TFE : Relation soignant/soigné en psy,ses difficultés,peurs
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- Lady_Sushie
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TFE : émotion des IDE en psychiatrie (Rch IDE)
Bonjours à toute et bonne fête de fin d'année!
Je suis actuellement à la recherche d'infirmière en psychiatrie ou ayant travaillé en psychiatrie qui accepterai de répondre à un questionnaire pour mon TFE.
Bien évidement celui-ci est anonyme.
Mon travail s'effectue autour des émotions de l'infirmière dans la relation soignant-soigné en psychiatrie.
Si vous êtes intéressée pour y répondre merci de m'envoyer par mp votre mail que je puisse vous envoyer le questionnaire.
Merci beaucoup!!
Je suis actuellement à la recherche d'infirmière en psychiatrie ou ayant travaillé en psychiatrie qui accepterai de répondre à un questionnaire pour mon TFE.
Bien évidement celui-ci est anonyme.
Mon travail s'effectue autour des émotions de l'infirmière dans la relation soignant-soigné en psychiatrie.
Si vous êtes intéressée pour y répondre merci de m'envoyer par mp votre mail que je puisse vous envoyer le questionnaire.
Merci beaucoup!!

Dernière modification par Juju5544 le 18 déc. 2011 19:09, modifié 1 fois.
Raison : Titre modifié
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IDE 2012 en psychiatrie
Re: TFE: Emotion des IDE en psychiatrie
pas de soucis par mp
Infirmier Diplômé d'Etat, Formateur de professionnels de santé
"On ne répond pas à une demande, on la traite"
"On ne répond pas à une demande, on la traite"
TFE la peur du soignant en psychiatrie
Bonjour à tous
je me permets de créer ce sujet suite à plusieurs interrogations. je travaille dans le cadre de mon TFE sur l'incidence de la peur de l'infirmier générée par un patient psychotique. je parle d'incidence sur l'infirmier lui même et sur sa prise en charge. j'ai choisi d'aborder cette thématique suite à une situation vécue en stage, un patient (schizo paranoïde) basait sa communication sur une attitude menaçante avec les soignants (uniquement les femme pour être précise), du coup un sentiment de crainte s'est fait ressentir du côté des IDE, qui avait du mal à prendre en charge efficacement ce patient, de part leur peur intense. je précise que ce patient, a commis le meutre de sa femme, il y a pas mal d'années. après discussions avec les soignants, ils m'ont parlé d'une peur d'un passage à l'acte violent, d'une crainte d'avoir en face d'eux une personne qui a ôté la vie de son épouse et l'inquiétude face à son attitude, qui dure depuis maintenant plusieurs mois.
j'en reviens à mon questionnement suite à ce mémoire:
- selon vous, la peur est une force ou une " faiblesse" dans la relation?
- avez vous deja eu affaire à un patient qui vous générait de la peur, une inquiétude, une crainte et est ce que votre prise en charge en a eu des répercussions?
- cachez vous vos émotions face aux patient?
- selon vous, existe-til une attitude adaptée pour faire face à un certain envahissement émotionnel? (en gros comment savoir faire face a ce sentiment intense, qu'est la peur)
- dans ce genre de situation, quelle serait votre peur? ( peur d'une violence physique, d'une instauration d'un jeu de manipulation entre soignants, soigné, peur d'une violence psychologique...)
j'arrête là avec toutes mes questions
je vous remercie d'avance pour toutes vos réponses, votre ressentit m'intéresse énormément. ce sujet me passionne dans le sens, ou j'aimerais énormément travailler en psychiatrie, et selon moi, ce sujet, m'apportera beaucoup pour la suite de mon parcours professionnel.
merci beaucoup à tous ceux qui ont eu le courage de lire mon pavet
bonne journée a tous!!

je me permets de créer ce sujet suite à plusieurs interrogations. je travaille dans le cadre de mon TFE sur l'incidence de la peur de l'infirmier générée par un patient psychotique. je parle d'incidence sur l'infirmier lui même et sur sa prise en charge. j'ai choisi d'aborder cette thématique suite à une situation vécue en stage, un patient (schizo paranoïde) basait sa communication sur une attitude menaçante avec les soignants (uniquement les femme pour être précise), du coup un sentiment de crainte s'est fait ressentir du côté des IDE, qui avait du mal à prendre en charge efficacement ce patient, de part leur peur intense. je précise que ce patient, a commis le meutre de sa femme, il y a pas mal d'années. après discussions avec les soignants, ils m'ont parlé d'une peur d'un passage à l'acte violent, d'une crainte d'avoir en face d'eux une personne qui a ôté la vie de son épouse et l'inquiétude face à son attitude, qui dure depuis maintenant plusieurs mois.
j'en reviens à mon questionnement suite à ce mémoire:
- selon vous, la peur est une force ou une " faiblesse" dans la relation?
- avez vous deja eu affaire à un patient qui vous générait de la peur, une inquiétude, une crainte et est ce que votre prise en charge en a eu des répercussions?
- cachez vous vos émotions face aux patient?
- selon vous, existe-til une attitude adaptée pour faire face à un certain envahissement émotionnel? (en gros comment savoir faire face a ce sentiment intense, qu'est la peur)
- dans ce genre de situation, quelle serait votre peur? ( peur d'une violence physique, d'une instauration d'un jeu de manipulation entre soignants, soigné, peur d'une violence psychologique...)
j'arrête là avec toutes mes questions

merci beaucoup à tous ceux qui ont eu le courage de lire mon pavet

bonne journée a tous!!
Dernière modification par Benji30 le 26 avr. 2013 11:04, modifié 2 fois.
Raison : titre modifié
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Infirmière promotion 2009/2012
Tout début en psychiatrie, et compte bien y rester !!!
Tout début en psychiatrie, et compte bien y rester !!!
Re: la peur du soignant en psychiatrie
Ni l'un ni l'autre. C'est une émotion qui s'impose à toi de manière sécuritaire, un élement d'alerte en somme, que tu essayes tant bien que mal de gérer comme tu peux. Pour ne pas te donner une réponse d'homme politique normand, je dirais que c'est un handicap, et pas unefaiblesse, si elle arrive à te destabiliser dans ta posture soignante.Justi a écrit :- selon vous, la peur est une force ou une " faiblesse" dans la relation?
Plusieurs fois... Le sentiment originel de peur est quelque peu déformé par la sécurité que te confère le cadre hospitalier, la blouse et la cohésion d'équipe. Cependant il arrive parfois que tu miches totalement face à un patient. Les répercussions sur la prise en charge sont une certaine indisponibilité du soignant face à la situation, qui se laisse de fait pénetrer par l'angoisse et ne parviens plus à se situer. Les fois où je me sens mal à l'aise, je passe le relais à un collègue et je vais boire un café.Justi a écrit :- avez vous deja eu affaire à un patient qui vous générait de la peur, une inquiétude, une crainte et est ce que votre prise en charge en a eu des répercussions?
Oui. Pour me protéger, le protéger, conserver une neutralité dans la prise en charge et éviter tout transfert entre personne soignée et soignant. Je ne dis pas par là que je deviens une machine de guerre dénouée de toute expression. Mais comme on dit à l'école de manière basique: empathie oui, sympathie nonJusti a écrit :- cachez vous vos émotions face aux patient?

Premièrement rester humble et apprendre à reconnaître ses limites. Le fait de travailler en équipe permet aussi de passer le relais aux collègues et d'échanger en cas de situations complexes. La pratique profesionnelle nous apprend également à nous découvrir en tant que soignant et à identifier nos failles.Justi a écrit :- selon vous, existe-til une attitude adaptée pour faire face à un certain envahissement émotionnel? (en gros comment savoir faire face a ce sentiment intense, qu'est la peur)
Ma principale peur serait qu'une situation de violence ou d'aggressivité puisse me confronter à des peurs intérieures sans lien avec le patient ou la situation elle même. J'aurais peur qu'une situation de violence quelconque puisse me confronter à une difficulté personnelle face à laquelle je me sentirais impuissant.Justi a écrit :- dans ce genre de situation, quelle serait votre peur? ( peur d'une violence physique, d'une instauration d'un jeu de manipulation entre soignants, soigné, peur d'une violence psychologique...)
IDE en Psychiatrie (EPS Maison Blanche Paris)
Tuteur de Stage
Tuteur de Stage
Re: la peur du soignant en psychiatrie
un grand merci pour tes réponses très intéressantes, qui me font vraiment réfléchir. encore merci. y a-t-il d'autres personnes qui pourraient y répondre?
Infirmière promotion 2009/2012
Tout début en psychiatrie, et compte bien y rester !!!
Tout début en psychiatrie, et compte bien y rester !!!
Re: la peur du soignant en psychiatrie
désolée pour le double post...
Suite à certaines réflexions, j'ai essayé de retravailler mes questions. je vous les fait part ci dessous...
- quelle est votre représentation de la peur?
- pensez vous que l'on puisse ressentir ce sentiment dans la relation soignant, soigné?
- quelle est la nature de votre peur ( peur positive qui accroit votre vigilance ou plutôt une peur paralysante qui vous handicaperait)
- quelles sont les causes de votre peur?
- y a t il des situations qui majore ce sentiment de peur?
- pensez vous qu'il faut évoquer notre ressentit au patient, si oui pourquoi et comment?
- pensez vous qu'une gestion des émotions est elle possible?, si oui comment y arrive t on?
- existe t il des situations qui rendent difficile cette gestion des émotions?
- pensez vous que l'on soit suffisamment formé (durant la formation en IFSI) à la gestion des émotions?
- selon vous, la peur dans la relation soignant, soigné est elle un handicap ou une force?
voila mon cheminement...
bien entendu, j'ai déja réfléchi quant à une réponse aux différentes questions posées, mais je me dis que les conseils ou réponses que vous pourriez m'apporter serait d'autant plus enrichissantes.
encore merci d'avance, pour ceux qui prendront le temps de répondre à mon questionnement.
Bon week end à tous
Suite à certaines réflexions, j'ai essayé de retravailler mes questions. je vous les fait part ci dessous...
- quelle est votre représentation de la peur?
- pensez vous que l'on puisse ressentir ce sentiment dans la relation soignant, soigné?
- quelle est la nature de votre peur ( peur positive qui accroit votre vigilance ou plutôt une peur paralysante qui vous handicaperait)
- quelles sont les causes de votre peur?
- y a t il des situations qui majore ce sentiment de peur?
- pensez vous qu'il faut évoquer notre ressentit au patient, si oui pourquoi et comment?
- pensez vous qu'une gestion des émotions est elle possible?, si oui comment y arrive t on?
- existe t il des situations qui rendent difficile cette gestion des émotions?
- pensez vous que l'on soit suffisamment formé (durant la formation en IFSI) à la gestion des émotions?
- selon vous, la peur dans la relation soignant, soigné est elle un handicap ou une force?
voila mon cheminement...
bien entendu, j'ai déja réfléchi quant à une réponse aux différentes questions posées, mais je me dis que les conseils ou réponses que vous pourriez m'apporter serait d'autant plus enrichissantes.
encore merci d'avance, pour ceux qui prendront le temps de répondre à mon questionnement.
Bon week end à tous

Infirmière promotion 2009/2012
Tout début en psychiatrie, et compte bien y rester !!!
Tout début en psychiatrie, et compte bien y rester !!!
Re: la peur du soignant en psychiatrie
j 'ai toujours travaillé en psy, et honnêtement j'ai rarement eu peur:ma première nuit de diplômée, avec l'arrivée d'un patient en provenance d'une umd où il avait passé 9 ans suite aux meurtres de ses parents, mais il ne s'est absolument rien passé bien sur,la peur était due à ma représentation imaginaire de la situation et non pas au patient, et à mon inexpérience.
Puis une bouffée délirante aiguë, dans un service d'urgence d'hôpital général où j'exerçais en tant qu' inf de liaison psy. j'ai réussi à contenir le délire du patient, mais la peur venait là, du fait, que l'équipe ne connaissait pas ce genre de travail et m'a laissée y faire face seule en attendant l'arrivée de la police pour le contenir et le sédater.Problème institutionnel donc.
Pour faire court, je dirais que la peur des soignants est le résultats de l'ignorance...manque de formation,de connaissance en psycho patho, manque de savoir être...travailler en psy exige en premier lieu d'établir une relation de confiance avec le patient, mieux on connait les patients mieux on les aide, et mieux on est à même de gérer les situations de crise, et le travail en psy est un travail d'équipe, cette notion est très importante.
Alors mes outils de travail s'appuient sur la relation d'aide (Rogers), et empathie,congruence, authenticité ne sont pas de vains mots mais les bases de mon positionnement inf, tout comme les notions d'étayage (winnicott), de moi auxiliaire (Bion ou peplau).
Bien sur qu'il faut faire part de son ressenti au patient, l'empathie ,c'est être une caisse de résonance des affects du patient, ressentir sa colère peut lui être dit. Ce qu'on ne dit pas mais qu'il faut prendre en compte, c'est ce qui vient de nous, ce que le patient fait résonner en nous de notre propre histoire, ça ,ça ne lui appartient pas, mais cela peut interférer dans notre prise en charge, alors il faut pouvoir l'identifier,c'est le "se connaitre soi", pour éviter les contre transferts, les attitudes sadiques, les attitudes maternelles (et pas maternantes)ou infantilisantes.
La peur dans la relation soignant soigné, rend pour moi ,le soin impossible.
C'est le soigné qui est au prise avec la peur,l'angoisse, même en soins généraux,
alors que ferait il d'une infirmière qui a peur de lui.
Bon courage,
Veb
Puis une bouffée délirante aiguë, dans un service d'urgence d'hôpital général où j'exerçais en tant qu' inf de liaison psy. j'ai réussi à contenir le délire du patient, mais la peur venait là, du fait, que l'équipe ne connaissait pas ce genre de travail et m'a laissée y faire face seule en attendant l'arrivée de la police pour le contenir et le sédater.Problème institutionnel donc.
Pour faire court, je dirais que la peur des soignants est le résultats de l'ignorance...manque de formation,de connaissance en psycho patho, manque de savoir être...travailler en psy exige en premier lieu d'établir une relation de confiance avec le patient, mieux on connait les patients mieux on les aide, et mieux on est à même de gérer les situations de crise, et le travail en psy est un travail d'équipe, cette notion est très importante.
Alors mes outils de travail s'appuient sur la relation d'aide (Rogers), et empathie,congruence, authenticité ne sont pas de vains mots mais les bases de mon positionnement inf, tout comme les notions d'étayage (winnicott), de moi auxiliaire (Bion ou peplau).
Bien sur qu'il faut faire part de son ressenti au patient, l'empathie ,c'est être une caisse de résonance des affects du patient, ressentir sa colère peut lui être dit. Ce qu'on ne dit pas mais qu'il faut prendre en compte, c'est ce qui vient de nous, ce que le patient fait résonner en nous de notre propre histoire, ça ,ça ne lui appartient pas, mais cela peut interférer dans notre prise en charge, alors il faut pouvoir l'identifier,c'est le "se connaitre soi", pour éviter les contre transferts, les attitudes sadiques, les attitudes maternelles (et pas maternantes)ou infantilisantes.
La peur dans la relation soignant soigné, rend pour moi ,le soin impossible.
C'est le soigné qui est au prise avec la peur,l'angoisse, même en soins généraux,
alors que ferait il d'une infirmière qui a peur de lui.
Bon courage,
Veb
Re: la peur du soignant en psychiatrie
Une piste encore:
Il y a eu un article intitulé "Une VAD d'enfer" publié dans la revue Santé Mentale il ya qq années. Tout à la fois un témoignage impressionnant et une solide analyse des tenants et aboutissants d'une situation éprouvante.
Cet article avait beaucoup interpellé l'équipe de notre CMP, autour des question de relation de confiance, responsabilité, gestion du risque, transfert et tout ça.
Il y a eu un article intitulé "Une VAD d'enfer" publié dans la revue Santé Mentale il ya qq années. Tout à la fois un témoignage impressionnant et une solide analyse des tenants et aboutissants d'une situation éprouvante.
Cet article avait beaucoup interpellé l'équipe de notre CMP, autour des question de relation de confiance, responsabilité, gestion du risque, transfert et tout ça.
Re: la peur du soignant en psychiatrie
je suis infirmier psy en retraite depuis 1 an.
premier dip inf psy officiel = 1980.
plus de 35 ans en psy
jamais une seule agression sur moi
20 ans en UMD
mes malades étaient plus rassurants que les stroumfs des rues du sud est
beaucoup de malades dits patients m' ont même aidé en situation difficile
contrairement à la passivité des villes
les malades mentaux sont 10 fois plus victimes de crimes et délits.....
ça vous dit quoi,ça?
a+
premier dip inf psy officiel = 1980.
plus de 35 ans en psy
jamais une seule agression sur moi
20 ans en UMD
mes malades étaient plus rassurants que les stroumfs des rues du sud est
beaucoup de malades dits patients m' ont même aidé en situation difficile
contrairement à la passivité des villes
les malades mentaux sont 10 fois plus victimes de crimes et délits.....
ça vous dit quoi,ça?
a+
- augusta
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Re: la peur du soignant en psychiatrie
ça me dit que merci à toi de dénoncer certains clichés:clin:
"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault
Re: TFE: la peur du soignant en psychiatrie
je préfère préciser une chose... je n'ai jamais pensé que les patients induisaient forcément une peur, qu'ils étaient uniquement dangereux! je travaille là dessus, pour savoir, s'il est possible de bien prendre en charge une personne qu'on craint, de part son passé ou sa pathologie. loin de moi, l'idée d'avoir des préjugés sur les patients rencontrés en psychiatrie, bien au contraire...
je préfère préciser, voir me justifier de peur que l'on croit mes intentions mauvaises.
en tout cas, toutes vos réponses sont très intéressantes et m'aident beaucoup
Un grand merci à tous d'avoir répondu
je préfère préciser, voir me justifier de peur que l'on croit mes intentions mauvaises.
en tout cas, toutes vos réponses sont très intéressantes et m'aident beaucoup
Un grand merci à tous d'avoir répondu

Infirmière promotion 2009/2012
Tout début en psychiatrie, et compte bien y rester !!!
Tout début en psychiatrie, et compte bien y rester !!!
- augusta
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Re: TFE: la peur du soignant en psychiatrie
Ne t'inquiètes pas Justi, ma réponse n'était pas forcement liée à tes posts (même si ça tombe sur ton sujet de TFE), plus par rapport à certains sujets en général, aux représentations, aux certitudes que je lis parfois.
Bon courage pour ton travail

Bon courage pour ton travail

"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault
Re: TFE: la peur du soignant en psychiatrie
1/----les poèmes de Virgile ne se citent pas dans des banalités sur un forum ouèbe
2/----d' origine on les savoure en latin
3/----on jouit...
2/----d' origine on les savoure en latin
3/----on jouit...
Re: TFE: la peur du soignant en psychiatrie
augusta a écrit :Ne t'inquiètes pas Justi, ma réponse n'était pas forcement liée à tes posts (même si ça tombe sur ton sujet de TFE), plus par rapport à certains sujets en général, aux représentations, aux certitudes que je lis parfois.![]()
Bon courage pour ton travail
aucun soucis, augusta!
et merci, je vais en avoir besoin

Infirmière promotion 2009/2012
Tout début en psychiatrie, et compte bien y rester !!!
Tout début en psychiatrie, et compte bien y rester !!!
Re: TFE: la peur du soignant en psychiatrie
...coucou, j'ai vu de la lumière, je suis donc entré pour apporter mon grain de sel et ma pincée de poivre... beaucoup de choses intéressantes ont déjà été dites. Ceci dit, se poser la question de la peur prouve qu'on la ressent déjà, n'est-ce pas ?
...en fait, la psy n'est pas le monde des bisounours (pas plus que le reste de la société, d'ailleurs...) et nous devons trouver un compromis avec la réalité objective et ce que l'on peut ressentir ; j'aime bien dire aux étudiants qu'il faut être prudent, mais pas méfiant, la nuance est de taille, de celle qui coupe la possibilité du dialogue...
Voilà, c'est tout, c'est ce que j'avais envie de dire. Bonsoir, les gens...
...en fait, la psy n'est pas le monde des bisounours (pas plus que le reste de la société, d'ailleurs...) et nous devons trouver un compromis avec la réalité objective et ce que l'on peut ressentir ; j'aime bien dire aux étudiants qu'il faut être prudent, mais pas méfiant, la nuance est de taille, de celle qui coupe la possibilité du dialogue...
Voilà, c'est tout, c'est ce que j'avais envie de dire. Bonsoir, les gens...
