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cecilette91
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Re: Fiches culture générale 2012

Message par cecilette91 »

quelqu'un a fait une fiche sur l'hôpital? Je ne trouve pas. :?:
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kysa
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Re: Fiches culture générale 2012

Message par kysa »

Voici cecilette un copier coller des fiches sur l'hopital que l'on trouve dans le sujet, faut juste parcourir toutes les pages et tu les trouveras toutes les fiches ;)


L’hopital

Mission service hospitalier= coexistence d’établissement public + privé
Majorité = service public = mission dite de services publics
-Soins :
oRespect principes fondamentaux de continuité de service
oEgal accès aux soins
oDéveloppement de soins curatifs et préventif, de soins palliatifs pour accompagnement pers en fin de vie
-Enseignements (étudiant médecine, infirmier)
Loi hospitalière de 1991 = formation continu de praticien, sages-femmes, personnel paramédicale
-Recherche : dans hôpitaux les + important avec techniques récentes et équipements lourds
-Prévention : respect des normes d’hygiène strictes

Structure service hospitalier

Public
Au début uniquement accessible aux malades pouvant payer, puis à tous avec la création de la sécurité sociale en 1945.
Sont rattaché à une collectivité territoriale (commune le + souvent)
Etablissement public de santé = 1 pers morale de droit public qui bénéficie de l’autonomie administrative et financière. Il est soumis à la tutelle de l’état
•Centre hospitalier régional (CHR) : Ces établissements disposent d'une haute spécialisation dans divers domaines de la médecine.
•Centre hospitalier universitaire (CHU) : Association entre 1 hôpital et une unité de formation et de recherche
•Centre hospitalier National (CHN) : Ils sont au nombre de trois : le centre national d'ophtalmologie des Quinze-Vingt, l'hôpital de Saint Maurice et le Centre Hospitalier National de Fresnes.
•Centre hospitalier (CH) (= généraux): établissements qui dispensent toute une gamme de soins dans les domaines de la médecine, chirurgie ou obstétrique (MCO).
•Hôpitaux locaux (HL) : Ces établissements disposent d'une faible médicalisation. Les soins sont assurés généralement par des médecins généralistes exerçant à titre libéral.
•Centre hospitalier psychiatrique (CHS) : Les Centres Hospitalier Spécialisés font partie des Etablissements Public de Santé. ils ont été instaurés par la loi du 30 juin 1838.

Services des centres hospitaliers
- services de spécialité selon les spécificités de centre (médecine générale, radiologie, chirurgie, neurologie, pneumologie...)
- services spécifiques : laboratoires d'analyse biologique, établissement de transfusion sanguine, salle de garde, pharmacie à usage intérieur

3 grands groupes :-Assistance publique de Paris
-Assistance publique de Marseille
-Hospices civils de Lyon
= Regroupent de nb établissements de soin avec 1 administration centrale + 1 seule entité juridique.

Secteurs public = 65 % des capacités hospitalières en France
-Règlement par le code de la santé publique
-Tous le personnel = des salariés de la fonction publique hospitalière.
-Le directeur de l’établissement est nommé /le ministre de la santé.
-Le maire de la commune figure dans le conseil administratif

-Financé par :
O dotation globale, représentant la part des dépenses obligatoire pris en charge par la sécurité sociale, elle est versé par CPAM dites caisses pivot en fonction de la durée du séjour des assurés et ce tous les mois.
O Recette du forfait journalier à la charge du patient.

Privé :
-Etablissement à but lucratif = société commerciales. Les médecins y exercent à titre libéral
Soumis à des conditions d’autorisation des pouvoirs publics pour toutes modif (extension, aménagement, équipement lourd)
Ce sont souvent des cliniques : activités de soin aigu, soumis aux pouvoirs publics avec la planification sanitaire.
Rémunération au prix de la journée, à l’actes des médecins + forfait pour soin lourd.
-Etablissement à but non lucratif = soumis aux mêmes règles que les établissements public
Ce sont des associations (loi 1901), des établissements gérés par des mutuelles et organisme de la sécurité sociale ou des fondations.

Alternative à l’hospitalisation :
-Hospit de jour : faire un bilan ou suivie d’un TTT
-Hospit de nuit : TTT de longue durée la nuit, permet d’exercer une activité et de garder 1 vie sociale
-Hospit à dom : permet de réduire la durée d’hospit après accord DR + enquête sociale, TTT poursuivi sous la surveillance du DR traitant.
-Foyer d’hébergement : pour malade valide= soigné que qq heures /jour à l’hôpital, tout en étant hébergé à proxi
-Consultation externes : avantages :
oConsult au près de Dr à la pointe de la formation
oUtiliser ticket modérateur (la partie des dépenses de santé qui reste à la charge du patient après le remboursement de l'assurance maladie)
oRupture sentiment isolement
Mais aussi :
-Etablissement de soin de courte durée : ttt affection grave pendant leur phase aigue
-Etablissement de santé ou réadaptation : ttt et surveillance médicale des malades en soins continus
-Etablissement de soin de longue durée : pour patient autonome, nécessitant 1 surveillance médicale constante + TTT d’entretien

Politique hospitalière :

-organiser et planifier la répartition de l’offre de soins
-réguler les dépenses de santé

Croissance de la fréquentation des urgences médicales :
Depuis leur création en 1960, le service d’accueil des urgences = augmentation activité régulière
Actuellement 15 M de passage (90% en public) contre 7M en 1990.
+ Évolution de leur fonction ex : pris en charge popo à faible niveau de ressource
Motifs fréquentations :
-souhait de bénéficier du support d’1 plateau technique
-gratuité des soins offert / l’hôpital
-méconnaissance possibilité offerte par les médecins libéraux.
Souvent engorgées + niv de charge structurelle tendu
Réponse crise urgence :
-prendre en compte organisation + effectifs service
-en amont= orientation + prise en charge patient
-En aval : hospitalisation des malades

Planification hospitalière :
31 décembre 1970= Loi Hospitalière = création de « service public hospitalier » + carte sanitaire
Arrêté en 1975, elle découpe espace géographique en 256 secteurs sanitaires répartis en 21 régions : installation d’1 plateau technique minimum dans chaque secteur + rééquilibrage des équipements hospitalier par secteur.
Ordonnance 1996 : Agences régionales de l’hospitalisation
Objectifs : améliorer complémentarité de l‘offre de soin dans une même zone géographique
Plan hôpital 2007 : ordonnance du 4 sept 2003 : simplifie et régionalise les démarches de planification
-Carte sanitaire supprimé
-Le schéma régional d’organisation sanitaires ROS = outil de planification et les « secteurs sanitaires » sont remplacés par des « territoires de santé »
-Le groupement de coopérative sanitaire GCS devient le cadre naturel des coopérations des réseaux de santé
Plan Hôpital 2012 : poursuit la politique de modernisation des établissements hospit : accélération de l’information du processus de soin

Financement dépenses hospit :
1983 : syst d’enveloppe globale pour l’hospitalisation publique = la dotation globale de financement.
Elle est fixée annuellement pour chaque hôpital, remplace la tarification au prix de la journée.
Oblige chaque hôpital à ne pas dépasser les crédits attribués par la caisse pivot dont il dépend.
Ordonnance du 24 avril 1996 : régulation par les coûts, fondée sur lois annuelles de financement de la sécurité sociale et objectif national des dépenses d’assurance maladie ONDAM
Le montant des dépenses CPAM de l’année est régulé / rapport à ONDAM de l’année précédente.
Le montant total des dépenses hospit pour le public = réparti en dotations régionales.
Loi du 27juillet 1999 : expérimentation de 2000(1er janvier) à 2005, de nouveaux modes de financement pour le public ou privé fondés sur la tarification à la pathologie
Objectif repris / plan hospitalisation 2007 qui prévois 1réforme du financement des activités MCO (médecine, chir, obstétriq)
La tarification à l’activité (T2A) : doit s’appliqué à tous les établissements (hospit avec ou sans hébergement, hospit à dom, consultations soin externes)
Objectif : avoir 1 financement mixte en distinguant les missions d’intérêt général (recherche, enseignement) financé / dotation et les missions de soins (financé à l’activité)
Plan hôpital 2012= même logique.

Droit des malades :
Les établissements de santé doivent :
-Veiller et respecter les droits de l’H et du citoyen
-Respect des droits généraux du droit français
-Respect droits essentiel des patients = « chartre du patient hospitalisé » 2001,
10 principes généraux :
oL’accès au service public hospit : accessible à tous, en particulier les + démunie + adapté au pers handicapé
oAux soins : les établissements garantissent la qualité des TTT, des soins et accueil, attentif au soulagement de la douleur
oInformation du patient et de ses proches
oConsentement préalable qui doit être libre et éclairé
oConsentement spé pour certains actes (recherche biomédicales, actes de dépistage)
oLiberté individuelle : le patient peut à tout moment quitter l’établissement sauf exception prévu / la loi, après avoir été informé des risques éventuel qu’il encourt
oRespect de la pers et de son intimité
oDroit à la vie privée et confidentialité
oAccès aux infos contenu dans dossier administratifs et médicaux = dossier médical personnel, permet un parcours de soins optimal pour toute pers à tout moment
oVoies de recours : le patient exprime ses observations sur les soins, l’accueil, dispose du droit de demander réparations des préjudices qu’il estimerait avoir subis.
Loi du 4 Mars 2002 : instaure l’accès direct des malades aux données médicales le concernant.
En + des droits juridiques, l’hôpital tente de s’humaniser depuis qq années en mettant le malade au centre de ses préoccupations.
Développement de service spé :
Poursuite des études dans l’établissement
Ouverture de centre d’hébergement pour la famille grâce à l’opération pièces jaunes

LES INFECTIONS NOSOCOMIALES

Infection contractée à l’hôpital, qui n'existait pas auparavant, ni pendant les 48 premières heures d'hospitalisation.
7% des hospitalisés ; 4000 personnes tués par an

FACTEURS FAVORISANTS
- l'age et la pathologie
- Prise de certains médicaments (ATB, immunosuppresseurs...)
- Actes invasifs (sondes urinaires, cathéter...)

CAUSES
- Endogènes : Patients contaminés par ses germes
- Exogènes : Autres patients, personnel, visiteurs...

CONSEQUENCES
- PAtients : Souffrance supplementaires, allongement de la durée du séjour, séquelles ou décès
- Hopital : Cout par l'allongement de l'hospitalisation et indemnités pour le dommage causé

PREVENTION
- Hygiene des mains
- Isolement des malades
- Foramtion du personnel
- Surveillance des ATB
- Controle de l'air et de l'eau

CCL° :
Depuis 1988, création du CLIN (Comité de lutte contre les Infections Nosocomiales) : Formation du personnel, rapport d'activité, prévention
RAISIN : Réseau d'alerte et d'investigation et Surveillance des Infectiions nosocomiales = Surveillance épidémiologique

PS : ATB : Antibiotique

Le secret médical

Définition
Le secret peut être défini comme un devoir naturel des citoyens, un devoir moral, une obligation légale et un droit du malade. Son intérêt est donc d'ordre public mais également privé.

Un peu d'histoire...
Le secret médical est encadré pour la première fois par la loi en 1810 (article 378 du Code Pénal) : tous les officiers de santé qui, hors les cas où la loi les oblige à se porter dénonciateurs, auront révélé ces secrets, seront punis d'un emprisonnement d'un à six mois et d'une amende de 100 à 500 francs.
L'obligation du secret médical touche tous les professionnels de santé. Il est absolu et d'ordre public. Cette obligation est également valable après le décès du patient.
1892 : déclaration obligatoire de maladies contagieuses
1842 : déclaration obligatoire des maladies vénériennes
1898 : déclaration des accidents de travail
Infirmières : un serment de 1893 (serment de NIGHTINGALE)
"Je ferai tout pour élever le niveau de ma profession et je garderai, avec totale discrétion, les choses privées qui me seront confiées et tous les secrets de la famille que la pratique de mon service me ferait éventuellement connaître. J'aiderai de mon mieux le médecin dans son travail, et je me dévouerai au bien-être de ceux qui sont laissés à ma garde."
En 1945 le secret médical connaît un rebondissement avec la révolution thérapeutique, la sécurité sociale et la création des ordres.
Avec le Code de déontologie de 1995 le secret est dit "partagé" mais reste limité aux membres de l'équipe soignante. Les auxiliaires médicaux sont alors des confidents indispensables pour le médecin qui doit s'assurer que les personnes qui l'entourent sont instruites de leurs obligations.
La loi de 2002 évoque les droits du malade. Deux professionnels de santé peuvent échanger des informations (continuité des soins qui détermine la meilleure prise en charge possible).
Le secret est aussi informatique : les médecins partagent entre eux le secret par le biais des outils informatiques. (Loi Informatique et Liberté de 1978).

Les dérogations du secret :
Le secret ne peut pas toujours être gardé pour soi. C'est pourquoi la loi autorise certaines dérogations (naissances, décès, maladies contagieuses, alcooliques dangereux, internement, accidents du travail et maladies professionnelles, dopage, VIH...)
Les dérogations ont pour but de protéger la santé publique, de faire fonctionner l'état civil, de préserver l'intérêt du patient, de maintenir l'ordre mais également de maîtriser les dépenses de santé.

Conclusion :
Vie privée, rapport au travail, à la justice, à la médecine, à la religion... Le secret professionnel est omniprésent dans nos préoccupations quotidiennes.
Aujourd'hui, confronté à l'évolution de la société, les barrières du secret médical ont tendance à s'amenuiser. Les enjeux posés par la médecine moderne, les exigences actuelles de prise en charge des patients comme l'affirmation de leur droit à l'information amènent à s'interroger sur le principe du secret médical.

Le Dossier de Soins Infirmier informatisé (DSI informatisé).

Définition DSI :« un document unique et individualisé regroupant l'ensemble des informations concernant la personne soignée. Il prend en compte l'aspect préventif, curatif, éducatif et relationnel du soin » ( Journal de médecine légale ).
Il fait partie intégrante du dossier du patient.

> La modernisation des systèmes d'information hospitalière fait partie des quatre objectifs du plan hôpital 2012.

Intérêts DSI informatisé:

-Améliorer la qualité de soins.
-Gain de temps.
-Création systématique d'un dossier de soins pour chaque patient pris en charge.
-Une meilleure synchronisation de l'équipe soignante.
-Une amélioration dans la programmation des interventions à mener par l'équipe paramédicale.
-Une évaluation de la qualité des soins, de la recherche dans le domaine des soins infirmiers ou des études de charges de travail.
-Traçabilité automatique : signature électronique ( code unique pour chaque utilisateur.)
-Vision globale du service : nombre de lits , noms de leurs occupants, dates d'entrée,lits vides ,mise en isolement...
-Evaluer l'activité du service: maîtrise des coûts de santé.
-Lisibilité des prescriptions.
-Planification des soins.
-Plus d'archivage : gain de place, économie de papiers..

Inconvénients :

-Le coût du matériel , et du personnel d'entretient.
-Le coût de la formation du personnel paramédical.
-Une robotisation du travail d'infirmier.
-Perte des données.
-Moins d'échange entre soignants.
-Piratage : secret professionnel.
-Moins de personnel : Disparition des archives , suppression de postes
DE 2015
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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Téléthon : «l'AFM passe du laboratoire à l'usine»

Par Pauline Fréour - le 01/12/2011
INTERVIEW - L'association française contre les myopathies ouvre le plus grand laboratoire de production de médicaments de thérapie génique au monde.
Comme chaque année, l'AFM va, au travers du Téléthon, récolter des fonds sur deux jours (2 et 3 décembre) pour financer la recherche sur les maladies génétiques rares. Ces dons ont notamment permis de financer une partie du laboratoire Généthon-BioProd, qui vient compléter l'arsenal de recherche et développement de l'association. Son directeur général Frédéric Revah explique ce que l'installation va changer.

Frédéric Revah. AFM/DRLE FIGARO. A quoi servira le laboratoire Généthon-BioProd ?
Frédéric REVAH. - Avec ses 5000 m², il s'agit du plus grand laboratoire de production de médicaments de thérapie génique du monde. L'AFM, grâce aux dons, va assumer les 8 à 10 millions d'euros de coûts de fonctionnement annuels. Elle a aussi contribué à hauteur de 5 millions d'euros aux 28 millions qu'a coûté la construction, le reste étant assuré par les collectivités locales. Ce laboratoire, basé à Evry (Essonne) va nous permettre de produire en grande quantité les médicaments développés dans nos autres structures de recherche, afin de mener des essais cliniques sur l'homme. Et si ces essais confirment l'intérêt de ces traitements, cette installation sera aussi en mesure de les produire industriellement pour les mettre à disposition des malades. Nous procédons actuellement aux dernières vérifications techniques et espérons ensuite recevoir les autorisations de fonctionnement mi-2012.
Pourquoi fallait-il un laboratoire spécifique pour la production de ces médicaments ?
Le principe de la thérapie génique consiste à remplacer, chez le patient, le gène défaillant responsable de la maladie. Mais on ne peut administrer ce gène comme une molécule d'aspirine, en sachet. C'est bien plus complexe. Il faut le coupler à un transporteur, que l'on appelle un vecteur, et qui est constitué en général par l'enveloppe d'un virus. Or l'élaboration de ce produit, de ce couple enveloppe-gène, est délicate et fait appel aux techniques de la biotechnologie. Elle ne peut se faire, comme d'ordinaire en pharmaceutique, par une suite de réactions chimiques. Depuis la création du laboratoire Généthon en 1990, nous avons acquis une expérience inégalée dans ce domaine, qui nous permet de répondre au nouveau défi de la production à grande échelle.

AFM/DRSur quelles maladies vont porter les premiers essais cliniques ?
Certains essais cliniques sur un syndrome immunitaire rare, le syndrome de Wiskott-Aldrich, sont déjà lancés avec des médicaments produits dans des antennes de production plus petites au sein d'autres laboratoires. Plusieurs patients, en France, aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, ont déjà été traités. Nous espèrons terminer les essais en 2014, et donc être en mesure de dire si ce médicament fonctionne. Si c'est le cas, nous aurons, avec Généthon-BioProd, la possibilité de fabriquer ce produit pour tous les malades. Nous allons également démarrer l'an prochain un autre essai sur la granulomatose de Wegener, une autre maladie auto-immune qui concerne quelques milliers de patients en Europe, et nous espérons démarrer un essai pour la myopathie de Duchenne en 2013.
Avec Généthon bioprod, l'AFM devrait devenir la première association à but non lucratif à avoir le label établissement pharmaceutique. Qu'est-ce que ça représente pour vous ?
Nous sommes déjà une référence mondiale dans le domaine de la thérapie génique pour les maladies rares. Avec Généthon-BioProd, nous changeons d'échelle : nous passons du laboratoire à l'usine. C'est une étape indispensable pour que le patient puisse espérer avoir un médicament un jour. Les industries pharmaceutiques ne s'intéressent malheureusement pas aux maladies rares, qui représentent pour elles un trop petit marché. C'est pourtant 3 millions de personnes en France, et 25 millions en Europe. Sans oublier que notre travail sur les maladies rares peut également déboucher sur une innovation thérapeutique pour des maladies plus fréquentes. Nous développons ainsi un médicament pour la neuropathie de Leber, qui ne concerne que quelques centaines de malades en France, mais qui pourrait ensuite être développé pour soigner une maladie beaucoup plus fréquente, la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA), qui touche plus d'un million de Français.
Le figaro
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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Les méfaits du stress pour les femmes enceintes

Par Yves Miserey - le 02/12/2011
Le stress maternel peut être associé à certaines pathologies chez les enfants.
Le stress qu'une maman éprouve au cours de sa grossesse peut fragiliser la santé de son futur enfant. C'est ce que montre une étude réalisée par une équipe de chercheurs pilotée par Gunther Meinlschmidt, de l'université de Bâle. Basée sur des données collectées au Danemark et regroupant plus de 66.000 mères-enfants, c'est la première étude épidémiologique d'une telle ampleur sur cette problématique. Elle a été publiée dans le numéro de novembre de la revue Environmental Health Perspectives.


Crédit photo : Flickr/Karin Dalziel
«Nous avons trouvé une association mais pas de cause directe entre le stress des femmes enceintes et les pathologies de leurs enfants, précise Gunther Meinlschmidt au Figaro, Il faut faire attention quand on communique sur ce sujet. Si on dit que le stress maternel est mauvais pour l'enfant on risque en effet d'accroître l'anxiété des femmes enceintes. La leçon à retenir, au contraire, c'est de se dire que ça vaut la peine de se faire du bien pendant la grossesse parce que c'est important pour la santé à venir de mon enfant». Selon lui, ces résultats devraient aussi inciter les pouvoirs publics à verser aux familles ayant des revenus modestes les primes à la naissance au cours de la grossesse et non une fois qu'elle est terminée.
Stress émotionnel et stress existentielLes chercheurs distinguent deux sortes de stress chez la femme enceinte. D'une part, un stress existentiel dû aux difficultés de la vie comme le manque d'argent, des conflits relationnels, un deuil ou un accident. Et d'autre part, un stress émotionnel lié à des sentiments intérieurs comme la peur, l'irritation, etc. Le stress existentiel est associé chez les enfants à des pathologies infectieuses, des maladies de l'oreille, des voies respiratoires et des voies digestives. Par comparaison, le stress émotionnel au cours de la grossesse n'a pas d'incidence sur la santé des enfants. C'est après la naissance en revanche que leurs émotions négatives peuvent avoir ont une incidence dommageable sur leurs enfants.
L'étude est basée sur les réponses apportées par les femmes enceintes à un questionnaire sur le stress et sur le catalogue OMS des pathologies développées par les enfants au cours des six premières années de leur existence.
Le figaro
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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

La rougeole en Europe inquiète


Par le figaro.fr - le 02/12/2011
L'OMS a lancé une mise en garde aux pays européens contre les conséquences de la recrudescence de cette maladie pour «la santé publique et l'économie».
Alors que les autorités sanitaires françaises s'inquiètent depuis déjà de nombreux mois de larecrudescence des cas de rougeole dans l'hexagone, le phénomène prend désormais une envergure européenne. Vendredi, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a lancé une mise en garde aux pays européens, où se multiplient les cas de rougeole, contre les sérieuses conséquences sur «la santé publique et l'économie» que cela pourrait avoir.
Dans cette perspective, l'OMS demande à ces pays de prendre des mesures d'urgence pour éviter une explosion des cas de rougeole en 2012 et au-delà. Selon les derniers chiffres disponibles, sur les 9 premiers mois de 2011, il y a eu 26.000 cas dans 36 pays d'Europe occidentale. La France figure au premier rang, avec au moins 14.000 cas à elle seule. Un chiffre potentiellement deux à trois fois supérieur car l'obligation pour le personnel médical de signaler les malades n'est pas toujours respectée. En 2006 et 2007, on ne recensait qu'une quarantaine de cas par an.
Ces cas déclarés sont à l'origine de 9 décès en Europe, dont 6 en France, ainsi que de 7288 hospitalisations. La rougeole est particulièrement virulente en Europe durant la période février-mai. Dans 90% des cas, il s'agit d'adolescents et d'adultes qui n'ont pas été vaccinés, ou dont la vaccination n'est pas à jour.
» Qui doit se faire vacciner ?
Un rapport des autorités sanitaires américaines publié jeudi soulignait également le réveil de l'épidémie depuis fin 2009. Pour parvenir à une élimination de la rougeole d'ici 2015, nouvel objectif fixé en septembre 2010 par le comité de l'OMS pour l'Europe, les campagnes de vaccination avec deux doses du vaccin devront couvrir au moins 95% des populations à risque, estiment les Centres fédéraux de contrôle et prévention des maladies (CDC).
Le virus de la rougeole est un des pathogènes humains les plus contagieux - une personne infectée peut contaminer jusqu'à 20 personnes non protégées - et il peut entraîner de graves complications, parfois mortelles. Il est transmis surtout par voie aérienne
Le figaro
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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Comment prévenir les infections urinaires


Par Pauline Léna - le 02/12/2011
Elles sont le plus souvent bénignes mais peuvent être très gênantes et parfois récidivantes.
«Les études montrent que plus de la moitié des femmes feront au moins une infection urinaire dans leur vie, indique le Pr François Haab. Si l'on ne prend pas en compte les enfants et les personnes très âgées, le nombre d'infections urinaires atteint 2 millions par an en France.» Il s'agit donc d'une affection banale et, dans la très grande majorité des cas, sans gravité. Elle est en général due à une autocontamination, des germes d'origine digestive étant transportés depuis l'anus jusqu'au méat urinaire où ils peuvent ensuite remonter le circuit de l'urine pour envahir notamment l'urètre et la vessie. Les infections urinaires basses représentent la majorité des cas mais il arrive que les germes atteignent les reins : il s'agit alors d'une pyélonéphrite.
Les femmes sont particulièrement concernées car non seulement l'anus et l'urètre sont très rapprochés mais l'urètre est très court : les bactéries ont peu de chemin à franchir pour atteindre la vessie. Le circuit est beaucoup plus long chez les hommes, dont les infections urinaires sont le plus souvent liées à un autre facteur ou une autre pathologie : hypertrophie de la prostate, rétrécissement de l'urètre, malformation de l'appareil urinaire, trouble neurologique.
La présence de bactéries dans le circuit urinaire est normale, c'est la vidange régulière de la vessie qui permet d'éliminer régulièrement les germes et d'éviter une infection.



Les symptômes sont variables mais, le plus souvent, les patientes se plaignent d'un besoin d'uriner trop fréquent, de l'impériosité de ce besoin, de douleurs dans la vessie. Une douleur dans les lombaires, symétrique à droite et à gauche, peut également être ressentie. Tous ces signes sont le résultat de l'inflammation de la vessie. L'infection, elle, peut provoquer une sensation de brûlure en urinant. «Dans 20 % des cas, du sang est présent dans les urines mais il ne s'agit pas d'un signe de gravité», précise le Pr Haab. Il faut consulter rapidement si une fièvre de plus de 38° apparaît, si la douleur est franchement d'un seul côté, si la patiente est enceinte, si on est un homme et si l'on a subi une intervention chirurgicale depuis moins d'un mois.
Boire beaucoup Le diagnostic repose sur les signes cliniques et peut être confirmé par un test sur bandelette urinaire. Il doit être fait après avoir éliminé un premier jet d'urine pour entraîner les bactéries toujours présentes autour du méat urinaire. Ce test détecte la présence de nitrites et de leucocytes, indicateurs de la présence d'une infection. L'utilisation d'un ECBU (examen cytobactériologique des urines) n'est pas recommandé dans les infections urinaires non compliquées, de même qu'un examen sanguin. Les examens complémentaires ne sont nécessaires que lorsque le traitement échoue, qu'une rechute se produit ou que les cystites sont récidivantes. Le médecin peut alors demander un ECBU, une échographie de la vessie ou encore une cystoscopie.
Le traitement doit être de courte durée pour la femme adulte et se fait désormais en une prise unique d'antibiotiques dédiés à la zone urinaire.
L'objectif est de ne pas favoriser l'apparition de résistances aux antibiotiques, de plus en plus fréquentes. «Il est important de ne pas prescrire de quinolones afin de préserver cette classe d'antibiotiques pour les infections pulmonaires où elles sont désormais parfois le seul traitement efficace», rappelle le Pr Haab.
Le médecin conseillera également de boire beaucoup et d'aller uriner fréquemment. Les symptômes liés à l'infection disparaissent très rapidement avec les antibiotiques mais il faut parfois plusieurs jours pour que l'inflammation de la vessie se résorbe. Des antalgiques et des anti-spasmodiques peuvent aussi être prescrits.
De nombreuses circonstances favorisent les infections urinaires et quelques gestes peuvent être appliqués pour en réduire la fréquence. Les relations sexuelles facilitent la contamination de l'urètre : uriner après un rapport sexuel est donc utile. Un excès d'hygiène vaginale peut nuire à sa flore, qui protège toute cette zone. Les femmes ménopausées, dont la flore vaginale est modifiée, sont d'ailleurs plus sensibles aux infections urinaires.
Les diabétiques doivent également être plus attentives et s'assurer qu'elles boivent suffisamment et urinent fréquemment, des gestes qui restent, pour tous, la meilleure protection naturelle, avec la canneberge, qui a également démontré son intérêt dans la prévention des infections urinaires.
Le figaro
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Re: Actualités concours 2012

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Les huîtres britanniques contaminées par un virus

Plus de 75% des huîtres britanniques sont contaminées par un virus qui entraîne diarrhées et vomissements. Les autorités de santé déconseillent ainsi à une partie de la population de les consommer.



La nouvelle tombe mal à un mois des fêtes de fin d'année : plus des trois quarts des huîtres cultivées au Royaume-Uni sont atteintes d'un virus qui cause vomissements et diarrhées à celui qui les consomme.

Si les ostréiculteurs sont accablés par cette information, l'agence de contrôle des aliments qui a mené cette étude admet toutefois qu'elle ne connaît pas le niveau à partir duquel ce « norovirus » est pathogène. Les scientifiques sont également incapables, pour l'heure, de se prononcer sur l'efficacité du traitement ultra-violet employé pour purifier les huîtres.

L'étude, menée entre 2009 et 2011 sur 8.000 huîtres dans une quarantaine de zones de culture au Royaume-Uni est la première du genre. Les résultats doivent permettre d'aider les autorités sanitaires « à travailler avec les producteurs afin de trouver les moyens de réduire les niveaux de norovirus dans les crustacés et à travailler au plan européen à définir les niveaux à partir desquels la consommation est sans danger. »

Dans le doute, l'agence Food Standards Agency (FSA) appelle les personnes âgées, fragiles, les femmes enceintes et les jeunes enfants à éviter de manger des huîtres crues. Car en 2009, un norovirus d'huîtres avait déjà fait des dégâts : le chef Heston Blumenthal, étoilé au Michelin, avait été contraint de fermer son restaurant, le Fat Duck : 500 personnes avaient en effet été victimes d'une intoxication alimentaire après avoir consommé des huîtres crues et des palourdes.

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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Nucléaire : des militants de Greenpeace seraient «cachés» dans des centrales

Action concertée de Greenpeace lundi. Le mouvement écologiste a mené une opération coup de poing sur plusieurs centrales françaises dans la nuit de dimanche à lundi. L'objectif: démontrer que la sécurité autour des sites nucléaires n'est pas assurée, ou en tout cas insuffisante. Greenpeace n'aurait pas terminé ses actions. Dans un communiqué publié sur son site Internet, le mouvement écologiste explique que «d’autres militants de Greenpeace se sont introduits dans d’autres installations nucléaires». «Cachés depuis ce matin, ils (ndlr : les militants) parviennent à se déplacer sur ces sites sans être repérés par les forces de sécurité et les systèmes de surveillance», précise encore le communiqué.

Plus tôt lundi matin, des militants de Greenpeace se sont introduits dans la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine (Aube), a annoncé l'organisation écologiste, une «intrusion» confirmée par la gendarmerie à l'AFP. Dans un communiqué, Greenpeace précise s'être introduit vers 6 heures dans cette centrale nucléaire située à 95 km au sud-est de Paris «pour faire passer le message que le nucléaire sûr n'existe pas». La centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine, construite en 1987 et qui possède deux réacteurs, a été choisie par Greenpeace «car elle est la plus proche de Paris», selon Greenpeace. Neuf militants sont entrés dans la centrale selon EDF.

Dans la matinée, le groupe d'énergie a indiqué dans la matinée que l'action du mouvement écologiste a été «immédiatement détectée» et l'évènement n'a eu aucune conséquence sur la sécurité des installations. «Leur cheminement a été suivi en permanence sur le site, sans qu’il soit décidé de faire usage de la force», a expliqué EDF, ajoutant que sept des neuf personnes «ont été appréhendées dans le calme par la gendarmerie». Tous les accès menant à la centrale de Nogent-sur-Seine étaient coupés peu après neuf heures, a constaté un photographe de l'AFP, qui ne pouvait qu'apercevoir les tours de réfrigération du site.

Des tentatives d'intrusion et des banderoles autour de plusieurs centrales françaises

«Une partie des militants a réussi à grimper sur le dôme de l'un des réacteurs, où ils doivent déployer une banderole: "Le nucléaire sûr n'existe pas"», a expliqué Axel Renaudin, chargé de communication de Greenpeace. «Le but est de démontrer la sensibilité des installations nucléaires françaises, et à quel point il est facile d'atteindre le coeur d'une centrale», a souligné Sophia Majnoni, chargée des questions nucléaires pour Greenpeace. «Nous avons franchi 3 barrières de sécurité, notamment des grillages qui sont électrifiés et nous sommes montés sur le toit du réacteur. Et pendant tout ce périple, en effet, nous n’avons croisé personne qui a été susceptible d’interpeller les militants», a-t-elle raconté sur BFM TV.

Elle a dénoncé l'audit lancé par le gouvernement sur la sécurité des centrales nucléaires, y voyant «une opération de communication qui ne prend en compte que les risques déjà identifiés dans le passé et ne tire pas les leçons de Fukushima». La centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine a été choisie par Greenpeace «car elle est la plus proche de Paris».

Selon la gendarmerie, Greenpeace aurait également tenté de pénétrer dans les centrales de Blaye (Gironde) et de Cadarache (Bouches-du-Rhône) dans la nuit de dimanche à lundi. Des échelles et des banderoles ont été retrouvées près des sites par les gendarmes qui n'ont procédé à aucune interpellation, a-t-on précisé de même source. D'autres banderoles ont été déployées à Chinon (Indre-et-Loire), selon une source EDF.

Henri Guaino parle d'une action «irresponsable»

Interrogé lundi matin sur France Info, Eric Besson, ministre de l'Industrie et de l'Energie, a estimé que si l'enquête confirmait cette intrusion, cela signifierait qu'il y aurait eu « dysfonctionnements et qu'il faudra prendre des dispositions pour que ça ne se reproduise pas ». De son côté, Henri Guaino, conseiller spécial du président Nicolas Sarkozy, a assuré lundi qu'il faudrait «tirer les conséquences» de cette intrusion. Interrogé par BFMTV-RMC, M. Guaino a estimé que l'action du mouvement écologiste était «irresponsable». «On ne peut pas permettre que n'importe qui puisse entrer aussi facilement dans une centrale nucléaire. On peut imaginer ce que certains pourraient en faire», a poursuivi M. Guaino.


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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Narbonne: un nourrisson victime de 19 fractures, le père écroué

Un jeune père a été mis en examen à Narbonne (Aude) et écroué après l'hospitalisation de son bébé, une fillette âgée de deux mois qui présentait 19 fractures, en particulier au niveau des côtes et des genoux. Le bébé avait été hospitalisé jeudi à l'hôpital de Narbonne.

D'après le parquet de Narbonne, qui souligne que les investigations ne font que commencer, elle aurait pu subir des torsions au niveau des jambes et ses articulations en auraient souffert. Les médecins ont immédiatement signalé la situation aux policiers qui ont interpellé les jeunes parents de la fillette, lesquels ont été placés en garde à vue.

L'état de la fillette est jugé préoccupant

Une information judiciaire pour «violences volontaires sur mineur de moins de quinze ans par ascendant» a été ouverte samedi soir et le père a été mis en examen puis écroué. La mère a été mise hors de cause «pour l'instant», a déclaré le parquet.

Le bébé a été transféré au CHU de Montpellier (Hérault) dans un état jugé préoccupant. La fillette, dont les jours ne sont pas en danger, pourrait toutefois garder des séquelles de ses blessures. Elle fera l'objet d'une mesure de placement à sa sortie de l'hôpital.

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Re: Actualités concours 2012

Message par Memo »

Salut tout le monde!!

Voilà quelques liens d'émission intéressante...
Attention je ne sais pas jusqu'à quand les vidéos resteront disponible... :oops:

Sur la maternité:
http://www.lcp.fr/emissions/etat-de-san ... a-la-carte

Sur les lois de bioéthique:
http://www.lcp.fr/emissions/docs-ad-hoc ... -nos-mains

Sur les enfants nés séropositifs:
http://www.pluzz.fr/nes-seropositifs-la ... 23h05.html

Sur les familles des enfants malades:
http://documentaires.france5.fr/documen ... dun-enfant

Sur les enfants de la lune:
http://videos.tf1.fr/reportages/les-enf ... 46902.html
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Re: Actualités concours 2012

Message par missdu33 »

merci pour les liens de videos!!!
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Re: Actualités concours 2012

Message par missdu33 »

Téléthon : des dons en hausse
Malgré la crise, malgré le mauvais temps, le 25e téléthon est un succès. Avec plus de 86 millions d’euros recueillis en 30 heures de programmes, soit 2 millions de plus que l’année dernière, l’Association française contre les myopathies (AFM) estimait hier que c’était une belle réussite et que malgré la conjecture actuelle, l’élan de solidarité était toujours aussi présent en France.
Parrainée par l'humoriste Gad Elmaleh, cette 25e édition de ce grand marathon télévisuel caritatif est un bon cru. En effet, après presque deux jours d’animations en tout genre retransmis sur l’ensemble des chaines de France Télévisions, le Téléthon 2011 s’est achevé dans la nuit de samedi à dimanche, avec un total de 86 119 425 euros de promesses de dons au compteur. L’argent ainsi récolté devrait permettre d’une part, d’améliorer le quotidien des enfants et personnes souffrant de maladies orphelines, et d’autre part, de soutenir la recherche. D’après l’AFM, plus de 3 millions de français souffriraient de ce type de maladies.
Depuis sa création, le Téléthon a permis de formidables avancées. Des traitements, encore pour certains à l’essai, ont montré qu’il était possible de soulager certains patients voire de les guérir. Les organisateurs de cette manifestation unique en France soulignent l’importance de poursuivre ce formidable élan de générosité en continuant à appeler le 3637 jusqu’au vendredi 9 décembre ou en se connectant toute l’année sur le site de l’AFM.

Article écrit le 2011-12-05 par Olivier Frégaville-Arcas - Information hospitalière
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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par Zackfair »

ils te demandent ,de ce que je comprend , comment tu pourrais agir en tant qu'infirmière . En tout cas il faut un lien avec ta future profession et là je pense que tu peux dire que tu as un rôle de prévention donc tu pourrais l'appliquer dans l'optique d'aider les femmes battues ,violentées à agir
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La sagesse de la vie est toujours plus large et plus profonde que celle des hommes Maxime Gorki

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Re: Actualités concours 2012

Message par missdu33 »

30 ans de lutte, 30 ans de prévention, 30 ans de recherche et enfin une lueur d’espoir

30 ans après l’apparition des premiers cas de patients séropositifs et à l’occasion de la 24e journée mondiale de lutte contre le VIH/sida, les dernières avancées thérapeutiques, une meilleure prise en charge et une prise de conscience globale de l’importance de se faire dépister permettent enfin à l’Onusida de fixer pour 2015 l’objectif zéro nouvelle contamination au VIH, zéro discrimination et zéro décès lié au sida. C’est en tout cas la thématique 2011, qui est relayée non seulement par les autorités sanitaires mais aussi par les associations de malades.
Trois décennies après sa découverte, l’heure du bilan a sonné. Actuellement, selon le dernier rapport de l’Onusida, publié la semaine dernière, plus de 34 millions de personnes dans le monde sont porteuses du VIH. En 30 ans, le sida est à l’origine de plus de 28 millions de décès dont 1,8 seulement pour l’année 2010. En France, d’après les données de l’Institut national de veille sanitaire (InVS), il y a 150 000 séropositifs et chaque année 6 300 nouveaux cas diagnostiqués. Ce chiffre est stable depuis un peu plus de 5 ans. La progression de la maladie n’a donc pas baissé, notamment dans les populations à risques (migrants, et homosexuels masculins, prostitué(e)s et usagers de drogues injectables, etc.). Le plus inquiétant, c’est que plus de 40 000 personnes vivant en France seraient porteuses de virus sans le savoir, faute ou par peur de se faire dépister. Un autre point noir, plus de 30 % des nouveaux cas sont des diagnostics tardifs, entrainant un retard dans la prise de traitement.
Les progrès extraordinaires de la médecine depuis 10 ans et les dernières données scientifiques publiées depuis un peu plus de deux ans montrent d’une part que les trithérapies sont beaucoup mieux tolérées par les patients, et d’autre part, que la prise précoce de médicaments fait maintenant partie de l’arsenal de prévention. En effet, le risque de transmission du VIH d’un patient sous trithérapie, dont le virus est indétectable, à son partenaire est faible. Des études récentes ont aussi permis de constater que les patients traités précocement et qui suivent rigoureusement leur traitement ont une espérance de vie proche de celle de la population générale. Actuellement, quasiment la moitié des personnes séropositives dans le monde a accès aux traitements.
Si le port du préservatif reste un des moyens les plus sûrs pour éviter tout risque de contamination, il est important pour enrayer enfin ce fléau de favoriser l’accès au dépistage. D’après un rapport récent de l’Anrs, le dépistage n’est plus tabou et une large partie de la population française serait d’accord pour être testé lors de leurs visites chez leurs médecins.
Cette année, le premier décembre est synonyme d’espoir… Afin de voir dans les années à venir la fin de l’épidémie…Faites vous dépister…

Article écrit le 2011-12-01 par Olivier Frégaville-Arcas - Information hospitalière
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Re: Entraînement culture générale 2012

Message par Memo »

Je pense qu'on peux avoir plusieurs rôle ou place. Mais c'est sûr qu'il faudra plus développer celui de l'infirmière!! :clin:

Intro: Différents types de violence (physique, sexuel, psychologique)

En tant que membre de la famille:
Repérer les signes, écouter et apporter un soutient psychologique, économique ( si besoin d'un nouvel habitat....)

En tant qu'infirmière:
Écouter et apporter un soutient psychologique
_Prévention:Primaire_ scolaire, publicité Secondaire_mise en relation avec des association
_Signalisation si c'est sur mineur
_Secret médical
_Prise en charge pour les test de viol ou même ITT interruption temporaire de travail pouvant conduire à des conséquences judiciaires si elle est plus ou moins longue

En tant que membre d'association:
Écouter, informer sur la législation...
_Prévention tertiaire: aider à la réinsertion sociale et professionnelle

Conclusion: Ouverture: La demande d'augmentation du délai de prescription pour les agressions sexuelles depuis l'affaire DSK et la romancière ...
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