Culture Générale
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- Fruits-de-la-passion
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Bonjour
Pourriez vous m'aider SVP? Je m'entraîne à l'oral pour l'exposé et je ne parviens pas à trouver de plan pour un sujet qui serait simplement: "les jeunes." avez vous des idées ?
Merci !
Pourriez vous m'aider SVP? Je m'entraîne à l'oral pour l'exposé et je ne parviens pas à trouver de plan pour un sujet qui serait simplement: "les jeunes." avez vous des idées ?
Merci !
Maman de 2 enfants en reconversion professionnelle...
Admiiiiiiise !
ESI (février) 2013-2016 !
Admiiiiiiise !
ESI (février) 2013-2016 !
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Ne stresses pas!Zackfair a écrit :oui je sais même pas comment j'ai fais pour ne pas y penser franchement ça m'énerve, d'habitude j'y arrive et là nn !!
1/Le coefficient de la partie CG est minime.
2/Si tu as réussi à défendre ton plan il n'y a pas de raison qu'ils te pénalisent
3/Pour le prochain tu feras mieux!!

Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Actualités 2012
Des neurones tout neufs, bons pour la mémoire
A quoi donc peuvent bien servir les néo-neurones ? Des chercheurs de l'Institut Pasteur et du CNRS àç Paris, ont identifié chez la souris, le rôle de ces neurones formés par le cerveau adulte lui-même. Des neurones contrairement à ce que l'on a cru longtemps, formés tout au long de la vie… Stimulés par un flash lumineux, ils amélioreraient les capacités d'apprentissage et de mémorisation de certaines tâches difficiles. Et c'est une sacrée bonne nouvelle.
La découverte de ces néo-neurones avait fait grand bruit en 2003. Elle mettait à mal le dogme selon lequel le nombre de neurones serait défini dès la naissance. Aujourd'hui ces néo-neurones ainsi qu'on les appelle, livrent quelques-uns de leurs secrets.
Pierre-Marie Lledo et son équipe de l'Unité Perception et Mémoire (Institut Pasteur/CNRS), viennent de mettre en évidence chez la souris, le rôle de ces néo-neurones formés à l'âge adulte. Ils ont démontré que ces derniers, dès lors qu'ils sont stimulés par un flash lumineux, facilitent l'apprentissage et la mémorisation de tâches complexes. Ce flash lumineux a été obtenu grâce à une technique particulière, dite d'optigénétique.
Au-delà du rôle fonctionnel qu'elle établit, cette découverte réaffirme le lien entre « l'humeur » - définie par la stimulation lumineuse - et l'activité cérébrale. La curiosité, l'éveil et le plaisir favorisent la formation de néo-neurones. Et grâce à ces derniers, l'acquisition de nouvelles compétences cognitives est facilitée.
A l'inverse, un état dépressif se répercute sur la production de nouveaux neurones et déclenche un cercle vicieux qui entretient cet état d'abattement. Ces résultats pourraient se révéler utiles pour la mise au point de protocoles thérapeutiques contre le développement des maladies neurologiques ou psychiatriques.
A quoi donc peuvent bien servir les néo-neurones ? Des chercheurs de l'Institut Pasteur et du CNRS àç Paris, ont identifié chez la souris, le rôle de ces neurones formés par le cerveau adulte lui-même. Des neurones contrairement à ce que l'on a cru longtemps, formés tout au long de la vie… Stimulés par un flash lumineux, ils amélioreraient les capacités d'apprentissage et de mémorisation de certaines tâches difficiles. Et c'est une sacrée bonne nouvelle.
La découverte de ces néo-neurones avait fait grand bruit en 2003. Elle mettait à mal le dogme selon lequel le nombre de neurones serait défini dès la naissance. Aujourd'hui ces néo-neurones ainsi qu'on les appelle, livrent quelques-uns de leurs secrets.
Pierre-Marie Lledo et son équipe de l'Unité Perception et Mémoire (Institut Pasteur/CNRS), viennent de mettre en évidence chez la souris, le rôle de ces néo-neurones formés à l'âge adulte. Ils ont démontré que ces derniers, dès lors qu'ils sont stimulés par un flash lumineux, facilitent l'apprentissage et la mémorisation de tâches complexes. Ce flash lumineux a été obtenu grâce à une technique particulière, dite d'optigénétique.
Au-delà du rôle fonctionnel qu'elle établit, cette découverte réaffirme le lien entre « l'humeur » - définie par la stimulation lumineuse - et l'activité cérébrale. La curiosité, l'éveil et le plaisir favorisent la formation de néo-neurones. Et grâce à ces derniers, l'acquisition de nouvelles compétences cognitives est facilitée.
A l'inverse, un état dépressif se répercute sur la production de nouveaux neurones et déclenche un cercle vicieux qui entretient cet état d'abattement. Ces résultats pourraient se révéler utiles pour la mise au point de protocoles thérapeutiques contre le développement des maladies neurologiques ou psychiatriques.
l' Ailge: TP:8.50 CG:13 ORAL:16.50 26 eme sr list comp PRISE 
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente

Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Petit conseil pour les sujets tel que celui là sans question posée.Fruits-de-la-passion a écrit :Bonjour
Pourriez vous m'aider SVP? Je m'entraîne à l'oral pour l'exposé et je ne parviens pas à trouver de plan pour un sujet qui serait simplement: "les jeunes." avez vous des idées ?
Merci !
Un plan type qui fonctionne bien la plupart du temps:
1)contexte (parler de la jeunesse aujourd'hui)
2)Difficultés (difficultés et dangers auxquels sont exposés les jeunes)
3)Solutions/aspects positifs (soutien institutionnel, familial, prévention...)
Je détaille pas volontairement pour vous laisser tergiverser un peu dessus

28 ans et en reconversion professionnelle, désormais IDE!
Re: Actualités 2012
Hypertension : les bienfaits de l'activité physique
Une pratique modérée réduit le risque de 26% chez les personnes génétiquement prédisposées.
L'hypertension artérielle est une histoire de famille. Lorsqu'un parent est hypertendu, les enfants multiplient par deux le risque de le devenir à leur tour. Il est cependant possible de conjurer le sort en pratiquant une activité physique régulière, selon les résultats d'une étude américaine publiée dans la revue Hypertension.
L'équipe du Dr Robin Shook de l'université de Caroline du Sud a suivi pendant cinq ans quelque 6000 personnes dont un tiers avait un parent hypertendu. Lorsque l'étude a commencé, tous les patients étaient en bonne santé et n'avaient signalé aucun diagnostic d'hypertension. Les chercheurs ont évalué leur niveau d'activité physique et ont suivi l'évolution de leur état de santé.
Sur les cinq ans, un quart de ces 6.000 personnes sont devenues hypertendues. Mais, chez les sujets présentant des antécédents familiaux, le risque de développer cette pathologie diminue de 34 % lorsqu'ils font régulièrement de l'exercice physique. Pour l'ensemble des participants, une pratique intensive de remise en forme est associée à une baisse de 42 % du risque de développer une hypertension artérielle. Cette diminution est de 26 % en cas de pratique modérée.
Bonne nouvelle: il est inutile de passer des heures en salle de gymnastique pour escompter un bénéfice. «Les résultats de cette étude expriment un message très pratique: une quantité modérée et réaliste d'exercice - cela peut se traduire par environ deux heures de marche rapide chaque semaine - peut apporter un grand nombre de bienfaits, notamment chez les personnes prédisposées à développer un problème d'hypertension en raison de leurs antécédents familiaux», souligne le Dr Robin Shook.
«70 % des hypertendus ont plus de 60 ans»
L'étude montre également que les personnes sportives avec un antécédent familial d'hypertension voient leur risque d'hypertension augmenté de seulement 16 % par rapport aux sportifs sans antécédents familiaux.
En cas de prédisposition génétique à l'hypertension, la pratique d'un sport d'endurance apparaît donc comme un bon moyen de retarder l'entrée dans la maladie en préservant un peu plus longtemps la santé des artères. Car l'hypertension est un trouble du vieillissement: «70 % des hypertendus ont plus de 60 ans», rappelle le professeur Xavier Girerd, hypertensiologue à l'hôpital de la Pitié-Salpétrière, à Paris.
Cette maladie silencieuse, responsable de crises cardiaques ou d'accidents vasculaires cérébraux, touche 12 millions de Français. Le seuil retenu pour être considéré hypertendu est de 140/90 millimètres de mercure. «L'hypertension augmente de façon continue au-delà d'un certain seuil. On ne se réveille pas avec 16/11 du jour au lendemain», explique le professeur Jean-Jacques Mourad, président du Comité français de lutte contre l'hypertension artérielle. «La pression va s'élever d'autant plus rapidement que la génétique et l'environnement sont défavorables.»
Pour le Pr Mourad, il est désormais primordial de sensibiliser les hommes de 40 ans dont la pression artérielle se situe dans les zones supérieures (13/8) sans être considérée comme pathologique. «Car c'est à cet âge que les hommes se sédentarisent, prennent du poids.» Or, la prise de poids entre 30 et 50 ans accélère l'apparition de la pression artérielle. À l'inverse, les hommes en surpoids qui perdent 5 kg en six mois, maintiennent cette perte de poids et pratiquent une activité d'endurance, diminuent de 65 % le risque de développer une hypertension dans les cinq à dix ans.
Trois fois par semaine
Autre avantage de l'activité sportive: elle agit directement sur les artères. «Le sport améliore la fonction de l'artère qui va rester jeune plus longtemps et, par conséquent, secréter moins de substances favorisant sa rigidité ainsi que les dépôts de cholestérol. Le sport diminue également l'activité du nerf sympathique qui augmente la fréquence cardiaque. Il accélère également le nerf vague impliqué, lui aussi, dans le ralentissement de la fréquence cardiaque», explique le professeur Claire Mounier Vehier, cardiologue au CHRU de Lille.
Pour assouplir les artères, les médecins recommandent une activité d'endurance (vélo, jogging, natation… ) 20 à 40 minutes trois fois par semaine. Pour les femmes, à la ménopause, période critique pour l'apparition de l'hypertension il est même conseillé de passer à 60 minutes trois fois par semaine… L'investissement, en temps, peut paraître lourd mais il se révèle payant. Car, une fois l'hypertension diagnostiquée, le traitement médicamenteux s'impose à vie. L'exercice physique sera plus que jamais conseillé pour aider à diminuer la pression artérielle, mais ne la fera pas disparaître.
Une pratique modérée réduit le risque de 26% chez les personnes génétiquement prédisposées.
L'hypertension artérielle est une histoire de famille. Lorsqu'un parent est hypertendu, les enfants multiplient par deux le risque de le devenir à leur tour. Il est cependant possible de conjurer le sort en pratiquant une activité physique régulière, selon les résultats d'une étude américaine publiée dans la revue Hypertension.
L'équipe du Dr Robin Shook de l'université de Caroline du Sud a suivi pendant cinq ans quelque 6000 personnes dont un tiers avait un parent hypertendu. Lorsque l'étude a commencé, tous les patients étaient en bonne santé et n'avaient signalé aucun diagnostic d'hypertension. Les chercheurs ont évalué leur niveau d'activité physique et ont suivi l'évolution de leur état de santé.
Sur les cinq ans, un quart de ces 6.000 personnes sont devenues hypertendues. Mais, chez les sujets présentant des antécédents familiaux, le risque de développer cette pathologie diminue de 34 % lorsqu'ils font régulièrement de l'exercice physique. Pour l'ensemble des participants, une pratique intensive de remise en forme est associée à une baisse de 42 % du risque de développer une hypertension artérielle. Cette diminution est de 26 % en cas de pratique modérée.
Bonne nouvelle: il est inutile de passer des heures en salle de gymnastique pour escompter un bénéfice. «Les résultats de cette étude expriment un message très pratique: une quantité modérée et réaliste d'exercice - cela peut se traduire par environ deux heures de marche rapide chaque semaine - peut apporter un grand nombre de bienfaits, notamment chez les personnes prédisposées à développer un problème d'hypertension en raison de leurs antécédents familiaux», souligne le Dr Robin Shook.
«70 % des hypertendus ont plus de 60 ans»
L'étude montre également que les personnes sportives avec un antécédent familial d'hypertension voient leur risque d'hypertension augmenté de seulement 16 % par rapport aux sportifs sans antécédents familiaux.
En cas de prédisposition génétique à l'hypertension, la pratique d'un sport d'endurance apparaît donc comme un bon moyen de retarder l'entrée dans la maladie en préservant un peu plus longtemps la santé des artères. Car l'hypertension est un trouble du vieillissement: «70 % des hypertendus ont plus de 60 ans», rappelle le professeur Xavier Girerd, hypertensiologue à l'hôpital de la Pitié-Salpétrière, à Paris.
Cette maladie silencieuse, responsable de crises cardiaques ou d'accidents vasculaires cérébraux, touche 12 millions de Français. Le seuil retenu pour être considéré hypertendu est de 140/90 millimètres de mercure. «L'hypertension augmente de façon continue au-delà d'un certain seuil. On ne se réveille pas avec 16/11 du jour au lendemain», explique le professeur Jean-Jacques Mourad, président du Comité français de lutte contre l'hypertension artérielle. «La pression va s'élever d'autant plus rapidement que la génétique et l'environnement sont défavorables.»
Pour le Pr Mourad, il est désormais primordial de sensibiliser les hommes de 40 ans dont la pression artérielle se situe dans les zones supérieures (13/8) sans être considérée comme pathologique. «Car c'est à cet âge que les hommes se sédentarisent, prennent du poids.» Or, la prise de poids entre 30 et 50 ans accélère l'apparition de la pression artérielle. À l'inverse, les hommes en surpoids qui perdent 5 kg en six mois, maintiennent cette perte de poids et pratiquent une activité d'endurance, diminuent de 65 % le risque de développer une hypertension dans les cinq à dix ans.
Trois fois par semaine
Autre avantage de l'activité sportive: elle agit directement sur les artères. «Le sport améliore la fonction de l'artère qui va rester jeune plus longtemps et, par conséquent, secréter moins de substances favorisant sa rigidité ainsi que les dépôts de cholestérol. Le sport diminue également l'activité du nerf sympathique qui augmente la fréquence cardiaque. Il accélère également le nerf vague impliqué, lui aussi, dans le ralentissement de la fréquence cardiaque», explique le professeur Claire Mounier Vehier, cardiologue au CHRU de Lille.
Pour assouplir les artères, les médecins recommandent une activité d'endurance (vélo, jogging, natation… ) 20 à 40 minutes trois fois par semaine. Pour les femmes, à la ménopause, période critique pour l'apparition de l'hypertension il est même conseillé de passer à 60 minutes trois fois par semaine… L'investissement, en temps, peut paraître lourd mais il se révèle payant. Car, une fois l'hypertension diagnostiquée, le traitement médicamenteux s'impose à vie. L'exercice physique sera plus que jamais conseillé pour aider à diminuer la pression artérielle, mais ne la fera pas disparaître.
l' Ailge: TP:8.50 CG:13 ORAL:16.50 26 eme sr list comp PRISE 
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente

Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
merci !sabifeez a écrit :Petit conseil pour les sujets tel que celui là sans question posée.Fruits-de-la-passion a écrit :Bonjour
Pourriez vous m'aider SVP? Je m'entraîne à l'oral pour l'exposé et je ne parviens pas à trouver de plan pour un sujet qui serait simplement: "les jeunes." avez vous des idées ?
Merci !
Un plan type qui fonctionne bien la plupart du temps:
1)contexte (parler de la jeunesse aujourd'hui)
2)Difficultés (difficultés et dangers auxquels sont exposés les jeunes)
3)Solutions/aspects positifs (soutien institutionnel, familial, prévention...)
Je détaille pas volontairement pour vous laisser tergiverser un peu dessus
je n'y aurais pas pensé
oui !!!!!Memo a écrit :Ne stresses pas!Zackfair a écrit :oui je sais même pas comment j'ai fais pour ne pas y penser franchement ça m'énerve, d'habitude j'y arrive et là nn !!
1/Le coefficient de la partie CG est minime.
2/Si tu as réussi à défendre ton plan il n'y a pas de raison qu'ils te pénalisent
3/Pour le prochain tu feras mieux!!


Se faire battre est excusable,se faire surprendre est inexcusable Napoléon
La sagesse de la vie est toujours plus large et plus profonde que celle des hommes Maxime Gorki
ESI 12/15:S1/S2 validés
La sagesse de la vie est toujours plus large et plus profonde que celle des hommes Maxime Gorki
ESI 12/15:S1/S2 validés
Re: Actualités 2012
Les nouveaux ados, leur sexualité et leurs amours
Au moment de l'adolescence, les garçons se découvrent une âme de chasseur et ne pensent qu'à ça. Mais les filles ne sont pas en reste : elles peuvent traverser la cour de récréation, se planter devant celui qu'elles ont repéré et lui demander, en le regardant droit dans les yeux, s'il veut sortir avec elle ! Autres temps, autres moeurs. À l'époque d'Internet (et de l'accès facile aux images les plus osées) et des "lolitas", il est parfois difficile de suivre l'évolution des jeunes. D'où l'intérêt du guide* que viennent de publier le Dr Sylvain Mimoun et Rica Étienne. Ce duo parfaitement rodé - le médecin spécialiste de la sexualité et la journaliste santé n'en sont pas à leur premier ouvrage - a cette fois fait appel au dessinateur Philippe Tastet pour illustrer ses propos.
Leur ouvrage s'adresse, selon leur introduction, aux filles et aux garçons de 12 à 18 ans. Un âge où se produit le grand chambardement de la puberté, des premiers flirts, du premier amour. Un âge où les copains priment et où les parents deviennent "envahissants". Mais, contrairement à ce qu'écrivent les auteurs, ce livre intéressera aussi les pères et les mères souvent déboussolés. Car si nous sommes tous passés par l'adolescence, il faut parfois un décodeur pour suivre les évolutions des ados.
Pornographie
"Pour être aimée, une femme est prête à tout, même à faire l'amour ; pour faire l'amour, un homme est prêt à tout, même à aimer." Cette phrase résume bien les différences entre les sexes, et cela de tout temps. Aujourd'hui encore, six filles sur dix rattachent l'acte sexuel aux sentiments. Pour six garçons sur dix, l'impulsion de départ est un désir, la curiosité, l'envie d'épater les copains ou de prouver sa virilité.
Fait plus nouveau, 71 % des garçons et 40 % des filles de 14 à 19 ans ont déjà regardé des photos pornographiques. 30 % des garçons de 15 ans ont vu au moins dix films pornos dans l'année. Les images d'autrefois, avec la représentation de corps nus dans les différentes positions de l'amour, laissaient libre cours à l'imaginaire, notent les auteurs, alors que celles d'aujourd'hui (DVD, jeux...) montrent précisément les choses. "Trop en voir diminue certains doutes, mais en crée d'autres, écrivent-ils. Les seins gros comme des melons, la taille des sexes exposés et le temps des érections créent des frustrations."
Sex-toys
D'autre part, après que la styliste Sonia Rykiel a transformé le petit canard de notre enfance en vibromasseur, les offres se sont multipliées au rayon du plaisir. Le rouge à lèvres qui sert de joujou vibrant et caressant, les anneaux pour augmenter les sensations des garçons et de leur partenaire, les lubrifiants susceptibles de déclencher des perceptions insolites, chauffantes ou refroidissantes, rien n'échappe aux jeunes. Pourtant, le Dr Mimoun estime que les sex-toys sont des gadgets destinés à booster une libido un peu fatiguée et qu'ils n'ont aucune utilité au début de la vie sexuelle.
Enfin, les auteurs mettent en garde contre les soirées qui associent alcool, drogue, sexe, défi et imagination, comme on peut facilement en voir sur YouTube. Des jeunes de tous milieux, âgés en moyenne de 16 à 18 ans, s'y affichent en vêtements courts et moulants, avec une cape de Batman et un masque d'animal. Ils se roulent des pelles à gorge déployée et parlent eux-mêmes de soirées décadentes. Ce phénomène est-il marginal ? Nul ne peut le dire pour l'instant. Quant aux soirées "binge drinking", dont le but est de boire le plus possible, leur fréquence inquiète tous les responsables de santé publique. Et évidemment aussi les parents, qui ne savent pas quoi faire. Ce livre - qui s'adresse aux ados - ne leur apporte pas la solution...
Au moment de l'adolescence, les garçons se découvrent une âme de chasseur et ne pensent qu'à ça. Mais les filles ne sont pas en reste : elles peuvent traverser la cour de récréation, se planter devant celui qu'elles ont repéré et lui demander, en le regardant droit dans les yeux, s'il veut sortir avec elle ! Autres temps, autres moeurs. À l'époque d'Internet (et de l'accès facile aux images les plus osées) et des "lolitas", il est parfois difficile de suivre l'évolution des jeunes. D'où l'intérêt du guide* que viennent de publier le Dr Sylvain Mimoun et Rica Étienne. Ce duo parfaitement rodé - le médecin spécialiste de la sexualité et la journaliste santé n'en sont pas à leur premier ouvrage - a cette fois fait appel au dessinateur Philippe Tastet pour illustrer ses propos.
Leur ouvrage s'adresse, selon leur introduction, aux filles et aux garçons de 12 à 18 ans. Un âge où se produit le grand chambardement de la puberté, des premiers flirts, du premier amour. Un âge où les copains priment et où les parents deviennent "envahissants". Mais, contrairement à ce qu'écrivent les auteurs, ce livre intéressera aussi les pères et les mères souvent déboussolés. Car si nous sommes tous passés par l'adolescence, il faut parfois un décodeur pour suivre les évolutions des ados.
Pornographie
"Pour être aimée, une femme est prête à tout, même à faire l'amour ; pour faire l'amour, un homme est prêt à tout, même à aimer." Cette phrase résume bien les différences entre les sexes, et cela de tout temps. Aujourd'hui encore, six filles sur dix rattachent l'acte sexuel aux sentiments. Pour six garçons sur dix, l'impulsion de départ est un désir, la curiosité, l'envie d'épater les copains ou de prouver sa virilité.
Fait plus nouveau, 71 % des garçons et 40 % des filles de 14 à 19 ans ont déjà regardé des photos pornographiques. 30 % des garçons de 15 ans ont vu au moins dix films pornos dans l'année. Les images d'autrefois, avec la représentation de corps nus dans les différentes positions de l'amour, laissaient libre cours à l'imaginaire, notent les auteurs, alors que celles d'aujourd'hui (DVD, jeux...) montrent précisément les choses. "Trop en voir diminue certains doutes, mais en crée d'autres, écrivent-ils. Les seins gros comme des melons, la taille des sexes exposés et le temps des érections créent des frustrations."
Sex-toys
D'autre part, après que la styliste Sonia Rykiel a transformé le petit canard de notre enfance en vibromasseur, les offres se sont multipliées au rayon du plaisir. Le rouge à lèvres qui sert de joujou vibrant et caressant, les anneaux pour augmenter les sensations des garçons et de leur partenaire, les lubrifiants susceptibles de déclencher des perceptions insolites, chauffantes ou refroidissantes, rien n'échappe aux jeunes. Pourtant, le Dr Mimoun estime que les sex-toys sont des gadgets destinés à booster une libido un peu fatiguée et qu'ils n'ont aucune utilité au début de la vie sexuelle.
Enfin, les auteurs mettent en garde contre les soirées qui associent alcool, drogue, sexe, défi et imagination, comme on peut facilement en voir sur YouTube. Des jeunes de tous milieux, âgés en moyenne de 16 à 18 ans, s'y affichent en vêtements courts et moulants, avec une cape de Batman et un masque d'animal. Ils se roulent des pelles à gorge déployée et parlent eux-mêmes de soirées décadentes. Ce phénomène est-il marginal ? Nul ne peut le dire pour l'instant. Quant aux soirées "binge drinking", dont le but est de boire le plus possible, leur fréquence inquiète tous les responsables de santé publique. Et évidemment aussi les parents, qui ne savent pas quoi faire. Ce livre - qui s'adresse aux ados - ne leur apporte pas la solution...
l' Ailge: TP:8.50 CG:13 ORAL:16.50 26 eme sr list comp PRISE 
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente

Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
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Re: Actualités 2012
Obésité : la taxe sur les « mauvais » aliments, au moins 20% !
Et si l’on taxait les aliments trop gras, trop salés ou trop sucrés ? L’idée est partout mais là, ses partisans font fort. Ils proposent en effet de les frapper à hauteur de… 20%. Dans le British Medical Journal (BMJ), deux chercheurs britanniques suggèrent en effet d’employer les grands moyens pour enrayer l’épidémie d’obésité. A leurs yeux, c’est à partir de 20% que des effets bénéfiques sur la santé se feraient ressentir…
Oliver Mytton et ses collègues de la Oxford University, se sont penchés sur l’impact des politiques de taxation des « aliments nocifs pour la santé ». Principalement les sodas. Ils ont pour cela, réalisé une revue de la littérature disponible.
Premiers résultats : sur le plan commercial, « le fait de taxer à… 35% ces boissons entraînerait une diminution de 26% de leurs ventes aux Etats-Unis », expliquent-ils. D’un point de vue sanitaire, « une taxe de 20% réduirait l’incidence de l’obésité de 3,5% », toujours aux Etats-Unis. Citant un article de 2007, Mytton souligne également que le fait de frapper les aliments gras, salés ou sucrés d’une TVA à 17,5% permettrait d’épargner chaque année 2 000 vies au Royaume-Uni. Notons ainsi que depuis janvier 2011, la TVA sur ce type de produits y est passée à 20%.
En France, les jus de fruits contenant du sucre ajouté, les eaux sucrées et les sodas sont surtaxés depuis le 1er janvier 2012. La « contribution » - telle qu’elle est appelée dans le PLFSS 2012 - est d’environ 2 centimes par canette de 33cl. Une paille… si l’on ose dire.
Taxer mais aussi récompenser ?
Dans un second article, Corinna Hawkes de la City University of London parachève le raisonnement de son confrère Mytton. Elle insiste sur l’importance pour les gouvernements, de promouvoir les aliments bons pour la santé et « d’encourager les comportements alimentaires sains ». Comment ? Par exemple, en proposant des « subventions » applicables à certains aliments de choix, comme les fruits et les légumes.
Ces mesures figureront-elles au menu de la 65è Assemblée mondiale de la Santé de l’OMS qui débute ce lundi à Genève ? La Stratégie mondiale de lutte contre les maladies non transmissibles - dont l’obésité fait partie - devrait en effet y être discutée pour être (enfin) mise en œuvre. Avec un plan d’action concret, qui devrait être alors dévoilé.
Et si l’on taxait les aliments trop gras, trop salés ou trop sucrés ? L’idée est partout mais là, ses partisans font fort. Ils proposent en effet de les frapper à hauteur de… 20%. Dans le British Medical Journal (BMJ), deux chercheurs britanniques suggèrent en effet d’employer les grands moyens pour enrayer l’épidémie d’obésité. A leurs yeux, c’est à partir de 20% que des effets bénéfiques sur la santé se feraient ressentir…
Oliver Mytton et ses collègues de la Oxford University, se sont penchés sur l’impact des politiques de taxation des « aliments nocifs pour la santé ». Principalement les sodas. Ils ont pour cela, réalisé une revue de la littérature disponible.
Premiers résultats : sur le plan commercial, « le fait de taxer à… 35% ces boissons entraînerait une diminution de 26% de leurs ventes aux Etats-Unis », expliquent-ils. D’un point de vue sanitaire, « une taxe de 20% réduirait l’incidence de l’obésité de 3,5% », toujours aux Etats-Unis. Citant un article de 2007, Mytton souligne également que le fait de frapper les aliments gras, salés ou sucrés d’une TVA à 17,5% permettrait d’épargner chaque année 2 000 vies au Royaume-Uni. Notons ainsi que depuis janvier 2011, la TVA sur ce type de produits y est passée à 20%.
En France, les jus de fruits contenant du sucre ajouté, les eaux sucrées et les sodas sont surtaxés depuis le 1er janvier 2012. La « contribution » - telle qu’elle est appelée dans le PLFSS 2012 - est d’environ 2 centimes par canette de 33cl. Une paille… si l’on ose dire.
Taxer mais aussi récompenser ?
Dans un second article, Corinna Hawkes de la City University of London parachève le raisonnement de son confrère Mytton. Elle insiste sur l’importance pour les gouvernements, de promouvoir les aliments bons pour la santé et « d’encourager les comportements alimentaires sains ». Comment ? Par exemple, en proposant des « subventions » applicables à certains aliments de choix, comme les fruits et les légumes.
Ces mesures figureront-elles au menu de la 65è Assemblée mondiale de la Santé de l’OMS qui débute ce lundi à Genève ? La Stratégie mondiale de lutte contre les maladies non transmissibles - dont l’obésité fait partie - devrait en effet y être discutée pour être (enfin) mise en œuvre. Avec un plan d’action concret, qui devrait être alors dévoilé.
l' Ailge: TP:8.50 CG:13 ORAL:16.50 26 eme sr list comp PRISE 
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente

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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
La Violence
I -DESCRIPTIF
- Différents types de violences
physique : coups, abus sexuel, bizutage
psychologique : harcèlement, chantage, pression, stress, menaces, dévalorisation, humiliations
dégradation
- Lieux
Extérieur (rue)
- école, lieu de travail
- domicile,
- lieux symboles (école, gendarmerie, cimetière religieux)
II - LES CONCERNES
Victimes :
ENFANTS :Ecole : Physique (agressions) , psychologique (moquerie, raquette)
Domicile : Mauvais traitements : Violences physique (brutalité due mauvais contrôle de soi = hématomes, sévices avec volonté de faire du mal = ) , cruauté mentale, abus sexuel ( attentat à la pudeur, viol, attouchements, utilisation film à fin pornographique ou prostitution)
FEMMES : Domicile (mari voir enfant pour monoparentalité), lieu de W (harcèlement)
PERSONNES AGEES : chantage = violence psychologique voir violence physique dans certains cas
Acteurs
-mineurs : de + en + de filles , de + en + jeunes, récidivistes
-adultes : marginaux, récidivistes, personnes atteintes de troubles mentaux,
- personnes ivres ou droguées
Mais diminution des agressions et augmentations des dégradations, braquage, vol à l'étalage
III - SOLUTIONS
- Protection de l'enfance en danger : législation, Défenseure des enfants
- Protection et lutte égalité entre homme/femme : association, législation
- Jugement et condamnation adaptées pour les mineurs + privilégier éducation à la répression
- Prison
- Suivi psychologique pour les acteurs et pour les victimes
CONCLUSION : Une infirmière peut-être confrontée à la violence d'un patient ou d'une famille. Être conscient que l'hôpital est un milieu qui n'est pas épargné par la violence = actu = exemple de la famille d'un patient qui ont perdu leur sang froid à cause de l'attente trop longue aux urgences
J'ai choisis de faire un plan en restant dans la généralité. J'ai hésité entre celui-ci et un qui s'axait sur la violence chez les enfants ( sujet sur "la violence" que je maîtrise le mieux) . Toutefois, je pense que l'autre aurait été bien aussi
I -DESCRIPTIF
- Différents types de violences
physique : coups, abus sexuel, bizutage
psychologique : harcèlement, chantage, pression, stress, menaces, dévalorisation, humiliations
dégradation
- Lieux
Extérieur (rue)
- école, lieu de travail
- domicile,
- lieux symboles (école, gendarmerie, cimetière religieux)
II - LES CONCERNES
Victimes :
ENFANTS :Ecole : Physique (agressions) , psychologique (moquerie, raquette)
Domicile : Mauvais traitements : Violences physique (brutalité due mauvais contrôle de soi = hématomes, sévices avec volonté de faire du mal = ) , cruauté mentale, abus sexuel ( attentat à la pudeur, viol, attouchements, utilisation film à fin pornographique ou prostitution)
FEMMES : Domicile (mari voir enfant pour monoparentalité), lieu de W (harcèlement)
PERSONNES AGEES : chantage = violence psychologique voir violence physique dans certains cas
Acteurs
-mineurs : de + en + de filles , de + en + jeunes, récidivistes
-adultes : marginaux, récidivistes, personnes atteintes de troubles mentaux,
- personnes ivres ou droguées
Mais diminution des agressions et augmentations des dégradations, braquage, vol à l'étalage
III - SOLUTIONS
- Protection de l'enfance en danger : législation, Défenseure des enfants
- Protection et lutte égalité entre homme/femme : association, législation
- Jugement et condamnation adaptées pour les mineurs + privilégier éducation à la répression
- Prison
- Suivi psychologique pour les acteurs et pour les victimes
CONCLUSION : Une infirmière peut-être confrontée à la violence d'un patient ou d'une famille. Être conscient que l'hôpital est un milieu qui n'est pas épargné par la violence = actu = exemple de la famille d'un patient qui ont perdu leur sang froid à cause de l'attente trop longue aux urgences
J'ai choisis de faire un plan en restant dans la généralité. J'ai hésité entre celui-ci et un qui s'axait sur la violence chez les enfants ( sujet sur "la violence" que je maîtrise le mieux) . Toutefois, je pense que l'autre aurait été bien aussi
"Si le destin vous offre encore de quoi vous combler, c'est que le peu que vous ayez puisse encore vous aller"
"Le mieux est l'ennemi du bien"
"Le mieux est l'ennemi du bien"
Re: Actualités 2012
Sida: on sait enfin pourquoi un vaccin rendait les patients plus vulnérables
En 2007, la pire crainte des chercheurs est devenue réalité. Un vaccin expérimental contre le sida a rendu ceux qui l’ont pris plus vulnérables au virus, explique le New York Times.
Jusqu’ici, les raisons de cette contamination restaient floues. Mais une nouvelle étude, publiée dans The Journal of Infection Disease, tend à prouver que la cause était biologique et non due à des comportements à risque.
Le Dr Ann Duerr, du Centre Fred Hutchinson de recherche contre le cancer, à Seattle, qui a mené l’étude, a suivi 1.836 hommes issus de l’expérience Merck, depuis la fin du test. Parmi eux, 172 ont été infectés par le virus du sida.
Elle rapporte que les hommes qui ont pris part à l’expérience du groupe allemand de chimie-pharmacie Merck n’ont pas eu de comportements à risque, comme avoir plus de partenaires, se faire des injections de drogue ou avoir plus de rapports sexuels non protégés. Même quand ils ont su s'ils avaient reçu le vaccin ou le placebo.
Selon les conclusions de l'étude, les hommes vaccinés non circoncis avaient plus de risque d’être infectés, ainsi que ceux qui avaient débuté le test en ayant attrapé un rhume, causé par le même virus que celui utilisé pour faire le vaccin, avaient deux à quatre fois plus de risque, que les autres, de contracter le sida.
Le vaccin avait été fait à partir d’un adénovirus (une famille de virus) affaibli et modifié. En théorie, les hommes qui avaient déjà attrapé cet adénovirus (à travers le rhume) ont eu leur système immunitaire dopé après avoir reçu trois injections du même adénovirus, à travers le vaccin-test. Faisant encore augmenter le nombre de cellules CD4 (un type de globule blanc) dans le sang.
Habituellement, l'augmentation des cellules CD4 est bon signe, après un vaccin, sauf que ces cellules sont justement celles que le virus du sida attaque. Le vaccin expérimental a ainsi créé un environnement idéal pour le développement du virus. Tout l'inverse du traitement.
Il existe des dizaines d’adénovirus et les chercheurs explorent à présent les plus rares afin de pouvoir les utiliser dans un vaccin.
Un premier traitement préventif contre le sida
Etant donné que la cause de la contamination est longtemps restée inconnue, certains vaccins-tests ont été, par la suite, interdits. De plus, les hommes non circoncis ou ayant contractés des adénovirus avant un test sont le plus souvent exclus des protocoles. Néanmoins, les recherches ont continué.
Pour preuve, le premier traitement préventif contre le sida pourrait être commercialisé aux Etats-Unis. En effet, si l'Agence américaine des médicaments (FDA) donne son accord, cela pourrait être le cas dès la mi-juin, relate France 24. Le professeur Jean-François Delfraissy, directeur de l’Agence nationale de recherche sur le sida (ANRS), prévient:
«C'est une avancée. Mais il faut rester modeste, prudent et répéter que la base de la prévention, c'est l'utilisation du préservatif et la modification des comportement sexuels.»
En 2007, la pire crainte des chercheurs est devenue réalité. Un vaccin expérimental contre le sida a rendu ceux qui l’ont pris plus vulnérables au virus, explique le New York Times.
Jusqu’ici, les raisons de cette contamination restaient floues. Mais une nouvelle étude, publiée dans The Journal of Infection Disease, tend à prouver que la cause était biologique et non due à des comportements à risque.
Le Dr Ann Duerr, du Centre Fred Hutchinson de recherche contre le cancer, à Seattle, qui a mené l’étude, a suivi 1.836 hommes issus de l’expérience Merck, depuis la fin du test. Parmi eux, 172 ont été infectés par le virus du sida.
Elle rapporte que les hommes qui ont pris part à l’expérience du groupe allemand de chimie-pharmacie Merck n’ont pas eu de comportements à risque, comme avoir plus de partenaires, se faire des injections de drogue ou avoir plus de rapports sexuels non protégés. Même quand ils ont su s'ils avaient reçu le vaccin ou le placebo.
Selon les conclusions de l'étude, les hommes vaccinés non circoncis avaient plus de risque d’être infectés, ainsi que ceux qui avaient débuté le test en ayant attrapé un rhume, causé par le même virus que celui utilisé pour faire le vaccin, avaient deux à quatre fois plus de risque, que les autres, de contracter le sida.
Le vaccin avait été fait à partir d’un adénovirus (une famille de virus) affaibli et modifié. En théorie, les hommes qui avaient déjà attrapé cet adénovirus (à travers le rhume) ont eu leur système immunitaire dopé après avoir reçu trois injections du même adénovirus, à travers le vaccin-test. Faisant encore augmenter le nombre de cellules CD4 (un type de globule blanc) dans le sang.
Habituellement, l'augmentation des cellules CD4 est bon signe, après un vaccin, sauf que ces cellules sont justement celles que le virus du sida attaque. Le vaccin expérimental a ainsi créé un environnement idéal pour le développement du virus. Tout l'inverse du traitement.
Il existe des dizaines d’adénovirus et les chercheurs explorent à présent les plus rares afin de pouvoir les utiliser dans un vaccin.
Un premier traitement préventif contre le sida
Etant donné que la cause de la contamination est longtemps restée inconnue, certains vaccins-tests ont été, par la suite, interdits. De plus, les hommes non circoncis ou ayant contractés des adénovirus avant un test sont le plus souvent exclus des protocoles. Néanmoins, les recherches ont continué.
Pour preuve, le premier traitement préventif contre le sida pourrait être commercialisé aux Etats-Unis. En effet, si l'Agence américaine des médicaments (FDA) donne son accord, cela pourrait être le cas dès la mi-juin, relate France 24. Le professeur Jean-François Delfraissy, directeur de l’Agence nationale de recherche sur le sida (ANRS), prévient:
«C'est une avancée. Mais il faut rester modeste, prudent et répéter que la base de la prévention, c'est l'utilisation du préservatif et la modification des comportement sexuels.»
l' Ailge: TP:8.50 CG:13 ORAL:16.50 26 eme sr list comp PRISE 
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente

Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
l'autre aussi aurait été bien mais je pense que là au moins tu laisses le choix au jury pour te poser des questions et je pense que tu dois pouvoir justement lier avec les enfants selon les questions qu'ils te posent
Se faire battre est excusable,se faire surprendre est inexcusable Napoléon
La sagesse de la vie est toujours plus large et plus profonde que celle des hommes Maxime Gorki
ESI 12/15:S1/S2 validés
La sagesse de la vie est toujours plus large et plus profonde que celle des hommes Maxime Gorki
ESI 12/15:S1/S2 validés
Re: Actualités 2012
Hémochromatose : le fer qui tue
C'est à partir d'aujourd'hui que se tient la Semaine nationale de sensibilisation au dépistage de l'hémochromatose. Cette maladie génétique qui touche 1 Français sur 300, est caractérisée par une surcharge de l'organisme en fer. Peu connue du grand public, elle provoque chaque année 2 000 décès dans notre pays.
L'hémochromatose génétique (HG) est due à une absorption excessive du fer provenant des aliments. Elle « a pour conséquence l'accumulation progressive de fer dans tous les organes : le foie, le pancréas, le cœur, les glandes endocrines, les articulations et la peau » indique l'Association Hémochromatose France (AHF).
Ses premiers signes apparaissent le plus souvent vers 25-30 ans chez l'homme, 30-35 ans chez la femme. Dans un premier temps, la maladie se manifeste par une fatigue chronique, des douleurs dans les mains, les poignets, les genoux et les chevilles, une baisse de la libido ou encore une coloration terne, grise ou anormalement « bronzée » de la peau.
Quand le fer est destructeur
« Ce fer accumulé, détruit les organes. Apparaissent alors un diabète sucré, une insuffisance cardiaque, des douleurs articulaires, une cirrhose voire un cancer ». Aujourd'hui, nous disposons de tous les moyens pour éviter d'en arriver là. Il suffit en effet d'une simple prise de sang pour diagnostiquer la maladie. Quant au traitement – basé sur l'éviction du fer de l'alimentation et sur des saignées régulières - il a amplement prouvé son efficacité.
Au cours de cette semaine, l'AHF souhaite informer le plus large public. L'objectif, c'est bien entendu d'orienter vers le dépistage. Pour tout savoir sur cette semaine d'information, consultez le site www.hemochromatose.fr/. Vous pouvez également demander de la documentation par courriel contact@hemochromatose.fr.
C'est à partir d'aujourd'hui que se tient la Semaine nationale de sensibilisation au dépistage de l'hémochromatose. Cette maladie génétique qui touche 1 Français sur 300, est caractérisée par une surcharge de l'organisme en fer. Peu connue du grand public, elle provoque chaque année 2 000 décès dans notre pays.
L'hémochromatose génétique (HG) est due à une absorption excessive du fer provenant des aliments. Elle « a pour conséquence l'accumulation progressive de fer dans tous les organes : le foie, le pancréas, le cœur, les glandes endocrines, les articulations et la peau » indique l'Association Hémochromatose France (AHF).
Ses premiers signes apparaissent le plus souvent vers 25-30 ans chez l'homme, 30-35 ans chez la femme. Dans un premier temps, la maladie se manifeste par une fatigue chronique, des douleurs dans les mains, les poignets, les genoux et les chevilles, une baisse de la libido ou encore une coloration terne, grise ou anormalement « bronzée » de la peau.
Quand le fer est destructeur
« Ce fer accumulé, détruit les organes. Apparaissent alors un diabète sucré, une insuffisance cardiaque, des douleurs articulaires, une cirrhose voire un cancer ». Aujourd'hui, nous disposons de tous les moyens pour éviter d'en arriver là. Il suffit en effet d'une simple prise de sang pour diagnostiquer la maladie. Quant au traitement – basé sur l'éviction du fer de l'alimentation et sur des saignées régulières - il a amplement prouvé son efficacité.
Au cours de cette semaine, l'AHF souhaite informer le plus large public. L'objectif, c'est bien entendu d'orienter vers le dépistage. Pour tout savoir sur cette semaine d'information, consultez le site www.hemochromatose.fr/. Vous pouvez également demander de la documentation par courriel contact@hemochromatose.fr.
l' Ailge: TP:8.50 CG:13 ORAL:16.50 26 eme sr list comp PRISE 
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente

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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Les jeunes
I) L'ÉDUCATION
-École : montée violences scolaires,absentéisme ,ZEP
-Domicile : Enfant roi , carence éducative, absence de limites , méconnaissance de règles
-Société : Perte des valeurs comme le respect, la tolérance , irrespect des lois
-Adolescence : période de plus en plus longue : braver l'interdit, tester ses limites
-Illettrisme toujours présent, inégalités des chances
II)MONTÉE DÉLINQUANCE
- Dégradations
- De + en + jeunes, de + en + de multi-récidivistes
- Montée chez les filles
- diminution des agressions mais augmentation des attaques à des lieux symboles
- De + en + d'émeutes
III)LA TOXICOMANIE
- Tabac de + en + tôt : dépendance installée dès la 3ème pour certains et certaines.
- Alcool : Façon de boire dangereuse : open bar , dans le but de finir ivre = exposition à de nombreux danger
- Montée poly toxicomanie chez les jeunes : Alcool/tabac ; Alcool/tabac/Cannabis ; Ecstasy et Cocaïne
CONCLUSION : Ces problèmes touchent tous les milieux sociaux de différentes manières. En tant que pro de santé, l'inf intervient en milieu scolaire et joue un rôle important dans la vie de l'enfant scolarisé (repérage maltraitance, communication et écoute, prévention comportements à risques)
Voilà, c'est pas joyeux, mais les problèmes concernant la jeunesse sont les premières idées qui me sont venues en tête...
Pas sûre de moi cependant
I) L'ÉDUCATION
-École : montée violences scolaires,absentéisme ,ZEP
-Domicile : Enfant roi , carence éducative, absence de limites , méconnaissance de règles
-Société : Perte des valeurs comme le respect, la tolérance , irrespect des lois
-Adolescence : période de plus en plus longue : braver l'interdit, tester ses limites
-Illettrisme toujours présent, inégalités des chances
II)MONTÉE DÉLINQUANCE
- Dégradations
- De + en + jeunes, de + en + de multi-récidivistes
- Montée chez les filles
- diminution des agressions mais augmentation des attaques à des lieux symboles
- De + en + d'émeutes
III)LA TOXICOMANIE
- Tabac de + en + tôt : dépendance installée dès la 3ème pour certains et certaines.
- Alcool : Façon de boire dangereuse : open bar , dans le but de finir ivre = exposition à de nombreux danger
- Montée poly toxicomanie chez les jeunes : Alcool/tabac ; Alcool/tabac/Cannabis ; Ecstasy et Cocaïne
CONCLUSION : Ces problèmes touchent tous les milieux sociaux de différentes manières. En tant que pro de santé, l'inf intervient en milieu scolaire et joue un rôle important dans la vie de l'enfant scolarisé (repérage maltraitance, communication et écoute, prévention comportements à risques)
Voilà, c'est pas joyeux, mais les problèmes concernant la jeunesse sont les premières idées qui me sont venues en tête...
Pas sûre de moi cependant

"Si le destin vous offre encore de quoi vous combler, c'est que le peu que vous ayez puisse encore vous aller"
"Le mieux est l'ennemi du bien"
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Re: Actualités 2012
De l'importance de bons médecins en phase palliative
Jacques Fabrizi a souhaité s'intéresser au regard des soignants dans une relation de soins quand le temps des traitements à visée curative n’est plus d’actualité. Extraits de "Déjà-presque-mort mais encore-si-terriblement-vivant" (2/2).
Que cherche le patient à travers notre regard si ce n’est d’essayer de lire dans nos yeux son devenir et de comprendre ce qui l’attend ? À travers notre regard, c’est un miroir qui lui est tendu. Réciproquement, c’est dans les yeux du patient que le soignant pourra lire sa détresse, ses peurs, ses angoisses. En phase palliative, l’angoisse de la mort est omniprésente ou plutôt l’angoisse du mourir, tant cette notion est associée à souffrances.
Cette angoisse n’est pas toujours exprimée par crainte d’importuner, de déranger le personnel médical mais aussi le conjoint ou les enfants avec l’arrière-pensée de les protéger. La personne en situation de mourir préfère rester dans le non-dit et se réfugier dans le silence, un silence pesant, assourdissant tant il est douloureux et intolérable à son entourage et qui confine parfois au supplice. La parole disparaît, il ne reste plus que le regard… À ce stade, le soignant peut, par un regard approprié, traduire sa disponibilité, son empathie, sa compassion, maintenir une relation et juger du réconfort, du bien-être apporté. En pareilles circonstances, surprendre l’ébauche d’un sourire sur un visage dévasté par la maladie constitue, pour le médecin que je suis, un merveilleux retour.
[…] L’exercice de la médecine générale est un art difficile. La difficulté à nommer la fonction et la multiplication des expressions pour tenter de la définir n’en sont que la traduction embarrassée : médecin généraliste, omnipraticien, médecin de famille, médecin traitant, médecin référent et, depuis peu, médecin de proximité… A contrario des pratiques actuelles, je continue à effectuer des visites à domicile pour mes patients, âgés ou à un stade avancé de l’évolution de leur maladie, qui ne peuvent se déplacer au cabinet. Après avoir discuté et essayé d’apporter une réponse aux problèmes médicaux stricto sensu, j’abandonne mon statut de médecin, je « quitte ma blouse » pour prendre volontiers le temps d’un café.
C’est une situation qui peut paraître anodine mais qui permet de dialoguer sur un mode différent de celui de la consultation proprement dite, non plus de médecin à patient mais d’égal à égal, d’homme à homme, avec un échange souvent plus riche sur un plan relationnel et émotionnel. J’apprécie ces situations qui me donnent l’impression de suspendre le temps, dans une journée souvent bien remplie, parfois trop remplie, face à un patient en fin de vie. Dans ma pratique, la gestion du temps est un véritable casse-tête et cela tourne parfois au cauchemar. En soins palliatifs, chaque instant est important et exige des soignants une disponibilité à toute épreuve même si cette dernière nous fait quelquefois cruellement défaut. L’expression « laisser du temps au temps » n’a plus cours ici et nous oblige à avoir pleinement conscience du caractère impérieux du temps présent.
Le médecin généraliste est le praticien du premier et du dernier recours. Sa solitude, parfois revendiquée, est souvent mal vécue et contribue pour une grande part au « burn out » ou syndrome d’épuisement professionnel.
Il traduit une souffrance des soignants et affecte le physique, l’émotionnel et le mental. Plus d’un médecin généraliste sur trois en serait victime. Dans le cadre des soins palliatifs et de l’accompagnement, cette difficulté est évoquée par l’expression « syndrome du survivant ».
Comment, en effet, ne pas se laisser envahir par le fait de vivre au quotidien auprès de tant de souffrances, sans en être imprégné, sans souffrir soi-même ? Comment ne pas entrevoir sa propre finitude au contact de celui qui se meurt ? Comment se protéger de l’horreur de se perdre soi-même ? Comment assumer le sentiment d’impuissance face à la mort ? Comment, dans la grande proximité avec l’expérience de la mort, ne pas éprouver une anxiété majeure et une culpabilité décuplée par le simple fait d’accompagner dans la mort mais surtout de survivre à son patient, de survivre à l’autre, d’être perpétuellement, dans cette fonction d’accompagnement, un survivant ? Comment sortir de cette solitude exacerbée par les difficiles conditions d’exercice du médecin généraliste ? Comment oser parler de ses appréhensions et de ses peurs, quand malheureusement on n’a pas toujours l’opportunité de participer à un groupe de parole afin d’y trouver l’apaisement nécessaire et l’envie de poursuivre sa mission ?
Un syndicat catégoriel de médecins prônant la reconnaissance de la médecine générale et sa spécificité, avait fait paraître, il y a quelques années, une affiche destinée à être apposée dans les salles d’attente à l’attention des patients. Elle stipulait : le cardiologue s’occupe de votre cœur, le pneumologue de vos poumons, le néphrologue de vos reins, l’ophtalmologue de vos yeux, le rhumatologue de vos articulations… et moi, votre médecin généraliste, je m’occupe de vous ! La force et la pertinence de cette affiche résidaient dans la restitution du concept de médecine holistique.
Jacques Fabrizi a souhaité s'intéresser au regard des soignants dans une relation de soins quand le temps des traitements à visée curative n’est plus d’actualité. Extraits de "Déjà-presque-mort mais encore-si-terriblement-vivant" (2/2).
Que cherche le patient à travers notre regard si ce n’est d’essayer de lire dans nos yeux son devenir et de comprendre ce qui l’attend ? À travers notre regard, c’est un miroir qui lui est tendu. Réciproquement, c’est dans les yeux du patient que le soignant pourra lire sa détresse, ses peurs, ses angoisses. En phase palliative, l’angoisse de la mort est omniprésente ou plutôt l’angoisse du mourir, tant cette notion est associée à souffrances.
Cette angoisse n’est pas toujours exprimée par crainte d’importuner, de déranger le personnel médical mais aussi le conjoint ou les enfants avec l’arrière-pensée de les protéger. La personne en situation de mourir préfère rester dans le non-dit et se réfugier dans le silence, un silence pesant, assourdissant tant il est douloureux et intolérable à son entourage et qui confine parfois au supplice. La parole disparaît, il ne reste plus que le regard… À ce stade, le soignant peut, par un regard approprié, traduire sa disponibilité, son empathie, sa compassion, maintenir une relation et juger du réconfort, du bien-être apporté. En pareilles circonstances, surprendre l’ébauche d’un sourire sur un visage dévasté par la maladie constitue, pour le médecin que je suis, un merveilleux retour.
[…] L’exercice de la médecine générale est un art difficile. La difficulté à nommer la fonction et la multiplication des expressions pour tenter de la définir n’en sont que la traduction embarrassée : médecin généraliste, omnipraticien, médecin de famille, médecin traitant, médecin référent et, depuis peu, médecin de proximité… A contrario des pratiques actuelles, je continue à effectuer des visites à domicile pour mes patients, âgés ou à un stade avancé de l’évolution de leur maladie, qui ne peuvent se déplacer au cabinet. Après avoir discuté et essayé d’apporter une réponse aux problèmes médicaux stricto sensu, j’abandonne mon statut de médecin, je « quitte ma blouse » pour prendre volontiers le temps d’un café.
C’est une situation qui peut paraître anodine mais qui permet de dialoguer sur un mode différent de celui de la consultation proprement dite, non plus de médecin à patient mais d’égal à égal, d’homme à homme, avec un échange souvent plus riche sur un plan relationnel et émotionnel. J’apprécie ces situations qui me donnent l’impression de suspendre le temps, dans une journée souvent bien remplie, parfois trop remplie, face à un patient en fin de vie. Dans ma pratique, la gestion du temps est un véritable casse-tête et cela tourne parfois au cauchemar. En soins palliatifs, chaque instant est important et exige des soignants une disponibilité à toute épreuve même si cette dernière nous fait quelquefois cruellement défaut. L’expression « laisser du temps au temps » n’a plus cours ici et nous oblige à avoir pleinement conscience du caractère impérieux du temps présent.
Le médecin généraliste est le praticien du premier et du dernier recours. Sa solitude, parfois revendiquée, est souvent mal vécue et contribue pour une grande part au « burn out » ou syndrome d’épuisement professionnel.
Il traduit une souffrance des soignants et affecte le physique, l’émotionnel et le mental. Plus d’un médecin généraliste sur trois en serait victime. Dans le cadre des soins palliatifs et de l’accompagnement, cette difficulté est évoquée par l’expression « syndrome du survivant ».
Comment, en effet, ne pas se laisser envahir par le fait de vivre au quotidien auprès de tant de souffrances, sans en être imprégné, sans souffrir soi-même ? Comment ne pas entrevoir sa propre finitude au contact de celui qui se meurt ? Comment se protéger de l’horreur de se perdre soi-même ? Comment assumer le sentiment d’impuissance face à la mort ? Comment, dans la grande proximité avec l’expérience de la mort, ne pas éprouver une anxiété majeure et une culpabilité décuplée par le simple fait d’accompagner dans la mort mais surtout de survivre à son patient, de survivre à l’autre, d’être perpétuellement, dans cette fonction d’accompagnement, un survivant ? Comment sortir de cette solitude exacerbée par les difficiles conditions d’exercice du médecin généraliste ? Comment oser parler de ses appréhensions et de ses peurs, quand malheureusement on n’a pas toujours l’opportunité de participer à un groupe de parole afin d’y trouver l’apaisement nécessaire et l’envie de poursuivre sa mission ?
Un syndicat catégoriel de médecins prônant la reconnaissance de la médecine générale et sa spécificité, avait fait paraître, il y a quelques années, une affiche destinée à être apposée dans les salles d’attente à l’attention des patients. Elle stipulait : le cardiologue s’occupe de votre cœur, le pneumologue de vos poumons, le néphrologue de vos reins, l’ophtalmologue de vos yeux, le rhumatologue de vos articulations… et moi, votre médecin généraliste, je m’occupe de vous ! La force et la pertinence de cette affiche résidaient dans la restitution du concept de médecine holistique.
l' Ailge: TP:8.50 CG:13 ORAL:16.50 26 eme sr list comp PRISE 
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente

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Re: Actualités 2012
Tout n'est pas bon dans le rayon
dermatologie La Journée nationale de prévention et de dépistage des cancers de la peau a lieu jeudi
En France, on l'aime dorée. La peau s'expose au premier rayon de soleil. Un teint hâlé donne bonne mine. Mais fait aussi courir à notre peau un danger parfois mortel. Les cancers de la peau sont en forte augmentation en Europe et en France depuis vingt ans. Et tous les professionnels de la santé sont d'accord pour établir un lien avec la progression de l'exposition au soleil. A l'occasion de la Journée nationale de prévention et de dépistage des cancers de la peau, qui aura lieu partout en France ce jeudi, pour la quatorzième année consécutive, le Syndicat national des dermatologues vénéréologues veut frapper les esprits avec ces chiffres : 70 000 nouveaux cas de carcinomes cutanés (qui se soignent bien, mais peuvent laisser des cicatrices). Il prend la forme d'un petit bouton ou d'une croûte blanche. S'il s'installe plus de deux mois, sur la peau, surtout après l'âge de 50 ans, il faut consulter.
10 000 cas de mélanomes par an
Bien plus grave, le mélanome. Près de 10 000 nouveaux cas sont répertoriés tous les ans. La tumeur est maligne, et si on l'enlève trop tard, le cancer peut évoluer en métastase. 1 620 patients en meurent chaque année, selon l'Institut national du cancer. A quoi ressemble un mélanome ? Le plus souvent, c'est un grain de beauté comme un autre. « Il n'est pas spécialement gros ni en relief, mais plutôt plat, rappelle la dermatologue parisienne Isabelle Dousset-Faure. Il est de forme irrégulière et a plusieurs couleurs mélangées. » Le soleil augmente les risques surtout pour les peaux les plus claires. La spécialiste appelle à sortir du « culte du bronzage ». Ses conseils : éviter toute fréquentation assidue des cabines de bronzage et leur rayonnement artificiel très riche en UVA, se couvrir de crème solaire à très haute protection, mais surtout de vêtements, y compris pour les activités quotidiennes de plein air. Et puis, très important : protéger sa peau dès l'enfance. « On nous distribue une carte de crédit à la naissance qu'on utilise sans se rendre compte toute sa vie. On dépense de grosses sommes avec un séjour aux Maldives, et plein de petites sommes tous les jours. A la fin, on paie cher l'addition ! ».
dermatologie La Journée nationale de prévention et de dépistage des cancers de la peau a lieu jeudi
En France, on l'aime dorée. La peau s'expose au premier rayon de soleil. Un teint hâlé donne bonne mine. Mais fait aussi courir à notre peau un danger parfois mortel. Les cancers de la peau sont en forte augmentation en Europe et en France depuis vingt ans. Et tous les professionnels de la santé sont d'accord pour établir un lien avec la progression de l'exposition au soleil. A l'occasion de la Journée nationale de prévention et de dépistage des cancers de la peau, qui aura lieu partout en France ce jeudi, pour la quatorzième année consécutive, le Syndicat national des dermatologues vénéréologues veut frapper les esprits avec ces chiffres : 70 000 nouveaux cas de carcinomes cutanés (qui se soignent bien, mais peuvent laisser des cicatrices). Il prend la forme d'un petit bouton ou d'une croûte blanche. S'il s'installe plus de deux mois, sur la peau, surtout après l'âge de 50 ans, il faut consulter.
10 000 cas de mélanomes par an
Bien plus grave, le mélanome. Près de 10 000 nouveaux cas sont répertoriés tous les ans. La tumeur est maligne, et si on l'enlève trop tard, le cancer peut évoluer en métastase. 1 620 patients en meurent chaque année, selon l'Institut national du cancer. A quoi ressemble un mélanome ? Le plus souvent, c'est un grain de beauté comme un autre. « Il n'est pas spécialement gros ni en relief, mais plutôt plat, rappelle la dermatologue parisienne Isabelle Dousset-Faure. Il est de forme irrégulière et a plusieurs couleurs mélangées. » Le soleil augmente les risques surtout pour les peaux les plus claires. La spécialiste appelle à sortir du « culte du bronzage ». Ses conseils : éviter toute fréquentation assidue des cabines de bronzage et leur rayonnement artificiel très riche en UVA, se couvrir de crème solaire à très haute protection, mais surtout de vêtements, y compris pour les activités quotidiennes de plein air. Et puis, très important : protéger sa peau dès l'enfance. « On nous distribue une carte de crédit à la naissance qu'on utilise sans se rendre compte toute sa vie. On dépense de grosses sommes avec un séjour aux Maldives, et plein de petites sommes tous les jours. A la fin, on paie cher l'addition ! ».
l' Ailge: TP:8.50 CG:13 ORAL:16.50 26 eme sr list comp PRISE 
Rouen: TP:15 CG:11 ORAL:12 (deg)54 eme sur lc mais laisse sa place
ESI 2012 2015 trop contente

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