Culture Générale
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Re: chiffre et culture générale 2013
c'est un super complément des fiches de culture générale super source de révision continuez comme ça dès que je peux je crée des fiches à mon tour
Re: Fiches Culture Générale 2013
FICHE RÉSUMÉE R11 : Cancers
I) Définition
Mot « cancer » : Terme générique qui désigne 150 types de tumeurs différentes affectant divers organes du corps.
Un cancer correspond à la multiplication de cellules anormales au sein d’un organe (cancer primitif) qui, en l’absence de traitement, vont envahir les tissus voisins et se localiser à distance sous forme de métastases au niveau par exemple des os, du cerveau, des poumons (cancer généralisé).
II) Description
1. Chiffres mortalité :
• Dans le monde : le cancer est la 3ème cause de mortalité
• En France :
-1ère cause de mortalité (145 500 décès en 2008)
-41 000 décès avant 65 ans sont dus au cancer. 35 % des décès prématurés chez l'homme, et 42% chez la femme, sont dus au cancer
-le taux de cancer est 20 % plus élevé par rapport au reste de l'Europe, ce qui souligne la faiblesse de notre dispositif de prévention
Néanmoins, l'estimation de la survie après cinq ans est plus élevé,ce qui traduit une meilleure performance du dispositif de soin en France qu'en Europe.
Estimation de la survie relative à cinq ans :
• Homme : environ 40% de survie (moyenne européenne : 35%)
• Femme : environ 60 % de survie (moyenne européenne : 50%)
• Enfant : plus de 75 % de survie
2. Cancers les plus fréquents en France (2008) par ordre de fréquence décroissante :
• Chez l’homme : cancer de la prostate, du poumon, du côlon
• Chez la femme : cancer du sein, du côlon, du poumon
3. Causes :
• Mauvaises habitudes alimentaires
• Tabagisme
• Alcoolisme
• Exposition professionnelle (amiante, pesticide…)
• Pollution de l’air
• Exposition excessive au soleil
• Virus (hépatite B…)
4. Traitements :
• Il y a trois thérapies dominantes:
-La chimiothérapie
-La radiothérapie
-La chirurgie
• Les choix thérapeutiques sont liés :
-Au type de cancer
-En fonction de l'organe atteint
-Au stade d'évolution du cancer
-À l'âge et à l'état général du malade
III) Problèmes
1. Coût humain important
1ère cause de mortalité (30% des décès) et de mortalité prématurée.
Cependant, la mortalité par cancer tend à baisser en raison des progrès réalisés en matière de dépistage, traitement, et en raison de la réduction de la consommation d’alcool et tabac.
Le nombre de nouveaux malades augmente en raison du vieillissement de la population et de l’augmentation du risque de cancer (+52% chez les hommes et +55% chez les femmes en 25 ans).
Le taux de mortalité par cancer est plus élevé dans les populations défavorisées, dans le nord de la France et dans les zones rurales.
2. Coût économique élevé
La Sécurité sociale prend en charge à 100% les frais médicaux liés aux cancers. Or, c’est une maladie chronique avec risque de récidives ou rechutes ce qui nécessite une surveillance médicale à vie.
De plus, les frais de recherche, de prévention, de diagnostic, de traitement, les indemnités d’arrêt de travail et la pension d’invalidité coûtent de plus en plus cher.
3. Une politique de prévention peu développée
On estime qu’une politique de prévention efficace permettrait d’éviter la presque totalité des cancers du poumon, du côlon et du col de l’utérus.
4. Souffrance face à la maladie
• Souffrance physique liée à la maladie et aux traitements
• Souffrance psychologique (angoisse, sentiment de différence par rapport aux autres…)
• Difficultés familiales (surprotection, rejet)
• Exclusion sociale (pitié, peur de la contagion ou de ce qui vous renvoie à votre propre mort)
• Exclusion économique (difficultés d’embauche ou perte d’emploi, refus d’octroi d’un prêt)
IV) Remèdes
Les Plans cancers (2003-2007 et 2009-2013) poursuivent plusieurs objectifs, l’accent étant mis sur la réduction des inégalités sociales et géographiques.
1. Une réorganisation de la recherche
La recherche étant très morcelée (car elle s’effectue au sein des CLCC, de l’Inserm, du CNRS et des CHU), la création en 2005 de l’institut national du cancer (INCa) vise à coordonner les équipes, dynamiser la recherche, évaluer les projets et diffuser l’information en s’appuyant sur 5 cancéropôles régionaux.
2. Le renforcement de la prévention primaire
• Guerre au tabac et l’alcool
• Modification de nos habitudes alimentaires
• Campagnes de prévention du mélanome
• Vaccination (contre l’hépatite B et le papillomavirus)
3. Généralisation du dépistage
• Du cancer du sein : mammographie gratuite tous les 2 ans pour les femmes de 50 à 74 ans
• Du cancer colorectal : Hémoccult proposé aux sujets de 50 à 74 ans suivi d’une coloscopie en cas de positivité
4. Une réorganisation des soins aux malades
Il s’agit de garantir la qualité et l’équité des soins sur tout le territoire et de soigner plus humainement les malades.
L’accent est mis sur l’accompagnement social et humain du patient : infirmière référente, consultation antidouleur dans chaque département, développement des structures d’HAD ainsi que de chimiothérapie et des soins palliatifs à domicile, création de postes de psycho-oncologie pour assurer le soutien psychologique aux malades et à leurs familles.
5. Des aides au « vivre après le cancer »
• Facilitation du retour à l’emploi
• Amélioration de l’accès aux prêts et aux assurances
• Meilleure prise en charge de certaines prothèses et perruques
• Allocation de présence parentale pour les parents d’un enfant malade
• Soutien psychologique
6. Des actions pour améliorer l’environnement
• Lutte contre la pollution atmosphérique urbaine
• Désamiantage des bâtiments contenant de l’amiante
• Contrôle des centrales nucléaires et du traitement des déchets radioactifs
• Encouragement aux énergies propres
I) Définition
Mot « cancer » : Terme générique qui désigne 150 types de tumeurs différentes affectant divers organes du corps.
Un cancer correspond à la multiplication de cellules anormales au sein d’un organe (cancer primitif) qui, en l’absence de traitement, vont envahir les tissus voisins et se localiser à distance sous forme de métastases au niveau par exemple des os, du cerveau, des poumons (cancer généralisé).
II) Description
1. Chiffres mortalité :
• Dans le monde : le cancer est la 3ème cause de mortalité
• En France :
-1ère cause de mortalité (145 500 décès en 2008)
-41 000 décès avant 65 ans sont dus au cancer. 35 % des décès prématurés chez l'homme, et 42% chez la femme, sont dus au cancer
-le taux de cancer est 20 % plus élevé par rapport au reste de l'Europe, ce qui souligne la faiblesse de notre dispositif de prévention
Néanmoins, l'estimation de la survie après cinq ans est plus élevé,ce qui traduit une meilleure performance du dispositif de soin en France qu'en Europe.
Estimation de la survie relative à cinq ans :
• Homme : environ 40% de survie (moyenne européenne : 35%)
• Femme : environ 60 % de survie (moyenne européenne : 50%)
• Enfant : plus de 75 % de survie
2. Cancers les plus fréquents en France (2008) par ordre de fréquence décroissante :
• Chez l’homme : cancer de la prostate, du poumon, du côlon
• Chez la femme : cancer du sein, du côlon, du poumon
3. Causes :
• Mauvaises habitudes alimentaires
• Tabagisme
• Alcoolisme
• Exposition professionnelle (amiante, pesticide…)
• Pollution de l’air
• Exposition excessive au soleil
• Virus (hépatite B…)
4. Traitements :
• Il y a trois thérapies dominantes:
-La chimiothérapie
-La radiothérapie
-La chirurgie
• Les choix thérapeutiques sont liés :
-Au type de cancer
-En fonction de l'organe atteint
-Au stade d'évolution du cancer
-À l'âge et à l'état général du malade
III) Problèmes
1. Coût humain important
1ère cause de mortalité (30% des décès) et de mortalité prématurée.
Cependant, la mortalité par cancer tend à baisser en raison des progrès réalisés en matière de dépistage, traitement, et en raison de la réduction de la consommation d’alcool et tabac.
Le nombre de nouveaux malades augmente en raison du vieillissement de la population et de l’augmentation du risque de cancer (+52% chez les hommes et +55% chez les femmes en 25 ans).
Le taux de mortalité par cancer est plus élevé dans les populations défavorisées, dans le nord de la France et dans les zones rurales.
2. Coût économique élevé
La Sécurité sociale prend en charge à 100% les frais médicaux liés aux cancers. Or, c’est une maladie chronique avec risque de récidives ou rechutes ce qui nécessite une surveillance médicale à vie.
De plus, les frais de recherche, de prévention, de diagnostic, de traitement, les indemnités d’arrêt de travail et la pension d’invalidité coûtent de plus en plus cher.
3. Une politique de prévention peu développée
On estime qu’une politique de prévention efficace permettrait d’éviter la presque totalité des cancers du poumon, du côlon et du col de l’utérus.
4. Souffrance face à la maladie
• Souffrance physique liée à la maladie et aux traitements
• Souffrance psychologique (angoisse, sentiment de différence par rapport aux autres…)
• Difficultés familiales (surprotection, rejet)
• Exclusion sociale (pitié, peur de la contagion ou de ce qui vous renvoie à votre propre mort)
• Exclusion économique (difficultés d’embauche ou perte d’emploi, refus d’octroi d’un prêt)
IV) Remèdes
Les Plans cancers (2003-2007 et 2009-2013) poursuivent plusieurs objectifs, l’accent étant mis sur la réduction des inégalités sociales et géographiques.
1. Une réorganisation de la recherche
La recherche étant très morcelée (car elle s’effectue au sein des CLCC, de l’Inserm, du CNRS et des CHU), la création en 2005 de l’institut national du cancer (INCa) vise à coordonner les équipes, dynamiser la recherche, évaluer les projets et diffuser l’information en s’appuyant sur 5 cancéropôles régionaux.
2. Le renforcement de la prévention primaire
• Guerre au tabac et l’alcool
• Modification de nos habitudes alimentaires
• Campagnes de prévention du mélanome
• Vaccination (contre l’hépatite B et le papillomavirus)
3. Généralisation du dépistage
• Du cancer du sein : mammographie gratuite tous les 2 ans pour les femmes de 50 à 74 ans
• Du cancer colorectal : Hémoccult proposé aux sujets de 50 à 74 ans suivi d’une coloscopie en cas de positivité
4. Une réorganisation des soins aux malades
Il s’agit de garantir la qualité et l’équité des soins sur tout le territoire et de soigner plus humainement les malades.
L’accent est mis sur l’accompagnement social et humain du patient : infirmière référente, consultation antidouleur dans chaque département, développement des structures d’HAD ainsi que de chimiothérapie et des soins palliatifs à domicile, création de postes de psycho-oncologie pour assurer le soutien psychologique aux malades et à leurs familles.
5. Des aides au « vivre après le cancer »
• Facilitation du retour à l’emploi
• Amélioration de l’accès aux prêts et aux assurances
• Meilleure prise en charge de certaines prothèses et perruques
• Allocation de présence parentale pour les parents d’un enfant malade
• Soutien psychologique
6. Des actions pour améliorer l’environnement
• Lutte contre la pollution atmosphérique urbaine
• Désamiantage des bâtiments contenant de l’amiante
• Contrôle des centrales nucléaires et du traitement des déchets radioactifs
• Encouragement aux énergies propres
-
- Messages : 6
- Inscription : 21 août 2012 12:41
Re: Fiches Culture Générale 2013
Bonjour,
je suis nouvelle sur le forum, j'espere que je post au bon endroit
je vois que vous donnez des fiches/grands thèmes de révisions,
pouvez vous m'indiquez quels ouvrages acheter pour réviser ?
merci
je suis nouvelle sur le forum, j'espere que je post au bon endroit
je vois que vous donnez des fiches/grands thèmes de révisions,
pouvez vous m'indiquez quels ouvrages acheter pour réviser ?
merci
Re: Fiches Culture Générale 2013
Bonjour à tous,
je suis également nouvelle sur ce forum.
je viens de lire tout le topic et je trouve que ce que vous faites est vraiment génial.
Je souhaite moi aussi passer le concours au printemps 2013, je prepare en même temps un bac S. Est ce que je peux me joindre à vous pour la réalisation des fiches ?
je suis également nouvelle sur ce forum.
je viens de lire tout le topic et je trouve que ce que vous faites est vraiment génial.
Je souhaite moi aussi passer le concours au printemps 2013, je prepare en même temps un bac S. Est ce que je peux me joindre à vous pour la réalisation des fiches ?
- supercuisto
- Accro
- Messages : 1120
- Inscription : 05 mars 2012 20:37
Re: Fiches Culture Générale 2013
bien sur !lilice49 a écrit :Bonjour à tous,
je suis également nouvelle sur ce forum.
je viens de lire tout le topic et je trouve que ce que vous faites est vraiment génial.
Je souhaite moi aussi passer le concours au printemps 2013, je prepare en même temps un bac S. Est ce que je peux me joindre à vous pour la réalisation des fiches ?
bienvenue

ESI 2013 / 2016 a Tours CHRU
En reconversion professionnelle... j'y crois !!!
S1 : EHPAD - 30 ECTS/30
S2 : DERMATOLOGIE
En reconversion professionnelle... j'y crois !!!
S1 : EHPAD - 30 ECTS/30
S2 : DERMATOLOGIE
Re: Entraînement culture générale 2013
Bonjour, je passe les concours d'AP cette année, je les ai déjà passé l'an dernier et je les ai loupés de très peu. Je souhaite continuer sur ce forum car les thèmes sont similaires à ceux d'infirmiers. Je vais faire comme maistre7, je vais attendre les prochains sujets pour tenter d'apporter des réponses. Je trouve tes sujets précédents intéressants angelito, c'est super sympa d'avoir eu cette idée !
A bientôt !

A bientôt !
Re: Entraînement culture générale 2013
Topic vraiment très intéressant.
Je vous rejoint, concours en 2013 pour moi aussi !
Bon courage à vous tous et à vous toutes !
Je vous rejoint, concours en 2013 pour moi aussi !
Bon courage à vous tous et à vous toutes !
En préparation du concours 2013
Re: Fiches Culture Générale 2013
Bonjour à tous et à toutes,
désolée ça fait quelques semaines que j'ai décroché j'ai eu du mal à suivre pendant les vacances. vous avez super bien avancé.
Pour ma part j'abandonne les révisions. non pas que je ne veux plus être ESI mais au contraire j'ai été prise !!! j'y croyais pas trop vu mon rang sur la LC comme quoi faut garder espoir.
je vous souhaite à tous et toutes de réussir.
bonne continuation
désolée ça fait quelques semaines que j'ai décroché j'ai eu du mal à suivre pendant les vacances. vous avez super bien avancé.
Pour ma part j'abandonne les révisions. non pas que je ne veux plus être ESI mais au contraire j'ai été prise !!! j'y croyais pas trop vu mon rang sur la LC comme quoi faut garder espoir.
je vous souhaite à tous et toutes de réussir.
bonne continuation
ESI 2013/2016
1ère année IFSI CH du Mans groupe 3A2
passage en moyenne section à l'IFSI Gernez Rieux
1ère année IFSI CH du Mans groupe 3A2
passage en moyenne section à l'IFSI Gernez Rieux
- supercuisto
- Accro
- Messages : 1120
- Inscription : 05 mars 2012 20:37
Re: Fiches Culture Générale 2013
super nouvelle ! félicitations !!!kin973 a écrit :Bonjour à tous et à toutes,
désolée ça fait quelques semaines que j'ai décroché j'ai eu du mal à suivre pendant les vacances. vous avez super bien avancé.
Pour ma part j'abandonne les révisions. non pas que je ne veux plus être ESI mais au contraire j'ai été prise !!! j'y croyais pas trop vu mon rang sur la LC comme quoi faut garder espoir.
je vous souhaite à tous et toutes de réussir.
bonne continuation
ben ça te laisse peu de temsp pour préparer la rentrée dis donc
ESI 2013 / 2016 a Tours CHRU
En reconversion professionnelle... j'y crois !!!
S1 : EHPAD - 30 ECTS/30
S2 : DERMATOLOGIE
En reconversion professionnelle... j'y crois !!!
S1 : EHPAD - 30 ECTS/30
S2 : DERMATOLOGIE
Re: Fiches Culture Générale 2013
kin973 a écrit :Bonjour à tous et à toutes,
désolée ça fait quelques semaines que j'ai décroché j'ai eu du mal à suivre pendant les vacances. vous avez super bien avancé.
Pour ma part j'abandonne les révisions. non pas que je ne veux plus être ESI mais au contraire j'ai été prise !!! j'y croyais pas trop vu mon rang sur la LC comme quoi faut garder espoir.
je vous souhaite à tous et toutes de réussir.
bonne continuation
Merci et Félicitations !!!!
Bonne préparation et surtout bonne rentrée scolaire. Bon courage pendant ta scolarité...




18/20
Admise à l'IFAS Greta Bassens (Savoie)
Admise à l'IFAS Greta Bassens (Savoie)

Re: Entraînement culture générale 2013
Bonjour à tous, en attendant le retour du maestro, je vous propose l'entrainement CG suivant sur le planning familial:
Article de Lemonde 10/07/2012
La longue marche du planning familial en Ouganda
La jeune femme aurait bien aimé s'arrêter à trois. "A quoi bon faire des enfants si on n'a pas de quoi les envoyer à l'école ?", interroge-t-elle. Elle avait accès à la contraception. Le gouvernement, soutenu financièrement par l'Agence américaine pour le développement international (USAID) et le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), fait depuis peu son possible pour la rendre plus disponible.
Mais son mari, planteur de thé comme beaucoup dans la région, n'était pas d'accord. Mme Ayebare s'est fait faire trois injections de contraceptifs - efficaces chacune trois mois - en cachette. Jusqu'à ce que son époux tombe sur une carte délivrée par le centre de planning familial. Ainsi est arrivé leur petit dernier. Cette fois, le père semble vouloir s'arrêter là. "Des amis qui n'ont pas eu beaucoup d'enfants l'ont convaincu, raconte Mme Ayebare. La contraception est de plus en plus populaire ici."
D'autres femmes en visite au centre de santé de Kanungu, chef-lieu du district du même nom, en témoignent. Judith Twijukye a 18 ans. Elle attend son premier bébé d'un jour à l'autre. La jeune fille et son mari sont d'accord pour en avoir trois en tout. "Nous n'avons pas assez de terre pour plus", explique-t-elle.
Beatrice Niwabine, 19 ans, est également déterminée à avoir recours au planning familial. Elle regrette de n'en avoir jamais entendu parler avant d'avoir son premier enfant, à 16 ans. "Quand je me suis mariée j'avais hâte d'avoir un bébé, raconte-t-elle. Mais j'étais trop jeune. Ma croissance était encore en cours, l'accouchement a été difficile, j'ai arrêté d'étudier. Je ne conseillerai pas aux autres de faire comme moi." Un quart des adolescentes ougandaises de 15 à 19 ans ont un enfant.
"CHAMPIONS DE LA SANTÉ REPRODUCTIVE"
La région de Kanungu, à 400 kilomètres de la capitale Kampala, soit dix heures de route pendant la saison des pluies, est parmi les plus reculées du pays. Pourtant, environ 40 % des femmes du district utilisent des contraceptifs, contre 30 % au niveau national. Le taux de fécondité est légèrement plus bas que la moyenne, à 5,9 enfants par femme. Car du fait de cet éloignement, beaucoup d'efforts y sont faits.
En dix ans, le nombre de centres de santé (pour la plupart rudimentaires) a été multiplié par quatre, passant à 48 pour 248 000 habitants. Depuis deux ans, une dizaine de campements provisoires sont mis en place pendant une semaine tous les trois mois. La population peut venir y chercher des contraceptifs.
"Beaucoup de gens ne peuvent pas venir jusqu'aux centres de santé, les camps permettent de toucher davantage de monde", explique Augustine Kalajja, le directeur du centre de Kanungu. Les trajets restent longs : certains parcourent plus de 20 kilomètres à pied pour les rejoindre. De ce fait les dispositifs de longue durée, comme les injections ou les implants, sont privilégiés.
Encore plus près du terrain, des "équipes de santé de village", composées de deux personnes, conseillent la population. Le district compte même quatre "champions de la santé reproductive" volontaires, chargés de promouvoir les bienfaits du planning familial, par exemple sur les ondes lors d'émissions spéciales.
"Nous devons réduire notre taux de fécondité, martèle Herbert Banobi, l'un de ces champions. La raison est simple : les ressources diminuent, les besoins s'accroissent." Alors que l'Ouganda est classé parmi les 48 pays les moins avancés, sa population pourrait passer de 32 millions d'habitants aujourd'hui à 91 millions en 2050. La moitié de la population a moins de 15 ans.
A Kanungu, cette jeunesse saute particulièrement aux yeux le matin. Des nuées d'enfants en uniformes colorés courent rejoindre des classes bondées, pieds nus sur les pistes de latérite. "Une telle croissance représente un fardeau important alors que notre budget est déjà limité", explique Walter Iriama, chef de l'administration du district. Les écoles, les structures de soins, la couverture en eau potable ne peuvent suivre.
38 ENFANTS POUR CINQ FEMMES
Mais le planning familial se heurte toujours à "beaucoup de préjugés", relève M. Banobi. Cinq femmes, âgées de 42 à 50 ans, font la queue au campement provisoire de Kayonza, à une heure de route de Kanungu. Elles ne sont pas venues chercher des contraceptifs, mais faire un scanner. Perclues de douleurs, elles ont mis au monde 38 enfants à elles cinq.
Aucune n'a eu recours à la contraception. Parce que, dans ce monde rural, avoir une descendance nombreuse reste perçu comme un gage de prospérité et un signe de puissance. "Un homme se sent plus grand quand il a une grande famille", explique Ruth Rwomushana, 45 ans.
Le taux élevé de mortalité infantile joue aussi un rôle. Ruth a eu 13 enfants, mais seuls 6 sont vivants. "A cause de la malnutrition, nous ne savons pas combien survivront, explique Molly Kenyangi, sa voisine. Nous sommes en compétition avec la mort." Les cinq femmes pensent aussi que les contraceptifs peuvent rendre malade, stérile, voire diminuer les performances sexuelles. M. Banobi évoque enfin la "résistance silencieuse" des Eglises catholique et protestante, majoritaires dans la population.
Cette ambivalence se retrouve dans les discours politiques. "Les technocrates sont persuadés que le planning familial est une nécessité pour le développement du pays, mais les politiciens ne le sont pas forcément, analyse Jackson Chekweko, directeur de l'ONG Reproductive Health Ouganda. Certaines figures de premier plan continuent à déclarer qu'il faut faire beaucoup d'enfants pour être puissant."
Le budget alloué au planning familial reste très insuffisant. Environ 40 % des Ougandaises souhaitant avoir recours à la contraception n'y ont pas accès. Les besoins de financements, pour le seul achat de contraceptifs, atteignent presque 18 millions d'euros par an, alors que le budget actuel est moitié moins élevé.
Le gouvernement en finance moins de 5 %. "Le sujet n'est pas prioritaire au niveau national, estime le directeur du centre de Kanungu, M. Kalajja. Il passe derrière l'éducation et surtout les infrastructures, qui sont jugées capitales pour le développement économique."
Questions:
1) Résumer l'article en 20 lignes maximum. (4 points)
2) La France a un des taux de fécondité les plus élevés en Europe. Commentez sur les raisons de ce phénomène. (5 points)
3) D'après le texte et vos connaissances, argumentez dans un premier temps sur les problèmes de surpopulation dans les Pays en voie de Développelent (PEVD) et dans un deuxième temps sur les dangers dans les Pays développés d'une population qui ne se renouvelle pas. (6 points)
Voilà j'espère que vous serez un maximum à y participer!
ps: petit conseil, mieux vaut écrire moins et concis que beaucoup juste pour remplir de la page
Article de Lemonde 10/07/2012
La longue marche du planning familial en Ouganda
La jeune femme aurait bien aimé s'arrêter à trois. "A quoi bon faire des enfants si on n'a pas de quoi les envoyer à l'école ?", interroge-t-elle. Elle avait accès à la contraception. Le gouvernement, soutenu financièrement par l'Agence américaine pour le développement international (USAID) et le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), fait depuis peu son possible pour la rendre plus disponible.
Mais son mari, planteur de thé comme beaucoup dans la région, n'était pas d'accord. Mme Ayebare s'est fait faire trois injections de contraceptifs - efficaces chacune trois mois - en cachette. Jusqu'à ce que son époux tombe sur une carte délivrée par le centre de planning familial. Ainsi est arrivé leur petit dernier. Cette fois, le père semble vouloir s'arrêter là. "Des amis qui n'ont pas eu beaucoup d'enfants l'ont convaincu, raconte Mme Ayebare. La contraception est de plus en plus populaire ici."
D'autres femmes en visite au centre de santé de Kanungu, chef-lieu du district du même nom, en témoignent. Judith Twijukye a 18 ans. Elle attend son premier bébé d'un jour à l'autre. La jeune fille et son mari sont d'accord pour en avoir trois en tout. "Nous n'avons pas assez de terre pour plus", explique-t-elle.
Beatrice Niwabine, 19 ans, est également déterminée à avoir recours au planning familial. Elle regrette de n'en avoir jamais entendu parler avant d'avoir son premier enfant, à 16 ans. "Quand je me suis mariée j'avais hâte d'avoir un bébé, raconte-t-elle. Mais j'étais trop jeune. Ma croissance était encore en cours, l'accouchement a été difficile, j'ai arrêté d'étudier. Je ne conseillerai pas aux autres de faire comme moi." Un quart des adolescentes ougandaises de 15 à 19 ans ont un enfant.
"CHAMPIONS DE LA SANTÉ REPRODUCTIVE"
La région de Kanungu, à 400 kilomètres de la capitale Kampala, soit dix heures de route pendant la saison des pluies, est parmi les plus reculées du pays. Pourtant, environ 40 % des femmes du district utilisent des contraceptifs, contre 30 % au niveau national. Le taux de fécondité est légèrement plus bas que la moyenne, à 5,9 enfants par femme. Car du fait de cet éloignement, beaucoup d'efforts y sont faits.
En dix ans, le nombre de centres de santé (pour la plupart rudimentaires) a été multiplié par quatre, passant à 48 pour 248 000 habitants. Depuis deux ans, une dizaine de campements provisoires sont mis en place pendant une semaine tous les trois mois. La population peut venir y chercher des contraceptifs.
"Beaucoup de gens ne peuvent pas venir jusqu'aux centres de santé, les camps permettent de toucher davantage de monde", explique Augustine Kalajja, le directeur du centre de Kanungu. Les trajets restent longs : certains parcourent plus de 20 kilomètres à pied pour les rejoindre. De ce fait les dispositifs de longue durée, comme les injections ou les implants, sont privilégiés.
Encore plus près du terrain, des "équipes de santé de village", composées de deux personnes, conseillent la population. Le district compte même quatre "champions de la santé reproductive" volontaires, chargés de promouvoir les bienfaits du planning familial, par exemple sur les ondes lors d'émissions spéciales.
"Nous devons réduire notre taux de fécondité, martèle Herbert Banobi, l'un de ces champions. La raison est simple : les ressources diminuent, les besoins s'accroissent." Alors que l'Ouganda est classé parmi les 48 pays les moins avancés, sa population pourrait passer de 32 millions d'habitants aujourd'hui à 91 millions en 2050. La moitié de la population a moins de 15 ans.
A Kanungu, cette jeunesse saute particulièrement aux yeux le matin. Des nuées d'enfants en uniformes colorés courent rejoindre des classes bondées, pieds nus sur les pistes de latérite. "Une telle croissance représente un fardeau important alors que notre budget est déjà limité", explique Walter Iriama, chef de l'administration du district. Les écoles, les structures de soins, la couverture en eau potable ne peuvent suivre.
38 ENFANTS POUR CINQ FEMMES
Mais le planning familial se heurte toujours à "beaucoup de préjugés", relève M. Banobi. Cinq femmes, âgées de 42 à 50 ans, font la queue au campement provisoire de Kayonza, à une heure de route de Kanungu. Elles ne sont pas venues chercher des contraceptifs, mais faire un scanner. Perclues de douleurs, elles ont mis au monde 38 enfants à elles cinq.
Aucune n'a eu recours à la contraception. Parce que, dans ce monde rural, avoir une descendance nombreuse reste perçu comme un gage de prospérité et un signe de puissance. "Un homme se sent plus grand quand il a une grande famille", explique Ruth Rwomushana, 45 ans.
Le taux élevé de mortalité infantile joue aussi un rôle. Ruth a eu 13 enfants, mais seuls 6 sont vivants. "A cause de la malnutrition, nous ne savons pas combien survivront, explique Molly Kenyangi, sa voisine. Nous sommes en compétition avec la mort." Les cinq femmes pensent aussi que les contraceptifs peuvent rendre malade, stérile, voire diminuer les performances sexuelles. M. Banobi évoque enfin la "résistance silencieuse" des Eglises catholique et protestante, majoritaires dans la population.
Cette ambivalence se retrouve dans les discours politiques. "Les technocrates sont persuadés que le planning familial est une nécessité pour le développement du pays, mais les politiciens ne le sont pas forcément, analyse Jackson Chekweko, directeur de l'ONG Reproductive Health Ouganda. Certaines figures de premier plan continuent à déclarer qu'il faut faire beaucoup d'enfants pour être puissant."
Le budget alloué au planning familial reste très insuffisant. Environ 40 % des Ougandaises souhaitant avoir recours à la contraception n'y ont pas accès. Les besoins de financements, pour le seul achat de contraceptifs, atteignent presque 18 millions d'euros par an, alors que le budget actuel est moitié moins élevé.
Le gouvernement en finance moins de 5 %. "Le sujet n'est pas prioritaire au niveau national, estime le directeur du centre de Kanungu, M. Kalajja. Il passe derrière l'éducation et surtout les infrastructures, qui sont jugées capitales pour le développement économique."
Questions:
1) Résumer l'article en 20 lignes maximum. (4 points)
2) La France a un des taux de fécondité les plus élevés en Europe. Commentez sur les raisons de ce phénomène. (5 points)
3) D'après le texte et vos connaissances, argumentez dans un premier temps sur les problèmes de surpopulation dans les Pays en voie de Développelent (PEVD) et dans un deuxième temps sur les dangers dans les Pays développés d'une population qui ne se renouvelle pas. (6 points)
Voilà j'espère que vous serez un maximum à y participer!
ps: petit conseil, mieux vaut écrire moins et concis que beaucoup juste pour remplir de la page
Concours Nancy Laxou Automne 2012
Concours APHP Automne 2012
Concours APHP Automne 2012
Re: Fiches Culture Générale 2013
Bravo Kin, c'est une excellente nouvelle!!!
Courage à toi pour la suite
Nous on n'a pas encore cette chance alors au boulot, notre tour viendra
Je mets les couleurs et je vous poste la R12, un peu en retard certes mais pour moi aussi c'est les vacances ^^

Courage à toi pour la suite

Nous on n'a pas encore cette chance alors au boulot, notre tour viendra

Je mets les couleurs et je vous poste la R12, un peu en retard certes mais pour moi aussi c'est les vacances ^^
Re: Fiches Culture Générale 2013
R12 : LES MCV
I) DESCRIPTION
MCV = Maladie du cœur et des vaisseaux. Il y a 30 ans, c’était un problème de pays riches mais cela touche maintenant les PED.
Les MCV dues à l’athérosclérose sont les plus fréquentes, elles sont provoquées par l’obstruction de certaines artères par des plaques de cholestérol (ex : hémiplégie, angine de poitrine, infarctus du myocarde, artérite).
Facteurs de risque :
• Age : > à 45 ans
• Sexe : masculin
• Hérédité : des prédispositions
• Tension artérielle : élevée
• Mode de vie : tabac, alcool, sédentarité, stress
• Alimentation
L’hypertension artérielle (HTA) est favorisée par une alimentation trop riche en sel. Peut-être à l’origine d’une insuffisance cardiaque, d’une hémorragie cérébrale.
Chiffres :
1ère cause de décès dans le monde : 29.3% des décès (en baisse dans les pays riches mais en hausse dans les PED).
2ème cause de décès en France : 147 000 décès dont 33 000 AVC et 37 000 infarctus. Les habitants du Sud sont moins touchés car ils ont de meilleures habitudes alimentaires.
II) PROBLEMES
1. Coût humain
MCV : 2ème cause de décès en France. Cependant, elle diminue grâce à l’évolution favorable de nos comportements (on fume moins, anticholestérols…) et à une meilleure prise en charge des infarctus.
AVC : 1ère cause de handicap moteur (2ème de démence, 3ème de mortalité) alors qu’avec plus d’IRM, on pourrait les diagnostiquer rapidement
2. Coût économique élevé
Les MCV sont des maladies chroniques : elles nécessite la mise en place de structure d’urgence et de soins spécialisés.
III) REMEDES
1. Prévention
• Diffusion aux médecins de recommandations afin de mieux repérer les patients à risque important d’athérosclérose
• Lutte contre le tabagisme
• Plan national nutrition santé (PNNS) en 2001 puis 2006
- Campagne médiatique : modifier les habitudes alimentaires (manger 5 fruits et légumes par jour…)
- Guides pour parents : aliments + sport
- Effort dans les écoles (surtout ZEP) : menus équilibrés
• Loi santé publique 2004 interdisant la distribution de boissons et produits alimentaires dans les écoles de même que les collations matinales en maternelle. Les publicités alimentaires doivent être accompagnées de messages sanitaires OU il faut verser une taxe à l’INPES
2. Formation aux gestes de secours
Formation aux massages cardiaques et aux défibrillateurs semi automatiques. Cela concerne les enfants à l’école et les médecins.
3. Meilleure prise en charge des AVC
Plus d’IRM et + de centres de soins spécialisés
4. Traitements
• Médicamenteux
• Chirurgie
I) DESCRIPTION
MCV = Maladie du cœur et des vaisseaux. Il y a 30 ans, c’était un problème de pays riches mais cela touche maintenant les PED.
Les MCV dues à l’athérosclérose sont les plus fréquentes, elles sont provoquées par l’obstruction de certaines artères par des plaques de cholestérol (ex : hémiplégie, angine de poitrine, infarctus du myocarde, artérite).
Facteurs de risque :
• Age : > à 45 ans
• Sexe : masculin
• Hérédité : des prédispositions
• Tension artérielle : élevée
• Mode de vie : tabac, alcool, sédentarité, stress
• Alimentation
L’hypertension artérielle (HTA) est favorisée par une alimentation trop riche en sel. Peut-être à l’origine d’une insuffisance cardiaque, d’une hémorragie cérébrale.
Chiffres :
1ère cause de décès dans le monde : 29.3% des décès (en baisse dans les pays riches mais en hausse dans les PED).
2ème cause de décès en France : 147 000 décès dont 33 000 AVC et 37 000 infarctus. Les habitants du Sud sont moins touchés car ils ont de meilleures habitudes alimentaires.
II) PROBLEMES
1. Coût humain
MCV : 2ème cause de décès en France. Cependant, elle diminue grâce à l’évolution favorable de nos comportements (on fume moins, anticholestérols…) et à une meilleure prise en charge des infarctus.
AVC : 1ère cause de handicap moteur (2ème de démence, 3ème de mortalité) alors qu’avec plus d’IRM, on pourrait les diagnostiquer rapidement
2. Coût économique élevé
Les MCV sont des maladies chroniques : elles nécessite la mise en place de structure d’urgence et de soins spécialisés.
III) REMEDES
1. Prévention
• Diffusion aux médecins de recommandations afin de mieux repérer les patients à risque important d’athérosclérose
• Lutte contre le tabagisme
• Plan national nutrition santé (PNNS) en 2001 puis 2006
- Campagne médiatique : modifier les habitudes alimentaires (manger 5 fruits et légumes par jour…)
- Guides pour parents : aliments + sport
- Effort dans les écoles (surtout ZEP) : menus équilibrés
• Loi santé publique 2004 interdisant la distribution de boissons et produits alimentaires dans les écoles de même que les collations matinales en maternelle. Les publicités alimentaires doivent être accompagnées de messages sanitaires OU il faut verser une taxe à l’INPES
2. Formation aux gestes de secours
Formation aux massages cardiaques et aux défibrillateurs semi automatiques. Cela concerne les enfants à l’école et les médecins.
3. Meilleure prise en charge des AVC
Plus d’IRM et + de centres de soins spécialisés
4. Traitements
• Médicamenteux
• Chirurgie
Re: chiffre et culture générale 2013
moi aussi je vais en preparer c'est une super idee
petites aides pour le concours d'infirmière
Bonjour a tous !
j'ai 17 ans et actuellement je rentre en terminale STG. J'aimerai donc passer mon concours au printemps 2013 cependant je ne sais pas trop par où commencer mes révisions. j'ai quelques livres pour préparer le concours mais j'aimerai savoir si vous avez des astuces ou par où avez vous commencer a réviser ? merci beaucoup !
j'ai 17 ans et actuellement je rentre en terminale STG. J'aimerai donc passer mon concours au printemps 2013 cependant je ne sais pas trop par où commencer mes révisions. j'ai quelques livres pour préparer le concours mais j'aimerai savoir si vous avez des astuces ou par où avez vous commencer a réviser ? merci beaucoup !
IFSI Colmar = Refusé
IFSI Robertsau = Admissible !!
Reste plus que l'oral.. On y croit !
IFSI Robertsau = Admissible !!
Reste plus que l'oral.. On y croit !