Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités concours 2012
L'OCDE alerte contre le chômage des jeunes et le chômage de longue durée
Le chômage risque de rester "durablement élevé" dans la zone OCDE et la forte augmentation du chômage des jeunes et de longue durée est particulièrement alarmante, a prévenu jeudi 15 septembre l'OCDE, qui a appelé les gouvernements à prendre des mesures ciblées contre ce fléau.
"Le chômage demeure obstinément élevé dans la zone OCDE et les dernières projections économiques laissent à penser que la création d'emplois devrait rester très faible à court terme", relève l'Organisation de coopération et de développement économiques dans son rapport sur les perspectives de l'emploi en 2011, publié jeudi.
"LE VISAGE HUMAIN DE LA CRISE"
Après avoir atteint un pic du fait de la crise – à 8,7 % fin 2009, contre 5,7 % début 2008 –, le taux de chômage n'a que "modestement reculé" dans la zone OCDE, s'inscrivant en juillet dernier à 8,2 %. A la mi-2011, le chômage touchait un peu plus de 44 millions de personnes dans l'ensemble des 34 pays de l'OCDE, un niveau supérieur de plus de 13 millions aux chiffres enregistrés juste avant la crise.
"Le risque que le taux de chômage ne s'installe durablement à un niveau élevé s'est accru parallèlement à la forte augmentation du chômage de longue durée", prévient l'Organisation. "Il s'agit là du visage humain de la crise", a souligné au cours d'une conférence de presse le secrétaire général de l'OCDE, Angel Gurria, qui a mis en exergue deux problèmes majeurs : "le chômage des jeunes et le chômage de longue durée" qui "accroît fortement le risque de pauvreté".
Le monde
Le chômage risque de rester "durablement élevé" dans la zone OCDE et la forte augmentation du chômage des jeunes et de longue durée est particulièrement alarmante, a prévenu jeudi 15 septembre l'OCDE, qui a appelé les gouvernements à prendre des mesures ciblées contre ce fléau.
"Le chômage demeure obstinément élevé dans la zone OCDE et les dernières projections économiques laissent à penser que la création d'emplois devrait rester très faible à court terme", relève l'Organisation de coopération et de développement économiques dans son rapport sur les perspectives de l'emploi en 2011, publié jeudi.
"LE VISAGE HUMAIN DE LA CRISE"
Après avoir atteint un pic du fait de la crise – à 8,7 % fin 2009, contre 5,7 % début 2008 –, le taux de chômage n'a que "modestement reculé" dans la zone OCDE, s'inscrivant en juillet dernier à 8,2 %. A la mi-2011, le chômage touchait un peu plus de 44 millions de personnes dans l'ensemble des 34 pays de l'OCDE, un niveau supérieur de plus de 13 millions aux chiffres enregistrés juste avant la crise.
"Le risque que le taux de chômage ne s'installe durablement à un niveau élevé s'est accru parallèlement à la forte augmentation du chômage de longue durée", prévient l'Organisation. "Il s'agit là du visage humain de la crise", a souligné au cours d'une conférence de presse le secrétaire général de l'OCDE, Angel Gurria, qui a mis en exergue deux problèmes majeurs : "le chômage des jeunes et le chômage de longue durée" qui "accroît fortement le risque de pauvreté".
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Re: Actualités concours 2012
Sécurité au travail : le congrès d'Istanbul insiste sur la prévention
Le 19e congrès pour la sécurité et la santé au travail s’est achevé jeudi 15 septembre à Istanbul. Sur un constat unanime : il faut renforcer la prévention, inciter les Etats à réglementer plus fermement la sécurité et la santé des salariés, pousser les entreprises à investir davantage dans ce secteur. Mais derrière le consensus des quelque 4 000 délégués venus de 140 pays, chercheurs, responsables politiques, représentants des employeurs et des syndicats de salariés, les tensions restent importantes.
Comment empêcher les entreprises engagées dans la compétition mondiale de rogner sur les dépenses qui ne leur paraissent pas indispensables et qui augmentent le coût du travail ? Comment former des salariés qui, sur l’injonction ou non de leur encadrement, oublient des règles de sécurité personnelles vécues comme contraignantes ? Comment, enfin, imposer aux gouvernements d’intégrer dans leur législation nationale des réglementations souvent défendues au niveau international ?
Alors que les congressistes se sont formés durant cinq jours sur des sujets aussi variés que les risques musculo-squelettiques chez les planteurs de thé, le programme autrichien de dépistage de l’amiante ou le stress des médecins à Mexico, certains parmi les représentants des salariés ont dénoncé une certaine hypocrisie. Le jour de la cérémonie d’ouverture, le lundi 12 septembre, des syndicats turcs avaient appelé à manifester dans le centre de la ville, à Taksim Square, pour dénoncer l’attitude du gouvernement.
PRÈS DE 7 MILLIONS DE MORTS DANS LES TROIS PROCHAINES ANNÉES
La veille au soir, le premier ministre, Recep Tayyip Erdogan avait proclamé "le caractère sacré de l’être humain" et déclaré que "si l’homme est à la source de la croissance économique, il en est aussi l’objectif". Quelques heures plus tard, les syndicalistes turcs présents dans le forum "Les syndicats rendent le travail plus sûr" entonnaient un autre refrain. Le secrétaire général de la confédération DISK dénonçait "le manque de démocratie sociale" en Turquie et même le vice-président de TÜRK-IS, le syndicat le plus important du pays et réputé plus accommodant avec le pouvoir, estimait que "les conditions de sécurité au travail étaient largement insuffisantes".
D’autres syndicalistes se sont aussi émus de la présence d’un stand russe, dans le "village" où de nombreuses entreprises présentaient des équipements de sécurité, des expertises ou des formations, vantant les bienfaits de la production de l’amiante dans un congrès dédié à la santé des travailleurs.
L’Organisation internationale du travail (OIT) et l’Association internationale de la sécurité sociale (AISS), qui organisaient le congrès avec le gouvernement turc, ont préféré mettre l’accent, elles, sur l’importance de la signature de la Déclaration d'Istanbul par 28 ministres du travail. Celle-ci veut promouvoir une meilleure politique de prévention. Les progrès attendus seront évalués lors du prochain rendez-vous, en août 2014 à Francfort, en Allemagne. Si rien ne change d’ici là, d’après les statistiques de l’OIT, 6,9 millions de travailleurs seront morts dans des accidents du travail et 951 millions seront blessés sur leur lieu de travail au cours des trois années à venir.
Rémi Barroux
Le monde
Le 19e congrès pour la sécurité et la santé au travail s’est achevé jeudi 15 septembre à Istanbul. Sur un constat unanime : il faut renforcer la prévention, inciter les Etats à réglementer plus fermement la sécurité et la santé des salariés, pousser les entreprises à investir davantage dans ce secteur. Mais derrière le consensus des quelque 4 000 délégués venus de 140 pays, chercheurs, responsables politiques, représentants des employeurs et des syndicats de salariés, les tensions restent importantes.
Comment empêcher les entreprises engagées dans la compétition mondiale de rogner sur les dépenses qui ne leur paraissent pas indispensables et qui augmentent le coût du travail ? Comment former des salariés qui, sur l’injonction ou non de leur encadrement, oublient des règles de sécurité personnelles vécues comme contraignantes ? Comment, enfin, imposer aux gouvernements d’intégrer dans leur législation nationale des réglementations souvent défendues au niveau international ?
Alors que les congressistes se sont formés durant cinq jours sur des sujets aussi variés que les risques musculo-squelettiques chez les planteurs de thé, le programme autrichien de dépistage de l’amiante ou le stress des médecins à Mexico, certains parmi les représentants des salariés ont dénoncé une certaine hypocrisie. Le jour de la cérémonie d’ouverture, le lundi 12 septembre, des syndicats turcs avaient appelé à manifester dans le centre de la ville, à Taksim Square, pour dénoncer l’attitude du gouvernement.
PRÈS DE 7 MILLIONS DE MORTS DANS LES TROIS PROCHAINES ANNÉES
La veille au soir, le premier ministre, Recep Tayyip Erdogan avait proclamé "le caractère sacré de l’être humain" et déclaré que "si l’homme est à la source de la croissance économique, il en est aussi l’objectif". Quelques heures plus tard, les syndicalistes turcs présents dans le forum "Les syndicats rendent le travail plus sûr" entonnaient un autre refrain. Le secrétaire général de la confédération DISK dénonçait "le manque de démocratie sociale" en Turquie et même le vice-président de TÜRK-IS, le syndicat le plus important du pays et réputé plus accommodant avec le pouvoir, estimait que "les conditions de sécurité au travail étaient largement insuffisantes".
D’autres syndicalistes se sont aussi émus de la présence d’un stand russe, dans le "village" où de nombreuses entreprises présentaient des équipements de sécurité, des expertises ou des formations, vantant les bienfaits de la production de l’amiante dans un congrès dédié à la santé des travailleurs.
L’Organisation internationale du travail (OIT) et l’Association internationale de la sécurité sociale (AISS), qui organisaient le congrès avec le gouvernement turc, ont préféré mettre l’accent, elles, sur l’importance de la signature de la Déclaration d'Istanbul par 28 ministres du travail. Celle-ci veut promouvoir une meilleure politique de prévention. Les progrès attendus seront évalués lors du prochain rendez-vous, en août 2014 à Francfort, en Allemagne. Si rien ne change d’ici là, d’après les statistiques de l’OIT, 6,9 millions de travailleurs seront morts dans des accidents du travail et 951 millions seront blessés sur leur lieu de travail au cours des trois années à venir.
Rémi Barroux
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Re: Actualités concours 2012
Une salariée de La Poste s'est suicidée sur son lieu de travail
Une salariée du centre financier de La Poste s'est suicidée, jeudi 15 septembre, sur son lieu de travail à Paris (15e) en se défenestrant du 4e étage, ont annoncé des syndicats du groupe. La direction a précisé que "les circonstances de ce décès font actuellement l'objet d'une enquête de police".
La CGT, tout en disant ne pas connaître les raisons de cet acte, a souligné que "le fait de choisir de se suicider sur son lieu de travail, pendant ses heures de service, en présence de ses collègues ne peut être considéré comme anodin".
La CGT a rappelé qu'elle "ne cesse de dénoncer les pressions engendrées par les restructurations permanentes décidées à La Poste au nom de la rentabilité". Le syndicat affirme que "les services financiers sont particulièrement touchés" et estime qu'il y a "urgence à revoir en profondeur la finalité, l'organisation et le contenu du travail" au sein du groupe.
JOURNÉE DE DEUIL
"C'est avec une grande tristesse que La Poste a appris ce jour, en fin de matinée, le décès d'une collaboratrice", a indiqué la direction du groupe, qui a déclaré qu'"une cellule psychologique a été mise en place pour soutenir l'entourage professionnel".
Le comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) a été réuni. Celui-ci a décidé d'ouvrir une enquête, a indiqué dans la soirée Alain Amblard (CGT). Il a précisé que la salariée avait été en congé longue maladie et avait repris ses fonctions il y a trois semaines, avant d'être de nouveau arrêtée au bout d'une semaine suite à un accident de travail. Elle était revenue travailler normalement jeudi matin.
La CFDT a fait part de son côté de sa "stupeur" et dit attendre les résultats de l'enquête. Le secrétaire national du PS chargé des services publics, Razzy Hammadi, a évoqué pour sa part "une journée de deuil pour La Poste toute entière et pour le service public". "Quelles que soient les conditions de ce drame, le Parti socialiste rappelle son exigence (...) de voir être mis en place au plus vite un diagnostic social indépendant analysant les conditions des restructurations violentes de l'entreprise et leurs effets sur les agents", a-t-il ajouté.
La Poste, devenue le 1er mars 2010 une société anonyme à capitaux publics, emploie environ 240 000 personnes. Le dernier bilan social, rendu public en mai, faisait apparaître une dégradation des indicateurs de santé au travail pour le personnel, avec notamment une hausse des arrêts maladie.
Le monde
Une salariée du centre financier de La Poste s'est suicidée, jeudi 15 septembre, sur son lieu de travail à Paris (15e) en se défenestrant du 4e étage, ont annoncé des syndicats du groupe. La direction a précisé que "les circonstances de ce décès font actuellement l'objet d'une enquête de police".
La CGT, tout en disant ne pas connaître les raisons de cet acte, a souligné que "le fait de choisir de se suicider sur son lieu de travail, pendant ses heures de service, en présence de ses collègues ne peut être considéré comme anodin".
La CGT a rappelé qu'elle "ne cesse de dénoncer les pressions engendrées par les restructurations permanentes décidées à La Poste au nom de la rentabilité". Le syndicat affirme que "les services financiers sont particulièrement touchés" et estime qu'il y a "urgence à revoir en profondeur la finalité, l'organisation et le contenu du travail" au sein du groupe.
JOURNÉE DE DEUIL
"C'est avec une grande tristesse que La Poste a appris ce jour, en fin de matinée, le décès d'une collaboratrice", a indiqué la direction du groupe, qui a déclaré qu'"une cellule psychologique a été mise en place pour soutenir l'entourage professionnel".
Le comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) a été réuni. Celui-ci a décidé d'ouvrir une enquête, a indiqué dans la soirée Alain Amblard (CGT). Il a précisé que la salariée avait été en congé longue maladie et avait repris ses fonctions il y a trois semaines, avant d'être de nouveau arrêtée au bout d'une semaine suite à un accident de travail. Elle était revenue travailler normalement jeudi matin.
La CFDT a fait part de son côté de sa "stupeur" et dit attendre les résultats de l'enquête. Le secrétaire national du PS chargé des services publics, Razzy Hammadi, a évoqué pour sa part "une journée de deuil pour La Poste toute entière et pour le service public". "Quelles que soient les conditions de ce drame, le Parti socialiste rappelle son exigence (...) de voir être mis en place au plus vite un diagnostic social indépendant analysant les conditions des restructurations violentes de l'entreprise et leurs effets sur les agents", a-t-il ajouté.
La Poste, devenue le 1er mars 2010 une société anonyme à capitaux publics, emploie environ 240 000 personnes. Le dernier bilan social, rendu public en mai, faisait apparaître une dégradation des indicateurs de santé au travail pour le personnel, avec notamment une hausse des arrêts maladie.
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Re: Actualités concours 2012
Les Français dépensent 2700 euros par an en soins
Les ménages en paient directement 9,4%, ce qui reste peu comparé à nos voisins.
En cinq ans, 25 milliards de plus ! La «consommation de soins et biens médicaux» a atteint 175 milliards d'euros l'an dernier, selon la Commission des comptes de la santé. Ce montant regroupe soins hospitaliers (une petite moitié du total), soins de ville (un quart), médicaments (un cinquième), prothèses, seringues et autres pansements, et transports de malades. La dépense atteint ainsi 2698 euros par habitant. Si l'on y ajoute prise en charge des personnes dépendantes, arrêts maladie ou maternité, prévention, recherche, formation des professionnels de santé et coûts de gestion, l'enveloppe atteint 234,1 milliards, soit 3609 euros par habitant.
La part financée par la «Sécu» reste stable.
L'Assurance-maladie prend à sa charge plus des trois quarts de la consommation de soins (75,8%). Une proportion inchangée entre 2009 et 2010 et en léger recul sur cinq ans (76,8% en 2005). S'y ajoute une contribution de l'État de 1,2%, stable aussi, pour l'aide médicale d'État et une partie de la CMU. La part des complémentaires santé poursuit sa lente mais régulière progression, à 13,5% en 2010 (13,4% en 2009 et 13% en 2005). Conséquence, le «reste à charge», sorti directement de la poche des patients, recule un peu l'an dernier (9,4% contre 9,6% l'année précédente) et progresse légèrement sur cinq ans (9% en 2005). Au sein de l'OCDE, seuls les Pays-Bas mettent moins à contribution les ménages. Difficile à croire pour le commun des assurés, qui voit s'accumuler au fil des ans les mesures d'économies: forfait d'un euro par consultation, déremboursement de médicaments, franchise sur les boîtes de médicaments… Entre 2005 et 2008, ces mesures ont bien fait baisser la portion des soins financée par l'Assurance-maladie. Mais le mouvement s'est ensuite inversé, à cause de la hausse du nombre de malades chroniques qui bénéficient d'un remboursement intégral des dépenses liées à leur affection de longue durée (ALD). L'Assurance-maladie rembourse 86% des soins de ville aux malades «ALD» mais 54% aux «non-ALD» ; la moyenne des deux n'est guère parlante.
Des frais de gestion qui déjouent les idées reçues
Les frais de gestion des organismes finançant la santé (Assurance-maladie, complémentaires, ministère et ses satellites) atteignent 15,9 milliards, dont une petite moitié pour l'Assurance-maladie qui règle les trois quarts des dépenses. En comparaison, les complémentaires semblent peu efficientes: 45% des coûts de gestion pour 13,5% de prise en charge des dépenses ! Concurrentes, elles ont chacun leur personnel, leur informatique…, contrairement à la Sécu, monopolistique. Mais surtout, leurs frais d'acquisition des clients sont élevés, surtout chez les assureurs privés, qui dépensent beaucoup en publicité - mutuelles et institutions de prévoyance ont une clientèle plus captive. Ce qui ne veut pas dire qu'aucun gaspillage n'existe à la Sécu (la Cour des comptes vient d'estimer qu'elle pouvait réaliser 10% d'économies) !
Le figaro
Les ménages en paient directement 9,4%, ce qui reste peu comparé à nos voisins.
En cinq ans, 25 milliards de plus ! La «consommation de soins et biens médicaux» a atteint 175 milliards d'euros l'an dernier, selon la Commission des comptes de la santé. Ce montant regroupe soins hospitaliers (une petite moitié du total), soins de ville (un quart), médicaments (un cinquième), prothèses, seringues et autres pansements, et transports de malades. La dépense atteint ainsi 2698 euros par habitant. Si l'on y ajoute prise en charge des personnes dépendantes, arrêts maladie ou maternité, prévention, recherche, formation des professionnels de santé et coûts de gestion, l'enveloppe atteint 234,1 milliards, soit 3609 euros par habitant.
La part financée par la «Sécu» reste stable.
L'Assurance-maladie prend à sa charge plus des trois quarts de la consommation de soins (75,8%). Une proportion inchangée entre 2009 et 2010 et en léger recul sur cinq ans (76,8% en 2005). S'y ajoute une contribution de l'État de 1,2%, stable aussi, pour l'aide médicale d'État et une partie de la CMU. La part des complémentaires santé poursuit sa lente mais régulière progression, à 13,5% en 2010 (13,4% en 2009 et 13% en 2005). Conséquence, le «reste à charge», sorti directement de la poche des patients, recule un peu l'an dernier (9,4% contre 9,6% l'année précédente) et progresse légèrement sur cinq ans (9% en 2005). Au sein de l'OCDE, seuls les Pays-Bas mettent moins à contribution les ménages. Difficile à croire pour le commun des assurés, qui voit s'accumuler au fil des ans les mesures d'économies: forfait d'un euro par consultation, déremboursement de médicaments, franchise sur les boîtes de médicaments… Entre 2005 et 2008, ces mesures ont bien fait baisser la portion des soins financée par l'Assurance-maladie. Mais le mouvement s'est ensuite inversé, à cause de la hausse du nombre de malades chroniques qui bénéficient d'un remboursement intégral des dépenses liées à leur affection de longue durée (ALD). L'Assurance-maladie rembourse 86% des soins de ville aux malades «ALD» mais 54% aux «non-ALD» ; la moyenne des deux n'est guère parlante.
Des frais de gestion qui déjouent les idées reçues
Les frais de gestion des organismes finançant la santé (Assurance-maladie, complémentaires, ministère et ses satellites) atteignent 15,9 milliards, dont une petite moitié pour l'Assurance-maladie qui règle les trois quarts des dépenses. En comparaison, les complémentaires semblent peu efficientes: 45% des coûts de gestion pour 13,5% de prise en charge des dépenses ! Concurrentes, elles ont chacun leur personnel, leur informatique…, contrairement à la Sécu, monopolistique. Mais surtout, leurs frais d'acquisition des clients sont élevés, surtout chez les assureurs privés, qui dépensent beaucoup en publicité - mutuelles et institutions de prévoyance ont une clientèle plus captive. Ce qui ne veut pas dire qu'aucun gaspillage n'existe à la Sécu (la Cour des comptes vient d'estimer qu'elle pouvait réaliser 10% d'économies) !
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Re: Actualités concours 2012
Paludisme : un vaccin français prometteur
Les résultats obtenus au Burkina Faso par un candidat vaccin relancent l'espoir de vaincre un jour cette maladie.
Le vaccin efficace contre le paludisme dont tout le monde rêve depuis des décennies est-il désormais dans les tuyaux ? Il est évidemment trop tôt pour se prononcer mais les données d'un essai réalisé en 2007 et publiées jeudi dans le New England Journal of Medicine sur le vaccin MSP3 valident en tout cas la démarche suivie depuis plus de vingt ans par l'équipe de Pierre Druilhe, ex-directeur du laboratoire de paludo-vaccinologie (LPV) de l'Institut Pasteur.
En clair, «le vaccin MSP3 est désormais l'un des deux candidats vaccins à s'être avéré capable de protéger l'homme en zone d'endémie», explique Pierre Druilhe. L'enjeu est de taille puisqu'en dépit de l'enthousiasme manifesté par le partenariat international «Roll Back Malaria», le paludisme continue de menacer plus de 2 milliards d'individus dans le monde, essentiellement en Afrique et en Asie, et de provoquer chaque année 800.000 décès. Le MSP3 est actuellement produit par Synprosis, une société de biotechnologie à laquelle collabore désormais le professeur Pierre Druilhe.
David contre Goliath
L'essai mené au Burkina Faso en 2007 et publié jeudi visait initialement à examiner uniquement la tolérance et l'immunogénicité du vaccin chez 45 enfants âgés de 12 à 24 mois ayant reçu des doses de 15 ou 30 microgrammes en comparaison à un vaccin placebo. Néanmoins, les chercheurs n'ont pu s'empêcher de noter la protection conférée par la vaccination ainsi réalisée : «Comme nous devions noter tous les événements survenus dans l'évaluation de la sécurité du vaccin administré, nous avons aussi remarqué lors de l'analyse des données la moindre fréquence des épisodes palustres», explique le Dr Sodiomon Sirima, du Centre national de recherche et de formation sur le paludisme au Burkina Faso, et principal investigateur de l'essai. On dénombrait en effet 1,2 à 1,9 épisode palustre par 100 jours chez les enfants vaccinés contre 5,3 épisodes pour le groupe témoin, soit une protection de 64 à 77 %.
Avec ces résultats, qui devront bien sûr être confirmés dans une véritable étude de plus grande ampleur (elle est d'ailleurs en cours au Mali), le vaccin MSP3 vient «concurrencer» le candidat vaccin favori de la recherche international baptisé «RTS, S». Ce dernier, mis au point par Glaxo SmithKline, est déjà engagé dans plusieurs grands essais de longue durée et semble conférer une protection partielle. Cependant le mécanisme d'action des deux vaccins potentiels est très différent. «Il y a plusieurs pistes vaccinales, explique Pierre Druilhe, on peut notamment viser la phase précoce de l'infection, c'est ce que fait le vaccin RTS, S, ou alors la phase des manifestations cliniques, celle que nous avons choisie. »
Un choix qui ne doit rien au hasard puisque tout a commencé il y a plus de vingt ans lorsque les chercheurs français ont pu montrer que l'on pouvait protéger des enfants thaïlandais de 12 à 24 mois contre le paludisme en leur administrant des anticorps d'adultes africains protégés. Un âge clé, en effet, car la plupart des décès dus au paludisme surviennent avant cinq ans, les crises jusqu'à 15-20 ans puis on acquiert une protection appelée immunité naturelle (prémunition). Grâce à ces travaux, l'équipe de l'Institut Pasteur identifie «le bon antigène», celui qui provoque une réaction dans le système humain : MSP3, à la base du vaccin en cours d'évaluation.
Pierre Druilhe veut rester prudemment optimiste. «Ce sont des résultats préliminaires, sur un petit effectif et il faut attendre la confirmation sur des effectifs plus importants.» Il n'empêche qu'une fois de plus le candidat vaccin français, qui vient de franchir une nouvelle étape décisive, évoque symboliquement le combat de David contre Goliath. Il doit rivaliser vaillamment avec les centaines de millions de dollars investis sur ses principaux concurrents. Pour accélérer le développement du vaccin MSP3, Pierre Druilhe a d'ailleurs lancé une initiative (Vac-4-All). Les résultats du prochain essai du vaccin français sont en cours au Mali et sont attendus au début de l'année prochaine.
Le figaro
Les résultats obtenus au Burkina Faso par un candidat vaccin relancent l'espoir de vaincre un jour cette maladie.
Le vaccin efficace contre le paludisme dont tout le monde rêve depuis des décennies est-il désormais dans les tuyaux ? Il est évidemment trop tôt pour se prononcer mais les données d'un essai réalisé en 2007 et publiées jeudi dans le New England Journal of Medicine sur le vaccin MSP3 valident en tout cas la démarche suivie depuis plus de vingt ans par l'équipe de Pierre Druilhe, ex-directeur du laboratoire de paludo-vaccinologie (LPV) de l'Institut Pasteur.
En clair, «le vaccin MSP3 est désormais l'un des deux candidats vaccins à s'être avéré capable de protéger l'homme en zone d'endémie», explique Pierre Druilhe. L'enjeu est de taille puisqu'en dépit de l'enthousiasme manifesté par le partenariat international «Roll Back Malaria», le paludisme continue de menacer plus de 2 milliards d'individus dans le monde, essentiellement en Afrique et en Asie, et de provoquer chaque année 800.000 décès. Le MSP3 est actuellement produit par Synprosis, une société de biotechnologie à laquelle collabore désormais le professeur Pierre Druilhe.
David contre Goliath
L'essai mené au Burkina Faso en 2007 et publié jeudi visait initialement à examiner uniquement la tolérance et l'immunogénicité du vaccin chez 45 enfants âgés de 12 à 24 mois ayant reçu des doses de 15 ou 30 microgrammes en comparaison à un vaccin placebo. Néanmoins, les chercheurs n'ont pu s'empêcher de noter la protection conférée par la vaccination ainsi réalisée : «Comme nous devions noter tous les événements survenus dans l'évaluation de la sécurité du vaccin administré, nous avons aussi remarqué lors de l'analyse des données la moindre fréquence des épisodes palustres», explique le Dr Sodiomon Sirima, du Centre national de recherche et de formation sur le paludisme au Burkina Faso, et principal investigateur de l'essai. On dénombrait en effet 1,2 à 1,9 épisode palustre par 100 jours chez les enfants vaccinés contre 5,3 épisodes pour le groupe témoin, soit une protection de 64 à 77 %.
Avec ces résultats, qui devront bien sûr être confirmés dans une véritable étude de plus grande ampleur (elle est d'ailleurs en cours au Mali), le vaccin MSP3 vient «concurrencer» le candidat vaccin favori de la recherche international baptisé «RTS, S». Ce dernier, mis au point par Glaxo SmithKline, est déjà engagé dans plusieurs grands essais de longue durée et semble conférer une protection partielle. Cependant le mécanisme d'action des deux vaccins potentiels est très différent. «Il y a plusieurs pistes vaccinales, explique Pierre Druilhe, on peut notamment viser la phase précoce de l'infection, c'est ce que fait le vaccin RTS, S, ou alors la phase des manifestations cliniques, celle que nous avons choisie. »
Un choix qui ne doit rien au hasard puisque tout a commencé il y a plus de vingt ans lorsque les chercheurs français ont pu montrer que l'on pouvait protéger des enfants thaïlandais de 12 à 24 mois contre le paludisme en leur administrant des anticorps d'adultes africains protégés. Un âge clé, en effet, car la plupart des décès dus au paludisme surviennent avant cinq ans, les crises jusqu'à 15-20 ans puis on acquiert une protection appelée immunité naturelle (prémunition). Grâce à ces travaux, l'équipe de l'Institut Pasteur identifie «le bon antigène», celui qui provoque une réaction dans le système humain : MSP3, à la base du vaccin en cours d'évaluation.
Pierre Druilhe veut rester prudemment optimiste. «Ce sont des résultats préliminaires, sur un petit effectif et il faut attendre la confirmation sur des effectifs plus importants.» Il n'empêche qu'une fois de plus le candidat vaccin français, qui vient de franchir une nouvelle étape décisive, évoque symboliquement le combat de David contre Goliath. Il doit rivaliser vaillamment avec les centaines de millions de dollars investis sur ses principaux concurrents. Pour accélérer le développement du vaccin MSP3, Pierre Druilhe a d'ailleurs lancé une initiative (Vac-4-All). Les résultats du prochain essai du vaccin français sont en cours au Mali et sont attendus au début de l'année prochaine.
Le figaro
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Re: Entraînement culture générale 2012
Oui, merci angelito pour tes exercices: vraiment bien, permet de travailler ensemble, de partager nos écrits.
En ce moment je suis en mode : baisse de moral, de motivations.
C'est peut être le stress du concours qui approche et cette impression de ne pas être prète
.ds tous les cas courages à vous tous 
En ce moment je suis en mode : baisse de moral, de motivations.
C'est peut être le stress du concours qui approche et cette impression de ne pas être prète


AS Janvier 2013+ concours ifsi 2013
oral Ap -Hp: le 13Nov
Résultats :11 déc
oral Ap -Hp: le 13Nov
Résultats :11 déc
Re: Actualités concours 2012
Jeux de hasard et d’argent : 200 000 accros en France
Ils ne peuvent s’empêcher de gratter un ticket Cash ou Goal, tenter leur chance à l’Euro Millions ou au Loto, faire leur tiercé quotidien, miser un bol de pièces aux bandits-manchots ou au poker. Ce sont des accros aux jeux de hasard et d’argent. Et ils sont 200 000 en France, soit 0,4% de la population française âgée de plus de 18 ans et 1,3% de la population totale des joueurs en France ayant au moins misé une fois au cours de l’année.
C’est ce qui ressort de la première enquête publiée ce vendredi matin sur la «population concernée par le jeu problématique», menée par l’Inpes (Institut national de prévention et d’éducation à la santé) et l’OFDT (Observatoire français des drogues et des toxicomanies). L’étude porte sur l’année 2010 et a été réalisée avant l’ouverture du marché des jeux en ligne. Voici le portrait-robot du «joueur excessif».
C’est un homme quadragénaire vraiment pas riche. Trois fois sur quatre (75,5%), le joueur exessif, qui est en «grande difficulté par rapport à sa conduite de jeu», est un homme. Il est âgé en moyenne de 41 ans. Près de la moitié des miseurs «assidus» (47%) dépensent plus de 1500 € par an en jeux de hasard et d’argent. Ils se distinguent par leur précarité financière et leur faible niveau d’études : 57,8% déclarent un revenu mensuel inférieur à 1100 € et plus d’un tiers (36,3%) ne possèdent aucun diplôme.
Il fume et boit plus que les autres. Une addiction en appelle d’autres. L’enquête fait apparaître un «lien fort entre jeu problématique et consommations problématiques de produits psychoactifs». Plus d’un quart (26,3%) des joueurs excessifs ont un risque de dépendance à l’alcool, contre 3,2% pour l’ensemble de la population. La part de fumeurs quotidiens s’élève à près des deux-tiers (64,2%), une proportion plus de deux fois supérieure à celle observée au sein de la population. Enfin, 6,1% affirment avoir consommé du cannabis au cours du dernier mois.
Il joue moins qu’ailleurs. Avec un pourcentage de 1,3% de «joueurs dits problématiques», l’Hexagone se classe à un «niveau relativement bas» comparativement aux autres pays ayant effectué ce type d’enquête. La France est loin derrière les Etats-Unis ou l’Australie (environ 5%) mais «également en retrait» par rapport à l’Italie, le Canada, la Belgique et la Grande-Bretagne, tous aux alentours de 2%.
Le Parisien
Ils ne peuvent s’empêcher de gratter un ticket Cash ou Goal, tenter leur chance à l’Euro Millions ou au Loto, faire leur tiercé quotidien, miser un bol de pièces aux bandits-manchots ou au poker. Ce sont des accros aux jeux de hasard et d’argent. Et ils sont 200 000 en France, soit 0,4% de la population française âgée de plus de 18 ans et 1,3% de la population totale des joueurs en France ayant au moins misé une fois au cours de l’année.
C’est ce qui ressort de la première enquête publiée ce vendredi matin sur la «population concernée par le jeu problématique», menée par l’Inpes (Institut national de prévention et d’éducation à la santé) et l’OFDT (Observatoire français des drogues et des toxicomanies). L’étude porte sur l’année 2010 et a été réalisée avant l’ouverture du marché des jeux en ligne. Voici le portrait-robot du «joueur excessif».
C’est un homme quadragénaire vraiment pas riche. Trois fois sur quatre (75,5%), le joueur exessif, qui est en «grande difficulté par rapport à sa conduite de jeu», est un homme. Il est âgé en moyenne de 41 ans. Près de la moitié des miseurs «assidus» (47%) dépensent plus de 1500 € par an en jeux de hasard et d’argent. Ils se distinguent par leur précarité financière et leur faible niveau d’études : 57,8% déclarent un revenu mensuel inférieur à 1100 € et plus d’un tiers (36,3%) ne possèdent aucun diplôme.
Il fume et boit plus que les autres. Une addiction en appelle d’autres. L’enquête fait apparaître un «lien fort entre jeu problématique et consommations problématiques de produits psychoactifs». Plus d’un quart (26,3%) des joueurs excessifs ont un risque de dépendance à l’alcool, contre 3,2% pour l’ensemble de la population. La part de fumeurs quotidiens s’élève à près des deux-tiers (64,2%), une proportion plus de deux fois supérieure à celle observée au sein de la population. Enfin, 6,1% affirment avoir consommé du cannabis au cours du dernier mois.
Il joue moins qu’ailleurs. Avec un pourcentage de 1,3% de «joueurs dits problématiques», l’Hexagone se classe à un «niveau relativement bas» comparativement aux autres pays ayant effectué ce type d’enquête. La France est loin derrière les Etats-Unis ou l’Australie (environ 5%) mais «également en retrait» par rapport à l’Italie, le Canada, la Belgique et la Grande-Bretagne, tous aux alentours de 2%.
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Re: Entraînement culture générale 2012
Faut pas, les textes que j'ai lu de toi sont excellent!!
Pas de baisse de moral! Tu vas le passer quand??
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Re: Entraînement culture générale 2012
je te remercie, c'est gentil, mais comme le maths et moi ne sommes pas copain alors je stress quoi, enfin......Memo a écrit :Faut pas, les textes que j'ai lu de toi sont excellent!!
Pas de baisse de moral! Tu vas le passer quand??
Je passe le 29 septembre, celui de l'aphp .
et toi
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Re: Entraînement culture générale 2012
Moi aussi AP HPtiya03 a écrit :je te remercie, c'est gentil, mais comme le maths et moi ne sommes pas copain alors je stress quoi, enfin......Memo a écrit :Faut pas, les textes que j'ai lu de toi sont excellent!!
Pas de baisse de moral! Tu vas le passer quand??
Je passe le 29 septembre, celui de l'aphp .
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S2: psychiatrie / IDE scolaire
1ére année validée 60/60ects
S3 : Onco-hémato pédiatrique
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Re: Entraînement culture générale 2012
1)L'intérêt et le fonctionnement du Centre d’expertise de la mort subite de l’adulte.angelito94 a écrit :Exercice 12 : Morts violentes.
1) Vous relèverez la problématique de ce communiqué de presse.
2) Quels sont les informations principales ? votre rédaction ne dépassera pas 12 lignes.
3)"Le thème retenu au niveau international pour 2011 est « premiers secours pour tous »" Que vous évoque ce thème ? votre rédaction ne dépassera pas 5 lignes.
4)Si vous deviez retenir un ou deux chiffre(s) de cet article, le(s)quel(s) et pourquoi ? votre rédaction ne dépassera pas 5 lignes.
5)Après avoir différencié mort violente et mort subite, vous présenterez les différents moyens de prévention de la mort violente.
Votre rédaction prendra la forme d'une argumentation.
2)Pour cette question en gros c'est un résumé qu'on vous demande, il est pas évident je vous le dis tout de suite.
Le centre d'expertise de la mort subite de l'adulte assemble une équipe multidisciplinaire, allant de la prise en charge de la victime jusqu'à l'enseignement et la recherche. Une collaboration étroite entre AP HP , Université Paris Descartes , l'inserm et les différents centres de références sur toute la France, permet par conséquent de connaître à l'instant les morts subites d''île de France et les chercheurs peuvent ainsi analyser les informations de chaque victime survivante ou non à chaque étape du circuit.
Dans un but, de prise en charge globale du survivant, d'analyser les facteurs et risques de mort subite, et enfin d'orienter le survivant vers un centre de référence.
Au delà , il tend également vers l'établissement d' une meilleure prévention et d'une meilleure formation aux gestes de premiers secours.
3)Le thème retenu au niveau international pour 2011 est « premiers secours pour tous »"
"Premiers secours pour tous" , ce thème me parait universel , en premier lieu il m'inspire l'importance d'être formé aux gestes de premiers secours afin de sauver des vies, il me rend acteur.
En second lieu il me parle de moi en tant que victime , oui moi aussi j'ai le droit de recevoir les gestes qui sauvent si jamais je devais avoir un accident. Ce thème m'évoque donc un sentiment de droit et de devoir.
4)Les 2 chiffres que je retiendrai sont les suivant "le taux de survie ne dépasse pas actuellement 3%, alors qu’il atteint 15 à 20% à Seattle", ils expriment deux choses d'un côté l'espérance , si il y a de meilleur résultat là bas alors nous pouvons faire évoluer les choses ici. Egalement ils rendent compte de l'importance d'une meilleur prévention en France pour les morts subites, et l'urgence d'une sensibilisation accrue.
5)Après avoir différencié mort violente et mort subite, vous présenterez les différents moyens de prévention de la mort violente.
Votre rédaction prendra la forme d'une argumentation.
Brouillon :
On me donne les grandes lignes du plan
donc 1er paragraphe : Différencier mort violente et mort subite
et 2ème paragraphe : La prévention des morts violentes
(ou si j'arrive à catégoriser les différents moyen de prévention je peux faire un troisième paragraphe).
Mort violente : Une morte qui n'est pas naturelle provoquée par un accident , un suicide , accidents de la route, mal être, meurtre, feux , violences conjugales, ..
Mort subite : Arrêt cardiaque , antécédents cardiovasculaire , mort subite du nourrisson , pas d'accident , pas de tiers agresseur, pas d’évènement brutal extérieur,
Actuellement les décès qui sont vécus comme "brutal", aussi bien au niveau émotionnel, que dans le temps peuvent être classés en deux grandes catégories, les morts dîtes subites et celles dîtes violentes. Il conviendra après avoir déterminé la différence entre les deux , de se pencher sur les nombreuses préventions de la mort violente.
La principale différence se situe au niveau de la nature du décès , il est à noté qu'une mort subite est naturelle, biologique s'opposant au caractère non biologique de la mort violente. D'autre part, la mort violente peut être déterminée par de nombreux facteurs , psychologique, comportemental, ou par un tiers, se distinguant encore de la mort subite qui ne peut venir ni de soit, ni d'un autre car provoquée par le corps lui même , effectivement celle-ci est un arrêt cardiaque dont les facteurs ne sont déterminés qu'une fois sur dix dans le cas par exemple de la mort subite du nourrisson. En généralisant on pourrait caractériser la mort violente par les thèmes d'homicide, de suicide et d'accident par exemple les feux d'appartements, les accidents de la route ou les noyades.
En l'état actuel des connaissances la prévention de la mort subite peut se faire par les gestes de premier secours , et par la connaissance d'antécédents génétiques ou familiaux. Pour la mort violente la prévention peut se faire au niveau de la sensibilisation , mais aussi par la mise en place de structures d'accueil d'écoute et d'aide.
La sensibilisation , se fait à travers des campagnes choc, par exemple la vidéo montrant la réalité d'un accident de la route , on peut voir le résultat de l'oubli de la ceinture de sécurité. Elle se construit aussi autour de l'alcool première cause d'accidents de la route en France , avec le fameux Sam "celui qui boit pas c'est celui qui conduit". Aussi les avertissement sur les accidents domestiques , et l'accompagnement des parents dans une PMI par exemple leur enseigne les gestes et réflexes pour éviter des dangers à l'enfant, comme de coucher le nourrisson sur le dos afin d'éviter qu'il s'étouffe. La connaissance via l'éducation et parfois via les médias ou l’entourage des limites fixées par la loi et les conséquences comme le port de la ceinture obligatoire, le respect des panneaux de vitesse, au final le code de la route joue un rôle majeur dans la prévention des morts violentes, mais aussi les lois contre les homicides, et les risques encourus dissuadent certaines personnes d'arriver à l'acte .
Enfin nous pouvons évoquer les associations, les structures comme SOS amitié, SOS femmes battues, Le refuge ou encore le 119 pour les enfants maltraités. Elles permettent de soulager le mal être des personnes , et trouver avec eux des solutions. En plus de permettre un meilleur état psychologique afin d'éviter le suicide, elles empêchent certaines morts comme la mort sous les coups chez la femme battue par exemple, mais aussi de mourir de froid,d'un accident, ou de faim dans la rue, comme par exemple Le refuge qui accueil les mineurs homosexuels rejetés par leur famille et souvent mis dehors.
Avec une synergie d'actions entre l'Etat , les associations et les campagnes de sensibilisation et de prévention , les morts violentes reculent en France. Mais quand est il des morts subites ? comment passer de 3% à 15% se survivants comme chez nos voisins aux Etats-unis ?
Voilà

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Re: Entraînement culture générale 2012
Exercice 13 : Les Enfants.
1)Résumer : Le premier article en 4 lignes maximum
2)Résumer : Le deuxième article en 6 linges maximum.
3)Pouvez vous faire un lien entre ces deux articles ? commentez votre réponse, votre rédaction ne dépassera pas 5 lignes.
4)"Ils souhaitent enfin que la santé soit inclue dans le principe de précaution qui ne concerne à ce jour que l'environnement." expliquez et commentez. 10 lignes maximum.
5)Enfants malades , ou se situe la place des parents et la place des soignants ? Argumentez.
Premier article :
Jeudi 14 avril 2011
France : les scientifiques s'inquiètent pour la santé des enfants
De nombreuses études avancent les risques de la pollution environnementale sur la santé.. Et c’est à l'occasion du 3ème colloque de l'Appel de Paris, qui réunit 300 pédiatres, gynécologues, obstétriciens, chercheurs et professionnels de la santé à la Maison de l'Unesco cette semaine, que les scientifiques dénoncent l'impact de la pollution sur la santé des enfants. Selon ces derniers, la pollution pourrait favoriser certains cancers, le diabète, l'obésité, les allergies...
Ils déplorent également que les autorités politiques ne prennent pas suffisamment en compte ce phénomène et ne décident pas de mesures de précaution. En effet, le Bisphénol A, les pesticides, les alliages dentaires au mercure, les phtalates, oxyde d'éthylène (dans des tétines de biberons), les champs électromagnétiques et toutes les sources de pollution connues touchent directement ou indirectement le fœtus et l'enfant.
Ils proposent par exemple l'interdiction du bisphénol A dans les emballages des produits alimentaires et souhaitent une réduction du risque environnemental. D'autres suggèrent le recours aux produits de substitution ou encore l'utilisation de nouvelles technologies. Ils souhaitent enfin que la santé soit inclue dans le principe de précaution qui ne concerne à ce jour que l'environnement.
JCC
(Source : 20minutes.fr)
Deuxième article :
Samedi 30 avril 2011
France : Dominique Versini plaide pour une meilleure prise en charge du cancer chez l’enfant
Dans son dernier rapport rendu public le 28 avril dernier, Dominique Versini, Défenseure des enfants, estime que « les politiques publiques et les nouveaux droits des malades ont permis des améliorations importantes », mais que « la place des adolescents et des jeunes adultes reste mal définie » dans les services de cancérologie.
Les cancers touchent chaque année 1 700 enfants de moins de 15 ans et 700 de 15 à 19 ans. Dominique Versini souhaite la création de centres hospitaliers adaptés à ces jeunes patients car « il n'est pas rare qu'un adolescent âgé de 16 ans et plus soit admis et traité dans un service d'oncologie adulte répondant à son type d'atteinte », un moment mal vécu en général par l’enfant et ses parents. Pour le moment en France, une seule unité pour adolescents existe, à l'Institut Gustave Roussy à Villejuif (Val-de-Marne).
D'autre part, la Défenseure des enfants suggère de mieux aider les parents « pris dans un imbroglio de papiers et de démarches », mais aussi de changer les prestations qui leur sont proposées au quotidien, qui ne sont pas toujours adaptées, comme l'hébergement pour la nuit notamment.
Enfin, Dominique Versini, plaide pour l'amélioration du retour des enfants à la maison. Les parents sont « souvent confrontés à la nécessité d'organiser eux-mêmes une partie de la prise en charge de l'enfant », a-t-elle expliqué dans son rapport. Les parents habitant en zone rurale ont encore plus de mal pour trouver des professionnels paramédicaux libéraux formés à la prise en charge des jeunes malades.
Pour rappel, la Défenseure des enfants Dominique Versini verra son statut disparaître dès demain 1er mai au profit d'un Défenseur des droits global.
JCC
(source : Défenseure des enfants )
Source :http://actu-droitsenfant.over-blog.com
1)Résumer : Le premier article en 4 lignes maximum
2)Résumer : Le deuxième article en 6 linges maximum.
3)Pouvez vous faire un lien entre ces deux articles ? commentez votre réponse, votre rédaction ne dépassera pas 5 lignes.
4)"Ils souhaitent enfin que la santé soit inclue dans le principe de précaution qui ne concerne à ce jour que l'environnement." expliquez et commentez. 10 lignes maximum.
5)Enfants malades , ou se situe la place des parents et la place des soignants ? Argumentez.
Premier article :
Jeudi 14 avril 2011
France : les scientifiques s'inquiètent pour la santé des enfants
De nombreuses études avancent les risques de la pollution environnementale sur la santé.. Et c’est à l'occasion du 3ème colloque de l'Appel de Paris, qui réunit 300 pédiatres, gynécologues, obstétriciens, chercheurs et professionnels de la santé à la Maison de l'Unesco cette semaine, que les scientifiques dénoncent l'impact de la pollution sur la santé des enfants. Selon ces derniers, la pollution pourrait favoriser certains cancers, le diabète, l'obésité, les allergies...
Ils déplorent également que les autorités politiques ne prennent pas suffisamment en compte ce phénomène et ne décident pas de mesures de précaution. En effet, le Bisphénol A, les pesticides, les alliages dentaires au mercure, les phtalates, oxyde d'éthylène (dans des tétines de biberons), les champs électromagnétiques et toutes les sources de pollution connues touchent directement ou indirectement le fœtus et l'enfant.
Ils proposent par exemple l'interdiction du bisphénol A dans les emballages des produits alimentaires et souhaitent une réduction du risque environnemental. D'autres suggèrent le recours aux produits de substitution ou encore l'utilisation de nouvelles technologies. Ils souhaitent enfin que la santé soit inclue dans le principe de précaution qui ne concerne à ce jour que l'environnement.
JCC
(Source : 20minutes.fr)
Deuxième article :
Samedi 30 avril 2011
France : Dominique Versini plaide pour une meilleure prise en charge du cancer chez l’enfant
Dans son dernier rapport rendu public le 28 avril dernier, Dominique Versini, Défenseure des enfants, estime que « les politiques publiques et les nouveaux droits des malades ont permis des améliorations importantes », mais que « la place des adolescents et des jeunes adultes reste mal définie » dans les services de cancérologie.
Les cancers touchent chaque année 1 700 enfants de moins de 15 ans et 700 de 15 à 19 ans. Dominique Versini souhaite la création de centres hospitaliers adaptés à ces jeunes patients car « il n'est pas rare qu'un adolescent âgé de 16 ans et plus soit admis et traité dans un service d'oncologie adulte répondant à son type d'atteinte », un moment mal vécu en général par l’enfant et ses parents. Pour le moment en France, une seule unité pour adolescents existe, à l'Institut Gustave Roussy à Villejuif (Val-de-Marne).
D'autre part, la Défenseure des enfants suggère de mieux aider les parents « pris dans un imbroglio de papiers et de démarches », mais aussi de changer les prestations qui leur sont proposées au quotidien, qui ne sont pas toujours adaptées, comme l'hébergement pour la nuit notamment.
Enfin, Dominique Versini, plaide pour l'amélioration du retour des enfants à la maison. Les parents sont « souvent confrontés à la nécessité d'organiser eux-mêmes une partie de la prise en charge de l'enfant », a-t-elle expliqué dans son rapport. Les parents habitant en zone rurale ont encore plus de mal pour trouver des professionnels paramédicaux libéraux formés à la prise en charge des jeunes malades.
Pour rappel, la Défenseure des enfants Dominique Versini verra son statut disparaître dès demain 1er mai au profit d'un Défenseur des droits global.
JCC
(source : Défenseure des enfants )
Source :http://actu-droitsenfant.over-blog.com
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Re: Entraînement culture générale 2012
Exercice 14 : Les adolescents.
1)Résumer en 5 lignes maximum.
2)A quoi pourriez vous rattacher les "Pharm-parties" ? commentez.
3)Adolescence, danger, drogue, alcool, médicaments, prévention.
A partir des mots clefs cités ci-dessus et de vos connaissance argumentez.
Mardi 29 mars 2011
Canada : les « Pharm-parties » où les ados se shootent aux médicaments
À l'adolescence, nombreux sont ceux qui tentent de nouvelles expériences, et pour certains, cela passe par la consommation de drogues, d'alcool ou de produits du tabac. Mais au Canada, ce sont les «Pharm-parties», ou les fêtes pharmacologiques, qui sont devenues la mode chez les adolescents.
Ces soirées, où l'on consomme de grandes quantités de médicaments prescrits inquiètent les autorités au point qu’elles ont décidées de mettre en garde les parents. Une fête pharmacologique typique pourrait se décrire comme un rassemblement de jeunes qui consomment un mélange, potentiellement fatal, de pilules provenant de la pharmacie familiale. La plupart des jeunes ne connaissent pas les effets et il y a un danger mortel de surdose.
Ce sont les écoles qui ont donné l’alerte, car les responsables avaient entendu des rumeurs que cela se passait peut-être dans leurs communautés. Avant que cette pratique ne dégénère et ne provoque des morts, le Gouvernement canadien va lancer une vaste campagne de sensibilisation sur le sujet pour avoir l'occasion de discuter avec les jeunes, les parents et les enseignants sur la dangerosité de ces « Pharm-parties ».
JCC
(source : L'Étoile : Nouveau-Brunswick)
1)Résumer en 5 lignes maximum.
2)A quoi pourriez vous rattacher les "Pharm-parties" ? commentez.
3)Adolescence, danger, drogue, alcool, médicaments, prévention.
A partir des mots clefs cités ci-dessus et de vos connaissance argumentez.
Mardi 29 mars 2011
Canada : les « Pharm-parties » où les ados se shootent aux médicaments
À l'adolescence, nombreux sont ceux qui tentent de nouvelles expériences, et pour certains, cela passe par la consommation de drogues, d'alcool ou de produits du tabac. Mais au Canada, ce sont les «Pharm-parties», ou les fêtes pharmacologiques, qui sont devenues la mode chez les adolescents.
Ces soirées, où l'on consomme de grandes quantités de médicaments prescrits inquiètent les autorités au point qu’elles ont décidées de mettre en garde les parents. Une fête pharmacologique typique pourrait se décrire comme un rassemblement de jeunes qui consomment un mélange, potentiellement fatal, de pilules provenant de la pharmacie familiale. La plupart des jeunes ne connaissent pas les effets et il y a un danger mortel de surdose.
Ce sont les écoles qui ont donné l’alerte, car les responsables avaient entendu des rumeurs que cela se passait peut-être dans leurs communautés. Avant que cette pratique ne dégénère et ne provoque des morts, le Gouvernement canadien va lancer une vaste campagne de sensibilisation sur le sujet pour avoir l'occasion de discuter avec les jeunes, les parents et les enseignants sur la dangerosité de ces « Pharm-parties ».
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(source : L'Étoile : Nouveau-Brunswick)
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Re: Entraînement culture générale 2012
Exercice 15 : Les enfants.
1) Résumer en 10 lignes maximum.
Mercredi 7 septembre 2011
France : les enfants ne sont pas égaux face à la maladie
Dans un rapport publié aujourd’hui, l’'Institut de veille sanitaire (IVS), révèle un lien étroit entre les problèmes de santé touchant les enfants de 5/6 ans et les régions géographiques où ils vivent.
Obésité, asthme, problèmes de vues, d'élocution ou dentaires... Les complications de santé touchant les enfants de 5 à 6 ans sont nombreuses. Étroitement lié à leur mode de vie au quotidien, l'état de santé des enfants observé sur l'ensemble du territoire français semble être soumis également à des disparités géographiques et sociales. Parmi les plus touchés : les régions du Nord et de l'Est de la France.
Pour en arriver à de telles conclusions, l’IVS, s’est appuyée sur une enquête réalisée en 2005-2006 auprès de 23.518 enfants de grande section de maternelle. Les données sur les problèmes de santé confrontées à celles sur le mode de vie des enfants étudiés (quantité de sommeil, consommation de boissons sucrées, temps passé devant la télévision ou les jeux vidéo) lui ont ainsi permis de définir des tendances générales par région académique.
Ses résultats indiquent d'importantes variations géographiques notamment sur la problématique de surcharge pondérale touchant les enfants de cet âge. L’étude montre ainsi que les régions où les enfants regardent le plus la télé sont aussi celles où ils sont le plus souvent en surpoids. Un tiers des jeunes enfants de la région lilloise (région en tête du classement pour le surpoids) passent ainsi plus de trois heures par jour devant un écran (télé, ordinateurs, jeux vidéos...)
Les caries dentaires sont relativement beaucoup plus nombreuses chez les enfants du nord et de l’est de la France. Un résultat lié aux comportements alimentaires : les régions dans lesquelles le taux de caries est le plus important (Strasbourg et Lille) sont aussi celles des records de consommation de boissons sucrées avec 40 % des jeunes enfants qui en boivent chaque jour.
A l’inverse, en Corse ou dans la région de Nice, où les caries dentaires sont moitié moins nombreuses, on relève que la consommation de sodas est aussi nettement plus faible.
L’étude relève enfin une dimension sociale à ces écarts en santé bucco-dentaire : 11 % des enfants de d’ouvriers ont au moins deux caries contre 2 % seulement des enfants de cadres.
JCC
(source : IVS)
1) Résumer en 10 lignes maximum.
Mercredi 7 septembre 2011
France : les enfants ne sont pas égaux face à la maladie
Dans un rapport publié aujourd’hui, l’'Institut de veille sanitaire (IVS), révèle un lien étroit entre les problèmes de santé touchant les enfants de 5/6 ans et les régions géographiques où ils vivent.
Obésité, asthme, problèmes de vues, d'élocution ou dentaires... Les complications de santé touchant les enfants de 5 à 6 ans sont nombreuses. Étroitement lié à leur mode de vie au quotidien, l'état de santé des enfants observé sur l'ensemble du territoire français semble être soumis également à des disparités géographiques et sociales. Parmi les plus touchés : les régions du Nord et de l'Est de la France.
Pour en arriver à de telles conclusions, l’IVS, s’est appuyée sur une enquête réalisée en 2005-2006 auprès de 23.518 enfants de grande section de maternelle. Les données sur les problèmes de santé confrontées à celles sur le mode de vie des enfants étudiés (quantité de sommeil, consommation de boissons sucrées, temps passé devant la télévision ou les jeux vidéo) lui ont ainsi permis de définir des tendances générales par région académique.
Ses résultats indiquent d'importantes variations géographiques notamment sur la problématique de surcharge pondérale touchant les enfants de cet âge. L’étude montre ainsi que les régions où les enfants regardent le plus la télé sont aussi celles où ils sont le plus souvent en surpoids. Un tiers des jeunes enfants de la région lilloise (région en tête du classement pour le surpoids) passent ainsi plus de trois heures par jour devant un écran (télé, ordinateurs, jeux vidéos...)
Les caries dentaires sont relativement beaucoup plus nombreuses chez les enfants du nord et de l’est de la France. Un résultat lié aux comportements alimentaires : les régions dans lesquelles le taux de caries est le plus important (Strasbourg et Lille) sont aussi celles des records de consommation de boissons sucrées avec 40 % des jeunes enfants qui en boivent chaque jour.
A l’inverse, en Corse ou dans la région de Nice, où les caries dentaires sont moitié moins nombreuses, on relève que la consommation de sodas est aussi nettement plus faible.
L’étude relève enfin une dimension sociale à ces écarts en santé bucco-dentaire : 11 % des enfants de d’ouvriers ont au moins deux caries contre 2 % seulement des enfants de cadres.
JCC
(source : IVS)
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