Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités 2012
POWERtabs, un complément alimentaire dangereux
Destination Santé – mar. 24 avr. 2012
La Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) procède au retrait du complément alimentaire POWERtabs, vendu jusqu'à présent sans autorisation en France. Ce produit, présenté comme « un mélange de plantes naturelles » et un « tonique sexuel » destiné aux hommes, entraînerait des troubles cardiovasculaires.
La DGCCRF met en garde sur les risques pour la santé liés à la prise du POWERtabs. Après analyse de ce produit, elle a découvert la présence d'une substance non autorisée, nommée dithio desmethyl carbodenafil, responsable de troubles cardiovasculaires. Elle recommande donc « aux consommateurs qui en détiendraient de ne plus le consommer et de consulter leur médecin en cas de symptômes inhabituels ».
Interdit à la vente
Les compléments alimentaires sont souvent présentés comme « contenant uniquement des substances naturelles ». Or, d'après la DGCCRF, ils sont régulièrement l'objet « d'adjonction non déclarée de substances chimiques ».
C'est pourquoi ce produit « n'a pas fait l'objet de la déclaration prévue par la réglementation en vigueur. En effet, nous précise la DGCCRF, « tous les compléments alimentaires doivent faire l'objet d'une autorisation de mise en vente, POWERtabs était donc vendu sans autorisation en France ».
La DGCCRF demande le retrait et le rappel des produits suivants :
- POWERtabs conditionnés en boîtes de 10 capsules, date limite d'utilisation optimale décembre 2013 ;
- POWERtabs conditionnés en boîtes de 20 capsules, date limite d'utilisation optimale décembre 2013 ;
- POWERtabs conditionnés en emballages à coques de 2 capsules, date limite d'utilisation optimale janvier 2015.
Pour en savoir plus, n'hésitez pas à consulter le site de la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes.
Destination Santé – mar. 24 avr. 2012
La Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) procède au retrait du complément alimentaire POWERtabs, vendu jusqu'à présent sans autorisation en France. Ce produit, présenté comme « un mélange de plantes naturelles » et un « tonique sexuel » destiné aux hommes, entraînerait des troubles cardiovasculaires.
La DGCCRF met en garde sur les risques pour la santé liés à la prise du POWERtabs. Après analyse de ce produit, elle a découvert la présence d'une substance non autorisée, nommée dithio desmethyl carbodenafil, responsable de troubles cardiovasculaires. Elle recommande donc « aux consommateurs qui en détiendraient de ne plus le consommer et de consulter leur médecin en cas de symptômes inhabituels ».
Interdit à la vente
Les compléments alimentaires sont souvent présentés comme « contenant uniquement des substances naturelles ». Or, d'après la DGCCRF, ils sont régulièrement l'objet « d'adjonction non déclarée de substances chimiques ».
C'est pourquoi ce produit « n'a pas fait l'objet de la déclaration prévue par la réglementation en vigueur. En effet, nous précise la DGCCRF, « tous les compléments alimentaires doivent faire l'objet d'une autorisation de mise en vente, POWERtabs était donc vendu sans autorisation en France ».
La DGCCRF demande le retrait et le rappel des produits suivants :
- POWERtabs conditionnés en boîtes de 10 capsules, date limite d'utilisation optimale décembre 2013 ;
- POWERtabs conditionnés en boîtes de 20 capsules, date limite d'utilisation optimale décembre 2013 ;
- POWERtabs conditionnés en emballages à coques de 2 capsules, date limite d'utilisation optimale janvier 2015.
Pour en savoir plus, n'hésitez pas à consulter le site de la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes.
l' Ailge: TP:8.50 CG:13 ORAL:16.50 26 eme sr list comp PRISE 
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente
Re: Actualités 2012
Don de sang : le rôle essentiel des étudiants
L’Etablissement français du Sang (EFS) mobilise les étudiants. Elle veut davantage les inciter à donner leur sang. Pour cela, elle vient d’ailleurs de lancer une enquête qui se déroulera jusqu’à la fin du mois d’avril, pour mieux connaître cette population.
En 2011, en France, 413 000 donneurs de sang appartenaient à la tranche d’âge des 18-24 ans. Ils ont représenté ainsi 24% des donneurs sur un total de 1 725 000 en France. « Ces jeunes sont un potentiel important », explique l’EFS. « En effet, ils ont été 53% des nouveaux donneurs en 2011. Le don de sang est un geste qui a du sens pour les 18-19 ans notamment. Ils considèrent ce geste comme un premier acte citoyen. »
C’est pourquoi l’EFS veut en savoir plus sur la population étudiante. Ses responsables ont donc décidé de lancer une enquête auprès de cette cible privilégiée. « Tous les étudiants sont invités à répondre à un questionnaire en ligne. Cette enquête vise à mieux cerner leurs connaissances et leurs attentes », explique l’EFS. Disponible jusqu’à la fin du mois d’avril via www.etudiant.dondusang.net , cette étude devrait livrer ses premiers enseignements au mois de juin.
Pour tout savoir sur le don de sang, rendez-vous sur le site www.dondusang.net. Vous trouverez l’adresse des différents lieux de collecte à la rubrique Où donner ? Par ailleurs, l’EFS a mis en place sur son site internet une météo du sang. Cinq niveaux ont été établis :
- Stable ;
- Fragile ;
- Très fragile ;
- Urgent ;
- Très urgent.
Actuellement, la situation est fragile. L’EFS précise d’ailleurs « surveiller de très près le nombre de dons réalisés. Restons vigilants : 10 000 dons sont nécessaires chaque jour pour répondre aux besoins des malades ».
L’Etablissement français du Sang (EFS) mobilise les étudiants. Elle veut davantage les inciter à donner leur sang. Pour cela, elle vient d’ailleurs de lancer une enquête qui se déroulera jusqu’à la fin du mois d’avril, pour mieux connaître cette population.
En 2011, en France, 413 000 donneurs de sang appartenaient à la tranche d’âge des 18-24 ans. Ils ont représenté ainsi 24% des donneurs sur un total de 1 725 000 en France. « Ces jeunes sont un potentiel important », explique l’EFS. « En effet, ils ont été 53% des nouveaux donneurs en 2011. Le don de sang est un geste qui a du sens pour les 18-19 ans notamment. Ils considèrent ce geste comme un premier acte citoyen. »
C’est pourquoi l’EFS veut en savoir plus sur la population étudiante. Ses responsables ont donc décidé de lancer une enquête auprès de cette cible privilégiée. « Tous les étudiants sont invités à répondre à un questionnaire en ligne. Cette enquête vise à mieux cerner leurs connaissances et leurs attentes », explique l’EFS. Disponible jusqu’à la fin du mois d’avril via www.etudiant.dondusang.net , cette étude devrait livrer ses premiers enseignements au mois de juin.
Pour tout savoir sur le don de sang, rendez-vous sur le site www.dondusang.net. Vous trouverez l’adresse des différents lieux de collecte à la rubrique Où donner ? Par ailleurs, l’EFS a mis en place sur son site internet une météo du sang. Cinq niveaux ont été établis :
- Stable ;
- Fragile ;
- Très fragile ;
- Urgent ;
- Très urgent.
Actuellement, la situation est fragile. L’EFS précise d’ailleurs « surveiller de très près le nombre de dons réalisés. Restons vigilants : 10 000 dons sont nécessaires chaque jour pour répondre aux besoins des malades ».
l' Ailge: TP:8.50 CG:13 ORAL:16.50 26 eme sr list comp PRISE
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente
Re: Actualités 2012
Maltraitance : « Les Français ont un problème avec leurs vieux »
Moins choquante que la violence physique, la maltraitance institutionnelle, plus insidieuse, est certainement davantage répandue. Grand-mère réveillée en pleine nuit pour la toilette, vieux monsieur délaissé, oublié dans le noir, traitement médical aléatoire pour l’un, mépris du choix de l’autre, par besoin d’efficacité ou automatisme...
A côté des paroles infantilisantes (« La mamie, elle aura pas de dessert si elle n’est pas sage »), il est tout un ensemble de gestes dégradants que le personnel des maisons de retraites accomplit mécaniquement, par manque de temps – et résignation.
C’est en tout cas le constat qu’ont fait François Nénin, journaliste, et Sophie Lapart, aide-soignante, au terme d’une enquête sur les établissements d’accueil pour personnes âgées.
Dans « L’Or Gris » (paru mercredi), ils montrent comment la marchandisation de la vieillesse rapporte. Et comment rentabilité devient synonyme de maltraitance. La cause du mal ? Les sous-effectifs chroniques.
Des transactions des groupes privés à la rationalisation du personnel, l’approche livrée se veut globale. Faute de chiffre, l’ampleur du phénomène est difficile à mesurer. Un indicateur tout de même : l’Afpap, Association française de protection et d’assistance aux personnes âgées, reçoit 6 000 appels par an.
Pour les auteurs de « L’Or gris », c’est tout le fonctionnement des maisons de retraites, qui en vient à peser les portions de fromages et faire des économies sur le matériel de soin qui est, potentiellement, porteur de maltraitance.
Rue89 : Quelle a été le point de départ du livre ?
Sophie Lapart : Au printemps 2009, j’ai découvert un salarié maltraitant dans l’établissement où je travaillais. Nous avions des difficultés à le faire licencier. Je sentais que l’appui d’un journaliste m’aiderait, puis j’ai voulu qu’on aille plus loin, j’avais la certitude que ce n’était pas un cas isolé.
Comment s’est déroulée l’enquête ?
François Nénin : J’ai travaillé avec des associations et étudié une vingtaine d’établissements pour lesquels il y avait eu des signalements, et j’en ai visité certains en me faisant passer pour un parent. J’ai aussi recueilli de nombreux témoignages de familles, de professionnels et j’ai épluché les rapports des Agences régionales de Santé qui explorent tous les aspects du fonctionnement des établissements.
Quelle est l’ampleur du phénomène ?
F.N. : Certains parlent de 70% d’établissements concernés, d’autres de 5%, ce qui représente tout de même 32 000 résidents... La vérité se situe certainement entre les deux. C’est une réalité très difficile à mesurer. Je ne peux pas généraliser mais le système en place produit de la maltraitance.
S.L. : Notre démarche n’était pas quantitative mais plutôt d’interpeller la société, d’expliquer ce qu’il se passe. Quand bien même il resterait un seul établissement maltraitant, ce serait inacceptable.
Avez-vous eu des difficultés à trouver des témoignages de professionnels ?
F.N. : Oui, le personnel est précarisé et n’ose pas communiquer. Certains ne se rendent pas compte qu’ils sont maltraitants. Ils finissent par accepter, et ça se banalise. Et tout se passe bien sûr dans le dos des familles.
Vous êtes aide-soignante. Dans ce livre, vous portez un regard dur sur vos collègues...
S.L. : Vous trouvez ? Elles font un travail extrêmement difficile. L’idée de départ est toujours de bien faire mais tout se dilue rapidement. J’ai un regard assez dur mais je les comprends. Sur une situation de maltraitance, ce qui m’intéresse, c’est de comprendre pourquoi le soignant en est arrivé là. C’est extrêmement compliqué.
Le manque de personnel est en cause, mais aussi sa formation, sa rémunération. Il y a peu près 1 soignant pour 9-10 résidents. L’absentéisme est un fléau lié à l’épuisement. Le sujet est connu. Les soignants en parlent peu. Il faut avoir du caractère pour s’opposer. Et puis il y a le salaire.
Comment en est-on arrivé là ?
F.N. : On est dans une logique de rentabilité. Si on compare avec nos voisins européens, la France est le pays qui a le taux d’encadrement le plus faible. Cela engendre le glissement de tâche, la délégation d’actes médicaux, la surmédicamentation qui rend les gens grabataires – et qui permet de fonctionner avec moins de personnel.
Votre livre laisse apparaître un système de responsabilité complexe...
F.N. : L’Etat a un rôle énorme car c’est à lui de protéger les plus faibles et de prendre des mesures coercitives. Et il y a le poids des hommes d’affaires sans scrupules qui se sont engouffrés dans la brèche pour faire de l’argent. La famille est aussi partie prenante car moins elle est présente, plus cela laisse de place à la maltraitance. Et nous aussi les journalistes, on ne fait pas assez notre travail d’enquête sur ce secteur.
Tout le monde a un peu démissionné. Les Français ont un problème avec leurs vieux.
S.L. : La première forme de maltraitance, c’est l’existence même de maisons de retraite telles qu’elles sont pensées aujourd’hui. La situation est vraiment complexe. Respecter les personnes vieillissantes, c’est se mettre à leur rythme. Mais le système est très rigide et ne correspond pas aux besoins. Et puis, on sent très vite que les gens n’ont pas trop envie de savoir.
Vous écrivez qu’il y a un déni autour des mauvaises pratiques, mais ce n’est pas nouveau. Pourquoi cela n’a pas évolué ?
F.N. : L’opinion publique ne porte pas ce besoin de dignité pour les personnes âgées et donc les politiques ne s’en emparent pas. On est dans l’anti-chambre de la mort, on pense que les combats ne méritent plus d’être menés. Et surtout, les vieux, c’est un gisement qui n’est pas prêt de se tarir dont peut en tirer un maximum de bénéfices.
Quelle serait la solution ?
F.N. : Plus de contrôle et de vraies condamnations pour les cas graves. Actuellement, le secteur n’est pas régulé, il faudrait peut-être des quotas d’encadrement comme en crèches.
S.L. : Dans une maison de retraite, il y a des personnes en fin de vie, avec des pathologies très lourdes et d’autres encore alertes. Toute la difficulté est de les faire cohabiter. Mais avec les rythmes imposés, c’est impossible. Il faut plus de personnels pour adapter la prise en charge. Ça a l’air simple mais c’est très complexe.
Par exemple, l’animation est souvent très infantilisante. Tous les résident sont obligés d’y participer, qu’ils soient en train de dormir ou préfèrent lire dans leur chambre. A moins que le personnel se mette dans la « désobéissance ». Mais le système demande au soignant d’être rentable et le détourne de sa fonction de soin.
Qu’est-ce que vous attendez de ce livre ?
F.N. : Cette enquête m’a révolté, j’étais dans un état d’énervement et de colère tout le temps. Je souhaite une prise de conscience de l’opinion publique, un débat. Je voudrais que les groupes privés qui n’apportent pas tout le confort soient mis devant leurs responsabilités. Aujourd’hui, le vieux c’est l’autre, mais demain, c’est nous.
S.L. : Les Français ont un problème avec leurs vieux. J’aimerais un regard différent sur les personnes âgées. Si la même chose se passait aujourd’hui dans les crèches, on aurait beaucoup plus de réactions.
Moins choquante que la violence physique, la maltraitance institutionnelle, plus insidieuse, est certainement davantage répandue. Grand-mère réveillée en pleine nuit pour la toilette, vieux monsieur délaissé, oublié dans le noir, traitement médical aléatoire pour l’un, mépris du choix de l’autre, par besoin d’efficacité ou automatisme...
A côté des paroles infantilisantes (« La mamie, elle aura pas de dessert si elle n’est pas sage »), il est tout un ensemble de gestes dégradants que le personnel des maisons de retraites accomplit mécaniquement, par manque de temps – et résignation.
C’est en tout cas le constat qu’ont fait François Nénin, journaliste, et Sophie Lapart, aide-soignante, au terme d’une enquête sur les établissements d’accueil pour personnes âgées.
Dans « L’Or Gris » (paru mercredi), ils montrent comment la marchandisation de la vieillesse rapporte. Et comment rentabilité devient synonyme de maltraitance. La cause du mal ? Les sous-effectifs chroniques.
Des transactions des groupes privés à la rationalisation du personnel, l’approche livrée se veut globale. Faute de chiffre, l’ampleur du phénomène est difficile à mesurer. Un indicateur tout de même : l’Afpap, Association française de protection et d’assistance aux personnes âgées, reçoit 6 000 appels par an.
Pour les auteurs de « L’Or gris », c’est tout le fonctionnement des maisons de retraites, qui en vient à peser les portions de fromages et faire des économies sur le matériel de soin qui est, potentiellement, porteur de maltraitance.
Rue89 : Quelle a été le point de départ du livre ?
Sophie Lapart : Au printemps 2009, j’ai découvert un salarié maltraitant dans l’établissement où je travaillais. Nous avions des difficultés à le faire licencier. Je sentais que l’appui d’un journaliste m’aiderait, puis j’ai voulu qu’on aille plus loin, j’avais la certitude que ce n’était pas un cas isolé.
Comment s’est déroulée l’enquête ?
François Nénin : J’ai travaillé avec des associations et étudié une vingtaine d’établissements pour lesquels il y avait eu des signalements, et j’en ai visité certains en me faisant passer pour un parent. J’ai aussi recueilli de nombreux témoignages de familles, de professionnels et j’ai épluché les rapports des Agences régionales de Santé qui explorent tous les aspects du fonctionnement des établissements.
Quelle est l’ampleur du phénomène ?
F.N. : Certains parlent de 70% d’établissements concernés, d’autres de 5%, ce qui représente tout de même 32 000 résidents... La vérité se situe certainement entre les deux. C’est une réalité très difficile à mesurer. Je ne peux pas généraliser mais le système en place produit de la maltraitance.
S.L. : Notre démarche n’était pas quantitative mais plutôt d’interpeller la société, d’expliquer ce qu’il se passe. Quand bien même il resterait un seul établissement maltraitant, ce serait inacceptable.
Avez-vous eu des difficultés à trouver des témoignages de professionnels ?
F.N. : Oui, le personnel est précarisé et n’ose pas communiquer. Certains ne se rendent pas compte qu’ils sont maltraitants. Ils finissent par accepter, et ça se banalise. Et tout se passe bien sûr dans le dos des familles.
Vous êtes aide-soignante. Dans ce livre, vous portez un regard dur sur vos collègues...
S.L. : Vous trouvez ? Elles font un travail extrêmement difficile. L’idée de départ est toujours de bien faire mais tout se dilue rapidement. J’ai un regard assez dur mais je les comprends. Sur une situation de maltraitance, ce qui m’intéresse, c’est de comprendre pourquoi le soignant en est arrivé là. C’est extrêmement compliqué.
Le manque de personnel est en cause, mais aussi sa formation, sa rémunération. Il y a peu près 1 soignant pour 9-10 résidents. L’absentéisme est un fléau lié à l’épuisement. Le sujet est connu. Les soignants en parlent peu. Il faut avoir du caractère pour s’opposer. Et puis il y a le salaire.
Comment en est-on arrivé là ?
F.N. : On est dans une logique de rentabilité. Si on compare avec nos voisins européens, la France est le pays qui a le taux d’encadrement le plus faible. Cela engendre le glissement de tâche, la délégation d’actes médicaux, la surmédicamentation qui rend les gens grabataires – et qui permet de fonctionner avec moins de personnel.
Votre livre laisse apparaître un système de responsabilité complexe...
F.N. : L’Etat a un rôle énorme car c’est à lui de protéger les plus faibles et de prendre des mesures coercitives. Et il y a le poids des hommes d’affaires sans scrupules qui se sont engouffrés dans la brèche pour faire de l’argent. La famille est aussi partie prenante car moins elle est présente, plus cela laisse de place à la maltraitance. Et nous aussi les journalistes, on ne fait pas assez notre travail d’enquête sur ce secteur.
Tout le monde a un peu démissionné. Les Français ont un problème avec leurs vieux.
S.L. : La première forme de maltraitance, c’est l’existence même de maisons de retraite telles qu’elles sont pensées aujourd’hui. La situation est vraiment complexe. Respecter les personnes vieillissantes, c’est se mettre à leur rythme. Mais le système est très rigide et ne correspond pas aux besoins. Et puis, on sent très vite que les gens n’ont pas trop envie de savoir.
Vous écrivez qu’il y a un déni autour des mauvaises pratiques, mais ce n’est pas nouveau. Pourquoi cela n’a pas évolué ?
F.N. : L’opinion publique ne porte pas ce besoin de dignité pour les personnes âgées et donc les politiques ne s’en emparent pas. On est dans l’anti-chambre de la mort, on pense que les combats ne méritent plus d’être menés. Et surtout, les vieux, c’est un gisement qui n’est pas prêt de se tarir dont peut en tirer un maximum de bénéfices.
Quelle serait la solution ?
F.N. : Plus de contrôle et de vraies condamnations pour les cas graves. Actuellement, le secteur n’est pas régulé, il faudrait peut-être des quotas d’encadrement comme en crèches.
S.L. : Dans une maison de retraite, il y a des personnes en fin de vie, avec des pathologies très lourdes et d’autres encore alertes. Toute la difficulté est de les faire cohabiter. Mais avec les rythmes imposés, c’est impossible. Il faut plus de personnels pour adapter la prise en charge. Ça a l’air simple mais c’est très complexe.
Par exemple, l’animation est souvent très infantilisante. Tous les résident sont obligés d’y participer, qu’ils soient en train de dormir ou préfèrent lire dans leur chambre. A moins que le personnel se mette dans la « désobéissance ». Mais le système demande au soignant d’être rentable et le détourne de sa fonction de soin.
Qu’est-ce que vous attendez de ce livre ?
F.N. : Cette enquête m’a révolté, j’étais dans un état d’énervement et de colère tout le temps. Je souhaite une prise de conscience de l’opinion publique, un débat. Je voudrais que les groupes privés qui n’apportent pas tout le confort soient mis devant leurs responsabilités. Aujourd’hui, le vieux c’est l’autre, mais demain, c’est nous.
S.L. : Les Français ont un problème avec leurs vieux. J’aimerais un regard différent sur les personnes âgées. Si la même chose se passait aujourd’hui dans les crèches, on aurait beaucoup plus de réactions.
AP-HP : ESI 2013-2016
IN CHA' ALLAH que tout ce passe bien.
IN CHA' ALLAH que tout ce passe bien.
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
coucou tout le monde!!!!
allez je me lance sur le sujet bien viellir
Une étude a montré dernièrment que nous vivons plus longtemps mais moins bien qu'avant. Quelles en sont les causes, et comment amélirorer la qualité de vie de nos séniors ?
1 CAUSES
Personnes agées = solitude
Plus on vit longtemps plus nous sommes succeptible de dévelloper des maladies
inflation des prix, le montant des retraites ne suffisent plus pour certains de vivre correctement.
Dépendance physique liés à la viellesse (par ex ne peut plus faire le ménage comme avant)
2 SOLUTIONS
pour la solitude
Insciter les personnes agées a fréquenter des lieux de vie comme les centre de 3eme age
sensibiliser l'entourage par des campagnes d'informations
Creer une tournée par des équipes spécialisées pour leur rendre visite.
Pour la maladie :
On ne peut pas éviter une maladie, par contre une bonne hygiène de vie permet d'éviter certaines maladie. Aussi, des examens réguliers permets de prendre des précautions avant d'en arriver à un stade critique.
Pour l'inflation des prix :
augmenter les retraites selon l'inflation, aide de l'état pour subvenir à leurs besoins primaires (nourrir, loger etc....)
dépendance physique :
meileure prise en charge des aides à domicile...
Le bien veillir demande une solidarité entre les générations.
Cependant, il faut que la personne concernée accepte de prendre des années. Le psychique est important , pour accepter que nous prenons de l'age et que nous ne pouvons plus tout faire " comme avant" . Il est regrettable de constater que même de veillir bien est interdit aux personnes avec peu de ressources.
allez je me lance sur le sujet bien viellir
Une étude a montré dernièrment que nous vivons plus longtemps mais moins bien qu'avant. Quelles en sont les causes, et comment amélirorer la qualité de vie de nos séniors ?
1 CAUSES
Personnes agées = solitude
Plus on vit longtemps plus nous sommes succeptible de dévelloper des maladies
inflation des prix, le montant des retraites ne suffisent plus pour certains de vivre correctement.
Dépendance physique liés à la viellesse (par ex ne peut plus faire le ménage comme avant)
2 SOLUTIONS
pour la solitude
Insciter les personnes agées a fréquenter des lieux de vie comme les centre de 3eme age
sensibiliser l'entourage par des campagnes d'informations
Creer une tournée par des équipes spécialisées pour leur rendre visite.
Pour la maladie :
On ne peut pas éviter une maladie, par contre une bonne hygiène de vie permet d'éviter certaines maladie. Aussi, des examens réguliers permets de prendre des précautions avant d'en arriver à un stade critique.
Pour l'inflation des prix :
augmenter les retraites selon l'inflation, aide de l'état pour subvenir à leurs besoins primaires (nourrir, loger etc....)
dépendance physique :
meileure prise en charge des aides à domicile...
Le bien veillir demande une solidarité entre les générations.
Cependant, il faut que la personne concernée accepte de prendre des années. Le psychique est important , pour accepter que nous prenons de l'age et que nous ne pouvons plus tout faire " comme avant" . Il est regrettable de constater que même de veillir bien est interdit aux personnes avec peu de ressources.
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Bonjour je propose un nouveau sujet Lire et faire lire, que pensez vous de ce programme ?
Plaisir de lire, plaisir de partager. Lire et faire lire est un programme de développement du plaisir de la lecture et de la solidarité intergénérationnelle en direction des enfants fréquentant les écoles primaires et autres structures éducatives (centres de loisirs, crèches, bibliothèques..).
Intro : C'est réellement avec l'ère des Lumières que la lecture c'est propagé à l'ensemble de la population avec le développement de l'Encyclopédie.Tout d'abord nous définirons à qui profite ce programme et quels en sont les avantages.
1) A qui se dispositif est-il destiné ?
-Les enfants de tout les milieux sociaux
-Aux personnes âgées
2) Les avantages que présente cette réforme :
-peut redonner le goût à la lecture à certains enfants
-Dans les milieux défavorisés cela peut être une réel chance de s'en sortir si l'enfant présente des difficultées scolaires. En effet les enfants issus de milieux défavorisés ont parfois une scolarité perturbée à cause de difficultés sociales (manque de soutien des parents), de difficultés culturels ( barrière de la langue pour certains parents) ou à cause d'un problème psychophysiologique (dyslexie, troubles du comportements...)
-Ce programme permet aussi d'éviter l'exclusion chez certaines personnes âgées qui grâce au bénévolat, ils vont se sentir de nouveau utile.
-Ceci évite donc le risque de dépression et de suicide chez les PA
-Permet de retisser des liens entre génération. Le jeune à comme cela moins peur de la vieillesse.
-les PA font profiter de leurs experiences
-Aspect ludique qui plait aux jeunes
-permet de favoriser le goût à la litterature
CCL : En d'autre terme je pesne que cette initiative est judicieuse puisqu'elle met en place un syctème d'entraide intergénérationnelle. L'un à besoin de l'autre et vice-versa.
De plus ce programme pourrait éiter l'illetrisme qui touche 9% de la population en France et qui est source de chômage et d'exclusion. Ainsi si il y a moins d'illetrisme, il y aura moins de pauvreté et donc moins de pathologies à soigner pour les infirmières.
Qu'en pensez vous ?
Plaisir de lire, plaisir de partager. Lire et faire lire est un programme de développement du plaisir de la lecture et de la solidarité intergénérationnelle en direction des enfants fréquentant les écoles primaires et autres structures éducatives (centres de loisirs, crèches, bibliothèques..).
Intro : C'est réellement avec l'ère des Lumières que la lecture c'est propagé à l'ensemble de la population avec le développement de l'Encyclopédie.Tout d'abord nous définirons à qui profite ce programme et quels en sont les avantages.
1) A qui se dispositif est-il destiné ?
-Les enfants de tout les milieux sociaux
-Aux personnes âgées
2) Les avantages que présente cette réforme :
-peut redonner le goût à la lecture à certains enfants
-Dans les milieux défavorisés cela peut être une réel chance de s'en sortir si l'enfant présente des difficultées scolaires. En effet les enfants issus de milieux défavorisés ont parfois une scolarité perturbée à cause de difficultés sociales (manque de soutien des parents), de difficultés culturels ( barrière de la langue pour certains parents) ou à cause d'un problème psychophysiologique (dyslexie, troubles du comportements...)
-Ce programme permet aussi d'éviter l'exclusion chez certaines personnes âgées qui grâce au bénévolat, ils vont se sentir de nouveau utile.
-Ceci évite donc le risque de dépression et de suicide chez les PA
-Permet de retisser des liens entre génération. Le jeune à comme cela moins peur de la vieillesse.
-les PA font profiter de leurs experiences
-Aspect ludique qui plait aux jeunes
-permet de favoriser le goût à la litterature
CCL : En d'autre terme je pesne que cette initiative est judicieuse puisqu'elle met en place un syctème d'entraide intergénérationnelle. L'un à besoin de l'autre et vice-versa.
De plus ce programme pourrait éiter l'illetrisme qui touche 9% de la population en France et qui est source de chômage et d'exclusion. Ainsi si il y a moins d'illetrisme, il y aura moins de pauvreté et donc moins de pathologies à soigner pour les infirmières.
Qu'en pensez vous ?
IDE en Réanimation
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Dsl je n'ai pas eu le temps de venir sur le forum hier soir...
J'ai un sujet: Les hommes vivront aussi longtemps que les femmes en 2030
et
La passion dans le métier
J'ai un sujet: Les hommes vivront aussi longtemps que les femmes en 2030
et
La passion dans le métier
-
lexouille07
- Habitué
- Messages : 96
- Inscription : 13 mars 2012 12:18
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Je me lance aussi pour le bien vieillir c'est mon 1er sujet d'entrainement
Dur dur en 10 minutes!
Intro :
La france compte environ 20% de personne de plus de 65 ans. Vieillir et surtout bien vieillir devient une priorité. Mais qu'est ce que bien vieillir et surtout comment? Petite sous intro sur l'âge, quand devient on vieux?
--> âge civil, qu'on a vraiment
--> l'âge qu'on a dans la tête
Bien vieillir c'est :
1. BONNE SANTE PHYSIQUE
-activité sportive ( évite MCV, réduit ostéoporose ) comme la marche par ex ou la natation
2. BONNE SANTE "MENTALE"
- activité manuelle/culturelle (association, aller faire le marché, voir ses "copine" )
-activité familiale ( voir sa famille, garder ses petit enfant, si pas de famille, héberger un étudiant ou système des "grands parents adoptifs")
Mais parfois celà ne suffit pas et l'on est dépendant
3. SOLUTION POUR PERSONNES DEPENDANTES
- aide à la maison ( ménage, repas, ..)
- foyer pour personnes agées où celles ci gardent de l'autonomie sous surveillance
- maison de retraite
4. PREVENTION
- médicale avec les divers dépistage ( cancer, auditif.....)
Conclusion
Bien vieillir est synonyme de bonne santé physique mais aussi d'épanouissement dans sa vie et également de vie active.
Bon c'est bancal comme plan mais j'arrivais pas à trouver cause/csq Y'a encore du boulot 
Dur dur en 10 minutes!
Intro :
La france compte environ 20% de personne de plus de 65 ans. Vieillir et surtout bien vieillir devient une priorité. Mais qu'est ce que bien vieillir et surtout comment? Petite sous intro sur l'âge, quand devient on vieux?
--> âge civil, qu'on a vraiment
--> l'âge qu'on a dans la tête
Bien vieillir c'est :
1. BONNE SANTE PHYSIQUE
-activité sportive ( évite MCV, réduit ostéoporose ) comme la marche par ex ou la natation
2. BONNE SANTE "MENTALE"
- activité manuelle/culturelle (association, aller faire le marché, voir ses "copine" )
-activité familiale ( voir sa famille, garder ses petit enfant, si pas de famille, héberger un étudiant ou système des "grands parents adoptifs")
Mais parfois celà ne suffit pas et l'on est dépendant
3. SOLUTION POUR PERSONNES DEPENDANTES
- aide à la maison ( ménage, repas, ..)
- foyer pour personnes agées où celles ci gardent de l'autonomie sous surveillance
- maison de retraite
4. PREVENTION
- médicale avec les divers dépistage ( cancer, auditif.....)
Conclusion
Bien vieillir est synonyme de bonne santé physique mais aussi d'épanouissement dans sa vie et également de vie active.
Bon c'est bancal comme plan mais j'arrivais pas à trouver cause/csq
Y'a encore du boulot Montélimar : 45ème sur LP le bonheur ) 12.25 en CG, 11.50 aux TP et 19 à l'oral !
Privas : 9ème sur LP ! --> je laisse ma place!
Valence : recalée avec 8 à l'oral, 16 aux TP et 13 en CG
) 12.25 en CG, 11.50 aux TP et 19 à l'oral !Privas : 9ème sur LP ! --> je laisse ma place!
Valence : recalée avec 8 à l'oral, 16 aux TP et 13 en CG
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
"une bonne connaissance de soi et necessaire pour soigner l'autre"
intro: la connaissance de soi évolue au fil du temps par divers évènements (décès...). Permet de se positionner et d'aider autrui.
I/ La connaissance de soi:
- permet de s'auto-analyser et de se remettre en question
- permet de savoir ses qualités et défauts (et permet ainsi de les maîtriser)
- apporte confiance en soi
- permet de connaître ses limites et de garder son sang-froid en cas d'urgence ou de mauvaise situation
- permet d'accepter des remarques
- expériences antérieures considérées comme atout pour mieux avancer
II/ Nécessaire pour soigner l'autre:
- personnel soignant est confiant alors le patient lui fait aussi confiance
- permet la prise de recul par rapport à la souffrance d'un patient et permet un meilleur accompagnement
cl: résumé + nécessaire dans le métier infirmier afin de connaitre ses limites et de travailler dessus
intro: la connaissance de soi évolue au fil du temps par divers évènements (décès...). Permet de se positionner et d'aider autrui.
I/ La connaissance de soi:
- permet de s'auto-analyser et de se remettre en question
- permet de savoir ses qualités et défauts (et permet ainsi de les maîtriser)
- apporte confiance en soi
- permet de connaître ses limites et de garder son sang-froid en cas d'urgence ou de mauvaise situation
- permet d'accepter des remarques
- expériences antérieures considérées comme atout pour mieux avancer
II/ Nécessaire pour soigner l'autre:
- personnel soignant est confiant alors le patient lui fait aussi confiance
- permet la prise de recul par rapport à la souffrance d'un patient et permet un meilleur accompagnement
cl: résumé + nécessaire dans le métier infirmier afin de connaitre ses limites et de travailler dessus
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
"les mères inscrivent leurs fillettes de 6-7 ans aux concours de "miss""
intro: Phénomène répandu aux USA, le concours mini-miss arrive peu à peu en France.
Les petites filles défilent devant un jury, qui met une note suivant leur prestation physique (et petit spectacle). Elles portent des mini jupes, des robes voire des talons et portent du maquillage.
I/ Causes de ce phénomène:
- désir de la mère: envie de réaliser son rêve d'enfant (qu'elle n'a pas pu réaliser elle-même) ou envie de montrer que sa fille est la plus belle
- médias: modèle "Barbie", stars de + en + jeunes...: volonté des enfants
- moyen de gagner de l'argent
- la société: des strings, talons et soutien-gorges existent dans les magasins de vêtement pour petites filles
II/ Conséquences positives:
- peut permettre à l'enfant d'avoir esprit de compétition
- confronte dès le + jeune âge l'enfant au stress
- gain de prix et/ou d'argent
- apprend à se mettre en valeur
II/ Mais, plutôt des conséquences négatives:
- peur de décevoir leur mère
- culte de la minceur: entraîne problèmes avec la nourriture (boulimie, anorexie...) dès le + jeune âge
- ne vit pas sa vie d'enfant: n'a pas le temps de jouer comme les enfants de son âge
- bcp de pression pour des filles si petites
- un petit complexe peut vite devenir grand pour la petite fille (ex: dent tombé -ce qui est normal à cet age- <= "je suis moche")
- moins de temps consacré à l'école (et donc aux apprentissages fondamentaux qui vont construire sa personnalité; l'école est un lieu de socialisation alors que le concours est un lieu où le paraître est important et où l'enfant développe des "défauts": jalousie, narcissisme...)
- hypersexualisation des filles: + matures
- mauvais développement (psycho)
cl: le paraître est important dans notre société d'aujourd'hui et les petites filles y sont confrontés dans les concours mini-miss. Même si ces concours peuvent développer l'esprit de compétition des jeunes filles, ils restent tout de même lourds de conséquences néfastes au bon développement de l'enfant et développent chez l'enfant des comportements de jalousie ainsi qu'une hypersexualisation des filles. Qu'en est-il des concours de miss pour garçons, où les garçons ont tendance à se féminiser?
j'ai vu un reportage à la TV où le garçons se faisait faire par l'esthéticienne des masques sur le visage, massage et portait même du vernis à ongles+ maquillage !
intro: Phénomène répandu aux USA, le concours mini-miss arrive peu à peu en France.
Les petites filles défilent devant un jury, qui met une note suivant leur prestation physique (et petit spectacle). Elles portent des mini jupes, des robes voire des talons et portent du maquillage.
I/ Causes de ce phénomène:
- désir de la mère: envie de réaliser son rêve d'enfant (qu'elle n'a pas pu réaliser elle-même) ou envie de montrer que sa fille est la plus belle
- médias: modèle "Barbie", stars de + en + jeunes...: volonté des enfants
- moyen de gagner de l'argent
- la société: des strings, talons et soutien-gorges existent dans les magasins de vêtement pour petites filles
II/ Conséquences positives:
- peut permettre à l'enfant d'avoir esprit de compétition
- confronte dès le + jeune âge l'enfant au stress
- gain de prix et/ou d'argent
- apprend à se mettre en valeur
II/ Mais, plutôt des conséquences négatives:
- peur de décevoir leur mère
- culte de la minceur: entraîne problèmes avec la nourriture (boulimie, anorexie...) dès le + jeune âge
- ne vit pas sa vie d'enfant: n'a pas le temps de jouer comme les enfants de son âge
- bcp de pression pour des filles si petites
- un petit complexe peut vite devenir grand pour la petite fille (ex: dent tombé -ce qui est normal à cet age- <= "je suis moche")
- moins de temps consacré à l'école (et donc aux apprentissages fondamentaux qui vont construire sa personnalité; l'école est un lieu de socialisation alors que le concours est un lieu où le paraître est important et où l'enfant développe des "défauts": jalousie, narcissisme...)
- hypersexualisation des filles: + matures
- mauvais développement (psycho)
cl: le paraître est important dans notre société d'aujourd'hui et les petites filles y sont confrontés dans les concours mini-miss. Même si ces concours peuvent développer l'esprit de compétition des jeunes filles, ils restent tout de même lourds de conséquences néfastes au bon développement de l'enfant et développent chez l'enfant des comportements de jalousie ainsi qu'une hypersexualisation des filles. Qu'en est-il des concours de miss pour garçons, où les garçons ont tendance à se féminiser?
j'ai vu un reportage à la TV où le garçons se faisait faire par l'esthéticienne des masques sur le visage, massage et portait même du vernis à ongles+ maquillage !
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
lea2010 a écrit :je rajouterais:
informatiser les dossiers medical des patients
est-ce vraiment dans la loi de HPST? j'ai cherché sur le lien j'ai pas trouvé
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
j'aime bien, je pense que j’aurais fait le même plan!kouk14 a écrit :Bonjour je propose un nouveau sujet Lire et faire lire, que pensez vous de ce programme ?
Plaisir de lire, plaisir de partager. Lire et faire lire est un programme de développement du plaisir de la lecture et de la solidarité intergénérationnelle en direction des enfants fréquentant les écoles primaires et autres structures éducatives (centres de loisirs, crèches, bibliothèques..).
Intro : C'est réellement avec l'ère des Lumières que la lecture c'est propagé à l'ensemble de la population avec le développement de l'Encyclopédie.Tout d'abord nous définirons à qui profite ce programme et quels en sont les avantages.
1) A qui se dispositif est-il destiné ?
-Les enfants de tout les milieux sociaux
-Aux personnes âgées
2) Les avantages que présente cette réforme :
-peut redonner le goût à la lecture à certains enfants
-Dans les milieux défavorisés cela peut être une réel chance de s'en sortir si l'enfant présente des difficultées scolaires. En effet les enfants issus de milieux défavorisés ont parfois une scolarité perturbée à cause de difficultés sociales (manque de soutien des parents), de difficultés culturels ( barrière de la langue pour certains parents) ou à cause d'un problème psychophysiologique (dyslexie, troubles du comportements...)
-Ce programme permet aussi d'éviter l'exclusion chez certaines personnes âgées qui grâce au bénévolat, ils vont se sentir de nouveau utile.
-Ceci évite donc le risque de dépression et de suicide chez les PA
-Permet de retisser des liens entre génération. Le jeune à comme cela moins peur de la vieillesse.
-les PA font profiter de leurs experiences
-Aspect ludique qui plait aux jeunes
-permet de favoriser le goût à la litterature
CCL : En d'autre terme je pesne que cette initiative est judicieuse puisqu'elle met en place un syctème d'entraide intergénérationnelle. L'un à besoin de l'autre et vice-versa.
De plus ce programme pourrait éiter l'illetrisme qui touche 9% de la population en France et qui est source de chômage et d'exclusion. Ainsi si il y a moins d'illetrisme, il y aura moins de pauvreté et donc moins de pathologies à soigner pour les infirmières.
Qu'en pensez vous ?
Seule ta dernière phrase, ton ouverture me gêne.. j'ai l’impression que tu dis que c'est une lourde tâche les personnes pauvres... tu aurais pû terminer sur la phrase soulignée (une phrase généralement suffit pour une ouverture..)comment savais-tu tout cela de ce dispositif? tu as regardé sur internet?
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Oui tu as raison en ce qui concerne mon ouverture. Je l'ai mal écrite c'est pas ce que je voulais dire ! J'aurai du m'en tenir à la phrase que tu as soulignée.stepit42 a écrit :j'aime bien, je pense que j’aurais fait le même plan!kouk14 a écrit :Bonjour je propose un nouveau sujet Lire et faire lire, que pensez vous de ce programme ?
Plaisir de lire, plaisir de partager. Lire et faire lire est un programme de développement du plaisir de la lecture et de la solidarité intergénérationnelle en direction des enfants fréquentant les écoles primaires et autres structures éducatives (centres de loisirs, crèches, bibliothèques..).
Intro : C'est réellement avec l'ère des Lumières que la lecture c'est propagé à l'ensemble de la population avec le développement de l'Encyclopédie.Tout d'abord nous définirons à qui profite ce programme et quels en sont les avantages.
1) A qui se dispositif est-il destiné ?
-Les enfants de tout les milieux sociaux
-Aux personnes âgées
2) Les avantages que présente cette réforme :
-peut redonner le goût à la lecture à certains enfants
-Dans les milieux défavorisés cela peut être une réel chance de s'en sortir si l'enfant présente des difficultées scolaires. En effet les enfants issus de milieux défavorisés ont parfois une scolarité perturbée à cause de difficultés sociales (manque de soutien des parents), de difficultés culturels ( barrière de la langue pour certains parents) ou à cause d'un problème psychophysiologique (dyslexie, troubles du comportements...)
-Ce programme permet aussi d'éviter l'exclusion chez certaines personnes âgées qui grâce au bénévolat, ils vont se sentir de nouveau utile.
-Ceci évite donc le risque de dépression et de suicide chez les PA
-Permet de retisser des liens entre génération. Le jeune à comme cela moins peur de la vieillesse.
-les PA font profiter de leurs experiences
-Aspect ludique qui plait aux jeunes
-permet de favoriser le goût à la litterature
CCL : En d'autre terme je pesne que cette initiative est judicieuse puisqu'elle met en place un syctème d'entraide intergénérationnelle. L'un à besoin de l'autre et vice-versa.
De plus ce programme pourrait éiter l'illetrisme qui touche 9% de la population en France et qui est source de chômage et d'exclusion. Ainsi si il y a moins d'illetrisme, il y aura moins de pauvreté et donc moins de pathologies à soigner pour les infirmières.
Qu'en pensez vous ?
comment savais-tu tout cela de ce dispositif? tu as regardé sur internet?
J'ai eu en oral blanc de ma prépa ce sujet mais j'ai pas regardé sur internet je me suis juste inspirée des mes livres.
IDE en Réanimation
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Bien vieillir
intro: selon une étude récente, nous vivons de + en + vieux mais moins bien qu’auparavant. Le bien vieillir devient une notion importante...
I/Pourquoi vivons-nous de plus en plus longtemps?
- progrès de la médecine
- meilleure hygiène de vie
- vaccination meilleure, qui a permis l'éradication de certaines maladies auparavant mortelles
- meilleure prise en charge de la P.A.
transition:parallèlement à l'espérance de vie qui augmente, le bien vieillir diminue.
II/ Pourquoi vivons-nous de moins en moins bien?
- apparition de nouvelles maladies pour lesquels des traitements n'ont pas encore été trouvés: Parkinson, Alzheimer,...
- notion de "dépendance" remis continuellement à jour
- augmentation de l'âge de départ à la retraite: il faut travailler +
- diminution de la solidarité intergénérationnelle
- manque de relation entre personnes
- solitude de la P.A. pouvant entraîner suicides
- soins au domicile possible (SSIAD...)
- bientraitance dans les hopitaux
III/ Cependant, des solutions existent:
- Allocation Personnalisée d'autonomie (APA)
- évaluation du degré de dépendance selon la grille AGGIR
- création d'un 5ème risque dépendance
- meilleur accompagnement
- "aidants familiaux" perçoivent de l'argent en contrepartie
- création de maisons de retraites spécialisées dans tel ou tel maladie
- inciter les PA à avoir des loisirs, profiter de leur retraite
- prévention: avoir une bonne hygiène de vie, faire du sport, meilleure alimentation... pour éviter certaines maladies
- faire les dépistages: mammographie, ...
- des associations existent pour lutter contre la solitude chez personnes âgées (SOS Amitié...)
- augmentation des allocations veuvage et retraite par l'Etat
- valoriser les P.A.
cl: nous vivons de + en + mais moins bien qu'avant. en effet, l'espérance de vie ne cesse de progresser grâce aux progrès de la médecine et à meilleure prise en charge des personnes. Cependant, le bien vieillir diminue à cause de l’apparition de nouvelles maladies et de la dépendance. Pourtant, des solutions existent comme l'APA ou encore la mise en place d'un 5ème risque dépendance... Dans mon futur rôle d'infirmier, j'accompagnerais les personnes âgées ainsi que leur entourage tout en étant à leur écoute et les préviendrait de certains comportements.
nulle mon ouverture! pas trop d'idées...
intro: selon une étude récente, nous vivons de + en + vieux mais moins bien qu’auparavant. Le bien vieillir devient une notion importante...
I/Pourquoi vivons-nous de plus en plus longtemps?
- progrès de la médecine
- meilleure hygiène de vie
- vaccination meilleure, qui a permis l'éradication de certaines maladies auparavant mortelles
- meilleure prise en charge de la P.A.
transition:parallèlement à l'espérance de vie qui augmente, le bien vieillir diminue.
II/ Pourquoi vivons-nous de moins en moins bien?
- apparition de nouvelles maladies pour lesquels des traitements n'ont pas encore été trouvés: Parkinson, Alzheimer,...
- notion de "dépendance" remis continuellement à jour
- augmentation de l'âge de départ à la retraite: il faut travailler +
- diminution de la solidarité intergénérationnelle
- manque de relation entre personnes
- solitude de la P.A. pouvant entraîner suicides
- soins au domicile possible (SSIAD...)
- bientraitance dans les hopitaux
III/ Cependant, des solutions existent:
- Allocation Personnalisée d'autonomie (APA)
- évaluation du degré de dépendance selon la grille AGGIR
- création d'un 5ème risque dépendance
- meilleur accompagnement
- "aidants familiaux" perçoivent de l'argent en contrepartie
- création de maisons de retraites spécialisées dans tel ou tel maladie
- inciter les PA à avoir des loisirs, profiter de leur retraite
- prévention: avoir une bonne hygiène de vie, faire du sport, meilleure alimentation... pour éviter certaines maladies
- faire les dépistages: mammographie, ...
- des associations existent pour lutter contre la solitude chez personnes âgées (SOS Amitié...)
- augmentation des allocations veuvage et retraite par l'Etat
- valoriser les P.A.
cl: nous vivons de + en + mais moins bien qu'avant. en effet, l'espérance de vie ne cesse de progresser grâce aux progrès de la médecine et à meilleure prise en charge des personnes. Cependant, le bien vieillir diminue à cause de l’apparition de nouvelles maladies et de la dépendance. Pourtant, des solutions existent comme l'APA ou encore la mise en place d'un 5ème risque dépendance... Dans mon futur rôle d'infirmier, j'accompagnerais les personnes âgées ainsi que leur entourage tout en étant à leur écoute et les préviendrait de certains comportements.
nulle mon ouverture! pas trop d'idées...
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Oui tu as raison en ce qui concerne mon ouverture. Je l'ai mal écrite c'est pas ce que je voulais dire ! J'aurai du m'en tenir à la phrase que tu as soulignée.
J'ai eu en oral blanc de ma prépa ce sujet mais j'ai pas regardé sur internet je me suis juste inspirée des mes livres.
ok je t'ai demandé ça parce que j'ai vu que tu en savais bcp sur le sujet!
Personne pour "La passion dans le métier"?
J'ai eu en oral blanc de ma prépa ce sujet mais j'ai pas regardé sur internet je me suis juste inspirée des mes livres.
ok je t'ai demandé ça parce que j'ai vu que tu en savais bcp sur le sujet!
Personne pour "La passion dans le métier"?
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
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