Reflexions sur l'Ordre National Infirmier
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je suis d'accord avec Argrath l'ODM n'a pas guelé contre la T2A mais quand on voit ce que les médecins obtiennent dans la nouvelle gouvernance et sur d'autres plan pourquoi gueuleraient ils?? il y a que les IDE pour se désinteréssé de leur profession ne pas faire grève pour ou contre l'oni, le LMD, la vaisselle ect..... afin que de ne géner personne
mais l'ODM n'est pas tjs d'accord avec le gouvernement voir les derniers communiqués sur les nouveaux métiers et glissements de taches. (je vous le mettrai demain, le communiqué
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mais l'ODM n'est pas tjs d'accord avec le gouvernement voir les derniers communiqués sur les nouveaux métiers et glissements de taches. (je vous le mettrai demain, le communiqué



j'aime bien Charlie, mais Nigéria a beaucoup plus besoin de nous
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revenge of anesthesith a écrit :
revenge suivra donc ceci avec un intérêt croissant (comme on dit dans les boulangeries)
Revenge vous remercie de l'avoir lu.
Félon! Il va finir par se prendre un pain!
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Toutes les vérités sont nonnes à dire...
Mère TERASERA
ex IADE bloc SMUR syndicaliste, gauche laïque, CerfHa hygiène, tutorat et encadrement étudiants.
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Haegen a écrit :je suis d'accord avec Argrath l'ODM n'a pas guelé contre la T2A mais quand on voit ce que les médecins obtiennent dans la nouvelle gouvernance et sur d'autres plan pourquoi gueuleraient ils?? il y a que les IDE pour se désinteréssé de leur profession ne pas faire grève pour ou contre l'oni, le LMD, la vaisselle ect..... afin que de ne géner personne
mais l'ODM n'est pas tjs d'accord avec le gouvernement voir les derniers communiqués sur les nouveaux métiers et glissements de taches. (je vous le mettrai demain, le communiqué![]()
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Merci Haegen c'est toujours un plaisir de communiquer et non de soliloquer.

Bien sur qu'il n'est pas d'accord, cela met en danger leurs revenus.
Et sur le dos de qui?
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Argrath le Troll a écrit :La nouvelle gouvernance a mis les medecins à la tête des pôles qui touchent une prime de 15% sur les économies réalisées. N'y a t'il pas conflit d'intérèt et donc problème de déontologie?
Un pôle de psy touchera plus pour un patient en CIT qu'en chambre ordinaire. Le médecin a donc tout intérèt à gonfler son budget en faisant en sorte que les CIT soient pleines en permanence.
comprends pas ! ...


Truisme n°1 : Quand on fait à la place de l'autre, non seulement on n'est pas à sa place, mais en plus, on empêche l'autre de prendre la place qui est la sienne 

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hormis que c'est une part variable de la rémunération par rapport au salaire de base et pas par rapport au budget du service...Et que cela est en effet envisager pour eviter le coté inflationniste du paiement à l'acte , tout comme cela se pratique déjà pour les soins de ville... Mais bon, ce n'est qu'un détailArgrath le Troll a écrit :15% de 100 000 euros, c'est moins que 15% de 150 000 euros.
Truisme n°1 : Quand on fait à la place de l'autre, non seulement on n'est pas à sa place, mais en plus, on empêche l'autre de prendre la place qui est la sienne 

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droopette a écrit :je ne trouve pas l'accés a la liste des candidats de mon département...pourriez vous éclairer la lanterne d'une infirmiere qui a la loose en informatique...??
Vous pouvez cliquer sur le lien en vert dans l'article :
http://www.syndicat-infirmier.com/artic ... rticle=545
La Fédération Hospitalière de France a été saisie par de nombreux établissements de difficultés relatives à l’inscription des masseurs-kinésithérapeutes à leur ordre professionnel. Elle a saisi le Ministère de cette question par une lettre en date du 16 juin dernier.
En l’absence de réponse du Ministère on peut toutefois apporter quelques précisions sur le sujet :
L’inscription au tableau de l’Ordre des masseurs-kinésithérapeutes est une obligation légale découlant de l’article L.4321-10 du code de la santé publique. Un masseur-kinésithérapeute ne peut donc exercer sa profession que si ses diplômes, titres ou autorisations ont été enregistrés et s’il est inscrit au tableau de l’ordre.
A noter que l’obligation légale, susceptible de mettre en jeu la responsabilité pénale concerne l’inscription et non le paiement des cotisations. Cela signifie donc :
- que le paiement de la cotisation n’est pas une condition préalable à l’inscription à l’Ordre. Elle peut intervenir ultérieurement.
- que dès lors qu’un masseur-kinésithérapeute est inscrit à l’Ordre, même s’il n’a pas procédé au paiement de sa cotisation, il ne saurait encourir le risque de mise en cause de sa responsabilité pénale.
En revanche, le défaut d’inscription peut entraîner le risque de mise en cause de la responsabilité pénale pour exercice illégal de la profession de masseur-kinésithérapeute de l’établissement et/ou du directeur. A noter néanmoins que le masseur-kinésithérapeute non-inscrit à l’ordre encoure lui-même le risque de mise en cause de sa responsabilité pénale pour exercice illégal de la profession de masseur-kinésithérapeute.
Le directeur d’établissement doit donc veiller à ce que l’ensemble des masseurs-kinésithérapeutes exerçant dans son établissement soient inscrits à l’Ordre.
Il est donc important de veiller lors du recrutement d’un nouveau masseur-kinésithérapeute à ce que ce dernier soit bien inscrit à l’Ordre des masseur-kinésithérapeutes.
En ce qui concerne les masseurs-kinésithérapeutes déjà recrutés dans l’établissement, il est vivement recommandé de faire une information nominative sur l’obligation d’inscription aux masseurs-kinésithérapeutes concernés assortie de relances si nécessaire et les informant des risques personnels importants que ceux-ci encourent en cas de non respect de cette obligation.
Dans l’hypothèse où le refus d’inscription persiste, le Directeur peut mettre en demeure le masseur-kinésithérapeute de s’inscrire, et en cas de refus persistant de l’intéressé, le suspendre. Il est certain que cette solution est difficile à envisager eu égard à la grande pénurie de ces professionnels dont souffrent les établissements. Du reste en cas d’accident mettant en cause un masseur-kinésithérapeute dans l’exercice de ses fonctions non-inscrit (mais recruté antérieurement à la mise en place de l’Ordre), il n’est pas sûr que le juge, dans le contexte actuel, mette en cause la responsabilité pénale du directeur ou du masseur kinésithérapeute. Le risque ne peut néanmoins être exclu.
Il est à noter qu’il serait difficile au masseur-kinésithérapeute ne pourrait, en tout état de cause, aller exercer ailleurs, la même obligation d’inscription s’imposant en libéral comme en secteur hospitalier.
Certains établissements ont à faire face également au refus, par certains professionnels de procéder à la formation des étudiants et de valider leurs stages.
Si ces actions sont menées dans le cadre d’un refus de mise en place de l’Ordre, elles sont d’un point de vue juridique de nature tout à fait différente et pourraient engager la responsabilité disciplinaire des intéressés. En effet, aux termes de l’article R4321-13 du code de la santé publique « Selon les secteurs d’activité où il exerce et les besoins rencontrés, le masseur kinésithérapeute participe à différentes actions d’éducation, de prévention, de dépistage de formation et d’encadrement »
Par ailleurs, l’article L6112-1 définit les missions du service public hospitalier parmi lesquelles figurent « la formation initiale et continue des sages-femmes et du personnel paramédical… »
Le Ministère de la santé a réuni à la fin du mois de mars l’ensemble des professionnels sur ce sujet (Fédérations professionnelles, Représentants syndicaux, représentants d’associations professionnelles, représentants des écoles, Ordre des masseurs-kinésithérapeutes). Au cours de cette réunion, la Fédération Hospitalière de France a fait état des grandes difficultés dans laquelle les établissements se trouvaient plongés et fait valoir qu’elle considérait que la cotisation demandé par l’Ordre des kinésithérapeutes était excessive en tenant compte des rémunérations que perçoivent les kinésithérapeutes salariés notamment en début de carrière et eu égard aux services rendus par l’Ordre dont une bonne part ne concernera pas les kinésithérapeutes salariés.
La Fédération Hospitalière de France estime donc que la cotisation à l’Ordre devrait, pour les masseurs-kinésithérapeutes salariés être, sensiblement réduite, voire symbolique.
Source: FHF.fr
En l’absence de réponse du Ministère on peut toutefois apporter quelques précisions sur le sujet :
L’inscription au tableau de l’Ordre des masseurs-kinésithérapeutes est une obligation légale découlant de l’article L.4321-10 du code de la santé publique. Un masseur-kinésithérapeute ne peut donc exercer sa profession que si ses diplômes, titres ou autorisations ont été enregistrés et s’il est inscrit au tableau de l’ordre.
A noter que l’obligation légale, susceptible de mettre en jeu la responsabilité pénale concerne l’inscription et non le paiement des cotisations. Cela signifie donc :
- que le paiement de la cotisation n’est pas une condition préalable à l’inscription à l’Ordre. Elle peut intervenir ultérieurement.
- que dès lors qu’un masseur-kinésithérapeute est inscrit à l’Ordre, même s’il n’a pas procédé au paiement de sa cotisation, il ne saurait encourir le risque de mise en cause de sa responsabilité pénale.
En revanche, le défaut d’inscription peut entraîner le risque de mise en cause de la responsabilité pénale pour exercice illégal de la profession de masseur-kinésithérapeute de l’établissement et/ou du directeur. A noter néanmoins que le masseur-kinésithérapeute non-inscrit à l’ordre encoure lui-même le risque de mise en cause de sa responsabilité pénale pour exercice illégal de la profession de masseur-kinésithérapeute.
Le directeur d’établissement doit donc veiller à ce que l’ensemble des masseurs-kinésithérapeutes exerçant dans son établissement soient inscrits à l’Ordre.
Il est donc important de veiller lors du recrutement d’un nouveau masseur-kinésithérapeute à ce que ce dernier soit bien inscrit à l’Ordre des masseur-kinésithérapeutes.
En ce qui concerne les masseurs-kinésithérapeutes déjà recrutés dans l’établissement, il est vivement recommandé de faire une information nominative sur l’obligation d’inscription aux masseurs-kinésithérapeutes concernés assortie de relances si nécessaire et les informant des risques personnels importants que ceux-ci encourent en cas de non respect de cette obligation.
Dans l’hypothèse où le refus d’inscription persiste, le Directeur peut mettre en demeure le masseur-kinésithérapeute de s’inscrire, et en cas de refus persistant de l’intéressé, le suspendre. Il est certain que cette solution est difficile à envisager eu égard à la grande pénurie de ces professionnels dont souffrent les établissements. Du reste en cas d’accident mettant en cause un masseur-kinésithérapeute dans l’exercice de ses fonctions non-inscrit (mais recruté antérieurement à la mise en place de l’Ordre), il n’est pas sûr que le juge, dans le contexte actuel, mette en cause la responsabilité pénale du directeur ou du masseur kinésithérapeute. Le risque ne peut néanmoins être exclu.
Il est à noter qu’il serait difficile au masseur-kinésithérapeute ne pourrait, en tout état de cause, aller exercer ailleurs, la même obligation d’inscription s’imposant en libéral comme en secteur hospitalier.
Certains établissements ont à faire face également au refus, par certains professionnels de procéder à la formation des étudiants et de valider leurs stages.
Si ces actions sont menées dans le cadre d’un refus de mise en place de l’Ordre, elles sont d’un point de vue juridique de nature tout à fait différente et pourraient engager la responsabilité disciplinaire des intéressés. En effet, aux termes de l’article R4321-13 du code de la santé publique « Selon les secteurs d’activité où il exerce et les besoins rencontrés, le masseur kinésithérapeute participe à différentes actions d’éducation, de prévention, de dépistage de formation et d’encadrement »
Par ailleurs, l’article L6112-1 définit les missions du service public hospitalier parmi lesquelles figurent « la formation initiale et continue des sages-femmes et du personnel paramédical… »
Le Ministère de la santé a réuni à la fin du mois de mars l’ensemble des professionnels sur ce sujet (Fédérations professionnelles, Représentants syndicaux, représentants d’associations professionnelles, représentants des écoles, Ordre des masseurs-kinésithérapeutes). Au cours de cette réunion, la Fédération Hospitalière de France a fait état des grandes difficultés dans laquelle les établissements se trouvaient plongés et fait valoir qu’elle considérait que la cotisation demandé par l’Ordre des kinésithérapeutes était excessive en tenant compte des rémunérations que perçoivent les kinésithérapeutes salariés notamment en début de carrière et eu égard aux services rendus par l’Ordre dont une bonne part ne concernera pas les kinésithérapeutes salariés.
La Fédération Hospitalière de France estime donc que la cotisation à l’Ordre devrait, pour les masseurs-kinésithérapeutes salariés être, sensiblement réduite, voire symbolique.
Source: FHF.fr
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COMMUNIQUE DE PRESSE
Communiqué de presse du principal syndicat des infirmières libérales, la FNI (17 avril 2008).
Encore une semaine pour voter !
La Fédération Nationale des Infirmiers regrette la vision partisane et caricaturale développée par l’intersyndicale de circonstance mise en place par les syndicats SUD santé, CFDT, FO et CGT afin de saboter les élections à l’Ordre infirmier.
Les missions de l’Ordre ne se réduisent pas à établir les règles déontologiques de la profession et à sanctionner les professionnels qui les enfreindraient.
L’Ordre permettra à la profession de disposer d’une instance indépendante puisque financée par les seules cotisations des professionnels. L’Ordre sera le garant du champ de compétences des infirmières et infirmiers et garantira donc à l’usager une même qualité et sécurité de soins indépendamment du type d’exercice de l’infirmière.
Notre profession fait actuellement l’objet d’une « ré-ingénérie » pensée et orchestrée par le ministère de la Santé, qui, sous couvert de modernisation de la profession, va déréglementer les actes infirmiers protégés jusqu’alors par un décret de compétence.
Cette déréglementation correspond à une déqualification et permettra à terme la réalisation d’actes infirmiers par du personnel moins qualifié. L’objectif poursuivi par la Direction de l’Hospitalisation et de l’Organisation des Soins (DHOS) est de pallier au manque d’attractivité du métier par des mesures tirant la profession vers le bas.
Lutter contre l’Ordre infirmier, c’est accepter de fait cette déréglementation promise et priver la profession du poids politique qui lui fait défaut pour défendre son champ de compétence.
La Fédération Nationale des Infirmiers milite pour un renforcement de l’attractivité du métier au sein des établissements hospitaliers publics et ailleurs par une valorisation de la profession.
Elle s’oppose à une vision réductrice sur les enjeux de la mise en place de l’Ordre infirmier motivée par la simple défense de petites prérogatives locales. Il est encore temps de sortir d’une opposition stérile entre syndicats et Ordre, leurs missions respectives sont parfaitement complémentaires : les syndicats la défense du travail, l’Ordre la défense du métier au service de l’usager.
Toutes les grandes centrales syndicales ont été auditionnées avant et après le passage de la Loi créant l’Ordre Infirmier, il est inexact de dénoncer l’absence de concertation dans ce dossier.
[/b][/i]
Encore une semaine pour voter !
La Fédération Nationale des Infirmiers regrette la vision partisane et caricaturale développée par l’intersyndicale de circonstance mise en place par les syndicats SUD santé, CFDT, FO et CGT afin de saboter les élections à l’Ordre infirmier.
Les missions de l’Ordre ne se réduisent pas à établir les règles déontologiques de la profession et à sanctionner les professionnels qui les enfreindraient.
L’Ordre permettra à la profession de disposer d’une instance indépendante puisque financée par les seules cotisations des professionnels. L’Ordre sera le garant du champ de compétences des infirmières et infirmiers et garantira donc à l’usager une même qualité et sécurité de soins indépendamment du type d’exercice de l’infirmière.
Notre profession fait actuellement l’objet d’une « ré-ingénérie » pensée et orchestrée par le ministère de la Santé, qui, sous couvert de modernisation de la profession, va déréglementer les actes infirmiers protégés jusqu’alors par un décret de compétence.
Cette déréglementation correspond à une déqualification et permettra à terme la réalisation d’actes infirmiers par du personnel moins qualifié. L’objectif poursuivi par la Direction de l’Hospitalisation et de l’Organisation des Soins (DHOS) est de pallier au manque d’attractivité du métier par des mesures tirant la profession vers le bas.
Lutter contre l’Ordre infirmier, c’est accepter de fait cette déréglementation promise et priver la profession du poids politique qui lui fait défaut pour défendre son champ de compétence.
La Fédération Nationale des Infirmiers milite pour un renforcement de l’attractivité du métier au sein des établissements hospitaliers publics et ailleurs par une valorisation de la profession.
Elle s’oppose à une vision réductrice sur les enjeux de la mise en place de l’Ordre infirmier motivée par la simple défense de petites prérogatives locales. Il est encore temps de sortir d’une opposition stérile entre syndicats et Ordre, leurs missions respectives sont parfaitement complémentaires : les syndicats la défense du travail, l’Ordre la défense du métier au service de l’usager.
Toutes les grandes centrales syndicales ont été auditionnées avant et après le passage de la Loi créant l’Ordre Infirmier, il est inexact de dénoncer l’absence de concertation dans ce dossier.
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Qui mieux que les infirmiers pour parler et décider pour les infirmiers.
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- Accro
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- Inscription : 14 août 2005 10:25
- Localisation : Quelque part... dans le charme du désordre
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On sait bien que les IDE ne s'interessent pas aux érections ordinales, d'où ce multipostage qui en dit long sur la panique des organisateurs!
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On sait bien que les IDE ne s'interessent pas aux érections ordinales, d'où ce multipostage qui en dit long sur la panique des organisateurs!

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Le complotisme est la philosophie du fruste.
Toutes les vérités sont nonnes à dire...
Mère TERASERA
ex IADE bloc SMUR syndicaliste, gauche laïque, CerfHa hygiène, tutorat et encadrement étudiants.
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