3 ème année, doute /capacité, stage difficile, quels acquis?
Modérateurs : Modérateurs, ESI
- papillon123
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Miss amioce n'a pas tord, c'est vrai qu'il y a des stages où tu prends vraiment sur toi, tu as hâte que cela se termine alors que ça ne fait que 2-3 jours tu as commencé.
Et encore, comme elle dit elle n'a pas tout dit, et moi je n'en rajouterai pas car je pense que chacun doit faire sa propre experience et qu'il ne soit pas influencé par nos ecris.
Mais le probleme pour moi, est que lorsqu'un stage se passe mal, on a tendance à oublier les stages qui se sont bien passés, tellement que cela sape le moral.
amioce à oublier de parler des retours de stage, après chaque stage, on parle de nos avis sur le service où l'on a été, les points forts, les points faibles, etc... en groupe de suivie avec notre formatrice referente, super moment de solitude lorsque l'élève évoque la situation dont il a été traité durant son stage, selon notre formatrice c'est aux élèves de se remettre en question, car beaucoup d'élève se positionne en tant que victime et blablabla... Une fois j'ai repondue, que c'etait notre statut qui nous posait probleme, car il est sur et certain que si je n'avais pas le statut d'élève, une ide, un as ou qui que se soit me parle comme si j'etais une moins que rien, alors là
, mais ,je suis une élève 2ème année, avec une dernière évaluation, je ne suis pas folle...
Et encore, comme elle dit elle n'a pas tout dit, et moi je n'en rajouterai pas car je pense que chacun doit faire sa propre experience et qu'il ne soit pas influencé par nos ecris.
Mais le probleme pour moi, est que lorsqu'un stage se passe mal, on a tendance à oublier les stages qui se sont bien passés, tellement que cela sape le moral.
amioce à oublier de parler des retours de stage, après chaque stage, on parle de nos avis sur le service où l'on a été, les points forts, les points faibles, etc... en groupe de suivie avec notre formatrice referente, super moment de solitude lorsque l'élève évoque la situation dont il a été traité durant son stage, selon notre formatrice c'est aux élèves de se remettre en question, car beaucoup d'élève se positionne en tant que victime et blablabla... Une fois j'ai repondue, que c'etait notre statut qui nous posait probleme, car il est sur et certain que si je n'avais pas le statut d'élève, une ide, un as ou qui que se soit me parle comme si j'etais une moins que rien, alors là

ESI 2ème année
Coucou papillon les deux papillons ... j ai lu vos réponses et ça me touche.Oui c'est important de le dire! C'est une formation difficile qui demande beaucoup d'exigence et une bonne maitrise de soi ! Mais je reste persuader que cela n'est pas innée et que l'on acquiert toujours de l'assurance avec le temps et l'expérience sauf que les formateurs ne l' entendent pas toujours de cette oreille ! Pour eux on est fait pour ça ou ne l'est pas dès le début! Ils ne comprennent pas forcément que l'on peut avoir besoin d'un peu plus de temps parfois. Cela dépends aussi beaucoup de notre propre équilibre environnemental et psychologique ! il faut pas l'oublier. Cela ne veut pas dire qu'on est pas ou plus fait pour ça ! Souvent quand ça ne va pas dans l'environnement , on a du mal avec le relationnel auprès du patient, on est pas des surhommes ! Le nombre de fois où j ai pleuré, je me demande comment j ai fait pour ne pas me déssécher ! Je pense qu'il faut se garder du temps pour soi et prendre le temps de s'écouter pour comprendre ce qui ne va pas en ce moment , se reposer, régler nos problèmes personnels si c'est possible permettra d'étre plus disponible avec les patients ! Pour moi, mes notes sont un peu moyenne mais je veux continuer,ça ne veux rien direpour moi une note. Je me suis donné trop de mal pour arrèter ! L' école veut que j arrète la formation , mais là je suis en crèche et ça se passe très bien , enfin j ai trouvé quelquechose qui me plaît... les enfants, un projet puericultrice ... Je trouve ça dommage de ne pas laisser sa chance à un étudiant qui a quelques difficultés mai qui a l'envie de faire ce métier.... Je pense que l' on peut réellemnt s'améliorer et changer, quand on s'en donne les moyens, et si l'on écoute pas les mauvaises langues !
Je retiens donc une bonne chose de tout ce que j ai vécu, ne jamais se laisser influencer par qui que ce soit et toujours écouter la petite voix qui dit qu' on peut y arriver !
Malgré tout mes doutes , au fond de moi, je sais que je regretterai cette formation si je la stoppe. Bref, si quelqu' un a eu la même expérience que moi, qu'il a eu des difficultés en 1ère année mais s'est accroché et a réussi ,j aimerai qu on puisse parler et échanger sur ce sujet ! Lillie tu m as parlé de ta copine ! donc voilà mon adresse msn Merci et vraiment c'est super de pouvoir parler sur ce forum ! N'abandonnez pas écoutez toujours votre petite voix intérieure et faites en sorte qu elle ne disparaisse jamais ! Voilà, j ai vider mon sac !
[Mail supprimé en raison du spam => Juju5544]
Je retiens donc une bonne chose de tout ce que j ai vécu, ne jamais se laisser influencer par qui que ce soit et toujours écouter la petite voix qui dit qu' on peut y arriver !
Malgré tout mes doutes , au fond de moi, je sais que je regretterai cette formation si je la stoppe. Bref, si quelqu' un a eu la même expérience que moi, qu'il a eu des difficultés en 1ère année mais s'est accroché et a réussi ,j aimerai qu on puisse parler et échanger sur ce sujet ! Lillie tu m as parlé de ta copine ! donc voilà mon adresse msn Merci et vraiment c'est super de pouvoir parler sur ce forum ! N'abandonnez pas écoutez toujours votre petite voix intérieure et faites en sorte qu elle ne disparaisse jamais ! Voilà, j ai vider mon sac !
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bonjour,
moi je pense qu'il serait dommage que tu arrêtes en si bon chemin, tu es sur la fin et il s'est peut etre passé quelque chose qui fait que tu te remets en question, car je pense que si ce métier ne te plaisait pas tu t'en serais rendue compte dès la première année, si tu as tenu jusque là c'est que tu y trouvais ton intérêt.
quoiqu'il arrive, ne prend pas de décision à la légère tu pourrais t'en vouloir et je te conseille vivement d'en parler à ton formateur référent qui t'aidera à éclaircir tout ça, ils sont aussi là pour ça.
bon courage!
moi je pense qu'il serait dommage que tu arrêtes en si bon chemin, tu es sur la fin et il s'est peut etre passé quelque chose qui fait que tu te remets en question, car je pense que si ce métier ne te plaisait pas tu t'en serais rendue compte dès la première année, si tu as tenu jusque là c'est que tu y trouvais ton intérêt.
quoiqu'il arrive, ne prend pas de décision à la légère tu pourrais t'en vouloir et je te conseille vivement d'en parler à ton formateur référent qui t'aidera à éclaircir tout ça, ils sont aussi là pour ça.
bon courage!
TCHOUSSSSSS A TOUS
Amioce surtout ton témoignage révèle une réalité .. en tout cas pour mon cas ça résonne et ce sont des situations que je ne suis pas loin dd'avoir vécu..! en plus je suis timide mais motivé ! Il m est arrivé parfois de me demander pourquoi j avais choisi cette formation et comment j aurai pu me douter que des gens comme ça existaieratit dasn un milieu où l'on est sensé apporter de l humain ! Mais je crois qu il ne faut pas rèver, l humain c'est aussi hypocrisie, rapport de force, à croire qu il y a un besoin de rabaisser l autre pour se sentir exister ... je dis ce que je pense si d'autres ne sont pas d'accord ... tant pis! Je pense que ce que Amioce a dit c'est une réalité qu'on prends en pleine face, en tout cas ça a pas été loin d'étre ma situation et j'en ai pleuré des nuits entières ! Imaginez un métier que vous respectez ou vous aimeriez vous épanouir et vous voyez qu on vous traitent comme une sous merde ... moi je veux continuer mais plus jamais ça, plus se laisser dévaloriser de le sorte! Comme je regrette de m'etre laissé influencer ! Ce n est pas facile mais je veux me donner les moyens
En effet c'est très touchant cet écrit d'amioce
Je me retrouve tout à fait dans ce qui est dit.
Jusque là j'avais tendance à me demander comment font les autres, ceux qui disent être très à l'aise en stage pour ne pas se trouver dans ce genre de situation, qu'est ce qui ne va pas dans mon comportement,.....ce sujet reste malheureusement beaucoup trop tabou même au sein des ifsi.
J'avoue être la 1ère mal à l'aise quand 1 collègue évoque 1 situation difficile en compte rendu de stage devant tout le monde car ça nous renvoie à nos propres expériences négatives qu'on préfère parfois taire et on se sent impuissant face à l'étudiant concerné.
Les ide ne se rendent pas compte de l'importance d'un simple sourire quand on arrive en stage.
Au stage où je suis en ce moment (dernier de 2ème année) le 1er jour s'est passé comme le décrit amioce : personne ne m'a parlé je me suis présentée à tout le monde on me regardait comme une bête curieuse point
là on se sent seul en effet
Pendant 2 jours je me suis renfermée sur moi même alors que je sais que c'est mon problème et je fais tout pour éviter ça mais face à l'ignorance j'ai du mal!!
Puis 3ème jour j'ai tourné avec une jeune ide très sympa qui m'a demandé de quelle école j'étais, quelle année, si j'avais des questions, ....
Depuis je suis très à l'aise avec elle mais aussi avec les autres.
C'est tout bête de se bloquer sur des choses comme ça mais on n'est pas des robots.
Pour ma part pas question d'arrêter parce que certains ide me manquent de respect,...je prends mon mal en patience : je fais cette formation avant tout pour moi donc j'essaie de faire ce qu'il faut pour pouvoir + tard exercer 1 formation qui me plaira.
Bon courage à tous les étudiants qui sont pas à l'aise en stage et aux autres qui ont beaucoup de chance


Je me retrouve tout à fait dans ce qui est dit.
Jusque là j'avais tendance à me demander comment font les autres, ceux qui disent être très à l'aise en stage pour ne pas se trouver dans ce genre de situation, qu'est ce qui ne va pas dans mon comportement,.....ce sujet reste malheureusement beaucoup trop tabou même au sein des ifsi.
J'avoue être la 1ère mal à l'aise quand 1 collègue évoque 1 situation difficile en compte rendu de stage devant tout le monde car ça nous renvoie à nos propres expériences négatives qu'on préfère parfois taire et on se sent impuissant face à l'étudiant concerné.
Les ide ne se rendent pas compte de l'importance d'un simple sourire quand on arrive en stage.
Au stage où je suis en ce moment (dernier de 2ème année) le 1er jour s'est passé comme le décrit amioce : personne ne m'a parlé je me suis présentée à tout le monde on me regardait comme une bête curieuse point


Pendant 2 jours je me suis renfermée sur moi même alors que je sais que c'est mon problème et je fais tout pour éviter ça mais face à l'ignorance j'ai du mal!!
Puis 3ème jour j'ai tourné avec une jeune ide très sympa qui m'a demandé de quelle école j'étais, quelle année, si j'avais des questions, ....
Depuis je suis très à l'aise avec elle mais aussi avec les autres.
C'est tout bête de se bloquer sur des choses comme ça mais on n'est pas des robots.
Pour ma part pas question d'arrêter parce que certains ide me manquent de respect,...je prends mon mal en patience : je fais cette formation avant tout pour moi donc j'essaie de faire ce qu'il faut pour pouvoir + tard exercer 1 formation qui me plaira.
Bon courage à tous les étudiants qui sont pas à l'aise en stage et aux autres qui ont beaucoup de chance


esi 3ème année, dernière ligne droite... ça passe vite et tant mieux!
- phiphibrindacier01
- Fidèle
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peut être suis-je dans le même cas que plusieurs futurs étudiants en soins infirmiers, vos message me terrifient pourtant je me suis beaucoup investi pour réussir le concours je sais que c'est vraiment ce que je veux faire mais quand on voit le nombre d'abandons ça fait vraiment très peur! je voudrais cependant vous remercier car sans vous je pense qu'on serait déçu, en effet on arriverait en stage avec notre air ébêté en se disant que tout va très bien se passer que tout le monde va nous apprécier et il n'en sera peut être rien! je pense que ces témoignages m'ont beaucoup apporté, je pense que je serais moins naïve en arrivant en stage que si je n'avais pas lu vos commentaires! je tiens à vous remercie de faire partager votre vécu car je pense que ça permet à d'autres étudiants de se rendre compte qu'ils ne sont pas les seuls dans ce cas!
voilaa encore merci
voilaa encore merci
Infirmière toute neuve 

je viens de lire le - très - long texte d'amioce, et pas mal du tout !
tu viens de citer le pire stage qu'on puisse endurer. et même quand des stages se passent bien, on se retrouve quand même dans ce que tu dis.
énorme.
en ce moment, je suis dans une mauvaise posture (attente des résultats de rattrapages), et je me demande si je les ai loupé, si je dois retaper (alors que j'ai quand même déjà fait un report de ma 2ème année) ou si je dois tout arrêter.
bizarrement, ton texte m'a donné envie de continuer, de me battre, d'aller jusqu'au bout. allez savoir pourquoi
donc je te remercie amioce
tu viens de citer le pire stage qu'on puisse endurer. et même quand des stages se passent bien, on se retrouve quand même dans ce que tu dis.
énorme.
en ce moment, je suis dans une mauvaise posture (attente des résultats de rattrapages), et je me demande si je les ai loupé, si je dois retaper (alors que j'ai quand même déjà fait un report de ma 2ème année) ou si je dois tout arrêter.
bizarrement, ton texte m'a donné envie de continuer, de me battre, d'aller jusqu'au bout. allez savoir pourquoi



donc je te remercie amioce

- tooshoss
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envie de tout abandonner
merci amioce,
et courage
tu apporte un témoignage sur une réalité que nos formateurs nous demande de taire
je me retrouve entièrement dans ce que tu décris
je peux rajouter qu'en plus je suis "vieille" (41ans) et qu'on me le fais bien savoir et même payer:
remarques désobligeantes, et même des insultes qui me laissent coi tant cela paraît irréel et ma référente pédagogique qui me dit "ah! mais ne dites pas çà, arrêtez!!" Ah, je ne savais pas que j'étais schizophrène ?
j'étais prof épanoui dans ma profession, je voulais m'offrir une chance de faire un métier formidable, je tombe de haut et l'ancienne "pédago" que je suis trouve inadmissible l'attitude de ses professionnels.
mes proches me conseils d'écrire un livre, j'y pense de plus en plus
nous sommes victimes de maltraitance et on nous demande d'être bien traitant ?????
bel exemple!!!
et courage
tu apporte un témoignage sur une réalité que nos formateurs nous demande de taire
je me retrouve entièrement dans ce que tu décris
je peux rajouter qu'en plus je suis "vieille" (41ans) et qu'on me le fais bien savoir et même payer:
remarques désobligeantes, et même des insultes qui me laissent coi tant cela paraît irréel et ma référente pédagogique qui me dit "ah! mais ne dites pas çà, arrêtez!!" Ah, je ne savais pas que j'étais schizophrène ?
j'étais prof épanoui dans ma profession, je voulais m'offrir une chance de faire un métier formidable, je tombe de haut et l'ancienne "pédago" que je suis trouve inadmissible l'attitude de ses professionnels.
mes proches me conseils d'écrire un livre, j'y pense de plus en plus
nous sommes victimes de maltraitance et on nous demande d'être bien traitant ?????
bel exemple!!!
- papillon123
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Venezia, tu me fais penser à une collègue de ma promo, qui à la quarantaine passé et qui en a vu de toute les couleurs durant ces stages, mais elle a du caractère, car moi avec ce qu'elle m'a dit il y a longtemps que j'aurais arrêté, mais même vis à vis des formatrices qui ont voulu la faire craquer, et elle a tenu bon.
Avant, j'etais AS, il y a des moments où je me dis "mais dans quoi tu t'es fourré?", je connais bien ce milieu et je savais sur quoi je pouvais tomber, mais là je sais qu'il existe des gens inhumains et qui eux ne sont pas fait pour le milieu, je l'ai déja dit il ne suffit pas de savoir "techniquer", car il y en a sur ce côté là il n'y a rien à dire mais le côté relationnelle"nada", que ce soit avec les patients, leur famille, les élèves ou bien l'equipe paramedicale, la plupart sont des jeunes diplômés qui sont déja blasé, alors que cela ne fait même pas six mois qu'elles ont pris leur fonction, je me dis "mais à quoi elles s'attendaient?"
Par contre il est vrai que lorsque l'élève s'explique sur son ressenti, les formatrices ont des oeillères, on a l'impression que l'on parle à des murs, il est vrai qu'elles ne pourront pas faire grand chose, mais au moins qu'elles aient de la considération pour ce que l'on dit.
Avant, j'etais AS, il y a des moments où je me dis "mais dans quoi tu t'es fourré?", je connais bien ce milieu et je savais sur quoi je pouvais tomber, mais là je sais qu'il existe des gens inhumains et qui eux ne sont pas fait pour le milieu, je l'ai déja dit il ne suffit pas de savoir "techniquer", car il y en a sur ce côté là il n'y a rien à dire mais le côté relationnelle"nada", que ce soit avec les patients, leur famille, les élèves ou bien l'equipe paramedicale, la plupart sont des jeunes diplômés qui sont déja blasé, alors que cela ne fait même pas six mois qu'elles ont pris leur fonction, je me dis "mais à quoi elles s'attendaient?"
Par contre il est vrai que lorsque l'élève s'explique sur son ressenti, les formatrices ont des oeillères, on a l'impression que l'on parle à des murs, il est vrai qu'elles ne pourront pas faire grand chose, mais au moins qu'elles aient de la considération pour ce que l'on dit.
ESI 2ème année
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Venezia, tu me fais penser à une collègue de ma promo, qui à la quarantaine passé et qui en a vu de toute les couleurs durant ces stages, mais elle a du caractère, car moi avec ce qu'elle m'a dit il y a longtemps que j'aurais arrêté, mais même vis à vis des formatrices qui ont voulu la faire craquer, et elle a tenu bon.
Avant, j'etais AS, il y a des moments où je me dis "mais dans quoi tu t'es fourré?", je connais bien ce milieu et je savais sur quoi je pouvais tomber, mais là je sais qu'il existe des gens inhumains et qui eux ne sont pas fait pour le milieu, je l'ai déja dit il ne suffit pas de savoir "techniquer", car il y en a sur ce côté là il n'y a rien à dire mais le côté relationnelle"nada", que ce soit avec les patients, leur famille, les élèves ou bien l'equipe paramedicale, la plupart sont des jeunes diplômés qui sont déja blasé, alors que cela ne fait même pas six mois qu'elles ont pris leur fonction, je me dis "mais à quoi elles s'attendaient?"
Par contre il est vrai que lorsque l'élève s'explique sur son ressenti, les formatrices ont des oeillères, on a l'impression que l'on parle à des murs, il est vrai qu'elles ne pourront pas faire grand chose, mais au moins qu'elles aient de la considération pour ce que l'on dit.
Avant, j'etais AS, il y a des moments où je me dis "mais dans quoi tu t'es fourré?", je connais bien ce milieu et je savais sur quoi je pouvais tomber, mais là je sais qu'il existe des gens inhumains et qui eux ne sont pas fait pour le milieu, je l'ai déja dit il ne suffit pas de savoir "techniquer", car il y en a sur ce côté là il n'y a rien à dire mais le côté relationnelle"nada", que ce soit avec les patients, leur famille, les élèves ou bien l'equipe paramedicale, la plupart sont des jeunes diplômés qui sont déja blasé, alors que cela ne fait même pas six mois qu'elles ont pris leur fonction, je me dis "mais à quoi elles s'attendaient?"
Par contre il est vrai que lorsque l'élève s'explique sur son ressenti, les formatrices ont des oeillères, on a l'impression que l'on parle à des murs, il est vrai qu'elles ne pourront pas faire grand chose, mais au moins qu'elles aient de la considération pour ce que l'on dit.
ESI 2ème année
Salut la compagnie!
Bon alors je suis revenue sur ce forum pour voir qu'elles aveint été les réactions suite à mon post...Que ne fut ma surprise lorsque j'ai lu tout ce que vous aviez écrit!! Certains de vos messages sont touchant et restent malheureusement d'actualité. En tout cas, une chose est sûre: Lorsque l'on traverse de telles expériences, on se dit souvent que l'on est seul(e) et on ne sait plus à qui s'adresser ou ce que l'on doit en penser. Mais mon post a eu peut être le mérite de montrer que non, nous ne sommes absolument pas seul(e) dans ces cas là! Beaucoup d'étudiants vivent ce genre de choses et l'important est de ne pas se taire, peu importent les règles et les obstacles!
Alors oui c'est pas évident, surtout dans ces "comptes-rendus" de stages avec la formatrice... Mais je persiste à croire que rien n'évolue dans le silence! Sans jouer les passionarias du Dimanche, je pense qu'il est important de se soutenir, afin que nous devenions à notre tour des IDE compétents et que nous fassions évoluer certaines choses...
Mais, en attendant, il faut quand même faire ses 3 années et des poussières et surtout rester motivés!!
Si certains d'entre vous veulent partager leurs soucis avec moi, il n'y a pas de problèmes! L'union fait la force, héhéhé!
Bon ok, ce post laisse à penser que je suis habillée en viking, brandissant une hache à la main! Rassurez-vous, rien de tel! Allez je balance l'adresse de mon blog: http://tackto.over-blog.com/
Ainsi, ceux qui le désirent pourront monter sur le Drakkar avec moi et mener leur barque jusqu'à la fin de leurs études!!
Bises à vous et bon courage!!
Bon alors je suis revenue sur ce forum pour voir qu'elles aveint été les réactions suite à mon post...Que ne fut ma surprise lorsque j'ai lu tout ce que vous aviez écrit!! Certains de vos messages sont touchant et restent malheureusement d'actualité. En tout cas, une chose est sûre: Lorsque l'on traverse de telles expériences, on se dit souvent que l'on est seul(e) et on ne sait plus à qui s'adresser ou ce que l'on doit en penser. Mais mon post a eu peut être le mérite de montrer que non, nous ne sommes absolument pas seul(e) dans ces cas là! Beaucoup d'étudiants vivent ce genre de choses et l'important est de ne pas se taire, peu importent les règles et les obstacles!
Alors oui c'est pas évident, surtout dans ces "comptes-rendus" de stages avec la formatrice... Mais je persiste à croire que rien n'évolue dans le silence! Sans jouer les passionarias du Dimanche, je pense qu'il est important de se soutenir, afin que nous devenions à notre tour des IDE compétents et que nous fassions évoluer certaines choses...
Mais, en attendant, il faut quand même faire ses 3 années et des poussières et surtout rester motivés!!
Si certains d'entre vous veulent partager leurs soucis avec moi, il n'y a pas de problèmes! L'union fait la force, héhéhé!
Bon ok, ce post laisse à penser que je suis habillée en viking, brandissant une hache à la main! Rassurez-vous, rien de tel! Allez je balance l'adresse de mon blog: http://tackto.over-blog.com/
Ainsi, ceux qui le désirent pourront monter sur le Drakkar avec moi et mener leur barque jusqu'à la fin de leurs études!!
Bises à vous et bon courage!!
Je pense que toutes ces remises en question sont saines...Je pense que ce serait plutôt prétentieux de notre part de se dire que nous sommes à l'aise partout et tout le temps...La formation IDE est une remise en question sans cesse...J'approche à gds pas du métier et pourtant je me demande encore...est-ce que je suis faites pour ce métier, ne vais-je pas mettre les patients en danger à cause d'un mauvais calcul de doses...Il parait que c'est sain, que ça permet d'être toujours vigilant ! Mais au fond de moi, je sais que je suis heureuse de pouvoir soulager (tant bien que mal) les gens...Tu sais ce qui me rend heureuse dans cette profession ? C'est le sourire que le patient m'offre...c'est ptèt con...mais pour moi ça veut tout dire...Et pourtant parfois g voulu tout balancé ! Je te conseille de prendre un temps d'arrêt (tu as le droit de retardé ta scolarité) prendre du recul...bon courage... 

3ème année (fin : 11.2008 ! youpi !)
Bonsoir,
Le témoignage d'Amioce est poignant et reflète malheureusement la réalité à laquelle je vais devoir me confronter en qualité d'étudiante.
En effet, à 40 ans j'ai décidé de m'impliquer et de me former au métier d'IDE après avoir exercé 20 ans dans un centre anticancéreux en qualité d'assistante médicale, donc l'environnement je le connais et il est vrai que même en qualité de professionnel voire de collègue chaque fois que j'ai eu à intégrer une nouvelle équipe j'ai eu plus de difficulté à trouver ma place auprès du personnel soignant qu'auprès des autres membres de l’équipe.
Cependant, de part ma modeste expérience, la pédagogie n'est pas donnée à tout le monde et met évidence des lacunes professionnelles pouvant ainsi suscitées de tels comportements.
En revanche, vous qui avez vécu des situations difficiles il me semble qu'il est de votre devoir et du mien dans l'avenir de faire en sorte qu'un étudiant quelque qu'il soit puisse trouver sa place et qu'en toute humilité que vous puissiez remplir votre mission pédagogique à son égard. Si tout un chacun veillons à l'attention particulière que peut attendre un étudiant (en sa rappelant ses propres stages) sans pour cela être dans « le paternalisme » alors pourrions espérer ne plus lire des témoignages comme ceux-ci mais bien au contraire des gratitudes.
Le témoignage d'Amioce est poignant et reflète malheureusement la réalité à laquelle je vais devoir me confronter en qualité d'étudiante.
En effet, à 40 ans j'ai décidé de m'impliquer et de me former au métier d'IDE après avoir exercé 20 ans dans un centre anticancéreux en qualité d'assistante médicale, donc l'environnement je le connais et il est vrai que même en qualité de professionnel voire de collègue chaque fois que j'ai eu à intégrer une nouvelle équipe j'ai eu plus de difficulté à trouver ma place auprès du personnel soignant qu'auprès des autres membres de l’équipe.
Cependant, de part ma modeste expérience, la pédagogie n'est pas donnée à tout le monde et met évidence des lacunes professionnelles pouvant ainsi suscitées de tels comportements.
En revanche, vous qui avez vécu des situations difficiles il me semble qu'il est de votre devoir et du mien dans l'avenir de faire en sorte qu'un étudiant quelque qu'il soit puisse trouver sa place et qu'en toute humilité que vous puissiez remplir votre mission pédagogique à son égard. Si tout un chacun veillons à l'attention particulière que peut attendre un étudiant (en sa rappelant ses propres stages) sans pour cela être dans « le paternalisme » alors pourrions espérer ne plus lire des témoignages comme ceux-ci mais bien au contraire des gratitudes.
- etoilinette
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