Culture Générale
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
katniss a écrit :Je trouve que ton sujet était très vaste à traiter, c'est surement ce qui t'as bloquer.Celiaa83 a écrit :Salut à tous !
Alors voilà, mon deuxiéme oral ne c'est pas super bien passé.. Méme plutot mal.
Déja je suis tombée sur un sujet que je ne maitrisai pas trop et qui ne m'a pas du tout inspiré: " La dépendance est un véritable défi auquel notre pays va étre confronté dans les prochaines décennies. Commentez ses propos. "
Puis bon, l'entretien d'après n'était pas top non plus.. Le jury a essayé de me casser de tous les côtés (mais j'ai eu des échos comme quoi ils étaient particuliérement chiants et méchants avec tous les élèves..)
Je stress un peu, je ne m'attend pas à l'avoir réussi celui là.. Mais bon, une bonne surprise peut être possible, j'espère !..
Dites-moi ce que vous en pensez ! Bisouuuuuu
Je me permet de te montrer ce que j'en ai tiré, je ne sais pas si c'est juste mais dit moi ce que tu en pense, par rapport à ce que tu as fait![]()
INTRO: Définition de la Dépendance, manque d'autonomie d'une personne, d'un objet, etc.. Qui a besoin de quelqu'un, d'autre chose pour fonctionner.
I/ Dépendance Général.
*Dép nourriture.
*Dép Eau.
(tu peut cité en exemple qu'on est tous dépendants du Soleil, de la Terre et du Climat en général pour cultiver ce que l'on mange = Donc, on devrait prendre plus soins de la planète)
*Dép Argent (Société de consommation, produit non durable dont le coup de réparation revient au prix d'un neuf, évolution Rapide des technologies...)
II/ Dépendance-Addiction.
*Tabac
*Alcool
*Drogues
*Jeux
III/ Dépendance-Vieillesse.
*Population vieillissante
*Manque de structure
*Manque de Professionnel (désert médicale en zone rural)
CONCLUSION:
Société de Dépendance. On dépend tous les uns des autres, plus ou moins à grande échelle. Cette information qui dit que la Dépendance est un défi pour l'avenir n'est pas nouveau, c'est sa prise de conscience qui est récente.
Ps: Désoler pour les fautes d'orthographes
.. j'essaye de m'améliorer !!
Moi en voyant ce sujet j'ai totu de suite pensée à la dependanc aux nouvelles technologies = internet, telepehone, tv ...
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
katniss a écrit :Je trouve que ton sujet était très vaste à traiter, c'est surement ce qui t'as bloquer.Celiaa83 a écrit :Salut à tous !
Alors voilà, mon deuxiéme oral ne c'est pas super bien passé.. Méme plutot mal.
Déja je suis tombée sur un sujet que je ne maitrisai pas trop et qui ne m'a pas du tout inspiré: " La dépendance est un véritable défi auquel notre pays va étre confronté dans les prochaines décennies. Commentez ses propos. "
Puis bon, l'entretien d'après n'était pas top non plus.. Le jury a essayé de me casser de tous les côtés (mais j'ai eu des échos comme quoi ils étaient particuliérement chiants et méchants avec tous les élèves..)
Je stress un peu, je ne m'attend pas à l'avoir réussi celui là.. Mais bon, une bonne surprise peut être possible, j'espère !..
Dites-moi ce que vous en pensez ! Bisouuuuuu
Je me permet de te montrer ce que j'en ai tiré, je ne sais pas si c'est juste mais dit moi ce que tu en pense, par rapport à ce que tu as fait![]()
INTRO: Définition de la Dépendance, manque d'autonomie d'une personne, d'un objet, etc.. Qui a besoin de quelqu'un, d'autre chose pour fonctionner.
I/ Dépendance Général.
*Dép nourriture.
*Dép Eau.
(tu peut cité en exemple qu'on est tous dépendants du Soleil, de la Terre et du Climat en général pour cultiver ce que l'on mange = Donc, on devrait prendre plus soins de la planète)
*Dép Argent (Société de consommation, produit non durable dont le coup de réparation revient au prix d'un neuf, évolution Rapide des technologies...)
II/ Dépendance-Addiction.
*Tabac
*Alcool
*Drogues
*Jeux
III/ Dépendance-Vieillesse.
*Population vieillissante
*Manque de structure
*Manque de Professionnel (désert médicale en zone rural)
CONCLUSION:
Société de Dépendance. On dépend tous les uns des autres, plus ou moins à grande échelle. Cette information qui dit que la Dépendance est un défi pour l'avenir n'est pas nouveau, c'est sa prise de conscience qui est récente.
Ps: Désoler pour les fautes d'orthographes
.. j'essaye de m'améliorer !!
Moi en voyant ce sujet j'ai totu de suite pensée à la dependanc aux nouvelles technologies = internet, telepehone, tv ...
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Par contre j'ai trouvé très bien l'idée du fait qu'il a le visage dans les mains, du coup on peut prendre ça comme une perte d'identité ! C'est très bien trouvé ![/quote]Jonathan1 a écrit :Oui on peut penser a Alzaimer, les cheveux grissonnants nous évoque la veillesse et ne pas voir le visage nous évoque la perte d'identité lié a la maladieClémantine a écrit :Moi j'ai eu un sujet photo : avec un sous-titre "la maladie mentale dans la société"Jonathan1 a écrit :Moi j'ai eu un sujet c'était une photo, je trouve cela assez atypique.....![]()
Beaucoup de personne on t-ils eu des sujets photos ?
On pouvait voir un homme, les cheveux grisonnants, assis à son bureau et devant son agenda. Il se tenait la tête dans les mains et on pouvait pas voir son visage. C'est tout.
Donc en idée j'aurais mis:
-OMS Veillesse début 65 ans
-Marc Denzon ancien directeur OMS "sans santé mentale et sans bien être il n'y a pas de vrai santé"
-plan solidarité grand-age 2007-2012 finance parkinson et alzaimer
-APA d'après la grille AGGIR financé par les Conseils régionnaux
-Canicule de 2003 polémique aide les personnes dépendantes
-3 types de veillesse (réussis, physiologique et pathologique)
-centres MAPAD EHPAD maison de retraite foyer-logement
-HAD et SSIAD
dans le désordre après j'aurais mis sa dans un plan...
Mais tu ne parles que d'Azhleimer, pas des maladies mentales en général dans les sociétés.
Je pense que tu confond déficience mentale, ce qui est inné c'est à dire depuis la naissance et maladie mentale ce qui est acquis, c'est extrement different
Ce qui est acquis ce sont les niaco-dépression, la bipolarité, alzaimer, ....mais il serait abérant de parler de la trisomie, ou autre cela ne fait pas partie des maladies mentale.
De plus les cheveux grissonant donc la veillesse sont la pour te mettre sur la voie, ....
Infirmier depuis le 24 juillet 2015.
Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
Je ne savais meme pas ce que c'était! :Osabifeez a écrit :?? Qu'est ce que ça vient faire dans oral pour rentrer en IFSI?bibabulle a écrit :SUJET POUR CET APREM LE 5 JUIN
LE PROJET AD HOCK DS LES ENTREPRISES
La procédure Ad Hoc sert à régler un problème de dettes accumulées pour les entreprises en difficulté et/ou faillite.
Je vois pas le rapport avec l'oral. Y a même pas matière à réflexion là...
Tu es sûr de l'intitulé de ton sujet?
Qu'as tu fait pendant ton oral?
J'espère que tu savais au moins ce que c'était..
+1 pour Jonathan!

Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
"C'est le mérite de la science , d'être exempte d'émotions" Oscar Wilde
"Même si je conjugue ma vie à tous les modes, sur tout les temps, il manquera toujours le mode d'emploi"
"C'est précisément dans les petites choses, où il ne songe pas a soigner sa contenance, que l'homme dévoile son caractère"
"Certaines personnes sont seules car elles préfèrent construire des murs plutot que des ponts"
"La santé peut paraître à la longue un peu fade, il faut pour la sentir, avoir été malade"
"L'expérience est le nom que l'on donne à ses erreurs"
"La liberté de penser oui, mais faut-il penser n'importe quoi?"
Ce sont des sujets philosophiques, je voudrais avoir quelques idées pour chacune des phrases... il y en a que je ne comprends même pas!
"Même si je conjugue ma vie à tous les modes, sur tout les temps, il manquera toujours le mode d'emploi"
"C'est précisément dans les petites choses, où il ne songe pas a soigner sa contenance, que l'homme dévoile son caractère"
"Certaines personnes sont seules car elles préfèrent construire des murs plutot que des ponts"
"La santé peut paraître à la longue un peu fade, il faut pour la sentir, avoir été malade"
"L'expérience est le nom que l'on donne à ses erreurs"
"La liberté de penser oui, mais faut-il penser n'importe quoi?"
Ce sont des sujets philosophiques, je voudrais avoir quelques idées pour chacune des phrases... il y en a que je ne comprends même pas!

Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
COUCOU tous le monde!!!!

Voila je viens de passer mon oral et je suis complétement confuse je ne sais pas quoi en penser donc je compte sur vous pour me donner vos avis

Mon sujet été Obésité(infantile):manger en famille pour y lutter
Dans un premier temps j'ai dit que l’obésité été le fait d'avoir un indice de masse corporelle supérieur a sa norme (en fonction de sa taille et son poids)
Puis j'ai énuméré les causes: manque d'activité sportive/développement des fast food/mauvaise alimentation/mise en place sur le super marché des plats préparé ....
Puis dans un second temps les préventions : Les slogans depuis quelques années "manger bouger" /le fais que les collation de 10h soit enlevé dans les maternelles/le retrait des distributeurs dans les établissement scolaire..
et pour commenter j'ai dit que de plus en plus les repas en famille exister moins en moins et que le fait de d’apprécier un repas de le déguster avait pas autant d'importance que de le manger devant un écrans
Pour conclure et mettre le métiers d’infirmière en relation j'ai dit que des prévention scolaire après des plus jeune pouvait être ms en place afin de les sensibilisé au plus jeunes age
DONC elles ont commencé a me poser des questions(surtout la psychologue)
PSYCHO: - vous avez parlez des plats préparé en quoi serait qu'il néfaste pour notre santé?
MOI : - les plats préparer sont composé de nombreux conservateur et remplit de calories,un plats préparé maison sont plus sain pour notre organisme
PSYCHO : oui,mais dans notre société nous avons plus le temps nous sommes plus a l’époque de nos grand parents
MOI: Oui il est vrai que nous sommes plus actif mais un plats préparer reste tout de même plus calorique qu'un plat maison
PSYCHO: pour vous elle concerne qui a par les professionnel de la santé?
MOI: avant tout les parents et la famille car sa fait parti de l’éducation,
INFIRMIÈRE CADRE: Dans ce slogan l'auteur évoque un notion!laquelle?
MOI: EUHH :/
INFIRMI2RE: la notion de "partage" qu’évoque t-'elle pour vous?
MOI:elle m’évoque l’échange le relationnel la communication afin de passé un repas agréable
APRÈS elles m'ont demandé mes motivations:Donc je leur ai évoque mon cursus scolaire et professionnel du fait que je faisait mes études et que j travailler a coté,je leur est dit que mon envie c’était m’intègre une équipe de soignant afin de répondre au besoin des familles et des patients sur le plan médical psycho et social
PSYCHO : POURQUOI infirmière et pas assistante social?
MOI : parce que j'ai le coté médical qui est pas présent dans le métier d'assistante social
INFIRMIÈRE : Qu'elles sont vos qualités en liens avec infirmière et vos défaut a corrigé?
MOI je suis quelqu'un de dynamique organisé curieuse( j'aime apprendre et découvrir) pour mes défauts je dirais que je suis émotive
INFIRMIÈRE: Vous pensez que c un défaut??
MOI : Oui car dans ce métier il faut savoir mettre une distance avec les patient et pas s'attacher
Infirmière: Vous avez travaillée avec des enfants!et les personnes âgées vous en pensez quoi?
MOI: J'ai déjà effectuée un stage en maison de retraite et j'ai gardé un sale souvenir vu que les soignants avait aucune communication ou écoute avec les résidents
ET LA POUFF elles se sont perdu elles m'ont je comprend plus c les résidents qui avaient pas d’échanges ou les soignants expliqué vous!!!
MOI : Oui excusez moi je me suis mal exprimée en effet la communication et l’échange été pas présente en le personnel et les résidents vu que la maison de retraite été en manque d'effectif
INFIRMIÈRE:AHHH vous savez mm dans cette professions vous êtes tout le temps en train de courir comment pourriez vous effectuez un échange avec vous patients?
MOI : JE pense que même si un soignant occupée non stop pendant les technique médical on peut avoir un échange ne serai se qu'un comment allez vous aujourd'hui ou bonne journée
INFIRMIÈRE : décrivez moi ce que fait une infirmière selon vous!
MOI : elle fait ses transition actes médicaux écoute communique peut travailler de nuit comme de jours fait les 3 huit
PSYCHO: sa vous dérangé pas d'avoir un tels rythme de vie?
MOI: non je suis préparer et même habitué vu que je travail en même temps que mes étude
PSYCHO : décrivez nous la formation?
MOI: elle se déroule par semestre,durant 3ans composé de stage et un dossier a présenter au jury pour validé ses 3années
INFIRMIERE:Comment allez vous financer vos etude?
MOI: j'ai travaillé donc j'ai des économie et j'ai le soutient de mes parents
PSYCHO: Avez vous des questions ou chose a dire que vous avez pas eu l'occasion de dire?
MOI : (Franchement sa faisait 30min jen pouvais plus donc jme suis forcé pour montré que ct intéresse) J AURAIS VOULU SAVOIR LES ÉTUDIANTS SONT EN STAGE AU BOUT DE COMBIEN DE SEMAINE DE FORMATION?
INFIRMIÈRE: Sa dépend des if si chez nous c a partir de 8semaines!vous m'avait faire d’appréhender les stages (avec un sourire)
MOI: non au contraire je me demander si les élevés avaient le temps d'apprendre pour évité d’être en observation au début de leurs stage
INFIRMIÈRE: rigoleee a non chez nous l'observation dure 1h et encore après c travail non stop
APRÈS elles m'ont remercier et l’infirmière ma raccompagné et dans le couloir elle ma dit au fait je vous es pas demander si vous étiez véhicule
VOILA VOUS SAVEZ TOUT MAINTENANT A VOUS DE ME DIRE SVP
NANOUDU77
Messages: 5
Inscription: 06 Juin 2012 17:15



Voila je viens de passer mon oral et je suis complétement confuse je ne sais pas quoi en penser donc je compte sur vous pour me donner vos avis


Mon sujet été Obésité(infantile):manger en famille pour y lutter

Dans un premier temps j'ai dit que l’obésité été le fait d'avoir un indice de masse corporelle supérieur a sa norme (en fonction de sa taille et son poids)
Puis j'ai énuméré les causes: manque d'activité sportive/développement des fast food/mauvaise alimentation/mise en place sur le super marché des plats préparé ....
Puis dans un second temps les préventions : Les slogans depuis quelques années "manger bouger" /le fais que les collation de 10h soit enlevé dans les maternelles/le retrait des distributeurs dans les établissement scolaire..
et pour commenter j'ai dit que de plus en plus les repas en famille exister moins en moins et que le fait de d’apprécier un repas de le déguster avait pas autant d'importance que de le manger devant un écrans
Pour conclure et mettre le métiers d’infirmière en relation j'ai dit que des prévention scolaire après des plus jeune pouvait être ms en place afin de les sensibilisé au plus jeunes age
DONC elles ont commencé a me poser des questions(surtout la psychologue)
PSYCHO: - vous avez parlez des plats préparé en quoi serait qu'il néfaste pour notre santé?
MOI : - les plats préparer sont composé de nombreux conservateur et remplit de calories,un plats préparé maison sont plus sain pour notre organisme
PSYCHO : oui,mais dans notre société nous avons plus le temps nous sommes plus a l’époque de nos grand parents
MOI: Oui il est vrai que nous sommes plus actif mais un plats préparer reste tout de même plus calorique qu'un plat maison
PSYCHO: pour vous elle concerne qui a par les professionnel de la santé?
MOI: avant tout les parents et la famille car sa fait parti de l’éducation,
INFIRMIÈRE CADRE: Dans ce slogan l'auteur évoque un notion!laquelle?
MOI: EUHH :/
INFIRMI2RE: la notion de "partage" qu’évoque t-'elle pour vous?
MOI:elle m’évoque l’échange le relationnel la communication afin de passé un repas agréable
APRÈS elles m'ont demandé mes motivations:Donc je leur ai évoque mon cursus scolaire et professionnel du fait que je faisait mes études et que j travailler a coté,je leur est dit que mon envie c’était m’intègre une équipe de soignant afin de répondre au besoin des familles et des patients sur le plan médical psycho et social
PSYCHO : POURQUOI infirmière et pas assistante social?
MOI : parce que j'ai le coté médical qui est pas présent dans le métier d'assistante social
INFIRMIÈRE : Qu'elles sont vos qualités en liens avec infirmière et vos défaut a corrigé?
MOI je suis quelqu'un de dynamique organisé curieuse( j'aime apprendre et découvrir) pour mes défauts je dirais que je suis émotive
INFIRMIÈRE: Vous pensez que c un défaut??
MOI : Oui car dans ce métier il faut savoir mettre une distance avec les patient et pas s'attacher
Infirmière: Vous avez travaillée avec des enfants!et les personnes âgées vous en pensez quoi?
MOI: J'ai déjà effectuée un stage en maison de retraite et j'ai gardé un sale souvenir vu que les soignants avait aucune communication ou écoute avec les résidents
ET LA POUFF elles se sont perdu elles m'ont je comprend plus c les résidents qui avaient pas d’échanges ou les soignants expliqué vous!!!
MOI : Oui excusez moi je me suis mal exprimée en effet la communication et l’échange été pas présente en le personnel et les résidents vu que la maison de retraite été en manque d'effectif
INFIRMIÈRE:AHHH vous savez mm dans cette professions vous êtes tout le temps en train de courir comment pourriez vous effectuez un échange avec vous patients?
MOI : JE pense que même si un soignant occupée non stop pendant les technique médical on peut avoir un échange ne serai se qu'un comment allez vous aujourd'hui ou bonne journée
INFIRMIÈRE : décrivez moi ce que fait une infirmière selon vous!
MOI : elle fait ses transition actes médicaux écoute communique peut travailler de nuit comme de jours fait les 3 huit
PSYCHO: sa vous dérangé pas d'avoir un tels rythme de vie?
MOI: non je suis préparer et même habitué vu que je travail en même temps que mes étude
PSYCHO : décrivez nous la formation?
MOI: elle se déroule par semestre,durant 3ans composé de stage et un dossier a présenter au jury pour validé ses 3années
INFIRMIERE:Comment allez vous financer vos etude?
MOI: j'ai travaillé donc j'ai des économie et j'ai le soutient de mes parents
PSYCHO: Avez vous des questions ou chose a dire que vous avez pas eu l'occasion de dire?
MOI : (Franchement sa faisait 30min jen pouvais plus donc jme suis forcé pour montré que ct intéresse) J AURAIS VOULU SAVOIR LES ÉTUDIANTS SONT EN STAGE AU BOUT DE COMBIEN DE SEMAINE DE FORMATION?
INFIRMIÈRE: Sa dépend des if si chez nous c a partir de 8semaines!vous m'avait faire d’appréhender les stages (avec un sourire)
MOI: non au contraire je me demander si les élevés avaient le temps d'apprendre pour évité d’être en observation au début de leurs stage
INFIRMIÈRE: rigoleee a non chez nous l'observation dure 1h et encore après c travail non stop
APRÈS elles m'ont remercier et l’infirmière ma raccompagné et dans le couloir elle ma dit au fait je vous es pas demander si vous étiez véhicule
VOILA VOUS SAVEZ TOUT MAINTENANT A VOUS DE ME DIRE SVP
NANOUDU77
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Re: Entraînement à l'oral 2012 : sujet/exposé/culture généra
NANOUDU77 a écrit :COUCOU tous le monde!!!!![]()
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Voila je viens de passer mon oral et je suis complétement confuse je ne sais pas quoi en penser donc je compte sur vous pour me donner vos avis![]()
Mon sujet été Obésité(infantile):manger en famille pour y lutter
Dans un premier temps j'ai dit que l’obésité été le fait d'avoir un indice de masse corporelle supérieur a sa norme (en fonction de sa taille et son poids)
Puis j'ai énuméré les causes: manque d'activité sportive/développement des fast food/mauvaise alimentation/mise en place sur le super marché des plats préparé ....
Puis dans un second temps les préventions : Les slogans depuis quelques années "manger bouger" /le fais que les collation de 10h soit enlevé dans les maternelles/le retrait des distributeurs dans les établissement scolaire..
et pour commenter j'ai dit que de plus en plus les repas en famille exister moins en moins et que le fait de d’apprécier un repas de le déguster avait pas autant d'importance que de le manger devant un écrans
Pour conclure et mettre le métiers d’infirmière en relation j'ai dit que des prévention scolaire après des plus jeune pouvait être ms en place afin de les sensibilisé au plus jeunes age
DONC elles ont commencé a me poser des questions(surtout la psychologue)
PSYCHO: - vous avez parlez des plats préparé en quoi serait qu'il néfaste pour notre santé?
MOI : - les plats préparer sont composé de nombreux conservateur et remplit de calories,un plats préparé maison sont plus sain pour notre organisme
PSYCHO : oui,mais dans notre société nous avons plus le temps nous sommes plus a l’époque de nos grand parents
MOI: Oui il est vrai que nous sommes plus actif mais un plats préparer reste tout de même plus calorique qu'un plat maison
PSYCHO: pour vous elle concerne qui a par les professionnel de la santé?
MOI: avant tout les parents et la famille car sa fait parti de l’éducation,
INFIRMIÈRE CADRE: Dans ce slogan l'auteur évoque un notion!laquelle?
MOI: EUHH :/
INFIRMI2RE: la notion de "partage" qu’évoque t-'elle pour vous?
MOI:elle m’évoque l’échange le relationnel la communication afin de passé un repas agréable
APRÈS elles m'ont demandé mes motivations:Donc je leur ai évoque mon cursus scolaire et professionnel du fait que je faisait mes études et que j travailler a coté,je leur est dit que mon envie c’était m’intègre une équipe de soignant afin de répondre au besoin des familles et des patients sur le plan médical psycho et social
PSYCHO : POURQUOI infirmière et pas assistante social?
MOI : parce que j'ai le coté médical qui est pas présent dans le métier d'assistante social
INFIRMIÈRE : Qu'elles sont vos qualités en liens avec infirmière et vos défaut a corrigé?
MOI je suis quelqu'un de dynamique organisé curieuse( j'aime apprendre et découvrir) pour mes défauts je dirais que je suis émotive
INFIRMIÈRE: Vous pensez que c un défaut??
MOI : Oui car dans ce métier il faut savoir mettre une distance avec les patient et pas s'attacher
Infirmière: Vous avez travaillée avec des enfants!et les personnes âgées vous en pensez quoi?
MOI: J'ai déjà effectuée un stage en maison de retraite et j'ai gardé un sale souvenir vu que les soignants avait aucune communication ou écoute avec les résidents
ET LA POUFF elles se sont perdu elles m'ont je comprend plus c les résidents qui avaient pas d’échanges ou les soignants expliqué vous!!!
MOI : Oui excusez moi je me suis mal exprimée en effet la communication et l’échange été pas présente en le personnel et les résidents vu que la maison de retraite été en manque d'effectif
INFIRMIÈRE:AHHH vous savez mm dans cette professions vous êtes tout le temps en train de courir comment pourriez vous effectuez un échange avec vous patients?
MOI : JE pense que même si un soignant occupée non stop pendant les technique médical on peut avoir un échange ne serai se qu'un comment allez vous aujourd'hui ou bonne journée
INFIRMIÈRE : décrivez moi ce que fait une infirmière selon vous!
MOI : elle fait ses transition actes médicaux écoute communique peut travailler de nuit comme de jours fait les 3 huit
PSYCHO: sa vous dérangé pas d'avoir un tels rythme de vie?
MOI: non je suis préparer et même habitué vu que je travail en même temps que mes étude
PSYCHO : décrivez nous la formation?
MOI: elle se déroule par semestre,durant 3ans composé de stage et un dossier a présenter au jury pour validé ses 3années
INFIRMIERE:Comment allez vous financer vos etude?
MOI: j'ai travaillé donc j'ai des économie et j'ai le soutient de mes parents
PSYCHO: Avez vous des questions ou chose a dire que vous avez pas eu l'occasion de dire?
MOI : (Franchement sa faisait 30min jen pouvais plus donc jme suis forcé pour montré que ct intéresse) J AURAIS VOULU SAVOIR LES ÉTUDIANTS SONT EN STAGE AU BOUT DE COMBIEN DE SEMAINE DE FORMATION?
INFIRMIÈRE: Sa dépend des if si chez nous c a partir de 8semaines!vous m'avait faire d’appréhender les stages (avec un sourire)
MOI: non au contraire je me demander si les élevés avaient le temps d'apprendre pour évité d’être en observation au début de leurs stage
INFIRMIÈRE: rigoleee a non chez nous l'observation dure 1h et encore après c travail non stop
APRÈS elles m'ont remercier et l’infirmière ma raccompagné et dans le couloir elle ma dit au fait je vous es pas demander si vous étiez véhicule
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Sa me semble pas mal, pas mal du tout a vrai dire...
Infirmier depuis le 24 juillet 2015.
Re: Actualités 2012
Boissons énergisantes : deux nouveaux décès suspects
Deux nouveaux décès par crise cardiaque en lien avec la consommation de boissons énergisantes ont été signalés aux autorités sanitaires, a indiqué mercredi 6 juin au soir l'agence de sécurité sanitaire pour l'alimentation (Anses). "Des investigations sont en cours" pour affiner l'analyse de ces cas, note l'agence sanitaire. "Un décès avait déjà été auparavant signalé", précise l'Anses.
Le terme de "boisson énergisante" n'est pas encadré réglementairement, rappelle-t-elle. Il recouvre des boissons supposées "mobiliser l'énergie" en stimulant le système nerveux et contenant généralement des ingrédients supposés "stimulants" tels que taurine, caféine, guarana, ginseng ou vitamines... L'agence nationale de sécurité sanitaire, alimentation, environnement, travail (Anses) fait état mercredi soir de "plusieurs cas" d'effets indésirables rapportés "notamment lors de la consommation de ces boissons en association avec de l'alcool".
VINGT-QUATRE CAS SIGNALÉS
La surveillance de ces boissons instituée en 2008 avait permis de recenser parmi 24 cas rapportés, treize pour lesquels "un lien de causalité possible ou probable a pu être établi". Les effets rapportés sont d'ordre cardiaque (trouble du rythme : tachycardie), neurologique (crises d'épilepsie, tremblements, vertiges...), psychiatrique (angoisses, agitation, confusion).
Par ailleurs, "trois cas d'accidents vasculaires cérébraux et deux cas d'arrêt cardiaque dont un mortel ont été signalés pour lesquels le lien avec la consommation de boisson énergisante n'a pu être clairement établi", indique l'Anses dans un communiqué.
Le relais de cette surveillance, assurée auparavant par l'InVS (institut de veille sanitaire) a été pris en 2009 par l'Anses, chargée de la "nutrivigilance". Six nouveaux cas ont été signalés dans ce cadre. "Tous concernent des personnes de moins de 50 ans (quatre d'entre eux ont moins de 30 ans). Cinq d'entre eux ont consommé des boissons énergisantes en association avec de l'alcool dans un contexte festif". Les effets indésirables déclarés sont également d'ordre cardiologique (crises cardiaques mortelles), neurologique (crise d'épilepsie, coma, désorientation temporo-spatiale) et psychiatrique (troubles du comportement). Une atteinte rénale a également été constatée (insuffisance rénale aiguë). "Des investigations sont en cours pour permettre d'affiner l'analyse de ces cas", précise l'agence sanitaire, qui demande aux professionnels de santé de signaler tous les cas d'effets indésirables qui viendraient à leur connaissance.
Le monde
Deux nouveaux décès par crise cardiaque en lien avec la consommation de boissons énergisantes ont été signalés aux autorités sanitaires, a indiqué mercredi 6 juin au soir l'agence de sécurité sanitaire pour l'alimentation (Anses). "Des investigations sont en cours" pour affiner l'analyse de ces cas, note l'agence sanitaire. "Un décès avait déjà été auparavant signalé", précise l'Anses.
Le terme de "boisson énergisante" n'est pas encadré réglementairement, rappelle-t-elle. Il recouvre des boissons supposées "mobiliser l'énergie" en stimulant le système nerveux et contenant généralement des ingrédients supposés "stimulants" tels que taurine, caféine, guarana, ginseng ou vitamines... L'agence nationale de sécurité sanitaire, alimentation, environnement, travail (Anses) fait état mercredi soir de "plusieurs cas" d'effets indésirables rapportés "notamment lors de la consommation de ces boissons en association avec de l'alcool".
VINGT-QUATRE CAS SIGNALÉS
La surveillance de ces boissons instituée en 2008 avait permis de recenser parmi 24 cas rapportés, treize pour lesquels "un lien de causalité possible ou probable a pu être établi". Les effets rapportés sont d'ordre cardiaque (trouble du rythme : tachycardie), neurologique (crises d'épilepsie, tremblements, vertiges...), psychiatrique (angoisses, agitation, confusion).
Par ailleurs, "trois cas d'accidents vasculaires cérébraux et deux cas d'arrêt cardiaque dont un mortel ont été signalés pour lesquels le lien avec la consommation de boisson énergisante n'a pu être clairement établi", indique l'Anses dans un communiqué.
Le relais de cette surveillance, assurée auparavant par l'InVS (institut de veille sanitaire) a été pris en 2009 par l'Anses, chargée de la "nutrivigilance". Six nouveaux cas ont été signalés dans ce cadre. "Tous concernent des personnes de moins de 50 ans (quatre d'entre eux ont moins de 30 ans). Cinq d'entre eux ont consommé des boissons énergisantes en association avec de l'alcool dans un contexte festif". Les effets indésirables déclarés sont également d'ordre cardiologique (crises cardiaques mortelles), neurologique (crise d'épilepsie, coma, désorientation temporo-spatiale) et psychiatrique (troubles du comportement). Une atteinte rénale a également été constatée (insuffisance rénale aiguë). "Des investigations sont en cours pour permettre d'affiner l'analyse de ces cas", précise l'agence sanitaire, qui demande aux professionnels de santé de signaler tous les cas d'effets indésirables qui viendraient à leur connaissance.
Le monde
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Actualités 2012
Le cannabis est-il vraiment dangereux ?
Le Point.fr - Publié le 06/06/2012 à 13:57 - Modifié le 06/06/2012 à 15:10
La question de la dépénalisation de l'usage de cette herbe, relancée par Cécile Duflot, est soutenue par beaucoup de spécialistes. Interview.
En relançant le débat sur la dépénalisation du cannabis, Cécile Duflot a ravivé un vieux débat politique. Mais qu'en est-il de la question scientifique ? Le docteur Marc Valleur, médecin-chef de l'hôpital Marmottan, à l'ouest de Paris (le "haut lieu" des toxicomanes désireux de s'en sortir), souligne que si le nombre des utilisateurs festifs de drogue ne cesse de grandir, dans l'immense majorité des cas, ils ne deviennent pas dépendants. Interview.
Le Point.fr : Pourquoi différenciez-vous le cannabis des autres drogues ?
Dr Marc Valleur : Parce que c'est la seule drogue illicite qui donne lieu à une consommation de masse. Son usage est le plus souvent récréatif, occasionnel, et ne pose aucun problème à l'immense majorité des expérimentateurs. Certes, le cannabis peut donner lieu à une dépendance, il peut avoir des effets néfastes sur les poumons et c'est un produit cancérigène. Certes, il peut provoquer des attaques de panique et il existe une corrélation entre sa consommation et certaines formes de troubles psychiques, comme la schizophrénie. Mais ce n'est pas un produit véritablement dangereux.
Or, on a un gros souci avec la loi de 70, qui dit que l'usage de drogue est puni d'un an de prison ; dans le cas de l'héroïne, c'est atténué par les possibilités de substitution et le fait que moins de 1 % de la population est concernée. En revanche, l'usage de cannabis ne devrait pas être sanctionné par une peine de prison. C'est une absurdité, mais qui donne à la police et à la justice une grande latitude d'action...
Votre inquiétude actuelle concerne la cocaïne...
Oui, car elle est en train de remplacer l'héroïne dans l'imaginaire des toxicomanes et de devenir la drogue par excellence. Ses prix ayant baissé, elle n'est plus réservée à la jet-set. Elle circule dans les cités de banlieue, dans les boîtes de nuit, dans les soirées festives, dans les rencontres entre jeunes. Les dangers sont bien connus : elle augmente le rythme cardiaque et la tension artérielle, d'où des accidents cardiaques et vasculaires cérébraux. Il y a aussi des troubles psychiques aigus, la fameuse parano de coke avec les délires où les gens s'imaginent qu'ils sont persécutés, poursuivis, ce qui peut les amener à commettre une agression. On voit aussi des gens qui, en descente de coke, ont des hallucinations cutanées, l'impression que des bestioles courent sous leur épiderme et ils peuvent s'arracher la peau.
D'autre part, il faut espérer que la plupart des consommateurs continuent à l'utiliser exclusivement en snif, même si cette pratique détruit la cloison nasale. L'injection de coke est, elle, catastrophique pour le système cardio-vasculaire et pour les veines. Enfin, certains fument de la cocaïne, ce qui est nocif pour les poumons. De plus, son effet est alors très bref, ce qui conduit à multiplier les prises.
Qu'en est-il du crack ?
Le crack est une forme basique de cocaïne, d'une certaine manière plus pure. Mais il ne peut pas s'injecter, car il ne se dissout pas. C'est pour ça que les gens le fument, et quand ils le chauffent, ça fait ce bruit particulier de grésillement, d'où son nom. On croit que le crack est moins cher que la cocaïne, parce que c'est de la drogue de rue ; c'est pareil, mais à poids égal il y a moins de molécules dans le crack qui est sous forme de cristaux. Les deux ont la même dangerosité, mais les effets du crack sont tellement brefs que les accros ne cessent d'en prendre.
Et que penser des nouveaux produits qui apparaissent régulièrement ?
Nous avons la chance, en France, de ne pas avoir trop de problèmes avec l'ice, la méthamphétamine qui est très consommée en Amérique du Nord et en Asie. Quant à un autre dérivé de l'amphétamine, l'ecstasy, elle est utilisée depuis longtemps comme drogue récréative, festive, et elle n'a pas entraîné de grande "épidémie", comme on le craignait il y a une dizaine d'années. De nouveaux produits apparaissent régulièrement sur le marché ; un des derniers est la méphédrone. Le but est de prendre de court les législateurs et d'exploiter la curiosité des jeunes qui aiment expérimenter des choses nouvelles.
Le point
Le Point.fr - Publié le 06/06/2012 à 13:57 - Modifié le 06/06/2012 à 15:10
La question de la dépénalisation de l'usage de cette herbe, relancée par Cécile Duflot, est soutenue par beaucoup de spécialistes. Interview.
En relançant le débat sur la dépénalisation du cannabis, Cécile Duflot a ravivé un vieux débat politique. Mais qu'en est-il de la question scientifique ? Le docteur Marc Valleur, médecin-chef de l'hôpital Marmottan, à l'ouest de Paris (le "haut lieu" des toxicomanes désireux de s'en sortir), souligne que si le nombre des utilisateurs festifs de drogue ne cesse de grandir, dans l'immense majorité des cas, ils ne deviennent pas dépendants. Interview.
Le Point.fr : Pourquoi différenciez-vous le cannabis des autres drogues ?
Dr Marc Valleur : Parce que c'est la seule drogue illicite qui donne lieu à une consommation de masse. Son usage est le plus souvent récréatif, occasionnel, et ne pose aucun problème à l'immense majorité des expérimentateurs. Certes, le cannabis peut donner lieu à une dépendance, il peut avoir des effets néfastes sur les poumons et c'est un produit cancérigène. Certes, il peut provoquer des attaques de panique et il existe une corrélation entre sa consommation et certaines formes de troubles psychiques, comme la schizophrénie. Mais ce n'est pas un produit véritablement dangereux.
Or, on a un gros souci avec la loi de 70, qui dit que l'usage de drogue est puni d'un an de prison ; dans le cas de l'héroïne, c'est atténué par les possibilités de substitution et le fait que moins de 1 % de la population est concernée. En revanche, l'usage de cannabis ne devrait pas être sanctionné par une peine de prison. C'est une absurdité, mais qui donne à la police et à la justice une grande latitude d'action...
Votre inquiétude actuelle concerne la cocaïne...
Oui, car elle est en train de remplacer l'héroïne dans l'imaginaire des toxicomanes et de devenir la drogue par excellence. Ses prix ayant baissé, elle n'est plus réservée à la jet-set. Elle circule dans les cités de banlieue, dans les boîtes de nuit, dans les soirées festives, dans les rencontres entre jeunes. Les dangers sont bien connus : elle augmente le rythme cardiaque et la tension artérielle, d'où des accidents cardiaques et vasculaires cérébraux. Il y a aussi des troubles psychiques aigus, la fameuse parano de coke avec les délires où les gens s'imaginent qu'ils sont persécutés, poursuivis, ce qui peut les amener à commettre une agression. On voit aussi des gens qui, en descente de coke, ont des hallucinations cutanées, l'impression que des bestioles courent sous leur épiderme et ils peuvent s'arracher la peau.
D'autre part, il faut espérer que la plupart des consommateurs continuent à l'utiliser exclusivement en snif, même si cette pratique détruit la cloison nasale. L'injection de coke est, elle, catastrophique pour le système cardio-vasculaire et pour les veines. Enfin, certains fument de la cocaïne, ce qui est nocif pour les poumons. De plus, son effet est alors très bref, ce qui conduit à multiplier les prises.
Qu'en est-il du crack ?
Le crack est une forme basique de cocaïne, d'une certaine manière plus pure. Mais il ne peut pas s'injecter, car il ne se dissout pas. C'est pour ça que les gens le fument, et quand ils le chauffent, ça fait ce bruit particulier de grésillement, d'où son nom. On croit que le crack est moins cher que la cocaïne, parce que c'est de la drogue de rue ; c'est pareil, mais à poids égal il y a moins de molécules dans le crack qui est sous forme de cristaux. Les deux ont la même dangerosité, mais les effets du crack sont tellement brefs que les accros ne cessent d'en prendre.
Et que penser des nouveaux produits qui apparaissent régulièrement ?
Nous avons la chance, en France, de ne pas avoir trop de problèmes avec l'ice, la méthamphétamine qui est très consommée en Amérique du Nord et en Asie. Quant à un autre dérivé de l'amphétamine, l'ecstasy, elle est utilisée depuis longtemps comme drogue récréative, festive, et elle n'a pas entraîné de grande "épidémie", comme on le craignait il y a une dizaine d'années. De nouveaux produits apparaissent régulièrement sur le marché ; un des derniers est la méphédrone. Le but est de prendre de court les législateurs et d'exploiter la curiosité des jeunes qui aiment expérimenter des choses nouvelles.
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Re: Actualités 2012
Un «SOS harcèlement sexuel» créé avec les hôpitaux de Paris
Un numéro vert et une cellule de prise en charge pour les victimes de harcèlement sexuel ont été lancés à Paris, à l'heure où le Conseil constitutionnel vient d'abroger la loi sur le sujet.
Pour la première fois, un CHU met en place une cellule de prise en charge psychologique et un numéro vert d'écoute pour les victimes de harcèlement sexuel (0800 00 46 41). Le projet, lancé mercredi, est piloté par le professeur Peretti, chef des services psychiatrie de Saint-Antoine et Tenon. Psychologues, psychiatres, médecins ou infirmiers: 35 professionnels des deux hôpitaux ont été mobilisés.
«Le harcèlement sexuel créé un traumatisme particulier. Il peut entraîner des troubles du sommeil, une perte de l'estime de soi, des symptômes anxieux et des idées dépressives qui mènent parfois à des tentatives de suicide», décrit le professeur Charles Peretti.
Après une prise de contact téléphonique, les victimes pourront être reçues par un médecin. «Lors de ce premier entretien, il est essentiel de les aider à exprimer leur souffrance et à dépasser leur honte, leur peur d'être jugées. Ce rendez-vous permettra également de réaliser une évaluation, un diagnostic et de proposer ensuite une thérapie adaptée», précise le professeur.
L'initiative a-t-elle été motivée par la récente abrogatation de la loi réprimant ce délit par le Conseil constitutionnel? «Le projet n'est pas lié à cette actualité. C'est une réponse des professionnels du terrain à un tabou de notre société. La création d'un SOS harcèlement figurait déjà dans nos propositions avant l'élection présidentielle», avance Lydia Guirous, présidente de l'association à l'origine du projet, Future au Féminin.
«Jusqu'alors, le monde associatif s'est engagé dans la prise en charge juridique des procédures de harcèlement mais pas dans la prise en charge thérapeutique», rajoute cette dernière, également candidate (parti radical) aux législatives avec le professeur Peretti dans la 6eme circonscription de Paris.
Au-delà d'un travail de «reconstruction» en aval, cette nouvelle structure se veut aussi une aide en amont pour les victimes qui n'ont pas encore porté plainte. «Il s'agit aussi de les coacher, de les aider à gérer au mieux ces situations avant qu'elles ne sombrent dans la dépression, qu'elles n'osent plus se rendre à leur travail ou qu'elles démissionnent», souligne Lydia Guirous. «À nous de lever les freins psychologiques qui les empêchent de porter plainte», ajoute le professeur Peretti.
L'AVFT, association européenne contre les Violences faites aux Femmes au Travail, qui reçoit et apporte une aide juridique tous les ans entre 300 et 400 victimes de violences sexuelles confirme le besoin d'une prise en charge spécifique, jusqu'à présent difficile à identifier.
«L'offre privée abonde mais il n'en va pas de même dans les hôpitaux, selon Marilyn Baldeck, déléguée générale de l'AVFT. Peu de médecins sont formés pour la prise en charge de ces victimes. C'est même parfois difficile de trouver quelqu'un qui va les aider et non aggraver leur cas!», estime cette dernière.
Le figaro
Un numéro vert et une cellule de prise en charge pour les victimes de harcèlement sexuel ont été lancés à Paris, à l'heure où le Conseil constitutionnel vient d'abroger la loi sur le sujet.
Pour la première fois, un CHU met en place une cellule de prise en charge psychologique et un numéro vert d'écoute pour les victimes de harcèlement sexuel (0800 00 46 41). Le projet, lancé mercredi, est piloté par le professeur Peretti, chef des services psychiatrie de Saint-Antoine et Tenon. Psychologues, psychiatres, médecins ou infirmiers: 35 professionnels des deux hôpitaux ont été mobilisés.
«Le harcèlement sexuel créé un traumatisme particulier. Il peut entraîner des troubles du sommeil, une perte de l'estime de soi, des symptômes anxieux et des idées dépressives qui mènent parfois à des tentatives de suicide», décrit le professeur Charles Peretti.
Après une prise de contact téléphonique, les victimes pourront être reçues par un médecin. «Lors de ce premier entretien, il est essentiel de les aider à exprimer leur souffrance et à dépasser leur honte, leur peur d'être jugées. Ce rendez-vous permettra également de réaliser une évaluation, un diagnostic et de proposer ensuite une thérapie adaptée», précise le professeur.
L'initiative a-t-elle été motivée par la récente abrogatation de la loi réprimant ce délit par le Conseil constitutionnel? «Le projet n'est pas lié à cette actualité. C'est une réponse des professionnels du terrain à un tabou de notre société. La création d'un SOS harcèlement figurait déjà dans nos propositions avant l'élection présidentielle», avance Lydia Guirous, présidente de l'association à l'origine du projet, Future au Féminin.
«Jusqu'alors, le monde associatif s'est engagé dans la prise en charge juridique des procédures de harcèlement mais pas dans la prise en charge thérapeutique», rajoute cette dernière, également candidate (parti radical) aux législatives avec le professeur Peretti dans la 6eme circonscription de Paris.
Au-delà d'un travail de «reconstruction» en aval, cette nouvelle structure se veut aussi une aide en amont pour les victimes qui n'ont pas encore porté plainte. «Il s'agit aussi de les coacher, de les aider à gérer au mieux ces situations avant qu'elles ne sombrent dans la dépression, qu'elles n'osent plus se rendre à leur travail ou qu'elles démissionnent», souligne Lydia Guirous. «À nous de lever les freins psychologiques qui les empêchent de porter plainte», ajoute le professeur Peretti.
L'AVFT, association européenne contre les Violences faites aux Femmes au Travail, qui reçoit et apporte une aide juridique tous les ans entre 300 et 400 victimes de violences sexuelles confirme le besoin d'une prise en charge spécifique, jusqu'à présent difficile à identifier.
«L'offre privée abonde mais il n'en va pas de même dans les hôpitaux, selon Marilyn Baldeck, déléguée générale de l'AVFT. Peu de médecins sont formés pour la prise en charge de ces victimes. C'est même parfois difficile de trouver quelqu'un qui va les aider et non aggraver leur cas!», estime cette dernière.
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Re: Actualités 2012
Fin des gardes à vue pour les sans-papiers
La Cour de cassation a suivi la jurisprudence européenne qui estime que le seul fait de se trouver en situation irrégulière ne constituait pas un délit justifiant une peine de prison.
Les étrangers en situation irrégulière ne peuvent pas être placés en garde à vue, s'ils ne sont pas soupçonnés d'un autre délit: ainsi a tranché la chambre criminelle de la Cour de cassation. La question agite depuis plusieurs mois les juridictions françaises et, comme souvent, le changement s'est glissé dans les frontières hexagonales via la jurisprudence européenne. La Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) a en effet estimé à deux reprises en 2011 que le seul fait de se trouver en situation irrégulière ne constituait pas un délit justifiant une peine de prison. Or, en droit français, ne peuvent être placées en garde à vue que les personnes encourant une peine d'emprisonnement.
Les tribunaux français ont du coup rendu ces derniers mois des décisions contradictoires. L'avis rendu mardi, destiné à la première chambre civile de la haute juridiction, qui voulait connaître la position de la chambre criminelle avant de se prononcer - signe de la sensibilité du dossier - devrait désormais faire jurisprudence. Plusieurs dizaines de milliers de sans-papiers sont interpellés par an en dehors de tous faits délictuels - par exemple, à l'occasion de contrôles d'identité. Auparavant, ils étaient placés en garde à vue pendant 24 ou 48 heures. Quelques centaines d'entre eux étaient incarcérés. Les personnes ne justifiant pas d'une situation régulière pouvaient être réorientées vers le dispositif de reconduite à la frontière. À l'avenir, les sans-papiers pourront être emmenés au commissariat, afin que des mesures de vérification de leur identité puissent être menées, mais ne pourront pas y demeurer plus de quatre heures. «C'est un changement de philosophie, estime Patrice Spinosi, avocat de la Cimade, association qui a porté le dossier. Les personnes en situation irrégulière n'échappent pas à une éventuelle reconduite à la frontière, mais ne sont pas assimilées à des délinquants.»
Le figaro
La Cour de cassation a suivi la jurisprudence européenne qui estime que le seul fait de se trouver en situation irrégulière ne constituait pas un délit justifiant une peine de prison.
Les étrangers en situation irrégulière ne peuvent pas être placés en garde à vue, s'ils ne sont pas soupçonnés d'un autre délit: ainsi a tranché la chambre criminelle de la Cour de cassation. La question agite depuis plusieurs mois les juridictions françaises et, comme souvent, le changement s'est glissé dans les frontières hexagonales via la jurisprudence européenne. La Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) a en effet estimé à deux reprises en 2011 que le seul fait de se trouver en situation irrégulière ne constituait pas un délit justifiant une peine de prison. Or, en droit français, ne peuvent être placées en garde à vue que les personnes encourant une peine d'emprisonnement.
Les tribunaux français ont du coup rendu ces derniers mois des décisions contradictoires. L'avis rendu mardi, destiné à la première chambre civile de la haute juridiction, qui voulait connaître la position de la chambre criminelle avant de se prononcer - signe de la sensibilité du dossier - devrait désormais faire jurisprudence. Plusieurs dizaines de milliers de sans-papiers sont interpellés par an en dehors de tous faits délictuels - par exemple, à l'occasion de contrôles d'identité. Auparavant, ils étaient placés en garde à vue pendant 24 ou 48 heures. Quelques centaines d'entre eux étaient incarcérés. Les personnes ne justifiant pas d'une situation régulière pouvaient être réorientées vers le dispositif de reconduite à la frontière. À l'avenir, les sans-papiers pourront être emmenés au commissariat, afin que des mesures de vérification de leur identité puissent être menées, mais ne pourront pas y demeurer plus de quatre heures. «C'est un changement de philosophie, estime Patrice Spinosi, avocat de la Cimade, association qui a porté le dossier. Les personnes en situation irrégulière n'échappent pas à une éventuelle reconduite à la frontière, mais ne sont pas assimilées à des délinquants.»
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Re: Actualités 2012
L'alarmante résistance des bactéries aux antibiotiques
Par Nathalie Szapiro-Manoukian - le 04/06/2012
INFOGRAPHIE - Trouver de nouveaux antibiotiques est l'un des grands défis des vingt prochaines années.
Tandis que certains scénarios catastrophes sur les virus mutants tiennent les populations, les cinéastes et les politiques en haleine, on en oublierait presque un autre problème plus pressant: celui de la résistance aux antibiotiques, qui a largement dépassé la côte d'alerte.
«La trop large prescription des antibiotiques, que ce soit en médecine humaine, en médecine vétérinaire ou dans les élevages industriels dans le monde, a fait que seules les bactéries les plus résistantes ont réussi à survivre et à se multiplier. Ainsi, le scénario selon lequel on va bientôt manquer de traitements efficaces face à des bactéries multirésistantes n'a rien d'une science-fiction: en Chine, en Inde et en Europe de l'Est, où l'on observe les plus gros foyers de résistance, c'est déjà un problème majeur. Il y a donc extrême urgence à agir et à agir vite, car la mise au point de nouveaux antibiotiques demande des années», prévient le Pr Jean-Paul Stahl, chef du service d'infectiologie au CHU de Grenoble.
Deux familles particulièrement inquiètantes
De toutes les bactéries, deux familles inquiètent tout particulièrement les infectiologues. Il s'agit des colibacilles potentiellement responsables d'infections sévères et des Klebsielles, à l'origine d'infections respiratoires à type de pneumonies. «Ces bactéries sont de plus en plus résistantes aux céphalosporines, une classe d'antibiotiques couramment prescrite. Fait plus inquiétant, elles commencent à présenter aussi des résistances à une classe d'antibiotiques (les carbapénèmes) normalement réservée à des infections sévères: c'est donc notre dernière ligne de défense qui risque de sauter.
D'ailleurs, en cas de résistance avérée, les médecins en sont déjà réduits à ressortir un vieil antibiotique - la colistine - qui avait été abandonné en raison de sa toxicité», s'inquiète le Pr Jean Carlet, réanimateur consultant pour l'OMS, qui est à l'initiative de l'Alliance contre le développement des bactéries multirésistantes aux antibiotiques (ACdeBMR).
Pour éviter ce retour en arrière, il est urgent de considérer l'antibiotique comme un médicament à part. «Infectiologues, généralistes, vétérinaires, etc. issus de 50 sociétés savantes ou groupes professionnels, français et étrangers, viennent ainsi de cosigner un plan d'action commun», insiste le Pr Carlet.
Le but? Pousser les différents acteurs médicaux et politiques du monde entier à mener des actions d'urgence, telles qu'un meilleur encadrement des prescriptions, le développement de tests de diagnostic rapides et réalisables au cabinet du médecin afin de distinguer les infections virales (qui ne nécessitent pas d'antibiotiques) des infections bactériennes, l'aide au développement de nouveaux antibiotiques en allongeant la durée de vie de leurs brevets pour stimuler la recherche, l'interdiction des antibiotiques dans les filières agricoles aux seules fins de faire grossir le bétail (comme cela se pratique encore hors d'Europe), l'arrêt des traitements prophylactiques de masse chez les animaux d'élevage, sans oublier les mesures d'hygiène (comme l'isolement des malades porteurs de germes résistants dans les hôpitaux) et surtout, pour éviter la transmission de germes résistants via les selles, une refonte globale de nos stations d'épuration: «Il n'est pas normal que les boues éliminées de ces stations et qui comprennent par définition tout ce qui rend l'eau impropre à la consommation (dont les germes multirésistants fécaux des malades infectés) soient utilisées pour l'épandage dans les champs», s'insurge le Pr Carlet.
Une nouvelles classes d'antibiotiques
«Les quelques nouveautés attendues dans les prochaines années sont importantes mais ne suffiront pas à nous préserver des infections à bactéries résistantes si rien ne change par ailleurs», prédisent le Pr Stahl et le Pr Lionel Piroth, infectiologue (CHU Dijon).
On attend notamment des inhibiteurs des bêtalactamases, une nouvelle classe d'antibiotiques, dans les quatre à cinq ans à venir, ainsi que de nouveaux tests capables de repérer d'emblée les bactéries résistantes.
«Il existe également une certaine recherche autour des virus bactériophages, ainsi appelés parce qu'ils détruisent les bactéries. Déjà utilisés dans les infections locales graves ostéo-articulaires en Afrique et en Russie, ces virus bactériophages pourraient être utilisés dans les pays occidentaux, à condition que des études scientifiques bien menées prouvent leur efficacité (et leur tolérance), ce qui n'a jamais été fait jusqu'à présent.
Autres voies de recherche: la destruction de l'antibiotique reçu (ou sa neutralisation par des charbons) une fois parvenu dans le côlon, pour éviter que des bactéries comme les colibacilles, qui séjournent naturellement dans cette portion de notre organisme, n'acquièrent des résistances. Plus radical encore: la destruction de la flore intestinale lorsqu'on la sait “polluée” par des souches résistantes et la transplantation d'une nouvelle flore normale», souligne le Pr Carlet.
Le Figaro
Par Nathalie Szapiro-Manoukian - le 04/06/2012
INFOGRAPHIE - Trouver de nouveaux antibiotiques est l'un des grands défis des vingt prochaines années.
Tandis que certains scénarios catastrophes sur les virus mutants tiennent les populations, les cinéastes et les politiques en haleine, on en oublierait presque un autre problème plus pressant: celui de la résistance aux antibiotiques, qui a largement dépassé la côte d'alerte.
«La trop large prescription des antibiotiques, que ce soit en médecine humaine, en médecine vétérinaire ou dans les élevages industriels dans le monde, a fait que seules les bactéries les plus résistantes ont réussi à survivre et à se multiplier. Ainsi, le scénario selon lequel on va bientôt manquer de traitements efficaces face à des bactéries multirésistantes n'a rien d'une science-fiction: en Chine, en Inde et en Europe de l'Est, où l'on observe les plus gros foyers de résistance, c'est déjà un problème majeur. Il y a donc extrême urgence à agir et à agir vite, car la mise au point de nouveaux antibiotiques demande des années», prévient le Pr Jean-Paul Stahl, chef du service d'infectiologie au CHU de Grenoble.
Deux familles particulièrement inquiètantes
De toutes les bactéries, deux familles inquiètent tout particulièrement les infectiologues. Il s'agit des colibacilles potentiellement responsables d'infections sévères et des Klebsielles, à l'origine d'infections respiratoires à type de pneumonies. «Ces bactéries sont de plus en plus résistantes aux céphalosporines, une classe d'antibiotiques couramment prescrite. Fait plus inquiétant, elles commencent à présenter aussi des résistances à une classe d'antibiotiques (les carbapénèmes) normalement réservée à des infections sévères: c'est donc notre dernière ligne de défense qui risque de sauter.
D'ailleurs, en cas de résistance avérée, les médecins en sont déjà réduits à ressortir un vieil antibiotique - la colistine - qui avait été abandonné en raison de sa toxicité», s'inquiète le Pr Jean Carlet, réanimateur consultant pour l'OMS, qui est à l'initiative de l'Alliance contre le développement des bactéries multirésistantes aux antibiotiques (ACdeBMR).
Pour éviter ce retour en arrière, il est urgent de considérer l'antibiotique comme un médicament à part. «Infectiologues, généralistes, vétérinaires, etc. issus de 50 sociétés savantes ou groupes professionnels, français et étrangers, viennent ainsi de cosigner un plan d'action commun», insiste le Pr Carlet.
Le but? Pousser les différents acteurs médicaux et politiques du monde entier à mener des actions d'urgence, telles qu'un meilleur encadrement des prescriptions, le développement de tests de diagnostic rapides et réalisables au cabinet du médecin afin de distinguer les infections virales (qui ne nécessitent pas d'antibiotiques) des infections bactériennes, l'aide au développement de nouveaux antibiotiques en allongeant la durée de vie de leurs brevets pour stimuler la recherche, l'interdiction des antibiotiques dans les filières agricoles aux seules fins de faire grossir le bétail (comme cela se pratique encore hors d'Europe), l'arrêt des traitements prophylactiques de masse chez les animaux d'élevage, sans oublier les mesures d'hygiène (comme l'isolement des malades porteurs de germes résistants dans les hôpitaux) et surtout, pour éviter la transmission de germes résistants via les selles, une refonte globale de nos stations d'épuration: «Il n'est pas normal que les boues éliminées de ces stations et qui comprennent par définition tout ce qui rend l'eau impropre à la consommation (dont les germes multirésistants fécaux des malades infectés) soient utilisées pour l'épandage dans les champs», s'insurge le Pr Carlet.
Une nouvelles classes d'antibiotiques
«Les quelques nouveautés attendues dans les prochaines années sont importantes mais ne suffiront pas à nous préserver des infections à bactéries résistantes si rien ne change par ailleurs», prédisent le Pr Stahl et le Pr Lionel Piroth, infectiologue (CHU Dijon).
On attend notamment des inhibiteurs des bêtalactamases, une nouvelle classe d'antibiotiques, dans les quatre à cinq ans à venir, ainsi que de nouveaux tests capables de repérer d'emblée les bactéries résistantes.
«Il existe également une certaine recherche autour des virus bactériophages, ainsi appelés parce qu'ils détruisent les bactéries. Déjà utilisés dans les infections locales graves ostéo-articulaires en Afrique et en Russie, ces virus bactériophages pourraient être utilisés dans les pays occidentaux, à condition que des études scientifiques bien menées prouvent leur efficacité (et leur tolérance), ce qui n'a jamais été fait jusqu'à présent.
Autres voies de recherche: la destruction de l'antibiotique reçu (ou sa neutralisation par des charbons) une fois parvenu dans le côlon, pour éviter que des bactéries comme les colibacilles, qui séjournent naturellement dans cette portion de notre organisme, n'acquièrent des résistances. Plus radical encore: la destruction de la flore intestinale lorsqu'on la sait “polluée” par des souches résistantes et la transplantation d'une nouvelle flore normale», souligne le Pr Carlet.
Le Figaro
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partage fiches de révision
Bonjour,
Je suis une jeune maman qui passe l'oral en septembre, j'ai fais une fiche qui m'a pris au moins une heure, alors je voulais savoir s'il y avait une âme généreuse pour partager ses fiches révisions (qqun qui passe ou a déjà passer le concours) en les scannant.
Réviser en groupe ou s'entraider est la meilleure facon non?
Merci d'avance
Je suis une jeune maman qui passe l'oral en septembre, j'ai fais une fiche qui m'a pris au moins une heure, alors je voulais savoir s'il y avait une âme généreuse pour partager ses fiches révisions (qqun qui passe ou a déjà passer le concours) en les scannant.
Réviser en groupe ou s'entraider est la meilleure facon non?
Merci d'avance

Re: Actualités 2012
Génériques et médicaments de marque sont aussi efficaces
Par Armelle Bohineust - le 06/06/2012
Une étude de grande ampleur de la Caisse nationale d'assurance maladie montre que les taux de décès, d'AVC et d'infarctus sont similaires chez les patients utilisant un anticholestérol de marque ou son générique.
» Les médecins s'opposent peu aux génériques
Des faits précis pour en finir avec les calomnies qui visent les génériques depuis quelques mois… C'est l'objectif de la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam) qui a livré mercredi les résultats d'une étude sur un anticholestérol très utilisé en France: la simvastatine 20 mg. Les conclusions sont éloquentes. Pour tous les événements que cette molécule tente de prévenir, qu'il s'agisse des décès, des AVC (accidents vasculaires cérébraux) ou des infarctus, les génériques présentent la même efficacité que les médicaments de marque (Zocor de MSD et Lodales de Sanofi). Les décès, par exemple, s'élèvent à 6,7 pour mille personnes par an lorsqu'un médicament de marque est prescrit, contre 5,9 pour mille lorsqu'il s'agit d'un générique.
La Cnam a privilégié pour cette enquête un traitement largement prescrit dans l'Hexagone. En 2011, six millions de boîtes de simvastatine 20 mg, sous forme de génériques et de médicaments de marque, ont été vendues, ce qui en fait le 34ème médicament remboursé. Et l'étude a été réalisée à grande échelle. Plus de 96.000 patients âgés de 40 à 79 ans, dont 87,3 % utilisaient de la simvastatine génériquée et 12, 7 % des médicaments de marque, ont été suivis pendant deux ans.
D'autres études comparatives sont prévues, en commençant par la classe des hypotenseurs. Mais la Cnam n'en attend pas de surprise. Les résultats de l'enquête sur la simvastatine sont conformes à ceux d'autres études très larges menées récemment sur plusieurs classes de médicaments cardiovasculaires, sur un anticoagulant et sur les antiépileptiques. Toutes confirment que «les effets secondaires entre médicaments de marque et génériques sont identiques», indique Hubert Allemand, médecin conseil national.
Le figaro
Par Armelle Bohineust - le 06/06/2012
Une étude de grande ampleur de la Caisse nationale d'assurance maladie montre que les taux de décès, d'AVC et d'infarctus sont similaires chez les patients utilisant un anticholestérol de marque ou son générique.
» Les médecins s'opposent peu aux génériques
Des faits précis pour en finir avec les calomnies qui visent les génériques depuis quelques mois… C'est l'objectif de la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam) qui a livré mercredi les résultats d'une étude sur un anticholestérol très utilisé en France: la simvastatine 20 mg. Les conclusions sont éloquentes. Pour tous les événements que cette molécule tente de prévenir, qu'il s'agisse des décès, des AVC (accidents vasculaires cérébraux) ou des infarctus, les génériques présentent la même efficacité que les médicaments de marque (Zocor de MSD et Lodales de Sanofi). Les décès, par exemple, s'élèvent à 6,7 pour mille personnes par an lorsqu'un médicament de marque est prescrit, contre 5,9 pour mille lorsqu'il s'agit d'un générique.
La Cnam a privilégié pour cette enquête un traitement largement prescrit dans l'Hexagone. En 2011, six millions de boîtes de simvastatine 20 mg, sous forme de génériques et de médicaments de marque, ont été vendues, ce qui en fait le 34ème médicament remboursé. Et l'étude a été réalisée à grande échelle. Plus de 96.000 patients âgés de 40 à 79 ans, dont 87,3 % utilisaient de la simvastatine génériquée et 12, 7 % des médicaments de marque, ont été suivis pendant deux ans.
D'autres études comparatives sont prévues, en commençant par la classe des hypotenseurs. Mais la Cnam n'en attend pas de surprise. Les résultats de l'enquête sur la simvastatine sont conformes à ceux d'autres études très larges menées récemment sur plusieurs classes de médicaments cardiovasculaires, sur un anticoagulant et sur les antiépileptiques. Toutes confirment que «les effets secondaires entre médicaments de marque et génériques sont identiques», indique Hubert Allemand, médecin conseil national.
Le figaro
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités 2012
Faible opposition des médecins aux génériques
Par Armelle Bohineust - le 06/06/2012
Une enquête de l'Assurance-Maladie indique que les praticiens s'opposent peu à la subsitution d'un médicament de marque par son générique.
L'Assurance maladie est formelle: les médecins ne s'opposent pas vraiment au remplacement des médicaments de marque par des génériques. Moins de 5 % des ordonnances (4,8 % exactement) portent la mention «non substituable», qui interdit aux pharmaciens de remettre un générique au patient plutôt que le médicament de marque indiqué par le médecin. On est loin du chiffre de 22 % de mention «non substituable» annoncé par le Gemme, le syndicat des fabricants de génériques, il y a quelques jours. Mais pour Frédéric Van Roekeghem, directeur général de la Cnam (caisse nationale d'assurance maladie), cette guerre des chiffres est sans objet. D'un côté, la Cnam se fonde sur une étude menée dans toute la France sur 19.000 ordonnances dont 12.000 comportent des médicaments généricables. De l'autre, le Gemme fait référence à une enquête commandée au BVA sur tout juste 200 médecins généralistes.
L'attitude des médecins varie toutefois largement selon les médicaments et les régions, relève l'Assurance-maladie. Sans surprise, l'anti-agrégant plaquettaire Plavix de Sanofi, qui a largement mené campagne auprès des médecins contre les génériques de son médicament-phare, est le traitement le mieux protégé, avec 12,6 % de mention «non substituable ou NS». A l'opposé, l'anti-inflammatoire Ibuprofen n'est protégé que par 0,8 % de «NS» sur les prescriptions.
Sur le plan géographique, la Bretagne et les Pays de la Loire, deux régions traditionnellement «raisonnables en matière de consommations de soins», recourent dans moins de 2 % des ordonnances au «NS», selon Dominique Polton, directrice de la stratégie de la Cnam. Alors que les médecins de Basse-Normandie ou de la région Provence-Alpes- Côte d'Azur l'apposent sur environ 8 % et 6 % de leurs ordonnances.
Le figaro
Par Armelle Bohineust - le 06/06/2012
Une enquête de l'Assurance-Maladie indique que les praticiens s'opposent peu à la subsitution d'un médicament de marque par son générique.
L'Assurance maladie est formelle: les médecins ne s'opposent pas vraiment au remplacement des médicaments de marque par des génériques. Moins de 5 % des ordonnances (4,8 % exactement) portent la mention «non substituable», qui interdit aux pharmaciens de remettre un générique au patient plutôt que le médicament de marque indiqué par le médecin. On est loin du chiffre de 22 % de mention «non substituable» annoncé par le Gemme, le syndicat des fabricants de génériques, il y a quelques jours. Mais pour Frédéric Van Roekeghem, directeur général de la Cnam (caisse nationale d'assurance maladie), cette guerre des chiffres est sans objet. D'un côté, la Cnam se fonde sur une étude menée dans toute la France sur 19.000 ordonnances dont 12.000 comportent des médicaments généricables. De l'autre, le Gemme fait référence à une enquête commandée au BVA sur tout juste 200 médecins généralistes.
L'attitude des médecins varie toutefois largement selon les médicaments et les régions, relève l'Assurance-maladie. Sans surprise, l'anti-agrégant plaquettaire Plavix de Sanofi, qui a largement mené campagne auprès des médecins contre les génériques de son médicament-phare, est le traitement le mieux protégé, avec 12,6 % de mention «non substituable ou NS». A l'opposé, l'anti-inflammatoire Ibuprofen n'est protégé que par 0,8 % de «NS» sur les prescriptions.
Sur le plan géographique, la Bretagne et les Pays de la Loire, deux régions traditionnellement «raisonnables en matière de consommations de soins», recourent dans moins de 2 % des ordonnances au «NS», selon Dominique Polton, directrice de la stratégie de la Cnam. Alors que les médecins de Basse-Normandie ou de la région Provence-Alpes- Côte d'Azur l'apposent sur environ 8 % et 6 % de leurs ordonnances.
Le figaro
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
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