concours 2010
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)

j'utilise le livre Les Maths: du CE2 au CM2.
Aide mémoire...
Très vieu livre que j'ai trouvé à la bibliothèque mais qui est super!!
Il reprend toute les bases et il est très bien expliqué.
Voila

♥♥♥♥ ESI 2010/2013
Croix Rouge de Nîmes
3°année Me Voila - 120/120 ects - ♥♥♥♥ -
Croix Rouge de Nîmes
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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Okay. En tout cas merci pour tes petits résumés, ça m'aide bcp !
Prépa concours infirmière par le cned à la rentrée.
BAC obtenu avec mention AB
BAC obtenu avec mention AB

Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
je vois que tu fais un bac Stg Cfe, moi aussi...
je pensais être une des rares...
Sinon tu t'en sors bien dans ces matières?

je pensais être une des rares...
Sinon tu t'en sors bien dans ces matières?

♥♥♥♥ ESI 2010/2013
Croix Rouge de Nîmes
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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Merci beaucoup pour la regles de 3 c'est super!!!!!!
j'essaierai de chercher des petits exos
j'essaierai de chercher des petits exos
Admise à montélimar, 20 eme sur liste principale!
Première année validée! Bonjour la deuxième année!
Maman ESI 2010-2013, c'est parti pour la grande aventure!!!!!!!!!
Première année validée! Bonjour la deuxième année!
Maman ESI 2010-2013, c'est parti pour la grande aventure!!!!!!!!!
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
alors tres bonne idée de s'entraider car moi et les maths à l'école sa allait mai la toute seul depuis 12 ans k je n'ai pa ouvert un livre dur dur avec les racines carrés donc si vous voulez m'expliquer vous etes les biens venus
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
coucou kcyla
,
Je propose que l'on fasse petit à petit, donc qu'on s'aide sur les sujet donnés, Mais t'inquiètes les racines carrées je n'y comprend rien non plus donc on sera déjà deux sur!!
Mais je pense que c'est mieux qu'on fasse bases par bases, pour arriver doucement doucement au racines carrées (on encore 4mois
, mais ça passe vite
)
En espérant t'avoir répondu?!
et surtout que tout le monde soit d'accord sinon je suis ouverte aux propositions.


Je propose que l'on fasse petit à petit, donc qu'on s'aide sur les sujet donnés, Mais t'inquiètes les racines carrées je n'y comprend rien non plus donc on sera déjà deux sur!!

Mais je pense que c'est mieux qu'on fasse bases par bases, pour arriver doucement doucement au racines carrées (on encore 4mois


En espérant t'avoir répondu?!
et surtout que tout le monde soit d'accord sinon je suis ouverte aux propositions.

♥♥♥♥ ESI 2010/2013
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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
(Je rayerais les "chapitres" à la première page, une fois qu'ils seront terminés)
mais je sais pas comment on fait...
mais je sais pas comment on fait...
♥♥♥♥ ESI 2010/2013
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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Bonjour,
quelqu'un peut il m'expliquer la logique des masterminds, j'ai cru comprendre qu'il y en avait presque automatiquement à chaque concours, et j'avoue je n'y ai jamais joué, donc dur de se retrouver devant les exos et de ne pas savoir comment s'y prendre. En quelque sorte, il me faudrait au moins les régles du jeu, merci d'avance.
quelqu'un peut il m'expliquer la logique des masterminds, j'ai cru comprendre qu'il y en avait presque automatiquement à chaque concours, et j'avoue je n'y ai jamais joué, donc dur de se retrouver devant les exos et de ne pas savoir comment s'y prendre. En quelque sorte, il me faudrait au moins les régles du jeu, merci d'avance.
ESI 2011/2014 Mont de Marsan! Ca y est c'est parti...
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Réponse à l'exo des règles de trois :
question 1 : 14 (8x35/20)
question 2 : 45 (9x20/4)
question 3 : 19.5 (12x13/8)
pas trés compliqué la règle de trois, on peux passer au masterminds si vous voulez
question 1 : 14 (8x35/20)
question 2 : 45 (9x20/4)
question 3 : 19.5 (12x13/8)
pas trés compliqué la règle de trois, on peux passer au masterminds si vous voulez

┣▇▇▇═─ Infirmière aux urgences/SMUR !
- Crazymirou
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Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Salut Juju40!
Pour les masterminds en fait c'est simple QUAND tu as la méthode. Avant de me pencher dessus j'étais trop nulle je faisais tout au pif lol.
Voici mon exemple:
Soit 7 nombres, 1 2 3 4 5 6 7. mp: mal placé bp: bien placé
Toi, ton objectif c'est de trouver la bonne combinaison ( en un temps limité! )
7 3 1 1bp
5 2 1 2mp
7 1 2 1mp
Sur ce genre d'exo il faut procéder par élimination: déja, ça ne peut pas être le 1 il ne peux pas etre a la fois bien placé ( ligne 1) et mal placé (ligne 2). Toujours par élimination tu remarques que ça peut pas non plus etre le 7 car la ligne 1 contre dit la ligne 3 ( bien placé vs mal placé).
Là je te conseille de barrer les chiffres sur ta feuille ça t'évite de t'embrouiller. Tu remarques donc qu'en ligne 1 il te reste le 3 qui est bien placé. En ligne 2 il te reste le 5 et le 2 qui sont tous les deux mal placé et il tu vois rapidement qu'en ligne 3 le seul chiffre qui reste est le 2..Et c'est marqué qu'il est mal placé. Le 2 ne peut donc etre ni en 2eme, ni en 3eme position: il sera dc en 1ere position! Idem raisonement pour le 5 qui se retrouve en 3eme position.
Au final, ta combinaison sera 235.
Donc voila le raisonement, mais les masterminds sont en général de niveau plus élevé et là tu dois faire des hypotheses et cie. Familiarise toi avec les masterminds plus faciles avant d'attaquer les plus corsés sinon tu sera vite perdue!
Et je peux aussi te conseiller un bouquin qui est de chez Masson: " Tests d'aptitude, carrés logiques". Spécial masterminds! Enjoy
Pour les masterminds en fait c'est simple QUAND tu as la méthode. Avant de me pencher dessus j'étais trop nulle je faisais tout au pif lol.
Voici mon exemple:
Soit 7 nombres, 1 2 3 4 5 6 7. mp: mal placé bp: bien placé
Toi, ton objectif c'est de trouver la bonne combinaison ( en un temps limité! )
7 3 1 1bp
5 2 1 2mp
7 1 2 1mp
Sur ce genre d'exo il faut procéder par élimination: déja, ça ne peut pas être le 1 il ne peux pas etre a la fois bien placé ( ligne 1) et mal placé (ligne 2). Toujours par élimination tu remarques que ça peut pas non plus etre le 7 car la ligne 1 contre dit la ligne 3 ( bien placé vs mal placé).
Là je te conseille de barrer les chiffres sur ta feuille ça t'évite de t'embrouiller. Tu remarques donc qu'en ligne 1 il te reste le 3 qui est bien placé. En ligne 2 il te reste le 5 et le 2 qui sont tous les deux mal placé et il tu vois rapidement qu'en ligne 3 le seul chiffre qui reste est le 2..Et c'est marqué qu'il est mal placé. Le 2 ne peut donc etre ni en 2eme, ni en 3eme position: il sera dc en 1ere position! Idem raisonement pour le 5 qui se retrouve en 3eme position.
Au final, ta combinaison sera 235.
Donc voila le raisonement, mais les masterminds sont en général de niveau plus élevé et là tu dois faire des hypotheses et cie. Familiarise toi avec les masterminds plus faciles avant d'attaquer les plus corsés sinon tu sera vite perdue!
Et je peux aussi te conseiller un bouquin qui est de chez Masson: " Tests d'aptitude, carrés logiques". Spécial masterminds! Enjoy

Bordeaux Pellegrin, APHP, Nantes CRF, Nantes CHU: Admissible
Rennes: Admissible!
Re: Tests d'Aptitudes (session 2010)
Merci beaucoup pour ces explications je commence à comprendre. Quand tu dis qu'ils sont de niveaux plus élevés au concours, c'est à dire? Peux tu me donner un exemple, merci encore.
ESI 2011/2014 Mont de Marsan! Ca y est c'est parti...
Re: Actualités pour concours 2010
1ère JOURNEE MONDIALE contre la PNEUMONIE : Que faites-vous le lundi 2 novembre ?
Mortalité infantile
C’est la question que vous pose la World Pneumonia Day coalition qui organise cette première Journée mondiale pour rappeler que la pneumonie est la première cause de mortalité chez l’enfant et tue chaque année 1,8 million d’enfants de moins de 5 ans, soit un enfant toutes les 15 secondes. Alors cette Journée nationale souhaite proposer des actions, plutôt que des réponses, pour parvenir à réduire le nombre de décès par pneumonie.
Tristement d’actualité avec la grippe A/H1N1, la pneumonie se définit comme une infection respiratoire aiguë affectant les poumons. En cas de pneumonie, les alvéoles sont remplies de pus et de liquide, ce qui rend la respiration douloureuse et limite l’absorption d’oxygène.
Première cause de mortalité dans le monde chez l’enfant, la pneumonie tue chaque année près de 2 millions d’enfants dans le monde, c’est plus que le sida, le paludisme et la rougeole réunis. Provoquée par des virus, des bactéries ou des champignons, elle pourrait pourtant être prévenue par la vaccination, un état nutritionnel satisfaisant et une amélioration des facteurs environnementaux. Chaque année dans le monde, on recense encore environ 155 millions de cas de pneumonie de l’enfant.
Traitée par des antibiotiques, encore une fois se pose la question de l’accès de centaines de milliers d’enfants à ce traitement. Encore une fois, la World Pneumonia Day coalition rappelle que " Les réponses sont à portée de main, et un traitement efficace est à la fois peu coûteux et largement disponibles ». Une étude de l’OMS révélait en 2008 qu’il est tout aussi efficace de soigner les enfants atteints de pneumonie sévère à domicile qu'en milieu hospitalier et confirme l’efficacité du traitement par des antibiotiques par voie orale en dehors d’un milieu hospitalier. Environ 60% des cas de pneumonie pourraient être soignés par des antibiotiques.
Alors pourquoi les enfants qui meurent ? Cette question est l’impulsion de cette première Journée mondiale de la pneumonie qui se tiendra le lundi 2 Novembre 2009. La Coalition mondiale contre le pneumocoque des enfants menée par Save the Children organise un Sommet mondial sur la pneumonie à New York et autres événements à travers le monde pour mobiliser les efforts pour arrêter une maladie qui tue un enfant toutes les 15 secondes.
Selon Penny Enarson, chef de la Division de la santé pulmonaire de l'enfant basé à Paris à l’Union Internationale Contre la Tuberculose et les Maladies Respiratoires «les données récentes de 68 pays à forte mortalité, ont montré que seulement 32% des enfants atteints de pneumonie ont accès aux antibiotiques». A cet accès insuffisant au traitement, s’ajoute le manque de personnel qualifié et l'insuffisance des stocks de médicaments et des équipements de prise en charge.
L’Union Internationale Contre la Tuberculose et les Maladies Respiratoires a développé un modèle de prestation de service qui définit les principaux objectifs d’une bonne prise en charge des enfants atteints de pneumonie. Basé sur le modèle de l'Union largement utilisé pour la lutte contre la tuberculose appelé DOTS, le programme de santé respiratoire chez l'enfant (CLHP) est basé sur l'engagement du gouvernement, des directives de diagnostic et de traitement, la formation du personnel soignant, un mécanisme d’approvisionnement ininterrompu en médicaments et de gestion des stocks, l'enregistrement des signalements et la surveillance.
«Si nous sommes engagés à atteindre l'Objectif du Millénaire de réduire la mortalité infantile de 50% en 2015, nous devons améliorer la façon dont est gérée la pneumonie», dit Enarson. «Les outils pour sauver ces enfants existent. C'est la volonté politique d'agir et de ressources pour soutenir des mesures efficaces qui font défaut ".
santelog 30/10/09
Mortalité infantile
C’est la question que vous pose la World Pneumonia Day coalition qui organise cette première Journée mondiale pour rappeler que la pneumonie est la première cause de mortalité chez l’enfant et tue chaque année 1,8 million d’enfants de moins de 5 ans, soit un enfant toutes les 15 secondes. Alors cette Journée nationale souhaite proposer des actions, plutôt que des réponses, pour parvenir à réduire le nombre de décès par pneumonie.
Tristement d’actualité avec la grippe A/H1N1, la pneumonie se définit comme une infection respiratoire aiguë affectant les poumons. En cas de pneumonie, les alvéoles sont remplies de pus et de liquide, ce qui rend la respiration douloureuse et limite l’absorption d’oxygène.
Première cause de mortalité dans le monde chez l’enfant, la pneumonie tue chaque année près de 2 millions d’enfants dans le monde, c’est plus que le sida, le paludisme et la rougeole réunis. Provoquée par des virus, des bactéries ou des champignons, elle pourrait pourtant être prévenue par la vaccination, un état nutritionnel satisfaisant et une amélioration des facteurs environnementaux. Chaque année dans le monde, on recense encore environ 155 millions de cas de pneumonie de l’enfant.
Traitée par des antibiotiques, encore une fois se pose la question de l’accès de centaines de milliers d’enfants à ce traitement. Encore une fois, la World Pneumonia Day coalition rappelle que " Les réponses sont à portée de main, et un traitement efficace est à la fois peu coûteux et largement disponibles ». Une étude de l’OMS révélait en 2008 qu’il est tout aussi efficace de soigner les enfants atteints de pneumonie sévère à domicile qu'en milieu hospitalier et confirme l’efficacité du traitement par des antibiotiques par voie orale en dehors d’un milieu hospitalier. Environ 60% des cas de pneumonie pourraient être soignés par des antibiotiques.
Alors pourquoi les enfants qui meurent ? Cette question est l’impulsion de cette première Journée mondiale de la pneumonie qui se tiendra le lundi 2 Novembre 2009. La Coalition mondiale contre le pneumocoque des enfants menée par Save the Children organise un Sommet mondial sur la pneumonie à New York et autres événements à travers le monde pour mobiliser les efforts pour arrêter une maladie qui tue un enfant toutes les 15 secondes.
Selon Penny Enarson, chef de la Division de la santé pulmonaire de l'enfant basé à Paris à l’Union Internationale Contre la Tuberculose et les Maladies Respiratoires «les données récentes de 68 pays à forte mortalité, ont montré que seulement 32% des enfants atteints de pneumonie ont accès aux antibiotiques». A cet accès insuffisant au traitement, s’ajoute le manque de personnel qualifié et l'insuffisance des stocks de médicaments et des équipements de prise en charge.
L’Union Internationale Contre la Tuberculose et les Maladies Respiratoires a développé un modèle de prestation de service qui définit les principaux objectifs d’une bonne prise en charge des enfants atteints de pneumonie. Basé sur le modèle de l'Union largement utilisé pour la lutte contre la tuberculose appelé DOTS, le programme de santé respiratoire chez l'enfant (CLHP) est basé sur l'engagement du gouvernement, des directives de diagnostic et de traitement, la formation du personnel soignant, un mécanisme d’approvisionnement ininterrompu en médicaments et de gestion des stocks, l'enregistrement des signalements et la surveillance.
«Si nous sommes engagés à atteindre l'Objectif du Millénaire de réduire la mortalité infantile de 50% en 2015, nous devons améliorer la façon dont est gérée la pneumonie», dit Enarson. «Les outils pour sauver ces enfants existent. C'est la volonté politique d'agir et de ressources pour soutenir des mesures efficaces qui font défaut ".
santelog 30/10/09
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Re: Actualités pour concours 2010
Les bénéfices des édulcorants en question
Sandrine Cabut
29/10/2009 | Mise à jour : 22:55 | Commentaires 7 | Ajouter à ma sélection
Crédit photo : Amyvdh
Une nouvelle molécule «sucrante» relance la polémique sur les risques de ces produits.
Les édulcorants sont-ils utiles pour lutter contre le surpoids et le diabète ? Certains sont-ils dangereux pour la santé ? Alors qu'un nouvel édulcorant issu d'une plante d'Amérique du Sud, la stevia, vient d'être autorisé en France, deux associations reconnues s'inquiètent de la désinformation sur ce sujet. «La guerre des édulcorants. Noir : Aspartam. Blanc : Stevia ? Est-ce bien vrai ?», s'insurge l'Association française des diabétiques (AFD). De son côté, l'Association française des diététiciens-nutritionnistes (AFDN) met en garde contre «la consommation excessive de produits dits light ou allégés». Cette polémique relance en tout cas le débat sur l'intérêt de ces produits sucrants, tant pour les personnes obèses que pour celles souffrant de diabète.
«Nous voyons une dérive dans les comportements. Ce n'est pas parce que des aliments sont allégés en sucres ou même en graisses qu'ils peuvent être consommés à volonté», justifie Florence Rossi, porte-parole de l'AFDN. D'abord, rappelle cette diététicienne, édulcorant ne signifie pas sans calorie. Ces additifs alimentaires, dont il existe une liste officielle dans le Codex Alimentarius, se répartissent en deux catégories. Les édulcorants intenses, dont font notamment partie la saccharine, l'aspartame et la stevia, sont effectivement acaloriques. En revanche, les édulcorants dits nutritifs ou polyols (comme le sorbitol ou le xylitol), présents par exemple dans des chewing-gums et des bonbons, apportent environ 2,4 kcal/g soit moitié moins que le saccharose.
Autre piège pour le consommateur, en dehors des sodas aux édulcorants intenses, qui sont réellement sans calories ; les préparations alimentaires édulcorées ne sont pas nécessairement moins énergétiques que leur version standard. Dans les produits semi-liquides ou solides, le sucre représente en effet un certain volume. Si celui-ci est substitué par des édulcorants intenses (à beaucoup plus faible volume puisque leur pouvoir sucrant est plusieurs centaines de fois supérieur à celui du saccharose), la densité énergétique peut être modifiée. Et ce d'autant plus que l'aliment est riche en lipides. Les graisses étant deux fois plus caloriques que les glucides, certains chocolats allégés en sucre ou autres biscuits édulcorés se révèlent au final plus caloriques que la spécialité initiale.
«Études contradictoires»
«Les produits light et en particulier les sodas peuvent être consommés occasionnellement, pour se faire plaisir sans calories, mais ils ne doivent pas devenir une habitude quotidienne», résume Florence Rossi. Les médecins spécialisés en nutrition ou en diabétologie sont à peu près sur la même ligne. «Il ne faut pas diaboliser les édulcorants», estime le Pr Patrick Vexiau, diabétologue à l'hôpital Saint-Louis (Paris), et secrétaire général de l'AFD. Selon lui, les boissons light ont ainsi un intérêt pour les diabétiques. Les sodas aux édulcorants intenses peuvent être pour ces patients un moyen de satisfaire une envie de sucre sans pic glycémique. «Surtout, ces boissons qui sont devenues populaires dans toute la population ont permis à nos malades de ne plus être stigmatisés», insiste Patrick Vexiau. «Les édulcorants ont une petite place dans nos prescriptions chez les diabétiques et chez les personnes avec des problèmes d'obésité, note le Pr Arnaud Basdevant, nutritionniste à la Pitié-Salpétrière (Paris). Mais ce qu'on vise surtout, c'est une diversification alimentaire, avec des produits de la vie quotidienne.» Le Pr André Grimaldi, diabétologue dans le même hôpital, est plus radical. «Le seul intérêt de ces produits, c'est pour les diabétiques qui aiment les sodas. Pour les autres, ce n'est pas utile, d'autant que les édulcorants augmentent l'appétit en maintenant le goût pour le sucré.»
Une assertion qui ne fait cependant pas l'unanimité. «Ce débat n'est pas tranché, car les études sont contradictoires », estiment des spécialistes comme le Pr Basdevant. Tous se rejoignent en tout cas sur un point : sauf à en consommer en quantités astronomiques, les édulcorants et en particulier l'aspartame n'induisent pas de risques particuliers pour la santé. Depuis des années, malgré des rapports rassurants des autorités sanitaires, des rumeurs circulent périodiquement sur l'aspartame, accusé d'induire cancers, mais aussi sclérose en plaques, lupus… «Récemment, j'ai encore reçu un diaporama foudroyant sur cet édulcorant, réalisé par un individu qui dit faire des conférences», raconte le Pr Vexiau. Ce document pseudo-scientifique, au moment même où les autorités françaises donnaient leur feu vert à la stevia, l'a fait bondir. D'où le communiqué de l'Association française des diabétiques (AFD) autour de la guerre des édulcorants. Pour l'AFD, «l'aspartam n'est pas un poison violent». Quant à la stevia, c'est effectivement un produit naturel, mais «le naturel n'est pas obligatoirement sans risque».
le figaro 30/10/09
Sandrine Cabut
29/10/2009 | Mise à jour : 22:55 | Commentaires 7 | Ajouter à ma sélection
Crédit photo : Amyvdh
Une nouvelle molécule «sucrante» relance la polémique sur les risques de ces produits.
Les édulcorants sont-ils utiles pour lutter contre le surpoids et le diabète ? Certains sont-ils dangereux pour la santé ? Alors qu'un nouvel édulcorant issu d'une plante d'Amérique du Sud, la stevia, vient d'être autorisé en France, deux associations reconnues s'inquiètent de la désinformation sur ce sujet. «La guerre des édulcorants. Noir : Aspartam. Blanc : Stevia ? Est-ce bien vrai ?», s'insurge l'Association française des diabétiques (AFD). De son côté, l'Association française des diététiciens-nutritionnistes (AFDN) met en garde contre «la consommation excessive de produits dits light ou allégés». Cette polémique relance en tout cas le débat sur l'intérêt de ces produits sucrants, tant pour les personnes obèses que pour celles souffrant de diabète.
«Nous voyons une dérive dans les comportements. Ce n'est pas parce que des aliments sont allégés en sucres ou même en graisses qu'ils peuvent être consommés à volonté», justifie Florence Rossi, porte-parole de l'AFDN. D'abord, rappelle cette diététicienne, édulcorant ne signifie pas sans calorie. Ces additifs alimentaires, dont il existe une liste officielle dans le Codex Alimentarius, se répartissent en deux catégories. Les édulcorants intenses, dont font notamment partie la saccharine, l'aspartame et la stevia, sont effectivement acaloriques. En revanche, les édulcorants dits nutritifs ou polyols (comme le sorbitol ou le xylitol), présents par exemple dans des chewing-gums et des bonbons, apportent environ 2,4 kcal/g soit moitié moins que le saccharose.
Autre piège pour le consommateur, en dehors des sodas aux édulcorants intenses, qui sont réellement sans calories ; les préparations alimentaires édulcorées ne sont pas nécessairement moins énergétiques que leur version standard. Dans les produits semi-liquides ou solides, le sucre représente en effet un certain volume. Si celui-ci est substitué par des édulcorants intenses (à beaucoup plus faible volume puisque leur pouvoir sucrant est plusieurs centaines de fois supérieur à celui du saccharose), la densité énergétique peut être modifiée. Et ce d'autant plus que l'aliment est riche en lipides. Les graisses étant deux fois plus caloriques que les glucides, certains chocolats allégés en sucre ou autres biscuits édulcorés se révèlent au final plus caloriques que la spécialité initiale.
«Études contradictoires»
«Les produits light et en particulier les sodas peuvent être consommés occasionnellement, pour se faire plaisir sans calories, mais ils ne doivent pas devenir une habitude quotidienne», résume Florence Rossi. Les médecins spécialisés en nutrition ou en diabétologie sont à peu près sur la même ligne. «Il ne faut pas diaboliser les édulcorants», estime le Pr Patrick Vexiau, diabétologue à l'hôpital Saint-Louis (Paris), et secrétaire général de l'AFD. Selon lui, les boissons light ont ainsi un intérêt pour les diabétiques. Les sodas aux édulcorants intenses peuvent être pour ces patients un moyen de satisfaire une envie de sucre sans pic glycémique. «Surtout, ces boissons qui sont devenues populaires dans toute la population ont permis à nos malades de ne plus être stigmatisés», insiste Patrick Vexiau. «Les édulcorants ont une petite place dans nos prescriptions chez les diabétiques et chez les personnes avec des problèmes d'obésité, note le Pr Arnaud Basdevant, nutritionniste à la Pitié-Salpétrière (Paris). Mais ce qu'on vise surtout, c'est une diversification alimentaire, avec des produits de la vie quotidienne.» Le Pr André Grimaldi, diabétologue dans le même hôpital, est plus radical. «Le seul intérêt de ces produits, c'est pour les diabétiques qui aiment les sodas. Pour les autres, ce n'est pas utile, d'autant que les édulcorants augmentent l'appétit en maintenant le goût pour le sucré.»
Une assertion qui ne fait cependant pas l'unanimité. «Ce débat n'est pas tranché, car les études sont contradictoires », estiment des spécialistes comme le Pr Basdevant. Tous se rejoignent en tout cas sur un point : sauf à en consommer en quantités astronomiques, les édulcorants et en particulier l'aspartame n'induisent pas de risques particuliers pour la santé. Depuis des années, malgré des rapports rassurants des autorités sanitaires, des rumeurs circulent périodiquement sur l'aspartame, accusé d'induire cancers, mais aussi sclérose en plaques, lupus… «Récemment, j'ai encore reçu un diaporama foudroyant sur cet édulcorant, réalisé par un individu qui dit faire des conférences», raconte le Pr Vexiau. Ce document pseudo-scientifique, au moment même où les autorités françaises donnaient leur feu vert à la stevia, l'a fait bondir. D'où le communiqué de l'Association française des diabétiques (AFD) autour de la guerre des édulcorants. Pour l'AFD, «l'aspartam n'est pas un poison violent». Quant à la stevia, c'est effectivement un produit naturel, mais «le naturel n'est pas obligatoirement sans risque».
le figaro 30/10/09
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Admissibilité
Salut,
Je fais parti de ceux ayant réussi l'admissibilté du concours d'entrée de l'AHPH d'octobre 2009.
Il me reste l'admission, mais j'avoue que les épreuves orales ne sont pas ma tasse thé.
Il y aurait-il une personne qui pourrait me dire comment se déroule l'entretien? et m'apporter quelques conseils?
Je fais parti de ceux ayant réussi l'admissibilté du concours d'entrée de l'AHPH d'octobre 2009.
Il me reste l'admission, mais j'avoue que les épreuves orales ne sont pas ma tasse thé.
Il y aurait-il une personne qui pourrait me dire comment se déroule l'entretien? et m'apporter quelques conseils?
ESI HENRI MONDOR
-
- Adepte
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- Inscription : 29 mars 2009 14:05
- Localisation : grenoble
Re: Admissibilité
On te donne un sujet de Cg que tu prepare pendant 10minutes Puis tu as un entretient avec le jury ( attention le jury peut jouer des roles donc voila)luckystar a écrit :Salut,
Je fais parti de ceux ayant réussi l'admissibilté du concours d'entrée de l'AHPH d'octobre 2009.
Il me reste l'admission, mais j'avoue que les épreuves orales ne sont pas ma tasse thé.
Il y aurait-il une personne qui pourrait me dire comment se déroule l'entretien? et m'apporter quelques conseils?
Je pense qu'il est necessaire de faire un lien avec le metier IDE!
tu peux entrainer sur les questions types mais tu dois pas connaitre tes motivations par coeur!
Oral AP-HP:19/11
ESI fev 2010-2013 pitié-salpétriére (98eme LP)