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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Listeria : Carrefour rappelle deux produits fromagers

Carrefour a décidé de rappeler deux produits fromagers de tous ses magasins français et monégasques après la découverte d'une contamination à la Listeria monocytogenes ; l'une des bactéries les plus redoutables par voie alimentaire avec l'E.coli.

Il s'agit d'un assortiment de fromages commercialisés par Carrefour, avec « l'Engagement Qualité Carrefour » sous le nom de « Petit Munster fermier », produits par la Fromagerie du Pays Welche, ainsi que des lots d'« assortiments de fromages au lait cru » (parmi lesquels les munsters issus de cette même fromagerie).

Ces deux produits sont commercialisés « au rayon à la coupe dans les magasins Carrefour et Carrefour Market », a précisé le distributeur. Ces produits ont été vendus entre le 25 août et le 13 septembre. Ils ont été retirés en France et à Monaco.

Violents maux de tête
Pour le moment, aucun cas de listériose n'a été signalé à la Direction de l'action sanitaire et sociale, selon Monaco. Carrefour fait savoir qu'elle a retiré « immédiatement » ces produits et « informé les consommateurs avec des affiches installées dans les magasins concernés ».

Les femmes enceintes doivent être particulièrement attentives à ces symptômes, ainsi que les personnes immuno-déprimées et les personnes âgées. Ces symptômes peuvent évoquer une listériose, maladie qui peut être grave et dont le délai d'incubation peut aller jusqu'à huit semaines, souligne le distributeur.

Si des personnes ayant acheté et consommé ces fromages sont pris de violents maux de tête ou de fièvre, elles doivent sans attendre consulter un médecin
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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Médecins : le malaise persiste


Soumis à toujours plus de contraintes administratives et de pratiques codifiées, critiqués pour leurs dépassements d'honoraires, s'estimant mal considérés, les médecins dépriment et s'interrogent sur l'évolution de leur métier.

Quotas, tarifs conventionnés, risques, assurances, charges, paperasserie... et changements sociologiques auront-ils raison de la vocation de notre corps médical? Pour cette profession qui fut libérale par excellence, l'intervention croissante de l'Etat et de l'assurance-maladie signe le malaise. Pas plus tard qu'en juillet dernier, une convention significative a été conclue entre les syndicats de médecins libéraux et la Cnam. Elle institue notamment un paiement à la performance pour les généralistes, qui sera ensuite étendu à certains spécialistes, et revalorise les tarifs des disciplines cliniques (pédiatrie, gynécologie, gériatrie...) qui souffraient de l'ombre des grandes spécialités techniques (chirurgie, anesthésie, etc.), mieux rémunérées. L'assurance-maladie se félicite de ce protocole, et parmi les représentants des différents syndicats signataires, les Drs Michel Chassang (CSMF), Jean-François Rey (Umespe), et François Wilthien de MG France évoquent un accord indispensable permettant une amélioration de la qualité des soins. Le conseil de l'Ordre est plus réservé, s'inquiétant de la difficulté de sa mise en application, et les syndicats de jeunes médecins estiment qu'elle ne répond pas assez à l'évolution de la pratique médicale. Quant aux praticiens, peu connaissent encore la teneur du texte qu'ils devraient bientôt recevoir.

Cette récente convention sera-t-elle le bon remède au malaise de la profession, tant celui-ci semble devoir être traité en profondeur. Ou va-t-elle au contraire renforcer le sentiment de dépendance des médecins par rapport à leur tutelle? Il n'est pas aisé de répondre aux attentes d'une profession disparate qui regroupe 264.466 praticiens, médecins de campagne, professeurs au CHU, salariés des dispensaires, internes des hôpitaux, généralistes ou spécialistes en ville, médecins du travail, libéraux ou salariés, souvent les deux à la fois, tarifs conventionnés ou libres. Une véritable armée des Indes qui ne semble plus avoir en commun qu'un long cursus d'études, le serment d'Hippocrate et la vocation affirmée de soigner.

«Mais aussi une lassitude grandissante face aux lourdeurs administratives, que ce soit en exercice libéral ou hospitalier, soupire le Dr André Deseur, du conseil de l'Ordre. Le sentiment profond de perdre sa liberté d'exercice et d'être au service d'un système administratif au détriment de la qualité des soins.»

Le salariat a la cote chez les jeunes
A cela s'ajoute un vrai bouleversement générationnel entre médecin d'aujourd'hui, encore majoritaire, et médecin de demain. Le premier, qu'il soit généraliste ou spécialiste, est un homme âgé de plus de 50 ans, attaché au mode d'exercice libéral, à son indépendance et à la relation intuitu personae entretenue avec son patient, qui lui permet de bien le connaître et de le suivre. Il ne ménage pas son temps, ne compte pas ses heures de travail, pas toujours compatibles avec une vie de famille. Ses revenus restent honorables, malgré une grille tarifaire imposée par la Sécurité sociale, parce qu'il multiplie les actes ou, pour les «secteurs 2», parce qu'il pratique des dépassements d'honoraires. Les charges de son cabinet représentent près de la moitié de ses revenus et les tâches administratives, une grande partie de son temps de travail ou de ses loisirs. Privilégiant son rapport avec le patient, il perçoit la Sécurité sociale non comme un organisme payeur, mais comme un persécuteur.

La jeune génération a des aspirations bien différentes. Elle estime que le paiement à l'acte est sous-évalué, la profession moins reconnue et elle n'entend pas sacrifier sa qualité de vie. Elle se tourne vers les disciplines les moins pénibles, les moins stressantes et opte pour le salariat. Parmi les nouveaux inscrits, 70 % ont choisi d'exercer leur activité en tant que médecin salarié et seulement 9,4 % en libéral.

«L'exercice libéral est aléatoire, explique Alexandre Husson, du Syndicat des jeunes médecins généralistes. Il faut cumuler les heures et multiplier les actes pour atteindre une rémunération décente, en rapport avec nos années d'études. Qui plus est, on est seul et sans sécurité. Etre salarié d'une clinique près de Paris procure une rémunération mensuelle de 5000 euros, sans les gardes et avec des congés payés.»

Priorité à la vie de famille chez les jeunes
Le rapport «temps passé-rémunération », la sécurité des droits sociaux (congé maladie, maternité, retraite...) donnent un net avantage au salariat. Un argument d'autant plus décisif que la profession se féminise. Le pourcentage de doctoresses augmente de 1 % chaque année. Elles comptent pour 41 % des effectifs aujourd'hui. Dans neuf ans, le seuil des 50 % sera atteint. Et leur profil est bien distinct. Selon une étude de la sociologue Anne-Chantal Hardy, la femme médecin est issue d'une famille de fonctionnaires ou d'un milieu intellectuel. Elle est mariée à un cadre supérieur dans un groupe citadin et sa rémunération est un deuxième revenu pour le foyer. Elle donne priorité à sa vie de famille et n'a aucune intention de s'exiler en milieu rural et d'éloigner ses enfants des facilités de la vie en ville.

Autre phénomène significatif de cette évolution, le nombre de médecins remplaçants s'élève aujourd'hui à 9903 médecins. Nombreux sont ceux qui refusent de poser leur plaque. De fait, ce stade autrefois transitoire entre le diplôme et l'installation est devenu un statut à part entière. «Et un statut intéressant, reconnaît le Dr Bertrand Demangeon. Je travaille quand je veux, j'ai toujours des offres et l'on me rétrocède 80 % d'honoraires, voire 100% alors qu'il y a quelques années, c'était 50%. Je ne suis pas pieds et poings liés avec un cabinet, sans pouvoir prendre de congés lorsque je le souhaite. Evidemment, pour la patientèle, un remplaçant, c'est un jeune médecin qui sort de la fac. Or je remplace des médecins plus jeunes que moi.»

Mais au-delà de l'exercice libéral, que tous ne veulent pas délaisser, les jeunes médecins formés au sein de staffs à l'hôpital veulent partager savoir et responsabilités pour le bien du malade. «Pour la nouvelle génération, l'exercice libéral n'offre pas les moyens de travailler en équipe, poursuit Alexandre Husson. Les pathologies et leurs traitements sont de plus en plus complexes. Il y a un besoin d'échange et de concertation, mais aussi d'installations techniques.»

L'exercice libéral «méconnu»
Un argument que conteste le Dr Gérard Ganem, cancérologue et libéral. Il a quitté Paris, l'APHP et une brillante carrière universitaire pour rejoindre, en tant que médecin associé, une clinique privée au Mans où il a emménagé avec sa famille. «Nous avons créé un centre de cancérologie. La capacité d'accueil de la clinique est passée de 900 patients par an, à mon arrivée, à 2300 aujourd'hui. Tout repose sur le travail d'équipe et à onzemédecins nous mettons à la disposition de notre patientèle un service complet et efficace, ce que nous n'aurions pas pu faire au sein de l'hospitalisation publique.»

Et de se féliciter d'une vie de famille préservée grâce à une bonne organisation, d'une rémunération satisfaisante, et d'une qualité de vie en province bien meilleure qu'à Paris.

«Les jeunes médecins ont une méconnaissance complète de l'exercice libéral dont ils redoutent la gestion comptable et administrative, explique Claude Le Pen, économiste de la santé. La médecine libérale, traditionnellement assimilée à l'autonomie, à l'indépendance vis-à-vis de la tutelle et de la clientèle, n'est plus une valeur essentielle pour eux. L'indépendance, aujourd'hui, pourrait même devenir une marque de mauvaise qualité de soins.»

En effet, l'excellence médicale repose désormais sur des protocoles, des évaluations, des formations continues. Les jeunes médecins y adhèrent pleinement. Les plus anciens traînent des pieds mais suivent tout en protestant contre des pratiques de plus en plus codifiées et organisées.Il leur faut admettre que le patient ne leur "appartient" plus, il est partagé entre plusieurs praticiens, l'assurance-maladie, les associations de malades.« Le modèle économique évolue, poursuit Claude Le Pen, le médecin dépend de l'assurance-maladie à qui il doit rendre des comptes, plus que de ses patients. Il n'est plus libre de ses prescriptions, et même le secret médical est remis en cause avec l'informatisation des cabinets et le dossier partagé.»

La médecine libérale a-t-elle encore un avenir? Sous une autre forme relativise le Pr Guy Vallancien, cancérologue: «Une autre médecine se dessine, moins artisanale, plus industrialisée. Le médecin de demain ne sera pas moins performant. Bien au contraire. Il va travailler en équipe dans des maisons de santé et s'il y a une réelle réforme de la hiérarchie et de la tarification des actes, il n'aura plus à s'user à les multiplier pour s'assurer des revenus corrects. Il pourra déléguer les gestes techniques à des assistants médicaux. Il n'est pas besoin de dix années d'études pour vacciner, effectuer un électrocardiogramme ou un scanner. De fait, il pourra reprendre du temps pour se consacrer à l'écoute du patient, au diagnostic et prodiguer un avis d'expert.»

Et répondre ainsi au déficit d'humanisme constaté et reproché au corps médical par de nombreux patients. Plus que les exploits et la surabondance de technicité, le patient attend d'être écouté et rassuré. Un désir légitime, qui fait partie intégrante des soins et de l'intuitu personae qui le lie à son médecin.

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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Arrêter de fumer améliore les performances sexuelles

Une étude médicale américaine montre que les hommes qui arrêtent de fumer voient tout de suite des progrès au lit.

Le Viagra n'est pas le seul moyen de régler les problèmes d'érection. Il y a bien plus simple et bien moins cher: arrêter de fumer. D'après une étude menée par des chercheurs américains, les hommes qui abandonnent la cigarette ont eu une amélioration immédiate de leurs performances sexuelles. Les bénéfices ne durent en revanche pas pour ceux qui rechutent.

Les deux scientifiques ont recruté 65 volontaires dont 20% avaient avoué avoir des problèmes d'impuissance et les ont fait participer à un programme de sevrage de huit semaines avec des patchs à la nicotine. Avant l'expérience, à mi-parcours et quelques semaines après la fin du sevrage, les hommes ont été soumis à des séances de mesures précises avec un appareil appelé un pléthysmographe pénien pendant qu'ils regardaient des films érotiques.

La nicotine est coupable
Au terme de l'étude, seuls 20 participants n'avaient pas rallumé une seule cigarette, alors que les 45 autres avaient recommencé à fumer. Et pour ces 20 cobayes, les scientifiques ont mesuré des progrès très notables sur l'importance de l'érection. Avec le sevrage, le temps qu'ils ont mis pour être excités (mais pas pour atteindre l'orgasme) a aussi été réduit. En revanche, ces bénéfices n'ont été mesurés qu'après le retrait des patchs à la nicotine, ce qui prouve bien que c'est ce dernier produit qui entrave les performances sexuelles.

Mieux, trois quarts de ceux qui avaient déclaré avoir des dysfonctionnements érectiles avant l'expérience ont affirmé ne plus en avoir après l'arrêt du tabac.

L'impact du tabac sur les performances des hommes au lit est connu depuis longtemps, du fait des effets néfastes de la nicotine sur le système cardiovasculaire qui altèrent la vascularisation dans tout l'organisme, y compris dans cette extrémité si importante du corps masculin. Cette récente étude publiée dans le British Journal of Urology International souligne pour la première fois que les bénéfices sont immédiats pour ceux qui arrêtent de prendre de la nicotine.

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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par tiya03 »

Memo a écrit :Tu as encore le temps Tiya! Respire et comme tu peux le voir, Angelito le passe en même temps que toi!!
Moi j'ai le temps encore, c'est pour 2012! J'ai de la marge :lol:
C'est pas le moment de lacher Tiya!! Entrainement de math à fond!!
Je le passe pas tout de suite mais je suis de tout coeur avec vous!! On se remotive et on révise!! Courage!!

PS: Merci pour les nouveaux exos angelito!! :bisous:
Je te remercie Memo pour tes encouragements :clin:
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Re: Fiches culture générale 2012

Message par debella »

Bonjour par ici !

Bienvenue a toutes ou tous !!

Amor ça serai sympas les fiches !! ;) Merci !!

Didouni, ne t'en fait pas, moi c'est pareil, je reprend a zéro, en ayant était très nulle en Maths ! On va toutes s’accrocher et y arriver !!

Mardi c'est le handicap et apres ca sera

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- éthique et pratiques medicale en cours et fin de vie avec dedans medecine prédictive, dons d'organes, euthanasie et soins palliatifs
- Ethique et recherche médicale : clonage, génie génétique

Je pense qu'on fera fiche par fiche ?
Qu'est ce que vous en pensez ?
On se fait un planning de tout ca, pour que tout le monde s'organise ?
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Re: Fiches culture générale 2012

Message par sixela95 »

Oui il vaudra mieux faire fiche par fiche, pour moi c'est ok tu peux faire un planning
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tiya03
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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par tiya03 »

angelito94 a écrit :Exercice 16 : Enfants et violence.

1) Relevez les informations principales de cet article.

2) Le bizutage peut-il être assimilé à de la maltraitance ? Argumentez.
C'est un sujet délicat, mais c'est pour apprendre à ne pas donner de jugements de valeurs.
Conseil : structuré votre argumentation par rapport aux sondages donné dans l'article, essayez d'expliquer les 20% qui pense que c'est une tradition et bien sûre vous terminez votre argumentation en précisant que le bizutage est de tout façon interdit par la loi.




Mercredi 14 septembre 2011

France : le bizutage touche aussi les enfants

Contrairement aux idées reçues, le bizutage n'a pas seulement lieu dans les grandes écoles ou les établissements prestigieux. Les enfants des collèges et des lycées sont également touchés. Ce sont d’ailleurs les sections «sport-études» qui font partie des filières les plus concernées par le problème avec les lycées professionnels.

C’est ce que révèle une étude publiée cette semaine par le Comité national contre le bizutage (CNCB). Ainsi on y apprend que 92% des parents d'élèves estiment que le bizutage entraîne des « traumatismes psychologiques graves », tandis que 78% considèrent que c'est une « épreuve humiliante » et que 86,5 % assimile cet acte à « l'alcoolisation massive », au « coma éthylique » et au « décès ». Ils sont par ailleurs près de 39% à déclarer que c'est « une atteinte aux droits de l'homme ». Il sint cependant 27,6% da considérer que le bizutage demeure « une tradition ».

Ce qui est rassurant, c’est que les parents semblent avoir pris conscience que les pratiques de bizutage sont très graves et peuvent entraîner des conséquences incalculables pour leurs enfants. Ainsi, les parents sont déterminés à briser la loi du silence. Ils sont en effet, 86% à dire qu’ils avertiraient le chef d’établissement et 55% qu’ils porteraient plainte.

De son côté, le gouvernement français reconnaît que ces rituels d’un autre temps, même s’ils ont beaucoup baissé ces dernières années, subsistent toujours aujourd’hui. Une circulaire a été récemment adressée aux recteurs d’académie et aux responsables d’établissement afin de leur demander d’être très « vigilants » sur cette question. Malheureusement cette circulaire n’a été envoyée qu’aux établissements d’enseignements supérieurs.

Pourtant, le bizutage est formellement interdit. C’est la loi n° 98-468 du 17 juin 1998, relative à la prévention et à la répression des infractions sexuelles ainsi qu’à la protection des mineurs qui a fait du bizutage un délit. Leurs auteurs sont passibles de six mois d’emprisonnement et de 7 500 ,00 € d’amende.
Cette peine peut être portée à un an d’emprisonnement et à 15 000,00 € d’amende lorsqu’elle est commise sur une personne vulnérable due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse apparente ou connue de son auteur.

JCC

(source : Comité national contre le bizutage)


Je me lance pour ce sujet.
J'attends vraiment vos commentaire sur la première question: j'ai du mal pour l'intro. Et pour la question 2 je ne suis pas sur du plan que j'ai employé ( voilà encore là un de mes points faible: la confiance en moi) oulala!!! :lol: . Bref merci pour vos critiques.


1.
Dans cette article, l'auteur nous parle du bizutage et plus particulièrement de ces conséquences. Par ailleurs, il évoque les différentes solutions pour y remédier.

Tout d'abord, l'auteur explique que le bizutage touche l'ensemble des enfants scolarisés et venant de tous niveau social. De plus, le bizutage comporterai de graves risques pour la santé mentale et physique.

Ensuite, l'auteur annonce une prise de conscience de la part des parents et des autorités publics. Ainsi des mesures de préventions et de dépistages sont mises place.

Enfin,l'auteur souligne l'existence d'une loi interdisant et pénalisant le bizutage.




2.

Le bizutage est un passage inévitable dans certains établissements scolaire.
Cependant, peut-il être considéré comme une maltraitance ou bien comme une tradition. Nous verrons tout d'abord les différents arguments justifiant cette maltraitance. Puis nous allons tenter de démonter en quoi le bizutage est une tradition.

Premièrement, le bizutage peut-il être considéré comme une maltraitance. En effet, le bizutage comporterai des risques pour la santé de la victime. Ces répercussions sont nombreuses. Suite a cette situation, on constate chez l'individu une perte de l'estime de soi liée à des actes d'humiliations. Par ailleurs, des traumatismes psychologiques peuvent se manifester comme la peur de se rendre désormais à l'école par crainte de revivre les même évènements. De plus, selon l'intensité des actes, le bizutage pourrait conduire à la mort de la victime. Aussi l'ensemble de ces conséquences peuvent être considérés comme une atteinte aux droit de l'homme car elles vont à l'encontre du respect de la liberté et de la dignité de l'individu.

Nous venons d'évoquer quelques éléments qui nous laisserai penser que le bizutage est une forme de maltraitance. Mais est ce une réalité? Le bizutage peut être considéré comme une tradition.

En effet le bizutage existe depuis des années dans les établissements scolaires. il représente une tradition. il est définit comme un passage obligatoire et sa réussite favorise l'intégration au sein d'un groupe. D'autres part, parce qu'ils sont considérés comme des rituels propre au groupe, les bizutages se transmettent de génération en génération.

En définitive, le bizutage qu'il soit associé à la maltraitance ou à la transmission de certaines coutumes, reste un évènement interdit par la loi.


Voilà, c'était difficile pour moi: pour organiser et formuler mes idées....... :pleure:
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tiya03
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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par tiya03 »

angelito94 a écrit :
angelito94 a écrit :Exercice 12 : Morts violentes.

1) Vous relèverez la problématique de ce communiqué de presse.

2) Quels sont les informations principales ? votre rédaction ne dépassera pas 12 lignes.

3)"Le thème retenu au niveau international pour 2011 est « premiers secours pour tous »" Que vous évoque ce thème ? votre rédaction ne dépassera pas 5 lignes.

4)Si vous deviez retenir un ou deux chiffre(s) de cet article, le(s)quel(s) et pourquoi ? votre rédaction ne dépassera pas 5 lignes.

5)Après avoir différencié mort violente et mort subite, vous présenterez les différents moyens de prévention de la mort violente.
Votre rédaction prendra la forme d'une argumentation.
1)L'intérêt et le fonctionnement du Centre d’expertise de la mort subite de l’adulte.

2)Pour cette question en gros c'est un résumé qu'on vous demande, il est pas évident je vous le dis tout de suite.

Le centre d'expertise de la mort subite de l'adulte assemble une équipe multidisciplinaire, allant de la prise en charge de la victime jusqu'à l'enseignement et la recherche. Une collaboration étroite entre AP HP , Université Paris Descartes , l'inserm et les différents centres de références sur toute la France, permet par conséquent de connaître à l'instant les morts subites d''île de France et les chercheurs peuvent ainsi analyser les informations de chaque victime survivante ou non à chaque étape du circuit.
Dans un but, de prise en charge globale du survivant, d'analyser les facteurs et risques de mort subite, et enfin d'orienter le survivant vers un centre de référence.
Au delà , il tend également vers l'établissement d' une meilleure prévention et d'une meilleure formation aux gestes de premiers secours.

3)Le thème retenu au niveau international pour 2011 est « premiers secours pour tous »"

"Premiers secours pour tous" , ce thème me parait universel , en premier lieu il m'inspire l'importance d'être formé aux gestes de premiers secours afin de sauver des vies, il me rend acteur.
En second lieu il me parle de moi en tant que victime , oui moi aussi j'ai le droit de recevoir les gestes qui sauvent si jamais je devais avoir un accident. Ce thème m'évoque donc un sentiment de droit et de devoir.

4)Les 2 chiffres que je retiendrai sont les suivant "le taux de survie ne dépasse pas actuellement 3%, alors qu’il atteint 15 à 20% à Seattle", ils expriment deux choses d'un côté l'espérance , si il y a de meilleur résultat là bas alors nous pouvons faire évoluer les choses ici. Egalement ils rendent compte de l'importance d'une meilleur prévention en France pour les morts subites, et l'urgence d'une sensibilisation accrue.

5)Après avoir différencié mort violente et mort subite, vous présenterez les différents moyens de prévention de la mort violente.
Votre rédaction prendra la forme d'une argumentation.

Brouillon :
On me donne les grandes lignes du plan
donc 1er paragraphe : Différencier mort violente et mort subite
et 2ème paragraphe : La prévention des morts violentes
(ou si j'arrive à catégoriser les différents moyen de prévention je peux faire un troisième paragraphe).

Mort violente : Une morte qui n'est pas naturelle provoquée par un accident , un suicide , accidents de la route, mal être, meurtre, feux , violences conjugales, ..

Mort subite : Arrêt cardiaque , antécédents cardiovasculaire , mort subite du nourrisson , pas d'accident , pas de tiers agresseur, pas d’évènement brutal extérieur,


Actuellement les décès qui sont vécus comme "brutal", aussi bien au niveau émotionnel, que dans le temps peuvent être classés en deux grandes catégories, les morts dîtes subites et celles dîtes violentes. Il conviendra après avoir déterminé la différence entre les deux , de se pencher sur les nombreuses préventions de la mort violente.

La principale différence se situe au niveau de la nature du décès , il est à noté qu'une mort subite est naturelle, biologique s'opposant au caractère non biologique de la mort violente. D'autre part, la mort violente peut être déterminée par de nombreux facteurs , psychologique, comportemental, ou par un tiers, se distinguant encore de la mort subite qui ne peut venir ni de soit, ni d'un autre car provoquée par le corps lui même , effectivement celle-ci est un arrêt cardiaque dont les facteurs ne sont déterminés qu'une fois sur dix dans le cas par exemple de la mort subite du nourrisson. En généralisant on pourrait caractériser la mort violente par les thèmes d'homicide, de suicide et d'accident par exemple les feux d'appartements, les accidents de la route ou les noyades.

En l'état actuel des connaissances la prévention de la mort subite peut se faire par les gestes de premier secours , et par la connaissance d'antécédents génétiques ou familiaux. Pour la mort violente la prévention peut se faire au niveau de la sensibilisation , mais aussi par la mise en place de structures d'accueil d'écoute et d'aide.

La sensibilisation , se fait à travers des campagnes choc, par exemple la vidéo montrant la réalité d'un accident de la route , on peut voir le résultat de l'oubli de la ceinture de sécurité. Elle se construit aussi autour de l'alcool première cause d'accidents de la route en France , avec le fameux Sam "celui qui boit pas c'est celui qui conduit". Aussi les avertissement sur les accidents domestiques , et l'accompagnement des parents dans une PMI par exemple leur enseigne les gestes et réflexes pour éviter des dangers à l'enfant, comme de coucher le nourrisson sur le dos afin d'éviter qu'il s'étouffe. La connaissance via l'éducation et parfois via les médias ou l’entourage des limites fixées par la loi et les conséquences comme le port de la ceinture obligatoire, le respect des panneaux de vitesse, au final le code de la route joue un rôle majeur dans la prévention des morts violentes, mais aussi les lois contre les homicides, et les risques encourus dissuadent certaines personnes d'arriver à l'acte .
Enfin nous pouvons évoquer les associations, les structures comme SOS amitié, SOS femmes battues, Le refuge ou encore le 119 pour les enfants maltraités. Elles permettent de soulager le mal être des personnes , et trouver avec eux des solutions. En plus de permettre un meilleur état psychologique afin d'éviter le suicide, elles empêchent certaines morts comme la mort sous les coups chez la femme battue par exemple, mais aussi de mourir de froid,d'un accident, ou de faim dans la rue, comme par exemple Le refuge qui accueil les mineurs homosexuels rejetés par leur famille et souvent mis dehors.

Avec une synergie d'actions entre l'Etat , les associations et les campagnes de sensibilisation et de prévention , les morts violentes reculent en France. Mais quand est il des morts subites ? comment passer de 3% à 15% se survivants comme chez nos voisins aux Etats-unis ?


Voilà :D
RIEN à dire juste une suggestion: j'aurais rajouter pour la question 3: le thème de premiers secours m'évoque un moyen de retrouver une certaine solidarité au sein de la société. En effet, le fait d'être former au premier secours permet de sauver des vies comme tu dit ect . je ne sais pas ce que tu en penses?
Volà ,juste une parenthèse.
Tes écrits sont parfait angelito. :clin: Du coup j'aimerai vraiment avoir tes conseils sur mes rédactions.
Je te remercie et on severa au par des expo 8)
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Re: Fiches culture générale 2012

Message par Amor33 »

Coucouu, juste pour vous dire que je fais les fiches en même temps que vous en fonctions du planning que vous tenez et selon mes livres :) Aujourd'hui j'ai fais le handicap, je pense soit à faire la délinquance et les malaises sociaux ou soit comme vous la bioéthique :) J'ai assez de facilité pour faire les fiches du coup pour un thème je prends pas beaucoup de temps et je m'avance très vite.
J'ai fais une liste de tous les thèmes à savoir et il y en a beaucoup mais c'est très complet !!

Bon week end à tous !
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Siaana
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Re: Actualités concours 2012

Message par Siaana »

Essayez de lire les actualités précédentes avant de poster pour éviter de faire doublon :clin:
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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par Nini06 »

tiya03 a écrit :
angelito94 a écrit :Exercice 16 : Enfants et violence.

1) Relevez les informations principales de cet article.

2) Le bizutage peut-il être assimilé à de la maltraitance ? Argumentez.
C'est un sujet délicat, mais c'est pour apprendre à ne pas donner de jugements de valeurs.
Conseil : structuré votre argumentation par rapport aux sondages donné dans l'article, essayez d'expliquer les 20% qui pense que c'est une tradition et bien sûre vous terminez votre argumentation en précisant que le bizutage est de tout façon interdit par la loi.




Mercredi 14 septembre 2011

France : le bizutage touche aussi les enfants

Contrairement aux idées reçues, le bizutage n'a pas seulement lieu dans les grandes écoles ou les établissements prestigieux. Les enfants des collèges et des lycées sont également touchés. Ce sont d’ailleurs les sections «sport-études» qui font partie des filières les plus concernées par le problème avec les lycées professionnels.

C’est ce que révèle une étude publiée cette semaine par le Comité national contre le bizutage (CNCB). Ainsi on y apprend que 92% des parents d'élèves estiment que le bizutage entraîne des « traumatismes psychologiques graves », tandis que 78% considèrent que c'est une « épreuve humiliante » et que 86,5 % assimile cet acte à « l'alcoolisation massive », au « coma éthylique » et au « décès ». Ils sont par ailleurs près de 39% à déclarer que c'est « une atteinte aux droits de l'homme ». Il sint cependant 27,6% da considérer que le bizutage demeure « une tradition ».

Ce qui est rassurant, c’est que les parents semblent avoir pris conscience que les pratiques de bizutage sont très graves et peuvent entraîner des conséquences incalculables pour leurs enfants. Ainsi, les parents sont déterminés à briser la loi du silence. Ils sont en effet, 86% à dire qu’ils avertiraient le chef d’établissement et 55% qu’ils porteraient plainte.

De son côté, le gouvernement français reconnaît que ces rituels d’un autre temps, même s’ils ont beaucoup baissé ces dernières années, subsistent toujours aujourd’hui. Une circulaire a été récemment adressée aux recteurs d’académie et aux responsables d’établissement afin de leur demander d’être très « vigilants » sur cette question. Malheureusement cette circulaire n’a été envoyée qu’aux établissements d’enseignements supérieurs.

Pourtant, le bizutage est formellement interdit. C’est la loi n° 98-468 du 17 juin 1998, relative à la prévention et à la répression des infractions sexuelles ainsi qu’à la protection des mineurs qui a fait du bizutage un délit. Leurs auteurs sont passibles de six mois d’emprisonnement et de 7 500 ,00 € d’amende.
Cette peine peut être portée à un an d’emprisonnement et à 15 000,00 € d’amende lorsqu’elle est commise sur une personne vulnérable due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse apparente ou connue de son auteur.

JCC

(source : Comité national contre le bizutage)
Réponse à l'exercice 16 Question 1:

Cet article dénonce principalement que le bizutage persiste malgré qu'une loi l'interdit depuis plus de dix ans.
Certes, il diminue mais il s’accroît notamment dans les petites écoles.
Les parents semblent majoritairement conscients des conséquences physiques et psychologiques néfastes que peut avoir le bizutage sur un enfant.
Cependant, en avoir conscience n'est qu'une étape dans laquelle la solution n'est d'autre que de "briser la loi du silence".

Voila ! Dites moi si mon résumé est suffisant! Je ne suis pas du tout sur de moi, c'est la première fois que je tente ce concours et cela fait un petit moment que je suis sortie de l'école. Mais tes exercices m'aident beaucoup. Mercii
J'attaque la question 2.
A plus tard.
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angelito94
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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par angelito94 »

Merci à vous tous pour vos participations :D
C'est ensemble qu'on s'améliore!
Je ferrai mes commentaires une fois que j'aurai traité moi même l'exercice 16!
Le principale c'est de vous faire confiance !
On va tous réussir j'en suis sûre :D
oui tiya on se voit au parc des expo et cette fois dis toi que c'est la bonne :D
N'oubliez pas non plu que l'écrit il suffit d'avoir 10/20 donc tout est possible , on est pas à l'abri d'avoir la moyenne lol !
Et après c'est les oraux qui changent tout :D

Allez je reviens dans une petite heure traiter l'exercice 16 et vous donner mon avis :D

A tout à l'heure ^^
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angelito94
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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par angelito94 »

angelito94 a écrit :Exercice 16 : Enfants et violence.

1) Relevez les informations principales de cet article.

2) Le bizutage peut-il être assimilé à de la maltraitance ? Argumentez.
C'est un sujet délicat, mais c'est pour apprendre à ne pas donner de jugements de valeurs.
Conseil : structuré votre argumentation par rapport aux sondages donné dans l'article, essayez d'expliquer les 20% qui pense que c'est une tradition et bien sûre vous terminez votre argumentation en précisant que le bizutage est de tout façon interdit par la loi.

1) Conseil : là il ne peut pas y avoir d'informations principales si vous n'évoquez pas la problématique. Si vous avez une question de ce genre la, sans question préalable qui vous demande de relever la problématique vous vous devez de la citer dans votre réponse.

Dans cet article il n'est pas évident de trouver la problématique on hésite entre plusieurs problématiques.
- Le bizutage touche les enfants. celle ci est vite éliminé vous n'avez aucunes idées venant défendre cette problématique à part le premier paragraphe.
- La vision du bizutage par le gouvernement et les parents. Le sondage est trompeur et on voit bien que la suite de l'article ne soutient pas cette problématique.

Voici la problématique pour ma part la plus pertinente, et qui au final vous ramène à la question 2.

Bizutage des enfants et maltraitance , la prise de conscience est presque collective.

Maintenant on rédige la réponse.

L'article du comité national contre le bizutage , nous démontre que la prise de conscience de la maltraitance liée au bizutage des enfants est presque collective.
Tout d'abord une étude du CNCB démontre que celui-ci touche aussi les collégiens et les lycéens. De plus on apprend que les parents d'élèves exceptés 27.6% reconnaissent que celui-ci est un acte de maltraitance.Les parents ouvrent les yeux et cassent le schéma du "Qui ne dit mot consent", en déclarant réagir si leur enfant en était victime.Le gouvernement qui a interdit le bizutage suit les même idées , mais celui-ci n'a pas envoyé de circulaire de demande de "vigilance" aux établissements primaires et secondaires.

2) Le bizutage peut-il être assimilé à de la maltraitance ? Argumentez.

Conseils : On vous demande votre avis , mais vu que c'est une argumentation et non un commentaire, il convient d'expliquer en premier lieu en quoi c'est de la maltraitance, ensuite en quoi on peut le considérer comme une tradition et en conclusion donner votre avis en rappelant que celui ci est interdit par là loi. Donc grâce à l'article et à la problématique vous avez déjà votre plan !


Brouillon :

maltraitance :Conséquences psychologique et/ou physiques graves, relation dominant dominé, sévices sexuelles , psychologique violence, négligence,alcoolisme, drogue, inconscience , humiliation, personne vulnérable, abus de pouvoir etc..

Bizutage : jeux violents, relation dominant dominé, entrer dans un groupe, humiliation, conséquence graves , alcool, interdit par la loi.

La problématique ne précise pas que les enfants donc le cas des enfants devra être réutilisé en exemple seulement.

Le sondage nous permet d'utiliser le point de vue de "tradition" à élargir pour tout type de bizutage , et peut permettre des chiffres à l'appui.

Tradition : coutume, normalité, épreuve, rien de grave .

Voici ma proposition :

Le bizutage, est une coutume mondiale, souvent connu lors des week-end d'intégration dans les hautes écoles , il n'en demeure pas moins un phénomène de société qui touche tout les établissements et groupes. Souvent pris pour un jeu nous verrons en quoi celui-ci est synonyme de maltraitance, et pourquoi il peut être vu comme une simple tradition.

Au départ , le week-end d'intégration était en apparence l'égal de la fête , des dérives entre jeunes consentent relâchant la pression après un concours difficile comme par exemple en médecine. Les élèves d'année supérieure , font boire les nouveaux, leur imposent des actions allant jusqu'à la nudité voir l'acte sexuel, mais avant toute chose on rendait l'individu vulnérable grâce à l'alcool, exploiter la vulnérabilité est l'une des première définition de la maltraitance, on abuse de la faiblesse d'un autre. On peut aussi le faire par la force lors des petits ponts massacreurs effectués en primaire, par la violence aussi seul contre tous comme pour l'intégration dans certaines bandes.
L'humiliation aussi est très présente, comme par exemple embrasser une tête de porc mort, ou de devoir porter des testicules dans une poche pendant toute une journée. On exploite la peur de l'autre d'être seul durant toutes ses études il est dans l'impasse, il laisse faire en pensant que sa passera. Mais une réalité apparaît , aucun traumatisme ne s'efface et des anciens bizutés l'ont appris à leur dépend, soit par des conséquences physiques graves et /ou par des conséquences psychologiques comme certaine phobie scolaire , ou encore le silence qui en dit long. La maltraitance c'est exploiter par la force, ou à travers la vulnérabilité de l'autre sa dignité, son intégrité, son physique et sa santé psychologique sur l'instant et/ou avec des séquelles à vie.

Il est certain pour ma part, que le bizutage est une forme de maltraitance dans la majorité des situations, en tout cas il en possède tout les tenant et aboutissant, mais il peut être vu par certains comme une tradition.

Une tradition , voilà comment le bizutage est perçu pour 27.6% des parents d'élèves ce qui n'est pas négligeable. Plusieurs raisons expliquent cette vision , premièrement les bizutages ne sont pas tous "violents" effectivement dans certains internats le jour du départ , on peut être recouvert de mousse à raser ou de gel douche , ou encore roulé dans l'herbe, ici le bizutage prend une forme affective, avoir le droit à son bizutage c'est avoir le droit à sa place , et il n'est que bon enfant. Il est aussi perçu comme une forme d'intégration , passer surmonter l'épreuve du bizutage tel qu'il soit s'est à l'inverse créer sa place dans une école de hautes études de commerce par exemple. Une sorte de parcours initiatique inévitable, et sans aucunes conséquences. Enfin il y aussi le vécu de chacun , qui joue un rôle dans cette vision , qu'a vont nous vécu du bizutage ? qu'avons nous connu de celui-ci ? N'est il pas un synonyme d’intelligence et de futur élite sociale ?et nous l'avons nous vécu ?

Il est certain , et la loi en France nous le dit , le bizutage est interdit à tout âge et dans tout établissement dans un plan de prévention des sévices. Pour ma part celui-ci est souvent et malheureusement synonyme de maltraitance, et il vaut mieux prévenir que guérir. Mais même si celui-ci recul le gouvernement semble encore négliger sa présence chez les enfants, quand commence le bizutage ? et à quel moment doit on intervenir ?


Voilà j'attends vos commentaires :D
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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par angelito94 »

tiya03 a écrit :
angelito94 a écrit :Exercice 16 : Enfants et violence.

1) Relevez les informations principales de cet article.

2) Le bizutage peut-il être assimilé à de la maltraitance ? Argumentez.
C'est un sujet délicat, mais c'est pour apprendre à ne pas donner de jugements de valeurs.
Conseil : structuré votre argumentation par rapport aux sondages donné dans l'article, essayez d'expliquer les 20% qui pense que c'est une tradition et bien sûre vous terminez votre argumentation en précisant que le bizutage est de tout façon interdit par la loi.



Je me lance pour ce sujet.
J'attends vraiment vos commentaire sur la première question: j'ai du mal pour l'intro. Et pour la question 2 je ne suis pas sur du plan que j'ai employé ( voilà encore là un de mes points faible: la confiance en moi) oulala!!! :lol: . Bref merci pour vos critiques.


1.
Dans cette article, l'auteur nous parle du bizutage et plus particulièrement de ces conséquences. Par ailleurs, il évoque les différentes solutions pour y remédier.

Tout d'abord, l'auteur explique que le bizutage touche l'ensemble des enfants scolarisés et venant de tous niveau social. De plus, le bizutage comporterai de graves risques pour la santé mentale et physique.

Ensuite, l'auteur annonce une prise de conscience de la part des parents et des autorités publics. Ainsi des mesures de préventions et de dépistages sont mises place.

Enfin,l'auteur souligne l'existence d'une loi interdisant et pénalisant le bizutage.

Je t'ai coloré les "répétitions" , ensuite ta rédaction doit prendre la forme d'un résumé , relevant les idées principales défendant une problématique. Dans cet article il y avait plusieurs problématiques possibles (voir ma proposition).
Les idées principales sont là c'est bien , il faut juste structurer et n'hésite pas à reprendre un chiffre quand il y a beaucoup de "chiffres" dans un article.
En gros ce genre de question nous demande de retrouver le "plan" de l'article et de le rédiger de manière très brève,donc problématique + arguments de l'auteur tout sa résumé




2.

Le bizutage est un passage inévitable dans certains établissements scolaire.
Cependant, peut-il être considéré comme une maltraitance ou bien comme une tradition. Nous verrons tout d'abord les différents arguments justifiant cette maltraitance. Puis nous allons tenter de démonter en quoi le bizutage est une tradition.
Très bien pour l'intro !

Premièrement, le bizutage peut-il être considéré comme une maltraitance. En effet, le bizutage comporterai des risques pour la santé de la victime. Ces répercussions sont nombreuses. Suite a cette situation, on constate chez l'individu une perte de l'estime de soi liée à des actes d'humiliations. Par ailleurs, des traumatismes psychologiques peuvent se manifester comme la peur de se rendre désormais à l'école par crainte de revivre les même évènements. De plus, selon l'intensité des actes, le bizutage pourrait conduire à la mort de la victime. Aussi l'ensemble de ces conséquences peuvent être considérés comme une atteinte aux droit de l'homme car elles vont à l'encontre du respect de la liberté et de la dignité de l'individu.

Ce que je t'ai mis en rouge n'a pas lieu d'être ton premier paragraphe doit le démontrer pas le suggérer, donc pas d'interrogative ni de conditionnel

Premier paragraphe Bien : tu as développé une parti de la maltraitance ( les conséquences) il faudrait équilibrer et un peu plus développer les situations de maltraitance, violence, abus de pouvoir, etc...
Mais c'est bien


Nous venons d'évoquer quelques éléments qui nous laisserai penser que le bizutage est une forme de maltraitance. Mais est ce une réalité? Le bizutage peut être considéré comme une tradition.

En effet le bizutage existe depuis des années dans les établissements scolaires. il représente une tradition. il est définit comme un passage obligatoire et sa réussite favorise l'intégration au sein d'un groupe. D'autres part, parce qu'ils sont considérés comme des rituels propre au groupe, les bizutages se transmettent de génération en génération.

2ème paragraphe : Bien , tu aurais pu ici sortir le chiffre des parents d'élèves considérant que c'est une tradition (sa montre au correcteur que tu sais utiliser ce qu'on te donne ), pensez toujours à exploiter un minimum le texte, il est là pour sa.


En définitive, le bizutage qu'il soit associé à la maltraitance ou à la transmission de certaines coutumes, reste un évènement interdit par la loi.

Bien , mais il faut mettre ton avis à toi , et une phrase d'ouverture sur un autre sujet.

Voilà, c'était difficile pour moi: pour organiser et formuler mes idées....... :pleure:
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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par angelito94 »

Nini06 a écrit :
tiya03 a écrit :
angelito94 a écrit :Exercice 16 : Enfants et violence.

1) Relevez les informations principales de cet article.

2) Le bizutage peut-il être assimilé à de la maltraitance ? Argumentez.
C'est un sujet délicat, mais c'est pour apprendre à ne pas donner de jugements de valeurs.
Conseil : structuré votre argumentation par rapport aux sondages donné dans l'article, essayez d'expliquer les 20% qui pense que c'est une tradition et bien sûre vous terminez votre argumentation en précisant que le bizutage est de tout façon interdit par la loi.
Réponse à l'exercice 16 Question 1:

Cet article dénonce principalement que le bizutage persiste malgré qu'une loi l'interdit depuis plus de dix ans.
Certes, il diminue mais il s’accroît notamment dans les petites écoles.
Les parents semblent majoritairement conscients des conséquences physiques et psychologiques néfastes que peut avoir le bizutage sur un enfant.
Cependant, en avoir conscience n'est qu'une étape dans laquelle la solution n'est d'autre que de "briser la loi du silence".

Là ta rédaction ressemble plus à un commentaire ou à une analyse, il faut garder le style de l'auteur , ses idées et sa problématique.
En fait cette question demande de retrouver le plan de l'article problématique + arguments. Et de rédiger ce plan très brièvement.
Mais si sa aurait été un commentaire ou une analyse ta réponse aurait été très bonne!
Continue tu arriveras à faire la différence moi aussi j'avais du mal au début bienvenue parmi nous ^^


Voila ! Dites moi si mon résumé est suffisant! Je ne suis pas du tout sur de moi, c'est la première fois que je tente ce concours et cela fait un petit moment que je suis sortie de l'école. Mais tes exercices m'aident beaucoup. Mercii
J'attaque la question 2.
A plus tard.
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