en prime. Le corps n’oublie pas et il « résiste » aux régimes suivants. Seule option : une alimentation équilibrée au quotidien.
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Message par HAMLET-30 »

AUDIOVISUEL PUBLIC
Sarkozy va installer une commission
NOUVELOBS.COM | 19.02.2008 | 10:13

Le président de la République lance ce mardi la "commission pour la nouvelle télévision publique" chargée de proposer "les modalités de financement du nouveau modèle économique" des chaînes publiques, une fois la publicité supprimée. Jean-François Copé va la présider.
Jean-François Copé et Nicolas Sarkozy

(AFP)
Nicolas Sarkozy doit installer, mardi 19 février, une "commission pour la nouvelle télévision publique" chargée notamment de proposer "les modalités de financement du nouveau modèle économique" des chaînes publiques, qui ne diffuseraient plus de publicité.
La commission placée sous la présidence de Jean-François Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, sera composée de parlementaires et de professionnels et devra rendre ses conclusions avant la fin du mois de mai.
Le groupe socialiste à l'Assemblée nationale a fait savoir lundi par la voix de son président qu'il n'assisterait pas à l'installation de "la commission Copé" et qu'il "réserve sa décision concernant sa participation aux travaux". "Nous n'avons été ni consultés, ni même informés de la mission, de la composition et du périmètre de cette commission", dénonce Jean-Marc Ayrault dans un communiqué, accusant l'Elysée d'improviser "en 48 heures la constitution d'un groupe censé définir l'avenir du service public de l'audiovisuel". "Nous n'acceptons pas la désinvolture avec laquelle le Parlement est une nouvelle fois traité", a déclaré Jean-Marc Ayrault.

Nouveau cahier des charges

Avant l'installation de ce collège, le chef de l'Etat recevra les représentants des organisations syndicales de France Télévisions et Radio France, qui s'inquiètent de la disparition de la publicité comme source de financement de leurs émissions et ont organisé une grève mercredi dernier.
La commission devra aussi "faire des propositions permettant au gouvernement de rédiger le nouveau cahier des missions et des charges du groupe France Télévisions" et "proposer une nouvelle identité pour le service public audiovisuel à l'ère du numérique".
Le président Sarkozy avait créé la surprise le 8 janvier dernier en annonçant qu'il voulait "que l'on réfléchisse à une suppression totale de la publicité sur les chaînes publiques" et promettant une "véritable révolution culturelle dans le service public de la télévision" en 2008.
Il a promis qu'il n'y aurait "aucune évolution" du périmètre de France Télévisions, donc pas de privatisation ou de suppression de chaîne, et assuré que les recettes ainsi perdues seraient "compensées intégralement" "grâce à un financement très largement mutualisé sur la totalité des nouveaux moyens de communication". Il a ainsi évoqué une "taxe sur les recettes publicitaires accrues des chaînes privées" et une "taxe infinitésimale sur les chiffres d'affaire des nouveaux moyens de communication, comme l'accès à l'Internet ou la téléphonie mobile".

Un milliard de manque à gagner

Environ 75% des fonds de l'audiovisuel public proviennent de la redevance (2,3 milliards d'euros en 2006), à laquelle s'ajoutent 500 millions d'euros provenant du budget général de l'Etat, selon la Cour des comptes.
En 2007, les chaînes publiques ont encaissé quelque 1,05 milliard d'euros de recettes publicitaires, d'après le bilan annuel établi en janvier par la société de mesure des messages publicitaires Yacast. Les recettes de TF1 et M6 ont dans le même temps atteint respectivement 3,02 milliards d'euros (+0,8%) et 1,33 milliard d'euros (+4,6%), précise Yacast. Tous ces chiffres s'entendent comme des chiffres d'affaire bruts hors taxes. (Avec AP)
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Dowbette
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Message par Dowbette »

quelqu'un pourrait-il m'expliquer ? je ne suis pas sure d'avoir réellement compris


On observe une baisse du nombre de cancers du sein. De nombreuses études ont tenté d'établir un lien de causalité entre les traitement hormonaux et les cancers du sein mais il n'a jamais été prouvé. Or mise à part la chute de l'utilisation du traitement hormonal, on observe aucun changement dans l'environnement des français qui serait succeptible d'être la cause de la baisse du nombre de cancer. On en déduit donc que les traitements hormonaux sont un facteur de risque de cancer du sein.
IDE depuis le 31 mai 2012 ! :D
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Message par HAMLET-30 »

En cas d'AVC, trois minutes pour vivre

Crédit Photo : TF1-LCI Images de synthèse de l'activité d'un cerveauSelon des chercheurs canadiens, les conséquences d'un accident vasculaire cérébral peuvent être graves et permanentes dès les trois premières minutes.
Pour éviter des lésions permanentes, une seule solution : adapter son mode de vie pour écarter tout risque d'AVC !
- le 17/02/2008 - 17h30
C'est une étude qui remet en cause les idées reçues sur les accidents vasculaires cérébraux. Notamment celle, apparemment répandue, que l'on dispose de trois heures pour traiter ces attaques. Des chercheurs canadiens ont montré au contraire que ce type d'accident peut provoquer des dommages graves et permanents dans le cerveau en seulement trois minutes. Leurs travaux ont été publiés dans le numéro de février de la revue Neuroscience. Et leurs conclusions montrent que la prévention est la meilleure défense contre ce qui est, à ce jour, l'une des maladies les plus meurtrières dans le monde développé.

"Beaucoup de gens pensent : si j'ai une attaque cérébrale, je pourrai être soigné si j'arrive à l'hôpital dans les trois heures", détaille l'un de ces chercheurs, le Dr Tim Murphy, spécialiste du cerveau à l'université de Colombie-Britannique. Cela peut être le cas, "mais des changements structurels se produisent très rapidement et il est plus sûr de mesurer les facteurs de risque et de changer son mode de vie".

Une brusque décharge dans le cerveau

Environ 80% des AVC sont provoqués par des ischémies ou diminution brutale de l'apport sanguin provenant de caillots. Pour étudier les conséquences du phénomène, les chercheurs ont bloqué le flot sanguin dans le cerveau de souris de laboratoire et ont utilisé une technique d'imagerie médicale de pointe pour en étudier l'impact. Or, l'arrêt du flux sanguin provoque dans le cerveau une décharge électrique, appelée dépolarisation ischémique, qui endommage très rapidement les connexions entre neurones. Parfois dès l'interruption de l'irrigation sanguine. Un rétablissement rapide du flot sanguin dans le cerveau des souris permet de récupérer la plus grande partie des fonctions cérébrales, mais environ 6% des connexions ne se rétablissent pas, ont constaté les chercheurs.

La fenêtre de trois minutes avant des dommages permanents ne laisse même pas aux victimes d'AVC le temps d'appeler les secours : comme le note le Dr Murphy, "on ne peut pas traiter dans les trois minutes". Tabac, surpoids, manque d'activité physique, alcoolisme, diabète, stress et cholestérol figurent parmi les facteurs de risque pour les AVC, selon la Heart and Stroke Foundation qui a financé les travaux. D'où cette conclusion imparable : pour limiter les conséquences d'un AVC... il vaut mieux ne pas en avoir, et donc modifier son mode de vie en conséquence.

D'après agence
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Mich83l
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Message par Mich83l »

L'hôpital va recruter 200.000 personnes dans les 5 ans
(source : AFP, 19 février)


Des spots télévisés au ton décalé, un site internet ludique: une campagne d'information lancée mardi par le gouvernement vise à attirer les 15-20 ans vers les métiers d'un secteur hospitalier à l'image ternie, où 200.000 postes seront à pourvoir dans les cinq ans.

"200.000 emplois seront à pourvoir dans les cinq ans à venir à l'hôpital", a fait valoir devant la presse la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, qui a vanté des métiers diversifiés, "plus de 150", "qui donnent du sens à la vie" et qui "offrent des passerelles" et "des perspectives de carrière".

Ces prévisions de recrutement correspondent aux départs prévus en retraite.

La campagne du gouvernement se décline en deux spots TV: l'un met en scène un homme qui se casse une jambe dans son salon et parvient à la remettre en place tout seul, sous les yeux de sa femme, pas du tout surprise.

"Si c'était aussi simple, l'hôpital ne recruterait pas": cette phrase ponctue le clip, qui renvoie vers un site internet (www.lhopitalabesoindevous.fr) où sont décrites les professions de l'hôpital.

Selon Mme Bachelot, les jeunes qui s'interrogent sur leur future carrière "ont une image fausse de l'hôpital": "il ne faut pas forcément faire de longues études pour y travailler", a-t-elle dit.

Les formations d'aide-soignant ou d'ambulancier sont accessibles sans le bac. Des métiers liés à la comptabilité, à la gestion, à la maintenance du matériel ou encore à l'alimentation sont également présents à l'hôpital.

La ministre a rappelé qu'un nouveau mode de recrutement, le Pacte, permettait depuis 2005 l'accès à la fonction publique, notamment hospitalière, aux jeunes défavorisés.

Elle a également insisté sur la possibilité de valider les acquis de l'expérience en prenant l'exemple d'une infirmière qui peut devenir puéricultrice, puis cadre de santé.

Le métier d'infirmier fait partie de ceux où les besoins sont les plus importants: 94.000 départs à la retraite sont prévus d'ici 2015.

Avec la sophistication croissante des matériels, l'hôpital a aussi besoin de compétences nouvelles. "L'hôpital s'est technicisé et la formation des personnels n'a pas toujours suivi", a expliqué sur BFM-TV Jean de Kervasdoué, professeur en économie de la santé.

Après l'accident des irradiés d'Epinal, la ministre avait d'ailleurs annoncé en juin son intention de doubler en cinq ans le nombre de radiophysiciens en le portant de 300 à 600.

Sur la question des rémunérations, la directrice de l'hospitalisation et de l'organisation des soins (Dhos), Annie Podeur a estimé que l'hôpital "n'a pas à rougir" face au privé, les rémunérations devant "s'apprécier tout au long d'une carrière" et pas seulement à l'embauche.

La campagne d'information du gouvernement intervient dans un contexte morose. Les grèves récentes des agents hospitaliers et des urgentistes ont mis au jour des préoccupations sur les conditions de travail.

"Des indicateurs comme les chiffres des maladies professionnelles ou des arrêts-maladie, sont au rouge", affirme à l'AFP Nadine Prigent, de la CGT-Santé, premier syndicat de la fonction publique hospitalière.

Mais, estime-t-elle, "il n'y a pas de crise de vocation, si les jeunes ne viennent pas, c'est que les formations sont de vrais parcours du combattant".

"L'hôpital, même s'il remplit sa mission, est aujourd'hui en difficulté", reconnaît Gérard Vincent, délégué général de la Fédération hospitalière de France (FHF), citant notamment les difficultés budgétaires. Avant de nuancer: la situation de ceux qui y travaillent "n'est pas si mauvaise que cela".
Dernière modification par Mich83l le 19 févr. 2008 21:18, modifié 1 fois.
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Mich83l
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Message par Mich83l »

Baisse du nombre de cancers du sein en France
(source : AFP, 19 février)

La baisse du nombre de nouveaux cas de cancers du sein observée en France en 2005-2006, après l'effrondrement du recours aux traitements hormonaux de la ménopause, pourrait encore diminuer grâce à la prévention et notamment à des changements de mode de vie.

Comme dans tous les pays à revenus élevés, le nombre de nouveaux cas de cancer du sein (incidence) a considérablement augmenté ces trente dernières années, même si la mortalité reste relativement stable (autour de 10.000 décès/an en France) du fait des progrès des traitements et du dépistage par mammographie entre 50 et 74 ans, remarque l'Académie de Médecine qui vient de d'émettre des recommandations de prévention et un rapport sur le même thème.

Les femmes se voient ainsi conseiller d'éviter l'excès de boisson (plus de deux verres de vin par jour), la sédentarité, l'obésité après la ménopause.

Autre facteur favorisant le risque de ce cancer féminin : l'âge tardif des grossesses. "En France l'âge moyen pour le 1er enfant est passé de 24 ans en 1970 à 28-29 ans depuis 2001 et n'a aucune tendance à baisser", notent les professeurs Henri Rochefort et Jacques Rouësse, auteurs de ces deux documents de l'académie.

"Les femmes doivent être informées du bénéfice d'une première grossesse avant 25 ans", soulignent-ils

Mais "comment faciliter l'effet protecteur des premières grossesses précoces", s'interrogent-ils. Il suggère d'encourager les femmes à avoir leurs enfants plus tôt "par une meilleure politique familiale (allocations familiales dès le premier enfant, crèches...) pour abaisser l'incidence des cancers du sein.

"Il pourrait être socialement plus facile d'encourager les femmes à allaiter leur enfant au sein (si possible pendant au moins six mois)" ajoutent-ils en évoquant, outre les bénéfices de l'allaitement pour l'enfant, "la protection pour la femme, maintenant démontrée par l'épidémiologie".

L'académie de médecine prend également position en faveur d'une prévention médicamenteuse (avec le tamoxifène et le raloxifène) pour les femmes ménopausées à très haut risque de faire un cancer du sein, par exemple en raison de mutations génétiques, et plaide pour un feu vert, à ce sujet, de l'agence du médicament (Afssaps).

La baisse de l'incidence des cancers du sein en 2005 et en 2006, publiée dans le Bulletin du Cancer de janvier, qui s'expliquerait par "la diminution massive et simultanée" des traitements hormonaux de la ménopause (THM), est également observée dans d'autres pays comme les Etats-Unis.

En France, ces traitements hormonaux (THM) ont, entre 2000 et 2006, diminué de 62 % alors que le nombre de dépistages mammographies organisés augmentait de 335 %, relèvent dans le Bulletin du Cancer, les auteurs.

Aux Etats-Unis, cette incidence a baissé de 12% en 2003, soit assez rapidement après la chute de 50% des prescriptions hormonales de la ménopause, note l'académie.

En 2002, une vaste étude américaine (Women's Health Initiative - WHI) avait montré que le THS entraînait une augmentation du risque de cancer du sein et ne protégeait pas du risque de crise cardiaque contrairement à ce qui se racontait dans les milieux médicaux.

Le THM expose également "à une augmentation du risque d'accident vasculaire cérébral (risque de paralysie, de décès...)" et à "une augmentation du risque de cancer de l'ovaire", a récemment rappelé l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps).

Des millions de femmes dans le monde ont à la suite de telles alertes renoncé à ce genre de traitement souvent pris pendant de nombreuses années.
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comment vous entrainez-vous pour la CG?

Message par choubibi59 »

Bonjour à toutes et à tous.
Actuellement je buche pour le concours d'entrée en école d'infirmière.
Au niveau des psychotests il me semble que je suis au point, en revanche, pour la culture générale, j'ai fait des fiches pour chaque thème redondant, par contre, je n'ai pas de méthode pour m'entraîner pour les 5 textes, je ne sais pas comment m'y prendre.
Auriez-vous des astuces? Quelles sont vos méthodes?
Merci
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coucou :)

Message par fleurdorangette »

Et bien pour ma part je m'entraine à faire des sujets de bouquins, une fois seulement que j'ai bien maitrisé les différents sujets.

Par contre j'ai toujours un peu de mal avec la forme..est ce que c'est comme les bouquins répondent que les correcteurs souhaitent voir comme réponses ou autrement ?
Faut il obligatoirement intro/dvp/cc ? Juste 15 lignes environ ? Faut il beaucoup extrapoler avec l'actualité ou alors rester que dans l'esprit du texte ? Ca m'angoisse un peu surtout quand comme moi on avait l'habitude de faire des disserts de 10 pages en fac...

Bon courage à toi
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Message par lili44 »

moi j'ai repondu sur le post que tu as mis sur le forum etudiant infirmier d'ailleurs je croyais que c'etait interdit le multi postage...
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Message par Juju5544 »

lili44 a écrit :moi j'ai repondu sur le post que tu as mis sur le forum etudiant infirmier d'ailleurs je croyais que c'etait interdit le multi postage...


Effectivement le multipostage est interdit...
Mais comme le sujet a plus sa place ici, la discussion reste ici :lol:
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ororr
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Message par ororr »

Moi je m'entraine ici
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merci ^^

Message par choubibi59 »

Merci pour vos réponses, et désolée pour le double post, mais c'est parès avoir poser sur l'autre que je me suis rendue compte que c'était plus approprié ici.

orror :fleche: je n'avais pas vu ce topic, merci beaucoup, le peu que j'ai lu me parait très instructif!!
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ororr
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Message par ororr »

Oui il est super. Il y a une question et tout le monde amène ses connaissances. Ca aide beaucoup et c'est plus motivant quand on n'est pas seule!

Bon courage et à bientot sur ce post!!
Cléïa
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culture générale

Message par Cléïa »

je passe le concours infirmiers cette année pour la 3eme fois
A chaque fois je me plante en culture générale. je fais beaucoup de paraphrasage et j'ai du mal a trouver des idées interressantes et a les mettre en forme malgrés que je me sois entrainé. au moment du concours je fais une sorte de blocage. pouvez me donner qq astuse pour y arrivé
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