Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités 2012
Divorce : des stages pour les parents en infraction
À Grasse, le procureur met en place une formation pour responsabiliser les parents plutôt que de les punir.
À l'instar des automobilistes privés de permis ou des mineurs délinquants, les parents divorcés en infraction ont désormais leur stage. Une première. Le procureur de la République de Grasse, Jean-Michel Cailliau, vient en effet de signer une convention avec l'association niçoise Montjoye, spécialisée dans l'action sociale, pour mettre en place une formation de responsabilité parentale. Son objectif? Apprendre aux parents qui ne respectent pas les termes de l'ordonnance de divorce à changer d'attitude plutôt que de les punir. Les pères et les mères accusés de non-présentation de l'enfant, non-paiement de la pension alimentaire ou éventuellement de délaissement de mineur ou de violence par ascendant sur mineur de moins de 15 ans seront donc les participants de ces cessions atypiques.
«Utiliser son enfant dans des querelles de couple, c'est devenu d'une grande banalité. Il s'agit de mettre les parents qui agissent de la sorte en face de leurs responsabilités, de leur faire comprendre que l'enfant ne peut être ni un outil ni une arme pour régler un conflit personnel ou une rupture mal vécue», explique le procureur, désireux d'apporter une nouvelle réponse à ces infractions «pas comme les autres». Cette alternative aux poursuites avec une infraction constituée s'inscrit dans le cadre de la loi du 5 mars 2007.
L'expérimentation va débuter à la rentrée avec deux stages d'une durée de quatre à six mois pour une vingtaine de personnes. Les participants de ce drôle de stage comportemental seront sélectionnés par le parquet. «Plutôt des primodélinquants, plus à même de changer d'attitude», selon le procureur.
«Ce n'est pas une thérapie»
L'association Montjoye a construit ce projet en s'inspirant de la méthode déjà éprouvée des stages de citoyenneté. La formation s'ouvre par une rencontre avec le procureur qui rappelle le cadre de la loi. Le parent mis en cause doit avant tout accepter le principe du stage et, le cas échéant, de verser 250 euros pour participer à la moitié des frais. Un geste destiné à marquer sa bonne volonté. «En cas de refus, nous pouvons poursuivre», souligne Jean-Michel Cailliau. Dans un deuxième temps, le parent rencontrera une équipe formée par des représentants de l'association, psychologues et éducateurs pour évoquer son parcours.
«Nous voulons les faire remonter à la genèse de leur histoire d'amour passée et à la venue du bébé afin qu'ils se rappellent pourquoi ils sont devenus parents. Nous ne jugeons pas un divorce ou une séparation, nous recentrons les questions autour de l'enfant. Ces personnes sont parfois tellement enkystées dans leurs conflits qu'elles ne voient plus la réalité. À nous de trouver des leviers pour qu'elles renouent avec leur fils ou leur fille», souligne Élodie Dalloz, de l'association Montjoye.
Ce face-à-face sera suivi par un travail en groupe où les participants parleront ensemble de leur rôle de parent et de leurs responsabilités. «Les problématiques des autres peuvent les aider à se décentrer et les mettre en face de leurs propres contradictions mais ce n'est pas une thérapie», précise Élodie Dalloz.
Une reprise de contact par lettre ou par téléphone
Puis viendra le temps des solutions. L'association mise sur de petits engagements élaborés lors de nouveaux entretiens individuels afin de lever progressivement les blocages. «En cas de non-représentation d'enfant, le parent peut par exemple se fixer comme premier objectif une reprise de contact entre l'enfant et l'autre parent par lettre ou par téléphone», avance Élodie Dalloz.
In fine, le stage doit déboucher sur un protocole d'accord qui sera visé par le parquet. Le procureur décidera en fonction de cet accord du classement ou non de l'affaire.
Après les deux cessions expérimentales de l'année 2012, le parquet de Grasse et l'association feront un bilan de l'opération dont le financement n'est pas encore entièrement assuré. «Nous demandons aux gens de faire un retour sur eux-mêmes. C'est difficile. Nous ne visons pas 100 % de réussite mais nous proposons une réponse à des situations qui ne sont peut-être pas suffisamment bien gérées par la justice», fait valoir Jean-Michel Cailliau.
France soir
À Grasse, le procureur met en place une formation pour responsabiliser les parents plutôt que de les punir.
À l'instar des automobilistes privés de permis ou des mineurs délinquants, les parents divorcés en infraction ont désormais leur stage. Une première. Le procureur de la République de Grasse, Jean-Michel Cailliau, vient en effet de signer une convention avec l'association niçoise Montjoye, spécialisée dans l'action sociale, pour mettre en place une formation de responsabilité parentale. Son objectif? Apprendre aux parents qui ne respectent pas les termes de l'ordonnance de divorce à changer d'attitude plutôt que de les punir. Les pères et les mères accusés de non-présentation de l'enfant, non-paiement de la pension alimentaire ou éventuellement de délaissement de mineur ou de violence par ascendant sur mineur de moins de 15 ans seront donc les participants de ces cessions atypiques.
«Utiliser son enfant dans des querelles de couple, c'est devenu d'une grande banalité. Il s'agit de mettre les parents qui agissent de la sorte en face de leurs responsabilités, de leur faire comprendre que l'enfant ne peut être ni un outil ni une arme pour régler un conflit personnel ou une rupture mal vécue», explique le procureur, désireux d'apporter une nouvelle réponse à ces infractions «pas comme les autres». Cette alternative aux poursuites avec une infraction constituée s'inscrit dans le cadre de la loi du 5 mars 2007.
L'expérimentation va débuter à la rentrée avec deux stages d'une durée de quatre à six mois pour une vingtaine de personnes. Les participants de ce drôle de stage comportemental seront sélectionnés par le parquet. «Plutôt des primodélinquants, plus à même de changer d'attitude», selon le procureur.
«Ce n'est pas une thérapie»
L'association Montjoye a construit ce projet en s'inspirant de la méthode déjà éprouvée des stages de citoyenneté. La formation s'ouvre par une rencontre avec le procureur qui rappelle le cadre de la loi. Le parent mis en cause doit avant tout accepter le principe du stage et, le cas échéant, de verser 250 euros pour participer à la moitié des frais. Un geste destiné à marquer sa bonne volonté. «En cas de refus, nous pouvons poursuivre», souligne Jean-Michel Cailliau. Dans un deuxième temps, le parent rencontrera une équipe formée par des représentants de l'association, psychologues et éducateurs pour évoquer son parcours.
«Nous voulons les faire remonter à la genèse de leur histoire d'amour passée et à la venue du bébé afin qu'ils se rappellent pourquoi ils sont devenus parents. Nous ne jugeons pas un divorce ou une séparation, nous recentrons les questions autour de l'enfant. Ces personnes sont parfois tellement enkystées dans leurs conflits qu'elles ne voient plus la réalité. À nous de trouver des leviers pour qu'elles renouent avec leur fils ou leur fille», souligne Élodie Dalloz, de l'association Montjoye.
Ce face-à-face sera suivi par un travail en groupe où les participants parleront ensemble de leur rôle de parent et de leurs responsabilités. «Les problématiques des autres peuvent les aider à se décentrer et les mettre en face de leurs propres contradictions mais ce n'est pas une thérapie», précise Élodie Dalloz.
Une reprise de contact par lettre ou par téléphone
Puis viendra le temps des solutions. L'association mise sur de petits engagements élaborés lors de nouveaux entretiens individuels afin de lever progressivement les blocages. «En cas de non-représentation d'enfant, le parent peut par exemple se fixer comme premier objectif une reprise de contact entre l'enfant et l'autre parent par lettre ou par téléphone», avance Élodie Dalloz.
In fine, le stage doit déboucher sur un protocole d'accord qui sera visé par le parquet. Le procureur décidera en fonction de cet accord du classement ou non de l'affaire.
Après les deux cessions expérimentales de l'année 2012, le parquet de Grasse et l'association feront un bilan de l'opération dont le financement n'est pas encore entièrement assuré. «Nous demandons aux gens de faire un retour sur eux-mêmes. C'est difficile. Nous ne visons pas 100 % de réussite mais nous proposons une réponse à des situations qui ne sont peut-être pas suffisamment bien gérées par la justice», fait valoir Jean-Michel Cailliau.
France soir
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Re: Actualités 2012
Longévité et dépendance: le paradoxe français
Par Delphine Chayet - le 18/04/2012
INFOGRAPHIE - Champions de la longévité en Europe, les Français sont mal classés pour ce qui est du bien-vieillir, sans incapacité.
D'année en année, l'espérance de vie des Français continue à s'allonger. Hélas, ce temps gagné correspond à des mois passés en mauvaise santé. La France se trouve ainsi dans une situation paradoxale. Alors qu'il est le premier en Europe pour l'espérance de vie des femmes, qui atteint 85,3 ans en 2010, notre pays est très mal classé lorsqu'on examine le bien-vieillir.
«Jusqu'à présent, lorsqu'on voulait se faire une idée de l'état de santé d'une population, on ne pouvait étudier que le taux de mortalité, un indicateur purement quantitatif», souligne Jean-Marie Robine, directeur de recherche à l'Inserm. Les épidémiologistes disposent désormais d'une information qualitative supplémentaire.
Lancée en 2008, une enquête à grande échelle menée dans 27 pays de l'Union européenne permet de mesurer l'espérance de vie sans incapacité, c'est-à-dire sans limitation ressentie dans la vie quotidienne, le travail et les déplacements. Ces résultats rendus publics aujourd'hui sont une incitation forte à l'action politique pour reculer le plus tard possible l'âge d'entrée dans la dépendance.
Influence du niveau culturel
En France, l'espérance de vie sans incapacité était de 63,5 ans en 2010. Sur ce critère, notre pays se situe en dixième position en Europe, derrière Malte (71,6 ans sans limitation dans les activités usuelles), la Suède, la Grèce ou la Bulgarie (où l'espérance de vie est pourtant parmi les plus courtes d'Europe).
Une Française peut donc espérer vivre 75 % de sa vie sans incapacité, alors que cette proportion monte à 85 % pour une Suédoise. «La France fait partie des pays qui connaissent une expansion de l'incapacité, avec de plus en plus de personnes âgées dépendantes», résume Jean-Marie Robine.
Les hommes, quant à eux, ont une espérance de vie de 78,2 ans en France en 2010, ce qui les place en huitième position en Europe, après la Suède et l'Espagne notamment. Leur longévité moyenne en bonne santé est de 61,9 ans (en baisse depuis 2008). Partout en Europe, les femmes vivent d'ailleurs plus longtemps que les hommes et passent une plus grande proportion de leur vie avec une incapacité.
Plusieurs facteurs peuvent expliquer ces différences entre pays. Une étude de l'Institut national d'études démographiques (Ined) a montré que le niveau culturel influe sur l'âge d'entrée dans la dépendance. Plus on est éduqué, plus la perte d'autonomie sera tardive.
La prévention des maladies cardio-vasculaires, la promotion de l'activité physique à la maturité et même à l'âge avancé, la qualité de l'alimentation et le maintien des activités sociales jouent également un rôle majeur.
Indicateur subjectif
«Cette comparaison internationale est très difficile à interpréter, car elle repose sur un indicateur subjectif», nuance toutefois le Pr Olivier Saint-Jean, gériatre et chef de service à l'hôpital Georges-Pompidou à Paris. Dans chaque pays, la même question a été posée par les chercheurs européens: «Dans quelle mesure avez-vous été limité(e) depuis au moins six mois, à cause d'un problème de santé, dans les activités que les gens font habituellement?»
Or, selon le Pr Saint-Jean, «la perception de l'incapacité peut être très différente selon les cultures. Cela explique en grande partie le nombre important de paradoxes dans ces résultats».
L'étude a au moins le mérite de replacer la perte d'autonomie dans le débat. Alors que l'objectif européen est d'augmenter l'espérance de vie de deux ans d'ici à 2020, les chercheurs remettent l'accent sur l'importance des politiques de santé publique et de prévention, pour améliorer la qualité de vie des personnes âgées. Selon l'Inspection générale des affaires sociales, le nombre de personnes dépendantes doublera d'ici à 2060 pour passer de 1,15 million de personnes à 2,3 millions.
Le Figaro
Par Delphine Chayet - le 18/04/2012
INFOGRAPHIE - Champions de la longévité en Europe, les Français sont mal classés pour ce qui est du bien-vieillir, sans incapacité.
D'année en année, l'espérance de vie des Français continue à s'allonger. Hélas, ce temps gagné correspond à des mois passés en mauvaise santé. La France se trouve ainsi dans une situation paradoxale. Alors qu'il est le premier en Europe pour l'espérance de vie des femmes, qui atteint 85,3 ans en 2010, notre pays est très mal classé lorsqu'on examine le bien-vieillir.
«Jusqu'à présent, lorsqu'on voulait se faire une idée de l'état de santé d'une population, on ne pouvait étudier que le taux de mortalité, un indicateur purement quantitatif», souligne Jean-Marie Robine, directeur de recherche à l'Inserm. Les épidémiologistes disposent désormais d'une information qualitative supplémentaire.
Lancée en 2008, une enquête à grande échelle menée dans 27 pays de l'Union européenne permet de mesurer l'espérance de vie sans incapacité, c'est-à-dire sans limitation ressentie dans la vie quotidienne, le travail et les déplacements. Ces résultats rendus publics aujourd'hui sont une incitation forte à l'action politique pour reculer le plus tard possible l'âge d'entrée dans la dépendance.
Influence du niveau culturel
En France, l'espérance de vie sans incapacité était de 63,5 ans en 2010. Sur ce critère, notre pays se situe en dixième position en Europe, derrière Malte (71,6 ans sans limitation dans les activités usuelles), la Suède, la Grèce ou la Bulgarie (où l'espérance de vie est pourtant parmi les plus courtes d'Europe).
Une Française peut donc espérer vivre 75 % de sa vie sans incapacité, alors que cette proportion monte à 85 % pour une Suédoise. «La France fait partie des pays qui connaissent une expansion de l'incapacité, avec de plus en plus de personnes âgées dépendantes», résume Jean-Marie Robine.
Les hommes, quant à eux, ont une espérance de vie de 78,2 ans en France en 2010, ce qui les place en huitième position en Europe, après la Suède et l'Espagne notamment. Leur longévité moyenne en bonne santé est de 61,9 ans (en baisse depuis 2008). Partout en Europe, les femmes vivent d'ailleurs plus longtemps que les hommes et passent une plus grande proportion de leur vie avec une incapacité.
Plusieurs facteurs peuvent expliquer ces différences entre pays. Une étude de l'Institut national d'études démographiques (Ined) a montré que le niveau culturel influe sur l'âge d'entrée dans la dépendance. Plus on est éduqué, plus la perte d'autonomie sera tardive.
La prévention des maladies cardio-vasculaires, la promotion de l'activité physique à la maturité et même à l'âge avancé, la qualité de l'alimentation et le maintien des activités sociales jouent également un rôle majeur.
Indicateur subjectif
«Cette comparaison internationale est très difficile à interpréter, car elle repose sur un indicateur subjectif», nuance toutefois le Pr Olivier Saint-Jean, gériatre et chef de service à l'hôpital Georges-Pompidou à Paris. Dans chaque pays, la même question a été posée par les chercheurs européens: «Dans quelle mesure avez-vous été limité(e) depuis au moins six mois, à cause d'un problème de santé, dans les activités que les gens font habituellement?»
Or, selon le Pr Saint-Jean, «la perception de l'incapacité peut être très différente selon les cultures. Cela explique en grande partie le nombre important de paradoxes dans ces résultats».
L'étude a au moins le mérite de replacer la perte d'autonomie dans le débat. Alors que l'objectif européen est d'augmenter l'espérance de vie de deux ans d'ici à 2020, les chercheurs remettent l'accent sur l'importance des politiques de santé publique et de prévention, pour améliorer la qualité de vie des personnes âgées. Selon l'Inspection générale des affaires sociales, le nombre de personnes dépendantes doublera d'ici à 2060 pour passer de 1,15 million de personnes à 2,3 millions.
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
L'hôpital: reflet des maux de notre société?
Voici un sujet sur lequel je n'ai pas trouvé beaucoup d'idée... Pourriez vous me donner vos plans ou idées parce que celui-ci je le trouve as évident je ne sais pas trop comment partir
Merci à vous d'avance
Voici un sujet sur lequel je n'ai pas trouvé beaucoup d'idée... Pourriez vous me donner vos plans ou idées parce que celui-ci je le trouve as évident je ne sais pas trop comment partir
Merci à vous d'avance
Infirmière DE (Nov 2015) 
A la recherche d'un poste...
En mode préparation du concours infirmière scolaire 2016 !!
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Le pain fait partie du grpe alimentaire des céréales.Il est la base de l'alimentation et la baguette est synonyme de France.mila974 a écrit :Nouveau sujet :
Le pain
I Les besoins nutritionnels.
Un adulte a besoin 15% de protéines, 30% de lipides, 55% de glucides.
Pour les glucides, l'être humain a besoin de 2/3 de sucres lents et d'1/3 de sucres rapides.
II Les effets du pain sur la santé.
Le pain est composé d'amidon. L'amidon est un glucide lent, il apporte de l'énergie à l'organisme.
Le pain peut aussi être composé de glucides rapides comme le pain Mc Do, cela fait que l'envie de manger réapparait plus rapidement.
Voila
-
hibiscus1985
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- Messages : 168
- Inscription : 25 janv. 2012 21:03
Les bébés "médicaments"
"La précarité des jeunes face a l'emploi"
Sujet 1:
Introduction: Umut Talha, le premier bébé médicament est né en France en janvier 2011. Cette première a soulevé des questionnement d'ordre éthique Comment se déroule la conception d'un bébé médicament? Quelles sont les questions d'éthique suscitées par ce procédé?
I- Définition: appellé aussi bébé double espoir, par PMA génétiquement compatible avec son ainée afin de le guérir d'une maladie grave.Pour cela, après sa naissance, il est possible de faire une greffe de moelle osseuse ou de prélèvement du sang du cordon ombilical . Se fait par DPN et sélection d'embryon.
Encadré par la loi de bioéthique de 2004.
Les autorisations sont délivrées au cas par cas.
II- Faire naître un individu juste pour rendre service à un autre individu?
-Qu'en est-il des rapports entre fratrie(frère malade redevable, bébé médicament peut se demander si finalement il peut servir à autre chose que ça)
-Culpabilité des parents
-Risque de sélection sur critères de chance, réussite, niveau sociale
-Dérives eugénisme jamais loin
Dans le cas de Umut Talha, les parents souhaitaient de toute manière agrandir la famille.Alors l'arivée d'un autre enfant qui de plus peut guérir sa soeur etait plus que bienvenue. Ce qui n'est sans doute pas le cas d'autres famille.Le rôle du personnel médical et paramédical dans les questions d'ordre éthique est de respecter la loi sans porter de jugement sur les procédés ni sur les patients.
Sujet 2:
La précarité est une forte incertitude d'avoir ou de récupérer une situation acceptable dans un avenir proche. Les 14-25 ans font aussi face à la précarité de l'emploi.Quelles sont les causes de cette précarité de l'emploi chez les jeunes?Quelles en sont les conséquences?Quelles sont les solutions apportées par la société?
Causes
-Système scolaire inadaptée entraîne échec scolaire ou voies garages inappropriée
-De plus en plus d'ainés sur le marché du travail donc plus de concurrence avec des personnes plus expermientées.
-Manque de considération des employeurs pour les jeunes sans expérience
-Etudes trop longues sans pour autant avoir de débouchés
-Certains rechignent à faire des tâches "dévalorisantes
-Plus de demandes que d'offres surtout depuis crise 2008
Conséquences
-Précarité financière, du logement, sociale.
-Solitude surtout chez les garçons(dévalorisé par les autres et eux même)
-Comportement de fuite(alcool, drogue,...), apparition de maladies psychosomatiques( depression,TAC,...)
-On reste chez les parents de plus en plus tard(
phénomène de Tanguy)
-Baisse de la consommation pour le pays
-Chômage
-Montée de la délinquance( vol, escroqueries,...)
Solutions apportées
-ARE sous condition
-Aides sociale(RSA)
-Contrats de travail adaptés(bien que critiqués) comme: CAE,CUI,... et point de rencontre, d'aide et d'information comme: CIO, Mission locale.
-CIVIS depuis la loi de l'égalité des chances et de la cohésion sociale de 2005
Le chômage touche plusieurs secteurs.La restauration-hotellerie, ou certaines professions dans la paramédial(AS, infirmière) connaissent dans certaines régions une pénurie. Il est indispensable pour donner les même chance à tous de rétablir un équilibre entre chaque secteur.
Alors? Z'en pensez quoi?
"La précarité des jeunes face a l'emploi"
Sujet 1:
Introduction: Umut Talha, le premier bébé médicament est né en France en janvier 2011. Cette première a soulevé des questionnement d'ordre éthique Comment se déroule la conception d'un bébé médicament? Quelles sont les questions d'éthique suscitées par ce procédé?
I- Définition: appellé aussi bébé double espoir, par PMA génétiquement compatible avec son ainée afin de le guérir d'une maladie grave.Pour cela, après sa naissance, il est possible de faire une greffe de moelle osseuse ou de prélèvement du sang du cordon ombilical . Se fait par DPN et sélection d'embryon.
Encadré par la loi de bioéthique de 2004.
Les autorisations sont délivrées au cas par cas.
II- Faire naître un individu juste pour rendre service à un autre individu?
-Qu'en est-il des rapports entre fratrie(frère malade redevable, bébé médicament peut se demander si finalement il peut servir à autre chose que ça)
-Culpabilité des parents
-Risque de sélection sur critères de chance, réussite, niveau sociale
-Dérives eugénisme jamais loin
Dans le cas de Umut Talha, les parents souhaitaient de toute manière agrandir la famille.Alors l'arivée d'un autre enfant qui de plus peut guérir sa soeur etait plus que bienvenue. Ce qui n'est sans doute pas le cas d'autres famille.Le rôle du personnel médical et paramédical dans les questions d'ordre éthique est de respecter la loi sans porter de jugement sur les procédés ni sur les patients.
Sujet 2:
La précarité est une forte incertitude d'avoir ou de récupérer une situation acceptable dans un avenir proche. Les 14-25 ans font aussi face à la précarité de l'emploi.Quelles sont les causes de cette précarité de l'emploi chez les jeunes?Quelles en sont les conséquences?Quelles sont les solutions apportées par la société?
Causes
-Système scolaire inadaptée entraîne échec scolaire ou voies garages inappropriée
-De plus en plus d'ainés sur le marché du travail donc plus de concurrence avec des personnes plus expermientées.
-Manque de considération des employeurs pour les jeunes sans expérience
-Etudes trop longues sans pour autant avoir de débouchés
-Certains rechignent à faire des tâches "dévalorisantes
-Plus de demandes que d'offres surtout depuis crise 2008
Conséquences
-Précarité financière, du logement, sociale.
-Solitude surtout chez les garçons(dévalorisé par les autres et eux même)
-Comportement de fuite(alcool, drogue,...), apparition de maladies psychosomatiques( depression,TAC,...)
-On reste chez les parents de plus en plus tard(
phénomène de Tanguy)-Baisse de la consommation pour le pays
-Chômage
-Montée de la délinquance( vol, escroqueries,...)
Solutions apportées
-ARE sous condition
-Aides sociale(RSA)
-Contrats de travail adaptés(bien que critiqués) comme: CAE,CUI,... et point de rencontre, d'aide et d'information comme: CIO, Mission locale.
-CIVIS depuis la loi de l'égalité des chances et de la cohésion sociale de 2005
Le chômage touche plusieurs secteurs.La restauration-hotellerie, ou certaines professions dans la paramédial(AS, infirmière) connaissent dans certaines régions une pénurie. Il est indispensable pour donner les même chance à tous de rétablir un équilibre entre chaque secteur.
Alors? Z'en pensez quoi?
Etudiante IFAS Brive 2012/2013
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
"Donner ou pas, l'important est de savoir"
Intro : Le 3 Avril, Une greffe de cœur n'a pu être réalisée à cause d'une grève des aiguilleurs du ciel ! Don d'organe : def, prélèvement d'organes + tissus corps humain pour traiter patients dont organes essentiels sont gravement atteints. Possible sur personne en mort encéphalique, sur personnes vivantes ou sur une personne décédé ayant fait un arrêt cardiaque
I/ le don
1.Législation : Depis loi Caillavet de 1976 sur principe du consentement présumé ... Registre national des refus. Journée mondiale de la réflexion sur dons d'organes : 17 Octobre.
2. qui peut donner? tout le monde pas de limite d'age, autorisation parents ou tuteurs légaux pour mineurs, aucun état de santé n'est un obstacle au prélèvement, à priori.
3. La demande augmente, les listes d'attentes s'allongent : augmentation besoins : 200-2010 + 51% de personnes prélevées et + 47% de nombre de greffes car succès greffe, vieillissement population et augmentation situation où greffe est nécessaire.
II/ L'importance du savoir :
1. 1 prélèvement possible sur 3 n'est pas réalisé car refusé par la famille qui souvent ignore la décision du défunt et préfère dire non pour ne pas regretter.
2. Pénurie d'organes : moins d'1% de mort encéphalique à l'hôpital pourtant représente 92.5% des prélèvements.
3. On cherche alors d'autres catégories possibles de donneurs : ceux qui donnent de leur vivant pour la famille et maintenant pour des amis proches (amitié de + de 2 ans) et prélèvements sur défunt ayant fait arrêt cardiaque. Ces groupes de donneurs donne principalement un rein.
CCL : Aujourd'hui, la réflexion sur le don d'organe est plus qu'importante en effet, les listes d'attentes s'allongent et laissent parfois les personnes en attente de greffes attendre des mois à des années. Il est donc très important d'en parler à sa famille ou ses proches, en effet une conversation de quelques minutes peut éventuellement sauver des vies !
Intro : Le 3 Avril, Une greffe de cœur n'a pu être réalisée à cause d'une grève des aiguilleurs du ciel ! Don d'organe : def, prélèvement d'organes + tissus corps humain pour traiter patients dont organes essentiels sont gravement atteints. Possible sur personne en mort encéphalique, sur personnes vivantes ou sur une personne décédé ayant fait un arrêt cardiaque
I/ le don
1.Législation : Depis loi Caillavet de 1976 sur principe du consentement présumé ... Registre national des refus. Journée mondiale de la réflexion sur dons d'organes : 17 Octobre.
2. qui peut donner? tout le monde pas de limite d'age, autorisation parents ou tuteurs légaux pour mineurs, aucun état de santé n'est un obstacle au prélèvement, à priori.
3. La demande augmente, les listes d'attentes s'allongent : augmentation besoins : 200-2010 + 51% de personnes prélevées et + 47% de nombre de greffes car succès greffe, vieillissement population et augmentation situation où greffe est nécessaire.
II/ L'importance du savoir :
1. 1 prélèvement possible sur 3 n'est pas réalisé car refusé par la famille qui souvent ignore la décision du défunt et préfère dire non pour ne pas regretter.
2. Pénurie d'organes : moins d'1% de mort encéphalique à l'hôpital pourtant représente 92.5% des prélèvements.
3. On cherche alors d'autres catégories possibles de donneurs : ceux qui donnent de leur vivant pour la famille et maintenant pour des amis proches (amitié de + de 2 ans) et prélèvements sur défunt ayant fait arrêt cardiaque. Ces groupes de donneurs donne principalement un rein.
CCL : Aujourd'hui, la réflexion sur le don d'organe est plus qu'importante en effet, les listes d'attentes s'allongent et laissent parfois les personnes en attente de greffes attendre des mois à des années. Il est donc très important d'en parler à sa famille ou ses proches, en effet une conversation de quelques minutes peut éventuellement sauver des vies !
IDE depuis 2015
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Pour le sujet sur le pain j'ai fait une relation avec la religion en considérant le pain comme l'alimentation car dans la cène c'est ce qu'il représente
en grand 1 j'ai fait la situation en france et en grand 2 la situation dans le monde puis en grand 3 les solution en parlant des associations et les plans de prévention
Vous en pensez quoi ?
en grand 1 j'ai fait la situation en france et en grand 2 la situation dans le monde puis en grand 3 les solution en parlant des associations et les plans de prévention
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hibiscus1985
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
juju02250 a écrit :L'hôpital: reflet des maux de notre société?
Voici un sujet sur lequel je n'ai pas trouvé beaucoup d'idée... Pourriez vous me donner vos plans ou idées parce que celui-ci je le trouve as évident je ne sais pas trop comment partir
Merci à vous d'avance
Je sais quoi dire mais pas comment le reformuler.Bon je me lance
Intro: L'hôpital est un lieu destiné à prendre un charge des personnes atteintes de pathologies et de traumatismes trop importantes pour pouvoir être traité à domicile ou dans un cabinet médical. Est-ce pour autant le reflet des maux dans notre société? Dans un premier lieu, il s'agit d'analyser les missions d'un hôpital. Ensuite, il s'agit de voir en quoi c'est un lieu qui reflète les maux de notre société.
I- Missions de SPH.
Sructure de soin
Mission d'enseignement
Mission de recherche
Mission de prévention et d'éducation à la santé
Lieu où exercent nombreux professionnels( chirurgirens, directeurs, infirmiers,..)
Lieu de vie qui symbolise la vie(maternité)
Lieu où l'accueil et la charité sont prônés
Les inégalités tombent car tous pareil fâce à la maladie.
Lieu où on se fait soigner et où on aspire à la guérison(parfois) donc aspect positif
II-Pourquoi reflète les maux de notre société?
Présence de personnes atteintes de maladies, accidents, violence,...
Met à jour la detresse, la solitude, la précarité ou les onflits entre les gens(urgences accueillant des alcooliques, accidents suites à bagarre, suicides,...)
On y meurt parfois
L'image que donne un hôpital dépend du vécu, du ressenti de chaque individu.Pour moi, future infirmière, je dois m'engager à faire de mon lieu d'exercice, un lieu de soins, d'écoute, de respect entre mes futur(e)s collègues et les patients.
Etudiante IFAS Brive 2012/2013
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
c'est pas mal t'as façon d'aborder le sujet. J'avais pas mal sécher sur ce sujet mais en voyant ce que tu as écrit je me dis que c'est pas mal et que ce sont de bonnes idées
Infirmière DE (Nov 2015)
A la recherche d'un poste...
En mode préparation du concours infirmière scolaire 2016 !!
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En mode préparation du concours infirmière scolaire 2016 !!
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hibiscus1985
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Lo37,
Je trouve ton exposé très bien mais si je peux me permettre une remarque c'est celui-ci: Comme ce n'est pas précisé dans l'énoncé, tu aurais du parler aussi des autres dons( don à la recherche, don d'ovocyte, don de soi-même en tant que bénévolat ou en tant qu'infirmière,...)
C'est ce que le prof nous a dit au GRETA.Que si le sujet est vague, essayer d'élargir le plus possible l'exposé et vers la fin faire un lien avec ton futur métier.
Je trouve ton exposé très bien mais si je peux me permettre une remarque c'est celui-ci: Comme ce n'est pas précisé dans l'énoncé, tu aurais du parler aussi des autres dons( don à la recherche, don d'ovocyte, don de soi-même en tant que bénévolat ou en tant qu'infirmière,...)
C'est ce que le prof nous a dit au GRETA.Que si le sujet est vague, essayer d'élargir le plus possible l'exposé et vers la fin faire un lien avec ton futur métier.
Etudiante IFAS Brive 2012/2013
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Les bébés "médicaments"
Intro : bébés médicaments ou bébés du double espoir, issus d'une 2ème couche afin de soigner son ainée.
I/ Les faits :
1. Législation : autorisé en France. Loi de 2004 dites loi de bioéthique + 2006 : décret d'application ! Agence de biomédecine délivre autorisation au cas par cas : il faut démontrer que la maladie de l'enfant à "soigner" est incurable et entraine décès dans les premières années + consentement écrit et réitéré du couple demandeur + enquête et évaluation psychiatrique des parents.
2. Conception : FIV + double DPI pour trouver gène sain + compatible
3. Dates : 1er bébé "médicament" dans le monde en 2000 : Adam né pour sauver sa soeur Molly aux USA. En france le 1er bébé "médicament" est né le 26 Janvier 2011, issues de parents turcs celui ci s'appelant Umut-Talha ce qui signifie espoir en Français, né en très bonne santé !
II/ Ethique :
1. statut du bébé
2. si échec, culpabilité, regret parents
3 attention ! eugénisme ? DPI : un embryon sélectionné parmi plusieurs
CCL : aujourd'hui on parle de banques privées de sang de cordons ombilicaux présentes en Amérique, angleterre, belgique, suisse ... celle ci étant payante : de 1000 à 3 500 €. Pas encore en France car pouvoirs publiques veulent banques publiques !! Qu'est ce que ce nouveau marché du sang de cordons ombilicaux ?
Intro : bébés médicaments ou bébés du double espoir, issus d'une 2ème couche afin de soigner son ainée.
I/ Les faits :
1. Législation : autorisé en France. Loi de 2004 dites loi de bioéthique + 2006 : décret d'application ! Agence de biomédecine délivre autorisation au cas par cas : il faut démontrer que la maladie de l'enfant à "soigner" est incurable et entraine décès dans les premières années + consentement écrit et réitéré du couple demandeur + enquête et évaluation psychiatrique des parents.
2. Conception : FIV + double DPI pour trouver gène sain + compatible
3. Dates : 1er bébé "médicament" dans le monde en 2000 : Adam né pour sauver sa soeur Molly aux USA. En france le 1er bébé "médicament" est né le 26 Janvier 2011, issues de parents turcs celui ci s'appelant Umut-Talha ce qui signifie espoir en Français, né en très bonne santé !
II/ Ethique :
1. statut du bébé
2. si échec, culpabilité, regret parents
3 attention ! eugénisme ? DPI : un embryon sélectionné parmi plusieurs
CCL : aujourd'hui on parle de banques privées de sang de cordons ombilicaux présentes en Amérique, angleterre, belgique, suisse ... celle ci étant payante : de 1000 à 3 500 €. Pas encore en France car pouvoirs publiques veulent banques publiques !! Qu'est ce que ce nouveau marché du sang de cordons ombilicaux ?
IDE depuis 2015
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
merci hibiscus1985, en effet j'ai ciblé le don d'organes uniquement je vais retenter de le faire en élargissant le sujet ! merci beaucoup 
IDE depuis 2015
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Hibiscus j'ai lu ta réponse pour le don et j'adore !! Bravo, du coup j'ai bien compris ce que tu voulais dire pour parler d'autre formes de dons !!
IDE depuis 2015
Re: Fiches culture générale 2012
mila974 a écrit :je passe encore des écrits et je suis pas la seule .stepit42 a écrit :oui mais ça c'était les écrits!
ah oui dsl :/ je pensais que la question était posée pour les oraux!
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
"la précarité des jeunes face à l'emploi"
Intro : Grande déception pour certains, la précarité des jeunes face à l'emploi touche trop de personnes : insertion professionnelle tardive et difficile, diplômes trop "précis" ...
I/ Chomage des jeunes :
1. Def chomage, taux de chomage, BIT, pole emploi ....
2. jeunes sont 1ére victimes du chomage : 20 % des 15-24 ans sont au chomage
3. Je sais pas
Transition : Les plus diplômes ont parfois de grandes difficultés à s'insérer dans le monde du travail.
II/ Causes :
1. insertion professionnelle tardive : études de + en + longue
2. insertion professionnelle difficile : étudiants parfois "trop" diplomés, exemple, manque d'expérience ...
3. Pas de création d'emploi dans certains secteurs
CCL : Les jeunes ont de gros soucis pour trouver du travail pourtant il existe une politique de relance économique qui propose de soutenir la consommation, création d'entreprise et favoriser la création d'emploi par des mesures d’exonérations fiscales
Pas terrible
Intro : Grande déception pour certains, la précarité des jeunes face à l'emploi touche trop de personnes : insertion professionnelle tardive et difficile, diplômes trop "précis" ...
I/ Chomage des jeunes :
1. Def chomage, taux de chomage, BIT, pole emploi ....
2. jeunes sont 1ére victimes du chomage : 20 % des 15-24 ans sont au chomage
3. Je sais pas
Transition : Les plus diplômes ont parfois de grandes difficultés à s'insérer dans le monde du travail.
II/ Causes :
1. insertion professionnelle tardive : études de + en + longue
2. insertion professionnelle difficile : étudiants parfois "trop" diplomés, exemple, manque d'expérience ...
3. Pas de création d'emploi dans certains secteurs
CCL : Les jeunes ont de gros soucis pour trouver du travail pourtant il existe une politique de relance économique qui propose de soutenir la consommation, création d'entreprise et favoriser la création d'emploi par des mesures d’exonérations fiscales
Pas terrible
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