Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Fiches culture générale 2012
je peux pas trop te repondre vu que je n'ais pas encore fais cette fiche, mais je dirais:Chocolate a écrit :Coucou, votre travaille est super !
Comment structureriez vous une fiche sur la condition féminine (dont le rapport ou différences hommes/femmes) ?
statistiques
legislation
problèmes
solutions
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Laborantine en reconversion
S1: MAS
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S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Re: Fiches culture générale 2012
Pareil que Sixela, je n'ai pas fait la fiche :Chocolate a écrit :Coucou, votre travaille est super !
Comment structureriez vous une fiche sur la condition féminine (dont le rapport ou différences hommes/femmes) ?
Différence homme femme.
L'égalité des sexes => pas tjs respecter : salaire ...
Statistiques, esperance de vie
INFIRMIERE D.E
Re: Fiches culture générale 2012
Démographie Française (mardi 11.10)
Vieillissement démographiqe (jeudi 13.10)
Pollution (vendredi 14.10)
Logement et Banlieue (mardi 18.10)
la famille contamporaine (jeudi 20.10)
rôle de la famille (vendredi 21.10)
Ca vous va ? Ou je réduis, augmente la cadence ?
Vieillissement démographiqe (jeudi 13.10)
Pollution (vendredi 14.10)
Logement et Banlieue (mardi 18.10)
la famille contamporaine (jeudi 20.10)
rôle de la famille (vendredi 21.10)
Ca vous va ? Ou je réduis, augmente la cadence ?
INFIRMIERE D.E
Re: Fiches culture générale 2012
ok merci
perso ça me va!!

perso ça me va!!

Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Re: Fiches culture générale 2012
Oki d'acc.
J'ai plutot mis le mardi, parce que souvent le WE j'ai pas le temps !
Mais dites moi, pour vous, on peut changer des trucs !!!
Sixela, tu fais comment une semaine et journée type révisions?
La ca fait 2 semaines ou j'ai de nouveau du mal a m'organiser, du coup cette semaine j'ai revue toutes les méthodologie de Maths. Mais du coup je délaisse ma culture gé ... C'est dur quand meme d'associer les 2 dans la journée
Ce matin, j'ai signer mon contrat de formation prépa! Je commence le 9 novembre! J'espere que ca va bien m'aider !
J'ai plutot mis le mardi, parce que souvent le WE j'ai pas le temps !

Mais dites moi, pour vous, on peut changer des trucs !!!

Sixela, tu fais comment une semaine et journée type révisions?
La ca fait 2 semaines ou j'ai de nouveau du mal a m'organiser, du coup cette semaine j'ai revue toutes les méthodologie de Maths. Mais du coup je délaisse ma culture gé ... C'est dur quand meme d'associer les 2 dans la journée

Ce matin, j'ai signer mon contrat de formation prépa! Je commence le 9 novembre! J'espere que ca va bien m'aider !
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Hypoglycémie sévère : découverte d’un gène clé
07-10-11 à 16:38 Réagir
Une mutation sur un gène expliquerait les symptômes des malades souffrant d’hypoglycémie sévère, une maladie dans laquelle l’organisme ne peut maintenir la concentration de sucre dans le sang.
RÉAGIR
Les troubles de la glycémie (la concentration de sucre dans le sang) ont deux versants: l’excès (qu’on retrouve dans le diabète) et le manque dont peuvent souffrir occasionnellement les diabétiques et plus fréquemment les personnes atteintes d’une forme rare d’hypoglycémie sévère. Ces patients sont contraints de manger de nombreuses fois par jour, environ toutes les trois heures, sans cela ils risquent de perdre conscience voire de tomber dans le coma.
Dans la revue Science, des chercheurs de l’université de Cambridge annoncent avoir identifié une enzyme suractivée chez les personnes ayant une forme sévère et handicapante d'hypoglycémie. En étudiant les séquences génomiques de trois enfants malades non apparentés, ils ont découvert qu'ils partageaient la même mutation sur le gène AKT2 qui code pour une enzyme impliquée dans les voies de signalisation intracellulaires contrôlées par l'insuline (l’hormone permettant de réguler le taux sanguin de sucre).
Les personnes ayant une mutation qui inactive l'enzyme AKT2 ont des taux élevés de sucre dans le sang et sont très résistants à l'insuline. La mutation identifiée par les chercheurs a des effets opposés : elle provoque une activation permanente de l'enzyme indépendamment des niveaux d'insuline et perturbe ainsi radicalement le mécanisme de régulation de la glycémie dans le corps.
Les auteurs estiment que cette découverte pourra servir à mettre au point de nouveaux traitements contre ce trouble.
J.I.
Sciences et Avenir.fr
07/10/2011
07-10-11 à 16:38 Réagir
Une mutation sur un gène expliquerait les symptômes des malades souffrant d’hypoglycémie sévère, une maladie dans laquelle l’organisme ne peut maintenir la concentration de sucre dans le sang.
RÉAGIR
Les troubles de la glycémie (la concentration de sucre dans le sang) ont deux versants: l’excès (qu’on retrouve dans le diabète) et le manque dont peuvent souffrir occasionnellement les diabétiques et plus fréquemment les personnes atteintes d’une forme rare d’hypoglycémie sévère. Ces patients sont contraints de manger de nombreuses fois par jour, environ toutes les trois heures, sans cela ils risquent de perdre conscience voire de tomber dans le coma.
Dans la revue Science, des chercheurs de l’université de Cambridge annoncent avoir identifié une enzyme suractivée chez les personnes ayant une forme sévère et handicapante d'hypoglycémie. En étudiant les séquences génomiques de trois enfants malades non apparentés, ils ont découvert qu'ils partageaient la même mutation sur le gène AKT2 qui code pour une enzyme impliquée dans les voies de signalisation intracellulaires contrôlées par l'insuline (l’hormone permettant de réguler le taux sanguin de sucre).
Les personnes ayant une mutation qui inactive l'enzyme AKT2 ont des taux élevés de sucre dans le sang et sont très résistants à l'insuline. La mutation identifiée par les chercheurs a des effets opposés : elle provoque une activation permanente de l'enzyme indépendamment des niveaux d'insuline et perturbe ainsi radicalement le mécanisme de régulation de la glycémie dans le corps.
Les auteurs estiment que cette découverte pourra servir à mettre au point de nouveaux traitements contre ce trouble.
J.I.
Sciences et Avenir.fr
07/10/2011
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Protelos : Attention à son usage selon l'Afssaps
L'Afssaps met en garde contre le Protelos. Selon elle, le médicament anti-ostéoporose présente un risque pour les patientes de moins de 80 ans ayant une intolérance aux bisphosphonates.
Le Protelos était en ligne de mire de l'Afssaps, il y a quelques semaines. Mais après plusieurs rebondissements, la Commission d'autorisation de mise sur le marché, qui s'était réunie le 28 septembre, à décider de maintenir le médicament en vente dans les pharmacies. Mais ce vendredi, l'agence du médicament (Afssaps) a adressé une mise en garde aux professionnels de santé pour qu'ils restreignent l'emploi du Protelos aux patientes de moins de 80 ans ayant une intolérance aux bisphosphonates et à risque élevé de fractures.
L'Agence de sécurité sanitaire des produits de santé indique par ailleurs dans un communiqué avoir décidé de saisir l'Agence européenne du médicament (Ema) afin d'engager une procédure de réévaluation internationale du rapport bénéfice/risque. Ce médicament des laboratoires Servier, utilisé après la ménopause pour réduire l'ostéoporose et les risques de fractures osseuses, est commercialisé depuis 2004 en France. Le taux de remboursement par la sécurité sociale est de 65 %. Il a été prescrit à près de 400.000 femmes et fait l'objet d'une surveillance renforcée depuis 2007. Le Protelos risque par ailleurs un abaissement de son taux de remboursement. En septembre, la Has a en effet revu à la baisse le service médical rendu de ce médicament, « d'important » à « modéré », suggérant une baisse de son taux de remboursement de 65 à 35%
L'Afssaps rappelle que les données de pharmacovigilance montrent la persistance d'effets indésirables graves thrombo-emboliques veineux, et de risque allergique. Par arrêté en date du 12 septembre, le gouvernement a déjà décidé de limiter les conditions de remboursement du Protelos aux seules patientes à risque élevé de fracture ayant une contre-indication aux bisphosphonates ou «n'ayant pas d'antécédent d'événement thrombo-embolique veineux ou d'autres facteurs de risque d'événement thrombo-embolique veineux, notamment l'âge supérieur à 80 ans ». En mai dernier, la Haute autorité de santé avait recommandé de l'utiliser seulement en deuxième ligne et pas chez les femmes de plus de 80 ans. Les jours du Protelos semblent comptés.
France soir
L'Afssaps met en garde contre le Protelos. Selon elle, le médicament anti-ostéoporose présente un risque pour les patientes de moins de 80 ans ayant une intolérance aux bisphosphonates.
Le Protelos était en ligne de mire de l'Afssaps, il y a quelques semaines. Mais après plusieurs rebondissements, la Commission d'autorisation de mise sur le marché, qui s'était réunie le 28 septembre, à décider de maintenir le médicament en vente dans les pharmacies. Mais ce vendredi, l'agence du médicament (Afssaps) a adressé une mise en garde aux professionnels de santé pour qu'ils restreignent l'emploi du Protelos aux patientes de moins de 80 ans ayant une intolérance aux bisphosphonates et à risque élevé de fractures.
L'Agence de sécurité sanitaire des produits de santé indique par ailleurs dans un communiqué avoir décidé de saisir l'Agence européenne du médicament (Ema) afin d'engager une procédure de réévaluation internationale du rapport bénéfice/risque. Ce médicament des laboratoires Servier, utilisé après la ménopause pour réduire l'ostéoporose et les risques de fractures osseuses, est commercialisé depuis 2004 en France. Le taux de remboursement par la sécurité sociale est de 65 %. Il a été prescrit à près de 400.000 femmes et fait l'objet d'une surveillance renforcée depuis 2007. Le Protelos risque par ailleurs un abaissement de son taux de remboursement. En septembre, la Has a en effet revu à la baisse le service médical rendu de ce médicament, « d'important » à « modéré », suggérant une baisse de son taux de remboursement de 65 à 35%
L'Afssaps rappelle que les données de pharmacovigilance montrent la persistance d'effets indésirables graves thrombo-emboliques veineux, et de risque allergique. Par arrêté en date du 12 septembre, le gouvernement a déjà décidé de limiter les conditions de remboursement du Protelos aux seules patientes à risque élevé de fracture ayant une contre-indication aux bisphosphonates ou «n'ayant pas d'antécédent d'événement thrombo-embolique veineux ou d'autres facteurs de risque d'événement thrombo-embolique veineux, notamment l'âge supérieur à 80 ans ». En mai dernier, la Haute autorité de santé avait recommandé de l'utiliser seulement en deuxième ligne et pas chez les femmes de plus de 80 ans. Les jours du Protelos semblent comptés.
France soir
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Surpoids : Mieux vaut prévenir que faire un régime
Pour combattre le surpoids, la Haute autorité de santé conseille d'éviter les régimes, cause d'effet yo-yo.
La Haute autorité de santé propose de changer durablement les habitudes des personnes en surpoids
Un rapport de la Haute autorité de santé publié jeudi souligne l'effet néfaste des régimes dans la lutte contre l'obésité. Les experts les considèrent comme « nocifs et inefficaces à long terme. » Ce qui confirme les prises de position antérieures. Au contraire, « la prise en charge médicale doit aider le patient à trouver un équilibre alimentaire en changeant durablement ses habitudes », une notion un peu vague pour tous ceux qui attendent une solution « clés en main ». Un médecin généraliste doit réaliser un suivi régulier sur au moins deux ans, en évitant tout discours culpabilisant ou stigmatisant. Chez les enfants, si l'excès de poids est installé à la puberté, le risque de rester en surpoids ou obèse est élevé (entre 20 et 50% avant la puberté et entre 50 et 70% après la puberté), note la Haute autorité de santé qui recommande de réagir à temps. Par exemple en réalisant une mesure régulière de la taille et du poids de l'enfant, et ce, dès les premiers mois de la vie.
"Pas de solution miracle"
La Haute autorité de santé déconseille également toute prise de médicaments amaigrissants, comme Alli (orlistat), en vente libre en pharmacie jugé inefficace. « Nous ne recommandons aucun régime amaigrissant, ni aucun médicament », dit cet organisme, en rappelant qu'« il n'y a pas de solution miracle ». En France, 15 % des adultes et 3,5 % des enfants présentent une obésité, 32 % des adultes et 14,5 % des enfants sont en surpoids, soit un adulte sur deux et un enfant sur cinq en excès de poids. Et les conséquences du surpoids et de l'obésité sont nombreuses et parfois graves : augmentation du risque de diabète, de maladies cardio-vasculaires, conséquences morphologiques et esthétiques, stigmatisation, retentissement psychologique... « L'obésité est un fléau à l'origine de 40 fois plus de morts subites, de 6 fois plus de maladies cardio-vasculaires et de dix fois plus de diabète », par rapport à une personne de poids normal, souligne le Dr Cédric Grouchka de la Haute autorité de santé. L'organisme propose donc une série de fiches pratiques pour mieux prendre en charge et dépister l'embonpoint.
Les conseils
La Haute autorité de santé propose de changer durablement les habitudes des personnes en surpoids car la HAS précise que, pour les adultes en surpoids, il ne s'agit pas de maigrir, mais avant tout le stabiliser son poids. En ce qui concerne la pratique d'une activité physique - et pas obligatoirement d'un sport -, le message est clair : l'objectif est d'atteindre au moins 2 h 30 par semaine d'activité d'intensité modérée pour les adultes et d'une heure par jour pour les enfants, qui doivent par ailleurs passer moins de temps devant un écran...
France soir
Pour combattre le surpoids, la Haute autorité de santé conseille d'éviter les régimes, cause d'effet yo-yo.
La Haute autorité de santé propose de changer durablement les habitudes des personnes en surpoids
Un rapport de la Haute autorité de santé publié jeudi souligne l'effet néfaste des régimes dans la lutte contre l'obésité. Les experts les considèrent comme « nocifs et inefficaces à long terme. » Ce qui confirme les prises de position antérieures. Au contraire, « la prise en charge médicale doit aider le patient à trouver un équilibre alimentaire en changeant durablement ses habitudes », une notion un peu vague pour tous ceux qui attendent une solution « clés en main ». Un médecin généraliste doit réaliser un suivi régulier sur au moins deux ans, en évitant tout discours culpabilisant ou stigmatisant. Chez les enfants, si l'excès de poids est installé à la puberté, le risque de rester en surpoids ou obèse est élevé (entre 20 et 50% avant la puberté et entre 50 et 70% après la puberté), note la Haute autorité de santé qui recommande de réagir à temps. Par exemple en réalisant une mesure régulière de la taille et du poids de l'enfant, et ce, dès les premiers mois de la vie.
"Pas de solution miracle"
La Haute autorité de santé déconseille également toute prise de médicaments amaigrissants, comme Alli (orlistat), en vente libre en pharmacie jugé inefficace. « Nous ne recommandons aucun régime amaigrissant, ni aucun médicament », dit cet organisme, en rappelant qu'« il n'y a pas de solution miracle ». En France, 15 % des adultes et 3,5 % des enfants présentent une obésité, 32 % des adultes et 14,5 % des enfants sont en surpoids, soit un adulte sur deux et un enfant sur cinq en excès de poids. Et les conséquences du surpoids et de l'obésité sont nombreuses et parfois graves : augmentation du risque de diabète, de maladies cardio-vasculaires, conséquences morphologiques et esthétiques, stigmatisation, retentissement psychologique... « L'obésité est un fléau à l'origine de 40 fois plus de morts subites, de 6 fois plus de maladies cardio-vasculaires et de dix fois plus de diabète », par rapport à une personne de poids normal, souligne le Dr Cédric Grouchka de la Haute autorité de santé. L'organisme propose donc une série de fiches pratiques pour mieux prendre en charge et dépister l'embonpoint.
Les conseils
La Haute autorité de santé propose de changer durablement les habitudes des personnes en surpoids car la HAS précise que, pour les adultes en surpoids, il ne s'agit pas de maigrir, mais avant tout le stabiliser son poids. En ce qui concerne la pratique d'une activité physique - et pas obligatoirement d'un sport -, le message est clair : l'objectif est d'atteindre au moins 2 h 30 par semaine d'activité d'intensité modérée pour les adultes et d'une heure par jour pour les enfants, qui doivent par ailleurs passer moins de temps devant un écran...
France soir
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Memo a écrit :J'espère que tout se passera bien pour toi!!de rien Je ne peux pas le faire demain car je suis hospitalisée pour la journée. est ce que quelqu'un peut le faire à ma place.
merci
merci c'es gentil

ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Re: Actualités concours 2012
Tant mieux alors!!missdu33 a écrit :Memo a écrit :J'espère que tout se passera bien pour toi!!de rien Je ne peux pas le faire demain car je suis hospitalisée pour la journée. est ce que quelqu'un peut le faire à ma place.
merci
merci c'es gentiltout c'est bien passé!!

Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités concours 2012
Lille : le patron du Carlton soupçonné de proxénétisme
Le directeur manager de l'hôtel Carlton de Lille a été mis en examen pour proxénétisme aggravé commis en bande organisée. Il a été placé sous mandat de dépôt vendredi soir, à l'issue de son audition par les juges d'instruction en charge de l'affaire. Son directeur des relations publiques avait été mis en examen et écroué jeudi soir dans la même affaire. «Les investigations se poursuivent», a indiqué le parquet dans un communiqué.
En février 2011, la Direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) de Lille avait ouvert une enquête, «à la suite de renseignements desquels il ressortait qu'une personne travaillant dans deux hôtels de Lille proposait les services de prostituées parfois au sein de ces hôtels», a expliqué le parquet. A la suite de cette enquête, une information judiciaire contre X a été ouverte le 28 mars par le parquet de Lille pour des faits de proxénétisme aggravé en bande organisée, association de malfaiteurs et blanchiment.
Les deux hommes avaient été interpellés et placés en garde à vue mardi, dans le cadre de ces investigations. Selon des sources proches du dossier, le directeur des relations publiques du Carlton est une personnalité bien connue dans le monde de la nuit lillois, «avec beaucoup d'entregent». Le parquet a également indiqué que «des liens avec des personnes gérant plusieurs établissements de prostitution et bars en Belgique ont également été mis en évidence».
La police de Courtrai (Belgique) avait interpellé samedi quatre personnes qui ont été mises en examen et écrouées pour des faits de proxénétisme. Parmi elles se trouve un chef d'entreprise français, notamment propriétaire de salons de massage en Belgique. Le parquet de Courtrai avait déjà confirmé l'existence d'«un lien probable» avec l'affaire lilloise, sans vouloir en préciser la nature.
LeParisien.fr
Le directeur manager de l'hôtel Carlton de Lille a été mis en examen pour proxénétisme aggravé commis en bande organisée. Il a été placé sous mandat de dépôt vendredi soir, à l'issue de son audition par les juges d'instruction en charge de l'affaire. Son directeur des relations publiques avait été mis en examen et écroué jeudi soir dans la même affaire. «Les investigations se poursuivent», a indiqué le parquet dans un communiqué.
En février 2011, la Direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) de Lille avait ouvert une enquête, «à la suite de renseignements desquels il ressortait qu'une personne travaillant dans deux hôtels de Lille proposait les services de prostituées parfois au sein de ces hôtels», a expliqué le parquet. A la suite de cette enquête, une information judiciaire contre X a été ouverte le 28 mars par le parquet de Lille pour des faits de proxénétisme aggravé en bande organisée, association de malfaiteurs et blanchiment.
Les deux hommes avaient été interpellés et placés en garde à vue mardi, dans le cadre de ces investigations. Selon des sources proches du dossier, le directeur des relations publiques du Carlton est une personnalité bien connue dans le monde de la nuit lillois, «avec beaucoup d'entregent». Le parquet a également indiqué que «des liens avec des personnes gérant plusieurs établissements de prostitution et bars en Belgique ont également été mis en évidence».
La police de Courtrai (Belgique) avait interpellé samedi quatre personnes qui ont été mises en examen et écrouées pour des faits de proxénétisme. Parmi elles se trouve un chef d'entreprise français, notamment propriétaire de salons de massage en Belgique. Le parquet de Courtrai avait déjà confirmé l'existence d'«un lien probable» avec l'affaire lilloise, sans vouloir en préciser la nature.
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Re: Actualités concours 2012
Trois infirmières blessées à Lyon : Nora Berra "choquée"
Lors d'une manifestation de personnels hospitaliers, trois infirmières ont été blessées dans une chute, alors que les CRS "gazaient". Nora Berra, secrétaire d'Etat chargée de la Santé se dit ce vendredi "choquée".
Près de 1.500 personnes se sont réunies à Lyon, alors que se tenait l’assemblée de la Fédération des Etablissements Hospitaliers et d’Aide à la Personne (FEHAP). Ces personnels hospitaliers protestaient contre « la casse des conventions collectives du secteur médico-social », rapporte Le Progrès. Mais, dans un mouvement de foule, entraîner par des gazages de CRS, trois manifestantes ont fait une chute de 3 mètres après qu’une grille au sol ait cédé. Deux des victimes, âgées de 40 et 50 ans, et originaires de Saint-Etienne, ont été grièvement blessées. Elles ont été évacuées dans deux hôpitaux de la ville. Deux d'entre elles sont grièvement blessées. L’état d’une des victimes inspire de « grandes inquiétudes » selon une source proche de l’enquête. Dans un communiqué, la préfecture du Rhône a indiqué que « les blessures occasionnées aux personnes ne sont pas directement liées à une charge des forces de l’ordre ».
Nora Berra "choquée"
La secrétaire d'Etat chargée de la Santé, Nora Berra, s'est dite « choquée » ce vendredi après l'accident « dramatique » et a demandé des comptes au maire (PS) de la ville. Elle a insisité : « Ce qui est arrivé hier est dramatique. Je pense à ces infirmières, à leurs familles qui ne comprennent pas aujourd'hui (ce qu'il s'est passé, NDLR) et qui sont dans l'incompréhension la plus totale ». Alors qu'elle est aussi conseillère municipale de Lyon, elle n'a pas hésité à demander des comptes au maire socialiste de Lyon, Gérard Collomb : « Je pose la question au maire de Lyon de nous faire toute la lumière de cette situation et de nous dire pourquoi cette grille, qui devait être scellée, ne l'était pas.»
France soir
Lors d'une manifestation de personnels hospitaliers, trois infirmières ont été blessées dans une chute, alors que les CRS "gazaient". Nora Berra, secrétaire d'Etat chargée de la Santé se dit ce vendredi "choquée".
Près de 1.500 personnes se sont réunies à Lyon, alors que se tenait l’assemblée de la Fédération des Etablissements Hospitaliers et d’Aide à la Personne (FEHAP). Ces personnels hospitaliers protestaient contre « la casse des conventions collectives du secteur médico-social », rapporte Le Progrès. Mais, dans un mouvement de foule, entraîner par des gazages de CRS, trois manifestantes ont fait une chute de 3 mètres après qu’une grille au sol ait cédé. Deux des victimes, âgées de 40 et 50 ans, et originaires de Saint-Etienne, ont été grièvement blessées. Elles ont été évacuées dans deux hôpitaux de la ville. Deux d'entre elles sont grièvement blessées. L’état d’une des victimes inspire de « grandes inquiétudes » selon une source proche de l’enquête. Dans un communiqué, la préfecture du Rhône a indiqué que « les blessures occasionnées aux personnes ne sont pas directement liées à une charge des forces de l’ordre ».
Nora Berra "choquée"
La secrétaire d'Etat chargée de la Santé, Nora Berra, s'est dite « choquée » ce vendredi après l'accident « dramatique » et a demandé des comptes au maire (PS) de la ville. Elle a insisité : « Ce qui est arrivé hier est dramatique. Je pense à ces infirmières, à leurs familles qui ne comprennent pas aujourd'hui (ce qu'il s'est passé, NDLR) et qui sont dans l'incompréhension la plus totale ». Alors qu'elle est aussi conseillère municipale de Lyon, elle n'a pas hésité à demander des comptes au maire socialiste de Lyon, Gérard Collomb : « Je pose la question au maire de Lyon de nous faire toute la lumière de cette situation et de nous dire pourquoi cette grille, qui devait être scellée, ne l'était pas.»
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Re: Actualités concours 2012
Voile intégral : Deux femmes du polygame Lies Hebbadj verbalisées
L'épouse et une des concubines de Lies Hebbadj ont été condamnées, ce jeudi, pour port du voile intégral dans un lieu public, à Rezé, au sud de Nantes.
Lies Hebbadj est à nouveau au coeur de la polémique. Cet épicier nantais avait déjà défrayé la chronique lorsque une des ses compagnes avait été condamnée pour port du niqab. C'est pour cette même raison qu'il refait parler de lui ce vendredi. En effet, son épouse et une de ses autres concubines ont été verbalisées pour port du voile intégral, ce jeudi, à Rezé, au sud de Nantes, selon une source judiciaire.
Le contrôle a été réalisé car de nombreuses personnes avaient déposé des plaintes concernant des tensions communautaires dans le quartier. Les deux femmes, qui venaient d'accompagner leurs enfants à l'école, se sont montrées coopératives et ont accepté de montrer leur visage aux agents qui ont constaté l'infraction. L'une d'elle n'avait pas ses papiers et les agents ont dû l'accompagner à son domicile pour qu'elle justifie son identité. Elles doivent être convoquées à une date ultérieure par un officier de police judiciaire pour être auditionnées et être éventuellement verbalisées. Elles risquent 150 euros d'amende et/ou un stage de citoyenneté.
Amende et mise en examen
Pour autant, si elles sont verbalisées, « elles entendent bien contester » a indiqué l'avocat de Sandrine Mouleres, maître Jean-Michel Pollono. Cette jeune femme, une autre des concubines de Lies Hebbadj, avait discuté son PV de 22 euros reçu pour port du voile intégral au volant. Elle avait obtenu gain de cause devant le tribunal administratif de Nantes, en décembre de la même année. L'avocat affirme aussi que Sandrine Mouleres ne faisait pas partie des deux jeunes femmes interpellées.
Liès Hebbadj avait de son côté été condamné le 17 novembre 2010 à 700 euros d'amende pour abus de confiance, après avoir réglé ses premiers frais d'avocats avec le chéquier de l'association qu'il présidait. Il a également été mis en examen pour escroqueries et fraudes aux prestations sociales pour avoir fait des déclarations mensongères pour obtenir des allocations familiales. Le commerçant a également été mis en examen pour viols aggravés sur une de ses ex-compagnes. C'est, entre autres, la médiatisation de cette affaire qui avait conduit le Parlement a voté, en avril, l'interdiction du voile intégral dans les lieux publics.
France soir
L'épouse et une des concubines de Lies Hebbadj ont été condamnées, ce jeudi, pour port du voile intégral dans un lieu public, à Rezé, au sud de Nantes.
Lies Hebbadj est à nouveau au coeur de la polémique. Cet épicier nantais avait déjà défrayé la chronique lorsque une des ses compagnes avait été condamnée pour port du niqab. C'est pour cette même raison qu'il refait parler de lui ce vendredi. En effet, son épouse et une de ses autres concubines ont été verbalisées pour port du voile intégral, ce jeudi, à Rezé, au sud de Nantes, selon une source judiciaire.
Le contrôle a été réalisé car de nombreuses personnes avaient déposé des plaintes concernant des tensions communautaires dans le quartier. Les deux femmes, qui venaient d'accompagner leurs enfants à l'école, se sont montrées coopératives et ont accepté de montrer leur visage aux agents qui ont constaté l'infraction. L'une d'elle n'avait pas ses papiers et les agents ont dû l'accompagner à son domicile pour qu'elle justifie son identité. Elles doivent être convoquées à une date ultérieure par un officier de police judiciaire pour être auditionnées et être éventuellement verbalisées. Elles risquent 150 euros d'amende et/ou un stage de citoyenneté.
Amende et mise en examen
Pour autant, si elles sont verbalisées, « elles entendent bien contester » a indiqué l'avocat de Sandrine Mouleres, maître Jean-Michel Pollono. Cette jeune femme, une autre des concubines de Lies Hebbadj, avait discuté son PV de 22 euros reçu pour port du voile intégral au volant. Elle avait obtenu gain de cause devant le tribunal administratif de Nantes, en décembre de la même année. L'avocat affirme aussi que Sandrine Mouleres ne faisait pas partie des deux jeunes femmes interpellées.
Liès Hebbadj avait de son côté été condamné le 17 novembre 2010 à 700 euros d'amende pour abus de confiance, après avoir réglé ses premiers frais d'avocats avec le chéquier de l'association qu'il présidait. Il a également été mis en examen pour escroqueries et fraudes aux prestations sociales pour avoir fait des déclarations mensongères pour obtenir des allocations familiales. Le commerçant a également été mis en examen pour viols aggravés sur une de ses ex-compagnes. C'est, entre autres, la médiatisation de cette affaire qui avait conduit le Parlement a voté, en avril, l'interdiction du voile intégral dans les lieux publics.
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Re: Actualités concours 2012
Quand la Macif espionne ses salariés
A Vénissieux, un cadre de la Macif a établi une liste jugée « humiliante » dans laquelle il jugeait chacun des salariés. Les syndicats dénoncent un management intolérable chez l’assureur.
« Sournoise », « nonchalant », « proche des syndicats », « déficient visuel »… La liste est encore longue. Pour chacun de ses vingt-neuf employés, un cadre, chef d’équipe de la Macif, mutuelle d’assurances à Vénissieux (Rhône-Alpes), avait inscrit dans son carnet quelques mots pour qualifier leur personnalité. A côté de chaque prénom, des phrases, lapidaires pour la plupart. Le 17 juin, un salarié tombe dessus, photocopie les trois pages de notes et alerte les délégués du personnel. Tous tombent des nues. « Nous avons tout de suite anonymisé les noms, mais certains dans l’équipe se sont reconnus et ont été très touchés, très abîmés moralement. Ce sont des jeunes pour la plupart, ils ne s’attendaient pas à ce que l’on pense cela d’eux », confie Sylvie Herreros, déléguée du personnel CGT. Les syndicats se présentent à la direction avec la liste. « J’étais abasourdi et nous avons pris des mesures immédiates en mutant ce cadre dans un poste où il n’encadre plus de salariés », explique Jean-Octave Dupont, directeur régional de la Macif Rhône-Alpes.
Un suicide et une tentative
L’affaire aurait pu s’arrêter là si un autre cadre dirigeant n’avait pas décidé de mener l’enquête sur le « coupable », l’employé qui a osé photocopier la liste. « Il a été très inquisitorial et s’est montré menaçant, notamment sur le plan professionnel, pour inciter l’équipe à dénoncer la source. Ils étaient terrorisés. Ce double discours de la direction, qui a préféré s’intéresser à la source plutôt qu’au problème de fond, nous a semblé inadmissible », s’indigne Sylvie Herreros.
Délation, dénigrement, pression : la déléguée évoque un paradoxe « incompréhensible » pour « une entreprise d’économie sociale et solidaire ». « En réalité, ce n’est que l’arbre qui cache la forêt. On ne veut pas pointer du doigt une seule personne, car il y a un réel problème de management à la Macif, qui conduit à des dérives. La direction a introduit en 2007 des notations individuelles, des outils de contrôle et des classements entre salariés, tandis que les objectifs fixés sont inatteignables. Les gens craquent », explique Sylvie Herreros. Patrick Allot, lui aussi délégué syndical CGT sur le site, confirme. « Il y a une politique du chiffre brutale. Les gens vont de plus en plus mal au boulot, on leur reproche de ne pas assez vendre, l’absentéisme et les arrêts maladie s’intensifient. Il y a quelques mois, un salarié s’est suicidé à Poissy, un autre a tenté de se suicider en Rhône-Alpes en dénonçant un harcèlement. »
"Messages d’appel à l’aide"
Pour la direction, le comportement du cadre à l’origine de cette liste est « un cas isolé ». « Il s’est justifié en expliquant qu’il avait retranscrit ses impressions par écrit car il avait pris ce poste récemment et ne connaissait pas encore bien son équipe. Evidemment, c’est intolérable, mais il s’agit d’un cas isolé. Nous avons réalisé au premier semestre une enquête interne pour mesurer l’état d’esprit de nos salariés. Une large majorité y a répondu. 91 % disent se sentir bien dans l’entreprise, 81 % sont satisfaits de leur encadrement. Les chiffres parlent d’eux-mêmes ! » Sylvie Herreros répond, cinglante : « Nous, notre baromètre interne, ce sont les messages d’appel à l’aide que nous recevons chaque semaine en tant que délégués du personnel. Les gens sont las, très las. On leur demande d’avoir la parole conforme et de courber l’échine. »
Une affaire similaire chez Décathlon
La semaine dernière, une affaire similaire a été révélée au grand jour à Décathlon, en Isère. « Santé fragile », « n’est pas valeur d’exemple », « dynamique de merde », « cas social » : c’est ce qu’ont pu lire les salariés d’un entrepôt dans un fichier nominatif découvert en juillet. Sur sept pages, le document, rédigé à la main comme dans l’affaire de la Macif, parle de onze salariés d’une équipe logistique d’un entrepôt de Saint-Quentin-Fallavier. Pour chacun, sont indiqués son ancienneté, son niveau d’études, mais sont délivrées aussi des appréciations cinglantes sur des attitudes telles que « consciente qu’elle n’a rien à faire ici », « fait des histoires »…
Le fichier, découvert à l’occasion d’un déménagement début juillet sur l’armoire d’un open space, était en fait un « cahier de passation » entre deux responsables d’équipe qui se sont succédé. « Les propos insultants et humiliants font de plus référence à la vie privée des salariés », s’est offusqué le délégué central de la CGT, Frédéric Le Meur, qui a annoncé avec la CFDT et la CFE-CGC son intention de porter plainte
France soir
A Vénissieux, un cadre de la Macif a établi une liste jugée « humiliante » dans laquelle il jugeait chacun des salariés. Les syndicats dénoncent un management intolérable chez l’assureur.
« Sournoise », « nonchalant », « proche des syndicats », « déficient visuel »… La liste est encore longue. Pour chacun de ses vingt-neuf employés, un cadre, chef d’équipe de la Macif, mutuelle d’assurances à Vénissieux (Rhône-Alpes), avait inscrit dans son carnet quelques mots pour qualifier leur personnalité. A côté de chaque prénom, des phrases, lapidaires pour la plupart. Le 17 juin, un salarié tombe dessus, photocopie les trois pages de notes et alerte les délégués du personnel. Tous tombent des nues. « Nous avons tout de suite anonymisé les noms, mais certains dans l’équipe se sont reconnus et ont été très touchés, très abîmés moralement. Ce sont des jeunes pour la plupart, ils ne s’attendaient pas à ce que l’on pense cela d’eux », confie Sylvie Herreros, déléguée du personnel CGT. Les syndicats se présentent à la direction avec la liste. « J’étais abasourdi et nous avons pris des mesures immédiates en mutant ce cadre dans un poste où il n’encadre plus de salariés », explique Jean-Octave Dupont, directeur régional de la Macif Rhône-Alpes.
Un suicide et une tentative
L’affaire aurait pu s’arrêter là si un autre cadre dirigeant n’avait pas décidé de mener l’enquête sur le « coupable », l’employé qui a osé photocopier la liste. « Il a été très inquisitorial et s’est montré menaçant, notamment sur le plan professionnel, pour inciter l’équipe à dénoncer la source. Ils étaient terrorisés. Ce double discours de la direction, qui a préféré s’intéresser à la source plutôt qu’au problème de fond, nous a semblé inadmissible », s’indigne Sylvie Herreros.
Délation, dénigrement, pression : la déléguée évoque un paradoxe « incompréhensible » pour « une entreprise d’économie sociale et solidaire ». « En réalité, ce n’est que l’arbre qui cache la forêt. On ne veut pas pointer du doigt une seule personne, car il y a un réel problème de management à la Macif, qui conduit à des dérives. La direction a introduit en 2007 des notations individuelles, des outils de contrôle et des classements entre salariés, tandis que les objectifs fixés sont inatteignables. Les gens craquent », explique Sylvie Herreros. Patrick Allot, lui aussi délégué syndical CGT sur le site, confirme. « Il y a une politique du chiffre brutale. Les gens vont de plus en plus mal au boulot, on leur reproche de ne pas assez vendre, l’absentéisme et les arrêts maladie s’intensifient. Il y a quelques mois, un salarié s’est suicidé à Poissy, un autre a tenté de se suicider en Rhône-Alpes en dénonçant un harcèlement. »
"Messages d’appel à l’aide"
Pour la direction, le comportement du cadre à l’origine de cette liste est « un cas isolé ». « Il s’est justifié en expliquant qu’il avait retranscrit ses impressions par écrit car il avait pris ce poste récemment et ne connaissait pas encore bien son équipe. Evidemment, c’est intolérable, mais il s’agit d’un cas isolé. Nous avons réalisé au premier semestre une enquête interne pour mesurer l’état d’esprit de nos salariés. Une large majorité y a répondu. 91 % disent se sentir bien dans l’entreprise, 81 % sont satisfaits de leur encadrement. Les chiffres parlent d’eux-mêmes ! » Sylvie Herreros répond, cinglante : « Nous, notre baromètre interne, ce sont les messages d’appel à l’aide que nous recevons chaque semaine en tant que délégués du personnel. Les gens sont las, très las. On leur demande d’avoir la parole conforme et de courber l’échine. »
Une affaire similaire chez Décathlon
La semaine dernière, une affaire similaire a été révélée au grand jour à Décathlon, en Isère. « Santé fragile », « n’est pas valeur d’exemple », « dynamique de merde », « cas social » : c’est ce qu’ont pu lire les salariés d’un entrepôt dans un fichier nominatif découvert en juillet. Sur sept pages, le document, rédigé à la main comme dans l’affaire de la Macif, parle de onze salariés d’une équipe logistique d’un entrepôt de Saint-Quentin-Fallavier. Pour chacun, sont indiqués son ancienneté, son niveau d’études, mais sont délivrées aussi des appréciations cinglantes sur des attitudes telles que « consciente qu’elle n’a rien à faire ici », « fait des histoires »…
Le fichier, découvert à l’occasion d’un déménagement début juillet sur l’armoire d’un open space, était en fait un « cahier de passation » entre deux responsables d’équipe qui se sont succédé. « Les propos insultants et humiliants font de plus référence à la vie privée des salariés », s’est offusqué le délégué central de la CGT, Frédéric Le Meur, qui a annoncé avec la CFDT et la CFE-CGC son intention de porter plainte
France soir
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Actualités concours 2012
La méthode miracle contre les infections nosocomiales
Les murs sont décorés de fresques colorées, les mobiles s’agitent au-dessus des lits à barreaux, des jouets traînent dans un coin à l’accueil : le service de pédiatrie de l’hôpital de Rambouillet, dans les Yvelines, ressemble à un service de pédiatrie ordinaire… Si ce n’est un détail, d’importance : depuis le mois d’août, le cuivre, matériau aux propriétés antibactériennes très puissantes, a fait son apparition dans ce service, ainsi qu’en réanimation. Le but est de réussir à lutter efficacement contre les infections nosocomiales, qui touchent chaque année 700.000 patients en France. Les poignées de porte en acier, les interrupteurs en plastique, les rampes en bois, et de nombreux autres équipements ont été remplacés par des installations en cuivre. « C’est une première en France. Le cuivre va ajouter son efficacité propre à l’ensemble des mesures d’hygiène déjà prises », estime le Dr Patrick Pina, chef du service hygiène de l’hôpital, chargé de mesurer l’impact de ce changement sur la transmission de bactéries multirésistantes et d’infections contagieuses, comme la bronchiolite et la gastro-entérite. « L’expérimentation prendra fin en décembre 2012 et, si les résultats sont concluants, nous pourrons décider de l’étendre à d’autres services. »
Bactéries tueuses
Pour les patients et leurs proches qui ont pu voir ces équipements, la satisfaction est au rendez-vous. L’aspect esthétique suscite néanmoins quelques interrogations. « En s’oxydant, le cuivre prend une teinte terne, qui peut donner l’impression que le matériau est usé ou taché. En réalité, il éradique constamment les bactéries à 99,9 % grâce à son pouvoir antibactérien naturel, puissant, et permanent », explique Olivier Tissot, directeur du Centre d’information du cuivre et promoteur de cette expérimentation. Cette propriété étonnante du cuivre a été démontrée en 1983 par une étude américaine comparant la croissance bactérienne sur une poignée en laiton et une autre en acier. Depuis, le marché se développe à petits pas. Selon Olivier Tissot, un hôpital de Birmingham en Angleterre a déjà expérimenté le procédé en 2007, suivi par d’autres établissements hospitaliers dans le monde, aux Etats-Unis, au Chili ou encore au Japon. En France, seul un établissement faisant office de crèche et de maison de retraite a franchi le pas en début d’année en Mayenne, sans toutefois mesurer l’impact sur la transmission des infections.
Si l’étude menée dans l’établissement s’avère concluante, la direction de l’hôpital suggère que des installations de ce type soient mises en place dans les écoles ou les transports en commun, de nombreuses infections étant véhiculées par les mains.
Pour Claude Rambaud, présidente du Lien (*), une association d’information et d’aide aux victimes d’infections nosocomiales et d’accidents médicaux, il est devenu nécessaire de lutter plus efficacement. « Cette expérimentation est une excellente nouvelle, car nous sommes face à des bactéries tueuses et, aujourd’hui, les antibiotiques ne suffisent plus, la prévention non plus. »
(*) Contact : www.lelien-association.fr ou au 01.46.99.04.45
Plus de 4.000 décès par an
Les infections nosocomiales désignent les infections contractées durant et après une hospitalisation. En France, près de 700.000 personnes sont concernées chaque année, et on estime que ces infections entraînent entre 4.000 et 5.000 décès. « Certains patients gardent des séquelles permanentes et ne peuvent plus jamais retravailler. Ils perdent leur autonomie, leur mobilité », témoigne Claude Rambaud, présidente du Lien (*). « Il y a une part de responsabilité des hôpitaux, car la plupart des infections pourraient être évitées si l’hygiène était parfaite. Cela peut parfois provenir de l’habillement, de cheveux mal lavés, de bijoux, mais aussi de défaillances dans les procédures de nettoyage. Or les patients ont une capacité de résistance bactérienne très faible. »
France soir
Les murs sont décorés de fresques colorées, les mobiles s’agitent au-dessus des lits à barreaux, des jouets traînent dans un coin à l’accueil : le service de pédiatrie de l’hôpital de Rambouillet, dans les Yvelines, ressemble à un service de pédiatrie ordinaire… Si ce n’est un détail, d’importance : depuis le mois d’août, le cuivre, matériau aux propriétés antibactériennes très puissantes, a fait son apparition dans ce service, ainsi qu’en réanimation. Le but est de réussir à lutter efficacement contre les infections nosocomiales, qui touchent chaque année 700.000 patients en France. Les poignées de porte en acier, les interrupteurs en plastique, les rampes en bois, et de nombreux autres équipements ont été remplacés par des installations en cuivre. « C’est une première en France. Le cuivre va ajouter son efficacité propre à l’ensemble des mesures d’hygiène déjà prises », estime le Dr Patrick Pina, chef du service hygiène de l’hôpital, chargé de mesurer l’impact de ce changement sur la transmission de bactéries multirésistantes et d’infections contagieuses, comme la bronchiolite et la gastro-entérite. « L’expérimentation prendra fin en décembre 2012 et, si les résultats sont concluants, nous pourrons décider de l’étendre à d’autres services. »
Bactéries tueuses
Pour les patients et leurs proches qui ont pu voir ces équipements, la satisfaction est au rendez-vous. L’aspect esthétique suscite néanmoins quelques interrogations. « En s’oxydant, le cuivre prend une teinte terne, qui peut donner l’impression que le matériau est usé ou taché. En réalité, il éradique constamment les bactéries à 99,9 % grâce à son pouvoir antibactérien naturel, puissant, et permanent », explique Olivier Tissot, directeur du Centre d’information du cuivre et promoteur de cette expérimentation. Cette propriété étonnante du cuivre a été démontrée en 1983 par une étude américaine comparant la croissance bactérienne sur une poignée en laiton et une autre en acier. Depuis, le marché se développe à petits pas. Selon Olivier Tissot, un hôpital de Birmingham en Angleterre a déjà expérimenté le procédé en 2007, suivi par d’autres établissements hospitaliers dans le monde, aux Etats-Unis, au Chili ou encore au Japon. En France, seul un établissement faisant office de crèche et de maison de retraite a franchi le pas en début d’année en Mayenne, sans toutefois mesurer l’impact sur la transmission des infections.
Si l’étude menée dans l’établissement s’avère concluante, la direction de l’hôpital suggère que des installations de ce type soient mises en place dans les écoles ou les transports en commun, de nombreuses infections étant véhiculées par les mains.
Pour Claude Rambaud, présidente du Lien (*), une association d’information et d’aide aux victimes d’infections nosocomiales et d’accidents médicaux, il est devenu nécessaire de lutter plus efficacement. « Cette expérimentation est une excellente nouvelle, car nous sommes face à des bactéries tueuses et, aujourd’hui, les antibiotiques ne suffisent plus, la prévention non plus. »
(*) Contact : www.lelien-association.fr ou au 01.46.99.04.45
Plus de 4.000 décès par an
Les infections nosocomiales désignent les infections contractées durant et après une hospitalisation. En France, près de 700.000 personnes sont concernées chaque année, et on estime que ces infections entraînent entre 4.000 et 5.000 décès. « Certains patients gardent des séquelles permanentes et ne peuvent plus jamais retravailler. Ils perdent leur autonomie, leur mobilité », témoigne Claude Rambaud, présidente du Lien (*). « Il y a une part de responsabilité des hôpitaux, car la plupart des infections pourraient être évitées si l’hygiène était parfaite. Cela peut parfois provenir de l’habillement, de cheveux mal lavés, de bijoux, mais aussi de défaillances dans les procédures de nettoyage. Or les patients ont une capacité de résistance bactérienne très faible. »
France soir
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie