Culture Générale
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Re: Actualités concours 2012
Des médecins-légistes accusés de ne pas recoudre les corps
Une vingtaine de familles reprochent à deux médecins de Lens de ne pas avoir recousu des corps autopsiés. Une affaire qui souligne un vide juridique.
C'est une affaire peu banale qui est examinée jeudi par le tribunal de grande instance de Béthune (Pas-de-Calais). Depuis trois ans, une vingtaine de familles d'anciennes personnes autopsiées dans le cadre d'une procédure juridique attendent de savoir la vérité : leurs proches ont-ils été inhumés de façon décente, conformément à leurs souhaits ?
Dans le cadre de ce dossier, deux médecins légistes accusés d'être à l'origine de dysfonctionnements à l'institut médico-légal de Lens (Pas-de-Calais), fermé fin 2008, sont cités à comparaître devant la chambre correctionnelle du TGI. Ils sont accusés de ne pas avoir recousu plusieurs corps après les avoir autopsiés. Ils comparaissent pour «atteinte à l'intégrité de cadavre, «violation de sépulture»- tous deux passibles d'un an de prison - et «violences ayant entraîné des mutilations» (art. 225-17 et 22-9 du code pénal), passible de dix ans.
Jeudi, l'audience sera «purement formelle» et consacrée au dépôt par les parties civiles d'une somme pour garantir le sérieux de leur démarche, indique l'avocat d'un des médecins mis en cause, Me Vincent Potie. L'affaire, qui n'est selon lui pas recevable, devrait donc être plaidée plus tard.
Vide juridique
La polémique a éclaté en avril 2008, lorsqu'Hervé Louvrié, un habitant d'Haillicourt, découvrait, suite à des révélations d'agents des pompes funèbres, que la dépouille de sa femme, autopsiée après son suicide, n'avait pas été recousue après son passage à la morgue de Lens. Sur des photos qu'il parvient à se procurer, sa femme «a le crâne ouvert (...) de profondes entailles sur les bras, les jambes», se souvient-il pour RTL. «Tous ses organes avaient été mis dans un sachet, le sachet posé au pied du cercueil».
Hervé Louvrié alerte aussitôt les autorités et la presse. Des proches de personnes autopsiés au centre de Lens commencent alors à se poser des questions, eux qui n'ont pas pu voir les corps avant qu'ils soient mis en bière, comme l'autorise pourtant la loi. Les cercueils leur ont en effet été livrés déjà scellés. «On veut la vérité. Savoir si ce sont bien les corps des nôtres, s'ils ont été habillés avec les vêtements qu'on a donnés, explique Anita Gilliot, qui se bat pour la mémoire de son fils. On n'a plus de souffrance. On veut la justice !»
Le dossier s'annonce difficile, les autopsies judiciaires étant peu encadrés en France : aucun dispositif n'étant indiqué dans le code de procédure pénale, chaque morgue agit en effet comme il l'entend. Une position défendue par le parquet, qui a déjà classé sans suite une première plainte des victimes. Car pour le procureur Brigitte Lamy, l'affaire est claire. Dans la Voix du Nord, elle s'explique : «Il n'y a pas d'infraction pénale donc il n'y aura pas d'enquête. L'atteinte à l'intégrité, c'est le fait par exemple de lacérer un cadavre sans raison. Là, les examens ont été faits dans un cadre légal, celui de l'autopsie».
Le figaro
Une vingtaine de familles reprochent à deux médecins de Lens de ne pas avoir recousu des corps autopsiés. Une affaire qui souligne un vide juridique.
C'est une affaire peu banale qui est examinée jeudi par le tribunal de grande instance de Béthune (Pas-de-Calais). Depuis trois ans, une vingtaine de familles d'anciennes personnes autopsiées dans le cadre d'une procédure juridique attendent de savoir la vérité : leurs proches ont-ils été inhumés de façon décente, conformément à leurs souhaits ?
Dans le cadre de ce dossier, deux médecins légistes accusés d'être à l'origine de dysfonctionnements à l'institut médico-légal de Lens (Pas-de-Calais), fermé fin 2008, sont cités à comparaître devant la chambre correctionnelle du TGI. Ils sont accusés de ne pas avoir recousu plusieurs corps après les avoir autopsiés. Ils comparaissent pour «atteinte à l'intégrité de cadavre, «violation de sépulture»- tous deux passibles d'un an de prison - et «violences ayant entraîné des mutilations» (art. 225-17 et 22-9 du code pénal), passible de dix ans.
Jeudi, l'audience sera «purement formelle» et consacrée au dépôt par les parties civiles d'une somme pour garantir le sérieux de leur démarche, indique l'avocat d'un des médecins mis en cause, Me Vincent Potie. L'affaire, qui n'est selon lui pas recevable, devrait donc être plaidée plus tard.
Vide juridique
La polémique a éclaté en avril 2008, lorsqu'Hervé Louvrié, un habitant d'Haillicourt, découvrait, suite à des révélations d'agents des pompes funèbres, que la dépouille de sa femme, autopsiée après son suicide, n'avait pas été recousue après son passage à la morgue de Lens. Sur des photos qu'il parvient à se procurer, sa femme «a le crâne ouvert (...) de profondes entailles sur les bras, les jambes», se souvient-il pour RTL. «Tous ses organes avaient été mis dans un sachet, le sachet posé au pied du cercueil».
Hervé Louvrié alerte aussitôt les autorités et la presse. Des proches de personnes autopsiés au centre de Lens commencent alors à se poser des questions, eux qui n'ont pas pu voir les corps avant qu'ils soient mis en bière, comme l'autorise pourtant la loi. Les cercueils leur ont en effet été livrés déjà scellés. «On veut la vérité. Savoir si ce sont bien les corps des nôtres, s'ils ont été habillés avec les vêtements qu'on a donnés, explique Anita Gilliot, qui se bat pour la mémoire de son fils. On n'a plus de souffrance. On veut la justice !»
Le dossier s'annonce difficile, les autopsies judiciaires étant peu encadrés en France : aucun dispositif n'étant indiqué dans le code de procédure pénale, chaque morgue agit en effet comme il l'entend. Une position défendue par le parquet, qui a déjà classé sans suite une première plainte des victimes. Car pour le procureur Brigitte Lamy, l'affaire est claire. Dans la Voix du Nord, elle s'explique : «Il n'y a pas d'infraction pénale donc il n'y aura pas d'enquête. L'atteinte à l'intégrité, c'est le fait par exemple de lacérer un cadavre sans raison. Là, les examens ont été faits dans un cadre légal, celui de l'autopsie».
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Re: Actualités concours 2012
Concurrence : les cliniques portent plainte contre l'Etat
Une branche de la Fédération de l'hospitalisation privée a déposé une plainte auprès de la commission européenne. Elle reproche à l'Etat français de pratiquer «un financement discriminatoire» au détriment du privé.
C'est ni plus ni moins au financement de l'hôpital public que s'attaquent certaines cliniques privées. La branche médecine, chirurgie et obstétrique de la fédération hospitalière privée (FHP) a annoncé ce jeudi avoir porté plainte contre l'État auprès de la Commission européenne. Elle l'accuse de pratiquer «un financement discriminatoire» à l'encontre des hôpitaux et cliniques du secteur privé.
Selon les calculs de la FHP, un même acte est en effet rémunéré par la Sécurité sociale en moyenne 26% plus cher à l'hôpital public. Selon un exemple cité dans son communiqué, un hôpital public perçoit 6457 euros pour la pose d'une prothèse de hanche, quand la clinique n'obtient que 5492 euros. «La distorsion que nous dénonçons se chiffre en milliards d'euros», s'indigne Lamine Gharbi, le délégué général de la FHP. Une inégalité qui mettrait la santé financière des cliniques privées en péril. La FHP souligne par ailleurs, de façon quelque peu retorse, qu'à l'heure où le gouvernement cherche à faire des économies, il serait possible de taper dans la manne de l'hôpital public.
Pour autant, la plainte de la FHP n'a guère de chances d'aboutir. Si les traités européens obligent les États à veiller à ne pas introduire de distorsions de concurrence entre le public et le privé, ils prévoient aussi des exceptions. Notamment, lorsqu'un établissement public prend à sa charge ce que l'Union européenne appelle un service d'intérêt économique général (SIEG), c'est-à-dire peu ou prou l'équivalent d'un service public. Dans ce cas, les contraintes générées par cette obligation doivent être financièrement compensées. Ce qui justifie, selon l'Etat, les tarifs plus élevés et les aides obtenues par l'hôpital public. «La crédibilité de cette plainte est faible. Clairement, l'hôpital public assure des missions que n'assurent pas les cliniques», estime Florent Prunet, avocat associé du cabinet Jeantet.
Convergence tarifaire
A ce titre, la Fédération hospitalière de France (FHF), qui représente l'hôpital public, ne manque pas de souligner la «mauvaise foi» de la FHP. «Il y a effectivement un écart de tarification. Mais il est justifié par les missions qu'assume l'hôpital public. Le champ de son activité est général, alors que les cliniques ont une stratégie de niche : elles se cantonnent souvent aux opérations les plus rémunératrices», relève-t-on à la FHF. Selon elle, la FHP compare par ailleurs ce qui n'est pas comparable. «Le public n'est pas le même : les patients de l'hôpital public sont plus âgés, plus pauvres et arrivent plus souvent par les urgences que dans les cliniques. Résultat, ils restent souvent plus longtemps, et coûtent plus cher», explique-t-on encore.
La mission de service public dont est investi l'hôpital ne justifie pas pour autant que l'Etat lui octroie un chèque en blanc. Une «convergence tarifaire» est d'ailleurs à l'ordre du jour depuis 2005, pour rapprocher les tarifs pratiqués dans l'hôpital privé et l'hôpital public, et évaluer le juste montant des aides (appelées Migac pour mission d'intérêt général et aide à la contractualisation) à verser à l'hôpital. Tout l'enjeu de ces négociations est de parvenir à quantifier et à chiffrer le coût des missions de service public qu'il assure. Une tâche si difficile que l'horizon de cette convergence tarifaire a été reporté en 2009, sous l'impulsion de Roselyne Bachelot, à 2018.
Le figaro
Une branche de la Fédération de l'hospitalisation privée a déposé une plainte auprès de la commission européenne. Elle reproche à l'Etat français de pratiquer «un financement discriminatoire» au détriment du privé.
C'est ni plus ni moins au financement de l'hôpital public que s'attaquent certaines cliniques privées. La branche médecine, chirurgie et obstétrique de la fédération hospitalière privée (FHP) a annoncé ce jeudi avoir porté plainte contre l'État auprès de la Commission européenne. Elle l'accuse de pratiquer «un financement discriminatoire» à l'encontre des hôpitaux et cliniques du secteur privé.
Selon les calculs de la FHP, un même acte est en effet rémunéré par la Sécurité sociale en moyenne 26% plus cher à l'hôpital public. Selon un exemple cité dans son communiqué, un hôpital public perçoit 6457 euros pour la pose d'une prothèse de hanche, quand la clinique n'obtient que 5492 euros. «La distorsion que nous dénonçons se chiffre en milliards d'euros», s'indigne Lamine Gharbi, le délégué général de la FHP. Une inégalité qui mettrait la santé financière des cliniques privées en péril. La FHP souligne par ailleurs, de façon quelque peu retorse, qu'à l'heure où le gouvernement cherche à faire des économies, il serait possible de taper dans la manne de l'hôpital public.
Pour autant, la plainte de la FHP n'a guère de chances d'aboutir. Si les traités européens obligent les États à veiller à ne pas introduire de distorsions de concurrence entre le public et le privé, ils prévoient aussi des exceptions. Notamment, lorsqu'un établissement public prend à sa charge ce que l'Union européenne appelle un service d'intérêt économique général (SIEG), c'est-à-dire peu ou prou l'équivalent d'un service public. Dans ce cas, les contraintes générées par cette obligation doivent être financièrement compensées. Ce qui justifie, selon l'Etat, les tarifs plus élevés et les aides obtenues par l'hôpital public. «La crédibilité de cette plainte est faible. Clairement, l'hôpital public assure des missions que n'assurent pas les cliniques», estime Florent Prunet, avocat associé du cabinet Jeantet.
Convergence tarifaire
A ce titre, la Fédération hospitalière de France (FHF), qui représente l'hôpital public, ne manque pas de souligner la «mauvaise foi» de la FHP. «Il y a effectivement un écart de tarification. Mais il est justifié par les missions qu'assume l'hôpital public. Le champ de son activité est général, alors que les cliniques ont une stratégie de niche : elles se cantonnent souvent aux opérations les plus rémunératrices», relève-t-on à la FHF. Selon elle, la FHP compare par ailleurs ce qui n'est pas comparable. «Le public n'est pas le même : les patients de l'hôpital public sont plus âgés, plus pauvres et arrivent plus souvent par les urgences que dans les cliniques. Résultat, ils restent souvent plus longtemps, et coûtent plus cher», explique-t-on encore.
La mission de service public dont est investi l'hôpital ne justifie pas pour autant que l'Etat lui octroie un chèque en blanc. Une «convergence tarifaire» est d'ailleurs à l'ordre du jour depuis 2005, pour rapprocher les tarifs pratiqués dans l'hôpital privé et l'hôpital public, et évaluer le juste montant des aides (appelées Migac pour mission d'intérêt général et aide à la contractualisation) à verser à l'hôpital. Tout l'enjeu de ces négociations est de parvenir à quantifier et à chiffrer le coût des missions de service public qu'il assure. Une tâche si difficile que l'horizon de cette convergence tarifaire a été reporté en 2009, sous l'impulsion de Roselyne Bachelot, à 2018.
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Re: Actualités concours 2012
Le Parlement alourdit la taxation des complémentaires santé
L'alourdissement controversé de la taxation sur les complémentaires santé, mutuelles ou assureurs privés, a été adopté définitivement jeudi 8 septembre par le Parlement après un ultime vote du Sénat. Le Sénat a adopté par 170 voix contre 154, sans la modifier, cette mesure du plan de rigueur gouvernemental annoncé le 24 août, qui avait déjà été votée mercredi par l'Assemblée nationale.
Le taux de la Taxe spéciale sur les conventions d'assurance (TSCA) sur les "contrats solidaires et responsables", qui représentent désormais la quasi-totalité des contrats proposés par les complémentaires santé, va passer de 3,5 % à 7 %.
La gauche a vivement combattu cette disposition dont elle a demandé en vain la suppression et qu'elle considère comme "injuste" et "pénalisante pour les classes populaires et moyennes". Seule voix discordante à droite, le sénateur UMP Alain Fouché, qui avait déposé un amendement demandant l'annulation de cette hausse, l'a finalement retiré.
Cette taxation accrue va rapporter à l'Etat 100 millions d'euros dès 2011 puis 1,1 milliard en année pleine, selon les calculs du gouvernement. Le gouvernement fait valoir que ces contrats, qui bénéficiaient jusqu'ici d'une fiscalité dérogatoire, doivent être plus lourdement taxés puisqu'ils représentent environ 90 % des contrats santé.
Le monde
L'alourdissement controversé de la taxation sur les complémentaires santé, mutuelles ou assureurs privés, a été adopté définitivement jeudi 8 septembre par le Parlement après un ultime vote du Sénat. Le Sénat a adopté par 170 voix contre 154, sans la modifier, cette mesure du plan de rigueur gouvernemental annoncé le 24 août, qui avait déjà été votée mercredi par l'Assemblée nationale.
Le taux de la Taxe spéciale sur les conventions d'assurance (TSCA) sur les "contrats solidaires et responsables", qui représentent désormais la quasi-totalité des contrats proposés par les complémentaires santé, va passer de 3,5 % à 7 %.
La gauche a vivement combattu cette disposition dont elle a demandé en vain la suppression et qu'elle considère comme "injuste" et "pénalisante pour les classes populaires et moyennes". Seule voix discordante à droite, le sénateur UMP Alain Fouché, qui avait déposé un amendement demandant l'annulation de cette hausse, l'a finalement retiré.
Cette taxation accrue va rapporter à l'Etat 100 millions d'euros dès 2011 puis 1,1 milliard en année pleine, selon les calculs du gouvernement. Le gouvernement fait valoir que ces contrats, qui bénéficiaient jusqu'ici d'une fiscalité dérogatoire, doivent être plus lourdement taxés puisqu'ils représentent environ 90 % des contrats santé.
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Re: Actualités concours 2012
Désolée mais je pourrais pas trop te conseiller à ce sujet....de debella le 09 Sep 2011 07:03
Merci beaucoup Angelico pour tes conseils !!!!!
Je te souhaite de réussir ainsi qu'a tout le monde d'ailleurs !!!
C'est vraiment super de s'entraider !!
Vous pensez qu'il faut faire plus ou moins toutes "les fiches" et faire des annales et apprendre a synthétiser et argumenter après ? Ou vous essayer de tout faire en même temps ?

Mais je pense qu'on peut déjà faire comme Jen nous avait conseillée: trouver les thémes principaux, la problèmatique, le plan si tu peux...
Avis à ceux qui ont déjà passés le concours!! Et qui ont bien réussi leur CG. Ce serait sympa à vous si vous pouviez nous dire quels questions pourraient être posés sur tel ou tel article et nous dire ce qu'on aurait pu mettre dessus...
Je pense que ce serait un bon moyen pour nous d'apprendre, moins rébarbatif que faire les concours, regarder la correction... Et ça nous permettrait de commencer en douceur en proposant des idées pour commencer puis faire un plan...
Enfin je sais pas si vous comprenez ce que je veux dire...

Dans la limite de temps que vous aurez à nous accorder et au fur et à mesure on pourrait mettre nos questions... ça deviendrait un échange des deux côtés

J'espère que vous aurez compris mon idée...

Et merci d'avance

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Re: Actualités concours 2012
Même si j'ai eu 18.5 à ma culture G, j'ai eu 12 ou 11 à mes autres concours, comme quoi les concours sont complètement différents. Par contre, les tests psychotechniques sont mon gros point faible...
En fait, pour ceux qui n'ont jamais passé de concours, comme je l'ai dit précédemment la 1ère question c'est souvent :
- Exposer les principales idées du texte ; votre réponse doit être structurée et ne pas dépasser une quinzaine de lignes. Commenter les données statistiques de blabla..
- Présentez le thème du sujet abordé par le texte. Dégagez la problématique par rapport au contexte général.
Les 2èmes questions ça peut être aussi :
- Soit une question sur la problématique du sujet
- Soit commenter un passage du texte en donnant un avis personnel sur le sujet
- Quelque fois, notamment cette année, il y avait des questions ou où disait ''donner votre point de vue en tant que futur ...''
Les 3èmes questions :
- Là ce sont des questions d'argumentation qui demande des connaissances personnelles et de la réflexion...
De ce genre : ''A partir de votre expérience personnelle et de vos connaissances, vous analyserez ce que vous inspire cet article : analysez les avantages et les risques liés à l'utilisation du réseau social Facebook''.
Après pour apprendre votre culture G, je vous conseille de faire des fiches selon l'actualité sanitaire et sociale en ce moment...
Moi c'est comme ça que j'ai travaillé ma culture G. D'ailleurs j'avais cette année deux gros classeurs de culture G avec toute ma revue de presse.
Après, l'idéal quand vous avez tout assimilé, c'est d'acheter des annales de cette année, et de prendre un texte et de faire les 3 questions...
N'hésitez pas si vous avez d'autres questions!
En fait, pour ceux qui n'ont jamais passé de concours, comme je l'ai dit précédemment la 1ère question c'est souvent :
- Exposer les principales idées du texte ; votre réponse doit être structurée et ne pas dépasser une quinzaine de lignes. Commenter les données statistiques de blabla..
- Présentez le thème du sujet abordé par le texte. Dégagez la problématique par rapport au contexte général.
Les 2èmes questions ça peut être aussi :
- Soit une question sur la problématique du sujet
- Soit commenter un passage du texte en donnant un avis personnel sur le sujet
- Quelque fois, notamment cette année, il y avait des questions ou où disait ''donner votre point de vue en tant que futur ...''
Les 3èmes questions :
- Là ce sont des questions d'argumentation qui demande des connaissances personnelles et de la réflexion...
De ce genre : ''A partir de votre expérience personnelle et de vos connaissances, vous analyserez ce que vous inspire cet article : analysez les avantages et les risques liés à l'utilisation du réseau social Facebook''.
Après pour apprendre votre culture G, je vous conseille de faire des fiches selon l'actualité sanitaire et sociale en ce moment...
Moi c'est comme ça que j'ai travaillé ma culture G. D'ailleurs j'avais cette année deux gros classeurs de culture G avec toute ma revue de presse.
Après, l'idéal quand vous avez tout assimilé, c'est d'acheter des annales de cette année, et de prendre un texte et de faire les 3 questions...
N'hésitez pas si vous avez d'autres questions!
Dernière modification par Jen18 le 09 sept. 2011 12:06, modifié 1 fois.

S1 : EHPAD
S2 : Long séjour
Re: Actualités concours 2012
Les jeunes en manque chronique de sommeil
Le Point.fr - Publié le 07/09/2011 à 18:42 - Modifié le 07/09/2011 à 18:59
Non seulement la fatigue n'aide pas à bien travailler à l'école, mais en plus elle est néfaste pour la santé.
Les adolescents de 15 ans dorment en moyenne une heure et demie de moins que les jeunes de 11 ans. Et cela, chaque nuit durant les semaines de période scolaire. Inutile de préciser que, dans ces conditions, la fatigue s'accumule. C'est ce que révèlent les premiers résultats sur le sommeil de l'enquête internationale HBSC (Health Behaviour in School-aged Children) menée par l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé, le service médical du rectorat de Toulouse et l'Institut national du sommeil et de la vigilance auprès de 9 251 collégiens âgés de 11 à 15 ans.
C'est la première année que l'enquête HBSC se penche sur le sommeil en France, rappelle le professeur Damien Léger (responsable du Centre du sommeil et de la vigilance à l'Hôtel-Dieu à Paris). Et le résultat est très instructif : entre 11 et 15 ans, les adolescents perdent chaque année en moyenne 20 à 30 minutes de sommeil quotidien. Par ailleurs, la réduction du temps passé à dormir par les adolescents les veilles de jours de classe est compensée par des nuits plus longues lorsqu'il n'y a pas de cours le lendemain. Ce phénomène concerne 16 % des jeunes de 11 ans et plus de 40 % de 15 ans. L'écart entre le temps moyen de sommeil avec ou sans classe le lendemain tend à augmenter avec l'âge des adolescents. Il passe de 51 minutes à 11 ans à 1 h 49 à 15 ans.
L'idéal serait de dormir entre 8 et 9 heures par nuit
"L'adolescence est un grand bouleversement et le sommeil n'y échappe pas", rappelle le spécialiste parisien. "On retrouve le plus souvent une tendance au décalage des horaires, qui est sans doute d'origine biologique et sociale. Le soir, l'ado a tout son temps, il écoute de la musique, téléphone à ses amis, surfe sur Internet tout en essayant de préparer son travail pour le lendemain." Toutes les études réalisées au cours des dernières années montrent que les ados sont ceux qui se couchent le plus tard dans la famille, et comme ils sont obligés de se lever tôt, ils sont en privation chronique de sommeil sévère tout au long de la semaine. Le matin, leur lever est souvent difficile et ils n'émergent qu'à des heures tardives.
La dette de sommeil a des conséquences sur les résultats scolaires, le risque d'accident et l'équilibre psychologique (avec une fréquence accrue des épisodes d'anxiété et de dépression). "Mais les nouvelles études indiquent aussi l'existence d'un lien direct, chez les jeunes, entre le manque de sommeil chronique, le surpoids, le diabète et l'hypertension artérielle. "Le fait de trop peu dormir a donc des retentissements métaboliques importants", souligne le professeur Léger. "Mais la prise de poids peut aussi être expliquée par un effet comportemental : moins on dort, plus on est fatigué, moins on a envie de faire du sport et plus on a tendance à grignoter."
Globalement, les jeunes de 11 à 15 ans ont besoin d'un temps de sommeil plus long que les adultes. L'idéal pour eux serait de dormir entre 8 et 9 heures par nuit. Chez les adolescents, le seuil de privation chronique de sommeil est considéré comme sévère à partir de 7 heures. Si une telle situation est très rare avant 13 ans, elle concerne un quart des jeunes de 15 ans. Un chiffre qui devrait faire réfléchir - et prendre de bonnes résolutions ? - en cette période de rentrée des classes.
Le Point.fr - Publié le 07/09/2011 à 18:42 - Modifié le 07/09/2011 à 18:59
Non seulement la fatigue n'aide pas à bien travailler à l'école, mais en plus elle est néfaste pour la santé.
Les adolescents de 15 ans dorment en moyenne une heure et demie de moins que les jeunes de 11 ans. Et cela, chaque nuit durant les semaines de période scolaire. Inutile de préciser que, dans ces conditions, la fatigue s'accumule. C'est ce que révèlent les premiers résultats sur le sommeil de l'enquête internationale HBSC (Health Behaviour in School-aged Children) menée par l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé, le service médical du rectorat de Toulouse et l'Institut national du sommeil et de la vigilance auprès de 9 251 collégiens âgés de 11 à 15 ans.
C'est la première année que l'enquête HBSC se penche sur le sommeil en France, rappelle le professeur Damien Léger (responsable du Centre du sommeil et de la vigilance à l'Hôtel-Dieu à Paris). Et le résultat est très instructif : entre 11 et 15 ans, les adolescents perdent chaque année en moyenne 20 à 30 minutes de sommeil quotidien. Par ailleurs, la réduction du temps passé à dormir par les adolescents les veilles de jours de classe est compensée par des nuits plus longues lorsqu'il n'y a pas de cours le lendemain. Ce phénomène concerne 16 % des jeunes de 11 ans et plus de 40 % de 15 ans. L'écart entre le temps moyen de sommeil avec ou sans classe le lendemain tend à augmenter avec l'âge des adolescents. Il passe de 51 minutes à 11 ans à 1 h 49 à 15 ans.
L'idéal serait de dormir entre 8 et 9 heures par nuit
"L'adolescence est un grand bouleversement et le sommeil n'y échappe pas", rappelle le spécialiste parisien. "On retrouve le plus souvent une tendance au décalage des horaires, qui est sans doute d'origine biologique et sociale. Le soir, l'ado a tout son temps, il écoute de la musique, téléphone à ses amis, surfe sur Internet tout en essayant de préparer son travail pour le lendemain." Toutes les études réalisées au cours des dernières années montrent que les ados sont ceux qui se couchent le plus tard dans la famille, et comme ils sont obligés de se lever tôt, ils sont en privation chronique de sommeil sévère tout au long de la semaine. Le matin, leur lever est souvent difficile et ils n'émergent qu'à des heures tardives.
La dette de sommeil a des conséquences sur les résultats scolaires, le risque d'accident et l'équilibre psychologique (avec une fréquence accrue des épisodes d'anxiété et de dépression). "Mais les nouvelles études indiquent aussi l'existence d'un lien direct, chez les jeunes, entre le manque de sommeil chronique, le surpoids, le diabète et l'hypertension artérielle. "Le fait de trop peu dormir a donc des retentissements métaboliques importants", souligne le professeur Léger. "Mais la prise de poids peut aussi être expliquée par un effet comportemental : moins on dort, plus on est fatigué, moins on a envie de faire du sport et plus on a tendance à grignoter."
Globalement, les jeunes de 11 à 15 ans ont besoin d'un temps de sommeil plus long que les adultes. L'idéal pour eux serait de dormir entre 8 et 9 heures par nuit. Chez les adolescents, le seuil de privation chronique de sommeil est considéré comme sévère à partir de 7 heures. Si une telle situation est très rare avant 13 ans, elle concerne un quart des jeunes de 15 ans. Un chiffre qui devrait faire réfléchir - et prendre de bonnes résolutions ? - en cette période de rentrée des classes.
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Pour vous aider dans vos révisions
www.cartesmentales-esi.e-monsite.com
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Re: Entraînement culture générale 2012
Sur un des liens je viens de trouver quelque chose à rajouter pour notre fiche sur le sida:
-Interdiction d'entrer dans treize pays même en tant que touriste pour les patients HIV+ : Arabie saoudite, Arménie, Brunei, Corée du Sud, Irak, Moldavie, Qatar, Russie, Soudan, Canada, Libye. Aux États-Unis, l'interdiction a été levée par l'Administration Obama en janvier 2010. La Chine a procédé de même en avril 2010.
Je ne connaissais pas du tout ce problème!!
-Interdiction d'entrer dans treize pays même en tant que touriste pour les patients HIV+ : Arabie saoudite, Arménie, Brunei, Corée du Sud, Irak, Moldavie, Qatar, Russie, Soudan, Canada, Libye. Aux États-Unis, l'interdiction a été levée par l'Administration Obama en janvier 2010. La Chine a procédé de même en avril 2010.
Je ne connaissais pas du tout ce problème!!
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Re: Actualités concours 2012
bonjour
je voulais simplement savoir s'il fallait faire des fiches sur l'actualité par exemple sur ce texte
Euthanasie: le Conseil de l'Ordre rappelle les termes de la loi
BAYONNE — Le conseil départemental de l'Ordre des médecins des Pyrénées-Atlantiques, dont dépend l'urgentiste de Bayonne soupçonné d'euthanasie active, a tenu mercredi à "rappeler avec force" les termes de la loi sur la fin de vie.
"Nous ne pouvons que rappeler avec force les termes de la loi, en l'occurrence la loi Léonetti du 22 avril 2005. Chacun peut et doit la lire", indique le conseil départemental dans un communiqué publié deux semaines après la mise en examen de Nicolas Bonnemaison, le 12 août à Bayonne.
Le conseil rappelle "l'obligation absolue de soulager toujours la douleur", mais souligne que "nous en avons tous les moyens sans porter atteinte à la vie même du patient".
"Toute décision de l'abréger, plus gravement encore si ce geste est solitaire, sans réflexion collégiale et concertation avec la famille, relève d'un homicide volontaire", indique ce texte.
Dans un entretien accordé mercredi à Sud-Ouest, le président du conseil départemental, Marc Renoux, fait part de l'intention de cet organisme de prendre contact avec Nicolas Bonnemaison avant de "décider de porter, ou non, plainte devant la chambre disciplinaire du conseil régional de l'Ordre des médecins, à Bordeaux".
La cour d'appel de Pau examinera le 6 septembre l'appel du parquet de Bayonne concernant la remise en liberté de ce médecin urgentiste qui est soupçonné d'avoir abrégé la fin de vie de patients âgés.
Source : AFP
est ce que je dois faire une fiche
si oui comment la faire merci
je voulais simplement savoir s'il fallait faire des fiches sur l'actualité par exemple sur ce texte
Euthanasie: le Conseil de l'Ordre rappelle les termes de la loi
BAYONNE — Le conseil départemental de l'Ordre des médecins des Pyrénées-Atlantiques, dont dépend l'urgentiste de Bayonne soupçonné d'euthanasie active, a tenu mercredi à "rappeler avec force" les termes de la loi sur la fin de vie.
"Nous ne pouvons que rappeler avec force les termes de la loi, en l'occurrence la loi Léonetti du 22 avril 2005. Chacun peut et doit la lire", indique le conseil départemental dans un communiqué publié deux semaines après la mise en examen de Nicolas Bonnemaison, le 12 août à Bayonne.
Le conseil rappelle "l'obligation absolue de soulager toujours la douleur", mais souligne que "nous en avons tous les moyens sans porter atteinte à la vie même du patient".
"Toute décision de l'abréger, plus gravement encore si ce geste est solitaire, sans réflexion collégiale et concertation avec la famille, relève d'un homicide volontaire", indique ce texte.
Dans un entretien accordé mercredi à Sud-Ouest, le président du conseil départemental, Marc Renoux, fait part de l'intention de cet organisme de prendre contact avec Nicolas Bonnemaison avant de "décider de porter, ou non, plainte devant la chambre disciplinaire du conseil régional de l'Ordre des médecins, à Bordeaux".
La cour d'appel de Pau examinera le 6 septembre l'appel du parquet de Bayonne concernant la remise en liberté de ce médecin urgentiste qui est soupçonné d'avoir abrégé la fin de vie de patients âgés.
Source : AFP
est ce que je dois faire une fiche
si oui comment la faire merci

on y va pour 2012 INCHALLAH que ce sera la bonne annee
On y croit a fond!!!
On y croit a fond!!!
Re: Actualités concours 2012
JE sais pas quoi te repondre minouch.
JE pense faire une fiche sur l'euthanasie.
LEs différentes definitions ; les grandes actualités : L'affaire de Bayonne (2011), Vincent hembert (2003), chantal Sébire (2008)
Les pours ou contre l'euthanasie...
Je pense qu'en ayant répondu a ces questions la, ca te fera une bonne problematique ...Enfin je pense, si d'autres personnes a des conseils, ils sont les bienvenues

JE pense faire une fiche sur l'euthanasie.
LEs différentes definitions ; les grandes actualités : L'affaire de Bayonne (2011), Vincent hembert (2003), chantal Sébire (2008)
Les pours ou contre l'euthanasie...
Je pense qu'en ayant répondu a ces questions la, ca te fera une bonne problematique ...Enfin je pense, si d'autres personnes a des conseils, ils sont les bienvenues

INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Memo, je serai pour, mais je sais pas trop comment mis prendre ...
JE vais tester sur un de tes sujets

JE vais tester sur un de tes sujets

INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
merci debella de m'avoir rep 

on y va pour 2012 INCHALLAH que ce sera la bonne annee
On y croit a fond!!!
On y croit a fond!!!
Re: Actualités concours 2012
minouch23 a écrit :merci debella de m'avoir rep
Pour l'actualité, il ne faut pas faire de fiches, par contre, ça peut venir completer tes fiches sur les grands themes.
Enfin, c'est mon avis, à toi de voir
ESI 2012/2015
Pour vous aider dans vos révisions
www.cartesmentales-esi.e-monsite.com
Pour vous aider dans vos révisions
www.cartesmentales-esi.e-monsite.com
Re: Actualités concours 2012
Alors j'ai pris le sujet : Les jeunes en manque chronique de sommeil
C'est celui qui m'inspirait le plus
Enfin qui me paraissait le plus simple
Donc j'ai pris une feuille de brouillon, j'ai résumé ...Et ensuite j'ai synthétisé le texte...
Vous me direz ce que vous en pensez !!
Brouillon :
Fatigue +++ : dim des resultats scolaire, néfaste pour la santé
LEs 15 ans dorment 1h30 de moins que les 13 ans
Reduction du tps de sommeil la veille des classes ; Augmentation les WE
16% des 11ans et 40 % des 15 ans
Privation extreme en dessous 7h
Il faut 8 a 9h de sommeil pour un ados, pour etre en forme
Causes : Musique, internet, jeux vidéos, télé, internet, téléphone
Csqces : Diminution des resultats scolaires, accidents et déséquilibre psychologique (anxiété, despression) Surpoids, diabete, HTA
Synthèse :
Les adolescents de 11 a 15 ans, dorment de moins en moins. Sont concernés 11% des 11 ans et 40% des 15 ans.
On constate que leurs nuits sont de plus en plus courtes, privilégiées par leur passe-temps, la télévision, les jeux vidéos, la musique, internet et ses réseaux sociaux, ou les jeunes peuvent tchatter ensembles, le temps qu'ils veulent, ainsi que sur leurs téléphones mobiles.
Par conséquent, on y observe une augmentation des notes scolaires, la fatigue peut augmenter le risque d'accidents et peut provoquer un déséquilibre psychologique. A tout cela et observé un manque d'activité physique qui peut se répercuter sur l'enfant par un surpoids, du diabète, de l'Hypertension artérielle, dus à la tentation du grignotage quand l'on passe du temps devant son écran de télévision et de son ordinateur.
Pour que nos adolescents soit en parfaite santé et en pleine forme, les médecins leurs conseillent de dormir entre 8 et 9h par nuit, car a leur age, ils sont en pleine croissance et on besoin de beaucoup d'énergie pour faire face a leur développement grandissant.
Voila ma contribution
Qu'est ce que vous en pensez ?? 
C'est celui qui m'inspirait le plus


Donc j'ai pris une feuille de brouillon, j'ai résumé ...Et ensuite j'ai synthétisé le texte...
Vous me direz ce que vous en pensez !!

Brouillon :
Fatigue +++ : dim des resultats scolaire, néfaste pour la santé
LEs 15 ans dorment 1h30 de moins que les 13 ans
Reduction du tps de sommeil la veille des classes ; Augmentation les WE
16% des 11ans et 40 % des 15 ans
Privation extreme en dessous 7h
Il faut 8 a 9h de sommeil pour un ados, pour etre en forme
Causes : Musique, internet, jeux vidéos, télé, internet, téléphone
Csqces : Diminution des resultats scolaires, accidents et déséquilibre psychologique (anxiété, despression) Surpoids, diabete, HTA
Synthèse :
Les adolescents de 11 a 15 ans, dorment de moins en moins. Sont concernés 11% des 11 ans et 40% des 15 ans.
On constate que leurs nuits sont de plus en plus courtes, privilégiées par leur passe-temps, la télévision, les jeux vidéos, la musique, internet et ses réseaux sociaux, ou les jeunes peuvent tchatter ensembles, le temps qu'ils veulent, ainsi que sur leurs téléphones mobiles.
Par conséquent, on y observe une augmentation des notes scolaires, la fatigue peut augmenter le risque d'accidents et peut provoquer un déséquilibre psychologique. A tout cela et observé un manque d'activité physique qui peut se répercuter sur l'enfant par un surpoids, du diabète, de l'Hypertension artérielle, dus à la tentation du grignotage quand l'on passe du temps devant son écran de télévision et de son ordinateur.
Pour que nos adolescents soit en parfaite santé et en pleine forme, les médecins leurs conseillent de dormir entre 8 et 9h par nuit, car a leur age, ils sont en pleine croissance et on besoin de beaucoup d'énergie pour faire face a leur développement grandissant.
Voila ma contribution


INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Minouch, par exemple ils ont beaucoup parlé des personnes contaminées par le botulisme.
Du coup je vais pas faire une fiche sur l'affaire, mais sur "le botulisme"
Ils en ont bien parlé au magazine de la santé, du coup je vais me faire une récap, en revisionnant l'émission
Du coup je vais pas faire une fiche sur l'affaire, mais sur "le botulisme"
Ils en ont bien parlé au magazine de la santé, du coup je vais me faire une récap, en revisionnant l'émission

INFIRMIERE D.E