Culture Générale
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Re: Diff. entre sujets culture G et Sujets san. & sociaux ??
Super! Merciii
IFSI Avignon - 23 Mars
IFSI Montpellier - 27 Mars
IFSI Nîmes Croix-Rouge - 6 Avril
IFSI Montpellier - 27 Mars
IFSI Nîmes Croix-Rouge - 6 Avril
Re: Diff. entre sujets culture G et Sujets san. & sociaux ??
Oui merci beaucoup pour l'aide . en fait culture générale et sujets sanitaires et sociaux c'est la meme chose ?lolo_82 a écrit :Coucou, en fait, l'épreuve de culture générale est basé sur (généralement, car parfois il faut chercher loin le lien) un texte de thème sanitaire et social.
Il faut que tu regardes régulièrement l'actualité, principalement sanitaire et sociale, ensuite pour agrandir ta culture générale sur le sujet et savoir de quoi tu parles, le mieux est d'acheter un livre sur les Grands thèmes sanitaires et sociaux (éditions Masson)
C'est fait par chapitre sur ces grands thèmes, ensuite tu as un sujet en raport avec la fiche afin de préparé au concours (soit pour l'écrit soit pour l'oral, voir même les 2)
je te conseille ce livre pour te préparer!
J'espère avoir pu te renseigner! Si tu as d'autres questions n'hésites pas!

Car en fait je suis en prépa pour le concours d'infirmiere et ils nous demandent de faire une partie culture générale et une partie sujets sanitaires et social alors que visiblement c'est la meme chose

mais je suis les cours de la prépa , je recopie également les fiches du topic ''culture générale 2013" et j'ai un livre qui s'apelle mega guide pour le concours d'infirmière ou il y a une partie culture générale .
est ce quil y a des themes de culture générale qui ne sont ni des themes sanitaires ou sociaux ?
«Les obstables de la vie peuvent être les excuses derrières tes échecs ou les raisons derrière tes succès. Le choix te revient»
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Re: Fiches Culture Générale 2013
merci pour la réponse "super cuisto"supercuisto a écrit :Merci Chany !! quel travail ! elle était vraiment énorme cette fiche ! vaste sujet !![]()
Celine ce n'est pas une liste officielle mais une liste que nous avons fait tous ensemble à partir des livres de révisions et des sujets d'actualité ou qui sont tombés l'année dernière ! On les a classés pour que ce soit plus facile pour s'y retrouver ! voila
Je me propose pour le résumé de la R20 !!![]()
C'est parti pour la R21 sur l'obésité jusqu'à mercredi !

Je suis actuellement en classe préparatoire au concours d'entrée en IFSI pour pouvoir être IDE , puis par la suite infirmière puéricultrice



«Les obstables de la vie peuvent être les excuses derrières tes échecs ou les raisons derrière tes succès. Le choix te revient»
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Re: Fiches Culture Générale 2013
Bonjour à tous, je vous remets ma fiche:
R21 L’obésité :
Définition :
Selon l’Organisation mondiale de la Santé, l’obésité se caractérise par « une accumulation anormale ou excessive de graisse corporelle qui peut nuire à la santé ». À la base, l’obésité résulte d’une consommation trop grande de calories relativement à la dépense d’énergie, durant plusieurs années. On doit distinguer l’obésité de l’embonpoint, qui est aussi une surcharge pondérale, mais moins importante. Pour sa part, l’obésité morbide est une forme d’obésité très avancée. Elle serait si dommageable pour la santé qu’elle ferait perdre de 8 à 10 années de vie.
Diagnostiquer l’obésité : On ne peut se fier uniquement au poids d’une personne pour déterminer si elle est obèse ou si elle fait de l’embonpoint. Différentes mesures sont utilisées pour fournir des renseignements complémentaires et pour prédire l’impact de l’obésité sur la santé.
L’indice de masse corporelle (IMC). D’après l’OMS, il s’agit de l’outil le plus utile, bien qu’approximatif, pour mesurer l’embonpoint et l’obésité dans une population adulte. Cet indice se calcule en divisant le poids (kg) par la taille au carré (m2). On parle d’embonpoint lorsqu’il se situe entre 25 et 29,9; d’obésité lorsqu’il égale ou dépasse 30; et d’obésité morbide s’il égale ou dépasse 40. Le poids santé correspond à un IMC entre 18,5 et 25. Cliquez ici pour calculer votre indice de masse corporelle (IMC).
L’obésité en chiffres : La proportion de personnes obèses s’est accru au cours des 30 dernières années. Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), la prévalence de l’obésité a pris des proportions épidémiques à l’échelle mondiale. L’augmentation du poids moyen s’observe dans toutes les tranches d’âge, dans tous les groupes socio-économiques.
Voici quelques données : Dans le monde, 1,5 milliard d’adultes de 20 ans et plus ont un excès de poids, et au moins 500 millions d’entre eux sont obèses. Les pays en développement ne sont pas épargnés. Au Canada, selon les données les plus récentes, 36 % des adultes font de l’embonpoint (IMC>25) et 25 % sont obèses (IMC>30)5.Aux États-Unis, environ le tiers des personnes âgées de 20 ans et plus est obèse et un autre tiers fait de l’embonpoint.
En France, près de 15 % de la population adulte est obèse, et environ le tiers fait de l’embonpoint.
Des causes multiples : Lorsque l’on tente de comprendre pourquoi l’obésité est si répandue, on constate que les causes sont multiples et ne reposent pas uniquement sur l’individu. Le gouvernement, les municipalités, les écoles, le secteur agroalimentaire, etc. portent aussi une part de responsabilité dans la création des environnements obésogènes.
On utilise l’expression environnement obésogène pour décrire un milieu de vie qui contribue à l’obésité :
-accessibilité aux aliments riches en gras, en sel et en sucre, très caloriques et peu nutritifs (la malbouffe);
-mode de vie sédentaire et stressant ;
-milieu de vie peu propice à du transport actif (marche, vélo).
Cet environnement obésogène est devenu la norme dans plusieurs pays industrialisés et se retrouve dans les pays en développement au fur et à mesure que la population adopte un mode de vie à l’occidental. Les personnes dont le bagage génétique rend la prise de poids plus facile sont plus susceptibles d’être victimes de l’environnement obésogène. Toutefois, la susceptibilité liée aux gènes ne peut mener à l’obésité à elle seule. Par exemple, 80 % des indiens Pima de l’Arizona souffrent aujourd’hui d’obésité. Or, lorsqu’ils suivaient un mode de vie traditionnel, l’obésité était beaucoup plus rare.
Conséquences : L’obésité peut accroître le risque de plusieurs maladies chroniques. Les problèmes de santé commenceraient à se manifester après environ 10 ans d’excès de poids7.
Risque grandement accru:
-de diabète de type 2 (90 % des personnes atteintes de ce type de diabète ont un problème d’embonpoint ou d’obésité3);
-d’hypertension;
-de calculs biliaires et autres problèmes à la vésicule;
-de dyslipidémie (anomalie des taux de lipides dans le sang);
-d’essoufflement et de sueurs;
-d’apnée du sommeil.
Risque modérément accru :
-des problèmes cardiovasculaires : troubles coronariens, accidents vasculaires cérébraux (AVC), insuffisance cardiaque, arythmie cardiaque;
-d’arthrose du genou;
-de goutte.
Risque légèrement accru :
-de certains cancers : les cancers hormonodépendants (chez les femmes, le cancer de l’endomètre, du sein, de l’ovaire, du col de l’utérus; chez les hommes, le cancer de la prostate) et les cancers liés au système digestif (cancer du côlon, de la vésicule biliaire, du pancréas, du foie, du rein);
-de baisse de fertilité, chez les 2 sexes ;
- de démence, lombalgie, phlébite et reflux gastro-oesophagien.
La manière dont la graisse est répartie sur le corps, plutôt à l’abdomen ou aux hanches, joue un rôle déterminant sur l’apparition de maladies. L’accumulation de la graisse à l’abdomen, typique de l’obésité androïde, est beaucoup plus risquée que la répartition plus uniforme (obésité gynoïde). Les hommes ont en moyenne 2 fois plus de graisses abdominales que les femmes non ménopausées.
Fait préoccupant, certaines de ces maladies chroniques, comme le diabète de type 2, surviennent maintenant à l’adolescence, étant donné le nombre croissant de jeunes qui souffrent d’embonpoint et d’obésité. Les personnes obèses ont une moins bonne qualité de vie en vieillissant9 et une espérance de vie plus courte que les personnes qui ont un poids santé9-11. D’ailleurs, les professionnels de la santé prédisent que les jeunes d’aujourd’hui seront la première génération d’enfants dont l’espérance de vie ne dépassera pas celle de leurs parents, principalement à cause de la fréquence croissante de l’obésité infantile.
Enfin, l’obésité peut devenir un fardeau psychologique. Certaines personnes se sentiront exclues de la société en raison des critères de beauté proposés par l’industrie de la mode et par les médias. Devant la difficulté à perdre leur excès de poids, d’autres vivront une grande détresse ou de l’anxiété, qui pourra aller jusqu’à la dépression.
Symptômes de l’obésité : L’obésité se traduit par un excès de tissus adipeux. Cet excès peut se répartir de 2 manières différentes :
-dans la région abdominale, on parle alors d’obésité androïde, viscérale, ou abdominale.
-aux hanches, aux cuisses et en périphérie, dite obésité gynoïde, périphérique, ou sous-cutanée.
Pour des raisons hormonales, l’obésité androïde touche surtout les hommes; et l’obésité gynoïde, les femmes.
Personnes à risque : Les personnes qui vivent aux États-Unis ou qui y immigrent. D’après une étude, 1 an après leur installation aux États-Unis, 8 % des immigrants sont obèses12. Après 15 ans, 19 % le sont devenus, ce qui se rapproche du taux d’obésité des Américains qui est de 22 %. Le gain de poids le plus significatif surviendrait après 10 ans.
-Les personnes dont le bagage héréditaire prédispose à l’obésité.
-L’obésité dépend surtout de facteurs environnementaux (aliments palatables à forte densité énergétique, sédentarité, stress), mais aussi de facteurs génétiques
-La combinaison d’un milieu obésogène et d’une prédisposition génétique risque fort d’entraîner le développement de l’obésité.
-Certaines ethnies sont plus susceptibles que d’autres au gain de poids
-L’âge.
-Au Canada, les personnes qui résident en banlieue ou en région sont plus à risque, car elles sont moins actives physiquement que les citadins. Cependant, à l’échelle mondiale, la prévalence de l’obésité est plus élevée parmi les populations urbaines par rapport aux populations rurales.
-Certaines maladies peuvent provoquer un gain de poids en rendant inactif. D’autres vont contribuer à la prise de poids en diminuant les dépenses énergétiques, mais elles sont rares : l’hypothyroïdie, la maladie de Cushing (un problème aux glandes surrénales) ou une tumeur de l’hypothalamus.
-Les personnes aux prises avec la boulimie.
-Les personnes qui avaient un surplus de poids durant l’enfance ou l’adolescence.
-Les grossesses peuvent contribuer à un gain de poids.
Facteurs de risque :
Facteurs individuels qui entraînent un gain de poids
-Les comportements alimentaires.
-Un mode de vie sédentaire.
-Le stress.
-Une profonde détresse.
-L’héritage culturel familial.
-Le manque de sommeil.
-Des médicaments.
-Boire de l’alcool
Facteurs et changements sociaux qui contribuent au gain de poids :
-Une industrie alimentaire
-À la télévision
-Les publicités
-En raison de la difficile conciliation travail-famille, bon nombre de parents ont recours, de plus en plus souvent, à des plats préparés ou provenant de restaurants. Les repas se prennent moins en famille. Conséquence : les parents ont moins de contrôle sur ce que mangent leurs enfants et l’éducation à une saine alimentation s’en trouve compromise.
-Une fréquentation plus assidue des restaurants.
-La taille des portions
-L’automatisation du travail et l’évolution technologique
-Un aménagement urbain qui ne favorise pas la marche et l’activité physique.
-La perte du sentiment de sécurité dans les quartiers, ayant pour conséquence que les enfants jouent moins à l’extérieur, utilisent peu la marche ou le vélo pour se rendre à l’école, etc.
Il reste plus que les solutions à l'obésité, régime, anneau gastrique etc...
Bonne journée.
Amicalement.
R21 L’obésité :
Définition :
Selon l’Organisation mondiale de la Santé, l’obésité se caractérise par « une accumulation anormale ou excessive de graisse corporelle qui peut nuire à la santé ». À la base, l’obésité résulte d’une consommation trop grande de calories relativement à la dépense d’énergie, durant plusieurs années. On doit distinguer l’obésité de l’embonpoint, qui est aussi une surcharge pondérale, mais moins importante. Pour sa part, l’obésité morbide est une forme d’obésité très avancée. Elle serait si dommageable pour la santé qu’elle ferait perdre de 8 à 10 années de vie.
Diagnostiquer l’obésité : On ne peut se fier uniquement au poids d’une personne pour déterminer si elle est obèse ou si elle fait de l’embonpoint. Différentes mesures sont utilisées pour fournir des renseignements complémentaires et pour prédire l’impact de l’obésité sur la santé.
L’indice de masse corporelle (IMC). D’après l’OMS, il s’agit de l’outil le plus utile, bien qu’approximatif, pour mesurer l’embonpoint et l’obésité dans une population adulte. Cet indice se calcule en divisant le poids (kg) par la taille au carré (m2). On parle d’embonpoint lorsqu’il se situe entre 25 et 29,9; d’obésité lorsqu’il égale ou dépasse 30; et d’obésité morbide s’il égale ou dépasse 40. Le poids santé correspond à un IMC entre 18,5 et 25. Cliquez ici pour calculer votre indice de masse corporelle (IMC).
L’obésité en chiffres : La proportion de personnes obèses s’est accru au cours des 30 dernières années. Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), la prévalence de l’obésité a pris des proportions épidémiques à l’échelle mondiale. L’augmentation du poids moyen s’observe dans toutes les tranches d’âge, dans tous les groupes socio-économiques.
Voici quelques données : Dans le monde, 1,5 milliard d’adultes de 20 ans et plus ont un excès de poids, et au moins 500 millions d’entre eux sont obèses. Les pays en développement ne sont pas épargnés. Au Canada, selon les données les plus récentes, 36 % des adultes font de l’embonpoint (IMC>25) et 25 % sont obèses (IMC>30)5.Aux États-Unis, environ le tiers des personnes âgées de 20 ans et plus est obèse et un autre tiers fait de l’embonpoint.
En France, près de 15 % de la population adulte est obèse, et environ le tiers fait de l’embonpoint.
Des causes multiples : Lorsque l’on tente de comprendre pourquoi l’obésité est si répandue, on constate que les causes sont multiples et ne reposent pas uniquement sur l’individu. Le gouvernement, les municipalités, les écoles, le secteur agroalimentaire, etc. portent aussi une part de responsabilité dans la création des environnements obésogènes.
On utilise l’expression environnement obésogène pour décrire un milieu de vie qui contribue à l’obésité :
-accessibilité aux aliments riches en gras, en sel et en sucre, très caloriques et peu nutritifs (la malbouffe);
-mode de vie sédentaire et stressant ;
-milieu de vie peu propice à du transport actif (marche, vélo).
Cet environnement obésogène est devenu la norme dans plusieurs pays industrialisés et se retrouve dans les pays en développement au fur et à mesure que la population adopte un mode de vie à l’occidental. Les personnes dont le bagage génétique rend la prise de poids plus facile sont plus susceptibles d’être victimes de l’environnement obésogène. Toutefois, la susceptibilité liée aux gènes ne peut mener à l’obésité à elle seule. Par exemple, 80 % des indiens Pima de l’Arizona souffrent aujourd’hui d’obésité. Or, lorsqu’ils suivaient un mode de vie traditionnel, l’obésité était beaucoup plus rare.
Conséquences : L’obésité peut accroître le risque de plusieurs maladies chroniques. Les problèmes de santé commenceraient à se manifester après environ 10 ans d’excès de poids7.
Risque grandement accru:
-de diabète de type 2 (90 % des personnes atteintes de ce type de diabète ont un problème d’embonpoint ou d’obésité3);
-d’hypertension;
-de calculs biliaires et autres problèmes à la vésicule;
-de dyslipidémie (anomalie des taux de lipides dans le sang);
-d’essoufflement et de sueurs;
-d’apnée du sommeil.
Risque modérément accru :
-des problèmes cardiovasculaires : troubles coronariens, accidents vasculaires cérébraux (AVC), insuffisance cardiaque, arythmie cardiaque;
-d’arthrose du genou;
-de goutte.
Risque légèrement accru :
-de certains cancers : les cancers hormonodépendants (chez les femmes, le cancer de l’endomètre, du sein, de l’ovaire, du col de l’utérus; chez les hommes, le cancer de la prostate) et les cancers liés au système digestif (cancer du côlon, de la vésicule biliaire, du pancréas, du foie, du rein);
-de baisse de fertilité, chez les 2 sexes ;
- de démence, lombalgie, phlébite et reflux gastro-oesophagien.
La manière dont la graisse est répartie sur le corps, plutôt à l’abdomen ou aux hanches, joue un rôle déterminant sur l’apparition de maladies. L’accumulation de la graisse à l’abdomen, typique de l’obésité androïde, est beaucoup plus risquée que la répartition plus uniforme (obésité gynoïde). Les hommes ont en moyenne 2 fois plus de graisses abdominales que les femmes non ménopausées.
Fait préoccupant, certaines de ces maladies chroniques, comme le diabète de type 2, surviennent maintenant à l’adolescence, étant donné le nombre croissant de jeunes qui souffrent d’embonpoint et d’obésité. Les personnes obèses ont une moins bonne qualité de vie en vieillissant9 et une espérance de vie plus courte que les personnes qui ont un poids santé9-11. D’ailleurs, les professionnels de la santé prédisent que les jeunes d’aujourd’hui seront la première génération d’enfants dont l’espérance de vie ne dépassera pas celle de leurs parents, principalement à cause de la fréquence croissante de l’obésité infantile.
Enfin, l’obésité peut devenir un fardeau psychologique. Certaines personnes se sentiront exclues de la société en raison des critères de beauté proposés par l’industrie de la mode et par les médias. Devant la difficulté à perdre leur excès de poids, d’autres vivront une grande détresse ou de l’anxiété, qui pourra aller jusqu’à la dépression.
Symptômes de l’obésité : L’obésité se traduit par un excès de tissus adipeux. Cet excès peut se répartir de 2 manières différentes :
-dans la région abdominale, on parle alors d’obésité androïde, viscérale, ou abdominale.
-aux hanches, aux cuisses et en périphérie, dite obésité gynoïde, périphérique, ou sous-cutanée.
Pour des raisons hormonales, l’obésité androïde touche surtout les hommes; et l’obésité gynoïde, les femmes.
Personnes à risque : Les personnes qui vivent aux États-Unis ou qui y immigrent. D’après une étude, 1 an après leur installation aux États-Unis, 8 % des immigrants sont obèses12. Après 15 ans, 19 % le sont devenus, ce qui se rapproche du taux d’obésité des Américains qui est de 22 %. Le gain de poids le plus significatif surviendrait après 10 ans.
-Les personnes dont le bagage héréditaire prédispose à l’obésité.
-L’obésité dépend surtout de facteurs environnementaux (aliments palatables à forte densité énergétique, sédentarité, stress), mais aussi de facteurs génétiques
-La combinaison d’un milieu obésogène et d’une prédisposition génétique risque fort d’entraîner le développement de l’obésité.
-Certaines ethnies sont plus susceptibles que d’autres au gain de poids
-L’âge.
-Au Canada, les personnes qui résident en banlieue ou en région sont plus à risque, car elles sont moins actives physiquement que les citadins. Cependant, à l’échelle mondiale, la prévalence de l’obésité est plus élevée parmi les populations urbaines par rapport aux populations rurales.
-Certaines maladies peuvent provoquer un gain de poids en rendant inactif. D’autres vont contribuer à la prise de poids en diminuant les dépenses énergétiques, mais elles sont rares : l’hypothyroïdie, la maladie de Cushing (un problème aux glandes surrénales) ou une tumeur de l’hypothalamus.
-Les personnes aux prises avec la boulimie.
-Les personnes qui avaient un surplus de poids durant l’enfance ou l’adolescence.
-Les grossesses peuvent contribuer à un gain de poids.
Facteurs de risque :
Facteurs individuels qui entraînent un gain de poids
-Les comportements alimentaires.
-Un mode de vie sédentaire.
-Le stress.
-Une profonde détresse.
-L’héritage culturel familial.
-Le manque de sommeil.
-Des médicaments.
-Boire de l’alcool
Facteurs et changements sociaux qui contribuent au gain de poids :
-Une industrie alimentaire
-À la télévision
-Les publicités
-En raison de la difficile conciliation travail-famille, bon nombre de parents ont recours, de plus en plus souvent, à des plats préparés ou provenant de restaurants. Les repas se prennent moins en famille. Conséquence : les parents ont moins de contrôle sur ce que mangent leurs enfants et l’éducation à une saine alimentation s’en trouve compromise.
-Une fréquentation plus assidue des restaurants.
-La taille des portions
-L’automatisation du travail et l’évolution technologique
-Un aménagement urbain qui ne favorise pas la marche et l’activité physique.
-La perte du sentiment de sécurité dans les quartiers, ayant pour conséquence que les enfants jouent moins à l’extérieur, utilisent peu la marche ou le vélo pour se rendre à l’école, etc.
Il reste plus que les solutions à l'obésité, régime, anneau gastrique etc...
Bonne journée.
Amicalement.
Re: Diff. entre sujets culture G et Sujets san. & sociaux ??
Globalement c'est la même chose, Sur les livres que j'ai ils disent que ce pour l'épreuve de culture générale les textes sont en rapport avec des sujets sanitaires ou social, dit toi que ce sont des sujets très très variés surtout les sociaux,
je te conseille vivement le livre dont je te parlais aux éditions masson.
Il arrive néanmoins que lors du concours de tomber sur des textes où le rapport est a chercher très très loin, mais bon!
Visiblement il faut suivre l'actu, si tu n'a pas trop le temps regarde au moins une fois par semaine sur internet le monde santé,si j'ai bien compris tu peux trouvé un récap des actus de la semaine!
Ce n'est pas un test de culture générale où QI, donc pour moi c'est surtout le sanitaire et social qu'il faut préparer, ca parle de tout
et puis si ils font ces livres spécial concours IFSI c'est que ça doit être ça qu'il faut voir,de plus beaucoup de personne le conseille celui ci!!!
tu as souvent voir tout le temps un lien sanitaire ou social
je te conseille vivement le livre dont je te parlais aux éditions masson.
Il arrive néanmoins que lors du concours de tomber sur des textes où le rapport est a chercher très très loin, mais bon!
Visiblement il faut suivre l'actu, si tu n'a pas trop le temps regarde au moins une fois par semaine sur internet le monde santé,si j'ai bien compris tu peux trouvé un récap des actus de la semaine!
Ce n'est pas un test de culture générale où QI, donc pour moi c'est surtout le sanitaire et social qu'il faut préparer, ca parle de tout
et puis si ils font ces livres spécial concours IFSI c'est que ça doit être ça qu'il faut voir,de plus beaucoup de personne le conseille celui ci!!!

tu as souvent voir tout le temps un lien sanitaire ou social

Infirmière Diplômée d’État
Re: Fiches Culture Générale 2013
Salut les filles (et les garçons
),
Je m'y prends un peu tard pour commencer à réviser mais je suis un peu overbookée (je suis maman 2010, 2011 et... ben 2012) ! Un grand merci à tous ceux qui participent à ce post, il m'a permis d'y voir un peu plus clair sur les attentes du concours... Et aussi à supercuisto pour l'organisation, c'est top !
J'ai 31 ans et suis aussi en reconversion professionnelle, à la base prof en maternelle (mais là je suis plutôt en congé parental lol)... J'aimerais être puer
Je sais qu'il y a déjà une tonne de sujets, mais je propose un petit topo sur la Ministre de la Santé à rajouter quelque part... Parce qu'elle est au sommet de notre hiérarchie et que c'est le genre de question qui la fout mal si on ne connait pas même son nom !

Je m'y prends un peu tard pour commencer à réviser mais je suis un peu overbookée (je suis maman 2010, 2011 et... ben 2012) ! Un grand merci à tous ceux qui participent à ce post, il m'a permis d'y voir un peu plus clair sur les attentes du concours... Et aussi à supercuisto pour l'organisation, c'est top !
J'ai 31 ans et suis aussi en reconversion professionnelle, à la base prof en maternelle (mais là je suis plutôt en congé parental lol)... J'aimerais être puer

Je sais qu'il y a déjà une tonne de sujets, mais je propose un petit topo sur la Ministre de la Santé à rajouter quelque part... Parce qu'elle est au sommet de notre hiérarchie et que c'est le genre de question qui la fout mal si on ne connait pas même son nom !
Re: Fiches Culture Générale 2013
Voici ma fiche sur l'obésité
N'ayant pas grand chose de prévu ce week-end, je me propose pour faire le résumé de la R21
L’OBESITE
A l’heure d’aujourd’hui, l’obésité est considérée comme une épidémie mondiale
Définition : L’obésité se caractérise par un excès de masse adipeuse dans l’organisme. Un individu est considéré comme obèse lorsque son indice de masse corporelle (IMC) est supérieur à 30.
L’IMC se calcule ainsi : IMC = poids (kg) / taille² (m²)
• < 16.5 : Dénutrition
• 16.5 à 18.4 : Maigreur
• 18.5 à 24.9 : Corpulence normale
• 25 à 29.9 : Surpoids
• 30 à 34.9 : Obésité modérée
• 35 à 39.9 : Obésité sévère
• > 40 : Obésité massive ou morbide
Il existe un grand nombre d’établissements spécialisés dans l'obésité de l'enfant et de l'adolescent mais également pour les adultes en France.
CRMO : Ce centre de soins et de recherche est dédié à la prévention et au traitement de l’Obésité et de ses complications.
Chiffres clés :
• À l’échelle mondiale, le nombre de cas d’obésité a doublé depuis 1980.
• Le surpoids concerne 1,4 milliard de personnes de 20 ans et plus, parmi lesquelles plus de 200 millions d’hommes et près 300 millions de femmes sont obèses (estimations de 2008).
• Le surpoids concerne près de 43 millions d’enfants de moins de cinq ans (estimations de 2010).
• Plus de 40 millions d’enfants de moins de cinq ans étaient en surpoids en 2008.
• À l’échelle mondiale, 44% du diabète, 23% des cardiopathies ischémiques et 7 à 41% de certains cancers peuvent être imputés au surpoids et à l’obésité.
• Chaque année, 2,8 millions de personnes au moins meurent des conséquences du surpoids ou de l’obésité.
Certaines circonstances favorisent la prise de poids : arrêt du tabac, alitement prolongé, dépression, prise de certains médicaments antidépresseurs ou corticoïdes, grossesse, ménopause précoce, chirurgie gynécologique, changements d'habitudes de vie, régimes restrictifs favorisant l'effet « yo-yo » …
I) Les facteurs de risques
1. Les facteurs médicaux
Origine génétique : forte probabilité qu’un enfant ayant un parent obèse le devienne également
Problème endocrinologiques comme des dérèglements hormonaux ou glandulaires auxquels s’ajoute le manque de sommeil
Problèmes psychologiques : stress, ennui, manque d’affection
2. Les facteurs environnementaux
Une alimentation déséquilibrée trop riche et le grignotage favorisent le stockage du surplus sous formes de graisses
Sédentarité et manque d’activité physique
Environnement familial : modèle alimentaire parental déstructuré, séparations, enfant unique...
Stratégies des industries agroalimentaires : publicité, distributeur d’en-cas ou boissons, promotions…
Le rythme de vie pousse à consommer des plats préparés contenant des graisses et des sucres cachés.
II) Les risques encourus
Le risque de mortalité est augmenté, d'autant plus que l'obésité est sévère et précoce. Les risques de maladie associés dépendent de l'âge et des pathologies déjà présentes. Ce sont :
• Le diabète non-insulino dépendant ;
• Les maladies cardiovasculaires y compris l'hypertension artérielle ;
• Les problèmes respiratoires et notamment l'apnée pendant le sommeil ;
• Les problèmes rhumatologiques au niveau des hanches, des genoux et de la colonne vertébrale ;
• Les problèmes de métabolisme, notamment des lipides sanguins ;
• Les anomalies hormonales ;
• Les calculs de la vésicule biliaire ;
• les problèmes veineux et de peau ;
• Les risques plus importants en cas d'opération chirurgicale.
Des répercussions sociales et psychologiques :
Sur le plan psychologique et social l'obésité représente une gêne fonctionnelle dans la vie de tous les jours. Elle crée des difficultés à l'embauche et de fréquentes mises en invalidité pour raisons médicales. Elle est source de discrimination sociale chez l'adulte comme chez l'enfant et entraîne souvent une dépression.
III) Les traitements de l’obésité
1. Modifier son habitude alimentaire
Un des principaux objectifs est la perte de poids. La nutrition est évidemment une partie centrale de la prise en charge du patient. Les conseils nutritionnels agissent sur le rythme alimentaire, sur la répartition des nutriments et la densité calorique de l’alimentation.
L’objectif est d’instituer de nouvelles habitudes alimentaires en limitant les interdits, en diversifiant les apports et en réduisant la densité énergétique des aliments, tout en prenant en compte les traditions, les goûts et les possibilités économiques du patient. Un nutritionniste ou un diététicien peut aider le patient à adopter de nouvelles habitudes
2. Pratiquer une activité physique
L’activité physique est très bénéfique. Plus que l’intensité de l’effort, c’est surtout la régularité qui compte et il est recommandé de réaliser au moins 30 minutes d’exercice physique tous les jours : marche à pied, activités sportives (vélo, course à pied, etc.), tâches domestiques, etc. Il est important de se fixer des objectifs réalistes et d’augmenter progressivement la durée quotidienne d’exercice physique jusqu’aux 30 minutes.
3. Traitements médicaux
Des médicaments empêchent le stockage des graisses, mais certains provoquent des effets secondaires importants.
Les coupe-faim ont été retirés du marché pour leur dangerosité.
• Exemple du Médiator retiré du marché en novembre 2009 car le nombre de cas de valvulopathies cardiaques était anormalement élevé.
4. Interventions chirurgicales
En France, environ 13 000 actes de chirurgie de l’obésité, aussi appelée chirurgie bariatrique, sont pratiqués annuellement.
La chirurgie s’adresse à un adulte majeur, ayant un IMC supérieur à 40 ou un IMC supérieur à 35 avec des pathologies associées comme le diabète de type 2, l’hypertension artérielle, le syndrome des apnées du sommeil ou des troubles fonctionnels articulaires.
La personne souhaitant une chirurgie doit avoir eu en première intention un parcours de soins nutritionnel, diététique et psychothérapeutique pendant une période pouvant aller de 6 à 12 mois minimum.
Si la chirurgie permet de perdre du poids durablement, la réussite repose essentiellement sur l’adhésion active du patient qui devra changer son comportement alimentaire et améliorer son hygiène de vie.
L’intervention chirurgicale peut entraîner des complications et des difficultés au quotidien, même longtemps après l’intervention
Exemple d’intervention :
• Anneau gastrique : consiste à diminuer le volume de l’estomac et ralentir le passage des aliments
• Gastrectomie : consiste à retirer environ les 2/3 de l’estomac et principalement la partie contenant les cellules sécrétant la ghréline (hormone stimulant l’appétit)
• Bypass gastrique : permet de diminuer à la fois la quantité d’aliments ingérés puisque la taille de l’estomac est réduite, et l’assimilation de ces aliments par l’organisme, grâce à un « court-circuit » d’une partie de l’estomac et de l’intestin. Les aliments vont directement dans la partie de l’intestin grêle et sont donc assimilés en moindres quantités
• Chirurgie esthétique : vise à réduire les amas de tissus adipeux
IV) La prévention
• Adopter un régime associé à une activité physique
• Réduire les occasions de consommer en retirant les distributeurs de produits alimentaires des établissements scolaires
• Modifier les comportements alimentaires par une éducation dès le plus jeune âge (« la semaine du goût », atelier cuisine…)
• Obliger les fabricants à afficher clairement les apports nutritionnels sur les emballages et à diminuer les taux de glucoses, de lipides et de sel

N'ayant pas grand chose de prévu ce week-end, je me propose pour faire le résumé de la R21
L’OBESITE
A l’heure d’aujourd’hui, l’obésité est considérée comme une épidémie mondiale
Définition : L’obésité se caractérise par un excès de masse adipeuse dans l’organisme. Un individu est considéré comme obèse lorsque son indice de masse corporelle (IMC) est supérieur à 30.
L’IMC se calcule ainsi : IMC = poids (kg) / taille² (m²)
• < 16.5 : Dénutrition
• 16.5 à 18.4 : Maigreur
• 18.5 à 24.9 : Corpulence normale
• 25 à 29.9 : Surpoids
• 30 à 34.9 : Obésité modérée
• 35 à 39.9 : Obésité sévère
• > 40 : Obésité massive ou morbide
Il existe un grand nombre d’établissements spécialisés dans l'obésité de l'enfant et de l'adolescent mais également pour les adultes en France.
CRMO : Ce centre de soins et de recherche est dédié à la prévention et au traitement de l’Obésité et de ses complications.
Chiffres clés :
• À l’échelle mondiale, le nombre de cas d’obésité a doublé depuis 1980.
• Le surpoids concerne 1,4 milliard de personnes de 20 ans et plus, parmi lesquelles plus de 200 millions d’hommes et près 300 millions de femmes sont obèses (estimations de 2008).
• Le surpoids concerne près de 43 millions d’enfants de moins de cinq ans (estimations de 2010).
• Plus de 40 millions d’enfants de moins de cinq ans étaient en surpoids en 2008.
• À l’échelle mondiale, 44% du diabète, 23% des cardiopathies ischémiques et 7 à 41% de certains cancers peuvent être imputés au surpoids et à l’obésité.
• Chaque année, 2,8 millions de personnes au moins meurent des conséquences du surpoids ou de l’obésité.
Certaines circonstances favorisent la prise de poids : arrêt du tabac, alitement prolongé, dépression, prise de certains médicaments antidépresseurs ou corticoïdes, grossesse, ménopause précoce, chirurgie gynécologique, changements d'habitudes de vie, régimes restrictifs favorisant l'effet « yo-yo » …
I) Les facteurs de risques
1. Les facteurs médicaux
Origine génétique : forte probabilité qu’un enfant ayant un parent obèse le devienne également
Problème endocrinologiques comme des dérèglements hormonaux ou glandulaires auxquels s’ajoute le manque de sommeil
Problèmes psychologiques : stress, ennui, manque d’affection
2. Les facteurs environnementaux
Une alimentation déséquilibrée trop riche et le grignotage favorisent le stockage du surplus sous formes de graisses
Sédentarité et manque d’activité physique
Environnement familial : modèle alimentaire parental déstructuré, séparations, enfant unique...
Stratégies des industries agroalimentaires : publicité, distributeur d’en-cas ou boissons, promotions…
Le rythme de vie pousse à consommer des plats préparés contenant des graisses et des sucres cachés.
II) Les risques encourus
Le risque de mortalité est augmenté, d'autant plus que l'obésité est sévère et précoce. Les risques de maladie associés dépendent de l'âge et des pathologies déjà présentes. Ce sont :
• Le diabète non-insulino dépendant ;
• Les maladies cardiovasculaires y compris l'hypertension artérielle ;
• Les problèmes respiratoires et notamment l'apnée pendant le sommeil ;
• Les problèmes rhumatologiques au niveau des hanches, des genoux et de la colonne vertébrale ;
• Les problèmes de métabolisme, notamment des lipides sanguins ;
• Les anomalies hormonales ;
• Les calculs de la vésicule biliaire ;
• les problèmes veineux et de peau ;
• Les risques plus importants en cas d'opération chirurgicale.
Des répercussions sociales et psychologiques :
Sur le plan psychologique et social l'obésité représente une gêne fonctionnelle dans la vie de tous les jours. Elle crée des difficultés à l'embauche et de fréquentes mises en invalidité pour raisons médicales. Elle est source de discrimination sociale chez l'adulte comme chez l'enfant et entraîne souvent une dépression.
III) Les traitements de l’obésité
1. Modifier son habitude alimentaire
Un des principaux objectifs est la perte de poids. La nutrition est évidemment une partie centrale de la prise en charge du patient. Les conseils nutritionnels agissent sur le rythme alimentaire, sur la répartition des nutriments et la densité calorique de l’alimentation.
L’objectif est d’instituer de nouvelles habitudes alimentaires en limitant les interdits, en diversifiant les apports et en réduisant la densité énergétique des aliments, tout en prenant en compte les traditions, les goûts et les possibilités économiques du patient. Un nutritionniste ou un diététicien peut aider le patient à adopter de nouvelles habitudes
2. Pratiquer une activité physique
L’activité physique est très bénéfique. Plus que l’intensité de l’effort, c’est surtout la régularité qui compte et il est recommandé de réaliser au moins 30 minutes d’exercice physique tous les jours : marche à pied, activités sportives (vélo, course à pied, etc.), tâches domestiques, etc. Il est important de se fixer des objectifs réalistes et d’augmenter progressivement la durée quotidienne d’exercice physique jusqu’aux 30 minutes.
3. Traitements médicaux
Des médicaments empêchent le stockage des graisses, mais certains provoquent des effets secondaires importants.
Les coupe-faim ont été retirés du marché pour leur dangerosité.
• Exemple du Médiator retiré du marché en novembre 2009 car le nombre de cas de valvulopathies cardiaques était anormalement élevé.
4. Interventions chirurgicales
En France, environ 13 000 actes de chirurgie de l’obésité, aussi appelée chirurgie bariatrique, sont pratiqués annuellement.
La chirurgie s’adresse à un adulte majeur, ayant un IMC supérieur à 40 ou un IMC supérieur à 35 avec des pathologies associées comme le diabète de type 2, l’hypertension artérielle, le syndrome des apnées du sommeil ou des troubles fonctionnels articulaires.
La personne souhaitant une chirurgie doit avoir eu en première intention un parcours de soins nutritionnel, diététique et psychothérapeutique pendant une période pouvant aller de 6 à 12 mois minimum.
Si la chirurgie permet de perdre du poids durablement, la réussite repose essentiellement sur l’adhésion active du patient qui devra changer son comportement alimentaire et améliorer son hygiène de vie.
L’intervention chirurgicale peut entraîner des complications et des difficultés au quotidien, même longtemps après l’intervention
Exemple d’intervention :
• Anneau gastrique : consiste à diminuer le volume de l’estomac et ralentir le passage des aliments
• Gastrectomie : consiste à retirer environ les 2/3 de l’estomac et principalement la partie contenant les cellules sécrétant la ghréline (hormone stimulant l’appétit)
• Bypass gastrique : permet de diminuer à la fois la quantité d’aliments ingérés puisque la taille de l’estomac est réduite, et l’assimilation de ces aliments par l’organisme, grâce à un « court-circuit » d’une partie de l’estomac et de l’intestin. Les aliments vont directement dans la partie de l’intestin grêle et sont donc assimilés en moindres quantités
• Chirurgie esthétique : vise à réduire les amas de tissus adipeux
IV) La prévention
• Adopter un régime associé à une activité physique
• Réduire les occasions de consommer en retirant les distributeurs de produits alimentaires des établissements scolaires
• Modifier les comportements alimentaires par une éducation dès le plus jeune âge (« la semaine du goût », atelier cuisine…)
• Obliger les fabricants à afficher clairement les apports nutritionnels sur les emballages et à diminuer les taux de glucoses, de lipides et de sel
Espère être ESI 2013/2016
- "Croire en soi, c'est déjà presque réussir."
"Ce qui compte le plus dans la vie, ce n'est pas ce que tu fais.
L'important c'est ce que tu es."
Re: Fiches Culture Générale 2013
Bonsoir 
je vous mets ma R21 sur l'obésité.
R21: l'obésité
Définition:
Excès de masse grasse dans le corps résultent d'un déséquilibre entre l'apport calorique quotidien et les dépenses énergétiques.
Maladie qui altère la santé,atteintes nombreuses d'ordre:
==>physique(diabète non insulo dépendant,hypertension, apnée du sommeil,...),
==>psychologique(dépression, mésestime de soi,..)
==>social(discrimination, isolement,..)
Maladie qui a tendance spontanée à l'aggravation.
L'obésité est considérée comme une épidémie.
Les différentes formes d'obésités:
Le terme obésité comprend plusieurs définitions de la maladie qui ne se traduisent pas les mêmes risques.
Un outil pour les différencier = indice de masse corporelle( imc=poids(kg)/taille²(m²))
Classification selon l'OMS:
==>entre 18,5 et 25 = Valeur de référence=normalité
==>entre 26 et 30 = Surpoids
==>entre 31 et 35 = Obésité modérée
==>entre 34 et 40 = Obésité sévère
==>au-delà de 40 = Obésité morbide
Deux formes d'obésité, selon le type de répartition de la masse grasse:
==>Obésité androïde: masse grasse dans le haut du corps
- plus dangereuse
-problèmes hypertensions, troubles cardio vasculaires, etc...
==>Obésité gynoïde: masse grasse dans le bas du corps
- moins retentissent sur la santé
-plus "facile"à traiter
-problèmes articulaires, insuffisances veineuses,etc...
Statistique:
Selon l'OMS, la prévalence de l'obésité a pris des proportion épidémiques, voire pandémique.
-1,4 milliards d'obèses dans le monde
-1/3des pers. en surpoids dans les pays en développements( influence des pays occidentaux)
-touche toutes les tranches d'âge et toutes les professions
-5ème facteur de risque de DC au niveau mondial
En France:
- 6,5millions de pers.obèses
-augmentation de la prévalence chez la femme
-progression importante du nombre d'individu obèse de plus en plus jeune(entre 2 et 6 ans)
-3,5%des enfants touchés par l'obésité et 14,3% des enfants en surpoids
-répartition très inégale sur le territoire français
Principaux causes:
L’obésité est un problème complexe, qui se caractérise par un développement
multifactoriel.
Chaque personne est différente face a tous les facteurs favorisants l’obésité.
==>Les facteurs alimentaires:
->L’excès des apports énergétiques par rapport aux dépenses
->La déstructuration des repas
->L’individualisation de l’alimentation
==>Les facteurs liés à la dépense énergétique:
->La systématisation des transports motorisés ne facilite pas le développement de
l’activité physique
->Le développement des loisirs sédentaires (ordinateurs, jeux vidéos, …)
->L’augmentation du temps passé devant la télévision …
==>Les facteurs génétiques :
->Prédisposition génétique (liée à de multiples gènes et non à un seul), qui rend un individu donné, ou une famille d’individus donnée, plus exposés à l’obésité dans un contexte d’environnement donné.
==>Les facteurs psychologiques :
->Certains états psychologique comme la dépression ou le stress peuvent influer sur la prise de poids.
==>Les facteurs sociaux et culturels :
->La modification de la relation parents-enfants, une autorité familiale remise en cause
->Les nouvelles habitudes socio-économiques, l’alimentation au travail …
->La perte de la transmission des modèles alimentaires, notre culture alimentaire
l'impact de l'obésité sur le mental est plus difficile à traiter dans le cadre uniquement médical.
Conséquences:
L'obésité favorise l'apparition de nombreuses pathologies.
Les risques de mortalité augmentent selon le degré de l'obésité.
Les risques de maladies associées dépendent aussi de l'âge et des pathologies déjà présentes:
==>le diabète non insulo dépendent, on peut même parle de"diabésité"->nouvelle épidémie
==>maladie, complications cardiovasculaires
==>pb respiratoire(apnée du sommeil,.
==>pb rhumatologique(arthrose du genou,hernie discale,..)
==>pb de métabolisme(lipides dans le sang,...)
==>troubles de la fonction reproductrice
==>pb veineux et de la peau
==>risques plus élevés en cas d'opération chirurgicale
==> cancers
Des répercussions sociales et psychologiques:
==>gêne fonctionnel dans la vie quotidienne
==>difficultés à l 'embauche
==>augmentation des fréquences des mises en invalidité pour des raisons médicales
==>source de discrimination
==>pb psychoaffectifs liés à l'isolement, moqueries,...--> dépression
Solutions/pistes à réflexions:
==> Rôle des professionnels de la santé:
.Prévention, mesures préventives:
.À quel âge commencer à rechercher un surpoids chez l’enfant ?
-->Un dépistage systématique du surpoids est recommandé de façon précoce.
La surveillance de la courbe d’IMC doit commencer dès la naissance afin de repérer au plus tôt les signes d’alerte.
Le médecin habituel de l’enfant mesure le poids, la taille et calcule l’IMC de l’enfant au mieux à chaque consultation. Il reporte ces trois données sur les courbes correspondantes dans le carnet de santé.
Il est important de dépister tôt et de proposer une prise en charge précoce pour prévenir l’installation d’une obésité et sa persistance à l’âge adulte avec les comorbidités qui peuvent l’accompagner.
De 20 à 50 % des enfants obèses le resteront à l’âge adulte (50 à 70 % pour les adolescents).
.Chez l’adulte:
-->Recommandation de faire un repérage systématique du surpoids et de l’obésité dès la première consultation, puis de façon régulière.
Le poids et la taille doivent être inscrits dans le dossier du patient pour calculer l’IMC et en surveiller l’évolution.
Le tour de taille est un indicateur de l’excès de graisse au niveau abdominal. Cet excès est associé,indépendamment de l’IMC, au développement des complications métaboliques et vasculaires de l’obésité.
La prévention de l'obésité peut commencer des que l'on commence à s'alimenter.
Le risque de l'obésité est étroitement lié au comportement alimentaire durant l'enfance.
.Traitements médicaux:
==>Approche thérapeutique multidisciplinaire
-->La prise en charge est menée au long cours : l’obésité est une maladie chronique.
Fondée sur les principes de l’éducation thérapeutique du patient, elle comporte un accompagnement psychologique, des conseils diététiques et des recommandations pour augmenter l’activité physique.
->Objectif:amélioration de l’état de santé et de l’hygiène de vie sur le long terme.
.Chirurgie bariatrique:
--> diminution de l'estomac.
.Soutien institutionnel:
==>distributeurs de friandises et de boissons sucrées interdits dans les établissements scolaires
==>affichage obligatoire sur les étiquettes des pdts alimentaires de la teneur en calories,protéines,lipides,glucoses,sels minéraux, et vitamines, face aux taux fixés par le ministère.
==>pub en faveur des faveurs alimentaires dans les programmes pour la jeunesse doivent être assorties d'un msg à caractère sanitaire
==> plan obésité 2010-2013,poursuit 4 objectifs:
->améliorer l'offre de soins et promouvoir le dépistage chez l'enfant et chez l'adulte
->mobiliser les partenaires de la prévention,agir sur l'environnement et promouvoir l'activité physique
->prendre en compte les vulnérabilité et lutter contre les discrimination
->investissement dans la recherche.
==>programme national nutrition santé(PNNS) 2011-2015:
->action sur l'information et l'éducation nutritionnelle
->la promotion de l'allaitement maternel
->dépistage des troubles nutritionnels
Recommandations du PNNS:
->prendre des repas fixes
-> varier les menus
->éviter le grignotage
->modérer largement la consommation des fritures
->consommer un produit laitier à chaque repas
->se dépenser régulièrement(30 min par jour)
Que faire face à l'obésité?
==>4 objectifs:
* être bien dans sa peau:
-> veiller à une activité physique régulière
->cesser d être obséder par son poids
*traiter les complication de l'obésité:
->traiter l'hypertension, diabète, douleur articulaire,...
*maitriser son poids:
-> arrêter de grossir
->stabiliser,perdre, maintenir son poids
*éviter les effets secondaires du traitements de l’obésité:
->pas de régime sévère
->pas de "médicaments dangereux"
->pas de pilule miracle
Maitriser son poids:existe-t-il un poids idéal?
->il n'y a pas de poids idéal: il faut comprendre et accepter les différences de poids.
Comprendre les différences de poids :
Nombreux facteurs déterminent notre corpulence:
->la génétique
->le style de vie
->facteurs psychologiques, hormonaux ou autres,..
->interaction de l’environnement et de la prédisposition génétique:
Si l'on a une prédisposition génétique("familiale") à prendre du poids, on a plus de risque de prendre trop de poids dans un environnement où la sédentarité est importante et l'alimentation trop riche.
Accepter les différences de poids:
Il faut bien prendre en compte ces différences individuelles.
Différences= inégalités des individus face à la prise de poids pour une même alimentation et un même degré d'activité certain grossisse ou d'autres non.
Voila.
A plus tard:).

je vous mets ma R21 sur l'obésité.
R21: l'obésité
Définition:
Excès de masse grasse dans le corps résultent d'un déséquilibre entre l'apport calorique quotidien et les dépenses énergétiques.
Maladie qui altère la santé,atteintes nombreuses d'ordre:
==>physique(diabète non insulo dépendant,hypertension, apnée du sommeil,...),
==>psychologique(dépression, mésestime de soi,..)
==>social(discrimination, isolement,..)
Maladie qui a tendance spontanée à l'aggravation.
L'obésité est considérée comme une épidémie.
Les différentes formes d'obésités:
Le terme obésité comprend plusieurs définitions de la maladie qui ne se traduisent pas les mêmes risques.
Un outil pour les différencier = indice de masse corporelle( imc=poids(kg)/taille²(m²))
Classification selon l'OMS:
==>entre 18,5 et 25 = Valeur de référence=normalité
==>entre 26 et 30 = Surpoids
==>entre 31 et 35 = Obésité modérée
==>entre 34 et 40 = Obésité sévère
==>au-delà de 40 = Obésité morbide
Deux formes d'obésité, selon le type de répartition de la masse grasse:
==>Obésité androïde: masse grasse dans le haut du corps
- plus dangereuse
-problèmes hypertensions, troubles cardio vasculaires, etc...
==>Obésité gynoïde: masse grasse dans le bas du corps
- moins retentissent sur la santé
-plus "facile"à traiter
-problèmes articulaires, insuffisances veineuses,etc...
Statistique:
Selon l'OMS, la prévalence de l'obésité a pris des proportion épidémiques, voire pandémique.
-1,4 milliards d'obèses dans le monde
-1/3des pers. en surpoids dans les pays en développements( influence des pays occidentaux)
-touche toutes les tranches d'âge et toutes les professions
-5ème facteur de risque de DC au niveau mondial
En France:
- 6,5millions de pers.obèses
-augmentation de la prévalence chez la femme
-progression importante du nombre d'individu obèse de plus en plus jeune(entre 2 et 6 ans)
-3,5%des enfants touchés par l'obésité et 14,3% des enfants en surpoids
-répartition très inégale sur le territoire français
Principaux causes:
L’obésité est un problème complexe, qui se caractérise par un développement
multifactoriel.
Chaque personne est différente face a tous les facteurs favorisants l’obésité.
==>Les facteurs alimentaires:
->L’excès des apports énergétiques par rapport aux dépenses
->La déstructuration des repas
->L’individualisation de l’alimentation
==>Les facteurs liés à la dépense énergétique:
->La systématisation des transports motorisés ne facilite pas le développement de
l’activité physique
->Le développement des loisirs sédentaires (ordinateurs, jeux vidéos, …)
->L’augmentation du temps passé devant la télévision …
==>Les facteurs génétiques :
->Prédisposition génétique (liée à de multiples gènes et non à un seul), qui rend un individu donné, ou une famille d’individus donnée, plus exposés à l’obésité dans un contexte d’environnement donné.
==>Les facteurs psychologiques :
->Certains états psychologique comme la dépression ou le stress peuvent influer sur la prise de poids.
==>Les facteurs sociaux et culturels :
->La modification de la relation parents-enfants, une autorité familiale remise en cause
->Les nouvelles habitudes socio-économiques, l’alimentation au travail …
->La perte de la transmission des modèles alimentaires, notre culture alimentaire
l'impact de l'obésité sur le mental est plus difficile à traiter dans le cadre uniquement médical.
Conséquences:
L'obésité favorise l'apparition de nombreuses pathologies.
Les risques de mortalité augmentent selon le degré de l'obésité.
Les risques de maladies associées dépendent aussi de l'âge et des pathologies déjà présentes:
==>le diabète non insulo dépendent, on peut même parle de"diabésité"->nouvelle épidémie
==>maladie, complications cardiovasculaires
==>pb respiratoire(apnée du sommeil,.
==>pb rhumatologique(arthrose du genou,hernie discale,..)
==>pb de métabolisme(lipides dans le sang,...)
==>troubles de la fonction reproductrice
==>pb veineux et de la peau
==>risques plus élevés en cas d'opération chirurgicale
==> cancers
Des répercussions sociales et psychologiques:
==>gêne fonctionnel dans la vie quotidienne
==>difficultés à l 'embauche
==>augmentation des fréquences des mises en invalidité pour des raisons médicales
==>source de discrimination
==>pb psychoaffectifs liés à l'isolement, moqueries,...--> dépression
Solutions/pistes à réflexions:
==> Rôle des professionnels de la santé:
.Prévention, mesures préventives:
.À quel âge commencer à rechercher un surpoids chez l’enfant ?
-->Un dépistage systématique du surpoids est recommandé de façon précoce.
La surveillance de la courbe d’IMC doit commencer dès la naissance afin de repérer au plus tôt les signes d’alerte.
Le médecin habituel de l’enfant mesure le poids, la taille et calcule l’IMC de l’enfant au mieux à chaque consultation. Il reporte ces trois données sur les courbes correspondantes dans le carnet de santé.
Il est important de dépister tôt et de proposer une prise en charge précoce pour prévenir l’installation d’une obésité et sa persistance à l’âge adulte avec les comorbidités qui peuvent l’accompagner.
De 20 à 50 % des enfants obèses le resteront à l’âge adulte (50 à 70 % pour les adolescents).
.Chez l’adulte:
-->Recommandation de faire un repérage systématique du surpoids et de l’obésité dès la première consultation, puis de façon régulière.
Le poids et la taille doivent être inscrits dans le dossier du patient pour calculer l’IMC et en surveiller l’évolution.
Le tour de taille est un indicateur de l’excès de graisse au niveau abdominal. Cet excès est associé,indépendamment de l’IMC, au développement des complications métaboliques et vasculaires de l’obésité.
La prévention de l'obésité peut commencer des que l'on commence à s'alimenter.
Le risque de l'obésité est étroitement lié au comportement alimentaire durant l'enfance.
.Traitements médicaux:
==>Approche thérapeutique multidisciplinaire
-->La prise en charge est menée au long cours : l’obésité est une maladie chronique.
Fondée sur les principes de l’éducation thérapeutique du patient, elle comporte un accompagnement psychologique, des conseils diététiques et des recommandations pour augmenter l’activité physique.
->Objectif:amélioration de l’état de santé et de l’hygiène de vie sur le long terme.
.Chirurgie bariatrique:
--> diminution de l'estomac.
.Soutien institutionnel:
==>distributeurs de friandises et de boissons sucrées interdits dans les établissements scolaires
==>affichage obligatoire sur les étiquettes des pdts alimentaires de la teneur en calories,protéines,lipides,glucoses,sels minéraux, et vitamines, face aux taux fixés par le ministère.
==>pub en faveur des faveurs alimentaires dans les programmes pour la jeunesse doivent être assorties d'un msg à caractère sanitaire
==> plan obésité 2010-2013,poursuit 4 objectifs:
->améliorer l'offre de soins et promouvoir le dépistage chez l'enfant et chez l'adulte
->mobiliser les partenaires de la prévention,agir sur l'environnement et promouvoir l'activité physique
->prendre en compte les vulnérabilité et lutter contre les discrimination
->investissement dans la recherche.
==>programme national nutrition santé(PNNS) 2011-2015:
->action sur l'information et l'éducation nutritionnelle
->la promotion de l'allaitement maternel
->dépistage des troubles nutritionnels
Recommandations du PNNS:
->prendre des repas fixes
-> varier les menus
->éviter le grignotage
->modérer largement la consommation des fritures
->consommer un produit laitier à chaque repas
->se dépenser régulièrement(30 min par jour)
Que faire face à l'obésité?
==>4 objectifs:
* être bien dans sa peau:
-> veiller à une activité physique régulière
->cesser d être obséder par son poids
*traiter les complication de l'obésité:
->traiter l'hypertension, diabète, douleur articulaire,...
*maitriser son poids:
-> arrêter de grossir
->stabiliser,perdre, maintenir son poids
*éviter les effets secondaires du traitements de l’obésité:
->pas de régime sévère
->pas de "médicaments dangereux"
->pas de pilule miracle
Maitriser son poids:existe-t-il un poids idéal?
->il n'y a pas de poids idéal: il faut comprendre et accepter les différences de poids.
Comprendre les différences de poids :
Nombreux facteurs déterminent notre corpulence:
->la génétique
->le style de vie
->facteurs psychologiques, hormonaux ou autres,..
->interaction de l’environnement et de la prédisposition génétique:
Si l'on a une prédisposition génétique("familiale") à prendre du poids, on a plus de risque de prendre trop de poids dans un environnement où la sédentarité est importante et l'alimentation trop riche.
Accepter les différences de poids:
Il faut bien prendre en compte ces différences individuelles.
Différences= inégalités des individus face à la prise de poids pour une même alimentation et un même degré d'activité certain grossisse ou d'autres non.
Voila.
A plus tard:).
- meloradanan
- Insatiable
- Messages : 513
- Inscription : 01 oct. 2012 08:19
Re: Fiches Culture Générale 2013
merci pour toute ses fiches
3 bouts de chou
concours Remiremont 2014
concours Remiremont 2014
-
- Régulier
- Messages : 39
- Inscription : 08 avr. 2012 14:37
- Localisation : La ou il fait toujours beau, autrement dit, la Bretagne
Re: Fiches Culture Générale 2013
Bonjour tout le monde,
Ca fait bien longtemps que je ne suis pas venue ici, je suis vraiment désolée, mais avec la rentrée en Terminale et les devoirs surveillé qui ont déja commencé (4h tout les vendredis) j'ai pas trop eu le temps. Je vais donc rattraper tout mon retard et essayer de poster quelques fiches apres. Bon courage a toutes !
Ca fait bien longtemps que je ne suis pas venue ici, je suis vraiment désolée, mais avec la rentrée en Terminale et les devoirs surveillé qui ont déja commencé (4h tout les vendredis) j'ai pas trop eu le temps. Je vais donc rattraper tout mon retard et essayer de poster quelques fiches apres. Bon courage a toutes !

Avoir son Bac L et le concours IFSI en un an ? Mission acceptée
Espere vraiment etre ESI 2013-2016
Oral Granville le 23 Mai !
Espere vraiment etre ESI 2013-2016
Oral Granville le 23 Mai !
Re: Revue de presse 2013
coucou les filles !!!
non non il est pas abandonné c'est juste que je viens d'emmenager et du coup je n'avais pas internet le temps qu'il active ma ligne mais je reprend le topic des demain !!!
non non il est pas abandonné c'est juste que je viens d'emmenager et du coup je n'avais pas internet le temps qu'il active ma ligne mais je reprend le topic des demain !!!
Re: Revue de presse 2013
coucou à tous
bravo elody,quel courage!
moi,j'ai acheté aujourd'hui les magazines TOP SANTE et SANTE SENIOR.
Ce sont les deux revues qui m'ont paru les plus interessantes au niveau des infos sur la santé
Sinon je vais commençer à regarder LE MAGAZINE DE LA SANTE et ALLO DOCTEURS tous les jours sur france 5
bravo elody,quel courage!
moi,j'ai acheté aujourd'hui les magazines TOP SANTE et SANTE SENIOR.
Ce sont les deux revues qui m'ont paru les plus interessantes au niveau des infos sur la santé
Sinon je vais commençer à regarder LE MAGAZINE DE LA SANTE et ALLO DOCTEURS tous les jours sur france 5
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- Inscription : 06 avr. 2012 14:18
Re: Actualités 2012
Je n'étais pas au courant ! Honte à moimouchou64 a écrit :Des milliers de fauteuils made in China provoquaient des maladies
Un retraité a gagné le procès qu'il avait engagé contre Conforama après avoir développé un eczéma au contact d'un fauteuil vendu par l'enseigne, une première judiciaire, révèle l'AFP, qui pourrait inspirer d'autres victimes, beaucoup ayant toutefois déjà été indemnisées à l'amiable.
Dans le rembourrage des sachets allergisants
En juin 2008, Conforama avait découvert dans le rembourrage de certains de ses fauteuils relaxants fabriqués en Chine des sachets de diméthylfumarate (DMFu), un traitement anti-moisissure. Il avait alors décidé de les retirer de la vente.
Le DMFu, soupçonné de provoquer des allergies, n'a été interdit dans l'Union européenne qu'à partir de décembre 2008.
Dans une ordonnance révélée par le Parisien et consultée samedi par l'AFP, le tribunal de Meaux a été mercredi la première juridiction française à reconnaître qu'il existait "un lien suffisant et direct de cause à effet entre la présence de ce produit irritant et l'affection cutanée invoquée".
L'eczéma d'André, c'était le relax électrique
En d'autres termes, l'eczéma d'André, 76 ans, est bien imputable au fauteuil relax électrique dans lequel il passait quatres heures par jour.
"Les symptômes et séquelles (...) sont en relation avec un contact prolongé avec le DMFu" et "en relation directe et certaine avec l'utilisation du fauteuil relax", confirme l'expert diligenté par le juge des référés.
6 500 euros au retraité normand, 1 000 euros à ceux qui avaient offert le relax
Conforama, qui ne souhaite pas commenter la décision, devra verser 6 500 euros de dommages et intérêts au retraité normand, ainsi que 1 000 euros à sa fille et son gendre qui en 2007 lui avaient offert le fauteuil.
Le tribunal a estimé que le couple, défendu par Me Emmanuel Ludot, avait bien subi un «préjudice moral», en offrant à André «ce cadeau empoisonné», comme l'appelle son gendre, Jacques Bessin, qui estime que «cela va va ouvrir la porte à d'autres victimes.»
47 000 fauteuils et canapés ont été vendus
En 2009, une première enquêtre préliminaire visant 47 000 fauteuils et canapés «allergisants» vendus par Conforama et provoquant l'apparition de symptômes divers, allant de brûlures à l'eczéma, en passant par des douleurs musculaires, la perte de cheveux, des problèmes respiratoires ou des démangeaisons, avait été classée sans suite.
Des indemnités à l'amiable allant de 3 000 à 30 000 euros
Depuis, de nombreux dossiers ont été réglés à l'amiable. Selon Conforama, plus de 400 victimes auraient ainsi été indemnisées par l'assureur du groupe.
«Ils ont pris la mesure de la gravité du cas de certaines personnes qui ont été affreusement brûlées», acquiesce Me Tillie, qui dit avoir obtenu des indemnisations allant de 3 000 à 30 000 euros pour les 120 dossiers qu'il a négociés.
De nouvelles victimes des sachets anti-moisissure
Claudette Lemoine, qui préside un collectif de victimes basé dans le Nord, reconnaît que 150 des 160 plaignants ont été indemnisés à l'amiable. Mais certains laissés pour compte, comme elle, ruminent. Et envisagent de saisir la justice civile, comme l'a fait André.
Et puis dit-elle, le combat n'est pas fini, car «on continue à voir arriver des victimes» du DMFu, comme comme cet enfant brûlé dans son siège-bébé ou ces personnes qui ont acheté des gants ou des chaussures.
Ouest France

-
- Forcené
- Messages : 338
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Re: Fiches Culture Générale 2013
Bonjour
super bonne idée Setjay pour le topo sur la ministre de la santé
Voici ma R21
R21 : L’OBESITE : UNE EPIDEMIE MONDIALE
DEFINITION :
- Selon l’OMS, l’obésité se caractérise par « une accumulation anormale ou excessive de graisse corporelle qui peut nuire à la santé »
- L’excès de graisse résulte d’un déséquilibre entre apport alimentaire et les dépenses énergétiques.
- L’Obésité repose sur le calcul de l’indice de masse corporelle : IMC
l’IMC= poids (en kg)/taille2 (m2)
On distingue :
- IMC≥ 25 : Surpoids
- IMC≥ 30 : Obésité
- IMC≥ 35 : Obésité sévère
- IMC≥ 40 : Obésité morbide
LES CHIFFRES EN FRANCE :
Depuis 1997, en France, Roche réalise une enquête tous les 3 ans sur le surpoids et l’obésité chez l’adulte, la dernière date de 2009.
1. En France, l’obésité ne cesse de progresser
- Depuis 1997, l’obésité et le surpoids ne cessent de progresser
- Depuis 2006, augmentation de 10% du taux d’adultes obèses
- En 2008 :14,5% des adultes sont obèses
- 1 adulte sur 3 est en surpoids
- L’obésité est plus élevée chez les femmes alors que le surpoids est plus élevé chez les hommes
- Moyenne Européenne : 16% d’adultes obèses
- Plus de 9 millions d’obèses en France
- Région les plus touchées : Nord Pas de Calais (20,6%), l’Est (17%), Le Bassi Parisien (16,6%)
2. De plus en plus d’enfants touchés
D’après l’Etude Nationale nutrition santé (ENNS) de 2006 :
- 18% d’enfants sont en surpoids
- 1 enfant sur 5 est en surcharge pondérale : 3,5% sont obèses, 14,3% en surpoids
- la corse, l’Alsace et le Languedoc Roussillon ont uns forte proportion d’enfant en surpoids
LES FACTEURS DE RISQUE :
Maladie Multifactorielle : Les causes sont multiples et ne sont pas uniquement fonction du comportement de l’individu. Milieu de vie et prédisposition génétique sont aussi des facteurs de risques.
3 catégories de facteurs :
1. Biologiques :
- Hérédité : Prédispositions génétiques
- Facteurs hormonaux : des dérèglements hormonaux agissent sur la prise de poids (thyroïde par exemple)
- Age : baisse de la masse musculaire quand l’âge avance donc besoins énergétiques moindres donc risque d’obésité
2. Comportementaux :
- Habitudes alimentaires : excès d’apport énergétique, aliments trop riches, excès d’alcool, irrégularité des repas
- Hygiène de vie : Sédentarité, manque d’activité physique : développement des jeux vidéo et de la télévision au détriment du sport et des activités extérieures, activités professionnelles sont de + en + sédentaires, évolution des transports, urbanisation
3. Environnement :
- Industrie alimentaire : offre trop importante de beaucoup d’aliments riche en kilojoules, en lipides en sels en sucres rapides à bas prix : facilité d’accès 24h/24h, distributeurs nombreux d’aliments riches et peu nutritifs, publicité influençant le choix des aliments
- Environnement familiale : les repas en famille de plus en plus rares, plus de plats préparés en vente à emporter, de fast-food.
- Aménagement urbain : transports, voiture ne favorisant pas la marche le vélo…
4. Social :
L’augmentation de l’obésité va de paire avec l’augmentation des inégalités sociales selon la HAS (Haute autorité de santé) ex : 16% des femmes ouvrières sont obèses contre 4% des cadres
Car :
- coût élevé de l’alimentation « saine » comme les fruits et légumes
- manque d ‘éducation sur la santé
- manque d’accès aux soins
UNE MALADIE AUX CONSEQUENCES SUR LA SANTE PHYSIQUE, PSYCHIQUE ET SOCIALE : un enjeu de poids
5ème cause de mortalité dans le monde
• L’obésité accroit le risque de maladies chroniques : diabète de type 2, l’hypertension, les maladies cardiovasculaires, les essoufflements, l’insuffisance cardiaque, l’arthrose du genou, certains cancers
(sein, prostate, tube digestif…)
Ces maladies touchent désormais les enfants obèses
• Conséquences sur la qualité de vie : difficulté d’accepter son corps, rejet de la part des autres personnes, difficultés dans les lieux publics sièges trop petits dans l’avion, le train, le cinéma, portes trop étroites : d’où isolement social et affectif, dépression parfois
•Difficultés pour trouver un travail car manque de confiance en soi mauvaise estime de soi, des autres
REDOUBLER DE VIGILANCE SUR L’OBESITE INFANTILE
L’obésité entraine de manière précoce des problèmes respiratoires, une hypertension artérielle, une résistance à l’insuline, de problèmes psychologiques (dépression..) : donc un risque de mourir prématurément.
La HAS recommande aux parents et pédiatre une attention sur le suivi des courbes de croissance avant 6 ans : un enfant en surpoids à 50 à 70% de risque de devenir obèse une fois adulte.
OBESITE DANS LE MONDE
- 5ème cause de mortalité dans le monde
- 400 millions d’adultes obèses
- 43 million d’enfants < 5 ans en surpoids
- 2,6 millions de décès par an des conséquences de l’obésité selon l’OMS
- Record mondial des IMC les plus hauts : Ile de Nauru où l’IMC moyen chez les femmes : 35
VERS UN ELARGISSEMENT DES MOYENS DE LUTTE
LA PREVENTION PRIMAIRE :
Agir sur les facteurs de risques :
•Comportementaux : veiller à :
- Pratiquer une activité physique régulière, limiter le temps passé devant la télé, ordinateur, s’habituer à prendre les escaliers, le vélo, marcher etc…
- Modification de ses habitudes alimentaires : en limitant l’apport énergétique provenant des graisses totales
- Diminuer sa conso de sucre
Aider les individus à suivre les recommandations
•Environnementaux :
Mesures de prévention difficile dans ce domaine car enjeux industriels et commerciaux.
Quelques mesure ont permis d’agi sur l’environnement obésogène :
- Distributeurs automatiques de boissons et produits alimentaires interdits depuis septembre 2005
- Construction de pistes cyclables dans de nombreuses villes
LA PREVENTION SECONDAIRE :
• Courbe de poids permettant de repérer les enfants qui ont un risque élevé d’obésité
• L’IMC permet un dépistage du surpoids et de l’obésité
• Les traitements actuels ne se focalisent pas sur la seule perte de poids mais sur une approche thérapeutique pluridisciplinaire allant :
un accompagnement diététique (nutritionniste)
suivi santé physique (endocrinologue, cardiologue)
une activité physique (médecin du sport éventuellement)
suivi psychologique(psychiatre…)
Pour les cas les plus sévères des traitements médicamenteux et chirurgicaux
•Au niveau national :
Plan Obésité 2010-2013 (par le gouvernement) :
Principaux axes :
- Améliorer l’offre de soin et promouvoir le dépistage chez l’enfant et l’adulte
- Mobiliser les partenaires de la prévention, agir sur l’environnement et promouvoir l’activité physique (par le PNNS et le plan d’éducation santé 2011-2015)
- Prendre en compte les situations de vulnérabilité et lutter contre les discriminations
- La recherche dans le domaine des déterminant biologiques de l’obésité
PNNS 2011-2015 :
Principaux axes :
- Réduire les inégalités sociales de santé dans le champ de la nutrition par la prévention
- Développer l’activité physique et sportive, limiter la sédentarité
- Organiser le dépistage et la prise en charge du patient en nutrition et diminuer la prévalence de la dénutrition
- Formation, surveillance, évaluation, recherche…
HAS : Pour stabiliser la progression épidémique du surpoids et de l'obésité en France (+70 % en 12 ans)
- Les recommandations de bonne pratique de la Haute Autorité de santé ont été réactualisées en 2011 et rappellent aux professionnels l'importance d'un suivi de l'IMC et de la courbe de poids chez l'enfant et l'adolescent.
Inpes (Institut national de prévention et d’éducation sur la santé)
- Le site www.mangerbouger.fr
- Guide de nutrition des enfant et ados à destination des professionnels
- Dépliant pour enfants et ados qui synthétise les recommandations du PNNS
- Encouragement de l’allaitement
•Au niveau locale :
Le programme EPODE rebaptisé VIF en 2011« Vivons en forme » est un outil de prévention pour les villes pour les aider à atteindre les objectifs fixés dans le cadre du PNNS, du plan Obésité et du plan national Alimentation. Il a pour objectif d'aider les familles à modifier en profondeur et durablement leur mode de vie.
ACTUALITES :
- Juin et Juilet 2012 : Deux nouveaux médicaments contre l’obésité autorisés aux états unis par la FDA (Qsymia® et Belviq®) aucun n’avait été autorisé depuis 1999
- Septembre 2012 : nouveaux gènes qui augmente le risque de développer une obésité dans l’enfance ont été identifiés : ils interviennent au niveau des intestins et de la flore microbienne
- Octobre 2012 : Nouvelle découverte : il y aurait un lien entre le taux de bisphénol A dans les urines et l’obésité
- Octobre 2012 : Le bisphénol A est un perturbateur endocrinien que l’on trouve dans beaucoup de contenants alimentaires. Son interdiction dans les contenants alimentaires vient d’être repoussé en Juillet 2015 par le sénat et ceci contre le gouvernement.
- Des scientifiques du CNRS viennent de démontrer l’importance de ces cellules nerveuses AgRP dans l’assimilation des aliments et, au final, dans la prise de poids. ( site d'EMBO Journal le 18 septembre 2012
Voilou et c'est parti pour la R22 L'anorexie
Courage à toutes et tous
Céline
super bonne idée Setjay pour le topo sur la ministre de la santé
Voici ma R21
R21 : L’OBESITE : UNE EPIDEMIE MONDIALE
DEFINITION :
- Selon l’OMS, l’obésité se caractérise par « une accumulation anormale ou excessive de graisse corporelle qui peut nuire à la santé »
- L’excès de graisse résulte d’un déséquilibre entre apport alimentaire et les dépenses énergétiques.
- L’Obésité repose sur le calcul de l’indice de masse corporelle : IMC
l’IMC= poids (en kg)/taille2 (m2)
On distingue :
- IMC≥ 25 : Surpoids
- IMC≥ 30 : Obésité
- IMC≥ 35 : Obésité sévère
- IMC≥ 40 : Obésité morbide
LES CHIFFRES EN FRANCE :
Depuis 1997, en France, Roche réalise une enquête tous les 3 ans sur le surpoids et l’obésité chez l’adulte, la dernière date de 2009.
1. En France, l’obésité ne cesse de progresser
- Depuis 1997, l’obésité et le surpoids ne cessent de progresser
- Depuis 2006, augmentation de 10% du taux d’adultes obèses
- En 2008 :14,5% des adultes sont obèses
- 1 adulte sur 3 est en surpoids
- L’obésité est plus élevée chez les femmes alors que le surpoids est plus élevé chez les hommes
- Moyenne Européenne : 16% d’adultes obèses
- Plus de 9 millions d’obèses en France
- Région les plus touchées : Nord Pas de Calais (20,6%), l’Est (17%), Le Bassi Parisien (16,6%)
2. De plus en plus d’enfants touchés
D’après l’Etude Nationale nutrition santé (ENNS) de 2006 :
- 18% d’enfants sont en surpoids
- 1 enfant sur 5 est en surcharge pondérale : 3,5% sont obèses, 14,3% en surpoids
- la corse, l’Alsace et le Languedoc Roussillon ont uns forte proportion d’enfant en surpoids
LES FACTEURS DE RISQUE :
Maladie Multifactorielle : Les causes sont multiples et ne sont pas uniquement fonction du comportement de l’individu. Milieu de vie et prédisposition génétique sont aussi des facteurs de risques.
3 catégories de facteurs :
1. Biologiques :
- Hérédité : Prédispositions génétiques
- Facteurs hormonaux : des dérèglements hormonaux agissent sur la prise de poids (thyroïde par exemple)
- Age : baisse de la masse musculaire quand l’âge avance donc besoins énergétiques moindres donc risque d’obésité
2. Comportementaux :
- Habitudes alimentaires : excès d’apport énergétique, aliments trop riches, excès d’alcool, irrégularité des repas
- Hygiène de vie : Sédentarité, manque d’activité physique : développement des jeux vidéo et de la télévision au détriment du sport et des activités extérieures, activités professionnelles sont de + en + sédentaires, évolution des transports, urbanisation
3. Environnement :
- Industrie alimentaire : offre trop importante de beaucoup d’aliments riche en kilojoules, en lipides en sels en sucres rapides à bas prix : facilité d’accès 24h/24h, distributeurs nombreux d’aliments riches et peu nutritifs, publicité influençant le choix des aliments
- Environnement familiale : les repas en famille de plus en plus rares, plus de plats préparés en vente à emporter, de fast-food.
- Aménagement urbain : transports, voiture ne favorisant pas la marche le vélo…
4. Social :
L’augmentation de l’obésité va de paire avec l’augmentation des inégalités sociales selon la HAS (Haute autorité de santé) ex : 16% des femmes ouvrières sont obèses contre 4% des cadres
Car :
- coût élevé de l’alimentation « saine » comme les fruits et légumes
- manque d ‘éducation sur la santé
- manque d’accès aux soins
UNE MALADIE AUX CONSEQUENCES SUR LA SANTE PHYSIQUE, PSYCHIQUE ET SOCIALE : un enjeu de poids
5ème cause de mortalité dans le monde
• L’obésité accroit le risque de maladies chroniques : diabète de type 2, l’hypertension, les maladies cardiovasculaires, les essoufflements, l’insuffisance cardiaque, l’arthrose du genou, certains cancers
(sein, prostate, tube digestif…)
Ces maladies touchent désormais les enfants obèses
• Conséquences sur la qualité de vie : difficulté d’accepter son corps, rejet de la part des autres personnes, difficultés dans les lieux publics sièges trop petits dans l’avion, le train, le cinéma, portes trop étroites : d’où isolement social et affectif, dépression parfois
•Difficultés pour trouver un travail car manque de confiance en soi mauvaise estime de soi, des autres
REDOUBLER DE VIGILANCE SUR L’OBESITE INFANTILE
L’obésité entraine de manière précoce des problèmes respiratoires, une hypertension artérielle, une résistance à l’insuline, de problèmes psychologiques (dépression..) : donc un risque de mourir prématurément.
La HAS recommande aux parents et pédiatre une attention sur le suivi des courbes de croissance avant 6 ans : un enfant en surpoids à 50 à 70% de risque de devenir obèse une fois adulte.
OBESITE DANS LE MONDE
- 5ème cause de mortalité dans le monde
- 400 millions d’adultes obèses
- 43 million d’enfants < 5 ans en surpoids
- 2,6 millions de décès par an des conséquences de l’obésité selon l’OMS
- Record mondial des IMC les plus hauts : Ile de Nauru où l’IMC moyen chez les femmes : 35
VERS UN ELARGISSEMENT DES MOYENS DE LUTTE
LA PREVENTION PRIMAIRE :
Agir sur les facteurs de risques :
•Comportementaux : veiller à :
- Pratiquer une activité physique régulière, limiter le temps passé devant la télé, ordinateur, s’habituer à prendre les escaliers, le vélo, marcher etc…
- Modification de ses habitudes alimentaires : en limitant l’apport énergétique provenant des graisses totales
- Diminuer sa conso de sucre
Aider les individus à suivre les recommandations
•Environnementaux :
Mesures de prévention difficile dans ce domaine car enjeux industriels et commerciaux.
Quelques mesure ont permis d’agi sur l’environnement obésogène :
- Distributeurs automatiques de boissons et produits alimentaires interdits depuis septembre 2005
- Construction de pistes cyclables dans de nombreuses villes
LA PREVENTION SECONDAIRE :
• Courbe de poids permettant de repérer les enfants qui ont un risque élevé d’obésité
• L’IMC permet un dépistage du surpoids et de l’obésité
• Les traitements actuels ne se focalisent pas sur la seule perte de poids mais sur une approche thérapeutique pluridisciplinaire allant :
un accompagnement diététique (nutritionniste)
suivi santé physique (endocrinologue, cardiologue)
une activité physique (médecin du sport éventuellement)
suivi psychologique(psychiatre…)
Pour les cas les plus sévères des traitements médicamenteux et chirurgicaux
•Au niveau national :
Plan Obésité 2010-2013 (par le gouvernement) :
Principaux axes :
- Améliorer l’offre de soin et promouvoir le dépistage chez l’enfant et l’adulte
- Mobiliser les partenaires de la prévention, agir sur l’environnement et promouvoir l’activité physique (par le PNNS et le plan d’éducation santé 2011-2015)
- Prendre en compte les situations de vulnérabilité et lutter contre les discriminations
- La recherche dans le domaine des déterminant biologiques de l’obésité
PNNS 2011-2015 :
Principaux axes :
- Réduire les inégalités sociales de santé dans le champ de la nutrition par la prévention
- Développer l’activité physique et sportive, limiter la sédentarité
- Organiser le dépistage et la prise en charge du patient en nutrition et diminuer la prévalence de la dénutrition
- Formation, surveillance, évaluation, recherche…
HAS : Pour stabiliser la progression épidémique du surpoids et de l'obésité en France (+70 % en 12 ans)
- Les recommandations de bonne pratique de la Haute Autorité de santé ont été réactualisées en 2011 et rappellent aux professionnels l'importance d'un suivi de l'IMC et de la courbe de poids chez l'enfant et l'adolescent.
Inpes (Institut national de prévention et d’éducation sur la santé)
- Le site www.mangerbouger.fr
- Guide de nutrition des enfant et ados à destination des professionnels
- Dépliant pour enfants et ados qui synthétise les recommandations du PNNS
- Encouragement de l’allaitement
•Au niveau locale :
Le programme EPODE rebaptisé VIF en 2011« Vivons en forme » est un outil de prévention pour les villes pour les aider à atteindre les objectifs fixés dans le cadre du PNNS, du plan Obésité et du plan national Alimentation. Il a pour objectif d'aider les familles à modifier en profondeur et durablement leur mode de vie.
ACTUALITES :
- Juin et Juilet 2012 : Deux nouveaux médicaments contre l’obésité autorisés aux états unis par la FDA (Qsymia® et Belviq®) aucun n’avait été autorisé depuis 1999
- Septembre 2012 : nouveaux gènes qui augmente le risque de développer une obésité dans l’enfance ont été identifiés : ils interviennent au niveau des intestins et de la flore microbienne
- Octobre 2012 : Nouvelle découverte : il y aurait un lien entre le taux de bisphénol A dans les urines et l’obésité
- Octobre 2012 : Le bisphénol A est un perturbateur endocrinien que l’on trouve dans beaucoup de contenants alimentaires. Son interdiction dans les contenants alimentaires vient d’être repoussé en Juillet 2015 par le sénat et ceci contre le gouvernement.
- Des scientifiques du CNRS viennent de démontrer l’importance de ces cellules nerveuses AgRP dans l’assimilation des aliments et, au final, dans la prise de poids. ( site d'EMBO Journal le 18 septembre 2012
Voilou et c'est parti pour la R22 L'anorexie
Courage à toutes et tous
Céline
-
- Forcené
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- Inscription : 05 sept. 2012 18:09
Re: Fiches Culture Générale 2013
et merci lolwenn35 de t'être proposée pour le résumé de la R21
des bises
et bonne nuit
des bises
et bonne nuit
