printemps 2011
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Venez raconter votre écrit printemps 211
a l'arrache....non intro et j'ai dévellopé 3 facteurs ensuite conclusion!Jen18 a écrit :Vous avez fait quoi comme plan pour les inégalités de la santé question 3 ?
ESI 2011-2014 Mont de Marsan
)))

- Ptit bouchon
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Re: Venez raconter votre écrit printemps 211
Bonjour,
Nouvelle sur le site j'ai passé les concours de Chambéry ce matin et Hauteville vendredi dernier, j'aimerai avoir des impressions de celles et ceux qui ont passé les mêmes concours que moi.
Pour ce matin Chambéry j'ai trouvé le sujet pas trop mal c'était sur la solitude, j'ai parlé de Facebook et autres sites sociaux qui nous détournent des vrais contacts humains, et des retraites où on se retrouve avec moins d'entourage (plus de relations professionnelles, enfants partis..etc), sinon les psychos un peu dur mais j'ai eu le temps de tout faire avec un exercice au pif car je ne trouvait pas la logique
Allez encore deux concours il faut que ça marche !!! Je me réoriente et déménage sur Annecy pour rejoindre mon chéri, je ne veux pas faire ça pour rien !!!
Bon courage à tous et à toutes
Nouvelle sur le site j'ai passé les concours de Chambéry ce matin et Hauteville vendredi dernier, j'aimerai avoir des impressions de celles et ceux qui ont passé les mêmes concours que moi.
Pour ce matin Chambéry j'ai trouvé le sujet pas trop mal c'était sur la solitude, j'ai parlé de Facebook et autres sites sociaux qui nous détournent des vrais contacts humains, et des retraites où on se retrouve avec moins d'entourage (plus de relations professionnelles, enfants partis..etc), sinon les psychos un peu dur mais j'ai eu le temps de tout faire avec un exercice au pif car je ne trouvait pas la logique
Allez encore deux concours il faut que ça marche !!! Je me réoriente et déménage sur Annecy pour rejoindre mon chéri, je ne veux pas faire ça pour rien !!!
Bon courage à tous et à toutes
ESI 2011-2014 à Annecy !!!!!!
Re: Venez raconter votre écrit printemps 211
Moi aussi j'ai passé celui de Macon cette après-midi, le français assez dur, on verra.
Et le tests psychotechnique je l'ai trouvé assez simple, maintenant reste plus qu'à attendre les résultats
Et le tests psychotechnique je l'ai trouvé assez simple, maintenant reste plus qu'à attendre les résultats
Re: Venez raconter votre écrit printemps 211
Les 3 facteurs ?elosau40 a écrit :a l'arrache....non intro et j'ai dévellopé 3 facteurs ensuite conclusion!Jen18 a écrit :Vous avez fait quoi comme plan pour les inégalités de la santé question 3 ?
T'as parlé des maladies tout cela ?

S1 : EHPAD
S2 : Long séjour
Re: Venez raconter votre écrit printemps 211
Voici le texte que nous avons eu à Macon :
Edit by Siaana : même texte à St Brieuc
Les cerveaux français préfèrent les États-Unis
On avait coutume, jusqu'ici, de déplorer le manque de mobilité des jeunes Français, et leur peu d'entrain à étudier à l'étranger. La situation s'améliore. Mais un rapport de l'Institut Montaigne tend à refréner les satisfecit face à cette poussée d'expatriation chez les étudiants français. Car les jeunes gens qui passent une année aux États-Unis durant leurs études ont tendance à y prendre goût. Pire, ces départs toucheraient principalement les meilleurs chercheurs, plus enclins que les autres à aller chercher sous le ciel américain les conditions qu'ils ne trouvent pas en France. Le rapport rédigé par Ioanna Kohler, directrice des programmes de politique sociale à la French-American Foundation, à New York, et intitulé Gone for Good? Partis pour de bon? Les expatriés de l'enseignement supérieur français aux États-Unis, montre l'image d'une recherche française peu attirante pour ceux qu'elle a formés.
Certes, avec 1,3% de ses chercheurs expatriés aux États-Unis, la France se situe en dessous de la moyenne européenne, et loin derrière le Royaume-Uni (3%) ou l'Italie (2,5%). Pourtant, ce chiffre est en augmentation constante. Et surtout, la part des chercheurs parmi les Français qui émigrent aux États-Unis est passée de 8% dans les années 1970 à 27% entre 1996 et 2006. L'auteur du rapport montre ainsi l'extrême ambivalence de cette mobilité accrue dans un monde où les perspectives de carrière universitaires sont radicalement différentes d'un pays à l'autre. «Il y a lieu, écrit-elle, à la fois de se féliciter de la montée en puissance des jeunes Français parmi ceux qui cherchent à obtenir un PhD (doctorat de philosophie) et de craindre qu'ils soient attirés par un marché du travail universitaire plus attractif que le marché hexagonal.»
Car les jeunes Français qui obtiennent un doctorat aux États-Unis restent très majoritairement outre-Atlantique, qu'ils aient déjà un engagement dans une université ou une entreprise ou qu'ils aient simplement le projet d'en obtenir un. Quant aux post-doctorants ayant obtenu leur doctorat en France, ils sont 50 à 55% à partir à l'étranger, dont un tiers aux États-Unis. En effet, une enquête réalisée en 2005 par la Mission scientifique et technologique de l'ambassade de France aux États-Unis auprès de jeunes chercheurs ayant effectué une formation post-doctorale en Amérique du Nord indique qu'ils sont 75% à estimer «facile» ou «assez facile» de trouver un emploi aux États-Unis; un taux de réponse qui est de seulement 30% pour la France.
Les meilleurs éléments
Cependant, la nouveauté du rapport de l'Institut Montaigne réside moins dans ces données quantitatives que dans une étude qualitative du type de chercheur qui a tendance à s'expatrier. Résultat: la France laisse partir chaque année ses meilleurs éléments, ceux qui pourraient, intellectuellement et économiquement, enrichir le pays. Au-delà des données anecdotiques sur l'expatriation massive des compositeurs français, le rapport démontre que ce sont les économistes, les biologistes ou les mathématiciens qui ont le plus tendance à chercher refuge sous de meilleurs cieux. Les méthodologies à l'œuvre en sciences humaines limitent au contraire la mobilité dans ces domaines, puisque les sciences sociales s'appuient aux États-Unis sur un postulat de rationalité des sujets, quand les chercheurs français privilégient la mise en avant de la complexité des choix. Mais les domaines qui déterminent de près ou de loin une forme de puissance nationale sont ceux dans lesquels les Français lorgnent vers les établissements américains.
Plus grave, parmi ces chercheurs, ce sont les anciens élèves des grandes écoles, normaliens ou polytechniciens, ceux qui ont coûté le plus cher à former, qui partent le plus volontiers, et que l'on retrouve à la tête de chaires prestigieuses. Ainsi, Catherine Dulac, normalienne et «Chair» du département de biologie moléculaire et cellulaire à Harvard, explique son choix de l'exil: «À 34 ans, cela a été un véritable déchirement. J'ai pensé que je rentrerais en France après cette expérience. Cela n'a pas été possible: je n'aurais pas pu me retrouver dans un laboratoire où j'aurais perdu l'indépendance qui m'était acquise aux États-Unis et avec des moyens tellement réduits que j'aurais été dans l'impossibilité d'effectuer un programme de recherche compétitif.» Parmi ces exilés, nombreux sont ceux qui seraient prêts à revenir en France si les conditions leur semblaient attractives. Question de salaire, de liberté et de facilités administratives. Autant de domaines sur lesquelles les universités françaises commencent à travailler.
Par contre je n'ai plus les questions, si quelqu'un les as.
Edit by Siaana : même texte à St Brieuc
Les cerveaux français préfèrent les États-Unis
On avait coutume, jusqu'ici, de déplorer le manque de mobilité des jeunes Français, et leur peu d'entrain à étudier à l'étranger. La situation s'améliore. Mais un rapport de l'Institut Montaigne tend à refréner les satisfecit face à cette poussée d'expatriation chez les étudiants français. Car les jeunes gens qui passent une année aux États-Unis durant leurs études ont tendance à y prendre goût. Pire, ces départs toucheraient principalement les meilleurs chercheurs, plus enclins que les autres à aller chercher sous le ciel américain les conditions qu'ils ne trouvent pas en France. Le rapport rédigé par Ioanna Kohler, directrice des programmes de politique sociale à la French-American Foundation, à New York, et intitulé Gone for Good? Partis pour de bon? Les expatriés de l'enseignement supérieur français aux États-Unis, montre l'image d'une recherche française peu attirante pour ceux qu'elle a formés.
Certes, avec 1,3% de ses chercheurs expatriés aux États-Unis, la France se situe en dessous de la moyenne européenne, et loin derrière le Royaume-Uni (3%) ou l'Italie (2,5%). Pourtant, ce chiffre est en augmentation constante. Et surtout, la part des chercheurs parmi les Français qui émigrent aux États-Unis est passée de 8% dans les années 1970 à 27% entre 1996 et 2006. L'auteur du rapport montre ainsi l'extrême ambivalence de cette mobilité accrue dans un monde où les perspectives de carrière universitaires sont radicalement différentes d'un pays à l'autre. «Il y a lieu, écrit-elle, à la fois de se féliciter de la montée en puissance des jeunes Français parmi ceux qui cherchent à obtenir un PhD (doctorat de philosophie) et de craindre qu'ils soient attirés par un marché du travail universitaire plus attractif que le marché hexagonal.»
Car les jeunes Français qui obtiennent un doctorat aux États-Unis restent très majoritairement outre-Atlantique, qu'ils aient déjà un engagement dans une université ou une entreprise ou qu'ils aient simplement le projet d'en obtenir un. Quant aux post-doctorants ayant obtenu leur doctorat en France, ils sont 50 à 55% à partir à l'étranger, dont un tiers aux États-Unis. En effet, une enquête réalisée en 2005 par la Mission scientifique et technologique de l'ambassade de France aux États-Unis auprès de jeunes chercheurs ayant effectué une formation post-doctorale en Amérique du Nord indique qu'ils sont 75% à estimer «facile» ou «assez facile» de trouver un emploi aux États-Unis; un taux de réponse qui est de seulement 30% pour la France.
Les meilleurs éléments
Cependant, la nouveauté du rapport de l'Institut Montaigne réside moins dans ces données quantitatives que dans une étude qualitative du type de chercheur qui a tendance à s'expatrier. Résultat: la France laisse partir chaque année ses meilleurs éléments, ceux qui pourraient, intellectuellement et économiquement, enrichir le pays. Au-delà des données anecdotiques sur l'expatriation massive des compositeurs français, le rapport démontre que ce sont les économistes, les biologistes ou les mathématiciens qui ont le plus tendance à chercher refuge sous de meilleurs cieux. Les méthodologies à l'œuvre en sciences humaines limitent au contraire la mobilité dans ces domaines, puisque les sciences sociales s'appuient aux États-Unis sur un postulat de rationalité des sujets, quand les chercheurs français privilégient la mise en avant de la complexité des choix. Mais les domaines qui déterminent de près ou de loin une forme de puissance nationale sont ceux dans lesquels les Français lorgnent vers les établissements américains.
Plus grave, parmi ces chercheurs, ce sont les anciens élèves des grandes écoles, normaliens ou polytechniciens, ceux qui ont coûté le plus cher à former, qui partent le plus volontiers, et que l'on retrouve à la tête de chaires prestigieuses. Ainsi, Catherine Dulac, normalienne et «Chair» du département de biologie moléculaire et cellulaire à Harvard, explique son choix de l'exil: «À 34 ans, cela a été un véritable déchirement. J'ai pensé que je rentrerais en France après cette expérience. Cela n'a pas été possible: je n'aurais pas pu me retrouver dans un laboratoire où j'aurais perdu l'indépendance qui m'était acquise aux États-Unis et avec des moyens tellement réduits que j'aurais été dans l'impossibilité d'effectuer un programme de recherche compétitif.» Parmi ces exilés, nombreux sont ceux qui seraient prêts à revenir en France si les conditions leur semblaient attractives. Question de salaire, de liberté et de facilités administratives. Autant de domaines sur lesquelles les universités françaises commencent à travailler.
Par contre je n'ai plus les questions, si quelqu'un les as.
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- Inscription : 30 oct. 2010 23:51
Re: Venez raconter votre écrit printemps 211
Bonsoir,
je l'ai passé à Chartres cet après midi.
En culture G on a eu un texte sur "l'annonce a un malade qu'il avait une maladie grave". On devait ensuite expliquer les conséquences psychologiques pour le madade etc...
Pour les test psy, on a pas eu de mastermind, ni de plateau infirmier. On a eu quelques suites numériques et de figures, des syllogismes, beaucoup de problèmes numériques (dailleurs pour l'exercice avec la pompe d'Eric, on nous a bien dis que c'était dans la cave d'Eric et non celle de Jules), et puis un test d'organisation pour ma part infaisable dans les temps... Un planning de spectacle de cirque a gérer, plus de 16 numéros etc...
je l'ai passé à Chartres cet après midi.
En culture G on a eu un texte sur "l'annonce a un malade qu'il avait une maladie grave". On devait ensuite expliquer les conséquences psychologiques pour le madade etc...
Pour les test psy, on a pas eu de mastermind, ni de plateau infirmier. On a eu quelques suites numériques et de figures, des syllogismes, beaucoup de problèmes numériques (dailleurs pour l'exercice avec la pompe d'Eric, on nous a bien dis que c'était dans la cave d'Eric et non celle de Jules), et puis un test d'organisation pour ma part infaisable dans les temps... Un planning de spectacle de cirque a gérer, plus de 16 numéros etc...
Re: Venez raconter votre écrit printemps 211
Voila le texte du Blanc/Amboise :
Toute annonce d’une maladie grave est un coup de poing. Elle brutalise, révulse et sidère. Rien n’y prépare, rien n’en protège. Installés dans le confort de leur existence à durée indéterminée, les malades et leurs proches se voient soudain confrontés à l’impensé : la précarité de la vie. Une jeune femme atteinte d’un cancer évoque ce sentiment par une analogie redoutable : « Mon médecin me dit parfois, et il n’y a pas que lui, que de toute manière je peux me faire renverser par une voiture et mourir demain sur un trottoir. Ce qui est vrai, cela arrive. Le problème quand on a un cancer comme moi, c’est qu’on n’est plus sur le trottoir. Je suis au milieu de la route et je vois la voiture qui va me renverser me foncer dessus. Ça fait tout de même une différence(1). »
De ce point de vue, la maladie mortelle ou chronique apparaît comme une épreuve singulière, radicale et solitaire. Elle n’est pas seulement souffrance physique, fatigue, diminution, mutilation.(...)out adulte qui a été confronté à une maladie grave se souvient d’abord avec précision du contexte dans lequel il a reçu l’annonce du diagnostic. Pour beaucoup, cette annonce résonne comme une catastrophe. Étymologiquement, la catastrophe désigne « ce qui tourne sens dessus dessous ». C’est littéralement le cas. En un instant, l’illusion d’immortalité, sur laquelle tout bien-portant construit sa vie, s’évapore. Le psychologue Gustave-Nicolas Fisher note qu’il existe plusieurs façons d’y réagir : désarroi, colère ou dénégation. « Les premières réactions de révolte, refus ou déni sont autant d’expression symptomatique de non-acceptation, souligne-t-il. (…) En ce sens, la maladie teste d’abord la capacité intérieure à reconnaître la réalité (4). »
À cet égard, la maladie s’apparente à une épreuve de vérité, mais elle peut tourner en même temps à l’entreprise de dissimulation. Lors de son enquête, P. Bataille a constaté que de nombreux malades du cancer cachent leur maladie à leurs proches, quitte à mettre au point des ruses extrêmement sophistiquées. D’autres personnes, à l’inverse, éprouvent le besoin d’annoncer leur maladie au plus grand nombre. « J’ai un cancer du sein », annonce ainsi Cécile à une connaissance croisée dans la rue, comme si elle annonçait une nouvelle idylle amoureuse. (...)Pour les proches, ces deux types de réaction – dissimulation ou exaltation – restent souvent incompréhensibles. Ils se sentent exclus, à un moment où l’angoisse les fragilise aussi(..)
Passé le choc de l’annonce, toute personne atteinte d’une maladie grave se trouve confronté à une nécessité vitale : il faut « se battre ». Le corps médical emploie très régulièrement un lexique guerrier, que le malade ne comprend pas toujours. (...)À ce stade, il est courant qu’un malade tente de devenir expert de sa propre maladie. Il apprend le jargon médical, étudie les statistiques, recueille toutes les informations médicales possibles. Il reprend ainsi le contrôle, passant du statut de « patient » passif à celui de sujet actif. Mais la volonté de savoir se heurte au décalage entre la représentation médicale de la maladie et le vécu du malade. (...)La reconquête de soi doit donc passer par autre chose que la stricte anticipation médicale de l’évolution de la pathologie. Elle suppose de consentir à abandonner son corps aux équipes soignantes, le temps du soin. Les philosophes Claire Marin et Jean-Luc Nancy évoquent tous deux une expérience de « dépossession ». Tout se passe comme s’ils s’étaient trouvés expropriés d’eux-mêmes à mesure que leur corps devenait objet d’analyse, d’auscultation, de palpation, d’expérimentation, de normalisation.
Après la peur et la souffrance physique, vient le temps d’une douleur moins aiguë mais plus profonde qui touche l’individu corps et âme. Quelles que soient les forces rassemblées, elles travaillent à une métamorphose de soi. Dans le creuset de la maladie apparaissent des facettes de soi insoupçonnées. Un malade peut se découvrir extrêmement déterminé, quand bien même il ne se serait jamais perçu comme une personnalité combative. Il peut révéler un humour corrosif, en plein drame de son histoire, quand il aurait toujours passé pour un individu austère. (...)
Le corps, lui aussi, a changé : les muscles ont fondu ou le corps a gonflé, le visage s’est transformé, un sein ou une prostate ont été sacrifiés sur l’autel de la guérison. L’image de soi s’est brouillée. Pour toutes ces raisons, la guérison biologique ne se résume jamais à un simple retour à la « vie d’avant ». « Guérir n’est pas revenir… », note Georges Canguilhem (9).
Il ne s’agit plus de « faire quelque chose » de sa maladie, mais au contraire d’en faire le deuil. Non pas rayer la maladie de son histoire, mais la restituer à sa juste place : une parenthèse douloureuse, subie et non voulue, qui doit se refermer. Dans les hôpitaux, des services psychologiques peuvent accompagner les anciens patients. Roland Gori et Marie-José Del Vongo, chercheurs en psychopathologie, expliquent ainsi l’enjeu de ce travail sur soi : « Guérir, ce n’est pas seulement oublier une maladie que la médecine a traitée avec succès, guérir c’est aussi oublier le savoir qu’elle procure sur la cause et l’heure de sa mort. C’est, en somme, oublier la mort pour mieux retrouver le temps dans une durée où l’on ne sait pas quand et de quoi on va mourir. C’est (…) rouvrir de nouveau l’énigme de son terme, de son échéance, que la maladie avait prématurément résolue (10). »
Héloïse Lhérété Sciences humaines juin 2010
Question 1 : Presentez rapidement le sujet et dégagez les idées principales (15 à 20 lignes) 4points
Question 2 : Presentez la problématiques, commentez le passage en gras et donnez un avis personnel sur le sujet. 6 points
Question 3 : Quelles seraient selon vous les répercussions psychologiques d'une maladie physique grave ou chronique ? (Votre réponse sera obligatoirement structurée introduction développement conclusion en 25 à 30 lignes) 7 points
Ca peut paraitre simple mais bon en fait pas tant que ca
Bises à tous!
Toute annonce d’une maladie grave est un coup de poing. Elle brutalise, révulse et sidère. Rien n’y prépare, rien n’en protège. Installés dans le confort de leur existence à durée indéterminée, les malades et leurs proches se voient soudain confrontés à l’impensé : la précarité de la vie. Une jeune femme atteinte d’un cancer évoque ce sentiment par une analogie redoutable : « Mon médecin me dit parfois, et il n’y a pas que lui, que de toute manière je peux me faire renverser par une voiture et mourir demain sur un trottoir. Ce qui est vrai, cela arrive. Le problème quand on a un cancer comme moi, c’est qu’on n’est plus sur le trottoir. Je suis au milieu de la route et je vois la voiture qui va me renverser me foncer dessus. Ça fait tout de même une différence(1). »
De ce point de vue, la maladie mortelle ou chronique apparaît comme une épreuve singulière, radicale et solitaire. Elle n’est pas seulement souffrance physique, fatigue, diminution, mutilation.(...)out adulte qui a été confronté à une maladie grave se souvient d’abord avec précision du contexte dans lequel il a reçu l’annonce du diagnostic. Pour beaucoup, cette annonce résonne comme une catastrophe. Étymologiquement, la catastrophe désigne « ce qui tourne sens dessus dessous ». C’est littéralement le cas. En un instant, l’illusion d’immortalité, sur laquelle tout bien-portant construit sa vie, s’évapore. Le psychologue Gustave-Nicolas Fisher note qu’il existe plusieurs façons d’y réagir : désarroi, colère ou dénégation. « Les premières réactions de révolte, refus ou déni sont autant d’expression symptomatique de non-acceptation, souligne-t-il. (…) En ce sens, la maladie teste d’abord la capacité intérieure à reconnaître la réalité (4). »
À cet égard, la maladie s’apparente à une épreuve de vérité, mais elle peut tourner en même temps à l’entreprise de dissimulation. Lors de son enquête, P. Bataille a constaté que de nombreux malades du cancer cachent leur maladie à leurs proches, quitte à mettre au point des ruses extrêmement sophistiquées. D’autres personnes, à l’inverse, éprouvent le besoin d’annoncer leur maladie au plus grand nombre. « J’ai un cancer du sein », annonce ainsi Cécile à une connaissance croisée dans la rue, comme si elle annonçait une nouvelle idylle amoureuse. (...)Pour les proches, ces deux types de réaction – dissimulation ou exaltation – restent souvent incompréhensibles. Ils se sentent exclus, à un moment où l’angoisse les fragilise aussi(..)
Passé le choc de l’annonce, toute personne atteinte d’une maladie grave se trouve confronté à une nécessité vitale : il faut « se battre ». Le corps médical emploie très régulièrement un lexique guerrier, que le malade ne comprend pas toujours. (...)À ce stade, il est courant qu’un malade tente de devenir expert de sa propre maladie. Il apprend le jargon médical, étudie les statistiques, recueille toutes les informations médicales possibles. Il reprend ainsi le contrôle, passant du statut de « patient » passif à celui de sujet actif. Mais la volonté de savoir se heurte au décalage entre la représentation médicale de la maladie et le vécu du malade. (...)La reconquête de soi doit donc passer par autre chose que la stricte anticipation médicale de l’évolution de la pathologie. Elle suppose de consentir à abandonner son corps aux équipes soignantes, le temps du soin. Les philosophes Claire Marin et Jean-Luc Nancy évoquent tous deux une expérience de « dépossession ». Tout se passe comme s’ils s’étaient trouvés expropriés d’eux-mêmes à mesure que leur corps devenait objet d’analyse, d’auscultation, de palpation, d’expérimentation, de normalisation.
Après la peur et la souffrance physique, vient le temps d’une douleur moins aiguë mais plus profonde qui touche l’individu corps et âme. Quelles que soient les forces rassemblées, elles travaillent à une métamorphose de soi. Dans le creuset de la maladie apparaissent des facettes de soi insoupçonnées. Un malade peut se découvrir extrêmement déterminé, quand bien même il ne se serait jamais perçu comme une personnalité combative. Il peut révéler un humour corrosif, en plein drame de son histoire, quand il aurait toujours passé pour un individu austère. (...)
Le corps, lui aussi, a changé : les muscles ont fondu ou le corps a gonflé, le visage s’est transformé, un sein ou une prostate ont été sacrifiés sur l’autel de la guérison. L’image de soi s’est brouillée. Pour toutes ces raisons, la guérison biologique ne se résume jamais à un simple retour à la « vie d’avant ». « Guérir n’est pas revenir… », note Georges Canguilhem (9).
Il ne s’agit plus de « faire quelque chose » de sa maladie, mais au contraire d’en faire le deuil. Non pas rayer la maladie de son histoire, mais la restituer à sa juste place : une parenthèse douloureuse, subie et non voulue, qui doit se refermer. Dans les hôpitaux, des services psychologiques peuvent accompagner les anciens patients. Roland Gori et Marie-José Del Vongo, chercheurs en psychopathologie, expliquent ainsi l’enjeu de ce travail sur soi : « Guérir, ce n’est pas seulement oublier une maladie que la médecine a traitée avec succès, guérir c’est aussi oublier le savoir qu’elle procure sur la cause et l’heure de sa mort. C’est, en somme, oublier la mort pour mieux retrouver le temps dans une durée où l’on ne sait pas quand et de quoi on va mourir. C’est (…) rouvrir de nouveau l’énigme de son terme, de son échéance, que la maladie avait prématurément résolue (10). »
Héloïse Lhérété Sciences humaines juin 2010
Question 1 : Presentez rapidement le sujet et dégagez les idées principales (15 à 20 lignes) 4points
Question 2 : Presentez la problématiques, commentez le passage en gras et donnez un avis personnel sur le sujet. 6 points
Question 3 : Quelles seraient selon vous les répercussions psychologiques d'une maladie physique grave ou chronique ? (Votre réponse sera obligatoirement structurée introduction développement conclusion en 25 à 30 lignes) 7 points
Ca peut paraitre simple mais bon en fait pas tant que ca

Bises à tous!
IDE depuis le 20/02/2015
Mai 2015 = Concours éducation nationale OK
Infirmière scolaire!!!!!
Mai 2015 = Concours éducation nationale OK

Infirmière scolaire!!!!!
Re: Venez raconter votre écrit printemps 211
Ca se rejoint... J'ai passé Vannes donc le même que Rennes apparemment.
Tests psycho : long, je n'ai pas eu le temps de tout faire, il me manquait une vingtaine de questions .... surtt avec le 2eme exercice que je n'avais jamais vu dans mes bouquins d'entrainement ( exo avec les codes secrets ). ERREUR : j'ai cherché à le comprendre au lieu d'avancer de faire tout ce que je savais et revenir dessus. d'ou le manque de temps pour finir et au final ne pas reussir a faire ce sale exercice... Je m'en veux beaucoup^de m'etre fait avoir par le stress...
Culture G : j'ai trouvé le texte intéressant sur les nouvelles coopérations. le contraste et lien individualisme/solidarité. J'ai aimé en espérant ne pas avoir "tapé à côté".
Vivement le 6 mai ...
Il me reste 2 à Nantes ( CHU et CRF ) croisons les doigts
Bon courage à vous toutes
Tests psycho : long, je n'ai pas eu le temps de tout faire, il me manquait une vingtaine de questions .... surtt avec le 2eme exercice que je n'avais jamais vu dans mes bouquins d'entrainement ( exo avec les codes secrets ). ERREUR : j'ai cherché à le comprendre au lieu d'avancer de faire tout ce que je savais et revenir dessus. d'ou le manque de temps pour finir et au final ne pas reussir a faire ce sale exercice... Je m'en veux beaucoup^de m'etre fait avoir par le stress...
Culture G : j'ai trouvé le texte intéressant sur les nouvelles coopérations. le contraste et lien individualisme/solidarité. J'ai aimé en espérant ne pas avoir "tapé à côté".
Vivement le 6 mai ...
Il me reste 2 à Nantes ( CHU et CRF ) croisons les doigts
Bon courage à vous toutes
Re: Venez raconter votre écrit printemps 211
j'ai parlé du facteur climatique :catastrophes naturelles dc forcement épidémies ect....g mis l'exemple du japon....Jen18 a écrit :Les 3 facteurs ?elosau40 a écrit :a l'arrache....non intro et j'ai dévellopé 3 facteurs ensuite conclusion!Jen18 a écrit :Vous avez fait quoi comme plan pour les inégalités de la santé question 3 ?
T'as parlé des maladies tout cela ?
Facteur sociaux culturelle : pas la mm éducation que nous , éducation sexuelle ect dc plus contaminé par le VIH ect....
FActeur économique : pauvreté , précarité dc mal nutrition (carence ....)famine , pas d’accès à l'eau potable pr tous en gros ....
je sais pas si c'est bien mais je savais pas trop sur quoi partir!
ESI 2011-2014 Mont de Marsan
)))

Re: Venez raconter votre écrit printemps 211
J'ai passé celui de Chambéry hier aussi.Ptit bouchon a écrit :Bonjour,
Nouvelle sur le site j'ai passé les concours de Chambéry ce matin et Hauteville vendredi dernier, j'aimerai avoir des impressions de celles et ceux qui ont passé les mêmes concours que moi.
Pour ce matin Chambéry j'ai trouvé le sujet pas trop mal c'était sur la solitude, j'ai parlé de Facebook et autres sites sociaux qui nous détournent des vrais contacts humains, et des retraites où on se retrouve avec moins d'entourage (plus de relations professionnelles, enfants partis..etc), sinon les psychos un peu dur mais j'ai eu le temps de tout faire avec un exercice au pif car je ne trouvait pas la logique
Allez encore deux concours il faut que ça marche !!! Je me réoriente et déménage sur Annecy pour rejoindre mon chéri, je ne veux pas faire ça pour rien !!!
Bon courage à tous et à toutes
J'ai trouvé le sujet plutôt inspirant, il y avait pas mal de choses à dire (fin du système patriarcal et développement de familles mono-parentales, vieillissement de la population, chômage, crise et précarité, le double tranchant d'internet, l'organisation de la population autour des villes, la corrélation entre l'augmentation du niveau de vie et le manque de temps et d'autre trucs que j'ai maintenant oublié). J'ai trouvé que c'était un sujet plutôt sain = pas de piège quoi.
Quant aux tests d'aptitude, je ne les ai pas trouvés trop difficiles, mais pas très agréables...je crois que j'étais un peu stressée car 1e concours et premier exam depuis 12 ans !
Re: Venez raconter votre écrit printemps 211
Bonjour,
Les écrits des écoles d'Auxerre et Sens, se sont déroulés hier AM. Le sujet culture G étant "Santé : les inégalités s'aggravent en France" avec pour sous titres les disparités sociales, la pénibilité au travail, le coût des soins dissuasif pour les plus pauvres et des différences visibles dès l'enfance. Pour les tests psychotechniques, pas de piège en particulier (3 types d'épreuves : logique type master mind ; petits problèmes : conversions, calculs de vitesse, de doses... estimation des coûts et le dernier moins sympas : type planning ici il s'agissait de plannifier le déroulement d'un spectacle selon les dispo des artistes, et type de numéro, enchainement des numéros).
Bref après 4 heures passé là dessus je suis un peu ressortie la tête comme une passoire, mais pas mécontente de moi. Je suis plutôt confiante pour la suite (surtout que c'est le seul concours que je présente en raison de mes contraintes familiales, je peux difficilement m'expatrier). Les résultats seront affichés le 12 avril prochain. D'ici là je continue ma préparation au concours pour l'oral (à la maison et au GRETA d'Auxerre que je conseille fortement car c'est vraiment efficace).
Bon courage à vous pour vos épreuves. En espérant que celles passées se sont bien déroulées et que les prochaines à venir vous inspireront.
N'hésitez pas à me faire part de vos ressentis, c'est toujours plus sympas de partager avec les autres, qui plus est lorsque l'on prépare un concours IFSI.
Soline
Les écrits des écoles d'Auxerre et Sens, se sont déroulés hier AM. Le sujet culture G étant "Santé : les inégalités s'aggravent en France" avec pour sous titres les disparités sociales, la pénibilité au travail, le coût des soins dissuasif pour les plus pauvres et des différences visibles dès l'enfance. Pour les tests psychotechniques, pas de piège en particulier (3 types d'épreuves : logique type master mind ; petits problèmes : conversions, calculs de vitesse, de doses... estimation des coûts et le dernier moins sympas : type planning ici il s'agissait de plannifier le déroulement d'un spectacle selon les dispo des artistes, et type de numéro, enchainement des numéros).
Bref après 4 heures passé là dessus je suis un peu ressortie la tête comme une passoire, mais pas mécontente de moi. Je suis plutôt confiante pour la suite (surtout que c'est le seul concours que je présente en raison de mes contraintes familiales, je peux difficilement m'expatrier). Les résultats seront affichés le 12 avril prochain. D'ici là je continue ma préparation au concours pour l'oral (à la maison et au GRETA d'Auxerre que je conseille fortement car c'est vraiment efficace).
Bon courage à vous pour vos épreuves. En espérant que celles passées se sont bien déroulées et que les prochaines à venir vous inspireront.
N'hésitez pas à me faire part de vos ressentis, c'est toujours plus sympas de partager avec les autres, qui plus est lorsque l'on prépare un concours IFSI.
Soline
- eucalyptus
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Re: Venez raconter votre écrit printemps 211
melachou : moi je suis tombé un peu comme toi en culture generale c'etait : " les nouvelles coopérations " sur internet et le lien social et aussi l'individualisme et la solidarité.
j'ai passé le concours à st brieuc ( 22 ) : bretagne
question 1 : retranscrire l'objet du texte et les raisons du succès des nouvelles coopérations. ( 15 lignes )
question 2 : reformuler les propos de François Sengly qui expliquait le paradoxe de l'individualisme et la solidarité qui n'en est pas vraiment un ! ( 8 lignes )
question 2 : vous direz si la société française reste solidaire ( 45lignes ) et le faire avec vos illustrations et vos propos personnels .
Pour moi ça a été ! Le texte n'etait pas forcément compliqué .... on verra la note
Sinon , pour les tests psychotechniques , je pense m'etre bien debrouillé on saura tout ça le 5 mai !
Il y avait des test su les calculs ( tableau ) , un exo type fromage et morceau , des suites logiques , des conversions , exercice vitesse- temps .... et le test d'organisation : faire la programmation d'une journée pour un cirque avec un tableau a remplir donc sachant qu'il y avait 16 numéros dans le spectacle , il fallait choisir dans la liste des acrobaties , clown , fakir , selon la disponibilité et plusieurs indices , pour moi j'ai eu pile poil 45 minutes pour le faie !! c'est long mine de rien !
PS : merci pour tous vos commentaires précédent qui m'ont beaucoup aidé !!
il fallait juste mettre derriere le code choisi ( 16 lettres ) le nom de le(s) artiste(s) . exemple : A - serge et le numero 2 ds la colonne du fond . tu a fais comment ? Sinon pour le carburant j'ai trouvé un nombre juste genre 22,.. je sais pu trop mais je sais pas si c'est ça !
apple fruity et pabblichonne : pour la question sur eric je me suis fait avoir j'ai mis 9 ! en fait apparemment fallait mettre 0 car la cave de jules n'est pas celle d'eric mais bon moi jai pa trop reflechi non plus
j'ai passé le concours à st brieuc ( 22 ) : bretagne

question 1 : retranscrire l'objet du texte et les raisons du succès des nouvelles coopérations. ( 15 lignes )
question 2 : reformuler les propos de François Sengly qui expliquait le paradoxe de l'individualisme et la solidarité qui n'en est pas vraiment un ! ( 8 lignes )
question 2 : vous direz si la société française reste solidaire ( 45lignes ) et le faire avec vos illustrations et vos propos personnels .
Pour moi ça a été ! Le texte n'etait pas forcément compliqué .... on verra la note
Sinon , pour les tests psychotechniques , je pense m'etre bien debrouillé on saura tout ça le 5 mai !

PS : merci pour tous vos commentaires précédent qui m'ont beaucoup aidé !!

servanne 71 a écrit :bonjour,
comment avez-vous fait pour le planning?
est-ce qu'il fallait mettre juste le nom de l'artiste dans la grille à compléter devant la lettre qui correspond à son numéro présenté?
il fallait juste mettre derriere le code choisi ( 16 lettres ) le nom de le(s) artiste(s) . exemple : A - serge et le numero 2 ds la colonne du fond . tu a fais comment ? Sinon pour le carburant j'ai trouvé un nombre juste genre 22,.. je sais pu trop mais je sais pas si c'est ça !
apple fruity et pabblichonne : pour la question sur eric je me suis fait avoir j'ai mis 9 ! en fait apparemment fallait mettre 0 car la cave de jules n'est pas celle d'eric mais bon moi jai pa trop reflechi non plus

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- Forcené
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Re: Concours printemps 2011
Alors voila j'ai passé le concours de Rennes hier, les tests psycho, baucoup de probleme et d'aptitude numérique, des tests d'bservation que j'ai loupée! et je n'ai pas repondu à 19 questions sur 100! La culture général sur un texte issus de "Ca m'interresse" de décembe 2010 sur le fait qu'internet favorie les liens sociaux avec comme question:
* retranscrire le texte et exposer les idées favorisant le lien social - en une quinzaines de lignes (5 pts)
* reforfuler sans parphraser le citation de Mr Cingly - en deux phrases (3points)
* A partir vos connaissances et d'exemple repodez à la question: Pensez vous que la france est une société de solidarité?
* retranscrire le texte et exposer les idées favorisant le lien social - en une quinzaines de lignes (5 pts)
* reforfuler sans parphraser le citation de Mr Cingly - en deux phrases (3points)
* A partir vos connaissances et d'exemple repodez à la question: Pensez vous que la france est une société de solidarité?
Technicienne de laboratoire en reconversion! ah non ESI........
St Malo - ADMISE
Charleville Mézières - ADMISE
St Malo - ADMISE
Charleville Mézières - ADMISE
Re: Venez raconter votre écrit printemps 211
soso8980 a écrit :Bonjour,
Les écrits des écoles d'Auxerre et Sens, se sont déroulés hier AM. Le sujet culture G étant "Santé : les inégalités s'aggravent en France" avec pour sous titres les disparités sociales, la pénibilité au travail, le coût des soins dissuasif pour les plus pauvres et des différences visibles dès l'enfance. Pour les tests psychotechniques, pas de piège en particulier (3 types d'épreuves : logique type master mind ; petits problèmes : conversions, calculs de vitesse, de doses... estimation des coûts et le dernier moins sympas : type planning ici il s'agissait de plannifier le déroulement d'un spectacle selon les dispo des artistes, et type de numéro, enchainement des numéros).
Bref après 4 heures passé là dessus je suis un peu ressortie la tête comme une passoire, mais pas mécontente de moi. Je suis plutôt confiante pour la suite (surtout que c'est le seul concours que je présente en raison de mes contraintes familiales, je peux difficilement m'expatrier). Les résultats seront affichés le 12 avril prochain. D'ici là je continue ma préparation au concours pour l'oral (à la maison et au GRETA d'Auxerre que je conseille fortement car c'est vraiment efficace).
Bon courage à vous pour vos épreuves. En espérant que celles passées se sont bien déroulées et que les prochaines à venir vous inspireront.
N'hésitez pas à me faire part de vos ressentis, c'est toujours plus sympas de partager avec les autres, qui plus est lorsque l'on prépare un concours IFSI.
Soline
je les passé hier pour Auxerre/Sens.
Il n'y avait pas de mastermind?
Les tests psycho était assez facile, les maths trés abordables, le teste d'organisation était un peu hard car beaucoup de consignes.
La culture générale, comme dit au dessus, Perso moi je me suis planté en beauté. Manque de temps, d'idée et le texte était tellement concis que 'ai eu du mal a reformuler les idées sant faire de plagiat.
Pas eu le temps de relire, il nous sont gruger 15minutes qui on était perdu en début d'épreuves...

Enfin pour ma part, je ne serais pas ESI Auxerroise l'an prochain

ESI 2011 - 2014
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Re: Venez raconter votre écrit printemps 211
Coucou à tous,
Alors moi je l'ai passé à Chartres, pour les tests psychotechniques on avait trois exercices, un premier de logique, d'aptitude verbale... , un deuxième axé sur les maths et un troisième test d'organisation sur l'organisation d'un programme de cirque, où j'ai failli m'arracher les cheveux mais que j'ai finalement réussi à finir ^^
Quant au test de culture générale, il traitait de la réaction des malades et du vécu de la maladie par rapport à l'annonce d'une maladie grave ou chronique (c'est le texte qui a été publié dans les posts précédents
)
Donc au final, je n'arrive pas vraiment à savoir si j'ai bien réussi, je le sens assez bien mais c'est difficile de vraiment savoir :s
Y en a t-il d'autres qui l'ont passé en région centre ??
Alors moi je l'ai passé à Chartres, pour les tests psychotechniques on avait trois exercices, un premier de logique, d'aptitude verbale... , un deuxième axé sur les maths et un troisième test d'organisation sur l'organisation d'un programme de cirque, où j'ai failli m'arracher les cheveux mais que j'ai finalement réussi à finir ^^
Quant au test de culture générale, il traitait de la réaction des malades et du vécu de la maladie par rapport à l'annonce d'une maladie grave ou chronique (c'est le texte qui a été publié dans les posts précédents

Donc au final, je n'arrive pas vraiment à savoir si j'ai bien réussi, je le sens assez bien mais c'est difficile de vraiment savoir :s
Y en a t-il d'autres qui l'ont passé en région centre ??
IDE diplômée juillet 2014