TFE représentation IDE face aux patients alcooliques
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tfe:la maladie alcoolique
svp aidez moi parce que je commence à stresser.mon tfe n'avance pas
je travaille sur la maladie alcoolique
mon constat c'est que j'ai remarqué que les patients alcooliques sont angoissés lors de la sortie de cure de sevrage.
ils verbalisent une peur de rechute.
donc je me suis questionnée sur le role ide lors de la cure de sevrage afin de dimunier cette angoisse.
mais jarrive pa a trver des hyppotheses et je ne sais pas cmt formuler ma question de depart pour pouvoir trver ts les mots clés
merci de votre aide
je travaille sur la maladie alcoolique
mon constat c'est que j'ai remarqué que les patients alcooliques sont angoissés lors de la sortie de cure de sevrage.
ils verbalisent une peur de rechute.
donc je me suis questionnée sur le role ide lors de la cure de sevrage afin de dimunier cette angoisse.
mais jarrive pa a trver des hyppotheses et je ne sais pas cmt formuler ma question de depart pour pouvoir trver ts les mots clés
merci de votre aide
Si tu ne réponds pas aux questions que l'on te pose sur ton premier sujet...
http://www.infirmiers.com/frm/sutra1421 ... t=#1421443
http://www.infirmiers.com/frm/sutra1421 ... t=#1421443
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travail de recherche sur éduc thérapeutique et alcoolisme
Je suis en 2ème année et on doit faire un mini mémoire a rendre ds 2 semaines...seulement je rame pas mal!!
Ma situation de départ est la suivante: dans un service de médecine, un patient est hospitalisé en hôpital de semaine pr des lombalgies, l'équipe découvre qu'il est alcoolique.
Se pose alors la question de la distribution de vin lors des repas, une partie de l'équipe refuse de lui proposer du vin et presque de lui en donner (justifiant cela par le valeurs de l'hôpital qui ne peuvent encourager ou surtout entretenir une dépendance de la sorte), l'autre partie explique qu'au même titre que les autres patients il a effectivement la possibilité d'avoir 1/4 de litre de rouge le midi. Il n'y a eu aucune discussion avec le patient autour de cette problématique, ni d'un suivi proposé ou d'une prise en charge adaptée.
Mes axes de recherche porteraient autour de l'éducation thérapeutique et de la liberté du malade/ de notre rôle éducatif (quel est il vraiment?quels sont ses limites?)/ l'importance d'un projet de soin pour le patient..il y a évidemment d'autres axes mais j'ai choisis de traiter ceux là.
Seulement j'ai vraiment l'impression d'être à coté de la plaque, je trouve très peu d'infos et j'ai pas le sentiment de pouvoir faire 1 travail très intéressant autour de ca, alors je sollicite votre aide si vous avez des connaissances, des infos en la matière. Merci!
Ma situation de départ est la suivante: dans un service de médecine, un patient est hospitalisé en hôpital de semaine pr des lombalgies, l'équipe découvre qu'il est alcoolique.
Se pose alors la question de la distribution de vin lors des repas, une partie de l'équipe refuse de lui proposer du vin et presque de lui en donner (justifiant cela par le valeurs de l'hôpital qui ne peuvent encourager ou surtout entretenir une dépendance de la sorte), l'autre partie explique qu'au même titre que les autres patients il a effectivement la possibilité d'avoir 1/4 de litre de rouge le midi. Il n'y a eu aucune discussion avec le patient autour de cette problématique, ni d'un suivi proposé ou d'une prise en charge adaptée.
Mes axes de recherche porteraient autour de l'éducation thérapeutique et de la liberté du malade/ de notre rôle éducatif (quel est il vraiment?quels sont ses limites?)/ l'importance d'un projet de soin pour le patient..il y a évidemment d'autres axes mais j'ai choisis de traiter ceux là.
Seulement j'ai vraiment l'impression d'être à coté de la plaque, je trouve très peu d'infos et j'ai pas le sentiment de pouvoir faire 1 travail très intéressant autour de ca, alors je sollicite votre aide si vous avez des connaissances, des infos en la matière. Merci!
"Tous ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort."
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peut être un peu d'aide
Je viens de lire le problème que tu t'es posé en stage. J'ai vécu la même chise durant mes études dans un service de médecine.
Toute l'équipe était en difficulté par rapport a ce problème. Le médecin a alors décidé de faire appel à l'équipe spécialisée en alcoologie qui se trouvait sur place. Une infirmière est alors venue en discuter avec lui mais celui-ci n'avait pas du tout l'impression d'avoir un problème vis-à-vis de l'alccol.
A notre niveau, nous pouvons malheureusement lui expliquer les risques de l'alcoolisme mais pas l'obliger à suivre une thérapie. Après à savoir s'il faut oui ou non lui donner du vin comme les autres, toute la difficulté est là. Le souci c'est qu un alcoolique risque de faire un délirium tremens et là la prise en charge se complique. Pour ton travail je te conseillerais d'aller parler à une infirmière spécialisée en alcoologie ou même te rendre dans un centre d'alcoolique anonymes qui te parleront de la prise en charge et du déni, ils peuvent être d'une grande aide et t'expliquer correctement la prise en charge adaptée, moi elle m'avait bien aidé à comprendre. Chaque cas est bien sûr différent.
Toute l'équipe était en difficulté par rapport a ce problème. Le médecin a alors décidé de faire appel à l'équipe spécialisée en alcoologie qui se trouvait sur place. Une infirmière est alors venue en discuter avec lui mais celui-ci n'avait pas du tout l'impression d'avoir un problème vis-à-vis de l'alccol.
A notre niveau, nous pouvons malheureusement lui expliquer les risques de l'alcoolisme mais pas l'obliger à suivre une thérapie. Après à savoir s'il faut oui ou non lui donner du vin comme les autres, toute la difficulté est là. Le souci c'est qu un alcoolique risque de faire un délirium tremens et là la prise en charge se complique. Pour ton travail je te conseillerais d'aller parler à une infirmière spécialisée en alcoologie ou même te rendre dans un centre d'alcoolique anonymes qui te parleront de la prise en charge et du déni, ils peuvent être d'une grande aide et t'expliquer correctement la prise en charge adaptée, moi elle m'avait bien aidé à comprendre. Chaque cas est bien sûr différent.
Schtroumph'ette a écrit :mon travail de recherche porte sur la stigmatisation, les jugements à l'égard des patients alcoolo- dépendants.
Je pars d'une situation en stage de médecine, où un patient âgé d'une cinquantaine d'années était hospitalisé pour des douleurs lombaires. La première phrase le concernant lors des transmission concernait son alcoolisme. La suite de la prise en charge s'en est trouvée altérée par des difficultés à s'accorder sur un comportement soignant (distribuer ou non du vin lors des repas par ex...), à mettre "au vestiaire" les représentations, événements personnels, jugements divers sur cette pathologie.
Aucune prise en charge extérieure n'a été proposée, aucune discussion avec le principal intéressé ni avec sa femme.
Cette situation m'a posée question, mettant en avant encore une fois toute la stigmatisation sur l'alcoolisme, la place de cette maladie en service hospitalier non spécialisé en alcoologie.
Si vous avez fait 1 boulot la dessus, si vous avez des infos, des situations intéressantes en rapport avec celle-ci, ce serait vraiment sympa de les faire partager!
merci
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- Inscription : 12 mars 2008 18:13