licence master doctorat et volonte de la profession
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Donc a priori on agite pour pas grand chose.
Une licence professionnelle serait une licence au rabais. Bien joué pour dévaloriser toutes celles et tous ceux qui sont aujourd'hui titulaires de tels diplômes. Ils vont adorer les infirmiers. La licence professionnelle n'est pas une mauvaise chose pour affirmer notre coeur de métier et ne pas tomber dans l'universitarisation un peu rapide et qui pourrait être trop médicalisée.
Jérôme
Une licence professionnelle serait une licence au rabais. Bien joué pour dévaloriser toutes celles et tous ceux qui sont aujourd'hui titulaires de tels diplômes. Ils vont adorer les infirmiers. La licence professionnelle n'est pas une mauvaise chose pour affirmer notre coeur de métier et ne pas tomber dans l'universitarisation un peu rapide et qui pourrait être trop médicalisée.
Jérôme
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je m'inscruste dans la discussion, mais il me semble que pour les autres professions para-med, comme les kinés, les orthophonistes etc, c'est aussi une licence professionnelle qui est proposée, non ?
Truisme n°1 : Quand on fait à la place de l'autre, non seulement on n'est pas à sa place, mais en plus, on empêche l'autre de prendre la place qui est la sienne 

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Complètement d'accord. Et pour d'autres raisons exposées ailleurs.jjland83 a écrit :Donc a priori on agite pour pas grand chose.
Une licence professionnelle serait une licence au rabais. Bien joué pour dévaloriser toutes celles et tous ceux qui sont aujourd'hui titulaires de tels diplômes. Ils vont adorer les infirmiers. La licence professionnelle n'est pas une mauvaise chose pour affirmer notre coeur de métier et ne pas tomber dans l'universitarisation un peu rapide et qui pourrait être trop médicalisée.
Jérôme
Et oui c'est ce qui est proposé à tous les paramédicaux "niveaux bac+3" dans cette "réforme".
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Ben alors pourquoi nous n'avons pas déjà ces 120 crédits ECTS ?cb64800 a écrit :J'allais le dire. C'est non seulement possible, mais courant.Hub a écrit :L'IUT est une formation universitaire mais pas le BTS pourtant il ouvre comme le DUT aux même points (120) comme quoi cela n'est pas forcément un probleme.
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Bien sur, un bac pro est indentique à un bac scientifique, tout le monde le sait !jjland83 a écrit :Donc a priori on agite pour pas grand chose.
Une licence professionnelle serait une licence au rabais. Bien joué pour dévaloriser toutes celles et tous ceux qui sont aujourd'hui titulaires de tels diplômes. Ils vont adorer les infirmiers. La licence professionnelle n'est pas une mauvaise chose pour affirmer notre coeur de métier et ne pas tomber dans l'universitarisation un peu rapide et qui pourrait être trop médicalisée.
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Les possesseurs d'un bac pro apprécieront.Cathy75012 a écrit :Bien sur, un bac pro est indentique à un bac scientifique, tout le monde le sait !jjland83 a écrit :Donc a priori on agite pour pas grand chose.
Une licence professionnelle serait une licence au rabais. Bien joué pour dévaloriser toutes celles et tous ceux qui sont aujourd'hui titulaires de tels diplômes. Ils vont adorer les infirmiers. La licence professionnelle n'est pas une mauvaise chose pour affirmer notre coeur de métier et ne pas tomber dans l'universitarisation un peu rapide et qui pourrait être trop médicalisée.
Jérôme
La formation universitaire classique est théorique. A part pour quelques exceptions comme les médecins par ex, mais ils peuvent ensuite faire de la recherche fondamentale.
Croyez vous qu'il soit possible de faire de la recherche fondamentale avec les "sciences infirmières"?
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Cathy, savez-vous combien de titulaires du Bac pro, de DAEU, de VA, de titres AS, AP ou AMP sont présents aujourd'hui en Ifsi ? Visiblement vous pensez que seul un Bac général permet de rentrer en Ifsi. Et bien non, plus de la moitié des étudiants en Ifsi n'ont pas de bac général.
Une licence pro est une licence parfaitement adaptée au plus grand nombre.
Et concernant les équivalents ECTS, ce n'est pas aux infirmiers de dirent ce qu'ils méritent, mais c'est aux universitaires de décider.
Et figurez vous que dès aujourd'hui un DEI permet d'accéder à des études universitaires (deux filières seulement). Donc DE ou licence pro on aura bien entendu si les universitaires l'estiment possible des unités de valeur utilisables dans d'autres filières.
Concernant la recherche. Oui c'est possible. C'est ce qu'ils font très bien au Québec. Mais ils ont mis une dizaine d'années avant de lancer les choses.
Jérôme
Une licence pro est une licence parfaitement adaptée au plus grand nombre.
Et concernant les équivalents ECTS, ce n'est pas aux infirmiers de dirent ce qu'ils méritent, mais c'est aux universitaires de décider.
Et figurez vous que dès aujourd'hui un DEI permet d'accéder à des études universitaires (deux filières seulement). Donc DE ou licence pro on aura bien entendu si les universitaires l'estiment possible des unités de valeur utilisables dans d'autres filières.
Concernant la recherche. Oui c'est possible. C'est ce qu'ils font très bien au Québec. Mais ils ont mis une dizaine d'années avant de lancer les choses.
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Grosse tête ? Non.
Des docteurs en sciences infirmières on en trouve (Suisse et Québec) et rassurez-vous elles sont charmantes.
Mais c'est toute notre filière sciences infirmières qu'il faut repenser. Et pas juste le "Bac+3" à tout prix.
Jetez un petit oeil sur ce lien et quand en France on alignera un budget pour la recherche en sciences infirmières similaire, alors on aura fait un bon pas en avant, d'ici dix ans peut-être....
http://www.fcrss.ca/nursing_research_fund/index_f.php
Jérôme
Des docteurs en sciences infirmières on en trouve (Suisse et Québec) et rassurez-vous elles sont charmantes.
Mais c'est toute notre filière sciences infirmières qu'il faut repenser. Et pas juste le "Bac+3" à tout prix.
Jetez un petit oeil sur ce lien et quand en France on alignera un budget pour la recherche en sciences infirmières similaire, alors on aura fait un bon pas en avant, d'ici dix ans peut-être....
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Jérôme
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Mais vous êtes extraordinaire ! Qu'une licence ou un DEI ou je ne sais quoi ne débouche pas sur un doctorat, ce sont aux universitaires d'en décider et certainement pas aux infirmiers eux-mêmes ! D'ailleurs le DEI permet aujourd'hui d'intégrer des filières universitaires. Preuve que c'est possible d'accorder des ECTS sans passer par la case licence.
La recherche en sciences infirmières universitaire existera quand cette filière universitaire verra le jour en France. Ca viendra sans doute un jour. Hormis la Suisse, un peu la Belgique et le Québec, les docteurs en sciences infirmières ne sont pas bien nombreux. Cherchez pourquoi ces pays y sont arrivé !
Jérôme
PS : remarque, "SNPI syndicat" indique que c'est la licence pro qui est retenue en France sur la seule lecture d'un rapport de l'Igas. Pourtant les discussions ne commenceront que le 17 novembre et à ce jour rien n'est acté. C'est en affirmant ce genre de choses qu'on perd sa crédibilité... et la licence pro n'a pas que des inconvénients, au contraire même
La recherche en sciences infirmières universitaire existera quand cette filière universitaire verra le jour en France. Ca viendra sans doute un jour. Hormis la Suisse, un peu la Belgique et le Québec, les docteurs en sciences infirmières ne sont pas bien nombreux. Cherchez pourquoi ces pays y sont arrivé !
Jérôme
PS : remarque, "SNPI syndicat" indique que c'est la licence pro qui est retenue en France sur la seule lecture d'un rapport de l'Igas. Pourtant les discussions ne commenceront que le 17 novembre et à ce jour rien n'est acté. C'est en affirmant ce genre de choses qu'on perd sa crédibilité... et la licence pro n'a pas que des inconvénients, au contraire même
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La crédibilité, pour un "coordinateur pédagogique", c'est de connaitre le fonctionnement d'une université...
... et le B-A-BA de savoir qu'une licence peut déboucher sur un master ou un doctorat, mais qu'en aucun cas une licence pro ne peut aboutir à un doctorat professionnel !
Parler d'une filière infirmière avec une formule " licence pro" c'est donc très limitatif, car le troisième étage ne pourra pas voir le jour !
... et le B-A-BA de savoir qu'une licence peut déboucher sur un master ou un doctorat, mais qu'en aucun cas une licence pro ne peut aboutir à un doctorat professionnel !
Parler d'une filière infirmière avec une formule " licence pro" c'est donc très limitatif, car le troisième étage ne pourra pas voir le jour !
Ma crédibilité ne me pose aucun souci, merci pour elle. D'autant plus que l'université m'a ouvert ses portes maintes fois. C'est vrai que l'école des cadres permet d'accéder à des filières universitaires et que chemin faisant on finit par découvrir ces petites portes bien ouvertes pour celles et ceux qui se donnent la peine d'y jeter un oeil. Les laboratoires de recherche sont très intéressés par les gens de terrain, histoire de poser des problématiques de recherche en adéquation avec ce même terrain.
Vouloir dès aujourd'hui une filière doctorante alors qu'on ne se pose même pas a question de la finalité de la profession infirmière, c'est ça le B-A-BA. Une licence pro serait sans doute la mieux adaptée à notre profession et surtout aux candidats à cette profession.
Vous n'avez peut-être pas suffisament cotoyé les filières universitaires pro et classique pour voir à quoi elles peuvent correspondre.
Qu'ensuite il faille développer d'autres aspects des sciences infirmières croyez bien que les universitaires ont leur avis sur la question. Cherchez dans les sciences humaines, la sociologie ou les sciences de l'éducation, par exemple. On ne va pas inventer la poudre dans ces domaines. Et la filière sciences infirmières n'existe pas, elle est à créer, pas seulement en France, mais en Europe...
Ce que j'aime dans votre remarque, c'est qu'encore une fois, vous méprisez les autres, surtout quand ils sont vos contradicteurs. C'est tout le contraire de ce que j'ai appris à l'université, où l'accumulation des savoirs et des regards enrichissent les réflexions individuelles et communes. Définitivement je suis déçu par cette attitude.
Les lecteurs de ce forum (que vous utilisez abondamment) se feront leur propre opinion.
Jérôme
Vouloir dès aujourd'hui une filière doctorante alors qu'on ne se pose même pas a question de la finalité de la profession infirmière, c'est ça le B-A-BA. Une licence pro serait sans doute la mieux adaptée à notre profession et surtout aux candidats à cette profession.
Vous n'avez peut-être pas suffisament cotoyé les filières universitaires pro et classique pour voir à quoi elles peuvent correspondre.
Qu'ensuite il faille développer d'autres aspects des sciences infirmières croyez bien que les universitaires ont leur avis sur la question. Cherchez dans les sciences humaines, la sociologie ou les sciences de l'éducation, par exemple. On ne va pas inventer la poudre dans ces domaines. Et la filière sciences infirmières n'existe pas, elle est à créer, pas seulement en France, mais en Europe...
Ce que j'aime dans votre remarque, c'est qu'encore une fois, vous méprisez les autres, surtout quand ils sont vos contradicteurs. C'est tout le contraire de ce que j'ai appris à l'université, où l'accumulation des savoirs et des regards enrichissent les réflexions individuelles et communes. Définitivement je suis déçu par cette attitude.
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En résumé, vous proposez que l'on commence par une licence pro, et que les plus doués pour les études changent ensuite de filière universitaire pour faire un doctorat "dans les sciences humaines, la sociologie ou les sciences de l'éducation". C'est vrai, pourquoi dans les autres pays les IDE se sont compliquées la vie à créer leur propre domaine en sciences infirmières, alors qu'elles peuvent utiliser celui des autres ?
Question crédibilité, Monsieur le Coordinateur Pédagogique bardé de diplômes universitaires, pouvez vous clarifier la situation européenne ?
- à 23h44 : Et la filière sciences infirmières n'existe pas, elle est à créer, pas seulement en France, mais en Europe...
- à 22h15 : Hormis la Suisse, un peu la Belgique et le Québec, les docteurs en sciences infirmières ne sont pas bien nombreux.
- avez vous des infos sur la Grande Bretagne et l'Espagne ?
Question attitude méprisante, vous devriez vous relire !
Question crédibilité, Monsieur le Coordinateur Pédagogique bardé de diplômes universitaires, pouvez vous clarifier la situation européenne ?
- à 23h44 : Et la filière sciences infirmières n'existe pas, elle est à créer, pas seulement en France, mais en Europe...
- à 22h15 : Hormis la Suisse, un peu la Belgique et le Québec, les docteurs en sciences infirmières ne sont pas bien nombreux.
- avez vous des infos sur la Grande Bretagne et l'Espagne ?
Question attitude méprisante, vous devriez vous relire !
Je ne propose rien du tout. Je cherche à comprendre.
Et puis si l'appelation "ccordinateur pédagogique" vous dérange, appelez moi Monsieur ou collègue ou infirmier. Votre appelation n'est guère plus satisfaisante, mais vous faites votre pub comme vous pouvez.
Je me dis bêtement que la seule filière universitaire que nous serions capable à ce jour de développer en France serait une filière infirmière "médicale". En clair un passage brutal à l'université se ferait très probablement comme une sous spécialité médicale asservie au bon vouloir des médecins. De quoi perdre notre coeur de métier facilement.
Une filière licence pro infirmière c'est déjà plus protecteur de notre profession. Et ça n'empêchera pas de la faire progresser vers une filière plus humaine en se rapprochant de ce qui existe déjà.
Alors au lieu de balancer des comparaisons un peu facile sur ce qui se passe dans les autres pays européens, allez au fond des choses. Et comparez exactement les filières. Sinon expliquez moi ce que fabrique le groupe de travail "Leonardo sur la filière infirmière européenne", expliquez moi ce que c'est que ce" fichu référentiel de compétences" en France et en Europe, donnez les définitions de l'infirmière dans chaque pays européen, bref, si c'était si simple de faire comme chez les voisins, pourquoi se casser la tête ? Pourquoi sommes nous différents ?
Et comparez alors aussi dans le monde, vous aurez certainement un truc encore mieux à pomper. En Serbie on forme des IDE en 4 ans. Et on peut rentrer en école dès 16 ans. Chaque pays a sa sauce et ses raisons. Pour ma part c'est le modèle Québecquois qui me semble le plus intéressant pour les infirmières. Même s'il faudrait au moins 10 ans pour l'adopter en France.
Trouvez-moi dans le monde un système de santé comparable au notre. Et trouvez moi une profession en France qui soit aussi mal représentée par une "foultitude" d'associations et d'organisations professionnelles qui se crêpent le chignon sans arrêt... ça c'est un problème majeur bien français. Une quête de pouvoir des uns et des autres.
Alors l'intérêt collectif passe par une base commune qui est actuellement en cours de refonte. Si vos idées ne sont pas reprises, admettez que la majorité des autres participants aux travaux ne l'a pas souhaité.
Je vous l'ai dit ailleurs, mais j'étais assez d'accord avec vous il y a quelques mois, maintenant c'est franchement différent. Vous agitez, vous alertez, c'est bien, sauf que vous tronquez une partie de la vérité et que vous prenez les gens comme moi pour des idiots incapables de lire et de comprendre. J'ai commencé à vous poser une simple question d'éclaircissement. Et je n'ai toujours pas la réponse.
Un forum n'est pas destiné à assurer votre propagande maladroite. C'est un espace d'échanges. Chaque lecteur de ce topic se fera d'ailleurs sa propre opinion. Vous remarquerez juste que nous ne sommes plus que deux et que ce sujet intéressant est phagocyté par cette querelle bien stérile. Vous voulez avoir raison à tout prix, et bien moi aussi. Avec ça on ne va pas avancer.
Jérôme
Et puis si l'appelation "ccordinateur pédagogique" vous dérange, appelez moi Monsieur ou collègue ou infirmier. Votre appelation n'est guère plus satisfaisante, mais vous faites votre pub comme vous pouvez.
Je me dis bêtement que la seule filière universitaire que nous serions capable à ce jour de développer en France serait une filière infirmière "médicale". En clair un passage brutal à l'université se ferait très probablement comme une sous spécialité médicale asservie au bon vouloir des médecins. De quoi perdre notre coeur de métier facilement.
Une filière licence pro infirmière c'est déjà plus protecteur de notre profession. Et ça n'empêchera pas de la faire progresser vers une filière plus humaine en se rapprochant de ce qui existe déjà.
Alors au lieu de balancer des comparaisons un peu facile sur ce qui se passe dans les autres pays européens, allez au fond des choses. Et comparez exactement les filières. Sinon expliquez moi ce que fabrique le groupe de travail "Leonardo sur la filière infirmière européenne", expliquez moi ce que c'est que ce" fichu référentiel de compétences" en France et en Europe, donnez les définitions de l'infirmière dans chaque pays européen, bref, si c'était si simple de faire comme chez les voisins, pourquoi se casser la tête ? Pourquoi sommes nous différents ?
Et comparez alors aussi dans le monde, vous aurez certainement un truc encore mieux à pomper. En Serbie on forme des IDE en 4 ans. Et on peut rentrer en école dès 16 ans. Chaque pays a sa sauce et ses raisons. Pour ma part c'est le modèle Québecquois qui me semble le plus intéressant pour les infirmières. Même s'il faudrait au moins 10 ans pour l'adopter en France.
Trouvez-moi dans le monde un système de santé comparable au notre. Et trouvez moi une profession en France qui soit aussi mal représentée par une "foultitude" d'associations et d'organisations professionnelles qui se crêpent le chignon sans arrêt... ça c'est un problème majeur bien français. Une quête de pouvoir des uns et des autres.
Alors l'intérêt collectif passe par une base commune qui est actuellement en cours de refonte. Si vos idées ne sont pas reprises, admettez que la majorité des autres participants aux travaux ne l'a pas souhaité.
Je vous l'ai dit ailleurs, mais j'étais assez d'accord avec vous il y a quelques mois, maintenant c'est franchement différent. Vous agitez, vous alertez, c'est bien, sauf que vous tronquez une partie de la vérité et que vous prenez les gens comme moi pour des idiots incapables de lire et de comprendre. J'ai commencé à vous poser une simple question d'éclaircissement. Et je n'ai toujours pas la réponse.
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