concours printemps 2012
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Re: Venez raconter votre écrit (printemps 2012)
Pour les titres
---> Développement durable : la solution face à une population consommatrice des ressources naturelles
-> Le nombre d'habitant augmente en ce concentrant autour des ville principalement
-> Situation dramatique pour la population à venir : les ressources naturelles s'épuisent
->l'agriculture : faire plus avec moins pour nourrir la planète
Voila ça ressemble pas vraiment a des titres et en voyant les vrais titres à part le dernière je suis un peu a coté de la plaque lol
---> Développement durable : la solution face à une population consommatrice des ressources naturelles
-> Le nombre d'habitant augmente en ce concentrant autour des ville principalement
-> Situation dramatique pour la population à venir : les ressources naturelles s'épuisent
->l'agriculture : faire plus avec moins pour nourrir la planète
Voila ça ressemble pas vraiment a des titres et en voyant les vrais titres à part le dernière je suis un peu a coté de la plaque lol
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Re: Venez raconter votre écrit (printemps 2012)
Oui c'est vrai que j'ai pas vraiment confiance en moi du coup j'me sous-estime tout l'temps mais bon vu la difficulté des tests ils va y avoir peu de personnes a l'oral . Donc j'me dit aussi pourquoi moi alors que beaucoup ont fait des prépas .
J'voulais faire prépa mais avec 12 de moyenne en S j'ai pas été prise . J'trouve ça lamentable . Mais bon , ya de plus en plus de demandes .
En tout cas j'aime ce forum vous me faites relativiser . J'ai re un petit espoir
J'voulais faire prépa mais avec 12 de moyenne en S j'ai pas été prise . J'trouve ça lamentable . Mais bon , ya de plus en plus de demandes .
En tout cas j'aime ce forum vous me faites relativiser . J'ai re un petit espoir

IDE depuis Juillet 2015
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Re: Venez raconter votre écrit (printemps 2012)
Ririne29 a écrit :Moi j'ai passé mon concours a Falaise et a lire vos mesage. Je me sens a coté de la plaqueC'est pour ça que je vais vous mettre a peu près ce que j'ai mis pour la question 2 et 3 et que j'aimerais que vous me dites ce que vous en pensez .
Question 2 :
En première raison , j'ai parlé des intempéries, températures qui changent, gelées, sécheresse, neige . Tout en disant que cela était incontrolable pour l'agriculture.
En deuxième raison j'ai parlé des consommateurs qui achètent souvent trop alors que les produits des productions agricoles ne sont conservables que peu de temps.
Et en conclusion j'ai fait une petite ouverture en parlant des importations de continents a continents des produits issus de l'agriculture.
Question 3 :
Dans mon introduction j'ai parlé des politiques qui mettent en place des protocoles pour réduire les gaz a effet de serre ainsi que la réduction de l'utilisation de l'eau dans les entreprises.
I - Réduction des gaz a effet de serre et de l'utilisation du pétrole
Avec pour exemple , transport en commun, covoiturage, voitures électriques ou utilisant des biocarburants.
II - Les efforts qui sont fait par rapport aux énergies renouvelables
aérothermie , géothermie , panneaux solaires de plus en plus utiliser au domicile des occidentaux. Les maisons écolo de plus en plus développées avec matériaux de construction écologiques
III - Mais problèmes de l'eau ou il reste bcp d'effort a faire pour limiter sa consommation. Notamment appareils électroménagers modernes ( lave linge , lave vaisselle ) Mais aussi utiliser souvent en trop grande abondance lors de l'hygiène quotien des occidentaux mais aussi de l'hygiene du domicile ( lavage de voiture , maisons )
Conclusion : Difficile d'imaginer des occidentaux 100 % écolo lorsque ceux ci se sont habitués a la modernité , au luxe et a la facilité de ces dernières années. Cependant des progrès sont réels et visibles ce qui peu laisser penser a une étendue de ces progrès. Seulement il va falloir être convaiquant car encore trop peu d'informations et d'actions sont données pour une vie occidentale écologique qui répondent aux exigences de la planète.
Voila ma 3ème question ne ressemble a aucune autre et la ça m'inquiète un peu ... Merci de me dire ce que vous en pensez![]()
Sinon j'ai trouvé les tests assez simple et comme beaucoup de gens le test d'organisation je n'ai pas eu le temps de le finir , le dernier tableau a fini vide !
salut ririne , je lis vos commentaires depuis que le topic est ouvert et la je me lance , je passe mes concours a pau tarbes et 2 a toulouse . et je trouve que ta conclusion est pas mal tourné , c est franc et je trouve ça bien . Aprés je suis assez pour l ecologie , je ne connais pas exactement les questions mais en ex pour aranger la situation écologique de la planète par rapport aux agriculteurs , il y a aussi la métanisation qui se developpe petit a petit ou encore l utilisation de bélier pour puiser de l 'eau des rivières et renvoyer ce qu ils n utilisent pas . voila . Si ça peut aier d autres personnes . Et bon courage ,
Venez raconter votre écrit (printemps 2012)
Salut Ririne29!
En lisant tes arguments, je trouve que tu as pas mal gérer.. ce que je trouve bien est le fait que tu proposes 1 exemple pour chaque argument!
Et comme tu dis, le sujet est vaste.. vraiment beaucoup de choses à dire, donc ça peut varier.
En lisant tes arguments, je trouve que tu as pas mal gérer.. ce que je trouve bien est le fait que tu proposes 1 exemple pour chaque argument!
Et comme tu dis, le sujet est vaste.. vraiment beaucoup de choses à dire, donc ça peut varier.

ESI 2012/2013 St-Lo & 2013/2015 Lisieux
L1 : SSIAD, EHPAD, Cardio
L2 : SSR, Gastro, HDJ, Psy
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Re: Venez raconter votre écrit (printemps 2012)
Merci pour vos messages. C'est la 3 ème fois que je passe le concours et recaler a chaque fois en culture G , alors ça me donne un peu d'espoir pour les autres concours de cette année
Je vous souhaite bon courage aussi !! 


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Re: Venez raconter votre écrit (printemps 2012)
Bonjour à tous,
Je suis nouvelle sur ce forum. Je passe le concours le 15 mars à Montbéliard et je stresse énormément surtout quand je vois vos réponses, je n'aurais jamais de telle idée.
Dans tous les cas je vous souhaite à tous bonne chance
Je suis nouvelle sur ce forum. Je passe le concours le 15 mars à Montbéliard et je stresse énormément surtout quand je vois vos réponses, je n'aurais jamais de telle idée.
Dans tous les cas je vous souhaite à tous bonne chance

Re: Venez raconter votre écrit (printemps 2012)
bonjour tout le monde! demain mon premier concours .. ! à Vienne (38) je vous mettrais demain soir le sujet de culture G. Bon courage à toutes et à tous !!
ESI 2012/2015 à Bourgoin-Jallieu !!! Sans prépa

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Re: Venez raconter votre écrit (printemps 2012)
Bon courage choups...
Et a tous les autres qui passent aussi d'ailleurs .
N'hésitaient pas a laisser les références des textes de culture G ou de nous les scanner .
Et a tous les autres qui passent aussi d'ailleurs .
N'hésitaient pas a laisser les références des textes de culture G ou de nous les scanner .

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Re: Venez raconter votre écrit (printemps 2012)
Bon courage et bonne chancechoupse38 a écrit :bonjour tout le monde! demain mon premier concours .. ! à Vienne (38) je vous mettrais demain soir le sujet de culture G. Bon courage à toutes et à tous !!

maman a plein temps d'un ptit boudin de 4ans et d'un pti monstre d' 1an, ESI au Havre Promo 2013-2016, on y est!!!!!
Re: Venez raconter votre écrit (printemps 2012)
Bon courage pour demain !!
Ca me fais de plus en plus flipper !!
MAis je suis de plus en plus motivée ! Hate que ce soit fini !
Ca me fais de plus en plus flipper !!
MAis je suis de plus en plus motivée ! Hate que ce soit fini !
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Re: Venez raconter votre écrit (printemps 2012)
Coucou tous le monde, je suis nouvelle sur ce site (que je connais depuis tres longtemps)
je vois que les conversations sont tres interressantes surtout pour les concours, si j'avais su je me serais inscrite avant ! bref je ferais comme tous le monde quand j'aurais passé mes concours je posterais tout ce que je peux !!!!

ESI 2012-2015 ifsi virginie olivier Paris , 14 éme
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Re: Venez raconter votre écrit (printemps 2012)
Oui , J'ai hate que ce soit fini aussi . Mais j'voudrais des bonnes nouvelles , pas des mauvaises . Enfin bon , les dés sont jetés pour certains concours . Il reste plus qu'a prier pour être admissible .debella a écrit :Bon courage pour demain !!
Ca me fais de plus en plus flipper !!
MAis je suis de plus en plus motivée ! Hate que ce soit fini !
TOUS ESI PROMO 2012-2015 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Re: Venez raconter votre écrit (printemps 2012)
bonjour a toutes je passe le concours a Brive en corrèze le 4 avril je trouve que se topic est tres utile a bientot
examen de preselection reussi!!
concours ifsi brive le 4 avril 2012 c'est mort!!!!!!
concours ifsi brive le 4 avril 2012 c'est mort!!!!!!
Re: Venez raconter votre écrit (printemps 2012)
Merci de partager vos impressions sur l'écrit!!!!
Ce qui me fait flipper c'est que certains n'ont pas eu le droit au brouillon lors des tests psy, vous avez fait comment? On à le droit d'écrire sur le sujet? Au pire je me disais de prendre un crayon de papier et de faire sur un petit bout de la table et d'effacer au fur et à mesure, mais ça le fait pas lol !!!!
Sinon aujourd'hui j'ais reçu un courier de l'ifsi me disant que mon dossier était complet!!! C'est la dernière ligne droite, mon concours est le 11 Avril!!
Vivement car je commence à saturer car j'ais commencé les révisions en août!!
Ce qui me fait flipper c'est que certains n'ont pas eu le droit au brouillon lors des tests psy, vous avez fait comment? On à le droit d'écrire sur le sujet? Au pire je me disais de prendre un crayon de papier et de faire sur un petit bout de la table et d'effacer au fur et à mesure, mais ça le fait pas lol !!!!
Sinon aujourd'hui j'ais reçu un courier de l'ifsi me disant que mon dossier était complet!!! C'est la dernière ligne droite, mon concours est le 11 Avril!!
Vivement car je commence à saturer car j'ais commencé les révisions en août!!
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Re: Venez raconter votre écrit (printemps 2012)
Coucou tout le monde , cela faisait un moment que je n'avais pas posté mais je suis le forum réguliérement donc M**** et on garde espoir pour ceux qui sont passés et on ne se décourage pas pour ceux qui ne sont pas passé .
donc en tombant sur ce texte:
AMÉNAGEMENT : COMMENT PLANIFIER L’URBANISATION ?
C’est automatique : la croissance démographique d’un pays se traduit toujours par une croissance de sa population urbaine. « Il n’y a aucun contre-exemple dans le monde », assure Guillaume Josse, spécialiste de l’urbanisme à l’ Agence française de développement.
De ce fait, on attend d’ici à 2050 une croissance exponentielle du nombre d’urbains sur la planète, en particulier dans les pays en développement : 3,2 milliards aujourd’hui, 6,5 milliards en 2050, à raison d’un million supplémentaire par semaine. « La moitié des villes de 2030 n’existent pas aujourd’hui », souligne le chercheur. D’ici à cette date, plus de la moitié des humains habiteront en ville, que ce soit en Europe (où le taux atteint déjà 80 %) ou en Afrique.
Ce sont les bidonvilles – qui manquent des services de base comme l’accès à l’eau et à l’électricité – qui contribuent à la majorité de cette croissance démographique, trop rapide pour être planifiée. À Bogota, à Rio, au Caire ou à Oulan-Bator, la ville émergente a le plus souvent deux facettes : moderne, intégrée dans le jeu de l’économie mondialisée, avec buildings et métro ; et informelle qui s’étend à la périphérie. « Ces villes qui doublent tous les quinze ans ne peuvent pas planifier leur développement à 100 % », poursuit Guillaume Josse.
À ce titre, Curitiba (Brésil) fait figure de modèle pour le monde entier. Trafic automobile détourné du centre, espaces verts, zones à forte densité d’habitation, réseau dense de transports publics : parfaitement anticipé, son fort développement des trente dernières années n’a engendré ni pollution ni congestion excessives. De même, des villes chinoises en plein boom tentent de trouver des solutions durables en matière de transport et d’habitat.
« Une forte tradition administrative, des élus motivés et une croissance démographique pas trop échevelée sont des atouts pour que les choses restent gérables », assure Guillaume Josse. Sans compter un minimum de moyens. Collecter et traiter les eaux usées et gérer les déchets n’ont jamais été des activités bénéficiaires. Seuls l’impôt ou l’emprunt permettent de les financer. Des moyens aujourd’hui hors de portée des villes d’Afrique subsaharienne, pourtant en pleine expansion, comme Lagos, la plus grande ville d’Afrique, qui enregistre 450 000 habitants de plus par an.
CROISSANCE ÉCONOMIQUE : QUEL MODÈLE ?
C’est une équation à trois paramètres, rappelle Olivier Blond, de la fondation GoodPlanet (1) : le nombre d’humains sur terre (P) ; leur consommation (C) ; les ressources disponibles (R). Le problème est le suivant : comment faire en sorte que P × C ne soit pas supérieur à R ? En d’autres termes, comment éviter que la consommation des humains ne dépasse les ressources disponibles ?
Pour certains, les limites sont déjà atteintes. Les stocks de poissons sont à des niveaux tels qu’il faudrait dès maintenant prendre des mesures drastiques sur les pratiques de pêche ; des tensions apparaissent sur l’eau, les métaux et minéraux, sans même parler du pétrole, dont la production aurait atteint un pic.
L’augmentation de la population mondiale est déjà un défi en soi, mais la vraie question est aujourd’hui celle de l’émergence d’une classe moyenne mondiale dont le niveau de consommation se rapproche de celui des pays développés. Ainsi, selon les méthodes de calcul de l’ association Global Footprint Network, si tous les habitants de la terre vivaient comme les Français, nous aurions besoin des ressources de presque trois planètes.
« Nous devons inventer un modèle économique qui permette le découplage entre la croissance économique et la consommation de ressources, explique Sylvie Lemmet, directrice de la division technologie, industrie et économie du Programme des Nations unies pour l’environnement. Nous n’avons guère plus que dix ans devant nous. »
Bonne nouvelle : la prise de conscience – notamment dans les pays émergents – est réelle. La Chine investit dans les énergies renouvelables et s’est fixé des objectifs de réduction de consommation d’énergie. « L’Indonésie, le Brésil, l’Afrique du Sud ou encore la Corée font de la croissance verte leur leitmotiv », assure Sylvie Lemmet.
Signe des temps : en 2010, les investissements mondiaux dans les énergies renouvelables ont augmenté d’un tiers par rapport à 2009 et plus de la moitié des efforts ont été fournis par les pays en développement. « Même dans certains pays les plus pauvres émerge le souhait d’un modèle de développement qui fasse l’économie de la phase la plus polluante de la croissance des pays aujourd’hui développés », témoigne Sylvie Lemmet.
AGRICULTURE : COMMENT PRODUIRE PLUS ET MIEUX ?
À première vue, l’équation paraît insoluble : près d’un milliard de personnes souffrent de la faim, alors que nous sommes sept milliards sur la terre. Qu’en sera-t-il en 2050, quand il y aura deux milliards d’individus supplémentaires à nourrir ? Compte tenu de la croissance démographique et de l’élévation générale du niveau de vie dans les pays émergents, l’ Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) estime qu’il faudra augmenter la production alimentaire de 70 %. Sans dégrader l’environnement et avec des ressources naturelles limitées. Difficile, certes, mais tout à fait possible.
D’abord, le chiffre de la FAO peut être révisé, en fonction de plusieurs paramètres : la lutte contre les pertes et gaspillages, qui représentent 30 à 50 % de la production agricole ; l’adoption de nouveaux comportements individuels dans les pays développés, où l’on achète 4 000 kilocalories par personne et par jour, alors que 3 000 suffiraient. « La variable clé, c’est la quantité de viande consommée, souligne Michel Griffon, conseiller scientifique à l’ Agence nationale de la recherche, car les animaux, nourris avec des céréales, sont en concurrence directe avec les hommes. »
Il n’empêche, « il faudra de toute façon augmenter la production agricole d’au moins 30 % d’ici à 2050 », estime Marion Guillou, directrice de l’ Inra (2). D’autant qu’en plus des besoins alimentaires, l’agriculture est appelée à répondre à la demande d’énergie, à travers la production d’agrocarburant. Les solutions sont multiples. « Il est possible d’augmenter les surfaces cultivées, en prenant sur les prairies et les pâturages, en rendant utiles des terres qui ne le sont pas et en gagnant un peu sur la forêt », estime Marion Guillou.
Il faudra aussi augmenter les rendements, en accentuant la recherche agronomique et en réinvestissant dans l’agriculture des pays du Sud pour qu’ils acquièrent des engrais, du matériel agricole et des semences performantes. « Mais, compte tenu de la raréfaction des ressources en eau et en engrais, les agriculteurs devront produire plus avec moins », souligne Michel Griffon. Apparaît donc la nécessité d’une transition vers un nouveau modèle agricole mondial, moins intensif, moins coûteux et plus écologique.
(1) Dans Vivre ensemble, 7 milliards d’humains , Fondation Goodplanet, Éd. La Martinière, 12 €.[/quote]
j'ai fais mes tites recherches (car je sais trés bien que je tomberais pas sur le mme texte mais peut être sur un texte similaire ), alors j ai trouvé ça : La FAO dénonce le gaspillage alimentaire
Selon la FAO, le tiers des aliments produits chaque année dans le monde pour la consommation humaine, soit environ 1,3 milliard de tonnes, est perdu ou gaspillé.
L'Organisation des Nations Unies pour l'Agriculture et l'Alimentation (FAO) a publié ,un rapport édifiant présentant les pertes et gaspillages alimentaires mondiaux, intitulé Global food losses and food waste.
Des disparités géographiques
Le gaspillage intervient à différents niveaux. Il concerne à la fois les pertes alimentaires, qui interviennent aux stades de production, récolte et transformation, et le gaspillage alimentaire proprement dit dû à la négligence des distributeurs et consommateurs qui jettent la nourriture.
Pertes et gaspillages ne sont pas répartis de la même manière sur le globe : alors que les pertes alimentaires concernent majoritairement les structures de production agricole peu structurées des pays du sud, le gaspillage est quant à lui largement l'affaire des consommateurs des pays riches...
Ainsi, 40 pour cent des pertes se produisent aux stades de l'après-récolte et de la transformation dans les pays du Sud alors que, pour les pays industriels, plus de 40 pour cent des pertes sont le fait des détaillants et des consommateurs.
Quelques chiffres :
Le gaspillage lié à la consommation dans les pays développés (222 millions de tonnes) est presque équivalent aux pertes liées à la production en Afrique Subsaharienne (230 millions de tonnes).
Un consommateur européen ou américain du Nord gaspille en moyenne 95 à 115 kg de nourriture par an contre 6 à 11 kg pour un consommateur d'Afrique sub-saharienne ou d'Asie du Sud.
La FAO a défini quelques pistes de réduction de ces gaspillages liés à la production :
-une meilleure coopération et communication entre les producteurs pour éviter la surproduction trop importants,
-une meilleure organisation de la production de plus petites exploitations par la diversification, la planification et la mise en vente des productions,
-des investissements dans les infrastructures pour optimiser la distribution
... et à la consommation :
-mieux connaître les besoins des consommateurs en supermarché,
-favoriser les circuits courts de distribution qui sont moins stricts par rapport aux standards de qualité et donc à l'origine des moins de pertes.
-développer un marché des produits en mettant en place une collaboration entre détaillants et associations caritatives.
-Soutenir l'éducation à l'alimentation au sien des écoles notamment par une impulsion politique forte.
Réduire le gaspillage pour nourrir le monde !
Ce gaspillage est aujourd'hui bien entendu difficile à admettre, et ce pour différentes raisons :
près d'un milliard de personnes souffrent aujourd'hui de malnutrition...
son impact sur l'environnement : on utilise ainsi, à perte, des ressources pourtant limitées ou qui subissent une forte pression des modes de production d'aujourd'hui : eau, sols, bois, phosphore...
nous serons 9 milliards d'êtres humains en 2050 et déjà certains disent qu'il faut augmenter de manière drastique la production agricole (tout en promouvant les modes de production industriels actuels). Or les marges de manœuvre offertes part la réduction du gaspillage sont immenses et constituent un chantier prioritaire.
Une réduction du gaspillage seule ne suffit pas ; elle doit s'accompagner de politiques agricoles promouvant une agriculture respectueuse des écosystèmes et des hommes, qui n'épuise pas les ressources naturelles et même qui contribue à leur renouvellement.
Pour en savoir plus :
Global Food losses and food waste - PDF (étude menée pour le Congrès International)
Les positions du groupe PAC 2013
Réduisons le gaspillage alimentaire !
et je pense aussi qu il ne faut pas oublier de parler des eco refugies et de tout ce que cela implique .
Qu en pensez vous ????[
donc en tombant sur ce texte:
AMÉNAGEMENT : COMMENT PLANIFIER L’URBANISATION ?
C’est automatique : la croissance démographique d’un pays se traduit toujours par une croissance de sa population urbaine. « Il n’y a aucun contre-exemple dans le monde », assure Guillaume Josse, spécialiste de l’urbanisme à l’ Agence française de développement.
De ce fait, on attend d’ici à 2050 une croissance exponentielle du nombre d’urbains sur la planète, en particulier dans les pays en développement : 3,2 milliards aujourd’hui, 6,5 milliards en 2050, à raison d’un million supplémentaire par semaine. « La moitié des villes de 2030 n’existent pas aujourd’hui », souligne le chercheur. D’ici à cette date, plus de la moitié des humains habiteront en ville, que ce soit en Europe (où le taux atteint déjà 80 %) ou en Afrique.
Ce sont les bidonvilles – qui manquent des services de base comme l’accès à l’eau et à l’électricité – qui contribuent à la majorité de cette croissance démographique, trop rapide pour être planifiée. À Bogota, à Rio, au Caire ou à Oulan-Bator, la ville émergente a le plus souvent deux facettes : moderne, intégrée dans le jeu de l’économie mondialisée, avec buildings et métro ; et informelle qui s’étend à la périphérie. « Ces villes qui doublent tous les quinze ans ne peuvent pas planifier leur développement à 100 % », poursuit Guillaume Josse.
À ce titre, Curitiba (Brésil) fait figure de modèle pour le monde entier. Trafic automobile détourné du centre, espaces verts, zones à forte densité d’habitation, réseau dense de transports publics : parfaitement anticipé, son fort développement des trente dernières années n’a engendré ni pollution ni congestion excessives. De même, des villes chinoises en plein boom tentent de trouver des solutions durables en matière de transport et d’habitat.
« Une forte tradition administrative, des élus motivés et une croissance démographique pas trop échevelée sont des atouts pour que les choses restent gérables », assure Guillaume Josse. Sans compter un minimum de moyens. Collecter et traiter les eaux usées et gérer les déchets n’ont jamais été des activités bénéficiaires. Seuls l’impôt ou l’emprunt permettent de les financer. Des moyens aujourd’hui hors de portée des villes d’Afrique subsaharienne, pourtant en pleine expansion, comme Lagos, la plus grande ville d’Afrique, qui enregistre 450 000 habitants de plus par an.
CROISSANCE ÉCONOMIQUE : QUEL MODÈLE ?
C’est une équation à trois paramètres, rappelle Olivier Blond, de la fondation GoodPlanet (1) : le nombre d’humains sur terre (P) ; leur consommation (C) ; les ressources disponibles (R). Le problème est le suivant : comment faire en sorte que P × C ne soit pas supérieur à R ? En d’autres termes, comment éviter que la consommation des humains ne dépasse les ressources disponibles ?
Pour certains, les limites sont déjà atteintes. Les stocks de poissons sont à des niveaux tels qu’il faudrait dès maintenant prendre des mesures drastiques sur les pratiques de pêche ; des tensions apparaissent sur l’eau, les métaux et minéraux, sans même parler du pétrole, dont la production aurait atteint un pic.
L’augmentation de la population mondiale est déjà un défi en soi, mais la vraie question est aujourd’hui celle de l’émergence d’une classe moyenne mondiale dont le niveau de consommation se rapproche de celui des pays développés. Ainsi, selon les méthodes de calcul de l’ association Global Footprint Network, si tous les habitants de la terre vivaient comme les Français, nous aurions besoin des ressources de presque trois planètes.
« Nous devons inventer un modèle économique qui permette le découplage entre la croissance économique et la consommation de ressources, explique Sylvie Lemmet, directrice de la division technologie, industrie et économie du Programme des Nations unies pour l’environnement. Nous n’avons guère plus que dix ans devant nous. »
Bonne nouvelle : la prise de conscience – notamment dans les pays émergents – est réelle. La Chine investit dans les énergies renouvelables et s’est fixé des objectifs de réduction de consommation d’énergie. « L’Indonésie, le Brésil, l’Afrique du Sud ou encore la Corée font de la croissance verte leur leitmotiv », assure Sylvie Lemmet.
Signe des temps : en 2010, les investissements mondiaux dans les énergies renouvelables ont augmenté d’un tiers par rapport à 2009 et plus de la moitié des efforts ont été fournis par les pays en développement. « Même dans certains pays les plus pauvres émerge le souhait d’un modèle de développement qui fasse l’économie de la phase la plus polluante de la croissance des pays aujourd’hui développés », témoigne Sylvie Lemmet.
AGRICULTURE : COMMENT PRODUIRE PLUS ET MIEUX ?
À première vue, l’équation paraît insoluble : près d’un milliard de personnes souffrent de la faim, alors que nous sommes sept milliards sur la terre. Qu’en sera-t-il en 2050, quand il y aura deux milliards d’individus supplémentaires à nourrir ? Compte tenu de la croissance démographique et de l’élévation générale du niveau de vie dans les pays émergents, l’ Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) estime qu’il faudra augmenter la production alimentaire de 70 %. Sans dégrader l’environnement et avec des ressources naturelles limitées. Difficile, certes, mais tout à fait possible.
D’abord, le chiffre de la FAO peut être révisé, en fonction de plusieurs paramètres : la lutte contre les pertes et gaspillages, qui représentent 30 à 50 % de la production agricole ; l’adoption de nouveaux comportements individuels dans les pays développés, où l’on achète 4 000 kilocalories par personne et par jour, alors que 3 000 suffiraient. « La variable clé, c’est la quantité de viande consommée, souligne Michel Griffon, conseiller scientifique à l’ Agence nationale de la recherche, car les animaux, nourris avec des céréales, sont en concurrence directe avec les hommes. »
Il n’empêche, « il faudra de toute façon augmenter la production agricole d’au moins 30 % d’ici à 2050 », estime Marion Guillou, directrice de l’ Inra (2). D’autant qu’en plus des besoins alimentaires, l’agriculture est appelée à répondre à la demande d’énergie, à travers la production d’agrocarburant. Les solutions sont multiples. « Il est possible d’augmenter les surfaces cultivées, en prenant sur les prairies et les pâturages, en rendant utiles des terres qui ne le sont pas et en gagnant un peu sur la forêt », estime Marion Guillou.
Il faudra aussi augmenter les rendements, en accentuant la recherche agronomique et en réinvestissant dans l’agriculture des pays du Sud pour qu’ils acquièrent des engrais, du matériel agricole et des semences performantes. « Mais, compte tenu de la raréfaction des ressources en eau et en engrais, les agriculteurs devront produire plus avec moins », souligne Michel Griffon. Apparaît donc la nécessité d’une transition vers un nouveau modèle agricole mondial, moins intensif, moins coûteux et plus écologique.
(1) Dans Vivre ensemble, 7 milliards d’humains , Fondation Goodplanet, Éd. La Martinière, 12 €.[/quote]
j'ai fais mes tites recherches (car je sais trés bien que je tomberais pas sur le mme texte mais peut être sur un texte similaire ), alors j ai trouvé ça : La FAO dénonce le gaspillage alimentaire
Selon la FAO, le tiers des aliments produits chaque année dans le monde pour la consommation humaine, soit environ 1,3 milliard de tonnes, est perdu ou gaspillé.
L'Organisation des Nations Unies pour l'Agriculture et l'Alimentation (FAO) a publié ,un rapport édifiant présentant les pertes et gaspillages alimentaires mondiaux, intitulé Global food losses and food waste.
Des disparités géographiques
Le gaspillage intervient à différents niveaux. Il concerne à la fois les pertes alimentaires, qui interviennent aux stades de production, récolte et transformation, et le gaspillage alimentaire proprement dit dû à la négligence des distributeurs et consommateurs qui jettent la nourriture.
Pertes et gaspillages ne sont pas répartis de la même manière sur le globe : alors que les pertes alimentaires concernent majoritairement les structures de production agricole peu structurées des pays du sud, le gaspillage est quant à lui largement l'affaire des consommateurs des pays riches...
Ainsi, 40 pour cent des pertes se produisent aux stades de l'après-récolte et de la transformation dans les pays du Sud alors que, pour les pays industriels, plus de 40 pour cent des pertes sont le fait des détaillants et des consommateurs.
Quelques chiffres :
Le gaspillage lié à la consommation dans les pays développés (222 millions de tonnes) est presque équivalent aux pertes liées à la production en Afrique Subsaharienne (230 millions de tonnes).
Un consommateur européen ou américain du Nord gaspille en moyenne 95 à 115 kg de nourriture par an contre 6 à 11 kg pour un consommateur d'Afrique sub-saharienne ou d'Asie du Sud.
La FAO a défini quelques pistes de réduction de ces gaspillages liés à la production :
-une meilleure coopération et communication entre les producteurs pour éviter la surproduction trop importants,
-une meilleure organisation de la production de plus petites exploitations par la diversification, la planification et la mise en vente des productions,
-des investissements dans les infrastructures pour optimiser la distribution
... et à la consommation :
-mieux connaître les besoins des consommateurs en supermarché,
-favoriser les circuits courts de distribution qui sont moins stricts par rapport aux standards de qualité et donc à l'origine des moins de pertes.
-développer un marché des produits en mettant en place une collaboration entre détaillants et associations caritatives.
-Soutenir l'éducation à l'alimentation au sien des écoles notamment par une impulsion politique forte.
Réduire le gaspillage pour nourrir le monde !
Ce gaspillage est aujourd'hui bien entendu difficile à admettre, et ce pour différentes raisons :
près d'un milliard de personnes souffrent aujourd'hui de malnutrition...
son impact sur l'environnement : on utilise ainsi, à perte, des ressources pourtant limitées ou qui subissent une forte pression des modes de production d'aujourd'hui : eau, sols, bois, phosphore...
nous serons 9 milliards d'êtres humains en 2050 et déjà certains disent qu'il faut augmenter de manière drastique la production agricole (tout en promouvant les modes de production industriels actuels). Or les marges de manœuvre offertes part la réduction du gaspillage sont immenses et constituent un chantier prioritaire.
Une réduction du gaspillage seule ne suffit pas ; elle doit s'accompagner de politiques agricoles promouvant une agriculture respectueuse des écosystèmes et des hommes, qui n'épuise pas les ressources naturelles et même qui contribue à leur renouvellement.
Pour en savoir plus :
Global Food losses and food waste - PDF (étude menée pour le Congrès International)
Les positions du groupe PAC 2013
Réduisons le gaspillage alimentaire !
et je pense aussi qu il ne faut pas oublier de parler des eco refugies et de tout ce que cela implique .
Qu en pensez vous ????[