Actualités 2009
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Re: Actualités 2009
Le VIH mute à grande vitesse pour éviter le système immunitaire
Mercredi 25 février, 20h19
Une équipe de chercheurs de plusieurs pays a réussi à établir que le VIH évolue rapidement pour court-circuiter les défenses immunitaires de l'individu, ce qui implique qu'un éventuel vaccin devra s'adapter au profil changeant du virus du sida.
Les chercheurs, conduits par Philip Goulder, de l'Université d'Oxford, et dont les travaux sont publiés mercredi dans la revue Nature, ont étudié les données génétiques de plus de 2.800 personnes infectées par le virus, dans différents pays.
Ils se sont intéressés particulièrement aux gènes HLA (antigènes des leucocytes humains), qui orchestrent la réponse immunitaire des cellules T (globules blancs) à des corps étrangers. Ils ont étudié aussi les mutations du VIH qui lui permettent d'échapper à la détection et à la reconnaissance par le système immunitaire.
Les médecins savent que la progression de la maladie se fait à des rythmes très différents selon les individus, en fonction des capacités des variants des gènes HLA à combattre la maladie.
Or les chercheurs ont établi que le virus est susceptible de muter quand il fait face aux variants les plus efficaces contre lui. On parle alors de "mutations d'échappement".
"Quand un gène HLA favorable est présent à de hauts niveaux dans une population donnée, nous voyons apparaître de hauts degrés de mutation qui permettent au virus de résister aux effets particuliers de ces gènes", souligne Rodney Phillips, co-auteur de l'étude.
Cette découverte rend encore plus complexe la recherche d'un vaccin, qui devra s'adapter aux différentes "mutations d'échappement" du VIH.
Ces dernières, remarquent encore les chercheurs, sont d'autant plus nombreuses que les variants du gène HLA diffèrent souvent d'une région du monde à l'autre -entraînant des mutations différentes du virus.
"Une fois que nous aurons trouvé un vaccin efficace, il faudra régulièrement le modifier pour qu'il réponde à un virus en évolution, comme on fait aujourd'hui pour le vaccin de la grippe", note Philip Goulder.
Le virus du sida détruit les cellules immunitaires du corps, exposant l'individu à ce qu'on appelle les "maladies opportunistes". Aujourd'hui 33 millions de personnes dans le monde sont atteintes.
Mercredi 25 février, 20h19
Une équipe de chercheurs de plusieurs pays a réussi à établir que le VIH évolue rapidement pour court-circuiter les défenses immunitaires de l'individu, ce qui implique qu'un éventuel vaccin devra s'adapter au profil changeant du virus du sida.
Les chercheurs, conduits par Philip Goulder, de l'Université d'Oxford, et dont les travaux sont publiés mercredi dans la revue Nature, ont étudié les données génétiques de plus de 2.800 personnes infectées par le virus, dans différents pays.
Ils se sont intéressés particulièrement aux gènes HLA (antigènes des leucocytes humains), qui orchestrent la réponse immunitaire des cellules T (globules blancs) à des corps étrangers. Ils ont étudié aussi les mutations du VIH qui lui permettent d'échapper à la détection et à la reconnaissance par le système immunitaire.
Les médecins savent que la progression de la maladie se fait à des rythmes très différents selon les individus, en fonction des capacités des variants des gènes HLA à combattre la maladie.
Or les chercheurs ont établi que le virus est susceptible de muter quand il fait face aux variants les plus efficaces contre lui. On parle alors de "mutations d'échappement".
"Quand un gène HLA favorable est présent à de hauts niveaux dans une population donnée, nous voyons apparaître de hauts degrés de mutation qui permettent au virus de résister aux effets particuliers de ces gènes", souligne Rodney Phillips, co-auteur de l'étude.
Cette découverte rend encore plus complexe la recherche d'un vaccin, qui devra s'adapter aux différentes "mutations d'échappement" du VIH.
Ces dernières, remarquent encore les chercheurs, sont d'autant plus nombreuses que les variants du gène HLA diffèrent souvent d'une région du monde à l'autre -entraînant des mutations différentes du virus.
"Une fois que nous aurons trouvé un vaccin efficace, il faudra régulièrement le modifier pour qu'il réponde à un virus en évolution, comme on fait aujourd'hui pour le vaccin de la grippe", note Philip Goulder.
Le virus du sida détruit les cellules immunitaires du corps, exposant l'individu à ce qu'on appelle les "maladies opportunistes". Aujourd'hui 33 millions de personnes dans le monde sont atteintes.
25 Mars : épreuve admissibilité briey
Re: Actualités 2009
Elle souffre d'un cancer au sein gauche, on lui enlève le droit
Mardi 24 février, 18h10
Le centre Léon Bérard de Lyon, spécialisé dans le traitement du cancer, a reconnu "une erreur humaine" à la suite de l'ablation du sein droit d'une femme atteinte d'une tumeur au sein gauche.
"Il n'y a pas eu de problèmes techniques" a déclaré à Reuters le docteur Sylvie Négrier, cancérologue et directrice générale adjointe du centre.
"Toutes les procédures de sécurité ont bien été respectées, tout a bien été fait comme prévu, il s'agit d'une erreur humaine partagée par les cinq ou six membres de l'équipe qui a procédé à l'intervention chirurgicale", a-t-elle dit à la suite d'une enquête interne.
"Le risque zéro n'existe pas, personne n'est parfait", a ajouté la directrice, qui souligne que cet incident est le premier sur le millier de patientes opérées du sein chaque année dans l'établissement.
"Toutes les procédures techniques et de sécurité seront renforcées d'ici la semaine prochaine", a-t-elle toutefois précisé.
La victime de l'erreur médicale a été opérée le 19 février.
Agée de 64 ans, Anne Bouton est ce jour-là "installée au bloc opératoire pour l'intervention et confirme à l'équipe ses nom, prénom, la nature de l'intervention et le côté à opérer, c'est-à-dire le côté gauche comme mentionné sur le dossier médical", précise un communiqué du centre Léon Bérard.
"Dans le même temps, une nouvelle salle du bloc doit être ouverte afin de prendre en charge un enfant en urgence. L'un des membres de l'équipe qui doit opérer la patiente atteinte du cancer mammaire est appelé en urgence."
"C'est à ce moment-là que l'erreur se produit : la deuxième antisepsie et l'installation du champ opératoire se font sur le mauvais côté, le côté droit", rapporte l'établissement.
Après avoir réalisé son erreur, l'équipe médicale a procédé à l'ablation du deuxième sein.
Le centre Léon Bérard a proposé à la victime une reconstruction gratuite de ses deux seins dans les six mois à venir, ainsi qu'une indemnisation. Les négociations sont actuellement engagées avec la commission régionale de conciliation et d'indemnisation des accidents médicaux.
Catherine Lagrange, édité par Sophie Louet
Mardi 24 février, 18h10
Le centre Léon Bérard de Lyon, spécialisé dans le traitement du cancer, a reconnu "une erreur humaine" à la suite de l'ablation du sein droit d'une femme atteinte d'une tumeur au sein gauche.
"Il n'y a pas eu de problèmes techniques" a déclaré à Reuters le docteur Sylvie Négrier, cancérologue et directrice générale adjointe du centre.
"Toutes les procédures de sécurité ont bien été respectées, tout a bien été fait comme prévu, il s'agit d'une erreur humaine partagée par les cinq ou six membres de l'équipe qui a procédé à l'intervention chirurgicale", a-t-elle dit à la suite d'une enquête interne.
"Le risque zéro n'existe pas, personne n'est parfait", a ajouté la directrice, qui souligne que cet incident est le premier sur le millier de patientes opérées du sein chaque année dans l'établissement.
"Toutes les procédures techniques et de sécurité seront renforcées d'ici la semaine prochaine", a-t-elle toutefois précisé.
La victime de l'erreur médicale a été opérée le 19 février.
Agée de 64 ans, Anne Bouton est ce jour-là "installée au bloc opératoire pour l'intervention et confirme à l'équipe ses nom, prénom, la nature de l'intervention et le côté à opérer, c'est-à-dire le côté gauche comme mentionné sur le dossier médical", précise un communiqué du centre Léon Bérard.
"Dans le même temps, une nouvelle salle du bloc doit être ouverte afin de prendre en charge un enfant en urgence. L'un des membres de l'équipe qui doit opérer la patiente atteinte du cancer mammaire est appelé en urgence."
"C'est à ce moment-là que l'erreur se produit : la deuxième antisepsie et l'installation du champ opératoire se font sur le mauvais côté, le côté droit", rapporte l'établissement.
Après avoir réalisé son erreur, l'équipe médicale a procédé à l'ablation du deuxième sein.
Le centre Léon Bérard a proposé à la victime une reconstruction gratuite de ses deux seins dans les six mois à venir, ainsi qu'une indemnisation. Les négociations sont actuellement engagées avec la commission régionale de conciliation et d'indemnisation des accidents médicaux.
Catherine Lagrange, édité par Sophie Louet
25 Mars : épreuve admissibilité briey
Re: Actualités 2009
A défaut de bonne nouvelle, voici un fait divers assez conternant
Koh Lanta : les tarentules ont laissé des traces
Atroces souffrances, allergies, paralysie, lésions sur les lèvres : l'épreuve des tarentules, subie par les candidats de Koh Lanta le retour des héros, a laissé des traces.
Dans son dernier numéro, Entrevue revient sur cet épisode, qui s'est avéré très douloureux pour Tony, Romuald et Catherine.
Selon l'ancien gendarme, avoir absorbé une tarentule grillée lui a provoqué des douleurs pendant trois mois. Lésions sur les lèvres, l'intérieur de la bouche, la langue et les gencives : "J'avais du mal à m'exprimer, ma langue était en feu". A son retour en France, Tony a consulté un stomatologue : "Mes papilles gustatives étaient très abîmées. Il fallait qu'elles se reconstruisent et c'est très long. J'ai eu du mal à m'alimenter, et j'ai, encore aujourd'hui, des picotements sur la langue".
A l'instar de Romuald, un traitement lui a été prescrit. Catherine, elle, explique avoir commencé à "baver" dès la fin du jeu, et avoir été atteinte d'hémiplégie sur la moitié du visage. "A mon avis, c'était délicat pour la prod de le montrer (à l'antenne, ndlr)", estime la propriétaire de deux magasins de vêtements.
Toujours selon Entrevue, les candidats qui ont du manger deux tarentules ont, eux, développé une réaction allergique.
Koh Lanta : les tarentules ont laissé des traces
Atroces souffrances, allergies, paralysie, lésions sur les lèvres : l'épreuve des tarentules, subie par les candidats de Koh Lanta le retour des héros, a laissé des traces.
Dans son dernier numéro, Entrevue revient sur cet épisode, qui s'est avéré très douloureux pour Tony, Romuald et Catherine.
Selon l'ancien gendarme, avoir absorbé une tarentule grillée lui a provoqué des douleurs pendant trois mois. Lésions sur les lèvres, l'intérieur de la bouche, la langue et les gencives : "J'avais du mal à m'exprimer, ma langue était en feu". A son retour en France, Tony a consulté un stomatologue : "Mes papilles gustatives étaient très abîmées. Il fallait qu'elles se reconstruisent et c'est très long. J'ai eu du mal à m'alimenter, et j'ai, encore aujourd'hui, des picotements sur la langue".
A l'instar de Romuald, un traitement lui a été prescrit. Catherine, elle, explique avoir commencé à "baver" dès la fin du jeu, et avoir été atteinte d'hémiplégie sur la moitié du visage. "A mon avis, c'était délicat pour la prod de le montrer (à l'antenne, ndlr)", estime la propriétaire de deux magasins de vêtements.
Toujours selon Entrevue, les candidats qui ont du manger deux tarentules ont, eux, développé une réaction allergique.
Carpe Diem
•.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•Envol pour 2009-2012 à Chambéry •.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•
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Re: Actualités 2009
Comme tu dis : CONSTERNANT !!!!
qu'est ce qu'on ferait pas pour faire de l'audimat !!! Je trouve ça lamentable, ça devient comme aux Etats Unis, télé réalité de M.... !!!!!!
Si je tombe dessus à l'oral, va falloir que je modère mes propos !!!

qu'est ce qu'on ferait pas pour faire de l'audimat !!! Je trouve ça lamentable, ça devient comme aux Etats Unis, télé réalité de M.... !!!!!!
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IDE
Re: Actualités 2009
AZF : des conséquences sanitaires dans la durée
Alors que se poursuit le procès visant à déterminer les responsabilités dans l’explosion de l’usine AZF de Toulouse, l’Institut de Veille sanitaire (InVS) explore encore, 7 ans après le drame, ses conséquences sanitaires.
Troubles auditifs, syndrome de stress post-traumatique (SPT) et épisodes de dépression, les handicaps s’installent… Ce constat émane des résultats de la cohorte santé AZF, constituée en mai 2003.Composée de 2 500 volontaires en activité au moment de l’explosion, elle décrit l’impact sanitaire et socio-professionnel de la catastrophe. Les derniers résultats concernant 2005 viennent d’être publiés.
Troubles auditifs. Toutes les études conduites font état d’une forte prévalence des troubles de l’audition parmi la population toulousaine. Fin 2005 donc, 33% des hommes et 27% des femmes souffraient toujours d’acouphènes. Quant à l’hyperacousie –une affection pourtant rare- elle concernait jusqu’à 30% des hommes et 39% des femmes suivies dans le cadre de la cohorte !
Santé mentale . « Plusieurs indicateurs témoignent d’une grande souffrance psychologique dans la population plusieurs mois après l’explosion » rappelaient en octobre 2006, les auteurs du rapport final sur les conséquences sanitaires de la catastrophe. « Un tiers des personnes qui se trouvaient à moins de 1,7 km de l’usine a notamment déclaré avoir pris un traitement antipsychotique à la suite de l’explosion », nous confirme le Dr Valérie Schwoebel, responsable de la cellule interrégionale d’épidémiologie (Cire) Midi-Pyrénées.
Les personnes défavorisées souffrent plus…
Quatre ans après l’explosion, 15% des hommes et 22% des femmes de la Cohorte AZF souffraient toujours d’un syndrome de stress post-traumatique. Par ailleurs 34% des hommes et 50% des femmes rapportaient des épisodes depressifs !
Valérie Schwoebel et ses collègues ont observé surtout, que ces chiffres variaient d’une catégorie socioprofessionnelle à l’autre. « A exposition égale, les conséquences psychologiques sont plus importantes et plus fréquentes chez les personnes les plus vulnérables sur le plan socio-économique », indique-t-elle. Sept ans et demi après une catastrophe industrielle qui a fait 30 morts et plus de 2 500 blessés, c’est un triste constat.
Alors que se poursuit le procès visant à déterminer les responsabilités dans l’explosion de l’usine AZF de Toulouse, l’Institut de Veille sanitaire (InVS) explore encore, 7 ans après le drame, ses conséquences sanitaires.
Troubles auditifs, syndrome de stress post-traumatique (SPT) et épisodes de dépression, les handicaps s’installent… Ce constat émane des résultats de la cohorte santé AZF, constituée en mai 2003.Composée de 2 500 volontaires en activité au moment de l’explosion, elle décrit l’impact sanitaire et socio-professionnel de la catastrophe. Les derniers résultats concernant 2005 viennent d’être publiés.
Troubles auditifs. Toutes les études conduites font état d’une forte prévalence des troubles de l’audition parmi la population toulousaine. Fin 2005 donc, 33% des hommes et 27% des femmes souffraient toujours d’acouphènes. Quant à l’hyperacousie –une affection pourtant rare- elle concernait jusqu’à 30% des hommes et 39% des femmes suivies dans le cadre de la cohorte !
Santé mentale . « Plusieurs indicateurs témoignent d’une grande souffrance psychologique dans la population plusieurs mois après l’explosion » rappelaient en octobre 2006, les auteurs du rapport final sur les conséquences sanitaires de la catastrophe. « Un tiers des personnes qui se trouvaient à moins de 1,7 km de l’usine a notamment déclaré avoir pris un traitement antipsychotique à la suite de l’explosion », nous confirme le Dr Valérie Schwoebel, responsable de la cellule interrégionale d’épidémiologie (Cire) Midi-Pyrénées.
Les personnes défavorisées souffrent plus…
Quatre ans après l’explosion, 15% des hommes et 22% des femmes de la Cohorte AZF souffraient toujours d’un syndrome de stress post-traumatique. Par ailleurs 34% des hommes et 50% des femmes rapportaient des épisodes depressifs !
Valérie Schwoebel et ses collègues ont observé surtout, que ces chiffres variaient d’une catégorie socioprofessionnelle à l’autre. « A exposition égale, les conséquences psychologiques sont plus importantes et plus fréquentes chez les personnes les plus vulnérables sur le plan socio-économique », indique-t-elle. Sept ans et demi après une catastrophe industrielle qui a fait 30 morts et plus de 2 500 blessés, c’est un triste constat.
Carpe Diem
•.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•Envol pour 2009-2012 à Chambéry •.¸.•*¨۰۪۪۫۫●۪۫۰¨*•.¸.•
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Re: Actualités 2009
Pour garder toute votre tête, votez pour le régime méditerranéen !
Le régime méditerranéen, c’est bon à la fois pour l’organisme et… la tête. Une toute nouvelle étude américaine a en effet montré l’intérêt de ce régime pour prévenir les troubles cognitifs qui accompagnent souvent le vieillissement.
Le Pr Nikolaos Scarmeas de la Columbia University de New York, a suivi 1 393 personnes indemnes de troubles cognitifs apparents, et 482 patients qui présentaient des troubles qualifiés de légers. De 1992 à 1999, tous les participants ont répondu annuellement à un questionnaire portant sur leurs habitudes alimentaires.
Résultats, plus les sujets suivaient scrupuleusement un régime méditerranéen, plus leur risque de démence diminuait. Avec notamment une baisse du risque de 28% pour les plus accros au régime dit crétois. C’est plutôt une bonne nouvelle. Alors n’hésitez pas à consommer des poissons, des fruits, des légumes et bien entendu de l’huile de l’olive.
Le régime méditerranéen, c’est bon à la fois pour l’organisme et… la tête. Une toute nouvelle étude américaine a en effet montré l’intérêt de ce régime pour prévenir les troubles cognitifs qui accompagnent souvent le vieillissement.
Le Pr Nikolaos Scarmeas de la Columbia University de New York, a suivi 1 393 personnes indemnes de troubles cognitifs apparents, et 482 patients qui présentaient des troubles qualifiés de légers. De 1992 à 1999, tous les participants ont répondu annuellement à un questionnaire portant sur leurs habitudes alimentaires.
Résultats, plus les sujets suivaient scrupuleusement un régime méditerranéen, plus leur risque de démence diminuait. Avec notamment une baisse du risque de 28% pour les plus accros au régime dit crétois. C’est plutôt une bonne nouvelle. Alors n’hésitez pas à consommer des poissons, des fruits, des légumes et bien entendu de l’huile de l’olive.
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Re: Actualités 2009
Une fillette victime d'une nouvelle maladie liée aux jeux vidéo
Des médecins suisses ont prescrit à une fillette de 12 ans un arrêt total de jeu vidéo durant une dizaine de jours pour venir à bout d'une inflammation de la peau des mains causée par l'utilisation excessive d'une manette de jeu.
La nouvelle affection a été baptisée "Palmare PlayStation Hidradenitis" et a été décrite dans le magazine spécialisé British Journal of Dermatology par le professeur Vincent Piguet, des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG). L'adolescente présentait des lésions douloureuses sur la paume des mains depuis quatre semaines. "Il s'agissait de gros nodules rouges très spectaculaires", a expliqué le Pr Piguet à l'agence de presse suisse ATS.
Il a fallu mener une enquête approfondie pour découvrir l'origine de la maladie : la fillette cachait en effet à ses parents qu'elle jouait pendant des heures avec sa console de jeu. Le Pr Piguet et son équipe sont arrivés à la conclusion que la crispation des mains sur la manette et l'appui frénétique sur les touches ont provoqué de minuscules blessures cutanées. Celles-ci ont pu s'aggraver avec la transpiration.
La fillette s'est vu imposer dix jours d'abstinence de PlayStation et les lésions ont disparu spontanément. Ce cas est le seul répertorié à ce jour.
Des médecins suisses ont prescrit à une fillette de 12 ans un arrêt total de jeu vidéo durant une dizaine de jours pour venir à bout d'une inflammation de la peau des mains causée par l'utilisation excessive d'une manette de jeu.
La nouvelle affection a été baptisée "Palmare PlayStation Hidradenitis" et a été décrite dans le magazine spécialisé British Journal of Dermatology par le professeur Vincent Piguet, des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG). L'adolescente présentait des lésions douloureuses sur la paume des mains depuis quatre semaines. "Il s'agissait de gros nodules rouges très spectaculaires", a expliqué le Pr Piguet à l'agence de presse suisse ATS.
Il a fallu mener une enquête approfondie pour découvrir l'origine de la maladie : la fillette cachait en effet à ses parents qu'elle jouait pendant des heures avec sa console de jeu. Le Pr Piguet et son équipe sont arrivés à la conclusion que la crispation des mains sur la manette et l'appui frénétique sur les touches ont provoqué de minuscules blessures cutanées. Celles-ci ont pu s'aggraver avec la transpiration.
La fillette s'est vu imposer dix jours d'abstinence de PlayStation et les lésions ont disparu spontanément. Ce cas est le seul répertorié à ce jour.
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Re: Actualités 2009
L'hypertension, un facteur de risque d'Alzheimer ?
Actuellement, selon les chiffres officiels de l'Institut de veille sanitaire (Invs), il y a 10,5 millions d'hypertendus traités en France. Cela ne veut pas dire qu'il n'y a que 10,5 millions d'hypertendus. En réalité, ce chiffre est bien plus élevé car il existe un certain nombre non négligeable d'hypertendus qui s'ignorent.
"L'hypertension artérielle (HTA) est que c'est une maladie qui a tendance à être banalisée, considérée comme normale, sans risques particuliers, que tout le monde peut avoir un jour ou l'autre. Ainsi, l'un des problèmes majeurs avec l'HTA est que de nombreuses problématiques qui en découlent ne sont pas ou peu connues. Ses relations avec les troubles cognitifs notamment sont totalement ignorées" déclare Jean-Jacques Mourad, président du Comité Français de Lutte contre l'hypertension artérielle.
Parallèlement, on comptait dans l'hexagone un million de personnes atteintes de démence en 2003. "La question centrale est donc de savoir si l'on peut diminuer le risque de développer la maladie d'Alzheimer avec des hypotenseurs, ajoute le Dr Mourad. Pour le savoir, une étude a été réalisée : on a suivi des hypertendus sur des années. En les traitant pour cette pathologie, nous avons voulu voir si la fréquence des troubles cognitifs était moins élevée. Et, bonne nouvelle, les résultats vont effectivement dans ce sens : on observe chez ces patients de 20 % à 30 % de démences en moins par rapport à des personnes non traitées. Mais ces études n'ont été menées que sur de courtes durées (4 ans). Il faudrait voir ce que cela donne sur plusieurs années."
Ainsi, l'un des seuls traitements préventifs d'Alzheimer dont on dispose actuellement consiste donc à soigner l'HTA. Cela amène à une reconsidération des traitements préventifs et symptomatiques de cette maladie.
Une étude canadienne parue dans le très sérieux Canadian Medical Journal Association, s'est penchée sur les moyens de prévenir la maladie d'Alzheimer. Pour cela, les auteurs ont épluché des centaines d'études sur le sujet parues entre janvier 1996 et décembre 2005. Il en ressort que l'un des meilleur et seul, moyens de prévenir Alzheimer est de bien contrôler les facteurs de risques cardiovasculaires, au premier rang desquels l'hypertension. Par contre, l'hygiène de vie et les traitements médicamenteux semblent n'avoir que peu d'incidence sur le développement de la maladie.
Selon de nombreuses études scientifiques très sérieuses et s'étendant sur plus de 25 ans, le statut tensionnel entre 40 et 50 ans déterminerait le risque de démence vers 60/70 ans
L'hypertension artérielle est une maladie sournoise, en ce sens qu'elle ne provoque pas de symptômes bien spécifiques permettant de la détecter rapidement et à coup sûr. A moins de prendre sa tension régulièrement, elle est très difficile à repérer. Ainsi, cela lui laisse le temps de s'installer et c'est là qu'elle est le plus susceptible de causer des dégâts.
L'hypertension peut être en cause dans des accidents cardiaques comme un infarctus par exemple.
Dans un premier temps, l'hypertension, à un niveau élevé, peut toutefois provoquer des troubles, certes bénins mais qui doivent alerter et inciter à consulter. On note souvent des céphalées, des sifflements dans les oreilles, parfois des saignements de nez, des palpitations, une certaine difficulté à respirer.
Une fois bien installée, elle peut causer toute une série de maladies qui peuvent s'avérer gravissimes, voire mortelles. Tout d'abord, le cœur du malade se fatigue beaucoup plus vite, Il pompe plus fort et, donc, s'épuise, entraînant parfois une insuffisance cardiaque.
Surtout, elle a pour conséquence de rétrécir et d'épaissir les artères, de toutes tailles. Ainsi, sur les plus grosses artères, comme l'artère coronaire par exemple, cela peut provoquer un infarctus. Mais cela peut également arriver sur de plus petites artères, auquel cas cela ne se manifeste pas de façon aussi spectaculaire.
"Et donc, comme on ne voit pas que ces petites artères se bouchent et s'épaississent, le phénomène continue et va finir par faire qu'une petite zone du cerveau ne va plus être irriguée, explique le Dr Mourad. Cela crée un micro-infarctus dans de toutes petites zones du cerveau, avec pour conséquence, une détérioration de ses fonctions : perte de la mémoire, difficulté de concentration, etc. Le problème majeur, c'est que ça ne se voie pas, c'est un phénomène sournois... Heureusement, cela peut tout de même être détecté par IRM."
Toutes ces conséquences potentiellement graves doivent inciter à faire régulièrement prendre sa tension ou, si l'on est malade, à suivre scrupuleusement le traitement, faute de quoi la maladie continuera de s'étendre.
D'autres moyens de prévenir Alzheimer ?
Mais au fait, qu'est-ce qui cause la maladie d'Alzheimer ? Connaît-on des facteurs de risques bien déterminés, hormis l'hypertension artérielle citée précédemment ?Actuellement, rien ne permettrait de savoir si l'on est susceptible d'être atteint ou pas d'Alzheimer. Selon le vieil adage populaire, seul l'avenir le dira. Si de nombreuses pathologies peuvent être évitées en adoptant un mode de vie sain (alimentation équilibrée, exercices réguliers, sommeil satisfaisant, etc.), ça n'est pas nécessairement le cas pour Alzheimer. Nombre d'études ont crié au scoop en affirmant que tel ou tel facteur permettrait de limiter les risques d'apparition. Hélas, il reste pour l'instant impossible de déterminer avec certitude des facteurs préventifs de la maladie.
Autres facteurs de risques soupçonnés
Les facteurs impliqués dans maladies cardiaques constituent également des facteurs de risque d'Alzheimer. Hormis la pression artérielle, les radicaux libres et les réactions inflammatoires sont également soupçonnés d'aggraver le risque de développer la maladie. Enfin, de récentes études ont par exemple suggéré un lien entre le diabète de type 2, celui où le taux d'insuline sanguin est trop élevé, et Alzheimer. Ces points restent controversés pour le moment, ces informations sont donc à prendre avec précaution.
Des oestrogènes, de longues études ou du ginkgo ?
La maladie d'Alzheimer étant amenée à devenir l'une des principales préoccupations de santé publique dans les années à venir, les études visant à trouver un facteur préventif se multilplient.
Les antioxydants, dont le rôle préventif contre les maladies cardiovasculaires et bien d'autres affections, a été exploré par les chercheurs. En particulier, plusieurs études aux conclusions contradictoires ont tenté de voir si la supplémentation en vitamine E ou/et en sélénium pouvait être bénéfique aux personnes âgées, sans certitude pour l'heure.
Autre piste explorée par les chercheurs, celle des oestrogènes chez les femmes. Dans la mesure où ces hormones leur permettent de se protéger des symptômes de la ménopause, alors pourquoi pas de la démence ? Là encore, rien de bien concluant dans les études scientifiques. Au contraire, les hormones sexuelles féminines semblent avoir un effet délétère sur la santé mentale des patientes et accroître le risque de développer une démence.
Le niveau culturel est également une composante importante dans l'apparition plus ou moins tardive de la maladie. Plusieurs études ont démontré que les personnes avec un niveau d'étude élevé développaient la maladie plus tard que les personnes du même âge avec un niveau d'étude moindre. Selon le Pr Dubois, "c'est comme si ces personnes disposaient d'une réserve cognitive. Plus elle est importante, plus la maladie apparaîtra tardivement." Par contre, une fois que la personne est âgée, l'activité culturelle semble jouer un rôle moins important que dans la jeunesse. Néanmoins, pratiquer une activité cognitive simple telle que lire un journal, jouer aux échecs ou bouquiner ne peut être que bénéfique au patient.
Le ginkgo biloba, extrait des feuilles du ginkgo, pourrait prévenir les démences et le déclin cognitif chez les personnes âgées. Son rôle préventif ou curatif dans la maladie d'Alzheimer n'a pas pu être mis en évidence par les nombreuses études cliniques à ce sujet.
Actuellement, selon les chiffres officiels de l'Institut de veille sanitaire (Invs), il y a 10,5 millions d'hypertendus traités en France. Cela ne veut pas dire qu'il n'y a que 10,5 millions d'hypertendus. En réalité, ce chiffre est bien plus élevé car il existe un certain nombre non négligeable d'hypertendus qui s'ignorent.
"L'hypertension artérielle (HTA) est que c'est une maladie qui a tendance à être banalisée, considérée comme normale, sans risques particuliers, que tout le monde peut avoir un jour ou l'autre. Ainsi, l'un des problèmes majeurs avec l'HTA est que de nombreuses problématiques qui en découlent ne sont pas ou peu connues. Ses relations avec les troubles cognitifs notamment sont totalement ignorées" déclare Jean-Jacques Mourad, président du Comité Français de Lutte contre l'hypertension artérielle.
Parallèlement, on comptait dans l'hexagone un million de personnes atteintes de démence en 2003. "La question centrale est donc de savoir si l'on peut diminuer le risque de développer la maladie d'Alzheimer avec des hypotenseurs, ajoute le Dr Mourad. Pour le savoir, une étude a été réalisée : on a suivi des hypertendus sur des années. En les traitant pour cette pathologie, nous avons voulu voir si la fréquence des troubles cognitifs était moins élevée. Et, bonne nouvelle, les résultats vont effectivement dans ce sens : on observe chez ces patients de 20 % à 30 % de démences en moins par rapport à des personnes non traitées. Mais ces études n'ont été menées que sur de courtes durées (4 ans). Il faudrait voir ce que cela donne sur plusieurs années."
Ainsi, l'un des seuls traitements préventifs d'Alzheimer dont on dispose actuellement consiste donc à soigner l'HTA. Cela amène à une reconsidération des traitements préventifs et symptomatiques de cette maladie.
Une étude canadienne parue dans le très sérieux Canadian Medical Journal Association, s'est penchée sur les moyens de prévenir la maladie d'Alzheimer. Pour cela, les auteurs ont épluché des centaines d'études sur le sujet parues entre janvier 1996 et décembre 2005. Il en ressort que l'un des meilleur et seul, moyens de prévenir Alzheimer est de bien contrôler les facteurs de risques cardiovasculaires, au premier rang desquels l'hypertension. Par contre, l'hygiène de vie et les traitements médicamenteux semblent n'avoir que peu d'incidence sur le développement de la maladie.
Selon de nombreuses études scientifiques très sérieuses et s'étendant sur plus de 25 ans, le statut tensionnel entre 40 et 50 ans déterminerait le risque de démence vers 60/70 ans
L'hypertension artérielle est une maladie sournoise, en ce sens qu'elle ne provoque pas de symptômes bien spécifiques permettant de la détecter rapidement et à coup sûr. A moins de prendre sa tension régulièrement, elle est très difficile à repérer. Ainsi, cela lui laisse le temps de s'installer et c'est là qu'elle est le plus susceptible de causer des dégâts.
L'hypertension peut être en cause dans des accidents cardiaques comme un infarctus par exemple.
Dans un premier temps, l'hypertension, à un niveau élevé, peut toutefois provoquer des troubles, certes bénins mais qui doivent alerter et inciter à consulter. On note souvent des céphalées, des sifflements dans les oreilles, parfois des saignements de nez, des palpitations, une certaine difficulté à respirer.
Une fois bien installée, elle peut causer toute une série de maladies qui peuvent s'avérer gravissimes, voire mortelles. Tout d'abord, le cœur du malade se fatigue beaucoup plus vite, Il pompe plus fort et, donc, s'épuise, entraînant parfois une insuffisance cardiaque.
Surtout, elle a pour conséquence de rétrécir et d'épaissir les artères, de toutes tailles. Ainsi, sur les plus grosses artères, comme l'artère coronaire par exemple, cela peut provoquer un infarctus. Mais cela peut également arriver sur de plus petites artères, auquel cas cela ne se manifeste pas de façon aussi spectaculaire.
"Et donc, comme on ne voit pas que ces petites artères se bouchent et s'épaississent, le phénomène continue et va finir par faire qu'une petite zone du cerveau ne va plus être irriguée, explique le Dr Mourad. Cela crée un micro-infarctus dans de toutes petites zones du cerveau, avec pour conséquence, une détérioration de ses fonctions : perte de la mémoire, difficulté de concentration, etc. Le problème majeur, c'est que ça ne se voie pas, c'est un phénomène sournois... Heureusement, cela peut tout de même être détecté par IRM."
Toutes ces conséquences potentiellement graves doivent inciter à faire régulièrement prendre sa tension ou, si l'on est malade, à suivre scrupuleusement le traitement, faute de quoi la maladie continuera de s'étendre.
D'autres moyens de prévenir Alzheimer ?
Mais au fait, qu'est-ce qui cause la maladie d'Alzheimer ? Connaît-on des facteurs de risques bien déterminés, hormis l'hypertension artérielle citée précédemment ?Actuellement, rien ne permettrait de savoir si l'on est susceptible d'être atteint ou pas d'Alzheimer. Selon le vieil adage populaire, seul l'avenir le dira. Si de nombreuses pathologies peuvent être évitées en adoptant un mode de vie sain (alimentation équilibrée, exercices réguliers, sommeil satisfaisant, etc.), ça n'est pas nécessairement le cas pour Alzheimer. Nombre d'études ont crié au scoop en affirmant que tel ou tel facteur permettrait de limiter les risques d'apparition. Hélas, il reste pour l'instant impossible de déterminer avec certitude des facteurs préventifs de la maladie.
Autres facteurs de risques soupçonnés
Les facteurs impliqués dans maladies cardiaques constituent également des facteurs de risque d'Alzheimer. Hormis la pression artérielle, les radicaux libres et les réactions inflammatoires sont également soupçonnés d'aggraver le risque de développer la maladie. Enfin, de récentes études ont par exemple suggéré un lien entre le diabète de type 2, celui où le taux d'insuline sanguin est trop élevé, et Alzheimer. Ces points restent controversés pour le moment, ces informations sont donc à prendre avec précaution.
Des oestrogènes, de longues études ou du ginkgo ?
La maladie d'Alzheimer étant amenée à devenir l'une des principales préoccupations de santé publique dans les années à venir, les études visant à trouver un facteur préventif se multilplient.
Les antioxydants, dont le rôle préventif contre les maladies cardiovasculaires et bien d'autres affections, a été exploré par les chercheurs. En particulier, plusieurs études aux conclusions contradictoires ont tenté de voir si la supplémentation en vitamine E ou/et en sélénium pouvait être bénéfique aux personnes âgées, sans certitude pour l'heure.
Autre piste explorée par les chercheurs, celle des oestrogènes chez les femmes. Dans la mesure où ces hormones leur permettent de se protéger des symptômes de la ménopause, alors pourquoi pas de la démence ? Là encore, rien de bien concluant dans les études scientifiques. Au contraire, les hormones sexuelles féminines semblent avoir un effet délétère sur la santé mentale des patientes et accroître le risque de développer une démence.
Le niveau culturel est également une composante importante dans l'apparition plus ou moins tardive de la maladie. Plusieurs études ont démontré que les personnes avec un niveau d'étude élevé développaient la maladie plus tard que les personnes du même âge avec un niveau d'étude moindre. Selon le Pr Dubois, "c'est comme si ces personnes disposaient d'une réserve cognitive. Plus elle est importante, plus la maladie apparaîtra tardivement." Par contre, une fois que la personne est âgée, l'activité culturelle semble jouer un rôle moins important que dans la jeunesse. Néanmoins, pratiquer une activité cognitive simple telle que lire un journal, jouer aux échecs ou bouquiner ne peut être que bénéfique au patient.
Le ginkgo biloba, extrait des feuilles du ginkgo, pourrait prévenir les démences et le déclin cognitif chez les personnes âgées. Son rôle préventif ou curatif dans la maladie d'Alzheimer n'a pas pu être mis en évidence par les nombreuses études cliniques à ce sujet.
IDE
Re: Actualités 2009
OGM: les pays de l'UE refusent de forcer Autriche et Hongrie à cultiver MON 810
Lundi 02 mars 2009
Les pays de l'UE ont refusé lundi de forcer l'Autriche et la Hongrie à cultiver le maïs génétiquement modifié MON 810, contrairement à ce que leur demandait la Commission européenne, lors d'une réunion de leurs ministres de l'Environnement à Bruxelles.
Le refus des ministres de lundi est une bonne nouvelle pour la France et la Grèce, dont les interdictions de cultiver ce maïs doivent également être soumises au vote des pays de l'UE dans les semaines qui viennent.
Quatre pays seulement --Royaume-Uni, Pays-Bas, Suède et Finlande-- ont en effet soutenu lundi la proposition de la Commission demandant la levée des "clauses de sauvegarde" décidées par l'Autriche et la Hongrie.
"23 pays ont voté contre. Il n'y a pas eu d'abstention. C'est un résultat très sévère pour la Commission", a déclaré à l'AFP le ministre français de l'Environnement, Jean-Louis Borloo.
Les votes de l'Allemagne, de l'Espagne et de la Belgique ont été déterminants lundi, a souligné le ministre. "Nous avons une grande gratitude à l'égard de l'Allemagne", a-t-il affirmé.
Les pays de l'UE sont traditionnellement divisés sur les OGM et une majorité qualifiée de 255 voix était nécessaire pour rejeter la demande de la Commission européenne.
Si cette majorité n'avait pas été atteinte lundi, la Commission européenne - invoquant le risque de plainte contre l'UE à l'OMC et des avis de l'Agence européenne pour la sécurité des aliments estimant que les OGM ne présentent aucun risque pour la santé humaine - risquait d'imposer la levée des interdictions en Autriche et en Hongrie.
Greenpeace a immédiatement salué le résultat de ce vote, qu'elle a qualifié de "victoire pour l'environnement, les agriculteurs et les consommateurs, et d'échec cuisant pour la Commission", dans un communiqué.
"La protection de l'environnement et de la santé publique devrait toujours venir avant les intérêts financiers d'une poignée de sociétés agro-chimiques", a ajouté l'association.
Lundi 02 mars 2009
Les pays de l'UE ont refusé lundi de forcer l'Autriche et la Hongrie à cultiver le maïs génétiquement modifié MON 810, contrairement à ce que leur demandait la Commission européenne, lors d'une réunion de leurs ministres de l'Environnement à Bruxelles.
Le refus des ministres de lundi est une bonne nouvelle pour la France et la Grèce, dont les interdictions de cultiver ce maïs doivent également être soumises au vote des pays de l'UE dans les semaines qui viennent.
Quatre pays seulement --Royaume-Uni, Pays-Bas, Suède et Finlande-- ont en effet soutenu lundi la proposition de la Commission demandant la levée des "clauses de sauvegarde" décidées par l'Autriche et la Hongrie.
"23 pays ont voté contre. Il n'y a pas eu d'abstention. C'est un résultat très sévère pour la Commission", a déclaré à l'AFP le ministre français de l'Environnement, Jean-Louis Borloo.
Les votes de l'Allemagne, de l'Espagne et de la Belgique ont été déterminants lundi, a souligné le ministre. "Nous avons une grande gratitude à l'égard de l'Allemagne", a-t-il affirmé.
Les pays de l'UE sont traditionnellement divisés sur les OGM et une majorité qualifiée de 255 voix était nécessaire pour rejeter la demande de la Commission européenne.
Si cette majorité n'avait pas été atteinte lundi, la Commission européenne - invoquant le risque de plainte contre l'UE à l'OMC et des avis de l'Agence européenne pour la sécurité des aliments estimant que les OGM ne présentent aucun risque pour la santé humaine - risquait d'imposer la levée des interdictions en Autriche et en Hongrie.
Greenpeace a immédiatement salué le résultat de ce vote, qu'elle a qualifié de "victoire pour l'environnement, les agriculteurs et les consommateurs, et d'échec cuisant pour la Commission", dans un communiqué.
"La protection de l'environnement et de la santé publique devrait toujours venir avant les intérêts financiers d'une poignée de sociétés agro-chimiques", a ajouté l'association.
IDE
Re: Actualités 2009
Cancer : désormais, mieux vaut se faire soigner avant l’automne !
Vient de paraître en catimini au Journal officiel du 27 février 2009 un arrêté en date du 18 février 2009 qui bouleverse la prise en charge financière des traitement onéreux à l’hôpital, notamment dans les maladies cancéreuses.
Le Ministère de la santé vient de faire publier au JO un texte qui aurait pu passer inaperçu si les conséquences n’étaient pas aussi inquiétantes pour les patients atteints de pathologies nécessitant des traitements particulièrement coûteux.
Ces traitements, le plus souvent concernant des pathologies cancéreuses, sont depuis quelques années remboursés aux établissements de santé en sus des dépenses d’hospitalisation, et pris en charge à 100%.
Mais parce que ces traitements sont innovants et coûteux, la croissance annuelle de ces dépenses est importante, en moyenne supérieure à 15%.
Trop pour le gouvernement. Celui-ci vient de fixer par arrêté à 10% le taux d’évolution des dépenses de médicaments et de dispositifs médicaux inscrits sur la liste en sus des groupes homogènes de séjour (GHS) dans le cadre de la tarification à l’activité (T2A).
S’il n’est pas respecté par un établissement de santé, l’Agence Régionale de l’Hospitalisation réduira obligatoirement le remboursement de la part prise en charge par l’assurance maladie au titre de ces dépenses "pendant un an, à concurrence de 10%, en fonction des manquements observés" et après que l’établissement a pu présenter ses observations.
Voilà pourquoi il vaudra mieux avoir un cancer en début d’année plutôt qu’à la fin car, quand les quotas auront été dépassés, qui peut assurer que les décisions individuelles de soins n’en seront pas affectées ?
Natutellement, le Ministère jure qu’il ne s’agit pas de rationnement, mais de rationnalisation. Sauf qu’on ne voit pas vraiment où est la différence.
Arrêté du 18 février 2009 pris pour l’application de l’article L. 162-22-7-2 du code de la sécurité sociale
Le Ministère de la santé vient de faire ... 0020315160
http://www.legifrance.gouv.fr:80/jopdf/ ... 7_0044.pdf
Vient de paraître en catimini au Journal officiel du 27 février 2009 un arrêté en date du 18 février 2009 qui bouleverse la prise en charge financière des traitement onéreux à l’hôpital, notamment dans les maladies cancéreuses.
Le Ministère de la santé vient de faire publier au JO un texte qui aurait pu passer inaperçu si les conséquences n’étaient pas aussi inquiétantes pour les patients atteints de pathologies nécessitant des traitements particulièrement coûteux.
Ces traitements, le plus souvent concernant des pathologies cancéreuses, sont depuis quelques années remboursés aux établissements de santé en sus des dépenses d’hospitalisation, et pris en charge à 100%.
Mais parce que ces traitements sont innovants et coûteux, la croissance annuelle de ces dépenses est importante, en moyenne supérieure à 15%.
Trop pour le gouvernement. Celui-ci vient de fixer par arrêté à 10% le taux d’évolution des dépenses de médicaments et de dispositifs médicaux inscrits sur la liste en sus des groupes homogènes de séjour (GHS) dans le cadre de la tarification à l’activité (T2A).
S’il n’est pas respecté par un établissement de santé, l’Agence Régionale de l’Hospitalisation réduira obligatoirement le remboursement de la part prise en charge par l’assurance maladie au titre de ces dépenses "pendant un an, à concurrence de 10%, en fonction des manquements observés" et après que l’établissement a pu présenter ses observations.
Voilà pourquoi il vaudra mieux avoir un cancer en début d’année plutôt qu’à la fin car, quand les quotas auront été dépassés, qui peut assurer que les décisions individuelles de soins n’en seront pas affectées ?
Natutellement, le Ministère jure qu’il ne s’agit pas de rationnement, mais de rationnalisation. Sauf qu’on ne voit pas vraiment où est la différence.
Arrêté du 18 février 2009 pris pour l’application de l’article L. 162-22-7-2 du code de la sécurité sociale
Le Ministère de la santé vient de faire ... 0020315160
http://www.legifrance.gouv.fr:80/jopdf/ ... 7_0044.pdf
Carpe Diem
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Re: Actualités 2009
Santé publique : Menaces sur le planning familial
Le planning familial existe en France depuis plus de 50 ans. Aujourd'hui, il craint la fermeture d'un tiers de ses structures à cause d'une baisse annoncée des crédits de l'Etat.
Vidéo du 20h sur la Une
Le planning familial
Affaire à suivre
Le planning familial existe en France depuis plus de 50 ans. Aujourd'hui, il craint la fermeture d'un tiers de ses structures à cause d'une baisse annoncée des crédits de l'Etat.
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- christel12
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Re: Actualités 2009
On peut aller sur internet sur le site du planning familial pour dénoncer cette baisse de subvention et leur apporter notre soutien!!
Que peuvent faire les personnes en manque de conseils qui n'ont que ces organismes pour les aider??
Que peuvent faire les personnes en manque de conseils qui n'ont que ces organismes pour les aider??
Christel12
IDE promo2009-2012
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Re: Actualités 2009
5 cas de méningites en Haute-Marne
Cinq cas de méningite de type C se sont déclarés entre le 2 et le 23 février chez des enfants à Fayl Billot, une commune haut-marnaise de 1600 habitants où a été lancée une campagne de vaccination, a-t-on appris lundi auprès de la préfecture à Chaumont.
Agés entre 7 et 10 ans, les cinq enfants touchés par cette infection invasive à méningocoques ont été hospitalisés au CHU de Dijon "où ils vont bien", a précisé un médecin de la direction régionale des Affaires sanitaires et sociales (DRASS) à Reims.
L'épidémie s'est déclarée le 2 février à l'école primaire de la commune et a touché par la suite des élèves du collège, a précisé ce médecin, en indiquant que quatre "suspicions de cas de méningite" avaient également été recensés.
Les 700 élèves du groupe scolaire actuellement en congés ont été invités à se faire vacciner dans un centre de vaccination ouvert dans la salle des fêtes.
Lundi, 495 d'entre eux, de la maternelle au lycée professionnel, l'avaient fait, a indiqué la DRASS.
En 2007, 721 cas d'infections invasives à méningocoques, qui se manifestent sous forme de méningite ou de méningococcémie (septicémie à méningocoques), avaient été notifiés en France, soit une incidence de 1,3 par 100 000, comparable à celle connue depuis 2004, selon des statistiques du ministère de la Santé.
Cinq cas de méningite de type C se sont déclarés entre le 2 et le 23 février chez des enfants à Fayl Billot, une commune haut-marnaise de 1600 habitants où a été lancée une campagne de vaccination, a-t-on appris lundi auprès de la préfecture à Chaumont.
Agés entre 7 et 10 ans, les cinq enfants touchés par cette infection invasive à méningocoques ont été hospitalisés au CHU de Dijon "où ils vont bien", a précisé un médecin de la direction régionale des Affaires sanitaires et sociales (DRASS) à Reims.
L'épidémie s'est déclarée le 2 février à l'école primaire de la commune et a touché par la suite des élèves du collège, a précisé ce médecin, en indiquant que quatre "suspicions de cas de méningite" avaient également été recensés.
Les 700 élèves du groupe scolaire actuellement en congés ont été invités à se faire vacciner dans un centre de vaccination ouvert dans la salle des fêtes.
Lundi, 495 d'entre eux, de la maternelle au lycée professionnel, l'avaient fait, a indiqué la DRASS.
En 2007, 721 cas d'infections invasives à méningocoques, qui se manifestent sous forme de méningite ou de méningococcémie (septicémie à méningocoques), avaient été notifiés en France, soit une incidence de 1,3 par 100 000, comparable à celle connue depuis 2004, selon des statistiques du ministère de la Santé.
Carpe Diem
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Re: Actualités 2009
Stress : comprendre et gérer le stress
Si certains se plaignent du stress, il est dans le même temps assez répandu, dans les milieux professionnels, artistiques comme sportifs, d’affirmer que le stress est nécessaire à la motivation. Il est même de bon ton d’avoir un certain trac (« ça prouve l’engagement »), par exemple, avant une présentation orale ou une réunion importante, avec un gros enjeu à la clé. Or, le trac n’est qu’un stress d’un genre particulier, l’anxiété, sous-tendu par un état neurophysiologique dit de « fuite instinctive », issu lui-même de structures cérébrales très anciennes. Bien sûr, le fait de réussir une prestation malgré le trac est courant, mais est-ce que cela prouve que le trac est nécessaire à la motivation ou à l'adaptation ?
Pourtant, dans le monde professionnel ou sportif, celui qui n’a pas le trac est souvent suspecté d’être trop détendu, ce qui dénoterait un certain détachement ou un manque évident de motivation… À moins que – car les avis divergent – il ne s’agisse de l’expression d’un réel charisme, d’un certain talent, d’un véritable don, d’une aisance naturelle ! Alors, comment s’y retrouver ?
Il est un fait aisément observable que de grands orateurs affichent une grande décontraction. Mais sont-ils décontractés parce qu’ils sont « grands orateurs » ou sont-ils « grands orateurs » parce qu’ils sont décontractés ? Et décontraction signifie-t-elle pour autant déconcentration ?
En tout cas, ce qui pousse certains d’entre nous à devoir s’appuyer sur le stress réside en ce qu’ils ressentent parfois, ou sur certains sujets, en l’absence de stress, une sorte de vide intérieur. Cela est particulièrement vrai lorsque nous ne disposons pas d’une vocation suffisante, d’une prédisposition naturelle, que nous avons nommée, dans un écrit précédent, la personnalité primaire, ou tempérament. Le stress serait alors (parfois) rassurant puisqu’il nous permettrait de nous sentir plus vivant, plus concerné, de sentir qu’il se passe quelque chose en nous. Et de le prouver aux autres, pour obtenir de la reconnaissance. Cela peut avoir pour effet de nous motiver quelque peu, car l’attrait du succès, de la reconnaissance, ou la peur de l’échec, de la sanction, peuvent avoir un effet de motivation. Mais cet effet est ordinairement de courte durée.
Que se passe-t-il en fait, plus biologiquement, lorsque nous sommes stressés ? Il est utile de mieux le comprendre afin d’envisager de mieux le gérer.
Des dossiers pour compléter à la fin du présent article
Si certains se plaignent du stress, il est dans le même temps assez répandu, dans les milieux professionnels, artistiques comme sportifs, d’affirmer que le stress est nécessaire à la motivation. Il est même de bon ton d’avoir un certain trac (« ça prouve l’engagement »), par exemple, avant une présentation orale ou une réunion importante, avec un gros enjeu à la clé. Or, le trac n’est qu’un stress d’un genre particulier, l’anxiété, sous-tendu par un état neurophysiologique dit de « fuite instinctive », issu lui-même de structures cérébrales très anciennes. Bien sûr, le fait de réussir une prestation malgré le trac est courant, mais est-ce que cela prouve que le trac est nécessaire à la motivation ou à l'adaptation ?
Pourtant, dans le monde professionnel ou sportif, celui qui n’a pas le trac est souvent suspecté d’être trop détendu, ce qui dénoterait un certain détachement ou un manque évident de motivation… À moins que – car les avis divergent – il ne s’agisse de l’expression d’un réel charisme, d’un certain talent, d’un véritable don, d’une aisance naturelle ! Alors, comment s’y retrouver ?
Il est un fait aisément observable que de grands orateurs affichent une grande décontraction. Mais sont-ils décontractés parce qu’ils sont « grands orateurs » ou sont-ils « grands orateurs » parce qu’ils sont décontractés ? Et décontraction signifie-t-elle pour autant déconcentration ?
En tout cas, ce qui pousse certains d’entre nous à devoir s’appuyer sur le stress réside en ce qu’ils ressentent parfois, ou sur certains sujets, en l’absence de stress, une sorte de vide intérieur. Cela est particulièrement vrai lorsque nous ne disposons pas d’une vocation suffisante, d’une prédisposition naturelle, que nous avons nommée, dans un écrit précédent, la personnalité primaire, ou tempérament. Le stress serait alors (parfois) rassurant puisqu’il nous permettrait de nous sentir plus vivant, plus concerné, de sentir qu’il se passe quelque chose en nous. Et de le prouver aux autres, pour obtenir de la reconnaissance. Cela peut avoir pour effet de nous motiver quelque peu, car l’attrait du succès, de la reconnaissance, ou la peur de l’échec, de la sanction, peuvent avoir un effet de motivation. Mais cet effet est ordinairement de courte durée.
Que se passe-t-il en fait, plus biologiquement, lorsque nous sommes stressés ? Il est utile de mieux le comprendre afin d’envisager de mieux le gérer.
Des dossiers pour compléter à la fin du présent article
Carpe Diem
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Re: Actualités 2009
Bonjour,
est ce que quelqu'un pourrait me donner les grandes lignes du projet de loi Hopital patient santé territoire, j'ai un peu de mal !! et sur la tarificationà l'activité ?
Merci beaucoup de m'éclairer....
est ce que quelqu'un pourrait me donner les grandes lignes du projet de loi Hopital patient santé territoire, j'ai un peu de mal !! et sur la tarificationà l'activité ?
Merci beaucoup de m'éclairer....
ESI 2010 2013