MSP, DDS, passer son DE en psychiatrie
Modérateurs : Modérateurs, Infirmiers - Psychiatrie
mais la moi aussi j'ai une msp en chirurgie thoraco vasculaire dans 1 semaine...donc je stress aussi..... 
Qu'est-ce que les infirmiers pensent de l'idée que tu réalises un entretien avec une patiente ? Leur en as-tu parlé ? T'y es-tu préparée ?
Un entretien en psychiatrie, c'est aussi important, aussi délicat (plus même)qu'une prise de sang ou un pansement en chirurgie. Normalement ça ne se fait pas sans la présence d'une infirmière. Beaucoup de choses peuvent découler d'un entretien, des choses négatives et des choses positives. Sais-tu comment t'en sortir si l'entretien tourne mal, si la patiente devient agressive ou s'effondre en larmes ?
Chez nous, on ne laissait pas les élèves faire des entretiens seuls, jamais, même en troisième année (je parle d'entretiens formels, dans un bureau, pas d'une conversation informelle dans le salon). Il arrive fréquemment qu'une inf expérimentée soit déstabilisée, mise en difficulté par un patient, donc a fortiori ça peut arriver à une élève. Evidemment ça peut très bien se passer, d'autant que dans le cas que tu évoques tu aurais des encadrants avec toi (quoique par exemple avec une patiente hystérique ça peut justement induire des réactions de théâtralisme difficiles à gérer). Mais ensuite, il y a aussi ce que l'on doit faire des propos qu'on a recueillis, il faut savoir les comprendre, les mettre en rapport avec ce que tu sais d'autre de la patiente, ce qu'on a observé, etc.
C'est passionnant, un entretien infirmier, c'est même de mon point de vue ce qu'il y a de plus intéressant en psy, mais c'est aussi ce qu'il y a de plus difficile et de plus casse-gueule. Il faut savoir prendre du recul, ne pas t'investir trop, ne pas te laisser séduire, ne pas te laisser culpabiliser, garder le fil de tes idées tout en écoutant réellement ce que la personne te dit, sentir quand elle est en train de brasser du vide pour ne surtout pas aborder un sujet sensible, savoir sentir quand il convient d'aborder celui-ci, de quelle manière, etc. Un sacré programme !
Je ne veux pas te décourager, mais te mettre en garde contre quelque chose qui paraît couramment facile aux néophytes.
Est-ce qu'une prise de constantes et l'encadrement de la matinée ne peut pas suffire, comme soin ? Ou alors un entretien, mais préparé avec une inf... Ou une prise de sang ? Vous n'avez pas de prises de sang à faire, parfois, le matin ?
Un entretien en psychiatrie, c'est aussi important, aussi délicat (plus même)qu'une prise de sang ou un pansement en chirurgie. Normalement ça ne se fait pas sans la présence d'une infirmière. Beaucoup de choses peuvent découler d'un entretien, des choses négatives et des choses positives. Sais-tu comment t'en sortir si l'entretien tourne mal, si la patiente devient agressive ou s'effondre en larmes ?
Chez nous, on ne laissait pas les élèves faire des entretiens seuls, jamais, même en troisième année (je parle d'entretiens formels, dans un bureau, pas d'une conversation informelle dans le salon). Il arrive fréquemment qu'une inf expérimentée soit déstabilisée, mise en difficulté par un patient, donc a fortiori ça peut arriver à une élève. Evidemment ça peut très bien se passer, d'autant que dans le cas que tu évoques tu aurais des encadrants avec toi (quoique par exemple avec une patiente hystérique ça peut justement induire des réactions de théâtralisme difficiles à gérer). Mais ensuite, il y a aussi ce que l'on doit faire des propos qu'on a recueillis, il faut savoir les comprendre, les mettre en rapport avec ce que tu sais d'autre de la patiente, ce qu'on a observé, etc.
C'est passionnant, un entretien infirmier, c'est même de mon point de vue ce qu'il y a de plus intéressant en psy, mais c'est aussi ce qu'il y a de plus difficile et de plus casse-gueule. Il faut savoir prendre du recul, ne pas t'investir trop, ne pas te laisser séduire, ne pas te laisser culpabiliser, garder le fil de tes idées tout en écoutant réellement ce que la personne te dit, sentir quand elle est en train de brasser du vide pour ne surtout pas aborder un sujet sensible, savoir sentir quand il convient d'aborder celui-ci, de quelle manière, etc. Un sacré programme !
Je ne veux pas te décourager, mais te mettre en garde contre quelque chose qui paraît couramment facile aux néophytes.
Est-ce qu'une prise de constantes et l'encadrement de la matinée ne peut pas suffire, comme soin ? Ou alors un entretien, mais préparé avec une inf... Ou une prise de sang ? Vous n'avez pas de prises de sang à faire, parfois, le matin ?
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karibounette
- Forcené
- Messages : 371
- Inscription : 26 févr. 2008 16:10
salut crispett, je pense tout d'abord qu'une activité dans ce type de pavillon n'est pas judicieux. en effet, une activité doit avoir un objectif thérapeutique avec un but précis. les patients en unité d'accueil ne restent pas assez longtemps pour pouvoir évaluer l'impact de l'activité et éventuellement de la renouveller. (sauf bien sûr si des activités sont régulièrement proposées dans ton service ce qui m'étonnerai).
si tu fait un entretien (se qui me semble intéressant), il est important de poser un cadre afin de ne pas se sentir déborder. donc choisi un bureau où tu pourras être tranquille avec ton patient. dis lui aussi au début de l'entretien que tu as 20min par exemple à lui consacrer. bien sûr l'entretien peut être un e bonne idée à condition que ton patient est envie de parler avec toi.
pour commencer l'entretien, tu peut dire: "avez vous bien dormi, comment vous sentez vous par rapport à hier" et crois moi après les questions s'enchainent d'elles même.
as tu penser (je ne sais pas si ça se fait dans ton service) à faire passer une échelle (de dépression par ex) et à réaliser une biographie?
voilà bon courage et si tu as d'autres questions...
si tu fait un entretien (se qui me semble intéressant), il est important de poser un cadre afin de ne pas se sentir déborder. donc choisi un bureau où tu pourras être tranquille avec ton patient. dis lui aussi au début de l'entretien que tu as 20min par exemple à lui consacrer. bien sûr l'entretien peut être un e bonne idée à condition que ton patient est envie de parler avec toi.
pour commencer l'entretien, tu peut dire: "avez vous bien dormi, comment vous sentez vous par rapport à hier" et crois moi après les questions s'enchainent d'elles même.
as tu penser (je ne sais pas si ça se fait dans ton service) à faire passer une échelle (de dépression par ex) et à réaliser une biographie?
voilà bon courage et si tu as d'autres questions...
même sur le plus beau trône du monde, on n'est jamais assis que sur son cul.
mais te mettre en garde contre quelque chose qui paraît couramment facile aux néophytes.
Non non, moi ça ne me parait pas facile du tout!
Au contraire...
Pour ce que tu proposes comme soins, ce n'est pas possible ; les très rares prises de sang sont faites par les filles de nuit. Quant à la prise de constantes, ma formatrice ne vient qu'à 8h30 donc après le petit déj et la distribution des traitements. Les infirmières sont ok pour que je fasse seule un entretien psy ; ce sont même elles qui me l'ont proposé.
Et il y a un autre problème, c'est que, comme je le disais plus haut, pendant toute la matinée, le psychiatre s'entretient avec tous - ou pratiquement tous - les patients.
Or, est-ce que deux entretiens pour un patient dans une matinée, ça ne fait pas trop ?
Pffff, un peu perdue je suis
!
Bon, je languis d'être demain pour pouvoir choisir les patients que je vais prendre en charge (et donc dégager des problématiques et des besoins), et pour pouvoir m'entretenir avec l'équipe (voire appeler ma formatrice....)
IDE 2009
as tu penser (je ne sais pas si ça se fait dans ton service) à faire passer une échelle (de dépression par ex) et à réaliser une biographie?
Une échelle? une échelle d'évaluation pour la dépression (un peu comme l'EVA avec la douleur) ? Euh.... Je n'en ai jamais vu. Mais oui pourquoi pas, ça pourrait être un bon outil!
Mais "réaliser une biogaphie", je ne vois pas trop ??
IDE 2009
Par "entretien" je ne dois pas entendre la même chose que tes infirmières, alors. Bon, s'il s'agit juste d'une conversation, ce n'est pas pareil. De toute façon, avec les monitrices dans la pièce ça risque quand même d'avoir un côté artificiel.
Mais un véritable entretien infirmier, je trouve irresponsable de le laisser faire par un ESI.
Mais un véritable entretien infirmier, je trouve irresponsable de le laisser faire par un ESI.
Pour les raisons que j'expose plus haut. Je pense à certains patients que j'ai connus, qui étaient très forts pour nous déstabiliser et nous embrouiller. Je pense à des patients qui arrivaient à meubler tout un entretien sans rien dire. On ne s'en rend pas toujours compte. Je pense à tout un tas de situations difficiles, et moins difficiles du reste, qui nécessitent de l'expérience, des connaissances.
Maintenant, s'il s'agit juste de discuter avec le patient sur sa vie, un peu comme un recueil de données, ce n'est pas pareil. Mais je ne laisserais pas une élève faire toute seule un entretien, dans une pièce à part, sans le contrôle d'une infirmière. Ca peut être dangereux autant pour le patient que pour l'élève.
De toute façon en tant qu'encadrant je dois contrôler son travail, comme je contrôlerais un soin technique. Et là c'est beaucoup plus délicat encore. Bien sûr que si une élève fait un entretien seule ça ne va pas forcément s'achever en catastrophe, mais je veux savoir ce qui se dit, parce que je ne verrai certainement pas les choses comme cette élève qui a peu ou pas d'expérience, et qu'elle me rapporte le contenu de l'entretien ne suffira pas à me faire une idée exacte. En plus il y a élève et élève, ils ont plus ou moins de sensibilité, de savoir-faire naturel.
Et comment dire à l'élève : là tu as bien fait, là par contre tu aurais dû éviter de dire ça, et là, tu vois, il n'a pas réagi comme tu t'y attendais, etc ? Comment avoir une évaluation sur ce qui s'est passé et pouvoir retravailler dessus avec l'élève ?
Je sais que dans certains services on laissaient les élèves faire les entretiens, mais pas dans le nôtre.
Maintenant, s'il s'agit juste de discuter avec le patient sur sa vie, un peu comme un recueil de données, ce n'est pas pareil. Mais je ne laisserais pas une élève faire toute seule un entretien, dans une pièce à part, sans le contrôle d'une infirmière. Ca peut être dangereux autant pour le patient que pour l'élève.
De toute façon en tant qu'encadrant je dois contrôler son travail, comme je contrôlerais un soin technique. Et là c'est beaucoup plus délicat encore. Bien sûr que si une élève fait un entretien seule ça ne va pas forcément s'achever en catastrophe, mais je veux savoir ce qui se dit, parce que je ne verrai certainement pas les choses comme cette élève qui a peu ou pas d'expérience, et qu'elle me rapporte le contenu de l'entretien ne suffira pas à me faire une idée exacte. En plus il y a élève et élève, ils ont plus ou moins de sensibilité, de savoir-faire naturel.
Et comment dire à l'élève : là tu as bien fait, là par contre tu aurais dû éviter de dire ça, et là, tu vois, il n'a pas réagi comme tu t'y attendais, etc ? Comment avoir une évaluation sur ce qui s'est passé et pouvoir retravailler dessus avec l'élève ?
Je sais que dans certains services on laissaient les élèves faire les entretiens, mais pas dans le nôtre.
Du moment qu'il y a un infirmier avec, qui supervise, ce n'est pas pareil.
Parce qu'envoyer un élève faire seul un entretien infirmier, c'est aussi un peu véhiculer le message suivant : "c'est facile, ce n'est rien du tout, n'importe qui peut le faire", ce qui n'est pas vrai, mais qui décrédibilise notre travail. En plus, l'élève aura vraiment l'impression que ce n'est pas grand chose, quand il aura "réussi" plusieurs entretiens avec des patients conciliants, par exemple, ou qui se seront mis à sa portée (les patients ne réagissent pas de la même façon en face d'un élève et en face d'un infirmier diplômé). Ce qui constituera une sorte de malentendu.
Ce qu'il y a de particulier en psy, c'est que des erreurs commises, des fautes de prises en charge, un manque de compétences, peuvent ne pas se ressentir tout de suite, mais seulement des mois ou des années après que ces mauvais fonctionnements se soient installés. Parce que les patients sont intelligents et souvent de bonne composition, ils pallient les manques des soignants, ou ils supportent leurs incompétences (de toute façon, les pauvres, en psy ils n'ont souvent pas la voix au chapitre). Donc un service peut dériver lentement vers le chaos, sans que cela soit immédiatement perceptible, et sans (ce qui est pire) que qui que ce soit s'en préoccupe.
Ceci dit, parfois ça peut être perceptible assez vite et donner lieu à des explosions de violence, sans que qui que ce soit s'en préoccupe non plus. C'est ce que j'ai vécu.
Parce qu'envoyer un élève faire seul un entretien infirmier, c'est aussi un peu véhiculer le message suivant : "c'est facile, ce n'est rien du tout, n'importe qui peut le faire", ce qui n'est pas vrai, mais qui décrédibilise notre travail. En plus, l'élève aura vraiment l'impression que ce n'est pas grand chose, quand il aura "réussi" plusieurs entretiens avec des patients conciliants, par exemple, ou qui se seront mis à sa portée (les patients ne réagissent pas de la même façon en face d'un élève et en face d'un infirmier diplômé). Ce qui constituera une sorte de malentendu.
Ce qu'il y a de particulier en psy, c'est que des erreurs commises, des fautes de prises en charge, un manque de compétences, peuvent ne pas se ressentir tout de suite, mais seulement des mois ou des années après que ces mauvais fonctionnements se soient installés. Parce que les patients sont intelligents et souvent de bonne composition, ils pallient les manques des soignants, ou ils supportent leurs incompétences (de toute façon, les pauvres, en psy ils n'ont souvent pas la voix au chapitre). Donc un service peut dériver lentement vers le chaos, sans que cela soit immédiatement perceptible, et sans (ce qui est pire) que qui que ce soit s'en préoccupe.
Ceci dit, parfois ça peut être perceptible assez vite et donner lieu à des explosions de violence, sans que qui que ce soit s'en préoccupe non plus. C'est ce que j'ai vécu.
après avoir lu tous les messages des autres..
je pense que si tu n'es pas à l'aise dans un soin il faut eviter de le presenter a une MSP..
Par exemple si tu n'es pas à l'aise dans l'entretien parle en avec les infimières du service et dis leur que tu ne te sens pas assez à l'aise pour presenter ça.
je pense que tes examinateurs si tu leur explique ne t'en voudront pas si tu choisis un soin moins conséquent si tu sais leur expliquer que tu n'es pas assez à l'aise avec l'entretien...comme disait "alise"l'entretien en psy c'est qd meme delicat car on sait pas quelle tournure il peut prendre...
après tu ne dois pas être la première élève à passer une Msp dans ton service de psy??
demander aux IDE ce qu'on fait les autres elèves...
et puis au pire si elle te conseille fortement l'entretien demande leur de t'en laisser faire un en t'écoutant et de te dire ce qu'elle pense...
courage
je pense que si tu n'es pas à l'aise dans un soin il faut eviter de le presenter a une MSP..
Par exemple si tu n'es pas à l'aise dans l'entretien parle en avec les infimières du service et dis leur que tu ne te sens pas assez à l'aise pour presenter ça.
je pense que tes examinateurs si tu leur explique ne t'en voudront pas si tu choisis un soin moins conséquent si tu sais leur expliquer que tu n'es pas assez à l'aise avec l'entretien...comme disait "alise"l'entretien en psy c'est qd meme delicat car on sait pas quelle tournure il peut prendre...
après tu ne dois pas être la première élève à passer une Msp dans ton service de psy??
demander aux IDE ce qu'on fait les autres elèves...
et puis au pire si elle te conseille fortement l'entretien demande leur de t'en laisser faire un en t'écoutant et de te dire ce qu'elle pense...
courage
Hello,
concernant les entretiens c idem ds mon établissement, on ne laisse jamais les étudiants en réaliser en MSP. C un soin délicat qui demande de l'expérience et pas mal de recul en tant que professionnel, et en tant que personne. Et pour ma part, le seul entretien abordé en cours était celui de relation d'aide, selon le modèle rodgérien, qui je pense nécessite pas mal de pratique. Et ne parlons pas de l'entretien avec une personne psychotique. On avait tendance à me dire : si tu propose un entretien inf à ton exam, c le casse-pipe assuré.
Je suis d'accord pour dire que les activités ne sont pas adaptées dans ce type de service, s'il accueille des personnes en situation de crise dont l'objectif va être la gestion de la crise et l'orientation de la personne en fonction de ses besoins.
N'oublie pas que le soin en psychiatrie concerne également l'encadrement d'un repas, l'éducation et la stimulation aux soins d'hygiène, l'accompagnement pour la réfexion d'un lit...et tout autre acte du quotidien rendu difficile par la souffrance psychique de la personne. Pr la pratique on va surtout observer ton savoir-être, la communication adaptée que tu parviendras à mettre en place, le respect de la personne...
tu peux ajouter à cela une prise de paramètres pr le côté technique...
concernant les entretiens c idem ds mon établissement, on ne laisse jamais les étudiants en réaliser en MSP. C un soin délicat qui demande de l'expérience et pas mal de recul en tant que professionnel, et en tant que personne. Et pour ma part, le seul entretien abordé en cours était celui de relation d'aide, selon le modèle rodgérien, qui je pense nécessite pas mal de pratique. Et ne parlons pas de l'entretien avec une personne psychotique. On avait tendance à me dire : si tu propose un entretien inf à ton exam, c le casse-pipe assuré.
Je suis d'accord pour dire que les activités ne sont pas adaptées dans ce type de service, s'il accueille des personnes en situation de crise dont l'objectif va être la gestion de la crise et l'orientation de la personne en fonction de ses besoins.
N'oublie pas que le soin en psychiatrie concerne également l'encadrement d'un repas, l'éducation et la stimulation aux soins d'hygiène, l'accompagnement pour la réfexion d'un lit...et tout autre acte du quotidien rendu difficile par la souffrance psychique de la personne. Pr la pratique on va surtout observer ton savoir-être, la communication adaptée que tu parviendras à mettre en place, le respect de la personne...
tu peux ajouter à cela une prise de paramètres pr le côté technique...
IDE service admissions psy adultes
aide msp psychiatrie
Bonjours message très urgent.
Je fais mon premier stage en psychiatie, je suis en première année ide et j'ai ma msp vendredi 11 avril.
Je suis en gallère d'autant que je n'ai pas fais le module psy. j'ai décidé de prendre en charge une patiente toxico. Est-ce-que quelqu'un peut m'aider et aurait un modèle de démarche de soin pour savoir a quoi ça ressemble. merci beaucoup d'avance.
Je fais mon premier stage en psychiatie, je suis en première année ide et j'ai ma msp vendredi 11 avril.
Je suis en gallère d'autant que je n'ai pas fais le module psy. j'ai décidé de prendre en charge une patiente toxico. Est-ce-que quelqu'un peut m'aider et aurait un modèle de démarche de soin pour savoir a quoi ça ressemble. merci beaucoup d'avance.
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