Culture Générale
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Re: Actualités concours 2012
Une infirmière soupçonnée de fraude à la Sécurité sociale pour 700 000 euros
Une infirmière libérale âgée de 52 ans, qui exercait son métier à Condé-sur-l'Escaut, près de Valenciennes, a été mise en examen et placée sous contrôle judiciaire, mercredi, pour une escroquerie supposée à la Sécurité sociale. Il s'agirait d'environ 700 000 euros détournés depuis au moins trois ans.
Déjà poursuivie pour fraude fiscale entre 2006 et 2008, cette femme a été laissée libre sous contrôle judiciaire, assorti d'une série de conditions telles que l'interdiction d'exercer en tant qu'infirmière, d'entrer en contact avec ses anciens patients ou son comptable. Il lui est également interdit de signer des chèques.
"FAILLES DE CERTAINS SYSTÈMES DE CONTRÔLE"
L'enquête a été initiée cet été. C'est le régime social des indépendants (RSI) qui a signalé au comité opérationnel départemental anti-fraude (Codaf) du Nord l'activité anormale de l'infirmière condéenne.
De fait, l'audition des différentes caisses de sécurité sociale escroquées a révélé des modes opératoires aussi différents qu'efficaces, note le quotidien La Voix du Nord : surcotation des actes, déclaration d'actes médicaux fictifs ou indemnités kilométriques erronées. "Elle s'était rendu compte des failles de certains systèmes de contrôle des caisses de sécurité sociale", a indiqué Marie-Madeleine Alliot, procureure de la République à Valenciennes.
Ainsi, après quatre mois d'enquête, la division économique et financière de la police judiciaire de Lille a procédé aux interpellations de la mise en cause et de son mari. Déférés dans l'après-midi de mercredi devant le parquet de Valenciennes, ils ont été présentés à un juge d'instruction qui leur a signifié leur mise en examen, respectivement pour escroquerie et recel d'escroquerie, précise toujours le quotidien du Nord.
Le couple posséderait son domicile dans le Nord ainsi que des biens immobiliers à Bruxelles mais aussi dans le sud de la France et à Paris. "Nous avons demandé la saisie des biens immobiliers", les comptes bancaires ayant déjà été confisqués, a déclaré la procureure.
Le Monde.fr
Une infirmière libérale âgée de 52 ans, qui exercait son métier à Condé-sur-l'Escaut, près de Valenciennes, a été mise en examen et placée sous contrôle judiciaire, mercredi, pour une escroquerie supposée à la Sécurité sociale. Il s'agirait d'environ 700 000 euros détournés depuis au moins trois ans.
Déjà poursuivie pour fraude fiscale entre 2006 et 2008, cette femme a été laissée libre sous contrôle judiciaire, assorti d'une série de conditions telles que l'interdiction d'exercer en tant qu'infirmière, d'entrer en contact avec ses anciens patients ou son comptable. Il lui est également interdit de signer des chèques.
"FAILLES DE CERTAINS SYSTÈMES DE CONTRÔLE"
L'enquête a été initiée cet été. C'est le régime social des indépendants (RSI) qui a signalé au comité opérationnel départemental anti-fraude (Codaf) du Nord l'activité anormale de l'infirmière condéenne.
De fait, l'audition des différentes caisses de sécurité sociale escroquées a révélé des modes opératoires aussi différents qu'efficaces, note le quotidien La Voix du Nord : surcotation des actes, déclaration d'actes médicaux fictifs ou indemnités kilométriques erronées. "Elle s'était rendu compte des failles de certains systèmes de contrôle des caisses de sécurité sociale", a indiqué Marie-Madeleine Alliot, procureure de la République à Valenciennes.
Ainsi, après quatre mois d'enquête, la division économique et financière de la police judiciaire de Lille a procédé aux interpellations de la mise en cause et de son mari. Déférés dans l'après-midi de mercredi devant le parquet de Valenciennes, ils ont été présentés à un juge d'instruction qui leur a signifié leur mise en examen, respectivement pour escroquerie et recel d'escroquerie, précise toujours le quotidien du Nord.
Le couple posséderait son domicile dans le Nord ainsi que des biens immobiliers à Bruxelles mais aussi dans le sud de la France et à Paris. "Nous avons demandé la saisie des biens immobiliers", les comptes bancaires ayant déjà été confisqués, a déclaré la procureure.
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Re: Actualités concours 2012
Une femme porteuse d'implants mammaires PIP est morte
Une femme, ancienne porteuse des prothèses mammaires Poly Implant Prothèse (PIP), une entreprise du Var mise en liquidation judiciaire et dont le patron est soupçonné de fraude, est morte, indique l'Association des porteuses de prothèses PIP (PPP) dans un communiqué ajoutant qu'"Edwige, ancienne porteuse de prothèses mammaires défectueuses PIP rompues, [qui] avait contracté au contact des implants un lymphome [cancer du système lymphatique]", est morte lundi.
La présidente de l'association, accompagnée du médecin-expert de l'association, le docteur Dominique-Michel Courtois, sera reçue le 14 décembre au ministère de la santé "pour y exposer les faits et exiger des solutions adaptées".
LES PRATIQUE DE PIP MISES EN CAUSE
Une enquête préliminaire du pôle santé du parquet de Marseille avait été ouverte en mars 2010, parallèlement au retrait du marché de prothèses défectueuses par l'Agence des produits de santé (Afssaps) et à la mise en liquidation judiciaire de PIP. L'affaire avait été révélée fin mars quand l'Afssaps avait suspendu l'utilisation des prothèses mammaires à base de gel de silicone fabriquées par PIP.
En cause : un taux de rupture anormal, de l'ordre du double en termes de fréquence comparé aux autres fabricants, sachant que les implants ont habituellement une durée de vie d'une dizaine d'années.
Selon les éléments recueillis sur le site par les enquêteurs, PIP utilisait un gel de silicone différent de celui qui avait été déclaré aux autorités sanitaires. Des inspecteurs dépêchés sur place avaient repéré des fûts de matière première suspects et recueilli des confidences de salariés. Il a depuis été établi que le silicone utilisé n'était pas destiné à un usage médical, mais industriel, d'où une gélification favorisant les fuites à travers l'enveloppe de l'implant et pouvant la fragiliser jusqu'à la rupture.
Le nombre de femmes porteuses de prothèses PIP est évalué en France à 30 000, alors qu'une grande partie de la production de la société, un temps troisième fabricant mondial, a aussi été exportée, notamment en Grande-Bretagne et en Espagne. Quelque 1 400 plaintes ont été déposées auprès du procureur de la République de Marseille par des femmes porteuses de ces implants.
Le monde
Une femme, ancienne porteuse des prothèses mammaires Poly Implant Prothèse (PIP), une entreprise du Var mise en liquidation judiciaire et dont le patron est soupçonné de fraude, est morte, indique l'Association des porteuses de prothèses PIP (PPP) dans un communiqué ajoutant qu'"Edwige, ancienne porteuse de prothèses mammaires défectueuses PIP rompues, [qui] avait contracté au contact des implants un lymphome [cancer du système lymphatique]", est morte lundi.
La présidente de l'association, accompagnée du médecin-expert de l'association, le docteur Dominique-Michel Courtois, sera reçue le 14 décembre au ministère de la santé "pour y exposer les faits et exiger des solutions adaptées".
LES PRATIQUE DE PIP MISES EN CAUSE
Une enquête préliminaire du pôle santé du parquet de Marseille avait été ouverte en mars 2010, parallèlement au retrait du marché de prothèses défectueuses par l'Agence des produits de santé (Afssaps) et à la mise en liquidation judiciaire de PIP. L'affaire avait été révélée fin mars quand l'Afssaps avait suspendu l'utilisation des prothèses mammaires à base de gel de silicone fabriquées par PIP.
En cause : un taux de rupture anormal, de l'ordre du double en termes de fréquence comparé aux autres fabricants, sachant que les implants ont habituellement une durée de vie d'une dizaine d'années.
Selon les éléments recueillis sur le site par les enquêteurs, PIP utilisait un gel de silicone différent de celui qui avait été déclaré aux autorités sanitaires. Des inspecteurs dépêchés sur place avaient repéré des fûts de matière première suspects et recueilli des confidences de salariés. Il a depuis été établi que le silicone utilisé n'était pas destiné à un usage médical, mais industriel, d'où une gélification favorisant les fuites à travers l'enveloppe de l'implant et pouvant la fragiliser jusqu'à la rupture.
Le nombre de femmes porteuses de prothèses PIP est évalué en France à 30 000, alors qu'une grande partie de la production de la société, un temps troisième fabricant mondial, a aussi été exportée, notamment en Grande-Bretagne et en Espagne. Quelque 1 400 plaintes ont été déposées auprès du procureur de la République de Marseille par des femmes porteuses de ces implants.
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Re: Actualités concours 2012
Des bracelets électroniques contre les violences conjugales
Amiens, Strasbourg et Aix-en-Provence sont les trois villes choisies pour expérimenter dès 2012 des bracelets électroniques chargés de tenir à distance des conjoints violents, a annoncé la ministre des solidarités, Roselyne Bachelot, dans un entretien au quotidien 20 Minutes à paraître jeudi 24 novembre.
Ce bracelet "sera testé sur les auteurs de violences graves ou de tentative de meurtre sur leur conjointe, condamnés à au moins cinq ans de prison. (...) Il sera expérimenté à Amiens, Strasbourg et Aix-en-Provence. Et si le test est concluant, nous le généraliserons", explique la ministre, à la veille du lancement d'une nouvelle campagne contre les violences faites aux femmes.
La France s'inspire de l'Espagne, où une soixantaine de conjoints violents sont munis d'un bracelet électronique contrôlé par GPS. La victime est dotée d'un boîtier qui sonne si son agresseur s'approche du domicile. Lequel boîtier est muni d'un dispositif lui permettant d'alerter la police dès lors qu'elle est menacée.
DÉLIT DE VIOLENCE PSYCHOLOGIQUE
Par ailleurs, la loi contre les violences faites aux femmes de juillet 2010 a créé le délit de violence psychologique et l'ordonnance de protection des victimes de violences conjugales qui permet à celles-ci de les soustraire en urgence à leur conjoint. Cette ordonnance de protection est inégalement inappliquée selon les associations. "C'est la raison pour laquelle nous allons avec Michel Mercier, garde des sceaux, engager un important travail d'information auprès des magistrats", dit Mme Bachelot.
Concernant l'annonce de la création dans chaque département d'un accueil de jour spécialisé censé permettre aux femmes de préparer éventuellement un déménagement ou une réinsertion professionnelle, Mme Bachelot assure que cela sera effectif "à l'horizon 2013". "Nous allons aussi mettre en place des lieux de visites familiaux entre les parents auteurs de violences et leurs enfants, dans tous les départements qui n'en disposaient pas", ajoute la ministre.
Le monde
Amiens, Strasbourg et Aix-en-Provence sont les trois villes choisies pour expérimenter dès 2012 des bracelets électroniques chargés de tenir à distance des conjoints violents, a annoncé la ministre des solidarités, Roselyne Bachelot, dans un entretien au quotidien 20 Minutes à paraître jeudi 24 novembre.
Ce bracelet "sera testé sur les auteurs de violences graves ou de tentative de meurtre sur leur conjointe, condamnés à au moins cinq ans de prison. (...) Il sera expérimenté à Amiens, Strasbourg et Aix-en-Provence. Et si le test est concluant, nous le généraliserons", explique la ministre, à la veille du lancement d'une nouvelle campagne contre les violences faites aux femmes.
La France s'inspire de l'Espagne, où une soixantaine de conjoints violents sont munis d'un bracelet électronique contrôlé par GPS. La victime est dotée d'un boîtier qui sonne si son agresseur s'approche du domicile. Lequel boîtier est muni d'un dispositif lui permettant d'alerter la police dès lors qu'elle est menacée.
DÉLIT DE VIOLENCE PSYCHOLOGIQUE
Par ailleurs, la loi contre les violences faites aux femmes de juillet 2010 a créé le délit de violence psychologique et l'ordonnance de protection des victimes de violences conjugales qui permet à celles-ci de les soustraire en urgence à leur conjoint. Cette ordonnance de protection est inégalement inappliquée selon les associations. "C'est la raison pour laquelle nous allons avec Michel Mercier, garde des sceaux, engager un important travail d'information auprès des magistrats", dit Mme Bachelot.
Concernant l'annonce de la création dans chaque département d'un accueil de jour spécialisé censé permettre aux femmes de préparer éventuellement un déménagement ou une réinsertion professionnelle, Mme Bachelot assure que cela sera effectif "à l'horizon 2013". "Nous allons aussi mettre en place des lieux de visites familiaux entre les parents auteurs de violences et leurs enfants, dans tous les départements qui n'en disposaient pas", ajoute la ministre.
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Re: Actualités concours 2012
Médecine : conférences payantes de l'internat
Les étudiants en médecine, même quand ils réussissent leur concours d'entrée en 2e année, n'en ont pas fini avec les concours. En fin de 6e année les attendent les difficiles épreuves classantes nationales (ECN, ex-concours de l'internat), course de fond à l'enjeu majeur : du rang auquel ces 7 000 étudiants en sortiront dépend leur choix parmi trente spécialités, ainsi que le lieu de leur futur poste d'interne en centre hospitalier et universitaire (CHU).
Aujourd'hui, la discipline reine, parce que la plus lucrative, est la radiologie, puis l'ophtalmologie, tandis que la médecine générale, la psychiatrie et la santé publique figurent en bas de tableau.
Partenariats
Afin d'être mieux classés, les étudiants qui le peuvent suivent, en plus de leurs cours et souvent le soir, des conférences, assurées par des professeurs d'université, suivies, pour s'entraîner, de concours blancs. Ces conférences sont payantes et font l'objet de partenariats.
Les conférences baptisées "Hippocrate" sont en partie financées par la Fondation Servier - dont les services n'ont pas souhaité s'exprimer à ce sujet, pas plus que l'Association nationale des étudiants en médecine - et chaque étudiant acquitte, à l'entrée et en liquide, une contribution de 5 ou 10 euros, devant servir à rémunérer les correcteurs des copies.
D'autres cycles de conférences, appelées "Hermès" ou "Khalifa", demandent aux étudiants une participation aux frais de 255 euros pour 18 sessions. A quoi il faut ajouter 215 euros par concours blanc, pour Hermès.
Isabelle Rey-Lefebvre
Le monde
Les étudiants en médecine, même quand ils réussissent leur concours d'entrée en 2e année, n'en ont pas fini avec les concours. En fin de 6e année les attendent les difficiles épreuves classantes nationales (ECN, ex-concours de l'internat), course de fond à l'enjeu majeur : du rang auquel ces 7 000 étudiants en sortiront dépend leur choix parmi trente spécialités, ainsi que le lieu de leur futur poste d'interne en centre hospitalier et universitaire (CHU).
Aujourd'hui, la discipline reine, parce que la plus lucrative, est la radiologie, puis l'ophtalmologie, tandis que la médecine générale, la psychiatrie et la santé publique figurent en bas de tableau.
Partenariats
Afin d'être mieux classés, les étudiants qui le peuvent suivent, en plus de leurs cours et souvent le soir, des conférences, assurées par des professeurs d'université, suivies, pour s'entraîner, de concours blancs. Ces conférences sont payantes et font l'objet de partenariats.
Les conférences baptisées "Hippocrate" sont en partie financées par la Fondation Servier - dont les services n'ont pas souhaité s'exprimer à ce sujet, pas plus que l'Association nationale des étudiants en médecine - et chaque étudiant acquitte, à l'entrée et en liquide, une contribution de 5 ou 10 euros, devant servir à rémunérer les correcteurs des copies.
D'autres cycles de conférences, appelées "Hermès" ou "Khalifa", demandent aux étudiants une participation aux frais de 255 euros pour 18 sessions. A quoi il faut ajouter 215 euros par concours blanc, pour Hermès.
Isabelle Rey-Lefebvre
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Re: Actualités concours 2012
Plan grand froid : 15 000 places d'hébergement et des médecins retraités mobilisables
Près de 15 000 places d'hébergement pour les SDF seront mobilisables cet hiver en cas de grand froid et, nouveauté, des "médecins retraités réservistes" pourront appuyer les associations, a annoncé mercredi 23 novembre le secrétaire d'Etat au logement Benoist Apparu.
"Alors qu'en moyenne 9 300 places ont été mobilisées l'hiver dernier, ce sont près de 15 000 places d'hébergement et de mise à l'abri qui pourront l'être cette année, si des périodes de grand froid le justifient", a-t-il annoncé en Conseil des ministres, selon le texte de son allocution.
Par ailleurs, "pour la première fois cette année, grâce à une action conjointe des ministères du logement et de la santé, il est prévu de faire appel, en cas de grand froid, à des médecins retraités réservistes, pour appuyer les équipes mobiles qui vont à la rencontre des personnes sans abri", a ajouté M. Apparu.
RENFORCER LES ÉQUIPES DE MARAUDES AVEC UN SAVOIR-FAIRE MÉDICAL
Ces médecins "volontaires" qui "renforceront les équipes de maraudes avec un savoir-faire médical" seront "dispatchés auprès des associations", essentiellement dans les grandes villes où les sans-abri sont plus nombreux, a précisé à l'AFP le secrétariat d'Etat. Ce nouveau dispositif correspond selon lui à "une demande de longue date des associations" en faveur d'un renforcement de leur travail avec, notamment, des professionnels de santé. Aucune estimation du nombre de médecins réservistes n'est disponible pour l'heure.
Les 15 000 places mobilisables pendant l'hiver, du 1er novembre au 31 mars, s'ajoutent aux quelque 116 000 qui restent ouvertes pendant toute l'année. Outre les moyens déployés par les collectivités locales, "des locaux appartenant à l'Etat" seront notamment mis à disposition des associations par les ministères du budget, de la santé et de la défense en cas de grand froid, a souligné M. Apparu. En Ile-de-France, la préfecture prévoit l'ouverture hivernale de 5 000 places d'hébergement d'urgence, soit un peu plus que l'hiver précédent, avait annoncé en septembre le préfet de région, Daniel Canepa.
En 2006, selon l'Insee, il y avait 133 000 SDF en France. Selon plusieurs associations et collectifs, comme Les Morts de la Rue, les sans abri ne meurent pas plus en hiver qu'en été.
Le monde
Près de 15 000 places d'hébergement pour les SDF seront mobilisables cet hiver en cas de grand froid et, nouveauté, des "médecins retraités réservistes" pourront appuyer les associations, a annoncé mercredi 23 novembre le secrétaire d'Etat au logement Benoist Apparu.
"Alors qu'en moyenne 9 300 places ont été mobilisées l'hiver dernier, ce sont près de 15 000 places d'hébergement et de mise à l'abri qui pourront l'être cette année, si des périodes de grand froid le justifient", a-t-il annoncé en Conseil des ministres, selon le texte de son allocution.
Par ailleurs, "pour la première fois cette année, grâce à une action conjointe des ministères du logement et de la santé, il est prévu de faire appel, en cas de grand froid, à des médecins retraités réservistes, pour appuyer les équipes mobiles qui vont à la rencontre des personnes sans abri", a ajouté M. Apparu.
RENFORCER LES ÉQUIPES DE MARAUDES AVEC UN SAVOIR-FAIRE MÉDICAL
Ces médecins "volontaires" qui "renforceront les équipes de maraudes avec un savoir-faire médical" seront "dispatchés auprès des associations", essentiellement dans les grandes villes où les sans-abri sont plus nombreux, a précisé à l'AFP le secrétariat d'Etat. Ce nouveau dispositif correspond selon lui à "une demande de longue date des associations" en faveur d'un renforcement de leur travail avec, notamment, des professionnels de santé. Aucune estimation du nombre de médecins réservistes n'est disponible pour l'heure.
Les 15 000 places mobilisables pendant l'hiver, du 1er novembre au 31 mars, s'ajoutent aux quelque 116 000 qui restent ouvertes pendant toute l'année. Outre les moyens déployés par les collectivités locales, "des locaux appartenant à l'Etat" seront notamment mis à disposition des associations par les ministères du budget, de la santé et de la défense en cas de grand froid, a souligné M. Apparu. En Ile-de-France, la préfecture prévoit l'ouverture hivernale de 5 000 places d'hébergement d'urgence, soit un peu plus que l'hiver précédent, avait annoncé en septembre le préfet de région, Daniel Canepa.
En 2006, selon l'Insee, il y avait 133 000 SDF en France. Selon plusieurs associations et collectifs, comme Les Morts de la Rue, les sans abri ne meurent pas plus en hiver qu'en été.
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Re: Actualités concours 2012
Afssaps : l'ex-experte du Mediator retire sa candidature
Par Anne Jouan - le 23/11/2011
La promotion de l'ancien médecin en charge du Mediator à l'agence, par ailleurs ex-salariée de Servier, a créé des remous. Cette dernière a finalement retiré sa candidature.
Les révélations du Figaro sur la promotion à l'agence du médiament (Afssaps) de celle qui a été en charge de l'évaluation du Mediator de 1998 à 2009 à l'agence, Catherine Rey-Quinio, ont animé hier soir les débats à l'Assemblée nationale. Les députés discutaient, en nouvelle lecture, de la loi sur le projet de loi relatif au renforcement de la sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé. Ce texte, modifié par le Sénat, avait été examiné mardi 15 novembre par la commission mixte paritaire, qui n'avait pu parvenir à un accord.
Outre son manque de réactivité flagrant vis-à-vis du Mediator quand elle en avait la charge à l'Afssaps, c'est sa fonction précédente qui a cristalisé les critiques. En effet, avant 1998, Catherine Rey-Quinio a travaillé plusieurs années chez Servier où elle était médecin produit Isoméride. Or, ce coupe -faim de Servier, retiré du marché en 1997, est le cousin du Mediator en raison de sa proximité chimique. Les deux molécules se transforment dans l'organisme en norfenfluramine, une substance toxique pour les valves du coeur.
La faute au cabinet de recrutementUn peu avant minuit mardi soir, le ministre de la Santé, Xavier Bertrand a pris la parole devant les députés et a demandé à ce que la promotion de Catherine Rey-Quinio ne soit pas entérinée. «Je dois revenir sur la nomination de madame Rey-Quinio. Je n'aime pas ce type de nomination dans la mesure où j'estime que même si cette dame travaillait avant à l'Afssaps, elle a aussi travaillé chez Servier et pas sur n'importe quel médicament, sur l'Isoméride. Je pense qu'il n'est pas bon qu'elle puisse occuper un futur poste de direction».
Xavier Bertrand a par ailleurs rapporté s'être entretenu avec le patron de l'Afssaps, Dominique Maraninchi, qui aurait mis en cause le cabinet de recrutement en charge des postes à pourvoir à l'agence. «C'est un cabinet de recrutement qui a fait le préfiltre, a expliqué le ministre. Je m'interroge sur la qualité de ce cabinet de recrutement. Il doit savoir les antécédents de cette personne (Catherine Rey-Quinio)».
Le conseil d'administration de l'Afsspas ne validera pas la promotionFinalement, Catherine Rey-Quinio a retiré mercredi matin sa candidature, a indiqué le patron de l'Afssaps, le professeur Dominique Maraninchi.
L'article du Figaro revenait également sur la nomination à l'Agence régionale de santé (ARS) d'Anne Castot, ancienne chef du service de la gestion des risques et de l'information sur les médicaments à l'Afssaps qui avait particulièrement mal géré le Mediator. Xavier Bertrand a promis de demander à Claude Evin, le patron de l'ARS Ile-de-France «quelles sont les conditions précises du travail d'Anne Castot à l'ARS».
Le figaro
Par Anne Jouan - le 23/11/2011
La promotion de l'ancien médecin en charge du Mediator à l'agence, par ailleurs ex-salariée de Servier, a créé des remous. Cette dernière a finalement retiré sa candidature.
Les révélations du Figaro sur la promotion à l'agence du médiament (Afssaps) de celle qui a été en charge de l'évaluation du Mediator de 1998 à 2009 à l'agence, Catherine Rey-Quinio, ont animé hier soir les débats à l'Assemblée nationale. Les députés discutaient, en nouvelle lecture, de la loi sur le projet de loi relatif au renforcement de la sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé. Ce texte, modifié par le Sénat, avait été examiné mardi 15 novembre par la commission mixte paritaire, qui n'avait pu parvenir à un accord.
Outre son manque de réactivité flagrant vis-à-vis du Mediator quand elle en avait la charge à l'Afssaps, c'est sa fonction précédente qui a cristalisé les critiques. En effet, avant 1998, Catherine Rey-Quinio a travaillé plusieurs années chez Servier où elle était médecin produit Isoméride. Or, ce coupe -faim de Servier, retiré du marché en 1997, est le cousin du Mediator en raison de sa proximité chimique. Les deux molécules se transforment dans l'organisme en norfenfluramine, une substance toxique pour les valves du coeur.
La faute au cabinet de recrutementUn peu avant minuit mardi soir, le ministre de la Santé, Xavier Bertrand a pris la parole devant les députés et a demandé à ce que la promotion de Catherine Rey-Quinio ne soit pas entérinée. «Je dois revenir sur la nomination de madame Rey-Quinio. Je n'aime pas ce type de nomination dans la mesure où j'estime que même si cette dame travaillait avant à l'Afssaps, elle a aussi travaillé chez Servier et pas sur n'importe quel médicament, sur l'Isoméride. Je pense qu'il n'est pas bon qu'elle puisse occuper un futur poste de direction».
Xavier Bertrand a par ailleurs rapporté s'être entretenu avec le patron de l'Afssaps, Dominique Maraninchi, qui aurait mis en cause le cabinet de recrutement en charge des postes à pourvoir à l'agence. «C'est un cabinet de recrutement qui a fait le préfiltre, a expliqué le ministre. Je m'interroge sur la qualité de ce cabinet de recrutement. Il doit savoir les antécédents de cette personne (Catherine Rey-Quinio)».
Le conseil d'administration de l'Afsspas ne validera pas la promotionFinalement, Catherine Rey-Quinio a retiré mercredi matin sa candidature, a indiqué le patron de l'Afssaps, le professeur Dominique Maraninchi.
L'article du Figaro revenait également sur la nomination à l'Agence régionale de santé (ARS) d'Anne Castot, ancienne chef du service de la gestion des risques et de l'information sur les médicaments à l'Afssaps qui avait particulièrement mal géré le Mediator. Xavier Bertrand a promis de demander à Claude Evin, le patron de l'ARS Ile-de-France «quelles sont les conditions précises du travail d'Anne Castot à l'ARS».
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Re: Actualités concours 2012
Deux réseaux d'immigration clandestine démantelés
Depuis le début de l'année, 5500 organisateurs et passeurs, membres de 162 structures organisées, ont été interpellés.
Engagé dans une lutte sans merci contre les trafics internationaux de clandestins, l'Office central pour la répression de l'Immigration irrégulière et de l'emploi d'étrangers sans titre (OCRIEST) vient de porter deux rudes coups à de vastes réseaux en une semaine. Dans le cadre de l'opération « Nham-Pai », les policiers ont démantelé une structure vietnamienne faisant transiter des candidats à l'exil via la République tchèque, la Hongrie et l'Allemagne.
Dans ce dernier pays, où réside une forte population vietnamienne en raison des liens historiques avec l'ex-RDA, les clandestins étaient regroupés avant d'être conduits vers la France puis l'Angleterre. «Le Royaume-Uni est souvent le point d'aboutissement de ces filières criminelles qui exploitent chaque jour la misère humaine», a observé mercredi le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, au siège parisien de la Police aux frontières (PAF). Les organisateurs proposaient deux types de voyages : une formule « VIP », où le voyageur en situation irrégulière était pris en charge de manière assez confortable et individuelle moyennant un ticket allant jusqu'à 35.000 euros, et une formule «low cost» de 6000 euros où les passeurs entassaient leur marchandise humaine par groupes entiers dans des remorques.
Au total, 18 trafiquants présumés agissant depuis la France ont été interceptés. Sur un autre front mais dans le même temps, les policiers de l'OCRIEST ont par ailleurs mis au jour une filière ukrainienne qui multipliait les entrées illicites en zone Schengen grâce de faux papiers d'identité, passeports parfaitement imités et visa fantaisistes. Depuis le début de l'année, pas moins de 162 filières structurées ont été démantelées par les services de sécurité français, 90 % ayant été en particulier traitées par la Police aux frontières.
Au total 5500 organisateurs, passeurs et fournisseurs de faux documents ont été appréhendés. À cette occasion, Claude Guéant a rappelé qu'il avait relevé l'objectif des expulsions de 28.000 à 30.000. Avant de préciser : «nous sommes parfaitement en ligne avec les prévisions et ce chiffre sera dépassé de plusieurs centaines à la fin de l'année.»
Le figaro
Depuis le début de l'année, 5500 organisateurs et passeurs, membres de 162 structures organisées, ont été interpellés.
Engagé dans une lutte sans merci contre les trafics internationaux de clandestins, l'Office central pour la répression de l'Immigration irrégulière et de l'emploi d'étrangers sans titre (OCRIEST) vient de porter deux rudes coups à de vastes réseaux en une semaine. Dans le cadre de l'opération « Nham-Pai », les policiers ont démantelé une structure vietnamienne faisant transiter des candidats à l'exil via la République tchèque, la Hongrie et l'Allemagne.
Dans ce dernier pays, où réside une forte population vietnamienne en raison des liens historiques avec l'ex-RDA, les clandestins étaient regroupés avant d'être conduits vers la France puis l'Angleterre. «Le Royaume-Uni est souvent le point d'aboutissement de ces filières criminelles qui exploitent chaque jour la misère humaine», a observé mercredi le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, au siège parisien de la Police aux frontières (PAF). Les organisateurs proposaient deux types de voyages : une formule « VIP », où le voyageur en situation irrégulière était pris en charge de manière assez confortable et individuelle moyennant un ticket allant jusqu'à 35.000 euros, et une formule «low cost» de 6000 euros où les passeurs entassaient leur marchandise humaine par groupes entiers dans des remorques.
Au total, 18 trafiquants présumés agissant depuis la France ont été interceptés. Sur un autre front mais dans le même temps, les policiers de l'OCRIEST ont par ailleurs mis au jour une filière ukrainienne qui multipliait les entrées illicites en zone Schengen grâce de faux papiers d'identité, passeports parfaitement imités et visa fantaisistes. Depuis le début de l'année, pas moins de 162 filières structurées ont été démantelées par les services de sécurité français, 90 % ayant été en particulier traitées par la Police aux frontières.
Au total 5500 organisateurs, passeurs et fournisseurs de faux documents ont été appréhendés. À cette occasion, Claude Guéant a rappelé qu'il avait relevé l'objectif des expulsions de 28.000 à 30.000. Avant de préciser : «nous sommes parfaitement en ligne avec les prévisions et ce chiffre sera dépassé de plusieurs centaines à la fin de l'année.»
Le figaro
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Re: Actualités concours 2012
Les contrats de 7 heures testés dès décembre
Les nouveaux contrats de 7 heures destinés aux bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) ont été présentés mercredi par le gouvernement.
Ces contrats de 7 heures hebdomadaires sont censés améliorer le dispositif du RSA, en vigueur depuis 2009. Réservés aux populations les plus éloignées du marché du travail, ils seront testés, parfois dès décembre, dans douze départements candidats, tous de droite : les Alpes-Maritimes, la Savoie, la Haute-Savoie, la Vendée, la Manche, le Rhône, le Haut-Rhin, le Bas-Rhin, la Côte-d’Or, la Marne, la Haute-Marne et Maine-et-Loire. Les bénéficiaires seront payés au SMIC et percevront en plus une partie du RSA socle, diminué du fait de la reprise du travail mais complété par le RSA activité. Selon le cabinet de Mme Bachelot, ils toucheront donc environ 130 € supplémentaires au simple RSA socle (ex-RMI, soit environ 410 € pour une personne seule). Le contrat sera un « contrat unique d’insertion » (CUI), aidé à 95 % par l’Etat et les conseils généraux.
La mesure ne fait pas l’unanimité. Ainsi Matthieu Angotti, directeur général de la Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale (Fnars), se méfie-t-il d’une « mesure minuscule, l’archétype même de la mesurette ».
France soir
Les nouveaux contrats de 7 heures destinés aux bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) ont été présentés mercredi par le gouvernement.
Ces contrats de 7 heures hebdomadaires sont censés améliorer le dispositif du RSA, en vigueur depuis 2009. Réservés aux populations les plus éloignées du marché du travail, ils seront testés, parfois dès décembre, dans douze départements candidats, tous de droite : les Alpes-Maritimes, la Savoie, la Haute-Savoie, la Vendée, la Manche, le Rhône, le Haut-Rhin, le Bas-Rhin, la Côte-d’Or, la Marne, la Haute-Marne et Maine-et-Loire. Les bénéficiaires seront payés au SMIC et percevront en plus une partie du RSA socle, diminué du fait de la reprise du travail mais complété par le RSA activité. Selon le cabinet de Mme Bachelot, ils toucheront donc environ 130 € supplémentaires au simple RSA socle (ex-RMI, soit environ 410 € pour une personne seule). Le contrat sera un « contrat unique d’insertion » (CUI), aidé à 95 % par l’Etat et les conseils généraux.
La mesure ne fait pas l’unanimité. Ainsi Matthieu Angotti, directeur général de la Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale (Fnars), se méfie-t-il d’une « mesure minuscule, l’archétype même de la mesurette ».
France soir
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Re: Actualités concours 2012
Nucléaire : Le train radioactif est parti mais...
Après de nombreux heurts entre militants antinucléaires et forces de l’ordre, le train de déchets radioactifs a finalement pris le chemin de l’Allemagne, mercredi après-midi.
Mercredi, 16 heures, terminal ferroviaire d’Areva à Valognes (Manche). Le convoi transportant 2.000 tonnes de déchets nucléaires à destination de l’Allemagne s’ébranle enfin. Un long périple de plus de 1.500 km commence.
A quelques kilomètres derrière le périmètre de sécurité, les heurts entre manifestants antinucléaires et forces de l’ordre n’ont pas cessé depuis le début de la matinée. Un fourgon de CRS a même brûlé, non loin des voies, près de Valognes, après avoir été « a priori » incendié par des manifestants munis de cocktails Molotov, selon la préfecture. Les militants ont tout fait pour retarder le transfert : rail soulevé, boîtiers électriques incendiés, dégâts divers… En réponse, les forces de l’ordre ont fait un usage abondant de gaz lacrymogènes, chargeant parfois pour déloger les militants qui essayaient de dégrader la voie ferrée… Le départ était prévu à 14 h 30. Mais, selon le préfet de la Manche, Adolphe Colrat, il faudra deux heures pour réparer la voie. En milieu d’après-midi, tout rentre dans l’ordre.
"Casseurs"
Les échauffourées, violentes, ont fait des victimes de part et d’autre : un gendarme et deux manifestants ont été blessés. Seize militants, dont six femmes, sont interpellés et placés en garde à vue. « On a plutôt affaire à des casseurs qu’aux habituels antinucléaires », explique le procureur de la République de Cherbourg, Eric Bouillard. Il précise que deux machettes ont été saisies.
C’est le collectif Valognes Stop Castor (Castor pour Cask for Storage and Transportation of Radioactive Material, le nom des conteneurs en anglais). qui appelait au blocage du convoi. La préfecture de la Manche avait interdit par arrêté toute manifestation à proximité de la voie ferrée pour deux jours et sur les 70 premiers kilomètres au départ du terminal où étaient stationnés les 11 wagons de déchets nucléaires vitrifiés. De 200 à 250 personnes s’étaient mobilisés, 400 à 500 selon les organisateurs. Dans le camp des protestataires, installé près de Valognes, on croisait surtout des Français, mais aussi des Anglais, des Allemands, des Espagnols et des Belges. Côté forces de l’ordre, plus de 3.000 gendarmes étaient chargés d’assurer la sécurité de convoi sur la partie française.
"Retour légitime"
Areva, l’affréteur du convoi, a dénoncé les violences « inacceptables » qui « ont perturbé le fonctionnement de toute une région ». « C’est incompréhensible puisque ces déchets qui sont issus des combustibles usés doivent retourner dans leur pays d’origine », déclare Christophe Neugnot, porte-parole de l’opérateur nucléaire.
Ces protestations ont trouvé un écho inattendu chez Greenpeace, qui n’avait pas appelé au blocage du train et qui a condamné « toute forme de violence », tant du côté des antinucléaires que des policiers. Mais, au passage, le mouvement écologiste en profite pour rappeler que « tout cela, c’est le résultat du nucléaire, du combustible MOX, et du choix du retraitement qui est effectué par la France ».
Un autre mouvement écologiste, Robin des bois, prend également ses distances vis-à-vis du collectif Valognes Stop Castor qui avait appelé à manifester : en s’opposant au « retour légitime » du train de déchets vers l’Allemagne qui en a la responsabilité, les militants « favorisent à terme l’exportation des déchets nucléaires » par les pays qui les ont produits, déplore Robin des Bois.
Désormais, le combat des militants va se poursuivre en Allemagne, où plusieurs dizaines de milliers de manifestants antinucléaires sont attendus sur le trajet du convoi
France soir
Après de nombreux heurts entre militants antinucléaires et forces de l’ordre, le train de déchets radioactifs a finalement pris le chemin de l’Allemagne, mercredi après-midi.
Mercredi, 16 heures, terminal ferroviaire d’Areva à Valognes (Manche). Le convoi transportant 2.000 tonnes de déchets nucléaires à destination de l’Allemagne s’ébranle enfin. Un long périple de plus de 1.500 km commence.
A quelques kilomètres derrière le périmètre de sécurité, les heurts entre manifestants antinucléaires et forces de l’ordre n’ont pas cessé depuis le début de la matinée. Un fourgon de CRS a même brûlé, non loin des voies, près de Valognes, après avoir été « a priori » incendié par des manifestants munis de cocktails Molotov, selon la préfecture. Les militants ont tout fait pour retarder le transfert : rail soulevé, boîtiers électriques incendiés, dégâts divers… En réponse, les forces de l’ordre ont fait un usage abondant de gaz lacrymogènes, chargeant parfois pour déloger les militants qui essayaient de dégrader la voie ferrée… Le départ était prévu à 14 h 30. Mais, selon le préfet de la Manche, Adolphe Colrat, il faudra deux heures pour réparer la voie. En milieu d’après-midi, tout rentre dans l’ordre.
"Casseurs"
Les échauffourées, violentes, ont fait des victimes de part et d’autre : un gendarme et deux manifestants ont été blessés. Seize militants, dont six femmes, sont interpellés et placés en garde à vue. « On a plutôt affaire à des casseurs qu’aux habituels antinucléaires », explique le procureur de la République de Cherbourg, Eric Bouillard. Il précise que deux machettes ont été saisies.
C’est le collectif Valognes Stop Castor (Castor pour Cask for Storage and Transportation of Radioactive Material, le nom des conteneurs en anglais). qui appelait au blocage du convoi. La préfecture de la Manche avait interdit par arrêté toute manifestation à proximité de la voie ferrée pour deux jours et sur les 70 premiers kilomètres au départ du terminal où étaient stationnés les 11 wagons de déchets nucléaires vitrifiés. De 200 à 250 personnes s’étaient mobilisés, 400 à 500 selon les organisateurs. Dans le camp des protestataires, installé près de Valognes, on croisait surtout des Français, mais aussi des Anglais, des Allemands, des Espagnols et des Belges. Côté forces de l’ordre, plus de 3.000 gendarmes étaient chargés d’assurer la sécurité de convoi sur la partie française.
"Retour légitime"
Areva, l’affréteur du convoi, a dénoncé les violences « inacceptables » qui « ont perturbé le fonctionnement de toute une région ». « C’est incompréhensible puisque ces déchets qui sont issus des combustibles usés doivent retourner dans leur pays d’origine », déclare Christophe Neugnot, porte-parole de l’opérateur nucléaire.
Ces protestations ont trouvé un écho inattendu chez Greenpeace, qui n’avait pas appelé au blocage du train et qui a condamné « toute forme de violence », tant du côté des antinucléaires que des policiers. Mais, au passage, le mouvement écologiste en profite pour rappeler que « tout cela, c’est le résultat du nucléaire, du combustible MOX, et du choix du retraitement qui est effectué par la France ».
Un autre mouvement écologiste, Robin des bois, prend également ses distances vis-à-vis du collectif Valognes Stop Castor qui avait appelé à manifester : en s’opposant au « retour légitime » du train de déchets vers l’Allemagne qui en a la responsabilité, les militants « favorisent à terme l’exportation des déchets nucléaires » par les pays qui les ont produits, déplore Robin des Bois.
Désormais, le combat des militants va se poursuivre en Allemagne, où plusieurs dizaines de milliers de manifestants antinucléaires sont attendus sur le trajet du convoi
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Re: Entraînement culture générale 2012
merci pour tous ces exos va falloir que je m'y mette
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
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S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
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Re: Entraînement culture générale 2012
Je suis à la page 1 le thème "Plan hopital 2012"... Je commence tout juste les exercices. Et je me pose une question. "Argumentez" signifie mettre dans l'intro : phrase d'accroche, présentation du sujet, annonce du plan ?
Parce que quand je regarde vos différents exercices d'argumentation y'a pas ce shéma la dans l'introduction. Alors peut être que c'est moi qui se mélange les pinceaux et qui confond avec le commentaire. (Ce qui ne m'étonnerai pas
)
Parce que quand je regarde vos différents exercices d'argumentation y'a pas ce shéma la dans l'introduction. Alors peut être que c'est moi qui se mélange les pinceaux et qui confond avec le commentaire. (Ce qui ne m'étonnerai pas

Re: Actualités concours 2012
coucou memo est ce que tu fais des fiches d'actualités
je sais pas quoi faire????
je sais pas quoi faire????

on y va pour 2012 INCHALLAH que ce sera la bonne annee
On y croit a fond!!!
On y croit a fond!!!
Re: Actualités concours 2012
Implant mammaire : nouvelles interrogations sur leur dangerosité
24-11-11 à 16:41 Réagir
Un implant mammaire en silicone défectueux peut-il être la cause d’un cancer ? C’est la question posée par le décès d’une femme qui avait porté des implants non-conformes à la règlementation et qui est morte d’un lymphome.
Les implants mammaires en gel de silicone ont été réintroduits sur le marché français en 2001 après un moratoire de . (c) Afp
RéagirPour l’Association de défense des porteuses de prothèses PIP, fabriquées par l’ancienne société Poly Implant Prothèse, le décès de l’une des leurs est une «bombe». Alexandra Blachère, de l’association, a expliqué aujourd’hui qu’une femme qui avait porté ces implants mammaires défectueux, et retirés du marché en 2010, était décédée d’un «lymphome T anaplasique» et que la cause de sa maladie était les implants PIP.
Etablir un lien entre un cancer, en l’occurrence un cancer qui atteint la lymphe et les ganglions lymphatiques, et le gel de silicone des implants, est complexe. 1.400 plaintes ayant été déposées auprès du parquet de Marseille par des femmes porteuses des implants mammaires PIP, il est probable que la justice se penche sur cette question.
Enveloppe trop fragile
Les implants pré-remplis en gel de silicone fabriqués par la firme varoise Poly Implant Prothèse ont attiré l’attention des autorités sanitaires à cause d’un nombre plus élevé de cas de rupture de l’enveloppe que pour les autres prothèses mammaires présentes sur le marché. Les inspections menées au siège de PIP en mars 2010 ont révélé que la composition du gel utilisé n’était pas celle qui était déclarée. L’Afssaps a décidé le retrait immédiat des implants PIP.
Les analyses menées depuis par les laboratoires mandatés par l’Afssaps ont révélé que les enveloppes étaient trop fragiles et que le gel utilisé n’était pas d’assez bonne qualité pour des prothèses mammaires. Ce gel n’a pas «d’effet toxique aigu sur les tissus», précise l’Afssaps, mais il a « un pouvoir irritant », contrairement aux gels de silicones des autres prothèses. Il n’est pas génotoxique, d’après les résultats de plusieurs tests menés sur des souris. Autrement dit il n’entraîne pas de mutations de l’ADN, toujours selon le document de l’Afssaps publié le 14 avril 2011.
Etablir le lien de cause à effet
En cas de suintement, de fuite à travers l’enveloppe, le gel de silicone peu s’accumuler
Moratoire
Il existe deux types de prothèses mammaires : celles qui sont remplies de sérum physiologique et celles qui le sont avec du gel de silicone. Ces dernières ont soulevé des inquiétudes récurrentes, notamment aux États-Unis. On les a notamment suspectées de provoquer des maladies auto-immunes. La FDA a décrété un moratoire sur les implants en gel de silicone en 1992, la France en 1995. Dans l’Hexagone ces implants sont revenus sur le marché en 2001. Aux États-Unis en 2005 seulement.
dans les ganglions lymphatiques situés sous l’aisselle, et peut provoquer « des douleurs et/ou des inflammations». L’Afssaps recommande aux femmes qui portent les implants PIP de pratiquer un examen et une échographie tous les 6 mois. En cas de suintement ou de rupture les prothèses doivent être retirées, préconise l’agence (l’opération est remboursée par l’Assurance maladie).
L’Afssaps n’a pas souhaité ajouter d’informations pour le moment, renvoyant à l’analyse publiée le 14 avril dernier. C’est la première fois en France qu’un cas de lymphome lié à des prothèses mammaires est supposé. Des cas de lymphomes anaplasiques chez des femmes porteuses d’implants en gel de silicone sont rapportés dans la littérature médicale. Le lien de cause à effet n’a cependant pas été établi avec certitude.
Cécile Dumas
Sciences et Avenir.fr
24/11/11
24-11-11 à 16:41 Réagir
Un implant mammaire en silicone défectueux peut-il être la cause d’un cancer ? C’est la question posée par le décès d’une femme qui avait porté des implants non-conformes à la règlementation et qui est morte d’un lymphome.
Les implants mammaires en gel de silicone ont été réintroduits sur le marché français en 2001 après un moratoire de . (c) Afp
RéagirPour l’Association de défense des porteuses de prothèses PIP, fabriquées par l’ancienne société Poly Implant Prothèse, le décès de l’une des leurs est une «bombe». Alexandra Blachère, de l’association, a expliqué aujourd’hui qu’une femme qui avait porté ces implants mammaires défectueux, et retirés du marché en 2010, était décédée d’un «lymphome T anaplasique» et que la cause de sa maladie était les implants PIP.
Etablir un lien entre un cancer, en l’occurrence un cancer qui atteint la lymphe et les ganglions lymphatiques, et le gel de silicone des implants, est complexe. 1.400 plaintes ayant été déposées auprès du parquet de Marseille par des femmes porteuses des implants mammaires PIP, il est probable que la justice se penche sur cette question.
Enveloppe trop fragile
Les implants pré-remplis en gel de silicone fabriqués par la firme varoise Poly Implant Prothèse ont attiré l’attention des autorités sanitaires à cause d’un nombre plus élevé de cas de rupture de l’enveloppe que pour les autres prothèses mammaires présentes sur le marché. Les inspections menées au siège de PIP en mars 2010 ont révélé que la composition du gel utilisé n’était pas celle qui était déclarée. L’Afssaps a décidé le retrait immédiat des implants PIP.
Les analyses menées depuis par les laboratoires mandatés par l’Afssaps ont révélé que les enveloppes étaient trop fragiles et que le gel utilisé n’était pas d’assez bonne qualité pour des prothèses mammaires. Ce gel n’a pas «d’effet toxique aigu sur les tissus», précise l’Afssaps, mais il a « un pouvoir irritant », contrairement aux gels de silicones des autres prothèses. Il n’est pas génotoxique, d’après les résultats de plusieurs tests menés sur des souris. Autrement dit il n’entraîne pas de mutations de l’ADN, toujours selon le document de l’Afssaps publié le 14 avril 2011.
Etablir le lien de cause à effet
En cas de suintement, de fuite à travers l’enveloppe, le gel de silicone peu s’accumuler
Moratoire
Il existe deux types de prothèses mammaires : celles qui sont remplies de sérum physiologique et celles qui le sont avec du gel de silicone. Ces dernières ont soulevé des inquiétudes récurrentes, notamment aux États-Unis. On les a notamment suspectées de provoquer des maladies auto-immunes. La FDA a décrété un moratoire sur les implants en gel de silicone en 1992, la France en 1995. Dans l’Hexagone ces implants sont revenus sur le marché en 2001. Aux États-Unis en 2005 seulement.
dans les ganglions lymphatiques situés sous l’aisselle, et peut provoquer « des douleurs et/ou des inflammations». L’Afssaps recommande aux femmes qui portent les implants PIP de pratiquer un examen et une échographie tous les 6 mois. En cas de suintement ou de rupture les prothèses doivent être retirées, préconise l’agence (l’opération est remboursée par l’Assurance maladie).
L’Afssaps n’a pas souhaité ajouter d’informations pour le moment, renvoyant à l’analyse publiée le 14 avril dernier. C’est la première fois en France qu’un cas de lymphome lié à des prothèses mammaires est supposé. Des cas de lymphomes anaplasiques chez des femmes porteuses d’implants en gel de silicone sont rapportés dans la littérature médicale. Le lien de cause à effet n’a cependant pas été établi avec certitude.
Cécile Dumas
Sciences et Avenir.fr
24/11/11
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Re: Actualités concours 2012
J'ai un cahier dans lequel je note toute l'actualité. Deux phrases grand maximum sauf si il y a vraiment des chiffres intéressant que je peux facilement retenir.minouch23 a écrit :coucou memo est ce que tu fais des fiches d'actualités
je sais pas quoi faire????
Tu peux le noter sur tes fiches sinon plus facile à retrouver.

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Re: Actualités concours 2012
tu notes le titre en gros????
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