Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Fiches culture générale 2012
Oui c'est déjà ça , ça me donne des pistes pour en construire une merci 

C'est quand un Homme ne sourit plus qu'il est le plus gravement malade ...
Puéricultrice 2016 ♥
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Re: Actualités 2012
Nutrition : Taxer les produits riches en sel pourrait sauver des vies
Une nouvelle étude menée à Harvard affirme qu'une taxe sur le sel et des réductions volontaires des taux de sel présents des aliments venant de l'industrie pourraient réduire les morts liées aux maladies du coeur de 3%.
En chiffres bruts, cela représenterait 519.000 morts de moins dans le monde.
Présentée la semaine dernière au World Congress of Cardiology de Dubaï, l'étude a évalué deux interventions différentes : une taxe sur le sel et la réduction volontaire du dosage du sel par l'industrie alimentaire, comme ce qui se fait actuellement au Royaume-Uni.
Réduire la quantité de sel pour éliminer les kilos en trop
En partenariat avec le Public Health Responsibility Deal du gouvernement britannique qui aspire à aider les Britanniques à éliminer leurs kilos en trop, les principaux industriels et revendeurs comme Coca-Cola Great Britain, PepsiCo, Heinz, Asda, Mars ou Tesco, se sont mis d'accord pour réduire les quantités de sel, de calories et de graisses de leurs produits.
Les mesures de réduction des quantités de sel mises en place au Royaume-Uni ont entraîné jusqu'ici une diminution nette de 9,5% de sa consommation dans le pays.
En couplant le modèle britannique et une taxe spécifique, les chercheurs de Harvard estiment que cette stratégie pourrait réduire le nombre de personnes ayant besoin d'un traitement contre l'hypertension, les attaques cardiaques et les congestions cérébrales dans 19 pays en développement.
Réduire le sel pour diminuer les attaques cardiaques
Par exemple, les chercheurs affirment qu'une telle stratégie de santé publique pourrait réduire la fréquence des attaques cardiaques de 1,7% en Chine et 1,5% en Inde. Les statistiques sont encore plus élevées pour les congestions cérébrales : 4,7% en Chine et 4% en Inde.
Selon la World Heart Federation, les maladies du coeur tuent chaque année 17,3 millions de personnes et 80% de ces morts concernent des pays à bas et moyens revenus.
L'idée de taxer les produits riches en sel s'inspire de la taxe sur la junk food riche en acide gras trans, en sucre et en calories vides actuellement en application dans des pays comme la Hongrie et le Danemark
Une nouvelle étude menée à Harvard affirme qu'une taxe sur le sel et des réductions volontaires des taux de sel présents des aliments venant de l'industrie pourraient réduire les morts liées aux maladies du coeur de 3%.
En chiffres bruts, cela représenterait 519.000 morts de moins dans le monde.
Présentée la semaine dernière au World Congress of Cardiology de Dubaï, l'étude a évalué deux interventions différentes : une taxe sur le sel et la réduction volontaire du dosage du sel par l'industrie alimentaire, comme ce qui se fait actuellement au Royaume-Uni.
Réduire la quantité de sel pour éliminer les kilos en trop
En partenariat avec le Public Health Responsibility Deal du gouvernement britannique qui aspire à aider les Britanniques à éliminer leurs kilos en trop, les principaux industriels et revendeurs comme Coca-Cola Great Britain, PepsiCo, Heinz, Asda, Mars ou Tesco, se sont mis d'accord pour réduire les quantités de sel, de calories et de graisses de leurs produits.
Les mesures de réduction des quantités de sel mises en place au Royaume-Uni ont entraîné jusqu'ici une diminution nette de 9,5% de sa consommation dans le pays.
En couplant le modèle britannique et une taxe spécifique, les chercheurs de Harvard estiment que cette stratégie pourrait réduire le nombre de personnes ayant besoin d'un traitement contre l'hypertension, les attaques cardiaques et les congestions cérébrales dans 19 pays en développement.
Réduire le sel pour diminuer les attaques cardiaques
Par exemple, les chercheurs affirment qu'une telle stratégie de santé publique pourrait réduire la fréquence des attaques cardiaques de 1,7% en Chine et 1,5% en Inde. Les statistiques sont encore plus élevées pour les congestions cérébrales : 4,7% en Chine et 4% en Inde.
Selon la World Heart Federation, les maladies du coeur tuent chaque année 17,3 millions de personnes et 80% de ces morts concernent des pays à bas et moyens revenus.
L'idée de taxer les produits riches en sel s'inspire de la taxe sur la junk food riche en acide gras trans, en sucre et en calories vides actuellement en application dans des pays comme la Hongrie et le Danemark
l' Ailge: TP:8.50 CG:13 ORAL:16.50 26 eme sr list comp PRISE 
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente

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Re: Actualités 2012
Tabac : les images choc, de bons ‘anti-rechute'
Selon une étude australienne, les images « choc » figurant sur les paquets de cigarettes aideraient aussi les anciens fumeurs à ne pas rechuter. Alors que l'objectif principal de ces images, désormais autorisées en France, est de dissuader les jeunes de commencer fumer, elles se trouvent donc doublement légitimées.
L'équipe du Dr Ron Borland, du Centre anticancéreux de Victoria, s'est intéressé entre 2002 et 2009 à près de 2 000 anciens fumeurs. Ces derniers ont été interrogés – une fois par an – sur leur statut tabagique et les facteurs susceptibles d'avoir influé sur la réussite ou l'échec de leur sevrage.
Plus de la moitié des participants (57%) ont affirmé être toujours abstinents, un an après l'arrêt du tabac. Sans surprise, le taux de rechute s'est avéré plus élevé parmi ceux qui étaient exposés au tabagisme de leurs proches ou de leur environnement social. En revanche, les ex-fumeurs attentifs aux images chocs ont présenté un taux de rechute moins élevé (41% au lieu de 50%) par rapport à ceux qui accordaient peu d'attention à ces messages de prévention.
Les images choc ont amplement prouvé leur efficacité. L'exemple canadien est parlant : alors que ces images sont utilisées depuis 2000 dans le pays, celui-ci connaît aujourd'hui un des taux de tabagisme juvénile parmi les plus faibles au monde. Seuls 15% des 15-19 ans y fument, contre près de 30% en France.
En France précisément, une étude menée en 2008 par l'Institut national du Cancer (InCA) a également démontré l'efficacité de ces images. Réalisé auprès d'un échantillon représentatif des 15/45 ans, ce travail avait montré que ces visuels réduisaient fortement l'envie de fumer des adolescents, et qu'ils renforçaient le désir de ne pas commencer.
Selon une étude australienne, les images « choc » figurant sur les paquets de cigarettes aideraient aussi les anciens fumeurs à ne pas rechuter. Alors que l'objectif principal de ces images, désormais autorisées en France, est de dissuader les jeunes de commencer fumer, elles se trouvent donc doublement légitimées.
L'équipe du Dr Ron Borland, du Centre anticancéreux de Victoria, s'est intéressé entre 2002 et 2009 à près de 2 000 anciens fumeurs. Ces derniers ont été interrogés – une fois par an – sur leur statut tabagique et les facteurs susceptibles d'avoir influé sur la réussite ou l'échec de leur sevrage.
Plus de la moitié des participants (57%) ont affirmé être toujours abstinents, un an après l'arrêt du tabac. Sans surprise, le taux de rechute s'est avéré plus élevé parmi ceux qui étaient exposés au tabagisme de leurs proches ou de leur environnement social. En revanche, les ex-fumeurs attentifs aux images chocs ont présenté un taux de rechute moins élevé (41% au lieu de 50%) par rapport à ceux qui accordaient peu d'attention à ces messages de prévention.
Les images choc ont amplement prouvé leur efficacité. L'exemple canadien est parlant : alors que ces images sont utilisées depuis 2000 dans le pays, celui-ci connaît aujourd'hui un des taux de tabagisme juvénile parmi les plus faibles au monde. Seuls 15% des 15-19 ans y fument, contre près de 30% en France.
En France précisément, une étude menée en 2008 par l'Institut national du Cancer (InCA) a également démontré l'efficacité de ces images. Réalisé auprès d'un échantillon représentatif des 15/45 ans, ce travail avait montré que ces visuels réduisaient fortement l'envie de fumer des adolescents, et qu'ils renforçaient le désir de ne pas commencer.
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Re: Actualités 2012
La médecine moderne s'intéresse aux vertus du miel
Par figaro icon Marie-Noëlle Delaby - le 30/04/2012
Les propriétés cicatrisantes et antiseptiques de ce produit naturel font l'objet d'un nombre croissant d'études.
«Hippocrate, le père de la médecine, disait que l'usage du miel conduisait à la plus extrême vieillesse, et le prescrivait pour combattre la fièvre, les blessures, les ulcères et les plaies purulentes», écrit Henri Joyeux dans son ouvrage Les abeilles et le chirurgien, paru le 26 avril aux éditions du Rocher. Un livre qui invite à découvrir l'apithérapie ou l'art de soigner par les produits de la ruche. En effet, si l'usage médical du miel a traversé les siècles dans les pays de l'Est ou l'Afrique, ce n'est que récemment que les médecins français s'y sont intéressés.
«Actuellement, une masse croissante de travaux médicaux montrent non seulement que le miel est un produit efficace et sûr pour soigner les plaies, mais aussi un moyen intéressant et bon marché de lutter contre les germes devenus résistants aux antibiotiques, un problème majeur de santé public dans les pays à haut niveau sanitaire», explique le Dr Albert Becker, président de l'Association francophone d'apithérapie.
Un puissant antiseptique
«Une étude néerlandaise* a récemment fait état de la destruction de bactéries multirésistantes aux antibiotiques modernes, telles que Escherichia coli ou Staphylococcus aureus par l'ajout de 10 à 20% de miel à leur milieu de culture», précise Henri Joyeux. Des propriétés dues au travail de la ruche, véritable laboratoire miniature, qui transforme le nectar des fleurs en un produit aux propriétés complexes. «Les abeilles rapportent à la ruche le nectar, où elles le déshumidifient afin de le conserver, grâce à la trophallaxie. Cette opération consiste à régurgiter le nectar de leur jabot et à le passer de bouche en bouche. Grâce aux réactions chimiques qui se produisent alors avec les sécrétions des abeilles, il acquiert sa richesse enzymatique et son haut pouvoir antiseptique», explique Catherine Mme Ballot-Flurin, apicultrice.
Le caractère antiseptique du miel est ainsi lié d'une part à la présence de deux types de protéines: les inhibines qui inhibent la prolifération des bactéries et les défensines qui renforcent l'immunité. D'autre part, son fort taux de sucre, sa faible teneur en eau (15 à 18%) et son acidité créent des conditions inadaptées à la croissance des microbes.
Un bon cicatrisant
Il facilite enfin la cicatrisation grâce à une enzyme, la gluco-oxydase. Sécrétée par l'abeille, elle transforme une partie du glucose en peroxyde d'hydrogène, plus communément appelé eau oxygénée, qui détermine le pH acide du miel, hostile aux bactéries. L'eau oxygénée stimule la revascularisation des plaies et la formation de tissus, nécessaires à la cicatrisation.
En pansements normalisés ou étalé directement sur la plaie, le miel est utilisé actuellement dans plus de 20 centres hospitaliers français, selon le Pr Henri Joyeux. Ce dernier rappelle dans son ouvrage l'importance d'utiliser des miels médicaux ou issus de producteurs méticuleux respectant les normes de l'apithérapie, afin de conserver toutes les propriétés de ce produit fragile. «Il doit être stocké en pots de verre, conservés au frais à 8-14°C, hors lumière et moins de 15 mois car, contrairement au vin, le miel ne se bonifie pas en vieillissant!»
Enfin, si l'utilisation d'un miel adapté sur de petites plaies peut être envisagée à la maison, elle ne dispense pas «d'une consultation médicale qui s'avère une absolue nécessité en cas d'absence d'amélioration ou pour des lésions supérieures à 1cm», rappelle le Dr Albert Becker.
*PAULUS H. S. et coll How honey kills bacteria . FASEB J. 2010 24: 2576-2582.
Par figaro icon Marie-Noëlle Delaby - le 30/04/2012
Les propriétés cicatrisantes et antiseptiques de ce produit naturel font l'objet d'un nombre croissant d'études.
«Hippocrate, le père de la médecine, disait que l'usage du miel conduisait à la plus extrême vieillesse, et le prescrivait pour combattre la fièvre, les blessures, les ulcères et les plaies purulentes», écrit Henri Joyeux dans son ouvrage Les abeilles et le chirurgien, paru le 26 avril aux éditions du Rocher. Un livre qui invite à découvrir l'apithérapie ou l'art de soigner par les produits de la ruche. En effet, si l'usage médical du miel a traversé les siècles dans les pays de l'Est ou l'Afrique, ce n'est que récemment que les médecins français s'y sont intéressés.
«Actuellement, une masse croissante de travaux médicaux montrent non seulement que le miel est un produit efficace et sûr pour soigner les plaies, mais aussi un moyen intéressant et bon marché de lutter contre les germes devenus résistants aux antibiotiques, un problème majeur de santé public dans les pays à haut niveau sanitaire», explique le Dr Albert Becker, président de l'Association francophone d'apithérapie.
Un puissant antiseptique
«Une étude néerlandaise* a récemment fait état de la destruction de bactéries multirésistantes aux antibiotiques modernes, telles que Escherichia coli ou Staphylococcus aureus par l'ajout de 10 à 20% de miel à leur milieu de culture», précise Henri Joyeux. Des propriétés dues au travail de la ruche, véritable laboratoire miniature, qui transforme le nectar des fleurs en un produit aux propriétés complexes. «Les abeilles rapportent à la ruche le nectar, où elles le déshumidifient afin de le conserver, grâce à la trophallaxie. Cette opération consiste à régurgiter le nectar de leur jabot et à le passer de bouche en bouche. Grâce aux réactions chimiques qui se produisent alors avec les sécrétions des abeilles, il acquiert sa richesse enzymatique et son haut pouvoir antiseptique», explique Catherine Mme Ballot-Flurin, apicultrice.
Le caractère antiseptique du miel est ainsi lié d'une part à la présence de deux types de protéines: les inhibines qui inhibent la prolifération des bactéries et les défensines qui renforcent l'immunité. D'autre part, son fort taux de sucre, sa faible teneur en eau (15 à 18%) et son acidité créent des conditions inadaptées à la croissance des microbes.
Un bon cicatrisant
Il facilite enfin la cicatrisation grâce à une enzyme, la gluco-oxydase. Sécrétée par l'abeille, elle transforme une partie du glucose en peroxyde d'hydrogène, plus communément appelé eau oxygénée, qui détermine le pH acide du miel, hostile aux bactéries. L'eau oxygénée stimule la revascularisation des plaies et la formation de tissus, nécessaires à la cicatrisation.
En pansements normalisés ou étalé directement sur la plaie, le miel est utilisé actuellement dans plus de 20 centres hospitaliers français, selon le Pr Henri Joyeux. Ce dernier rappelle dans son ouvrage l'importance d'utiliser des miels médicaux ou issus de producteurs méticuleux respectant les normes de l'apithérapie, afin de conserver toutes les propriétés de ce produit fragile. «Il doit être stocké en pots de verre, conservés au frais à 8-14°C, hors lumière et moins de 15 mois car, contrairement au vin, le miel ne se bonifie pas en vieillissant!»
Enfin, si l'utilisation d'un miel adapté sur de petites plaies peut être envisagée à la maison, elle ne dispense pas «d'une consultation médicale qui s'avère une absolue nécessité en cas d'absence d'amélioration ou pour des lésions supérieures à 1cm», rappelle le Dr Albert Becker.
*PAULUS H. S. et coll How honey kills bacteria . FASEB J. 2010 24: 2576-2582.
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Re: Actualités 2012
«Donneur d'organes», un nouveau statut sur Facebook
Par figaro icon le figaro.fr - le 02/05/2012
Les utilisateurs américains et britanniques du réseau social peuvent désormais ajouter le statut «donneur d'organes» à leur profil. Un développement voulu par Mark Zuckerberg pour faciliter les greffes.
Mark Zuckerberg a été l'un des tout premiers membres du réseau social à cocher le statut «donneur d'organes» sur son profil. Cette nouvelle option du réseau social mondial permet désormais aux personnes résidant aux États-Unis et au Royaume-Uni d'afficher leur choix et de l'expliquer à leurs amis, a expliqué le jeune et célèbre fondateur de Facebook sur la chaîne américaine ABC. L'initiative vise à mettre en contact les donneurs vivants avec les patients en attente de transplantation.
Des liens redirigent vers les registres de donneurs d'organes officiels et permettent ainsi aux utilisateurs qui le souhaitent de s'inscrire. «Nous pensons que tout le monde peut participer à la prise de conscience de (l'importance) du don d'organes. Cela peut contribuer à résoudre la crise» que rencontre le don d'organes, a-t-il jugé.
«Nous voulons rendre les choses simples. Vous n'avez qu'à indiquer le pays ou l'Etat dans lequel vous habitez, et nous vous redirigeons vers les registres» de donneurs d'organes, a encore souligné Mark Zuckerberg.
Inspiré par Steve Jobs
Mark Zuckerberg a dit avoir eu l'idée lors de conversations avec sa petite amie, étudiante en médecine, et en discutant avec son ami Steve Jobs. Le co-fondateur d'Apple décédé l'an dernier d'un cancer du pancréas à 56 ans et avait reçu une greffe du foie en 2009. «Son histoire n'en est qu'une parmi tant d'autres, celle de quelqu'un qui a reçu une greffe qui a prolongé sa vie. Il en était très reconnaissant», a confié Mark Zuckerberg.
L'ONG américaine Donate Life America en faveur du don d'organes, s'est félicitée de l'intiative de Facebook, qui revendique 901 millions d'utilisateurs à travers le monde. «Nous ne saurions être plus reconnaissants envers Facebook pour son engagement à aider à sauver des vies en incitant les Américains à s'inscrire comme donneurs d'organes (...). Des milliers de vies vont être sauvées grâce à cette initiative», a expliqué David Fleming, président de l'ONG.
Aux États-Unis, les occasions de signaler son statut de donneur d'organes sont nombreuses. Les automobilistes et motards sont ainsi encouragés à indiquer sur leur permis de conduire s'ils souhaitent ou non faire don de leurs organes en cas d'accident mortel. En France, il est possible de faire la demande d'une carte de donneur auprès d'une association, mais celle-ci n'a pas de valeur juridique.
(Avec AFP)
Par figaro icon le figaro.fr - le 02/05/2012
Les utilisateurs américains et britanniques du réseau social peuvent désormais ajouter le statut «donneur d'organes» à leur profil. Un développement voulu par Mark Zuckerberg pour faciliter les greffes.
Mark Zuckerberg a été l'un des tout premiers membres du réseau social à cocher le statut «donneur d'organes» sur son profil. Cette nouvelle option du réseau social mondial permet désormais aux personnes résidant aux États-Unis et au Royaume-Uni d'afficher leur choix et de l'expliquer à leurs amis, a expliqué le jeune et célèbre fondateur de Facebook sur la chaîne américaine ABC. L'initiative vise à mettre en contact les donneurs vivants avec les patients en attente de transplantation.
Des liens redirigent vers les registres de donneurs d'organes officiels et permettent ainsi aux utilisateurs qui le souhaitent de s'inscrire. «Nous pensons que tout le monde peut participer à la prise de conscience de (l'importance) du don d'organes. Cela peut contribuer à résoudre la crise» que rencontre le don d'organes, a-t-il jugé.
«Nous voulons rendre les choses simples. Vous n'avez qu'à indiquer le pays ou l'Etat dans lequel vous habitez, et nous vous redirigeons vers les registres» de donneurs d'organes, a encore souligné Mark Zuckerberg.
Inspiré par Steve Jobs
Mark Zuckerberg a dit avoir eu l'idée lors de conversations avec sa petite amie, étudiante en médecine, et en discutant avec son ami Steve Jobs. Le co-fondateur d'Apple décédé l'an dernier d'un cancer du pancréas à 56 ans et avait reçu une greffe du foie en 2009. «Son histoire n'en est qu'une parmi tant d'autres, celle de quelqu'un qui a reçu une greffe qui a prolongé sa vie. Il en était très reconnaissant», a confié Mark Zuckerberg.
L'ONG américaine Donate Life America en faveur du don d'organes, s'est félicitée de l'intiative de Facebook, qui revendique 901 millions d'utilisateurs à travers le monde. «Nous ne saurions être plus reconnaissants envers Facebook pour son engagement à aider à sauver des vies en incitant les Américains à s'inscrire comme donneurs d'organes (...). Des milliers de vies vont être sauvées grâce à cette initiative», a expliqué David Fleming, président de l'ONG.
Aux États-Unis, les occasions de signaler son statut de donneur d'organes sont nombreuses. Les automobilistes et motards sont ainsi encouragés à indiquer sur leur permis de conduire s'ils souhaitent ou non faire don de leurs organes en cas d'accident mortel. En France, il est possible de faire la demande d'une carte de donneur auprès d'une association, mais celle-ci n'a pas de valeur juridique.
(Avec AFP)
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Re: Actualités 2012
Internet séduit les beaux-parents
Le statut du beau-parent, absent des programmes des candidats à l'Élysée, semble aujourd'hui oublié.
Après avoir fait parler de lui lors de la présidentielle de 2007 et même pris corps dans un projet de loi en 2009, le statut du beau-parent, absent des programmes des candidats à l'Élysée, semble aujourd'hui oublié.
Pour autant, l'intérêt marqué des familles recomposées pour sa création demeure. Un sondage Ifop de mars dernier montre que 83 % des Français (plus de 8 sur 10) sont favorables à sa création, soit une proportion en nette hausse par rapport à celle mesurée il y a quatre ans (67%).
Surfant sur ces interrogations, le Web multiplie depuis quelques mois les sites dédiés. Portails, espaces communautaires, sites collaboratifs de beaux-parents… Chacun s'escrime à conseiller et informer sur les points de droit et les responsabilités, et à favoriser aussi l'échange entre ces familles où vivent plus de 2 millions d'enfants.
Le dernier-né de la Toile, BeauxParents.fr, veut ainsi rompre l'isolement des «grands oubliés des mutations familiales» en leur dédiant un espace d'expression et en abordant les problématiques «matérielles, psychologiques, organisationnelles et émotionnelles» qu'ils rencontrent.
Déclarations d'intention
Un nouveau communautarisme qui, toujours plus grandissant en raison de la hausse des divorces, aurait pu motiver les candidats. Pourtant, pas d'engagement dans les programmes. Seules des déclarations d'intention favorables émanent des candidats de gauche, alors que le statut du beau-parent vient de droite. C'est Nicolas Sarkozy qui, dès 2007, avait chargé Xavier Bertrand, Rachida Dati puis Nadine Morano de lui donner forme. Créant la polémique, car «il compliquait la nature des liens familiaux», l'avant-projet avait fait l'objet d'une tentative d'«allégement» sous la patte consensuelle du député Jean Leonetti, mandaté par François Fillon. Avant de disparaître complètement.
«C'était une bonne idée, car elle répondait à une demande nouvelle, mais dans la pratique, elle n'est pas pertinente, explique Claude Greff, secrétaire d'État à la Famille. La délégation d'autorité parentale existe déjà dans la loi actuelle. Le statut du beau-parent est donc inutile.» Pour la communauté homosexuelle, c'est le spectre de l'homoparentalité qui empêche ce statut de voir le jour et «qui plane de nouveau au-dessus de cette élection», regrette-t-elle.
Le statut du beau-parent, absent des programmes des candidats à l'Élysée, semble aujourd'hui oublié.
Après avoir fait parler de lui lors de la présidentielle de 2007 et même pris corps dans un projet de loi en 2009, le statut du beau-parent, absent des programmes des candidats à l'Élysée, semble aujourd'hui oublié.
Pour autant, l'intérêt marqué des familles recomposées pour sa création demeure. Un sondage Ifop de mars dernier montre que 83 % des Français (plus de 8 sur 10) sont favorables à sa création, soit une proportion en nette hausse par rapport à celle mesurée il y a quatre ans (67%).
Surfant sur ces interrogations, le Web multiplie depuis quelques mois les sites dédiés. Portails, espaces communautaires, sites collaboratifs de beaux-parents… Chacun s'escrime à conseiller et informer sur les points de droit et les responsabilités, et à favoriser aussi l'échange entre ces familles où vivent plus de 2 millions d'enfants.
Le dernier-né de la Toile, BeauxParents.fr, veut ainsi rompre l'isolement des «grands oubliés des mutations familiales» en leur dédiant un espace d'expression et en abordant les problématiques «matérielles, psychologiques, organisationnelles et émotionnelles» qu'ils rencontrent.
Déclarations d'intention
Un nouveau communautarisme qui, toujours plus grandissant en raison de la hausse des divorces, aurait pu motiver les candidats. Pourtant, pas d'engagement dans les programmes. Seules des déclarations d'intention favorables émanent des candidats de gauche, alors que le statut du beau-parent vient de droite. C'est Nicolas Sarkozy qui, dès 2007, avait chargé Xavier Bertrand, Rachida Dati puis Nadine Morano de lui donner forme. Créant la polémique, car «il compliquait la nature des liens familiaux», l'avant-projet avait fait l'objet d'une tentative d'«allégement» sous la patte consensuelle du député Jean Leonetti, mandaté par François Fillon. Avant de disparaître complètement.
«C'était une bonne idée, car elle répondait à une demande nouvelle, mais dans la pratique, elle n'est pas pertinente, explique Claude Greff, secrétaire d'État à la Famille. La délégation d'autorité parentale existe déjà dans la loi actuelle. Le statut du beau-parent est donc inutile.» Pour la communauté homosexuelle, c'est le spectre de l'homoparentalité qui empêche ce statut de voir le jour et «qui plane de nouveau au-dessus de cette élection», regrette-t-elle.
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Re: Actualités 2012
Pays-Bas: La carte cannabis, comment ça va marcher?
Créé le 30/04/2012 à 12h25 -- Mis à jour le 30/04/2012 à 16h05
MONDE - Dès mardi, les étrangers ne pourront plus acheter d'herbe dans les coffee shops de trois provinces du sud...
Mise en place le 1er janvier dernier et jugée valide par un tribunal vendredi, la nouvelle loi sur les coffee shops des Pays-Bas va être officiellement appliquée mardi. En lançant la «carte cannabis», le gouvernement cherche à fortement limiter l’achat de cette drogue par les étrangers dans ces établissements où elle était jusqu’alors en vente libre.
Ce sont les trois provinces «les plus touchées par le tourisme de la drogue», selon le gouvernement néerlandais, qui verront la mesure appliquée dès mardi, soit le Limbourg, le Brabant-Nord et la Zélande, toutes situées au sud du royaume. Les autres régions seront concernées l’an prochain, pour un total de 670 coffee shops.
Inscription sur une liste
La loi impose désormais que seuls les habitants des localités où se trouvent les établissements, qu'ils soient Néerlandais ou d'une autre nationalité, seront autorisés à s'inscrire sur les listes, qui ne pourront pas dépasser 2.000 membres, âgés de plus de 18 ans, par coffee shop. Les autorités néerlandaises ont également prévu d'interdire leur présence à moins de 350 mètres des écoles à partir de 2014, ainsi que la vente de «skunk», une variété particulièrement puissante de cannabis.
Ces mesures interviennent alors que le crime lié au trafic est en augmentation aux Pays-Bas. Le gouvernement, qui a démissionné la semaine dernière, entendait également mettre fin aux nuisances, embouteillages, tapage nocturne et à la prolifération de vendeurs de drogue dans les rues, provoquée par la présence de nombreux étrangers venant s'approvisionner en cannabis.
Important manque à gagner
Dans la seule ville de Maastricht, proche des frontières belge et allemande, environ 1,4 million de «touristes de la drogue», principalement belges, allemands et français, se rendent chaque année dans les 14 coffee shops de la municipalité. Craignant un important manque à gagner, une dizaine de propriétaires de cafés et plusieurs groupes de pression avaient contesté cette mesure qualifiée de «discriminatoire» en justice, en vain.
De manière générale, la possession, la consommation et la vente au détail de moins de cinq grammes de cannabis dans les coffee shops sont tolérées aux Pays-Bas depuis 1976. La culture et la vente en gros, contrôlées par des groupes criminels, sont, elles, interdites.
Corentin Chauvel avec agences
Créé le 30/04/2012 à 12h25 -- Mis à jour le 30/04/2012 à 16h05
MONDE - Dès mardi, les étrangers ne pourront plus acheter d'herbe dans les coffee shops de trois provinces du sud...
Mise en place le 1er janvier dernier et jugée valide par un tribunal vendredi, la nouvelle loi sur les coffee shops des Pays-Bas va être officiellement appliquée mardi. En lançant la «carte cannabis», le gouvernement cherche à fortement limiter l’achat de cette drogue par les étrangers dans ces établissements où elle était jusqu’alors en vente libre.
Ce sont les trois provinces «les plus touchées par le tourisme de la drogue», selon le gouvernement néerlandais, qui verront la mesure appliquée dès mardi, soit le Limbourg, le Brabant-Nord et la Zélande, toutes situées au sud du royaume. Les autres régions seront concernées l’an prochain, pour un total de 670 coffee shops.
Inscription sur une liste
La loi impose désormais que seuls les habitants des localités où se trouvent les établissements, qu'ils soient Néerlandais ou d'une autre nationalité, seront autorisés à s'inscrire sur les listes, qui ne pourront pas dépasser 2.000 membres, âgés de plus de 18 ans, par coffee shop. Les autorités néerlandaises ont également prévu d'interdire leur présence à moins de 350 mètres des écoles à partir de 2014, ainsi que la vente de «skunk», une variété particulièrement puissante de cannabis.
Ces mesures interviennent alors que le crime lié au trafic est en augmentation aux Pays-Bas. Le gouvernement, qui a démissionné la semaine dernière, entendait également mettre fin aux nuisances, embouteillages, tapage nocturne et à la prolifération de vendeurs de drogue dans les rues, provoquée par la présence de nombreux étrangers venant s'approvisionner en cannabis.
Important manque à gagner
Dans la seule ville de Maastricht, proche des frontières belge et allemande, environ 1,4 million de «touristes de la drogue», principalement belges, allemands et français, se rendent chaque année dans les 14 coffee shops de la municipalité. Craignant un important manque à gagner, une dizaine de propriétaires de cafés et plusieurs groupes de pression avaient contesté cette mesure qualifiée de «discriminatoire» en justice, en vain.
De manière générale, la possession, la consommation et la vente au détail de moins de cinq grammes de cannabis dans les coffee shops sont tolérées aux Pays-Bas depuis 1976. La culture et la vente en gros, contrôlées par des groupes criminels, sont, elles, interdites.
Corentin Chauvel avec agences
Dernière modification par kysa le 02 mai 2012 10:52, modifié 1 fois.
DE 2015
IBO en Guadeloupe
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Re: Actualités 2012
Chômage attendu en hausse dans le monde à 202 millions de personnes en 2012, selon l'OIT
Créé le 30/04/2012 à 07h01 -- Mis à jour le 30/04/2012 à 07h46
ÉCONOMIE - L'OIT a critiqué des politiques d'austérité «contre-productives», ayant conduit à une faible croissance économique et à des destructions d'emploi sans pour autant avoir réduit de façon majeure les déficits budgétaires...
Les politiques d'austérité assombrissent les perspectives de l'emploi dans le monde et quelque 202 millions de personnes seront au chômage cette année, 6 millions de plus que l'an passé, selon le rapport sur le travail dans le monde 2012 de l'Organisation internationale du travail (OIT) publié ce lundi à Genève.
«Notre chiffre estimé provisoire pour l'année 2011 est que le chômage total serait de 196 millions, et nous passerions en 2012 à 202 millions, une augmentation de 6 millions, et en 2013 à 207 millions, une augmentation de 5 million supplémentaires», a déclaré le Directeur de l'Institut international d'études sociales de l'OIT, Raymond Torres. «Ceci voudrait dire qu'on aboutirait à un taux de chômage d'environ 6,1% en 2012», a-t-il souligné.
Augmentation des risques de troubles sociaux
Les tendances sont particulièrement préoccupantes en Europe, où le taux de chômage a augmenté dans près de deux-tiers des pays depuis 2010, selon le rapport de l'OIT. Par ailleurs, soulignent les experts, la reprise du marché du travail est aussi «au point mort» dans d'autres économies avancées, comme le Japon et les Etats-Unis. Ailleurs, les offres d'emplois ne sont pas à la hauteur des besoins d'une population en âge de travailler de plus en plus nombreuse et qualifiée, comme en Chine. Les déficits d'emplois demeurent critiques dans l'essentiel du monde arabe et de l'Afrique, selon l'OIT.
Selon le rapport, cet assombrissement des perspectives de l'emploi se traduit par une augmentation des risques de troubles sociaux. Pour l'OIT, les difficultés d'accès au crédit, notamment pour les PME dans les économies avancées, et les mesures d'austérité mises en place pour «apaiser les marchés financiers» sont à l'origine de cette dégradation de la situation de l'emploi.
Politiques d'austérité «contre-productives»
«L'austérité n'a pas produit plus de croissance économique», a souligné Raymond Torres, critiquant des politiques d'austérité «contre-productives» ayant conduit à une faible croissance économique et à des destructions d'emploi sans pour autant avoir réduit de façon majeure les déficits budgétaires. «Par exemple, en Espagne, le déficit a été réduit d'un peu plus de 9% du PIB en 2010 à 8,5% du PIB en 2011: une très petite réduction après un programme d'austérité drastique», a fait valoir Raymond Torres. Pour l'OIT, «le piège de l'austérité est en train de se refermer».
L'OIT encourage donc les gouvernements à mettre en place des stratégie de relance de la demande intérieure et se félicite que dans certains pays, comme en Inde, en Amérique latine, en Afrique du Sud ou plus récemment en Chine, les salaires semblent augmenter progressivement pour rattraper la productivité. Concernant l'Union européenne, Raymond Torres recommande aux autorités de repenser l'action de la Banque européenne d'investissement, afin qu'elle facilite des prêts pour relancer la croissance.
L'expert pointe aussi la nécessité de revoir les objectifs des Fonds structurels européens afin qu'ils permettent de soutenir l'emploi, au lieu de développer les zones rurales comme ils l'ont fait jusqu'à présent. Enfin, l'OIT est favorable à la mise sur pied d'une véritable politique d'emploi qui serait financée par un nouvel instrument financier au niveau européen.
© 2012 AFP
Créé le 30/04/2012 à 07h01 -- Mis à jour le 30/04/2012 à 07h46
ÉCONOMIE - L'OIT a critiqué des politiques d'austérité «contre-productives», ayant conduit à une faible croissance économique et à des destructions d'emploi sans pour autant avoir réduit de façon majeure les déficits budgétaires...
Les politiques d'austérité assombrissent les perspectives de l'emploi dans le monde et quelque 202 millions de personnes seront au chômage cette année, 6 millions de plus que l'an passé, selon le rapport sur le travail dans le monde 2012 de l'Organisation internationale du travail (OIT) publié ce lundi à Genève.
«Notre chiffre estimé provisoire pour l'année 2011 est que le chômage total serait de 196 millions, et nous passerions en 2012 à 202 millions, une augmentation de 6 millions, et en 2013 à 207 millions, une augmentation de 5 million supplémentaires», a déclaré le Directeur de l'Institut international d'études sociales de l'OIT, Raymond Torres. «Ceci voudrait dire qu'on aboutirait à un taux de chômage d'environ 6,1% en 2012», a-t-il souligné.
Augmentation des risques de troubles sociaux
Les tendances sont particulièrement préoccupantes en Europe, où le taux de chômage a augmenté dans près de deux-tiers des pays depuis 2010, selon le rapport de l'OIT. Par ailleurs, soulignent les experts, la reprise du marché du travail est aussi «au point mort» dans d'autres économies avancées, comme le Japon et les Etats-Unis. Ailleurs, les offres d'emplois ne sont pas à la hauteur des besoins d'une population en âge de travailler de plus en plus nombreuse et qualifiée, comme en Chine. Les déficits d'emplois demeurent critiques dans l'essentiel du monde arabe et de l'Afrique, selon l'OIT.
Selon le rapport, cet assombrissement des perspectives de l'emploi se traduit par une augmentation des risques de troubles sociaux. Pour l'OIT, les difficultés d'accès au crédit, notamment pour les PME dans les économies avancées, et les mesures d'austérité mises en place pour «apaiser les marchés financiers» sont à l'origine de cette dégradation de la situation de l'emploi.
Politiques d'austérité «contre-productives»
«L'austérité n'a pas produit plus de croissance économique», a souligné Raymond Torres, critiquant des politiques d'austérité «contre-productives» ayant conduit à une faible croissance économique et à des destructions d'emploi sans pour autant avoir réduit de façon majeure les déficits budgétaires. «Par exemple, en Espagne, le déficit a été réduit d'un peu plus de 9% du PIB en 2010 à 8,5% du PIB en 2011: une très petite réduction après un programme d'austérité drastique», a fait valoir Raymond Torres. Pour l'OIT, «le piège de l'austérité est en train de se refermer».
L'OIT encourage donc les gouvernements à mettre en place des stratégie de relance de la demande intérieure et se félicite que dans certains pays, comme en Inde, en Amérique latine, en Afrique du Sud ou plus récemment en Chine, les salaires semblent augmenter progressivement pour rattraper la productivité. Concernant l'Union européenne, Raymond Torres recommande aux autorités de repenser l'action de la Banque européenne d'investissement, afin qu'elle facilite des prêts pour relancer la croissance.
L'expert pointe aussi la nécessité de revoir les objectifs des Fonds structurels européens afin qu'ils permettent de soutenir l'emploi, au lieu de développer les zones rurales comme ils l'ont fait jusqu'à présent. Enfin, l'OIT est favorable à la mise sur pied d'une véritable politique d'emploi qui serait financée par un nouvel instrument financier au niveau européen.
© 2012 AFP
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Re: Actualités 2012
Le business florissant de la vente de muguet
Créé le 30/04/2012 à 11h43 -- Mis à jour le 30/04/2012 à 11h47
CONSOMMATION - Cette tradition qui remonte à la Renaissance fait surtout les affaires des particuliers...
Comme chaque année, le 1er mai sonne le retour du muguet dans les rues et les magasins, même si les mauvaises conditions climatiques ont retardé sa fleuraison. Une vieille tradition qui remonte à la Renaissance. Charles IX en aurait offert autour de lui en 1561 comme porte-bonheur. Mais ce n'est qu'au début du 20e siècle qu'il sera associé à la Fête du travail, qui date elle-même de 1889. Derrière cette coutume se cache un juteux business. Les ventes représenteraient environ 100 millions d’euros par an. Les deux tiers sont vendus directement sur la voie publique par les particuliers ou les associations. Un procédé inhabituel qui depuis 1936 «fait l'objet de la part des autorités locales d'une tolérance admise à titre exceptionnel», explique la Direction générale de la concurrence et de la répression des fraudes.
L’an dernier, selon une étude TNS Sofres pour FranceAgriMer, les dépenses chez les fleuristes, dans les grandes surfaces et sur les marchés se sont élevées à 32,4 millions d’euros. Sur ce montant, 20,1 millions d’euros ont été dépensés spécifiquement le 1er mai. «12,7 millions d’euros ont été consacrés aux achats de pots de muguet, 7,4 millions d’euros à l’achat de brins», souligne l’enquête. Pour ces derniers, 42,3% des sondés ont dépensé moins de quatre euros, 36,1% de quatre à huit euros, 14% de huit à 15 euros et 7,6% plus de 15 euros.
M.B.
Créé le 30/04/2012 à 11h43 -- Mis à jour le 30/04/2012 à 11h47
CONSOMMATION - Cette tradition qui remonte à la Renaissance fait surtout les affaires des particuliers...
Comme chaque année, le 1er mai sonne le retour du muguet dans les rues et les magasins, même si les mauvaises conditions climatiques ont retardé sa fleuraison. Une vieille tradition qui remonte à la Renaissance. Charles IX en aurait offert autour de lui en 1561 comme porte-bonheur. Mais ce n'est qu'au début du 20e siècle qu'il sera associé à la Fête du travail, qui date elle-même de 1889. Derrière cette coutume se cache un juteux business. Les ventes représenteraient environ 100 millions d’euros par an. Les deux tiers sont vendus directement sur la voie publique par les particuliers ou les associations. Un procédé inhabituel qui depuis 1936 «fait l'objet de la part des autorités locales d'une tolérance admise à titre exceptionnel», explique la Direction générale de la concurrence et de la répression des fraudes.
L’an dernier, selon une étude TNS Sofres pour FranceAgriMer, les dépenses chez les fleuristes, dans les grandes surfaces et sur les marchés se sont élevées à 32,4 millions d’euros. Sur ce montant, 20,1 millions d’euros ont été dépensés spécifiquement le 1er mai. «12,7 millions d’euros ont été consacrés aux achats de pots de muguet, 7,4 millions d’euros à l’achat de brins», souligne l’enquête. Pour ces derniers, 42,3% des sondés ont dépensé moins de quatre euros, 36,1% de quatre à huit euros, 14% de huit à 15 euros et 7,6% plus de 15 euros.
M.B.
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IBO en Guadeloupe
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Bonjour à toutes et tous!
Juste un petit post pour vous rappelez que ce topic est uniquement réservé aux plan/sujet.exposés pour les oraux!
Pour les diverses questions et les conseils, merci de vous tournez vers le topic de Zackfair : Entretien/question du jury !
MERCI !
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Pour les diverses questions et les conseils, merci de vous tournez vers le topic de Zackfair : Entretien/question du jury !
MERCI !
"Si le destin vous offre encore de quoi vous combler, c'est que le peu que vous ayez puisse encore vous aller"
"Le mieux est l'ennemi du bien"
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Je pense qu'il est judicieux de parler de religion, en tous cas pour ce sujet là, mais sans prendre position étant donné que dans notre carrière d'IDE nous rencontrerons des personnes qui auront des croyances et nous devrons les respecterClémantine a écrit :Le sujet est très bien traité et l'introduction vraiment complète je trouve.
Par contre, dans la deuximèe partie, est-ce qu'on a vraiment le droit de parler de religion ? Tout le monde ne partage pas le point de vue du Dieu qui décide de l'heure de la mort.
"Si le destin vous offre encore de quoi vous combler, c'est que le peu que vous ayez puisse encore vous aller"
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
En effet Naanou, tu as raison.Nanouu a écrit :Je vais essayer de traiter tes oraux merci
Soraya je crois pas qu'on puisse dire la loi de leonetti autorise l'euthanasie passive :/
Sinon le dans le texte législatif ce ne serait pas écrit "droit au laisser mourir" mais "euthanasie passive"
Quelle différence?
Euthanasie passive = absence de traitement du patient condamné. Cela veut dire que même s'il y a un traitement adapté à son cas, on ne l'applique pas.
Droit au laisser mourir = Dans le texte légal il est stipulé que ce droit au laisser mourir est applicable seulement quand la traitement est disproportionné ou inutile. Ce qui veut donc dire que dans le cas ou un traitement s'avère adapté, le patient n'a pas droit au laisser mourir.
PS : Pour un traitement qui est inutile : inutilité = traitement non adapté donc droit possible.
J'ai mis du temps à la trouver cette nuance, mais elle existe!!
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
La prison
I/Problèmes:
- manque d'hygiène
- petite cellule (qq mètre carré)
- pb pour personnes handicapées
- surpopulation carcérale
- probleme d'accès aux soins
II/Solutions:
- alternatives à la prison: bracelet électronique...
- lutte contre illettrisme: apprentissage lecture, calcul et écriture
- + d'hygiène
- favoriser le droit d'expression des détenus
- + de places en prison
cl: la prison est un lieu pour punir et favoriser la réinsertion. Le manque d'hygiène, la surpopulation dans les prisons sont de vrais problèmes. Des solutions existent mais ne sont pas mises en place comme le bracelet électronique, alternative à la prison et qui semble faciliter la réinsertion. Cependant, n'est-il pas + judicieux de lutter contre les problèmes des détenus que d'augmenter les capacités d'accueil des prisons, laissant ainsi demeurer ces problèmes?
I/Problèmes:
- manque d'hygiène
- petite cellule (qq mètre carré)
- pb pour personnes handicapées
- surpopulation carcérale
- probleme d'accès aux soins
II/Solutions:
- alternatives à la prison: bracelet électronique...
- lutte contre illettrisme: apprentissage lecture, calcul et écriture
- + d'hygiène
- favoriser le droit d'expression des détenus
- + de places en prison
cl: la prison est un lieu pour punir et favoriser la réinsertion. Le manque d'hygiène, la surpopulation dans les prisons sont de vrais problèmes. Des solutions existent mais ne sont pas mises en place comme le bracelet électronique, alternative à la prison et qui semble faciliter la réinsertion. Cependant, n'est-il pas + judicieux de lutter contre les problèmes des détenus que d'augmenter les capacités d'accueil des prisons, laissant ainsi demeurer ces problèmes?
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Un nouveau sujet:
Doit-on contraindre un malade atteint de maladie respiratoire d'arrêter de fumer?
Je m'y met de mon côté...
Doit-on contraindre un malade atteint de maladie respiratoire d'arrêter de fumer?
Je m'y met de mon côté...
ESI 2012-2015 à Tarbes
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Sujet 2: L'alcool est-il une drogue?Nanouu a écrit :Un sujets très "casse gueule" je trouve :
L'euthanasie.
et l'autre un peu moins mais qui resort souvent : l'alcool est-il une drogue ?
Intro:
L'alcool est un produi ancré dans les mentalités françaises voire associé à la gastronomie. Consommé en quantité raisonnable, il est synonyme de fête, de convivialité et même de bien-être. Cependant en quantité ou en fréquence plus importante l'alcool n'est-il pas alors associé à une certaine dépendance?
Nous étudierons les deux facettes de l'alcool.
I) Produit gastronomique:
- L'apéritif=fête, convivialité, détente.
-Chaque région possède son alcool ce qui implique une transmission des traditions.
-Le champagne, les vins font partie du terroir français et réputés à travers le monde.
-Dans les mentalités un bon repas doit être associé à un bon vin.
-Certains vantent même les bienfaits d'un verre de vin rouge, riche en anti-oxydants, dans le cadre de la prévention des maladies cardio-vasculaires.
II)Déviations:
- Consommation de plus en plus jeune, chez les adolescents la recherche de l'ivresse est de plus en plus forte et entraine d'autres modes de consommation (alcool dans les yeux, par voie anale)
-Il peut sembler mal vu pour les adolescents de ne pas boire, or le sentiment d'appartenance est fort à cet âge donc certains consomment pour se sentir intégrés.
-Consommation fréquente et régulière: certaines personnes peuvent systématiquement avoir besoin d'un verre d'alcool pour se sentir détendus, et petit à petit augmenter la quantité consommée.
-Le besoin d'alcool peut devenir important au détriment de la qualité, notamment dans les milieux défavorisés.
-Chez les éthyliques lorsqu'ils n'ont plus d'alcool "consommable" peuvent se rabattre sur l'ingestion de parfum, d'alccol désinfectant...
III)Risques:
-Perte financière: perte d'emploi, pas assez d'argent pour tout payer, préfère payer l'alcool
-Mise en danger physique: rique d'accidents de voiture, noyade, chutes ou sauts depuis des balcons... Accidents de plus en plus fréquents chez les jeunes.
-Risque pour autrui: montée de violence, viols, risque accru de trnasmission d'IST
- Favorisation de l'obésité, du diabète, cirrhoses, cancers...
-En cas d'éthylisme les crises de manque apparaissent pouvant aller jusqu'au risque de DT pouvant entraîner la mort (arrêt trop brutal sans produit de substitution)
CCL:
Pour savoir si l'alccol est une drogue il est donc bon de connaître l'utilisation qui en est faite. A bon escient il peut être bénéfique mais si la consommation devient un engrenage, que ce soit en quantité ou en fréquence alors il peut être considéré comme néfaste. En tant que produit associé à une dépendance en tant que soignant il est alors bon d'instaurer une relation de confiance, d'ouvrir le dialogue afin de mettre en oeuvre des méthodes de sevrage.
ESI 2012-2015 à Tarbes