La synthèse d'un article CG par jour
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
salut
des dictées alors là je suis le mouvement j en et bcp j ai meme un site ou la dictée et lue si vous voulez .
aujourd hui pas le temps de venir je pense
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assistante dentaire en reconversion, rentrée en prépa en octobre, en route pour le concour en 2013!!!
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Synthese du sujet 4...
Les Maladies chroniques sont en plein boom. Il devient évident de s’y attarder car leur prise en charge actuelle est couteuse et peu adaptée.
En effet, ces maladies nécessitent une prise en charge pluridisciplinaire qui demande une réorganisation du système de soins, et non pas comme le proposent certains politiques, une diminution dans leur prise en charge.
Cette réorganisation serait axée sur un regroupement des professionnels de la santé, afin d’assurer la partie médicale et la partie sociale du patient. Cela nécessitant de repenser la place et la rémunération du médecin dans ce parcours long des maladies chroniques.
Si les expérimentations en cours sont concluantes, ce serait alors l’émergence de nouvelles formes médicales, en équipes et solidaires.
J'attends les commentaires!! Merci!
Les Maladies chroniques sont en plein boom. Il devient évident de s’y attarder car leur prise en charge actuelle est couteuse et peu adaptée.
En effet, ces maladies nécessitent une prise en charge pluridisciplinaire qui demande une réorganisation du système de soins, et non pas comme le proposent certains politiques, une diminution dans leur prise en charge.
Cette réorganisation serait axée sur un regroupement des professionnels de la santé, afin d’assurer la partie médicale et la partie sociale du patient. Cela nécessitant de repenser la place et la rémunération du médecin dans ce parcours long des maladies chroniques.
Si les expérimentations en cours sont concluantes, ce serait alors l’émergence de nouvelles formes médicales, en équipes et solidaires.
J'attends les commentaires!! Merci!

Re: La synthèse d'un article CG par jour
Merci maistre7 , voici donc ma synthèse qui fais 10 lignes
Le développement des maladies chroniques va remettre en question leurs prisent en charges, notre système de soins ainsi que révolutionner le savoir-faire des praticiens.
En effet les maladies chroniques ont un coût élevées, c’est pour cela que certains renoncent aux soins fautes d’argent. Notre système de soins es vaste, il doit être plus axé autour d’une équipe pluridisciplinaire ; ainsi que la prévention et l’accompagnement part des professionnels de la santé.
De plus tout va être à réinventer, comme le rôle et la place du médecin dans le procédé de soins ainsi que son salaire. Déjà dans certaines villes comme Toulouse et Saint-Etienne, des professionnels de la santé cherche de nouvelles pratiques qui pourraient être amenées à se développer.
Enfin c’est une nouvelle méthode de soins plus proche du patient , respectueuse du malade et de son parcours de vie qui va émerger.
Le développement des maladies chroniques va remettre en question leurs prisent en charges, notre système de soins ainsi que révolutionner le savoir-faire des praticiens.
En effet les maladies chroniques ont un coût élevées, c’est pour cela que certains renoncent aux soins fautes d’argent. Notre système de soins es vaste, il doit être plus axé autour d’une équipe pluridisciplinaire ; ainsi que la prévention et l’accompagnement part des professionnels de la santé.
De plus tout va être à réinventer, comme le rôle et la place du médecin dans le procédé de soins ainsi que son salaire. Déjà dans certaines villes comme Toulouse et Saint-Etienne, des professionnels de la santé cherche de nouvelles pratiques qui pourraient être amenées à se développer.
Enfin c’est une nouvelle méthode de soins plus proche du patient , respectueuse du malade et de son parcours de vie qui va émerger.
Re: La synthèse d'un article CG par jour
bon ba je croix que je suis hors sujet mais au cas je le met quand meme
Le syteme de santé va t il changer avec l'évolution des maladies chroniques.
Sont elles la cause du trou de la sécurité sociale ou est-ce le système de santé qui n'est plus adaptée à elles?
Si les maladies chroniques aujourd'hui concernent 9 milions de personnes qui sont prisent en charge à 100%, ce ne sont pas les résponsables du défficite de la sécurité sociale, comme le pense certaines politiciens.Mais c'est plutôt le système de santé qu'elle ébranlent. En effet l'organisation et concentré en un point, et ce systeme ne correspond plus aux attentes qui au contraire demande une activité multidisciplinaire.Des projets d'organisation sont tester actuellement, qui devrais changer le systeme si cela et concluant.
bon ba voila

Le syteme de santé va t il changer avec l'évolution des maladies chroniques.
Sont elles la cause du trou de la sécurité sociale ou est-ce le système de santé qui n'est plus adaptée à elles?
Si les maladies chroniques aujourd'hui concernent 9 milions de personnes qui sont prisent en charge à 100%, ce ne sont pas les résponsables du défficite de la sécurité sociale, comme le pense certaines politiciens.Mais c'est plutôt le système de santé qu'elle ébranlent. En effet l'organisation et concentré en un point, et ce systeme ne correspond plus aux attentes qui au contraire demande une activité multidisciplinaire.Des projets d'organisation sont tester actuellement, qui devrais changer le systeme si cela et concluant.
bon ba voila

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Re: La synthèse d'un article CG par jour
je sais qu'on est sur un forum, mais je pense qu'il serait bon pour tout le monde (ceux qui écrivent comme ceux qui lisent) de faire un effort sur l'orthographe/conjugaison/grammaire ! C'est bien de prendre le réflexe de se relire, ça aide pour le concours !cece38000 a écrit :bon ba je croix que je suis hors sujet mais au cas je le met quand meme![]()
Le syteme de santé va t il changer avec l'évolution des maladies chroniques.
Sont elles la cause du trou de la sécurité sociale ou est-ce le système de santé qui n'est plus adaptée à elles?
Si les maladies chroniques aujourd'hui concernent 9 milions de personnes qui sont prisent en charge à 100%, ce ne sont pas les résponsables du défficite de la sécurité sociale, comme le pense certaines politiciens.Mais c'est plutôt le système de santé qu'elle ébranlent. En effet l'organisation et concentré en un point, et ce systeme ne correspond plus aux attentes qui au contraire demande une activité multidisciplinaire.Des projets d'organisation sont tester actuellement, qui devrais changer le systeme si cela et concluant.
bon ba voila
Parce que là cece, ne le prend pas mal, mais tu mélange les "et" et les "est" , ça gêne pour la compréhension de tes phrases !

ESI 2013 / 2016 a Tours CHRU
En reconversion professionnelle... j'y crois !!!
S1 : EHPAD - 30 ECTS/30
S2 : DERMATOLOGIE
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
je n'ai pas lu l'article d'origine mais en lisant ces 3 résumés, il apparait qu'en lisant celui de cece j'ai compris tout l'inverse par rapport aux résumés de sego et max !
sego j'aime beaucoup ton style d'écriture !
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
Bonjour à tous. je vois que vous avez été actifs. Avant de regarder/lire vos résumés je vais juste poster le mien.
Article 4:
Près d'un quart des français sont concernés par une maladie chronique et nous devons nous préparer à plus encore. Ces malades et notamment ceux souffrant d'une ALD (affection à longue durée), sont-ils à l'origine du déficit de l'assurance maladie?
Certes, ils pèsent lourdement sur le système, mais leur nier un remboursement intégral mettrait en cause le principe de solidarité. De plus que les plus précaires d'entre nous renoncent aux soins. D'ailleurs, les soins ne se limitent pas qu'aux médicaments.
De surcroît le débat doit être réouvert concernant: l''offre de soins, sa rémunération et le rôle de la prévention demain.
Finalement, les professionnels de santé doivent travailler en équipe; chose qui sera dans tout l'intérêt du patient.
(11 lignes)
Article 4:
Près d'un quart des français sont concernés par une maladie chronique et nous devons nous préparer à plus encore. Ces malades et notamment ceux souffrant d'une ALD (affection à longue durée), sont-ils à l'origine du déficit de l'assurance maladie?
Certes, ils pèsent lourdement sur le système, mais leur nier un remboursement intégral mettrait en cause le principe de solidarité. De plus que les plus précaires d'entre nous renoncent aux soins. D'ailleurs, les soins ne se limitent pas qu'aux médicaments.
De surcroît le débat doit être réouvert concernant: l''offre de soins, sa rémunération et le rôle de la prévention demain.
Finalement, les professionnels de santé doivent travailler en équipe; chose qui sera dans tout l'intérêt du patient.
(11 lignes)
Concours Nancy Laxou Automne 2012
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
Les paragraphes sont clairement définis ! (saut de lignes + connecteur logique) ! La lecture est plus facile et la compréhension aussi ! Y'a pas de doute tu maitrise l'exercice maistre !maistre7 a écrit :Bonjour à tous. je vois que vous avez été actifs. Avant de regarder/lire vos résumés je vais juste poster le mien.
Article 4:
Près d'un quart des français sont concernés par une maladie chronique et nous devons nous préparer à plus encore. Ces malades et notamment ceux souffrant d'une ALD (affection à longue durée), sont-ils à l'origine du déficit de l'assurance maladie?
Certes, ils pèsent lourdement sur le système, mais leur nier un remboursement intégral mettrait en cause le principe de solidarité. De plus que les plus précaires d'entre nous renoncent aux soins. D'ailleurs, les soins ne se limitent pas qu'aux médicaments.
De surcroît le débat doit être réouvert concernant: l''offre de soins, sa rémunération et le rôle de la prévention demain.
Finalement, les professionnels de santé doivent travailler en équipe; chose qui sera dans tout l'intérêt du patient.
(11 lignes)

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Re: La synthèse d'un article CG par jour
voici ma synthèse!
Déjà 15 millions de malades chroniques, dont 9 millions sont pris en charge à 100%, le trou de la sécurité sociale est-il pour autant de leur faute? C'est en tout cas ce que pense les politiques.
C'est pourtant le systhème de soin qui doit être réorganisé.
Le malade, qui renonce déjà aux soins faute de moyens a besoin d'une prise en charge médicale et sociale et les différents professionnels doivent se relayer afin d'accompagner au mieux le patient et en utilisant de nouvelles technologies.
Tout est a recréer: le rôle et la place du médecin ainsi que sa rémunération mais aussi le système de soin. Certains éxpérimente déjà cela et si l'efficacité est prouvée elle sera éventuellement étendue aux autres structures.
C'est enfin au tour d'un médecine solidaire qui respecte le malade.
Déjà 15 millions de malades chroniques, dont 9 millions sont pris en charge à 100%, le trou de la sécurité sociale est-il pour autant de leur faute? C'est en tout cas ce que pense les politiques.
C'est pourtant le systhème de soin qui doit être réorganisé.
Le malade, qui renonce déjà aux soins faute de moyens a besoin d'une prise en charge médicale et sociale et les différents professionnels doivent se relayer afin d'accompagner au mieux le patient et en utilisant de nouvelles technologies.
Tout est a recréer: le rôle et la place du médecin ainsi que sa rémunération mais aussi le système de soin. Certains éxpérimente déjà cela et si l'efficacité est prouvée elle sera éventuellement étendue aux autres structures.
C'est enfin au tour d'un médecine solidaire qui respecte le malade.
Dernière modification par lolo_82 le 08 sept. 2012 09:30, modifié 1 fois.
Infirmière Diplômée d’État
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Merci supercuisto d'avoir pris le temps de lire nos réponses et d'en commenter. Je vous donne juste quelques commentaires. Mais Dites moi.... ne vous sentez-vous pas plus à l'aise maintenant? posez vous la question. et on se le reposera la meme question dans un mois.
En règle général, je n'ai pas l'impression que preniez le temps de bien relire vos copies: fautes d'orthographes/conjugaison évitables, mots manquants rendant la phrase incompréhensible. Manque de transition entre les idées du texte.
Sego: "et non pas comme le proposent certains politiques, une diminution dans leur prise en charge." les patients ne nécessitent pas ça, mais peut-etre la sécu en a besoin pour combler le déficit?
"Cette réorganisation serait axée sur un regroupement des professionnels de la santé" Je ne pense pas que soit un regroupement demandé mais une meilleure coordination entre acteurs.
Tu n'as pas mentionné la prévention.
Sinon c'était bien écrit. Pour résumer reste très fidèle aux idées de l'auteur (ne jamais interpréter..)
Max: J'avoue que tout d'abord c'est les fautes qui jallonent ton texte qui saute aux yeux.
"Certains comme a Toulouse et St Etienne éxpérimente déjà cela et si l'efficacité est prouvée elle sera étendue aux autres structures." Pas forcément puisque ce n'est pas sur à 100%
"Déjà dans certaines villes comme Toulouse et Saint-Etienne" ne rementionne pas les villes, ça prend de la place précieuse..
Cécé: les maladies chroniques concernent 15 millions.
"ce ne sont pas les résponsables du déficit de la sécurité sociale" D'après le texte, ils sont en effet une grande cause du déficit, mais pas la seule certes.
Lolo: N'écris pas 9, mais 9 millions.
"le trou de la sécurité sociale est-il pour autant de leur faute? C'est en tout cas ce que pense les politiques." La réalité du terrain (sur lequel on est d'accord) est que les ALD prennent une part énorme dans le budget santé. Après, les libéraux pensent qu'ils ne devraient être mis à contribution.
-------------
Bon je vais nous chercher un autre texte. vous êtes encouragés à proposer des articles aussi. Sinon on pour dimanche on fera le vide. A moins que vous ayez vraiment envie.
En règle général, je n'ai pas l'impression que preniez le temps de bien relire vos copies: fautes d'orthographes/conjugaison évitables, mots manquants rendant la phrase incompréhensible. Manque de transition entre les idées du texte.
Sego: "et non pas comme le proposent certains politiques, une diminution dans leur prise en charge." les patients ne nécessitent pas ça, mais peut-etre la sécu en a besoin pour combler le déficit?
"Cette réorganisation serait axée sur un regroupement des professionnels de la santé" Je ne pense pas que soit un regroupement demandé mais une meilleure coordination entre acteurs.
Tu n'as pas mentionné la prévention.
Sinon c'était bien écrit. Pour résumer reste très fidèle aux idées de l'auteur (ne jamais interpréter..)
Max: J'avoue que tout d'abord c'est les fautes qui jallonent ton texte qui saute aux yeux.
"Certains comme a Toulouse et St Etienne éxpérimente déjà cela et si l'efficacité est prouvée elle sera étendue aux autres structures." Pas forcément puisque ce n'est pas sur à 100%
"Déjà dans certaines villes comme Toulouse et Saint-Etienne" ne rementionne pas les villes, ça prend de la place précieuse..
Cécé: les maladies chroniques concernent 15 millions.
"ce ne sont pas les résponsables du déficit de la sécurité sociale" D'après le texte, ils sont en effet une grande cause du déficit, mais pas la seule certes.
Lolo: N'écris pas 9, mais 9 millions.
"le trou de la sécurité sociale est-il pour autant de leur faute? C'est en tout cas ce que pense les politiques." La réalité du terrain (sur lequel on est d'accord) est que les ALD prennent une part énorme dans le budget santé. Après, les libéraux pensent qu'ils ne devraient être mis à contribution.
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Bon je vais nous chercher un autre texte. vous êtes encouragés à proposer des articles aussi. Sinon on pour dimanche on fera le vide. A moins que vous ayez vraiment envie.
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
Merci maistre7, effectivement j'hésitais à le mettre ce fameux "millions", j'aurais dût!
moi, bosser le dimanche ne me pose pas de problèmes, ne vous inquiétez pas je pense quand même à faire autre chose qu'étudier!

moi, bosser le dimanche ne me pose pas de problèmes, ne vous inquiétez pas je pense quand même à faire autre chose qu'étudier!

Infirmière Diplômée d’État
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Maistre7, tu nous aides sur nos synthèse je te donne alors mon avis sur la tienne! j'espère que ça ne te dérange pas!
J'ai juste un problème avec la phrase: de plus que les plus précaires d'entre nous renoncent aux soins
je m'explique, moi j'ai interprété que c'était les personnes atteintes de maladies chroniques qui renoncaient aux soins (je ne suis pas sûre d'avoir bien interprété)
du coup c'est surtout le nous qui me dérange! c'est peut être aussi car on m'a conseillé précédement d'éviter les pronoms perso comme nous, on! mais c'est vrai qu'il y en a beaucoup dans le texte d'origine!
J'ai juste un problème avec la phrase: de plus que les plus précaires d'entre nous renoncent aux soins
je m'explique, moi j'ai interprété que c'était les personnes atteintes de maladies chroniques qui renoncaient aux soins (je ne suis pas sûre d'avoir bien interprété)

du coup c'est surtout le nous qui me dérange! c'est peut être aussi car on m'a conseillé précédement d'éviter les pronoms perso comme nous, on! mais c'est vrai qu'il y en a beaucoup dans le texte d'origine!
Infirmière Diplômée d’État
Re: La synthèse d'un article CG par jour
Merci Lolo pour ton commentaire. Dans une méthodologie de résumer de texte j'ai lu la phrase suivante " Vous devez vous substituer à l'auteur du texte proposé, allant jusqu'à employer "je" si c'est ce que fait l'auteur à un endroit du texte..."
Rappel: Dès que tu es atteint d'une ALD ( il y en a à peu près une trentaine) tu es pris en charge à 100% peu importe tes ressources (si j'ai bien compris)
Après en règle général les personnes les plus précaires d'entre nous, (enfin ceux ne recevant pas la *CMU; les smicards) renoncent souvent aux soins. Ils renoncent d'aller chez le médecin parce que l'assurance maladie ne rembourse pas intégralment (70 % sur le patient respecte le **parcours de soins). De plus que les foyers les plus modestes renoncent à prendre une mutuelle.
Après il peut y avoir une tranche de la population ayant une maladie chronique mais ne bénéficiant pas du statut d'ALD, et qui en plus ne souscrivent pas à une mutuelle. Je n'ai pas d'exemple concret, mais ça serait intéressant d'approfondir la recherche. Peut-etre quelqu'un a plus d'infos là-dessus?
*CMU = Couverture maladie universelle et elle est accordée aux foyers gagnant mois de 8000 euros par an à peu près (pour une personne célibataire)
** Parcours de soins: nouveau dispositif mis en place par la loi de l'assurance maladie de 2004 pour contrer les abus ainsi que le nomadisme médical (aller consulter plusieur médecins pour avoir des avis différents). ALors pour etre remboursé à 70% pour une consultation,il faut déjà nommer ton médecin référant)
Rappel: Dès que tu es atteint d'une ALD ( il y en a à peu près une trentaine) tu es pris en charge à 100% peu importe tes ressources (si j'ai bien compris)
Après en règle général les personnes les plus précaires d'entre nous, (enfin ceux ne recevant pas la *CMU; les smicards) renoncent souvent aux soins. Ils renoncent d'aller chez le médecin parce que l'assurance maladie ne rembourse pas intégralment (70 % sur le patient respecte le **parcours de soins). De plus que les foyers les plus modestes renoncent à prendre une mutuelle.
Après il peut y avoir une tranche de la population ayant une maladie chronique mais ne bénéficiant pas du statut d'ALD, et qui en plus ne souscrivent pas à une mutuelle. Je n'ai pas d'exemple concret, mais ça serait intéressant d'approfondir la recherche. Peut-etre quelqu'un a plus d'infos là-dessus?
*CMU = Couverture maladie universelle et elle est accordée aux foyers gagnant mois de 8000 euros par an à peu près (pour une personne célibataire)
** Parcours de soins: nouveau dispositif mis en place par la loi de l'assurance maladie de 2004 pour contrer les abus ainsi que le nomadisme médical (aller consulter plusieur médecins pour avoir des avis différents). ALors pour etre remboursé à 70% pour une consultation,il faut déjà nommer ton médecin référant)
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
Article 5
Alzheimer, une autre approche de la maladie
[03.09.12] Sylvie Boistard Viva magazine
Les thérapies dites "non médicamenteuses" contribuent à améliorer la qualité de vie et à restaurer la confiance des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
Jacqueline [1] a quatre-vingt-deux ans. Depuis deux mois, elle se rend deux fois par semaine au Relais Cajou de Chambray-lès-Tours (Indre-et-Loire), géré par la Mutualité française d’Indre-Touraine. Ici, on accueille par petits groupes des personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer ou de troubles apparentés. Diverses activités sont proposées à la journée : peinture, jardinage, préparation du repas, gymnastique…
Cet après-midi, c’est atelier musique. Cécile Buton et Chantal Jouvet, les deux animatrices, tentent d’éveiller la curiosité des dix participants en leur faisant chercher le style de musique qu’ils écoutent. Jacqueline ne reconnaît pas l’air de musette mais sur l’opéra Aïda, elle se met à chantonner. Peu à peu son regard s’éveille, elle tape la mesure du pied. Elle sourit.
Musique, jardinage…
Depuis plusieurs années, différentes approches dites « non médicamenteuses » se développent dans les institutions et les accueils de jour pour les patients atteints de la maladie d’Alzheimer. Objectif : réveiller leurs capacités oubliées et encourager la relation avec les autres en mettant en avant leurs facultés restantes et non leurs troubles. Car si la mémoire des événements récents est rapidement altérée chez les malades Alzheimer, récupérer des bribes de souvenirs anciens – particulièrement ceux dotés d’une forte charge affective –, des informations ou encore des savoir-faire, acquis tout au long de leur vie, reste possible longtemps après la déclaration de la maladie.
L’idée des thérapeutes est donc de les inciter à aller les chercher dans leur mémoire en stimulant leur potentiel sensoriel, moteur, relationnel et cognitif, via le jardinage, le récit autobiographique, la peinture, la sculpture, la gymnastique, la musique, etc.
A l’instar des animatrices du Relais Cajou, Lisa Huguenot, musicothérapeute à l’Ehpad Cos le Manoir à Chelles (Seine-et-Marne), s’appuie sur les chansons, les jeux vocaux, l’utilisation d’instruments de musique, la danse et le toucher pour aider les malades à exploiter leurs capacités créatives et à exprimer leurs émotions :
« Face à leurs difficultés cognitives, les malades reviennent à un rapport au monde plus sensoriel et prennent davantage en compte leur ressenti corporel. L’atelier de musicothérapie est, en ce sens, un lieu où la communication non verbale est reine. Pendant les séances, le patient peut rester lui-même et s’exprimer à sa façon, sans être dans l’erreur ou l’échec. C’est le lien et la créativité qui sont privilégiés. »
Au Chu de Nancy (Meurthe-et-Moselle), un jardin thérapeutique de 4 000 mètres carrés, divisé en quatre parterres thématiques (terre, eau, air et feu), a été créé et aménagé pour une centaine de patients. Les différents thérapeutes du Chu – infirmière, ergothérapeute, orthophoniste, psychologue – l’utilisent pour solliciter les sens des malades…
« La promenade est un moment propice pour faire parler les patients de leur jardin d’enfance… Ils peuvent nommer les plantes connues, se remémorer des souvenirs liés à la nature. C’est ce qu’on appelle la réminiscence cognitive », explique le Dr Thérèse Jonveaux, chef de service au centre Paul-Spillmann-pôle gérontologie du Chu. Des comportements adaptés sont ainsi réactivés. « Malgré une amnésie profonde, un patient a retrouvé le réflexe de mettre ses chaussures pour se rendre au jardin, alors que, paradoxalement, il ne l’a pas au sein de l’hôpital où il déambule dans les couloirs du service pieds nus », raconte Thérèse Jonveaux.
Apprendre est encore possible
Mieux encore : certaines approches ont mis en lumière des capacités d’apprentissage insoupçonnées jusqu’alors. Selon les thérapeutes, non seulement les patients Alzheimer arrivent à fredonner un air connu, à retrouver les paroles d’une vieille ¬chanson, mais ils seraient également capables d’en assimiler de nouvelles.
Odile Letortu, médecin gériatre, responsable de l’unité Alzheimer de l’institution les Pervenches à Biéville-Beuville, près de Caen (Calvados), a ainsi réussi à faire apprendre à ses patients des chants qu’ils ne connaissaient pas auparavant. En moins de deux mois, une nouvelle chanson d’une dizaine de lignes leur est devenue familière : les malades étaient capables de la rechanter spontanément, sans que l’on ait besoin de les stimuler, et certains d’entre eux se rappelaient les paroles quatre mois après.
« La vie des malades Alzheimer n’est pas que celle de l’oubli. Alors même qu’ils sont incapables de construire de nouveaux souvenirs, qu’ils sont désorientés dans le temps et dans l’espace, on constate qu’ils peuvent encore apprendre de façon inconsciente. Ils ont conservé une mémoire implicite, sensible à l’effet de répétition », explique Hervé ¬Platel, neuropsychologue et chercheur au labo¬ratoire Inserm de l’université de Caen.
Une découverte qui, à terme, pourrait bien changer le regard porté sur la maladie et offrir de nouvelles perspectives pour sa prise en charge. « Pendant longtemps, on a cherché à stimuler les malades sachant que tout ce qui était réalisé serait oublié par la suite. Aujourd’hui, il s’agit de les considérer comme des individus qui prennent plaisir à découvrir de nouvelles choses », note-t-il.
Sur le plan relationnel, ces thérapies dites « non médicamenteuses » apportent un réel bénéfice en ce qui concerne la qualité de vie du malade et celle de ses proches. Les patients sont moins agités, moins agressifs, moins anxieux, et certaines de leurs capacités cognitives déclinent moins rapidement.
Au cours des séances de musicothérapie, Lisa Huguenot observe souvent ces changements de comportement témoignant d’une ouverture aux autres, d’un mieux-être : sourires esquissés, meilleur éveil, dos qui se redresse, mains qui se détendent, paroles échangées avec une autre personne…
Partager des moments d’activité et de plaisir
Le constat est le même au Relais Cajou : « Les familles nous disent que leur proche retrouve un rythme normal veille-sommeil, lequel peut être inversé avec la maladie, un peu plus d’initiative et d’autonomie dans les gestes de la vie quotidienne », souligne Emmanuelle Barré, coordinatrice.
Des formations à ce type de prise en charge sont aussi proposées aux aidants familiaux, qui, parce qu’ils connaissent mieux que quiconque les goûts, le caractère, l’histoire personnelle du malade, restent un maillon essentiel. Ecouter de la musique ensemble, regarder un album de famille, éplucher des légumes, faire le marché… sont, en effet, autant d’activités qui concourent à créer des moments de plaisir, à garder le contact et, parfois, à apaiser une angoisse passagère.
Résumer l'article en 15 lignes Maximum
Alzheimer, une autre approche de la maladie
[03.09.12] Sylvie Boistard Viva magazine
Les thérapies dites "non médicamenteuses" contribuent à améliorer la qualité de vie et à restaurer la confiance des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
Jacqueline [1] a quatre-vingt-deux ans. Depuis deux mois, elle se rend deux fois par semaine au Relais Cajou de Chambray-lès-Tours (Indre-et-Loire), géré par la Mutualité française d’Indre-Touraine. Ici, on accueille par petits groupes des personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer ou de troubles apparentés. Diverses activités sont proposées à la journée : peinture, jardinage, préparation du repas, gymnastique…
Cet après-midi, c’est atelier musique. Cécile Buton et Chantal Jouvet, les deux animatrices, tentent d’éveiller la curiosité des dix participants en leur faisant chercher le style de musique qu’ils écoutent. Jacqueline ne reconnaît pas l’air de musette mais sur l’opéra Aïda, elle se met à chantonner. Peu à peu son regard s’éveille, elle tape la mesure du pied. Elle sourit.
Musique, jardinage…
Depuis plusieurs années, différentes approches dites « non médicamenteuses » se développent dans les institutions et les accueils de jour pour les patients atteints de la maladie d’Alzheimer. Objectif : réveiller leurs capacités oubliées et encourager la relation avec les autres en mettant en avant leurs facultés restantes et non leurs troubles. Car si la mémoire des événements récents est rapidement altérée chez les malades Alzheimer, récupérer des bribes de souvenirs anciens – particulièrement ceux dotés d’une forte charge affective –, des informations ou encore des savoir-faire, acquis tout au long de leur vie, reste possible longtemps après la déclaration de la maladie.
L’idée des thérapeutes est donc de les inciter à aller les chercher dans leur mémoire en stimulant leur potentiel sensoriel, moteur, relationnel et cognitif, via le jardinage, le récit autobiographique, la peinture, la sculpture, la gymnastique, la musique, etc.
A l’instar des animatrices du Relais Cajou, Lisa Huguenot, musicothérapeute à l’Ehpad Cos le Manoir à Chelles (Seine-et-Marne), s’appuie sur les chansons, les jeux vocaux, l’utilisation d’instruments de musique, la danse et le toucher pour aider les malades à exploiter leurs capacités créatives et à exprimer leurs émotions :
« Face à leurs difficultés cognitives, les malades reviennent à un rapport au monde plus sensoriel et prennent davantage en compte leur ressenti corporel. L’atelier de musicothérapie est, en ce sens, un lieu où la communication non verbale est reine. Pendant les séances, le patient peut rester lui-même et s’exprimer à sa façon, sans être dans l’erreur ou l’échec. C’est le lien et la créativité qui sont privilégiés. »
Au Chu de Nancy (Meurthe-et-Moselle), un jardin thérapeutique de 4 000 mètres carrés, divisé en quatre parterres thématiques (terre, eau, air et feu), a été créé et aménagé pour une centaine de patients. Les différents thérapeutes du Chu – infirmière, ergothérapeute, orthophoniste, psychologue – l’utilisent pour solliciter les sens des malades…
« La promenade est un moment propice pour faire parler les patients de leur jardin d’enfance… Ils peuvent nommer les plantes connues, se remémorer des souvenirs liés à la nature. C’est ce qu’on appelle la réminiscence cognitive », explique le Dr Thérèse Jonveaux, chef de service au centre Paul-Spillmann-pôle gérontologie du Chu. Des comportements adaptés sont ainsi réactivés. « Malgré une amnésie profonde, un patient a retrouvé le réflexe de mettre ses chaussures pour se rendre au jardin, alors que, paradoxalement, il ne l’a pas au sein de l’hôpital où il déambule dans les couloirs du service pieds nus », raconte Thérèse Jonveaux.
Apprendre est encore possible
Mieux encore : certaines approches ont mis en lumière des capacités d’apprentissage insoupçonnées jusqu’alors. Selon les thérapeutes, non seulement les patients Alzheimer arrivent à fredonner un air connu, à retrouver les paroles d’une vieille ¬chanson, mais ils seraient également capables d’en assimiler de nouvelles.
Odile Letortu, médecin gériatre, responsable de l’unité Alzheimer de l’institution les Pervenches à Biéville-Beuville, près de Caen (Calvados), a ainsi réussi à faire apprendre à ses patients des chants qu’ils ne connaissaient pas auparavant. En moins de deux mois, une nouvelle chanson d’une dizaine de lignes leur est devenue familière : les malades étaient capables de la rechanter spontanément, sans que l’on ait besoin de les stimuler, et certains d’entre eux se rappelaient les paroles quatre mois après.
« La vie des malades Alzheimer n’est pas que celle de l’oubli. Alors même qu’ils sont incapables de construire de nouveaux souvenirs, qu’ils sont désorientés dans le temps et dans l’espace, on constate qu’ils peuvent encore apprendre de façon inconsciente. Ils ont conservé une mémoire implicite, sensible à l’effet de répétition », explique Hervé ¬Platel, neuropsychologue et chercheur au labo¬ratoire Inserm de l’université de Caen.
Une découverte qui, à terme, pourrait bien changer le regard porté sur la maladie et offrir de nouvelles perspectives pour sa prise en charge. « Pendant longtemps, on a cherché à stimuler les malades sachant que tout ce qui était réalisé serait oublié par la suite. Aujourd’hui, il s’agit de les considérer comme des individus qui prennent plaisir à découvrir de nouvelles choses », note-t-il.
Sur le plan relationnel, ces thérapies dites « non médicamenteuses » apportent un réel bénéfice en ce qui concerne la qualité de vie du malade et celle de ses proches. Les patients sont moins agités, moins agressifs, moins anxieux, et certaines de leurs capacités cognitives déclinent moins rapidement.
Au cours des séances de musicothérapie, Lisa Huguenot observe souvent ces changements de comportement témoignant d’une ouverture aux autres, d’un mieux-être : sourires esquissés, meilleur éveil, dos qui se redresse, mains qui se détendent, paroles échangées avec une autre personne…
Partager des moments d’activité et de plaisir
Le constat est le même au Relais Cajou : « Les familles nous disent que leur proche retrouve un rythme normal veille-sommeil, lequel peut être inversé avec la maladie, un peu plus d’initiative et d’autonomie dans les gestes de la vie quotidienne », souligne Emmanuelle Barré, coordinatrice.
Des formations à ce type de prise en charge sont aussi proposées aux aidants familiaux, qui, parce qu’ils connaissent mieux que quiconque les goûts, le caractère, l’histoire personnelle du malade, restent un maillon essentiel. Ecouter de la musique ensemble, regarder un album de famille, éplucher des légumes, faire le marché… sont, en effet, autant d’activités qui concourent à créer des moments de plaisir, à garder le contact et, parfois, à apaiser une angoisse passagère.
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Re: La synthèse d'un article CG par jour
ok je retire donc ce que j'ai dis il n'y a aucuns commentaires à faire sur ta synthèse!
merci encore de tous les renseignements et aides que tu nous apportes!

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Infirmière Diplômée d’État