Quand une étudiante en troisième année....
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???
Je viens de survoler tout ce qui a été ecrit et là je trouve qu'il a quand même des choses choquantes!
Je suis DE depuis bientôt 4 ans en réa med
1. Je pense que si les ESI prennent déjà un ttt en IFSI ça sera quoi après?
2. Moi c sur j'ai trouvé les etudes difficiles mais c'était rien à côté des 6 premiers mois de boulot. Là ce sont les responsabilités qui te tombent dessus tu n'a plus d'autres personnes à côté de toi pour encaisser ces responsabilités et le stress qui en decoule!!
3. Trp peu d'ESI ont conscience de tout cela et s'imagine que les IDE sont trop "chiantes".... NON c'est une profession difficile qui implique un certain travail sur soi, sur la mort, sur la maladie.....ce n'est pas que laver, piquer c'est aussi accompagner dans la souffrance!
Des personnes trop fragiles psychologiquement ne peuvent pas assumer tout cela! c'est impossible et effectivement cela aura de grave consequences qur leur vie professionnelle mais aussi personnelle.
Je pense que la selection des candidats au concours devrait être plus pointilleuse de ce côté là!
J'encadre très souvent des ESI dans mon service et je remarque qu'effectivement c en 3èm année que bcp abandonne car trop fragiles pour assumer tout cela et c'est bien domage!!! et ce n'est pas la faute des soignants dans les services c parce qu'ils n'ont pas forcement été informés des specifités de notre profession
Je suis DE depuis bientôt 4 ans en réa med
1. Je pense que si les ESI prennent déjà un ttt en IFSI ça sera quoi après?
2. Moi c sur j'ai trouvé les etudes difficiles mais c'était rien à côté des 6 premiers mois de boulot. Là ce sont les responsabilités qui te tombent dessus tu n'a plus d'autres personnes à côté de toi pour encaisser ces responsabilités et le stress qui en decoule!!
3. Trp peu d'ESI ont conscience de tout cela et s'imagine que les IDE sont trop "chiantes".... NON c'est une profession difficile qui implique un certain travail sur soi, sur la mort, sur la maladie.....ce n'est pas que laver, piquer c'est aussi accompagner dans la souffrance!
Des personnes trop fragiles psychologiquement ne peuvent pas assumer tout cela! c'est impossible et effectivement cela aura de grave consequences qur leur vie professionnelle mais aussi personnelle.
Je pense que la selection des candidats au concours devrait être plus pointilleuse de ce côté là!
J'encadre très souvent des ESI dans mon service et je remarque qu'effectivement c en 3èm année que bcp abandonne car trop fragiles pour assumer tout cela et c'est bien domage!!! et ce n'est pas la faute des soignants dans les services c parce qu'ils n'ont pas forcement été informés des specifités de notre profession
"On ne voit bien qu'avec le coeur, l'essentiel est invisible pour les yeux." Antoine de Saint-Exupery
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Idem que misstikitty
Bien que stressée par mon boulot car c'est difficile, je suis 100 fois plus ZEN qu'à l'IFSI...
J'ai passé mon DE sous anxiolytiques à fortes doses et je n'ai jamais retouché à ça.. pourtant je stresse pas mal en situation d'urgence...
Par contre les responsabilités, on les sent davantage quand on travaille, c'est certain..

Bien que stressée par mon boulot car c'est difficile, je suis 100 fois plus ZEN qu'à l'IFSI...
J'ai passé mon DE sous anxiolytiques à fortes doses et je n'ai jamais retouché à ça.. pourtant je stresse pas mal en situation d'urgence...

Par contre les responsabilités, on les sent davantage quand on travaille, c'est certain..

Infirmière puéricultrice
Re: ???
cline67 a écrit :2. Moi c sur j'ai trouvé les etudes difficiles mais c'était rien à côté des 6 premiers mois de boulot. Là ce sont les responsabilités qui te tombent dessus tu n'a plus d'autres personnes à côté de toi pour encaisser ces responsabilités et le stress qui en decoule!!
Et en plus des responsabilité qu'on a avec les patients, on a la responsabilité des ESI;
Si une ESI fait une erreur, qui trinque ?
Le patient en premier lieu bien sur, mais aussi l'IDE responable de l'encadrement;
alors que la mm ESI devenue infirmiere quelques jours plus tard est également devenue seule responsable de ses erreurs;
C'est pour cela qu'on peut avoir du mal à lacher du lest aux ESI;
Et puis lorsqu'elles arrivent jeune DE, il fo bien leur faire confiance, parce qu'on ne peut pas tout assumer;
ET aux nouvelles diplomée, je redit : on apprend plus en 3 mois d'expérience professionnelle qu'en 3 ans d'IFSI ! (mais si on n'avais pas fait l'IFSI avant, on n'apprendrai rien!)
O°Mystiq°O a écrit :Idem que misstikitty
Bien que stressée par mon boulot car c'est difficile, je suis 100 fois plus ZEN qu'à l'IFSI...
J'ai passé mon DE sous anxiolytiques à fortes doses et je n'ai jamais retouché à ça.. pourtant je stresse pas mal en situation d'urgence...![]()
Par contre les responsabilités, on les sent davantage quand on travaille, c'est certain..
C'est clair qu'en étant ESI tu dois apprendre un métier, mais aussi assurer TON avenir, est ceci est hyper hyper stressant dans le monde d'aujourd'hui.
Le jour ou les ESI auront la certitude d'avoir leur diplome à l'issue de la formation, ils pourront peut être se consacrer uniquement à l'apprentissage du métier, et non se mettre la pression à cause d'examen scolaires dont les résultat influeront sur leur avenir tout entier!
(d'ailleur la pression elle est beaucoup dans leur te^te, parce que la majorité réussissent!!)
en conclusion : vous êtes ESI pour apprendre un métier (savoir faire et savoir être) , et pas pour faire du bachotage et réussir des examens !Si vous apprenez bien votre métier , vous aurez votre diplome!
Etant encore ESI, j'confirme le post de départ:
- " prend un xanax si tu veux, c'est ce que je faisais avant mes MSP pour pas pleurer "
et ce genre de choses.
Entièrement d'accord avec toi Canard, maintenant, et malheureusement, les IFSI ne sont pas là pour remettre en cause les fondements du système scolaire français (et d'ailleurs) qui consiste à noter, noter, et re noter, des moments précis (1H ou 2H sur tout un stage) de la vie étudiante.
Système qui donne également la possibilité (je m'excuse) à des gens cons comme des barreaux de chaises, qui ont un relationnel équivalent à celui d'une huître avariée d'avoir leur DE.
J'ai par exemple dans ma promo une nana qui refuse de faire des toilettes (concrètement, qui refuse de se mettre les mains dans la merde, puisque c'est de ça qu'il s'agit dans ce cas), qui a de bonnes notes en MSP, qui s'entend très bien avec les formateurs, qui bachote et révise comme une dingue et obtient également de bonnes notes en évals.... mais jamais je lui confierait la moindre parcelle de peau de mon cul dans un hopitâl

- " prend un xanax si tu veux, c'est ce que je faisais avant mes MSP pour pas pleurer "
et ce genre de choses.
Entièrement d'accord avec toi Canard, maintenant, et malheureusement, les IFSI ne sont pas là pour remettre en cause les fondements du système scolaire français (et d'ailleurs) qui consiste à noter, noter, et re noter, des moments précis (1H ou 2H sur tout un stage) de la vie étudiante.
Système qui donne également la possibilité (je m'excuse) à des gens cons comme des barreaux de chaises, qui ont un relationnel équivalent à celui d'une huître avariée d'avoir leur DE.
J'ai par exemple dans ma promo une nana qui refuse de faire des toilettes (concrètement, qui refuse de se mettre les mains dans la merde, puisque c'est de ça qu'il s'agit dans ce cas), qui a de bonnes notes en MSP, qui s'entend très bien avec les formateurs, qui bachote et révise comme une dingue et obtient également de bonnes notes en évals.... mais jamais je lui confierait la moindre parcelle de peau de mon cul dans un hopitâl

Exactement.. L'IFSI est un lieu de stress où l'accent est mis sur des choses parfois futiles..
Cela fait presque 8 semaines que je travailles maintenant et j'ai appris beaucoup plus qu'en 3 ans de formation (enfin 4 même avec la spécialisation)...
Le stress est présent mais celui du débutant. Pour autant je me sens mieux qu'à l'IFSI
Cela fait presque 8 semaines que je travailles maintenant et j'ai appris beaucoup plus qu'en 3 ans de formation (enfin 4 même avec la spécialisation)...
Le stress est présent mais celui du débutant. Pour autant je me sens mieux qu'à l'IFSI

Infirmière puéricultrice
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Ben...........
Je me souviens pas de mes années d'études comme ça !
Ca a été très dur (surtout pour des raisons financières et personnelles ) mais je pense que j'ai eu la chance de faire mes études dans un IFSI où nous étions 30 par promo !
L'encadrement était là,les formateurs disponibles et les lieux de stages pas envahit à longueur de temps ce qui permettait aux IDE d'être là pour nous.
Bien sure il y en a eu des "ha chouettes vous êtes les nouveaux esi,on va pouvoir souffler un peu !"
== un peu bizarre au début voire chiant mais au final je regrette même pas ce genre de propos car ça m'a permis de gérer cette part de travail que l'on me déléguait volontier et de me débrouiller seule !
Et je dirais même que j'étais bien contente d'arriver en 3ème année et qu'en fin de stage on me dise :"aujourd'hui c'est toi qui bosse!" car apprendre ce n'est pas juste savoir enchainer les soins c'est "gérer" la journée et tout ce qui va avec .
La 3ème année a été la plus longue à vivre pour moi mais on y arrive et je pense qu'il faut aussi être acteur de sa formation et rentrer dedans,être en demande et pas se contenter d'un "quelles chi"""""ses!" ou "tiens je vais prendre un p'tit' lexo!"
Ca a été très dur (surtout pour des raisons financières et personnelles ) mais je pense que j'ai eu la chance de faire mes études dans un IFSI où nous étions 30 par promo !
L'encadrement était là,les formateurs disponibles et les lieux de stages pas envahit à longueur de temps ce qui permettait aux IDE d'être là pour nous.
Bien sure il y en a eu des "ha chouettes vous êtes les nouveaux esi,on va pouvoir souffler un peu !"

Et je dirais même que j'étais bien contente d'arriver en 3ème année et qu'en fin de stage on me dise :"aujourd'hui c'est toi qui bosse!" car apprendre ce n'est pas juste savoir enchainer les soins c'est "gérer" la journée et tout ce qui va avec .
La 3ème année a été la plus longue à vivre pour moi mais on y arrive et je pense qu'il faut aussi être acteur de sa formation et rentrer dedans,être en demande et pas se contenter d'un "quelles chi"""""ses!" ou "tiens je vais prendre un p'tit' lexo!"
Assez d'accord avec toi Jenindy
Mais n'oublions pas que les temps ont changé et que les IFSI sont en plein malaise, tout comme le sont certains hôpitaux, et ça ne va pas aller en s'arrangeant...
Nous, nous étions 98 dans ma promo en 1999 et plus que 80 et quelques en 2002
et on nous laissait gérer des services entiers, sous le prétexte du "pour apprendre, il faut pratiquer"
Je ne regrette pas au final car j'ai posé tellement de KT en 3 ans d'IFSI, fait tellement de soins que même après 5 ans de psy, retourner en service ne me fait pas trop peur finalement
Mais les études ne sont pas simples, loin de là et je pense que les bébés infirmiers en ont plus bavé que nous
Courage à tous !

Mais n'oublions pas que les temps ont changé et que les IFSI sont en plein malaise, tout comme le sont certains hôpitaux, et ça ne va pas aller en s'arrangeant...
Nous, nous étions 98 dans ma promo en 1999 et plus que 80 et quelques en 2002

Je ne regrette pas au final car j'ai posé tellement de KT en 3 ans d'IFSI, fait tellement de soins que même après 5 ans de psy, retourner en service ne me fait pas trop peur finalement


Courage à tous !

Je confirme le mal être des ESI pendant leurs études. Venant d'un domaine complètement différent de la santé j'ai commencé mes études avec enthousiasme mais j'ai vite déchanté.
L'IFSI est une machine à sélectionner sur le plan théorique et technique ce qui est normal. Ce qui ne l'est pas, c'est que les règles d'évaluation sont fluctuantes d'une formatrice à l'autre, que pour un même niveau technique attendu les ESI n'ont pas les mêmes moyens pour les acquérir selon les stages réalisés et que certaines formatrices ne voient plus la différence entre évaluer un ESI et le lyncher. Ce qui augmente d'autant le stress lors des MSP !!!
Vu de l'extérieur, cette formation prépare les futures professionnelles à toujours baisser la tête et donc à tout accepter. Au bout des trois ans beaucoup d'ESI sont dégouttés avant d'avoir commencé à travailler et ne se sentent pas du tout préparés pour leur première prise de poste.
Remarque: on peut constater que même si les études de médecine sont aussi très difficiles, je n'ai jamais vu un externe aussi mal traité sur son lieu de stage que peut l'être un ESI.
A l'heure où l'hôpital cherche à recruter, il devrait prendre soin des personnels débutants déjà en poste pour arrêter le turn over permanent et revoir son système de formation (en tous cas pour les IDE).
L'IFSI est une machine à sélectionner sur le plan théorique et technique ce qui est normal. Ce qui ne l'est pas, c'est que les règles d'évaluation sont fluctuantes d'une formatrice à l'autre, que pour un même niveau technique attendu les ESI n'ont pas les mêmes moyens pour les acquérir selon les stages réalisés et que certaines formatrices ne voient plus la différence entre évaluer un ESI et le lyncher. Ce qui augmente d'autant le stress lors des MSP !!!
Vu de l'extérieur, cette formation prépare les futures professionnelles à toujours baisser la tête et donc à tout accepter. Au bout des trois ans beaucoup d'ESI sont dégouttés avant d'avoir commencé à travailler et ne se sentent pas du tout préparés pour leur première prise de poste.
Remarque: on peut constater que même si les études de médecine sont aussi très difficiles, je n'ai jamais vu un externe aussi mal traité sur son lieu de stage que peut l'être un ESI.
A l'heure où l'hôpital cherche à recruter, il devrait prendre soin des personnels débutants déjà en poste pour arrêter le turn over permanent et revoir son système de formation (en tous cas pour les IDE).
Si, moi j'ai vu des externes, des internes et même des assistants de médecins-chefs maltraités pendant des visites, dans un service de soins intensifs que je ne nommerai pas. Donc ça existe. Mais ce n'est pas trop le sujet.
Je pense que les études d'infirmière sont particulièrement difficiles, plus difficiles que la plupart des autres études existantes, et pour au moins une raison : ces études mettent de -généralement- jeunes gens, souvent juste sortis de l'école, en contact brutal avec la souffrance humaine dans ce qu'elle peut avoir de plus sordide, horrible et démoralisant. Et ça, je ne pense pas que ça ait son équivalent dans une école de commerce, ni même de journalisme, pour prendre deux exemples au pif (ce qui ne signifie bien sûr pas que ces écoles ne présentent pas des difficultés spécifiques). C'est cela, à mon avis, cette confrontation à la souffrance, physique et mentale, qui fait toute la pesanteur de ces études. Le reste, les ide impitoyables avec les élèves, les monitrices versatiles dans leurs manières d'évaluer, ce sont justes des gouttes qui font déborder le vase, car ça, ça se rencontre effectivement dans toutes les autres études.
Disons que ce qui paraît incompréhensible, même si on peut trouver que ça a un côté logique, c'est que les gens dans ces boulots ne soient pas plus sympas, conviviaux, ne s'entraident pas davantage et ne soient pas plus bienveillants les uns avec les autres. Ca pourrait faire beaucoup pour le moral de tout le monde, et notamment ça pourrait contribuer à rendre moins insupportables les choses parfois tout à fait intolérables dont on est les témoins forcés. Je pense que ça s'explique par le fait que les grosses responsabilités que nous avons nous stressent et nous empêchent de nous détendre et de nous prendre un chouia moins au sérieux. Pourtant, être plus humble, plus simple, accepter de se reconnaître faillible pourrait considérablement détendre l'atmosphère et faire du bien à tout le monde, patients y compris. Mais les directions sont les premières à entretenir sur les professionnels une pression incompatible avec justement le fait de se détendre et de respirer. Pourtant, à terme c'est contre-productif, parce que les inf malheureux finissent pas changer de service, d'hôpital ou de métier.
C'est un vaste sujet. Bon courage à tous les futurs collègues !
Je pense que les études d'infirmière sont particulièrement difficiles, plus difficiles que la plupart des autres études existantes, et pour au moins une raison : ces études mettent de -généralement- jeunes gens, souvent juste sortis de l'école, en contact brutal avec la souffrance humaine dans ce qu'elle peut avoir de plus sordide, horrible et démoralisant. Et ça, je ne pense pas que ça ait son équivalent dans une école de commerce, ni même de journalisme, pour prendre deux exemples au pif (ce qui ne signifie bien sûr pas que ces écoles ne présentent pas des difficultés spécifiques). C'est cela, à mon avis, cette confrontation à la souffrance, physique et mentale, qui fait toute la pesanteur de ces études. Le reste, les ide impitoyables avec les élèves, les monitrices versatiles dans leurs manières d'évaluer, ce sont justes des gouttes qui font déborder le vase, car ça, ça se rencontre effectivement dans toutes les autres études.
Disons que ce qui paraît incompréhensible, même si on peut trouver que ça a un côté logique, c'est que les gens dans ces boulots ne soient pas plus sympas, conviviaux, ne s'entraident pas davantage et ne soient pas plus bienveillants les uns avec les autres. Ca pourrait faire beaucoup pour le moral de tout le monde, et notamment ça pourrait contribuer à rendre moins insupportables les choses parfois tout à fait intolérables dont on est les témoins forcés. Je pense que ça s'explique par le fait que les grosses responsabilités que nous avons nous stressent et nous empêchent de nous détendre et de nous prendre un chouia moins au sérieux. Pourtant, être plus humble, plus simple, accepter de se reconnaître faillible pourrait considérablement détendre l'atmosphère et faire du bien à tout le monde, patients y compris. Mais les directions sont les premières à entretenir sur les professionnels une pression incompatible avec justement le fait de se détendre et de respirer. Pourtant, à terme c'est contre-productif, parce que les inf malheureux finissent pas changer de service, d'hôpital ou de métier.
C'est un vaste sujet. Bon courage à tous les futurs collègues !
- fanfanlecorsaire
- Fidèle
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- Inscription : 23 avr. 2005 12:09
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fanfanlecorsaire a écrit :2 suicides en 6mois dans mon ifsi... sans compter les kilos d'anxiolytiques pris chaques jours!!!
le plus drole c'est que l'école ne se remet meme pas en cause



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Je ne connais pas le taux d'anxio mangés par mes collègues, mais dans le genre pression il est pas mal notre ifsi...

Puéricultrice 
En soins intensifs de néonat, hématologie pédiatrique et pool...

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