Culture Générale

Le forum de l'admission en IFSI

Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI

Répondre
Avatar de l’utilisateur
missdu33
Insatiable
Insatiable
Messages : 413
Inscription : 26 mars 2011 20:15

Re: Actualités 2012

Message par missdu33 »

Loi sur les médicaments : les nouvelles règles du jeu

Par Yves Mamou - le 28/12/2011 lefigaro.fr

Les prescriptions hors autorisation de mise sur le marché (AMM) vont être strictement encadrées.
Peut-on prescrire des médicaments pour d'autres pathologies que celles pour lesquelles ils ont reçu une autorisation de mise sur le marché (AMM)? La question est importante. D'un côté, les médecins qui recourent à cette pratique sont menacés de sanction mais, de l'autre, ces prescriptions controversées peuvent ouvrir la voie à de nouveaux usages de ces médicaments. D'où le risque, en légiférant, de restreindre les découvertes thérapeutiques: un écueil que la récente loi sur le contrôle des médicaments semble avoir évité.
L'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a informé récemment les médecins que le Rivotril ne pourra désormais être prescrit dans une autre indication que l'épilepsie uniquement par les neurologues et les pédiatres sur ordonnance sécurisée. Or, des praticiens l'utilisaient régulièrement pour ses capacités sédatives et anxiolytiques…
Depuis l'affaire du Mediator, où il a été établi que des centaines de personnes sont mortes pour avoir consommé un antidiabétique comme un coupe-faim, le droit des médecins de prescrire un médicament hors AMM est sur la sellette. Cette pratique représente 15% à 20 % des prescriptions de médicaments remboursés. Elle peut atteindre 80 % des ordonnances en pédiatrie, oncologie, gériatrie, psychiatrie et quasiment 100 % dans les maladies rares. Les prescriptions hors AMM portent sur la posologie, la durée du traitement, la population concernée (enfants) ou l'indication. Par exemple, le Baclofène utilisé à raison de 8 comprimés jour contre la sclérose en plaques est prescrit hors AMM à 18 comprimés quotidiens pour aider au sevrage alcoolique.
Liberté de prescription
Les causes de ces prescriptions hors du champ de l'autorisation sont multiples: absence d'alternative thérapeutique, évolution des connaissances, demande de confort du patient, autoprotection du médecin contre un risque généré par un autre médicament… Jean-François Bergman, professeur de thérapeutique à l'hôpital Lariboisière, à Paris, fait valoir que le hors-AMM représente un outil de soin quotidien. «Un fumeur un peu enveloppé, âgé de 50 ans, et victime d'un infarctus doit se voir prescrire des statines. Et pourtant, cette prescription est hors AMM pour la plupart des statines sur le marché.» Il ajoute que le hors-AMM recouvre une telle variété de situations que seule «la formation professionnelle continue des médecins sera en mesure de réduire les dérives».
La lutte contre ces dernières passera ainsi par une plus grande responsabilisation du médecin. La nouvelle loi confirme la liberté de prescription du médecin mais fait du droit du patient à l'information un contrepoids. Le premier devra expliquer au second que sa «prescription pharmaceutique n'est pas conforme à l'autorisation de mise sur le marché», qu'il n'existe pas d'«alternative médicamenteuse appropriée» et préciser «les risques et bénéfices susceptibles d'être apportés par le médicament». En outre, le médecin devra mentionner «prescription hors AMM» (autrement dit «non remboursable» sur l'ordonnance - ce qu'il ne faisait jamais auparavant) - et motiver sa prescription dans le dossier médical du patient. S'il ne respectait pas ces nouvelles dispositions, sa responsabilité civile et pénale serait engagée.
Le texte de loi a été clairement pensé pour réduire les dépenses en médicaments de l'Assurance-maladie sans pour autant brider l'innovation thérapeutique. Ainsi, dès qu'une prescription hors AMM paraîtra conforme à l'évolution des connaissances, l'Afssaps pourra édicter une recommandation temporaire d'utilisation (RTU). À l'instar des autorisations temporaires d'utilisation (ATU) des milieux hospitaliers, ces RTU légitimeront les pratiques des médecins de ville et autoriseront le remboursement du patient par l'Assurance-maladie.
Pas de géant dans la connaissance du patient
Mieux, le laboratoire propriétaire de la molécule se verra demander de financer de nouveaux essais cliniques qui donneront lieu - ou pas - à une extension de l'AMM initiale. Pour les molécules tombées dans le domaine public, les essais cliniques pourront être financés sur fonds publics.
Le Pr Hubert Allemand, médecin- conseil national de Cnam, pointe avec plaisir l'article 20 de la nouvelle loi qui «fait obligation aux laboratoires de surveiller l'usage qui est fait de leur médicament». Dès qu'une pratique hors AMM sera constatée, les laboratoires devront informer l'Afssaps, qui édictera ou non une RTU. Le Pr Allemand se garde bien de chiffrer les économies attendues pour l'Assurance-maladie.
En revanche, la Cnam est en passe d'accomplir un pas de géant dans la connaissance du patient. Elle qui remboursait jusqu'à présent en aveugle les prescriptions pourra deviner les maladies soignées rien qu'à la lecture des ordonnances. Une forme du secret médical a vécu.
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Avatar de l’utilisateur
missdu33
Insatiable
Insatiable
Messages : 413
Inscription : 26 mars 2011 20:15

Re: Actualités 2012

Message par missdu33 »

Rougeole : l’épidémie décline enfin

Bonne nouvelle sur le front de l’épidémie de rougeole : d’après les derniers chiffres fournis par l'Institut de veille sanitaire (InVS), le nombre de cas serait en forte décroissance depuis cet été.
Maladie infantile que d’anciennes prévisions d’experts de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) voyaient éradiquée dans la plupart des pays industrialisés en 2010, la rougeole était en pleine recrudescence depuis plus de trois ans. En France, depuis le début de l’épidémie en janvier 2008, plus de 22 000 cas ont été recensés, dont plus de 15 000 cas pour les seuls 11 premiers mois de cette année, avec un pic important au printemps. Toutefois, dans un communiqué qui vient de paraître, l'InVS annonce la fin de la troisième vague épidémique avec, depuis août, un forte décroissance du nombre de nouveaux patients atteints. Depuis le début de l’année 2011, 6 personnes ont succombé des suites de cette maladie, et 16 ont été victimes de complications neurologiques.
Infection virale éruptive très contagieuse, la rougeole se transmet par les micro-gouttelettes de salive, en particulier lors de la toux. Actuellement, l'homme est le seul réservoir de ce virus. Depuis 2005, la maladie est à déclaration obligatoire.
Bien que le nombre de malades décroît depuis quelques mois, l’InVS souhaite rappeler aux français que cela ne signifie pas l’éradication de la maladie, et qu’une quatrième vague épidémique est toujours possible. Il est donc important de respecter des règles d’hygiène de base : se laver les mains ; mettre sa main devant la bouche quand on tousse pour éviter la propagation du virus. Par ailleurs, comme les autorités sanitaires ne cessent de le répéter, il est important de se faire vacciner…

Article écrit le 2011-12-29 par Olivier Frégaville-Arcas - Information hospitalière
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
ninietmic
Messages : 16
Inscription : 01 févr. 2011 14:29
Localisation : Arras

Re: Fiches culture générale 2012

Message par ninietmic »

ok mais plutôt pour mardi car j'ai 4 enfants et avec les vacances et les fêtes de fin d'année c'est compliqué :roll:
encore Bonne fête de fin d'année :fete: :bisous:
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Actualités 2012

Message par Memo »

Greffe du visage : une option viable

Les premiers résultats fonctionnels des patients qui ont bénéficié de cette technique chirurgicale suggèrent que la greffe totale de visage peut être une option viable dans le traitement des graves malformations faciales et des blessures.


Depuis la première greffe totale de visage réalisée en France par l’équipe du Pr Laurent Lantieri, du CHU de Créteil (Val-de-Marne) en 2010, plusieurs autres équipes dans le monde ont réalisé cette intervention. Les médecins possèdent maintenant assez de retour d’expériences pour dresser une première évaluation de ces techniques complexes qui peuvent véritablement améliorer la vie de certains patients dont le visage a été gravement abimé par la maladie ou un accident.

Détail de la technique opératoire. Brigham and Women's Hospital.

Dans le New England Journal of Medicine, un des spécialistes de la greffe de visage, le Dr Bohdan Pomahac (qui a réalisé trois opérations en 2011), dresse un bilan des greffes pratiquées. Il revient, avec d’autres chercheurs, notamment sur le parcours des malades et détaille la pratique chirurgicale qui implique la collaboration d’un grand nombre de spécialistes. Les chercheurs décrivent les similitudes et les différences entre chaque procédure et analysent également les soins post-opératoires.

L'américaine Charla Nash dont le visage avait été défiguré par une attaque de chimpanzé a subi une greffe de visage et des deux mains. Les prothèses de mains n'ont pas pu être conservées en raison d'un problème infectieux. Lightchaser photography.

«Notre objectif est de documenter les progrès réalisés par les patients qui ont subi une greffe de visage et notamment d’évaluer la nécessité d’un traitement immunosuppresseur afin d’éviter le rejet du greffon. Nous apprenons également comment le cerveau intègre les nouvelles pièces implantées et comment se fait le retour de la motricité et de la sensibilité du visage» explique Bohdan Pomahac. La description de trois greffes couronnées de succès indique que cette technique (qui demande encore à être améliorée) est viable et apporte une amélioration de la qualité de vie des personnes opérées.

Sciences et Avenir.fr
29/12/2011
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Actualités 2012

Message par Memo »

Au travail, toutes les raisons sont bonnes pour trinquer

Comme un défi à la crise et à la dureté du monde professionnel, les salariés sont de plus en plus nombreux à décompresser au bureau autour d’un verre. Bonne nouvelle, la consommation d’alcool est en baisse.

Entre le départ en retraite de Georges, le doyen du service juridique, l’arrivée de Jules, nouvel embauché, l’anniversaire de Brigitte, la bonne collègue, la promotion de Serge ou l’excellent chiffre d’affaires de l’année écoulée, tout est prétexte à déboucher une bouteille au travail. Selon un sondage* Ifop, réalisé ce mois-ci pour l’association Promotion et suivi de la sécurité routière en entreprise (PSRE), 9 salariés sur 10 participent au moins à un pot en entreprise au cours de l’année.
Friands de ces moments de détente, la fréquentation est même en hausse, et ces rendez-vous de convivialité, de plus en plus appréciés.

Besoin de décompresser

Selon le sondage, 27% des salariés trinquent au bureau plusieurs fois dans le mois. Ils n’étaient que 17% en 2008. Plus de 30% le font une fois tous les deux ou trois mois (+ 3% par rapport à 2008) et le dernier tiers arrose un événement moins de quatre fois par an. Alors que la crise bat son plein, que 900 usines ont fermé leurs portes ces trois dernières années en France, que le chômage atteint des sommets, que le pays menace de perdre son triple A, que les banques ne sont plus prêteuses, le besoin de se serrer les coudes est plus fort que jamais. Et cela dépasse largement la sphère privée. Cette enquête le prouve, face à l’adversité, les salariés doivent décompresser de journées intenses. Et l’apéro devient plus que nécessaire.

Tantôt à l’initiative de la direction, mais le plus souvent à celle des salariés, ces pots permettent de ressouder les équipes, d’effacer les barrières hiérarchiques et de relâcher la pression. Bonne nouvelle, même si le champagne, le vin et la bière restent majoritaires sur les tables (61% des pots sont alcoolisés), les spiritueux laissent peu à peu la place aux jus de fruits et sodas. Logique, lorsqu’on sait que 67% des patrons sont aujourd’hui conscients des dangers de l’alcool (ils n’étaient que 42% en 2008). Même si la prévention s’est développée, un employeur sur quatre se dit aujourd’hui prêt à interdire l’alcool au bureau sans pour autant vouloir gâcher la fête.



* Sondage réalisé du 29 novembre au 8 décembre pour le compte de PSRE auprès d’un échantillon de 401 dirigeants d’entreprise et du 1er au 2 décembre auprès de 493 salariés.

Le Parisien
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Actualités 2012

Message par Memo »

Forte hausse des saisies de cocaïne en France en 2011

Les quantités de cannabis interceptées par la police restent en revanche stables, à 52 tonnes.

Le président de la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt), Étienne Apaire, le révèle au Figaro: «Les saisies de cocaïne sont en forte hausse en 2011.» «Plus de 10 tonnes, dit-il, ont été interceptées cette année par les douanes, la police et la gendarmerie.» Selon lui, «les Antilles restent une plaque tournante du trafic». Le magistrat note aussi «des saisies importantes sur le vecteur aérien», autrement dit de la drogue transportée dans les bagages des passagers ou le fret, voire ingérée par des «mules», ces passeurs souvent arrêtés au retour des vols provenant d'Amérique latine.

Par ailleurs, des cargaisons de «poudre blanche» ont été saisies dans des conteneurs transportés par bateau, notamment une livraison de près d'une tonne, en février dernier, dans le port du Havre. «La plus importante saisie de cocaïne jamais réalisée dans le fret maritime», selon les douanes.

Moins de cannabis, plus d'alcool
Avec plus de 52 tonnes interceptées l'an dernier, «les saisies de cannabis sont stables, quant à elles, par rapport à 2010», estime le juge Apaire. Selon lui, le Go Fast (transport par voiture ou bateau rapide) demeure un moyen de livraison privilégié dans les cités. L'enquête sur le réseau de La Visitation, à Marseille, a, par exemple, mis en évidence les nombreux allers et retours des trafiquants des quartiers nord de la ville entre le sud de l'Espagne et la Cité phocéenne. Au total, en France, plus de 50 «Go Fast» ont été «détectés» par l'Office central des stups. 900 kilos de cannabis ont encore été saisis mercredi dernier dans un «Go Fast» à la frontière espagnole. L'essor de la production indoor, et notamment de la culture sous serre, se confirme également un peu partout sur le territoire.

Les autorités redoutent également l'arrivée en France des «méthamphétamines» ou «meth'», cette nouvelle drogue de synthèse hautement addictive qui provoque l'euphorie. «Elle fait fureur en Asie, aux USA, en Afrique, mais l'Hexagone est, pour l'heure, préservé», se félicite Étienne Apaire.

Au plan des consommations, le «M. Antidrogue» tricolore constate que l'usage régulier de cannabis est en baisse depuis 2003. Mais ce déclin relatif s'accompagne d'une hausse «inquiétante», selon lui, des ivresses régulières chez les adolescents. Il annonce une campagne de sensibilisation contre ce fléau pour 2012.

Le figaro
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Actualités 2012

Message par Memo »

L'abattage rituel bientôt soumis à une autorisation préfectorale

Les défenseurs des animaux se disent relativement satisfaits. Un décret publié mercredi 28 décembre au Journal officiel stipule que les abattoirs pratiquant l'abattage rituel devront obtenir à compter du 1er juillet 2012 une autorisation préalable du préfet.
Selon le décret n° 2011-2006 et l'arrêté du 28 décembre 2011, les abattoirs qui pratiquent l'abattage rituel ne pourront le faire que "si le système d'enregistrement mis en place permet de vérifier que l'usage de la dérogation correspond à des commandes commerciales qui le nécessitent".

La demande d'autorisation devra être adressée au préfet du département du lieu d'implantation de l'abattoir, qui disposera d'un délai de trois mois à compter de la réception complète du dossier pour statuer sur la demande.

"INSENSIBILISER LES BÊTES AVANT DE LES ÉGORGER"

Ce système de traçabilité a été salué, jeudi, dans un communiqué par la Fondation Brigitte-Bardot (FBB), qui "dénonce depuis des années la dérive observée dans les abattoirs avec une généralisation de l'abattage sans étourdissement". "Pouvoir justifier qu'un abattage rituel correspond à une commande spécifique est un point important car, actuellement, la plus grande partie des viandes issues de ce type d'abattage se retrouve dans les circuits classiques sans aucune indication pour les consommateurs", a estimé pour sa part Christophe Marie, porte-parole de la FBB.

"Ces textes vont dans le bon sens mais restent très insuffisants car les conditions même de l'abattage rituel sont inacceptables. Il est impératif d'insensibiliser les bêtes avant de les égorger, c'est un minimum, aujourd'hui les bovins peuvent agoniser quatorze minutes après avoir eu la gorge tranchée, le gouvernement ne remet pas en cause cette pratique", a-t-il poursuivi.

Le monde
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Actualités 2012

Message par Memo »

La grande distribution va fournir des aliments aux Restos du coeur

La grande distribution a accepté de répondre à l'appel à la générosité lancé par les Restos du coeur, qui font face à une demande croissante, en fournissant les aliments nécessaires pour mener à bien la campagne 2011-2012, a indiqué jeudi 29 décembre le secrétaire d'Etat à la consommation, Frédéric Lefebvre.
"Les grands distributeurs ont accepté le principe (...) de participer", a indiqué M. Lefebvre sur France 2, précisant que l'objectif était "d'atteindre tout ce dont (les Restos du Coeur) ont besoin". Selon lui, les groupes Casino, Auchan, Carrefour ont d'ores et déjà "donné leur accord pour fournir de quoi faire ces repas qui vont manquer sans doute à horizon de février ou mars". "Si on veut que ce soit à temps dans les entrepôts (...), pour que les repas puissent être offerts, il faut s'y prendre maintenant", a relevé M. Lefebvre, lançant un appel "à toutes les entreprises qui pourraient accepter de participer à cet élan de générosité".

Le président des Restos du coeur, Olivier Berthe, avait rapporté lundi une hausse "de l'ordre de 5 à 8 %" du nombre de personnes s'alimentant auprès de l'association depuis le début de la campagne d'hiver. "Si on devait constater 5 % de personnes en plus durant toute la durée de la campagne, soit l'hypothèse basse, cela représenterait cinq millions d'euros de besoins en plus", a-t-il indiqué, lançant un appel à la générosité nationale pour recueillir cette somme qui représente 5 millions de repas.

Le monde
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Fiches culture générale 2012

Message par Memo »

Ok alors un mardi!!
Bonne fêtes à toi aussi :D
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Fiches culture générale 2012

Message par Memo »

Voilà ma fiche sur la Santé publique comme convenue.
Santé publique

« La santé publique est la science et l’art de prévenir les maladies, de prolonger la vie et d’améliorer la santé et la vitalité mentale et physique des individus, par le moyen d’une action collective concertée visant à :

1 assainir le milieu ;
2 lutter contre les maladies ;
3 enseigner les règles d’hygiène personnelle ;
4 organiser des services médicaux et infirmiers en vue d’un diagnostic précoce et du traitement préventif des maladies ;
5 mettre en œuvre des mesures sociales propres à assure à chaque membre de la collectivité un niveau de vie compatible avec le maintien de la santé ».

Définition de l'OMS

Objectif: améliorer la santé de groupes ou de populations entières.
à travers: des systèmes de promotion de la santé, de prévention des maladies, de lutte contre la maladie, de réadaptation ou de soins orientés en ce sens.


Déterminants de santé:5
biologique (facteurs génétiques),
habitudes de vie (tabac, alcool, suralimentation),
sociaux (plus le revenu est bon et meilleur est l’état de santé)
liés à l’environnement (collectif liée à la profession, la société),
liés aux systèmes de soins (remboursement et aide aux soins prothèses…)

Prévention:3niveaux
primaire = réduire l’incidence de la maladie par des moyens direct (vaccination) ou indirect en diminuant les facteurs de risques,
secondaire = réduire la prévalence de la maladie (dépistage),
tertiaire = réduire la prévalence de l’handicap et de l’incapacité (éducation thérapeutique).

Outils d'évaluation:
Indicateur de Santé démographiques (taux natalité, fécondité),
Indicateur de Santé de mortalité (espérance de vie à la naissance, taux de mortalité prématuré au nord +++ évitable par une amélioration des habitudes et un meilleur système de soins),
registres de décès, registres de maladies (enregistrement automatique, continu et exhaustif),
réseaux sentinelles (système de surveillance chargé de déclarer à un centre coordinateur tous les cas de maladies transmissibles qui ne figurent pas dans les maladies à déclaration obligatoire),
réseaux spécialisés pour les grippes (GROG = alerte, détection précoce, évolution et surveillance)


PLAN DE SANTE PUBLIQUE
Tous les 5 ans le parlement fixe les objectifs nationaux qui sont spécifiés dans des plans nationaux de santé publique, eux même répartis en programmes régionaux de santé publique. Ces programmes définissent les actions à mettre en oeuvre ainsi que les ressources mobilisables.

Réflexion sur les plans de santé publique par:
Haut conseil de Santé Publique (HCSP) évalue les objectifs de santé Publique+ Participe à leur évaluation.
Conférence nationale de santé (CNS) lieu de communication et d’expression des besoins de la population entre acteur et usager de santé
Comité national de santé publique (CNSP) chargé de coordonner les différents ministères concernés et de contribuer à l'élaboration de la politique du gouvernement en matière de santé publique.
Plan décidé par:
Direction générale de santé (DGS): Vote les objectif de santé publique et établi des plans ou des programmes visant à valider ses objectifs.
Appliqué par:
Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé (INPES), est chargé du développement de l’éducation pour la santé et de la mise en oeuvre des programmes de prévention.


ORGANISME SANITAIRE:
National:

*L'Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (AFSSAPS) qui doit garantir l'efficacité, la qualité et le bon usage des produits de santé destinés à l'homme.
*La Haute Autorité de Santé (HAS) qui doit contribuer au maintien d'un système de santé solidaire et au renforcement de la qualité des soins, au bénéfice des patients. A travers la promotion des bonnes pratiques, le bon usage des soins et la diffusion de l'information médicale.
*L'Institut de Veille Sanitaire (InVS), qui a pour mission la surveillance épidémiologique.
*L'Etablissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires (EPRUS) permet à l’Etat de répondre aux situations de catastrophe, d’urgence ou de menace sanitaires graves sur le territoire national avec efficience et efficacité.
*Agence Nationale de Sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement (ANSES) Elle a été créée le 1er juillet 2010 par la fusion de deux agences sanitaires françaises : l'Afssa (Agence française de sécurité sanitaire des aliments) et l'Afsset (Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail)
*Etablissement Français du Sang (EFS) est le garant de la sécurité de la chaîne transfusionnelle, du donneur au receveur.
*Etablissement Français des Greffes (EFG) repris par L’Agence de la biomédecine (ABM) intervient dans quatre domaines :le prélèvement et la greffe d’organes, de tissus et de cellules +l’assistance médicale à la procréation +le diagnostic prénatal et génétique+ la recherche sur l’embryon et les cellules souches embryonnaires.
*L’institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN)= sûreté des installations nucléaires, sûreté des transports de matières radioactives et fossiles, protection de l’homme et de l’environnement contre les rayonnements ionisants, protection et contrôle des matières nucléaires et des produits susceptibles de concourir à la fabrication d’armes, protection des installations et des transports contre les actions de malveillance. Cet établissement public industriel et commercial est placé sous la tutelle conjointe des ministères chargés de l’environnement, de la santé, de l’industrie, de la recherche et de la défense.
*Institut national du cancer (INCa) double ambition : contribuer à diminuer la mortalité par cancer en France et améliorer la qualité de vie des personnes atteintes d’un cancer.
*Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toximanie (MILDT) anime et coordonne les actions de l’Etat en matière de lutte contre les drogues et les toxicomanies, en particulier dans les domaines de l’observation et de la prévention de la toxicomanie, de l'accueil, des soins et de la réinsertion des toxicomanes, de la formation des personnes intervenant dans la lutte contre la drogue et la toxicomanie, de la recherche, de l'informatio
*L’Institut national de recherche et de sécurité (INRS), ses missions: mieux identifier les risques professionnels et mettre en évidence les dangers, analyser leurs conséquences pour la santé et la sécurité de l’homme au travail, rechercher comment les combattre et les maîtriser, faire connaître et enseigner les moyens de leur prévention.

Régional:

*Cellules de l'Institut de Veille Sanitaire en région (Cire) une fonction d’épidémiologie d’intervention et d’évaluation quantifiée des risques sanitaires, orientée principalement vers l’aide à la décision et le déclenchement de l’alerte (analyse du signal, évaluation de la situation, proposition d’options de gestion, suivi permettant l’adaptation de la réponse) ;une fonction d’animation, de structuration et de coordination du réseau régional de veille sanitaire, dans le prolongement de l’action de l’InVS et dans le cadre des plans régionaux relatifs à l’alerte et à la gestion des situations d’urgence sanitaire.
*Les Agences régionales de santé (ARS), prévues par la loi « Hôpital, Patients, Santé, Territoires » votée en 2009, seront des entités régionales uniques du service public de la santé. Créées début 2010, elles regrouperont sept organismes auparavant chargés des politiques de santé dans les régions et les départements (Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales, Direction Régionale des Affaires Sanitaires et Sociales, Agence Régionale d'Hospitalisation, Groupement Régional de Santé Publique, Caisse Régionale d'Assurance Maladie, Union Régionale des Caisses d'Assurance Maladie, Mission Régionale de Santé).Elles sont ainsi en charge de la sécurité sanitaire, des actions de prévention menées dans la région, de l'organisation de l'offre de soins en fonction des besoins de la population, notamment au travers du maillage de l'offre de soins sur le territoire (hôpitaux publics, cliniques privées, maisons de retraite), de la répartition territoriale des professionnels de santé et de l'organisation de la permanence des soins tant pour la médecine de ville qu'à l'hôpital. Elles seront aussi responsables de la gestion du risque, du contrôle de la qualité et le contrôle de gestion externe des établissements de santé, du pilotage des actions d'amélioration des pratiques professionnelles et des modes de recours aux soins (en ville comme à l'hôpital), de la collecte et l'interprétation des données de santé. D'autre part, les ARS viseront à favoriser la coopération entre professionnels de santé et établissements de santé pour faciliter la prise en charge des patients, notamment pour les maladies chroniques, les personnes âgées ou les personnes handicapées.
*Les conférences régionales de la santé et de l'autonomie (CRSA), organismes consultatifs placés auprès des ARS, seront chargées de participer par leurs avis à la définition des objectifs et des actions de l'ARS dans ses domaines de compétences.
*Deux commissions de coordination des politiques publiques de santé. La première commission sera chargée d'assurer la cohérence et la complémentarité des actions déterminées et conduites par leurs membres, dans les domaines de la prévention, de la santé scolaire, de la santé au travail et de la protection maternelle et infantile. La seconde commission assurera les mêmes fonctions dans le domaine des prises en charge et des accompagnements médico-sociaux
*Les Observatoires Régionaux de Santé (ORS) permettent de fournir des informations utiles à l’élaboration de la politique régionale de santé en tenant compte de l’état sanitaire et des besoins d’une population régionale.

CRISE SANITAIRE:
Une crise sanitaire peut être définie comme une menace réelle ou présumée pour la population, associée à un risque de disfonctionnement des pouvoirs publics.

Les dernières grandes crises :
L’épizootie de la grippe aviaire (H5N1) et l’épidémie de grippe A(H1N1)
Le SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère)
Le Chikungunya
La canicule 2003
L’amiante
L’épizootie de la vache folle
La transmission du virus du SIDA lors de transfusions sanguines.

Les causes
¤ les maladies infectieuses, on craint surtout une pandémie grippale sans précédent.
L’extension de maladie comme le paludisme, l’Ebola, la Dengue sont à prévoir, ainsi que l’augmentation de la
résistance des bactéries aux antibiotiques ( tuberculose, maladies nosocomiales).
¤ les maladies chroniques, comme les cancers, l’obésité touchant de plus en plus les pays riches ou en développement
Ces risques émergents ont pour origine l’industrialisation (pollution, réchauffement climatique, accidents industriels chimiques ou radioactifs), l’alimentation animale et l’élevage intensif, les voyages internationaux qui propagent les maladies, les nouvelles technologies (portables, nanotechnologie…)
Mais aussi l’évolution du mode de vie (malbouffe, addictions…) et une médecine plus interventionniste (chirurgie invasive, surconsommations de médicaments, infections hospitalières)


Les conséquences
_Vigilance de l’opinion publique préférant plus de transparence et préconise de faire passer la santé publique avant les intérêts économiques.
_Réforme du système de veille et de sécurité sanitaire entrainant une réaction plus rapides des autorités avec une mise en place de PAGUS (plan d’alerte et de gestion des urgences sanitaires) décliné au niveau régional.
_L’Application du principe de précaution (loi Barnier1995) qui privilégie l’anticipation à la prévention.
Principe selon lequel en l'absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, on ne doit pas retarder l'adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l'environnement à un coût économiquement acceptable.
Cette mesure est parfois montrer du doigt, car elle la décision est disproportionnée et sert plus à couvrir le décideur qu’en présence d’un risque réel (la politique du parapluie permettra toujours, s'il se passe quelque chose, de dire que le maximum avait été fait, nouvel observateur).
_Réaction parfois exagérée des autorités sanitaires avec des messages repris dans la presse qui créés plus de paniques ou de désinformation que de prise de conscience d’un phénomène.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Fiches culture générale 2012

Message par Memo »

Et celle sur l'école!!
L'école

Enseignement obligatoire de 6 à 16ans

École maternelle accueille les enfants de 3 à 6 ans= Pré scolarisation
École élémentaire= Apprentissage de la lecture, écriture et mathématiques
École secondaire

Diplome:
_BAC
_BEP= Brevet d'étude professionnelle puis BAC PRO
_CAP: Le Certificat d'aptitude professionnelle offre un premier niveau de qualification à ceux qui souhaitent accéder rapidement à la vie active.
_VAE: Validation des acquis de l'expérience: le candidat doit avoir occupé pendant au moins trois ans un emploi au moins égal à celui d'un ouvrier ou employé qualifié, dans un domaine professionnel en rapport avec le diplôme visé
_Formation en alternance: Contrat d'apprentissage: acquisition d'un premier diplome et contrat de professionalisation: complement d'une formation initiale. Enseignement moitié théorique dans des centres de formation, moitié acquisition de savoir faire en entreprise

Université: Licence +3, Master +5, Doctorat +8
BTS: Brevet de technicien supérieur en 2 ans
Prépa 2 ans avant entrée dans grandes écoles de commerce....

Les établissements d'enseignement français à l'étranger doivent être homologués par le ministère de l'Éducation nationale qui contrôle leur programme

Prise en charge de la difficulté scolaire:
Programme personnalisé de réussite éducative PPRE
Réseaux d'aides spécialisées aux élèves en difficulté RASED

Privée:
+_Meilleur encadrement scolaire, meilleur encadrement de personne handicapé, point de vue religieux, meilleur taux de réussite, plus de travail, plus de discipline

-_Payante même si pour les écoles privées sous contrat avec l'état en fonction du coefficient Caf des parents
Contrôlé par l'état et même enseignement que dans le publique pour ces écoles privées sous contrat avec l'état.
Souvent plus loin du domicile familial, déplacement plus fatiguant pour l'enfant
On vire les éléments perturbateurs

École à la maison
+_Pour les personnes handicapé, Pas de transmission de virus pour les personnes au système immunitaire fragile. Horaire libre. Notation sans discrimination ou a priori. Plus encadré que dans une classe de 30 éléves.

-_Absence de camarade de classe, pas d'expérience de la vie en collectivité, un des parents doit arrêter de travailler . Moins de stress. Attention au rôle du parent qui passe professeur. Suit pas forcément le programme malgré les diplômes nationaux.

Correspondance/Internet
+_Travailler à son rythme, permet de pouvoir suivre plusieurs cursus à la fois (à la fac), correction des devoirs, permet de lier vie familiale et études, Pour les personnes handicapés

-_Dé socialisation, il faut pouvoir se prendre en main, référent pas toujours disponible au moment de la question ou de l'étude d'un cours, Permet à l'enfant de fuir plutôt que d'affronter ses problèmes de socialisation

Ecoles privées sous contrat ou non avec l'Etat:
_Contrat simple (Que pour l'école primaire): L'établissement sous contrat simple doit organiser l'enseignement des matières de base par référence aux programmes et aux horaires de l'enseignement public. Les maîtres sont nommés par l'autorité privée et salariés de droit privé, mais rémunérés par l'État.
_Contrat d'association: Un besoin scolaire doit être reconnus.L'établissement est tenu de dispenser les enseignements selon les règles et programmes de l'enseignement public. Les enseignants des établissements privés sous contrat sont recrutés à l’issue d’un concours, le cafep ou capes. Leur recrutement se fait par la direction de l'établissement.
_Hors contrat: qui sont libres du contenu des enseignements dispensés dans la limite du respect de l'obligation scolaire

Finacement:
École publique:
L'État est par conséquent responsable :
_du recrutement, de la rémunération et de la gestion de la carrière de l’ensemble du personnel enseignants ;
_de la définition des programmes scolaires et de leur contenu ;
_de la collation des grades et de la délivrance des diplômes nationaux;
_de l’organisation des cursus scolaires et universitaires ;
_des dépenses pédagogiques ;
_de la planification, de l’évaluation et de l’inspection ;
_de la réglementation en matière éducative (réglementation publiée au Bulletin officiel de l’Éducation nationale) ;
_du recrutement, de la rémunération et de la gestion du personnel chargés de l’administration et du bon fonctionnement du service public éducatif et des établissements y concourant (personnels de direction et d’encadrement, personnels administratifs et financiers…).
Les collectivités territoriales s'occupent de leur financement!!

Loi de décentralisation 2003: recrutement du personnel donné aux collectivité sauf dans les cas de ZEP donné au directeur!!

École privée:
Les maires obligé de financer les écoles privées d'autres communes si les résidents on choisis d'y inscrire leur enfant pour un de ces 4 cas : lorsque les parents peuvent prouver que la capacité d'accueil de la commune de résidence est insuffisante, pour des raisons médicales, en cas "d'obligations professionnelles" des parents si la commune "n'assure pas directement ou indirectement la restauration et la garde des enfants", ou bien encore lorsqu'un frère ou une sœur de l'enfant est déjà scolarisé hors de la commune.
Parents
L'Etat finance au maximum 10%!!
Pour celles sous contrat:
Pour les contrats d'association la liste des dépenses en faveur des écoles publiques doit être prises en compte pour le calcul du montant de la contribution communale aux écoles privées (« forfait communal »).
A titre facultatif pour les contrats simples

Uniforme
+_Pas de distinction religieuse ou social, absence de marque commerciale, moins couteux pour les parents

-_étouffe la personnalité, il faut que l'enfant apprenne à respecter chacun malgré ses différences or avec l’uniforme identité unique


Jeux dangeureux:
_Jeux d'asphyxie: pendaison, strangulation=jeu du foulard
_Jeux d'attaque ou d'agression
_Jeux de défi: t'es pas cap

Motivation: Sensation nouvelle, influence du groupe, enfants fragiles

Conséquences
J Asphyxie: Sensations de types hallucinatoire, suivi de spasme, voire perte de connaissance. Séquelles cérébrales dans bien des cas
J Attaque/ de défi: laissent des marques physiques et psychologique

Lutte:
SOS benjamins: Formation pour détecter ses jeux et permettre de lutter contre ce fléau
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
oscartemplemars
Messages : 7
Inscription : 10 déc. 2011 17:39

Actualités 2012 - ARF

Message par oscartemplemars »

Quels pouvoirs disposent réellement l'ARF pour améliorer les conditions d'étude et de travail des élèves infirmiers ?
Les belles paroles, les projets, les réunions de travail,.....se succèdent mais au final peu de résultat concret.
Espérons que 2012 change la donne.

Partagez-vous cette analyse ?
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Actualités 2012

Message par Memo »

?????
C'était un sujet d'oral???


La diète fait du bien au cerveau

Le Point.fr - Publié le 26/12/2011 à 10:07 - Modifié le 26/12/2011 à 10:08
Des chercheurs italiens ont démontré qu'une alimentation hypocalorique stimule la production d'une molécule efficace contre le vieillissement du cerveau.

Plusieurs études avaient déjà démontré que le vieillissement du cerveau est inversement proportionnel à la quantité de calories absorbées quotidiennement. Ainsi, l'obésité est un facteur connu du ralentissement précoce des fonctions cérébrales. Mais au-delà des observations cliniques, la science ignorait la nature du lien moléculaire entre l'alimentation et le cerveau.

Les chercheurs de l'université catholique de Rome ont apporté une réponse à ce mystère en isolant une molécule responsable de l'allongement des facultés cérébrales. Appelée CREB1, cette molécule est activée par les diètes hypocaloriques. L'équipe du professeur Giovambattista Pani a démontré qu'il suffit d'absorber 30 % en moins de son alimentation habituelle pour stimuler naturellement la production de CREB1.

Dans leurs travaux, publiés dans la revue américaine Proceeding of the National Academy of Sciences of the United States of America (Pnas), les médecins romains ont également apporté la preuve que la molécule agit en augmentant la capacité des synapses à mémoriser les informations. "Or, le bon fonctionnement des synapses est déterminant pour l'apprentissage et la mémoire, explique Guido Grassi, un des chercheurs de l'équipe. Leur altération est à la base du déclin cognitif, de la maladie d'Alzheimer et d'autres formes de démence." La CREB1 est également fondamentale pour le contrôle de l'anxiété.

"La restriction calorique n'est qu'une phase expérimentale"
L'expérimentation a été conduite sur des souris soumises à une diète. Les animaux de laboratoire ont confirmé que la réduction de l'alimentation favorisait la production de CREB1 et qu'elle accroissait leurs capacités cognitives et leur mémoire. Mais en bloquant la production de CREB1 chez des souris également soumises à des restrictions caloriques, ces dernières ont développé les mêmes pathologies de vieillissement cérébral que leurs consoeurs nourries normalement. La preuve par neuf du rôle de la CREB1 sur le cerveau et de son lien avec l'alimentation.

"La restriction calorique n'est qu'une phase expérimentale, explique le professeur Pani. Désormais, notre but est de trouver des médicaments capables d'activer la production de CREB1 sans l'obligation de suivre une diète." Toutefois, en attendant, seule une alimentation modérée pourra sauvegarder ce qu'il reste de nos synapses. Raison de plus pour refuser de reprendre de la bûche lors des agapes de Noël.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Actualités 2012

Message par Memo »

TVA à 7% dès lundi : un casse-tête pour les boulangers

La nouvelle TVA à 7%, décidée le 7 novembre, dans le cadre du deuxième plan de rigueur du gouvernement, s'appliquera en 2012 pour de nombreux produits et services, en remplacement du taux de 5,5%. Mais sa mise en oeuvre vire au casse-tête pour nombre de professions. Parmi celles-ci: la restauration, les travaux dans les logements, les livres, certains spectacles, les abonnements à des services de télévision, l'hébergement (hôtels, chambres d'hôtes, gîtes, camping. SUR LE MÊME SUJET

Toutes les hausses au 1er janvierRigueur : «Nous payons cher la gestion de Nicolas Sarkozy», juge HollandeVIDEO. Areva mise sur les départs naturels et exclut tout plan social..), mais aussi les titres de transport, les cantines d'entreprises, les sandwiches...

Les conditions de son application ont nécessité des discussions intenses cet automne entre le ministère et les libraires, les boulangers et les artisans du bâtiment, professions pour lesquelles elle se révèle la plus complexe.

Cette hausse représente, selon le ministère du Budget, environ 10% de l'effort budgétaire des deux plans de rigueur du 24 août et du 7 novembre.

Les libraires ont obtenu un délai supplémentaire de trois mois, et ne l'appliqueront qu'au 1er avril. Motif : pour la grande majorité des ouvrages, le prix est imprimé sur la couverture, afin d'éviter les guerres des prix et de protéger les petits commerçants du secteur. Certains éditeurs disposant parfois de stocks importants, jusqu'à plusieurs années, il va leur falloir trouver une solution : nouvel étiquetage ou affichettes dans les magasins.

Georges Abib, membre du conseil d'administration du Syndicat des libraires et gérant d'une librairie dans le 20e arrondissement de Paris, résume le problème : «Moi j'ai 22.000, 25.000 ou 30.000 bouquins en stock, selon la période. Je ne vais pas réétiqueter tous les livres. Je n'en ai ni les moyens, ni le temps». Seule solution pour lui : les affichettes mais en respectant certaines normes pour éviter les litiges ou malentendus. «J'espère que des outils seront mis en place et le fait d'avoir trois mois va nous permettre de pouvoir assumer ça».

Les artisans du bâtiment ont, eux, obtenu que pour les devis signés avant le 20 décembre avec un acompte encaissé avant cette même date, la totalité des travaux serait facturée au taux ancien de 5,5%. En revanche, si l'acompte est versé le 30 décembre par exemple, il se verra appliquer le taux de 5,5%, mais le reste des travaux passera à 7%. «Ce sera simple à gérer encore, cette affaire-là, ironise Patrick Liébus, président de la Confédération de l'Artisanat et des petites entreprises du bâtiment (CAPEB). Certains clients ne versent jamais d'acompte, nous serons alors obligés de facturer au taux de 7% et ils vont nous demander une ristourne»... Avec pour effet une pression sur les marges qu'il estime dans la profession à 3% environ.

Pour les boulangers, pain, viennoiseries et pâtisseries resteront soumis au taux de TVA de 5,5% tandis que les sandwichs et les produits servis chauds (quiches, pizzas...) seront soumis au taux de 7%, a précisé le ministère du Budget. A quelques heures de l'entrée en vigueur de la mesure, nombre de boulangers s'inquiétaient encore de savoir si la répartition entre les deux taux serait clairement comprise à l'ouverture de leurs magasins, le 1er janvier.
Le parisien
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Memo
VIP
VIP
Messages : 3384
Inscription : 13 juil. 2011 16:41

Re: Actualités 2012

Message par Memo »

Dix ans d’euro sur fond de hausse des prix

Le 1er janvier 2002, l’euro se substituait au franc. Un plus pour les économies. Mais, pour le consommateur, le bilan est mitigé. Malmenée par la crise, la monnaie unique n’a pu empêcher une flambée des étiquettes.

Pauvre euro! Si jeune, 10 ans tout juste demain, et déjà si fragile. Quand la monnaie unique est née, pourtant, que de promesses! Vendu comme l’arme anticrise, l’euro devait protéger les 300 millions d’Européens des tempêtes économiques. Une décennie plus tard, c’est le désenchantement. Le voilà accusé de tous les maux, au bord du précipice, certains envisageant même sa disparition.
Avec les Français, qui le rendent, à tort et à raison, responsable de la hausse des prix, c’est aussi le désamour : 36% souhaitent un retour au franc et 45% estiment que l’euro est un « handicap », selon un récent sondage*. En Allemagne, la défiance est encore plus forte : 70% des Allemands veulent revenir au mark. Les entreprises et les banques sont sur des charbons ardents : tous préparent des plans B en cas d’implosion de la zone euro.

Car la crise de la dette n’est toujours pas réglée. Après la Grèce, l’Italie vacille. Le triple A de la France, mais aussi de l’Allemagne, est menacé. La faute à l’euro? Si c’était si simple… Si la monnaie unique chancelle, c’est parce qu’elle est avant tout mal née. En 1992, les pères du traité de Maastricht ont oublié une règle essentielle. Une monnaie, cela se pilote. Construire une Europe économique, soit, mais il faut une gouvernance politique. La crise ne fait que révéler les faiblesses de l’UE. Encore un effort et un peu de solidarité entre Etats membres et l’euro — deuxième monnaie de référence, après le dollar — pourra relever la tête. Fin novembre, Jacques Attali affirmait : « L’euro a une chance sur deux de ne plus exister à Noël. » Il a peut-être été un peu vite en besogne.

Image

* Sondage Ipsos-Logica pour l’association Lire la société, publié début décembre.

Le parisien
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Répondre