Actualités - Faits Divers
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- Australpoly
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Bébés congelés
C'est hier qu'a débuté le procès de Véronique Courjault, devant la cour d’assises d’Indre-et-Loire dans l'affaire des bébés congelés. Véronique Courjault comparait seule pour «triple assassinats» et encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Voici le lien:
http://www.liberation.fr/societe/010157 ... s-de-tours" target="_blank
J'aimerai connaître vos réactions:
Le dénis de grossesse ,qui est considéré comme une maladie, et l'infanticide sont deux choses différentes.
Petit rappel:
le dénis de grossesse c'est le fait pour une femme enceinte de ne pas avoir conscience de l’être. C'est une pathologie reconnue comme maladie psychologique et non comme un délit.
l'infanticide c'est le meurtre d'un enfant (souvent nouveau-né) par la mère dans la plupart des cas.
Je peut comprendre le dénis de grossesse cependant dans cette affaire il s'agit d'un triple infanticide. Qu'est-ce qui sépare alors les femmes ayant eu un dénis de grossesse de celles qui passent à l'acte et tuent leur enfant??
Peut-on faire passer cet infanticide comme maladie psychique comme pour le dénis de grossesse?
Je ne suis pas juge, mais je pense que lorsque une femme passe à l'acte et tue son enfant elle doit être punie par la loi car toutes les femmes ayant eu un dénis de grossesse ne sont pas toutes passé à l'acte( même si l'idée a pu leur traversé l'esprit).
Et vous qu'en pensez-vous ?
http://www.humanite.fr/2007-08-27_Socie ... -grossesse" target="_blank
Voici le lien:
http://www.liberation.fr/societe/010157 ... s-de-tours" target="_blank
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Petit rappel:


Je peut comprendre le dénis de grossesse cependant dans cette affaire il s'agit d'un triple infanticide. Qu'est-ce qui sépare alors les femmes ayant eu un dénis de grossesse de celles qui passent à l'acte et tuent leur enfant??
Peut-on faire passer cet infanticide comme maladie psychique comme pour le dénis de grossesse?
Je ne suis pas juge, mais je pense que lorsque une femme passe à l'acte et tue son enfant elle doit être punie par la loi car toutes les femmes ayant eu un dénis de grossesse ne sont pas toutes passé à l'acte( même si l'idée a pu leur traversé l'esprit).
Et vous qu'en pensez-vous ?
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Re: Actualités - Faits Divers
Je trouve ça horrible tout simplement.
Et je pense qu'il est arrivé quelque chose de grave à cette femme pour qu'elle en arrive là (même si ça n'excuse rien bien sûr).
Enfin je pense que si j'avais voulu juger mes semblables j'aurais fait du droit.
Même si elle a privé ses enfants de la vie, ce qui est condamnable, je pense que c'est extrêmement complexe (et sordide).
Et je pense qu'il est arrivé quelque chose de grave à cette femme pour qu'elle en arrive là (même si ça n'excuse rien bien sûr).
Enfin je pense que si j'avais voulu juger mes semblables j'aurais fait du droit.
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Re: Actualités - Faits Divers
je crois que l'être humain est capable de choses pas croyables dans le bon et mauvais sens du terme...
il est possible qu'elle ait tellement été dans le déni qu'elle a tué ses enfants pour aller au bout, pour dire ils n'ont jamais existé mais pour moi ça relève de la pathologie psychiatrique
il est possible qu'elle ait tellement été dans le déni qu'elle a tué ses enfants pour aller au bout, pour dire ils n'ont jamais existé mais pour moi ça relève de la pathologie psychiatrique
Avant j'avais des principes, maintenant j'ai des enfants
Re: Actualités - Faits Divers
Alors moi j'irai même plus loin : elle est tellement dans le déni que pour elle, elle ne tue pas un enfant. Elle n'a pas investi sa grossesse et pour elle, il n'y a pas d'enfant.
C'est vrai que certaines femmes finissent par reconnaître l'enfant et à s'en occuper mais ça doit vraiment être difficile de se retrouver avec un enfant sur les bras tandis que les autres mères ont 9 mois pour investir leur grossesse, leur enfant, leur vie avec ce bébé. Le lien d'attachement mère / enfant ne doit pas être évident dans ce cas là.
Je ne suis pas psychiatre mais j'espère qu'elle ne passera pas sa vie en prison, ce n'est pas là que ses problèmes s'arrangeront...
C'est vrai que certaines femmes finissent par reconnaître l'enfant et à s'en occuper mais ça doit vraiment être difficile de se retrouver avec un enfant sur les bras tandis que les autres mères ont 9 mois pour investir leur grossesse, leur enfant, leur vie avec ce bébé. Le lien d'attachement mère / enfant ne doit pas être évident dans ce cas là.
Je ne suis pas psychiatre mais j'espère qu'elle ne passera pas sa vie en prison, ce n'est pas là que ses problèmes s'arrangeront...
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Re: Actualités - Faits Divers
ouais m'enfin 1 je peux à la limite le comprendre mais 3 quand même








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Re: Actualités - Faits Divers
oui c'est ça qui me
le plus 


Avant j'avais des principes, maintenant j'ai des enfants
Re: Actualités - Faits Divers
C'est sûr que moi aussi ça me dépasse mais en même temps, allez comprendre quelqu'un qui a une pathologie psy...
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Re: Actualités - Faits Divers
en même temps on n'en sait rien... les experts à priori la déclare responsable de ses actes
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Re: Actualités - Faits Divers
Voici un extrait donné sur le site que je mentionne en bas de page :
A la lecture de cet article, on se rend compte que cela peut arriver à n'importe quelle femme..
Plus de détails sur Déni de grossesseLe déni de grossesse se définit comme le fait pour une femme enceinte de ne pas avoir consience de l'être. C'est ce que rappelle le Dr N.GRANGAUD, pédopsychiatre, dans une thèse qui fait référence, "Déni de grossesse, essai de compréhension psychopathologique"(1).
Une des idées fausses circulant sur le déni est qu'il ne peut concerner que de très jeunes femmes ou des femmes "attardées". Rien n'est plus faux, comme le prouve une étude française récente menée pendant de sept ans auprès de 2 550 femmes ayant été hospitalisées dans les maternités de Denain et Valenciennes (2). Les auteurs ont observé et décrit 56 cas de déni qui se partagent pratiquement à égalité entre ceux qui prennent fin avant le terme de la grossesse ("déni partiel") et les dénis qui se poursuivent jusqu'à l'accouchement ("déni total" : 29 cas).
Cette étude fait surtout ressortir que près de la moitié des femmes victimes d'un déni est déjà mère d'un ou de deux enfants (26 femmes sur les 56 étudiées). Le fait d'être déjà mère ne protège donc pas contre le déni, et ne permet pas de facto à la femme de "reconnaître", d'avoir conscience de son état de grossesse. Autre information de poids : tous les milieux sociaux sont concernés. Le déni n'a donc pas une explication "sociale" mais, comme les principales affections psychiatriques, il est répartie au hasard dans la population. Caractéristique essentielle du déni : le corps ne présente pas de signe de grossesse. Il n'y a pas de "ventre". Il n'y a pratiquement pas de prise de poids, ni de masque de grossesse. Les femmes ne sentent pas bouger le bébé. L'aménorrhée caractéristique de la grossesse est elle même souvent transitoire ou même totalement absente (autrement dit, il y a des règles ou des saignements génitaux pendant la grossesse),
Un exemple significatif de déni total rapportés, parmi d'autres, dans la littérature médicale, est celui d'une femme, militaire de carrière, arrivée à terme, qui déclare que non seulement elle n'a éprouvé aucun des signes qu'elle avait ressentis lors de ces deux grossesses précédentes mais surtout, qu'elle ne peut être enceinte puisqu'elle n'a pas pris de poids et "est rentrée" dans son treillis habituel jusqu'à l'accouchement.
En ce qui concerne l'entourage le plus proche, ce qui est caractéristique, c'est. que lui non plus ne voit rien, ne perçoit rien, alors que des personnes plus éloignées, qui ne voient qu'épisodiquement la femme qui souffre de déni peuvent parfois percevoir qu'elle est enceinte ! Pas toujours : de nombreux médecins, même expérimentés, ont "laissé passer", en la prenant pour autre chose, des grossesses parfois près du terme chez des femmes en déni.
Quand le déni est total, l'accouchement s'accompagne d'un état de sidération. Une patiente dit par exemple: "J'ai pris un bain car j'avais mal au ventre, je pensais que c'était mes règles. Et puis tout a claqué, il y avait du sang, du sang, et je suis restée dans le bain". Cela semble être encore plus le cas quand l'accouchement a lieu dans la solitude. Il n'est pas rare que dans ces cas là qu'il se solde par la mort du bébé, soit accidentellement, soit par manque de soins (6 cas dans l'étude déjà citée sur les 29 cas de déni total). Ce dernier cas constitue pour la femme un drame d'une gravité peu commune. Non seulement dans les heures qui suivent la naissance, elle réalise brutalement qu'elle était enceinte sans le savoir (d'où l'angoisse que l'on peut imaginer sur le fonctionnement de son propre corps) mais de plus que son bébé est mort ! Comme si ce double drame n'était pas suffisant, cette femme est jetée en prison. C'est cette attitude moyenâgeuse que dénonce l'Association Française pour la Reconnaissance du Déni de Grossesse.
En effet, la réalité du "déni de grossesse" est établie sur le plan médical. Avec 600 à 1 800 femmes concernées chaque année en France, il constitue d'ailleurs un réel problème de santé publique. L'Association Française pour la Reconnaissance du Déni de Grossesse se bat pour que le déni de grossesse soit maintenant juridiquement reconnu
(1) Thèse, Faculté de Médecine, Paris 2001.
(2) C. PIERRONNE, M.-A. DELANNOY, C. FLOREQUIN, M. LIBERT, Le déni de grossesse à propos de 56 cas observés en maternité, Perspectives psychiatriques, jullet 2002, vol 41, pp 182-188.
A la lecture de cet article, on se rend compte que cela peut arriver à n'importe quelle femme..
"Il suffit de nous regarder pour voir comment une forme de vie intelligente peut se développer d'une manière que nous n'aimerions pas rencontrer."
Stephen HAWKING
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Re: Actualités - Faits Divers
Jo a écrit :Voici un extrait donné sur le site que je mentionne en bas de page :Plus de détails sur Déni de grossesseLe déni de grossesse se définit comme le fait pour une femme enceinte de ne pas avoir consience de l'être. C'est ce que rappelle le Dr N.GRANGAUD, pédopsychiatre, dans une thèse qui fait référence, "Déni de grossesse, essai de compréhension psychopathologique"(1).
Une des idées fausses circulant sur le déni est qu'il ne peut concerner que de très jeunes femmes ou des femmes "attardées". Rien n'est plus faux, comme le prouve une étude française récente menée pendant de sept ans auprès de 2 550 femmes ayant été hospitalisées dans les maternités de Denain et Valenciennes (2). Les auteurs ont observé et décrit 56 cas de déni qui se partagent pratiquement à égalité entre ceux qui prennent fin avant le terme de la grossesse ("déni partiel") et les dénis qui se poursuivent jusqu'à l'accouchement ("déni total" : 29 cas).
Cette étude fait surtout ressortir que près de la moitié des femmes victimes d'un déni est déjà mère d'un ou de deux enfants (26 femmes sur les 56 étudiées). Le fait d'être déjà mère ne protège donc pas contre le déni, et ne permet pas de facto à la femme de "reconnaître", d'avoir conscience de son état de grossesse. Autre information de poids : tous les milieux sociaux sont concernés. Le déni n'a donc pas une explication "sociale" mais, comme les principales affections psychiatriques, il est répartie au hasard dans la population. Caractéristique essentielle du déni : le corps ne présente pas de signe de grossesse. Il n'y a pas de "ventre". Il n'y a pratiquement pas de prise de poids, ni de masque de grossesse. Les femmes ne sentent pas bouger le bébé. L'aménorrhée caractéristique de la grossesse est elle même souvent transitoire ou même totalement absente (autrement dit, il y a des règles ou des saignements génitaux pendant la grossesse),
Un exemple significatif de déni total rapportés, parmi d'autres, dans la littérature médicale, est celui d'une femme, militaire de carrière, arrivée à terme, qui déclare que non seulement elle n'a éprouvé aucun des signes qu'elle avait ressentis lors de ces deux grossesses précédentes mais surtout, qu'elle ne peut être enceinte puisqu'elle n'a pas pris de poids et "est rentrée" dans son treillis habituel jusqu'à l'accouchement.
En ce qui concerne l'entourage le plus proche, ce qui est caractéristique, c'est. que lui non plus ne voit rien, ne perçoit rien, alors que des personnes plus éloignées, qui ne voient qu'épisodiquement la femme qui souffre de déni peuvent parfois percevoir qu'elle est enceinte ! Pas toujours : de nombreux médecins, même expérimentés, ont "laissé passer", en la prenant pour autre chose, des grossesses parfois près du terme chez des femmes en déni.
Quand le déni est total, l'accouchement s'accompagne d'un état de sidération. Une patiente dit par exemple: "J'ai pris un bain car j'avais mal au ventre, je pensais que c'était mes règles. Et puis tout a claqué, il y avait du sang, du sang, et je suis restée dans le bain". Cela semble être encore plus le cas quand l'accouchement a lieu dans la solitude. Il n'est pas rare que dans ces cas là qu'il se solde par la mort du bébé, soit accidentellement, soit par manque de soins (6 cas dans l'étude déjà citée sur les 29 cas de déni total). Ce dernier cas constitue pour la femme un drame d'une gravité peu commune. Non seulement dans les heures qui suivent la naissance, elle réalise brutalement qu'elle était enceinte sans le savoir (d'où l'angoisse que l'on peut imaginer sur le fonctionnement de son propre corps) mais de plus que son bébé est mort ! Comme si ce double drame n'était pas suffisant, cette femme est jetée en prison. C'est cette attitude moyenâgeuse que dénonce l'Association Française pour la Reconnaissance du Déni de Grossesse.
En effet, la réalité du "déni de grossesse" est établie sur le plan médical. Avec 600 à 1 800 femmes concernées chaque année en France, il constitue d'ailleurs un réel problème de santé publique. L'Association Française pour la Reconnaissance du Déni de Grossesse se bat pour que le déni de grossesse soit maintenant juridiquement reconnu
(1) Thèse, Faculté de Médecine, Paris 2001.
(2) C. PIERRONNE, M.-A. DELANNOY, C. FLOREQUIN, M. LIBERT, Le déni de grossesse à propos de 56 cas observés en maternité, Perspectives psychiatriques, jullet 2002, vol 41, pp 182-188.
A la lecture de cet article, on se rend compte que cela peut arriver à n'importe quelle femme..
C'est fou.. ça arrive à de nombreuses femmes et sans qu'il y ait de signes en plus..

Ce qui est difficile à comprendre c'est la récidive, ça s'est produit 3 fois quand même!
A chacune des situations, la mère (Véronique Courjault) aurait donc été dans un état de sidération totale? (Ca peut facilement se comprendre c'est certain)
Mais ce qui m'inquiète le plus en réalité c'est le fait de penser que "peut être" cette mère de famille avait réllement eu l'intention de tuer 3 ses nouveaux-nés (donc avec préméditation). C'est à dire si chez cette femme sommeille une meurtrière ou pas. Mais comment pourrait-elle préméditer le meurtre si au départ elle nie être enceinte.
Ce que je n'arrive pas à comprendre en fait c'est d'avoir agit 3 fois de la même façon. En général quand cette situation arrive la première fois a une femme, elle peut y reflechir et se dire qu'elle a fait une erreur et ne pas recommencer ( biensûr je résume sa pensée là, on est pas aux pays des bisounours non plus).
Ou peut être alors qu'elle se s'efforce de croire que son ou ses bébés n'ont jamais existé? -->d'où la récidive
J'espère seulement qu'elle ne se couvre pas en disant que c'est un problème psychologique et non une pulsion meurtirière (je regarde surment un peu trop les Experts, mais il y a de quoi se poser des questions quand même).
En tout cas le cerveau est etonnant et très complexe, et on a pas fini d'en apprendre je pense..
Et puis ce sont les femmes qui entrent aux urgences pour un mal de ventre ,et qui découvrent en fait qu'elles sont enceintes ,qui ont le plus de chance car elles peuvent avoir un soutient de la part des médecins,infirmières et autres soignants pour parler et être rassurées. Pour les autres affronter ça toutes seules doit être une situation plus que traumatisante et les conséquences également.
C'est un sujet diffile à trancher, je souhaite un Bon courage aux juges.
J'espère que ce que j'ai marqué est assez clair, je m'embrouille moi-même =)
J'ai trop réfléchi ce soir.. Bonne nuit et donnez moi votre avis. Merci
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Re: Actualités - Faits Divers
Ça serait assez "logique" en tous casLaborie a écrit :Ou peut être alors qu'elle se s'efforce de croire que son ou ses bébés n'ont jamais existé? -->d'où la récidive
Ça c'est sûr que ça doit vraiment être l'horreur comme découverte : tu vas aux toilettes et tu accouches, je peux pas m'imaginer dans quel état on peut être. Comment se dire qu'on accouche d'un bébé alors qu'on n'a pas vu qu'on était enceinte, qu'on n'avait pas de ventre, qu'on avait ses règles, c'est vraiment horrible...Laborie a écrit :Et puis ce sont les femmes qui entrent aux urgences pour un mal de ventre ,et qui découvrent en fait qu'elles sont enceintes ,qui ont le plus de chance car elles peuvent avoir un soutient de la part des médecins,infirmières et autres soignants pour parler et être rassurées. Pour les autres affronter ça toutes seules doit être une situation plus que traumatisante et les conséquences également.
Et puis même si finalement on va à l'hôpital et qu'on se fait à l'idée d'avoir ce bébé, ça doit être hyper culpabilisant de dire que tu as nié ta grossesse, et le regard des autres, de la famille doit être dur...
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Diplôme Inter-Universitaire de Santé au Travail en cours
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Re: Actualités - Faits Divers
C'est tout ce qui fait la difficulté de cette affaire.Laborie a écrit :J'espère seulement qu'elle ne se couvre pas en disant que c'est un problème psychologique et non une pulsion meurtrière (je regarde surment un peu trop les Experts, mais il y a de quoi se poser des questions quand même).
Préméditation? ou non?
Très difficile de répondre...
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Stephen HAWKING
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Re: Actualités - Faits Divers
Pourquoi ais je vraiment du mal depuis hier soir (00h45) de croire qu'il est décédé d'une crise cardiaque
On perd une légende musicale même si ces derniers albums étaient plus ou moins moyens, il restera malgrès tous les scandales un excellent chanteur et danseur.


On perd une légende musicale même si ces derniers albums étaient plus ou moins moyens, il restera malgrès tous les scandales un excellent chanteur et danseur.
J'ai décidé, puisque je suis vouée aux Enfers, de me damner avec application
Miss inf.com 2011
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