concours Printemps 2012

[Fruits-de-la-passion]

Bonjour,

J'ai passé mon oral à Albi le 11 mai. Nous avons eu un résumé de l'article qui suit, parut dans le journal Libération concernant l'histoire du petit garçon Bastien, 3 ans, mort enfermé par son père dans une machine à laver........
La question " que feriez-vous pour que cela ne se reproduise plus"........
J'aimerai avoir votre avis............

RÉCIT Bastien, martyrisé dans un lave-linge, a été enterré mardi. Sa famille faisait l’objet d’un suivi.

Bastien, 3 ans, est mort il y a quinze jours, après avoir été enfermé par son père dans un lave-linge, qu’il a mis en route.

Mais l’histoire de Bastien est d’abord celle d’un enfant qui a grandi dans une violence quotidienne. Sous de nombreux yeux supposés attentifs : l’école, les services sociaux, les voisins. En multipliant les signaux de détresse : retard de langage, «comportements à risque», agressivité, fugues. Et que rien ni personne n’a sauvé.

Charlène, 25 ans, et Christophe, 33 ans, s’étaient rencontrés il y a huit ans. Tous deux issus de familles socialement défavorisées, ils ont uni leurs désarrois. Une petite fille est née. Puis Bastien, dont Christophe disait qu’il ne le voulait pas. M. a dit que son père avait mis Bastien dans la machine à laver. Que ce n’était pas la première fois. Mais que ce jour-là, à la différence des autres, il avait appuyé sur le bouton.

l’appartement familial de 30 m2, insalubre, est aménagé sous les combles d’une petite maison. Baptisée «le Rivage», elle fait face aux bords de la Marne. Eau grise, saule pleureur, le décor est beau et triste. Au premier étage, Alice, la voisine, ouvre sa fenêtre. C’est elle qui a recueilli Charlène, son fils inanimé dans les bras. Alice dit qu’elle entendait les cris de Charlène quand Christophe la battait. Qu’elle avait vu, aussi, «le petit posé sur le rebord de la fenêtre, accroché avec une corde». Elle a appelé le 119, le numéro de l’enfance en danger. «Cela n’a rien changé.» Charlène et Christophe ne travaillaient pas.

Lui passait ses journées à s’alcooliser et à fumer du cannabis.

En 2010, Christophe a été condamné à deux mois de prison avec sursis pour des violences sur Charlène.

Trois fois par semaine, un employé des services sociaux du département se rendait dans la famille. Ils étaient trois à se relayer : une puéricultrice, un assistant social, et une «travailleuse de l’intervention sociale et familiale».«Jamais ils n’ont constaté de maltraitance»,. Cette famille bénéficiait d’un suivi important.

Peux tu nous dire ce que tu as fait comme plan, et les questions que tu as eues ?

[uranus974]

Oral passé lundi après-midi (IFSI de Saint-Denis de La Réunion).
Le sujet : "Précarité et santé".
Je pense que je m'en suis bien sortie de ce sujet, après beaucoup de questions sur les motivations.
Je ne sais pas si je les ai assez convaincus.
Maintenant, il n'y a plus qu'à attendre les résultats.
Bon courage à tous.

Qu'as tu fais comme plan ?
Merci !

Mon plan :
intro : j'ai défini la précarité, que de nos jours de plus en plus de personnes étaient touchés (étudiants, retraités, travailleurs) du fait du travail précaire et de la crise actuelle.
Dans une première partie j'ai parlé de tout ce qui existait comme aide pour la santé : cmu/cmu-c, qui en bénéficié (rsa), ce que cela avait pour but. J'ai parlé aussi des problèmes rencontrés par ces personnes : refus de soins de certains professionnels de santé. Puis j'ai parlé du fait que tout le monde n'y avait pas accés et pourquoi.
Dans une 2ème partie j'ai parlé que les gens en état de précarité privilégiés le logement et le fait de se nourrir plutôt que de se soigner et les conséquences : maladies graves dépistées trop tard...
Dans ma conclusion, j'ai abordé les solutions qui pourraient être prises par l'Etat et les professionnels de la santé comme étendre la cmu ou bien créer un minimum de cotisation au niveau des complémentaires santé pour que chacun puisse se soigner, des tarifs "d'entrée" pour les dentistes ou les lunettes. Et ma phrase de conclusion : vu l'état de la crise actuelle, si on ne fait rien il y aura de plus en plus de personne qui ne se soigne pas et qu'à terme il y aura un impact sur la santé de tous les français et que cela risquer d'entraîner un engorgement des hôpitaux publics.
Voilà en gros de quoi j'ai parlé. Le jury m'a posé comme question ce que je pensé du système de santé français

[alison.bourget]

Je viens vous raconter mon oral, mon sujet etait " les activités cuisines donne de la vie dans les hopitaux et les etablissements gériatriques "
Quand je suis arrivé devant le jury il m'ont dit qu'il fallait que je parle environ 5 minutes de mon sujet (je croyais que c'était 10) et m'ont dit qu'ils prendraient 5 minutes pour me poser des questions sur ce sujet et qu'ensuite 20 minutes serait consacrées pour les motivations.

Donc pour mon sujet j'ai fait un plan simple avantages et inconvénients et l'un des membres du jury m'a dit que c'était bien et clair.
Et au niveau des motivations les questions était assez simple, j'ai eu des questions sur le métier, la formation, mon parcours, mes experiences ... J'ai repondu clairement donc ils n'ont pas réussi a me pieger (contrairement a mon oral de l'année derniere)

[ibiza84]

Bonjour,

J'ai passé mon oral à Albi le 11 mai. Nous avons eu un résumé de l'article qui suit, parut dans le journal Libération concernant l'histoire du petit garçon Bastien, 3 ans, mort enfermé par son père dans une machine à laver........
La question " que feriez-vous pour que cela ne se reproduise plus"........
J'aimerai avoir votre avis............

RÉCIT Bastien, martyrisé dans un lave-linge, a été enterré mardi. Sa famille faisait l’objet d’un suivi.

Bastien, 3 ans, est mort il y a quinze jours, après avoir été enfermé par son père dans un lave-linge, qu’il a mis en route.

Mais l’histoire de Bastien est d’abord celle d’un enfant qui a grandi dans une violence quotidienne. Sous de nombreux yeux supposés attentifs : l’école, les services sociaux, les voisins. En multipliant les signaux de détresse : retard de langage, «comportements à risque», agressivité, fugues. Et que rien ni personne n’a sauvé.

Charlène, 25 ans, et Christophe, 33 ans, s’étaient rencontrés il y a huit ans. Tous deux issus de familles socialement défavorisées, ils ont uni leurs désarrois. Une petite fille est née. Puis Bastien, dont Christophe disait qu’il ne le voulait pas. M. a dit que son père avait mis Bastien dans la machine à laver. Que ce n’était pas la première fois. Mais que ce jour-là, à la différence des autres, il avait appuyé sur le bouton.

l’appartement familial de 30 m2, insalubre, est aménagé sous les combles d’une petite maison. Baptisée «le Rivage», elle fait face aux bords de la Marne. Eau grise, saule pleureur, le décor est beau et triste. Au premier étage, Alice, la voisine, ouvre sa fenêtre. C’est elle qui a recueilli Charlène, son fils inanimé dans les bras. Alice dit qu’elle entendait les cris de Charlène quand Christophe la battait. Qu’elle avait vu, aussi, «le petit posé sur le rebord de la fenêtre, accroché avec une corde». Elle a appelé le 119, le numéro de l’enfance en danger. «Cela n’a rien changé.» Charlène et Christophe ne travaillaient pas.

Lui passait ses journées à s’alcooliser et à fumer du cannabis.

En 2010, Christophe a été condamné à deux mois de prison avec sursis pour des violences sur Charlène.

Trois fois par semaine, un employé des services sociaux du département se rendait dans la famille. Ils étaient trois à se relayer : une puéricultrice, un assistant social, et une «travailleuse de l’intervention sociale et familiale».«Jamais ils n’ont constaté de maltraitance»,. Cette famille bénéficiait d’un suivi important.

WAHOU ! J'adore ton sujet! Par contre le texte est assez loong, as tu eu vraiment cela lors de l'entretien ? Car je suppose que tu n'avais plus que 5min pour faire le plan. Moi j'aurai fait un plan cause/conscéquences/solution meme si la question porte directement sur que feriez vous?

1. Cause
-Alcool, drogue
-Précarité ( les deux sans travail )
-Psychologique

2.Conscéquences
-Retard de l'enfant
-Traumatisme ( fugues, agressivité ect) qui le suivra a vie et qui aura pour conscéquence:
-Difficulté dans la société ( faire confiance et habitué à la violence )
-Risque que l'enfant perpétue ces violences sur les siens plus tard
-Mort tragique de l'enfant


3.Solution
-Campagne de prévention pour grand public ( pub choc ect )
-Augmenter lees peines ( 2mois pour violences conjugales je trouve sa peu )
-Travail dans les écoles; campagnes d'éducation, de prévention et d'information ( numéro 119) et la intervient l'infirmiere et nottamment scolaire.
-Signalez les services sociaux si on constate un probleme + je pense qu'il va dans l'intéret de l'enfant d'etre placé dans une famille..

Voila ce que j'ai trouvé brievement, je l'ai fait en 10min. Et toi qu'as tu fait?

[Juliette746]

Encore 3 semaines avant les résultats

C'est loooooooonnnnnnnngggggggggggg


Tout les soirs, je refais mon oral dans mon lit
Je m'endors dessus et me reveille dessus
Tout ce que je regarde à la télé m'y fait penser


Bref, comme vous tous surement, je PSYCHOTTE

Te plains pas angelo, toi au contraire tu as bientôt tes résultats !! Pour ma part et pour beaucoup d'autres c'est fin juin début juillet ! Aller, profites justement de ces jours ci pour faire autre chose, occupe toi, amuse toi, et le temps passera beaucoup plus vite !!

[Juliette746]

Bonjour,

J'ai passé mon oral à Albi le 11 mai. Nous avons eu un résumé de l'article qui suit, parut dans le journal Libération concernant l'histoire du petit garçon Bastien, 3 ans, mort enfermé par son père dans une machine à laver........
La question " que feriez-vous pour que cela ne se reproduise plus"........
J'aimerai avoir votre avis............

RÉCIT Bastien, martyrisé dans un lave-linge, a été enterré mardi. Sa famille faisait l’objet d’un suivi.

Bastien, 3 ans, est mort il y a quinze jours, après avoir été enfermé par son père dans un lave-linge, qu’il a mis en route.

Mais l’histoire de Bastien est d’abord celle d’un enfant qui a grandi dans une violence quotidienne. Sous de nombreux yeux supposés attentifs : l’école, les services sociaux, les voisins. En multipliant les signaux de détresse : retard de langage, «comportements à risque», agressivité, fugues. Et que rien ni personne n’a sauvé.

Charlène, 25 ans, et Christophe, 33 ans, s’étaient rencontrés il y a huit ans. Tous deux issus de familles socialement défavorisées, ils ont uni leurs désarrois. Une petite fille est née. Puis Bastien, dont Christophe disait qu’il ne le voulait pas. M. a dit que son père avait mis Bastien dans la machine à laver. Que ce n’était pas la première fois. Mais que ce jour-là, à la différence des autres, il avait appuyé sur le bouton.

l’appartement familial de 30 m2, insalubre, est aménagé sous les combles d’une petite maison. Baptisée «le Rivage», elle fait face aux bords de la Marne. Eau grise, saule pleureur, le décor est beau et triste. Au premier étage, Alice, la voisine, ouvre sa fenêtre. C’est elle qui a recueilli Charlène, son fils inanimé dans les bras. Alice dit qu’elle entendait les cris de Charlène quand Christophe la battait. Qu’elle avait vu, aussi, «le petit posé sur le rebord de la fenêtre, accroché avec une corde». Elle a appelé le 119, le numéro de l’enfance en danger. «Cela n’a rien changé.» Charlène et Christophe ne travaillaient pas.

Lui passait ses journées à s’alcooliser et à fumer du cannabis.

En 2010, Christophe a été condamné à deux mois de prison avec sursis pour des violences sur Charlène.

Trois fois par semaine, un employé des services sociaux du département se rendait dans la famille. Ils étaient trois à se relayer : une puéricultrice, un assistant social, et une «travailleuse de l’intervention sociale et familiale».«Jamais ils n’ont constaté de maltraitance»,. Cette famille bénéficiait d’un suivi important.

WAHOU ! J'adore ton sujet! Par contre le texte est assez loong, as tu eu vraiment cela lors de l'entretien ? Car je suppose que tu n'avais plus que 5min pour faire le plan. Moi j'aurai fait un plan cause/conscéquences/solution meme si la question porte directement sur que feriez vous?

1. Cause
-Alcool, drogue
-Précarité ( les deux sans travail )
-Psychologique

2.Conscéquences
-Retard de l'enfant
-Traumatisme ( fugues, agressivité ect) qui le suivra a vie et qui aura pour conscéquence:
-Difficulté dans la société ( faire confiance et habitué à la violence )
-Risque que l'enfant perpétue ces violences sur les siens plus tard
-Mort tragique de l'enfant


3.Solution
-Campagne de prévention pour grand public ( pub choc ect )
-Augmenter lees peines ( 2mois pour violences conjugales je trouve sa peu )
-Travail dans les écoles; campagnes d'éducation, de prévention et d'information ( numéro 119) et la intervient l'infirmiere et nottamment scolaire.
-Signalez les services sociaux si on constate un probleme + je pense qu'il va dans l'intéret de l'enfant d'etre placé dans une famille..

Voila ce que j'ai trouvé brievement, je l'ai fait en 10min. Et toi qu'as tu fait?

Je trouve ton plan très bien mais je crois qu'il est inapproprié J'pense que là le but c'était de se mettre dans la peau d'une des personnes qui les aidait .. Après je dis ça, je dis rien .. Texte très émouvant, histoire qui m'a choquée, mais après que faire de plus sinon que d'être attentif au moindre détail pour détecter la maltraitance ? (et puis laisser un gamin aux bras d'un père alcoolique et drogué... ils auraient du être encore + "méfiants"). BREF

[Nyco]

Hello,

Effectivement l'histoire de ce petit garçon est d'une tristesse monstre.

Par contre, je sèche sur les solutions qu'il semblerait bon de prendre ou l'attitude qu'il serait judicieux d'adopter pour éviter des fins aussi tragiques.

L'article témoigne d'un certain nombre de mesures qui, si malheureusement elles n'ont eu l'effet espéré, semblaient déjà énormément encadrer la famille en question.

A part partir dans des mesures plus "dures" avec un retrait précoce de l'enfant de son milieu familial, je ne vois pas quoi proposer

[micke18ans]

j'ai aussi passée mon oral cet après-midi à nantes
le sujet "l'alimentation, c'est un plaisir"
j'ai bidouillé un plan pas terrible, je comptais me rattraper sur la motivation.
apres avoir fait mon exposé, j'ai expliquer le fait que j'étais pas à l'aise avec le sujet bah jury vicieux il m'ont sortie les vers du nez sur le sujet
et je n'ai eu qu'une question
etes vous consciente du travail à fournir?
rien d'autre elle m'ont coupées tout le temps, soupirais, l'autre regardais par la fenetre, la psy reformulais les questions avec des mots simples et dessinait tous le temps que, a la fin elles m'ont dit "autre chose a ajouter?" j'ai voulu en profiter et elle m'ont dit bon on a pas que ca à faire il y a d'autres candidat enfin la demi heure est passée.
super démoralisé

J'y étais aussi, meme sujet. Par contre jury bien plus respectueux.
a+

[heyou]

Bonjour!
Je viens vous raconter mon oral passé la semaine dernière!
au niveau de l'entretient on m'a demandé pourquoi ce métier , ce que je sait de la formation, si j'ai déjà travaillé à l'hopital, mon age, où j'habite, mes défauts..
je ne sait pas trop quoi en penser, à la fin la dame m'a dit bonne continuation (mauvais signe??!).

[Meel-y]

Ouuuah il est super le sujet sur l'enfant , même si il est assez triste , ça demeure une réalité .

Olala Angelo je psychote aussi si tu savais , C'est quand tes résultats ? Moi c'est tous le 7 Juin , et j'en ai passé qu'un pour l'instant , les autres je les passe le 21 et le 25^^
PS : Plus j'y pense plus je me dit que c'est mort aussi

[britten12]

Bonjour,

J'ai passé mon oral à Albi le 11 mai. Nous avons eu un résumé de l'article qui suit, parut dans le journal Libération concernant l'histoire du petit garçon Bastien, 3 ans, mort enfermé par son père dans une machine à laver........
La question " que feriez-vous pour que cela ne se reproduise plus"........
J'aimerai avoir votre avis............

RÉCIT Bastien, martyrisé dans un lave-linge, a été enterré mardi. Sa famille faisait l’objet d’un suivi.

Bastien, 3 ans, est mort il y a quinze jours, après avoir été enfermé par son père dans un lave-linge, qu’il a mis en route.

Mais l’histoire de Bastien est d’abord celle d’un enfant qui a grandi dans une violence quotidienne. Sous de nombreux yeux supposés attentifs : l’école, les services sociaux, les voisins. En multipliant les signaux de détresse : retard de langage, «comportements à risque», agressivité, fugues. Et que rien ni personne n’a sauvé.

Charlène, 25 ans, et Christophe, 33 ans, s’étaient rencontrés il y a huit ans. Tous deux issus de familles socialement défavorisées, ils ont uni leurs désarrois. Une petite fille est née. Puis Bastien, dont Christophe disait qu’il ne le voulait pas. M. a dit que son père avait mis Bastien dans la machine à laver. Que ce n’était pas la première fois. Mais que ce jour-là, à la différence des autres, il avait appuyé sur le bouton.

l’appartement familial de 30 m2, insalubre, est aménagé sous les combles d’une petite maison. Baptisée «le Rivage», elle fait face aux bords de la Marne. Eau grise, saule pleureur, le décor est beau et triste. Au premier étage, Alice, la voisine, ouvre sa fenêtre. C’est elle qui a recueilli Charlène, son fils inanimé dans les bras. Alice dit qu’elle entendait les cris de Charlène quand Christophe la battait. Qu’elle avait vu, aussi, «le petit posé sur le rebord de la fenêtre, accroché avec une corde». Elle a appelé le 119, le numéro de l’enfance en danger. «Cela n’a rien changé.» Charlène et Christophe ne travaillaient pas.

Lui passait ses journées à s’alcooliser et à fumer du cannabis.

En 2010, Christophe a été condamné à deux mois de prison avec sursis pour des violences sur Charlène.

Trois fois par semaine, un employé des services sociaux du département se rendait dans la famille. Ils étaient trois à se relayer : une puéricultrice, un assistant social, et une «travailleuse de l’intervention sociale et familiale».«Jamais ils n’ont constaté de maltraitance»,. Cette famille bénéficiait d’un suivi important.

WAHOU ! J'adore ton sujet! Par contre le texte est assez loong, as tu eu vraiment cela lors de l'entretien ? Car je suppose que tu n'avais plus que 5min pour faire le plan. Moi j'aurai fait un plan cause/conscéquences/solution meme si la question porte directement sur que feriez vous?

1. Cause
-Alcool, drogue
-Précarité ( les deux sans travail )
-Psychologique

2.Conscéquences
-Retard de l'enfant
-Traumatisme ( fugues, agressivité ect) qui le suivra a vie et qui aura pour conscéquence:
-Difficulté dans la société ( faire confiance et habitué à la violence )
-Risque que l'enfant perpétue ces violences sur les siens plus tard
-Mort tragique de l'enfant


3.Solution
-Campagne de prévention pour grand public ( pub choc ect )
-Augmenter lees peines ( 2mois pour violences conjugales je trouve sa peu )
-Travail dans les écoles; campagnes d'éducation, de prévention et d'information ( numéro 119) et la intervient l'infirmiere et nottamment scolaire.
-Signalez les services sociaux si on constate un probleme + je pense qu'il va dans l'intéret de l'enfant d'etre placé dans une famille..

Voila ce que j'ai trouvé brievement, je l'ai fait en 10min. Et toi qu'as tu fait?

Je trouve ton plan très bien mais je crois qu'il est inapproprié J'pense que là le but c'était de se mettre dans la peau d'une des personnes qui les aidait .. Après je dis ça, je dis rien .. Texte très émouvant, histoire qui m'a choquée, mais après que faire de plus sinon que d'être attentif au moindre détail pour détecter la maltraitance ? (et puis laisser un gamin aux bras d'un père alcoolique et drogué... ils auraient du être encore + "méfiants"). BREF

j'aurais fait le même plan que ibiza causes, conséquences, solutions mais c'est vrai qu'il fallait peut-être rajouter en solutions: - prendre vraiment en compte la parole de l'enfant (pédopsy...ils étaient où dans le suivi de ces enfants ?) quelle histoire choquante en tout cas

[julitoune]

WAHOU ! J'adore ton sujet! Par contre le texte est assez loong, as tu eu vraiment cela lors de l'entretien ? Car je suppose que tu n'avais plus que 5min pour faire le plan. Moi j'aurai fait un plan cause/conscéquences/solution meme si la question porte directement sur que feriez vous?

[/quote]


non, je te confirme, nous avons eu un résumé de ce texte. c'était plus court.
J'avoue j'avais pas vraiment de plan car j'ai préparé mon concours seul et faire des plans sur les sujets, pas eu le temps de m'y penché......

Sinon moi je suis parti différemment.

1. qui dit violence conjugale dit violence collatérale, pour l'entourage notamment les enfants (violence physique et psychologique) donc ils étaient en potentiel danger.

2. Ensuite pour moi la famille était déjà suivie mais malheureusement la justice est faite ainsi, tant qu'on ne voit pas la violence on peut rien faire. Le père n'allait pas battre son fils , ni boire ni fumer devant l'AS. Ce que je veux dire c'est que si les possibilités d'intervention sont limitées et dans ce cas inefficace, la solution aurait été non pas deux mois de prison pour le papa mais 2 mois de soins.
Il a été sanctionné mais pas soigné. Ni pour les drogues ni pour la violence.
D'ailleurs il a surement été plus violent après?

3. ensuite j'ai dis qu'il y a avait plus d'enfants qui mouraient chaque jour que de femmes, suite à des violences. On ne le sait pas car la plupart sont des enfants de moins d'un an et le diagnostic est : mort subite du nourrisson.
Donc j'ai aussi proposé une formation plus spécifique pour l'équipe soignante à détecter la violence chez les nourrissons et une capacité d'intervention plus rodée....

Mon exposé n'est pas vraiment structuré mais j'ai insisté sur le soin et le fait de prendre le problème à la source...... Une fois fini, aucune question sur le sujet. Du coup , je panique un peu.

[julitoune]

pardon pour toutes les fautes..........pas de relecture

[priincesa13]

Oral passé lundi après-midi (IFSI de Saint-Denis de La Réunion).
Le sujet : "Précarité et santé".

Qu'as tu fais comme plan ?
Merci !

Mon plan :
intro : j'ai défini la précarité, que de nos jours de plus en plus de personnes étaient touchés (étudiants, retraités, travailleurs) du fait du travail précaire et de la crise actuelle.
Dans une première partie j'ai parlé de tout ce qui existait comme aide pour la santé : cmu/cmu-c, qui en bénéficié (rsa), ce que cela avait pour but. J'ai parlé aussi des problèmes rencontrés par ces personnes : refus de soins de certains professionnels de santé. Puis j'ai parlé du fait que tout le monde n'y avait pas accés et pourquoi.
Dans une 2ème partie j'ai parlé que les gens en état de précarité privilégiés le logement et le fait de se nourrir plutôt que de se soigner et les conséquences : maladies graves dépistées trop tard...
Dans ma conclusion, j'ai abordé les solutions qui pourraient être prises par l'Etat et les professionnels de la santé comme étendre la cmu ou bien créer un minimum de cotisation au niveau des complémentaires santé pour que chacun puisse se soigner, des tarifs "d'entrée" pour les dentistes ou les lunettes. Et ma phrase de conclusion : vu l'état de la crise actuelle, si on ne fait rien il y aura de plus en plus de personne qui ne se soigne pas et qu'à terme il y aura un impact sur la santé de tous les français et que cela risquer d'entraîner un engorgement des hôpitaux publics.
Voilà en gros de quoi j'ai parlé. Le jury m'a posé comme question ce que je pensé du système de santé français

dis moi pourquoi tt le monde n'a pas accès au soin ?
et qu'a tu dis a propos du système de santé français ?

[Juliette746]

Après pour son opinion sur le système de santé français, bah c'est la sienne .. Ca t'avance à pas beaucoup de savoir ce qu'il a dit puisqu'après lui sait l'argumenter .. T'as pas du tout une opinion sur le système de santé français toi ?? (Dsl si c'est une fille, j'ai mis "il" partt ^^)