Attention devenir infirmier = chomage !

[Baxx]

Bonjour à tous,

Effectivement, le taux d'inf au chomage change en fonction des départements.
Cependant, je ne crois pas que ce métier soit le premier touché par ce problème...
Il existe d'autres domaines où le chomage est plus que présent mais pas celui là.
Après les conditions et le salaire va dépendre des structures et il en existe des tas...

A l'heure actuelle, si on doit choisir notre formation en fonction des débouchés on à du souci à ce faire !!!
De plus, si les ifsi forment toujours autant d'élève ce n'est pas pour rien non plus.

Après, c'est vrai que l'on entend souvent que le métier d'infirmier est mal reconnu...

[Lirka]

Le problème du chômage n'est pas à négliger (surtout qu'il peut influencer le financement Pôle Emploi si le métier n'est plus sous-tension).

Mais bon, Wait & See.
Si ça se trouve, dans un an le flux de nouveaux diplômés sera absorbé et ça sera un lointain souvenir.
Si ça se trouve, ça sera la crise, l'Etat n'aura plus les moyens de payer son personnel et encore moins d'embaucher (bon ok, c'est plutôt apocalyptique comme hypothèse ).
Pour moi, l'avenir dépendra de la conjoncture économique du pays, grosse inconnue actuellement

Sinon, je suis d'accord avec Baxx, si on choisit une formation en fonction des débouchés, c'est foutu, ou alors on change tous les 6 mois.
"Tiens, y'a du chômage chez les infirmiers dans certains coins de la France (Nord, Aquitaine...), bon bah je vais faire un CAP Boucher, ça recrute en ce moment !"

[Jo_bis]

Non mais j'hallucine infirmier=chômage ! De toute façon il y aura toujours des vieux aigris de la vie qui viendront se plaindre à qui veux bien l'entendre et raconter que des conneries.

C'est bien, la politique de l'autruche....

AHAHA la bonne blague ! Alors certes dans certains endroits de la france (genre le sud quoi) il y a peu être moins d'offre. Mais personnellement en banlieue parisienne, les hôpitaux sont tellement en galère d'IDE qu'ils viennent nous débaucher dès la deuxième année ! Et nous finance nos études pour s'assurer qu'on bosse pour eux après.

Effectivement, la banlieue parisienne est sinistrée parce que c'est... la Banlieue Parisienne...avec tout ce que cela implique en matière de conditions de travail (trajets, insécurité, travail à la chaine...)
L'APHP est constamment en recherche d'IDE, ce n'est pas nouveau, cela fait plus de 20 ans qu'ils cherchent...sans trouver...ou est le problème ??
D'ailleurs, vous le dites vous-même :

Eh bah va dans le privé ! On dit que les IDE survivent 2 ans max en CHU (AP-HP de Paris je t'explique même pas la galère) après on bouge dans le privé.

Le privé est logé à la même enseigne, en ce qui concerne les restrictions, et ce n'est pas fini!
Mais la quasi totalité des autres régions a de plus en plus de mal à "caser" les diplômés.

Alors faut arretez de suite les généralités du genre "CHOMAGE" parce que c'est du pipot. Va sur les sites des hôpitaux la plupart dans les offres d'emploi bah il y a IDE

Ce n'est pas du "pipeau", hélas et pour plusieurs raisons :

1) depuis des années, le numérus clausus a été fortement revu à la hausse en prévision d'un Papy Boom qu'on situait entre 2000 et 2020, donc déjà passablement passé....il reste 7 ans : il n'y aura que peu d'incidences sur le recrutement, étant donné qu'il y a très peu d'IDE de plus de 55 ans dans les services.
Nos gouvernants ont réussi l'exploit d'augmenter l'offre (en IDE) tout en diminuant la demande (suppressions de postes)...ça donne quoi, à l'arrivée ?

2) Les restrictions budgétaires : on supprime des lits. Il serait logique de penser que cette défection de lits se reporte sur les secteurs "porteurs" : la médecine ambulatoire, les soins à domicile, le secteur libéral, les EHPAD etc...il faut savoir que ce report de lits se fait à "moyens constants" (dans le public et le privé). En clair, les postes IDE en HAD, ambulatoire, soins à domicile, EHPAD... sont pourvus par des transferts de postes (on supprime un poste en hospitalisation => une IDE part vers ces services), ce qui assure la présence d'IDE ayant une expérience professionnelle, sans être soumis au licenciement "sec".

3) Mauvaise répartition régionale : certaines régions ont trop d'IDE, d'autres pas assez. Le pays n'a jamais manqué d'IDE, contrairement à ce qui a été dit, rabaché, martelé au Pôle emploi ou dans les ministères (qui connaissent très bien le terrain, comme vous le savez) ou encore dans les IFSI.
Elle sont mal réparties sur le territoire, c'est tout.

Et puis la formation est pas si horrible que ça, si c'est pour décourager les personnes pas la peine de poster.

La formation est ce qu'elle est, c'est un autre débat.

[madisa]

Merci Jo, les réponses de ce fil me faisaient grincer des dents derrière mon écran....
Effectivement, le privé n'est pas partout la panacée.
Je bosse actuellement dans un service du privé en 12h. J'ai le privilège de poser mon derrière sur une chaise 30 min/jour parce que je suis ESI sinon pour les collègues diplômées, pas le temps!
Tu cours toute la journée, pas une minute à toi, c'est de l'abattage de soins, l'usine!

Les IDE cherchent à partir bosser ailleurs = pas de postes!
Une intérimaire = première embauche depuis plusieurs mois....

Quant à la formation, c'est clair, c'est un autre débat...

[Lenalan]

Ah bah ça fait plaisir de constater que c'est un peu partout pareil, je commençais à penser que je vivais sur une autre planète que MSL ou que la région parisienne c'est l'Eldorado des infirmiers....

madisa tu résumes très bien..... J'ai travaillé un peu en intérim avec des IDE, et bien certaines faisaient ça depuis leur diplôme (1 à 2 ans) non pas par choix, mais parce qu'elles n'avaient rien d'autre! En clinique privée, en tant qu'AS je gagnais tout juste le smic (combien doivent gagner les ASH? ) et les IDE étaient à tout juste 1400€ (ce que gagne une AS dans le public, c'est ce que je gagnais en tant qu'AS en EHPAD convention 51). Est-ce que c'est normal après les 3 ans d'études? (horribles n'est peut-être pas le mot, difficile oui c'est certain, on est plus nombreuses à trouver ça intense et difficile que facile, maintenant si c'est facile pour MSL tant mieux, c'est une grande chance).
Alors bien sûr très peu pointent au chômage, mais quelles sont les conditions de travail?

Je pense que dire la réalité n'est pas décourager les gens, ceux qui pensent que le plus dur dans la formation c'est réussir le concours, qu'une fois qu'on y est tout se fait les doigts dans le nez et qu'à la sortie ils auront le choix entre des services de rêve avec un salaire de rêve, risquent d'avoir des surprises.
Mais en général quand on choisit ce métier c'est pas pour le salaire ni pour les débouchés, ni pour la facilité des études, sinon on risque la grosse déception.....
Mais c'est pas pour autant non plus qu'il faut raconter des âneries en disant qu'après 3 ans d'études on sera au chômage, parce que c'est pas vrai (il y a certaines études où oui, après le diplôme c'est le chômage, là non), mais il faut nuancer....

[klop750]

bonsoir,

C'est vrai que toutes les infirmières ne sont pas au chômage mais c'était pour tordre le coup au dicton qu'on entend un peu partout. Fait infirmier comme cela tu ne seras pas au chômage.

Non il y a aussi du chômage dans la profession et ce n'est plus une voie où il y a la sécurité de l'emploi !

Alors avant de vous embarquer pour 3 ans d'études réfléchissait bien car vous allez vous battre pour avoir un emploi, puis si vous en avez un vous aurez le droit à un salaire de misère, des conditions de travaille qui ne cesse de se détériorer, une reconnaissance quasi nul...

[williamm20]

bonsoir,

C'est vrai que toutes les infirmières ne sont pas au chômage mais c'était pour tordre le coup au dicton qu'on entend un peu partout. Fait infirmier comme cela tu ne seras pas au chômage.

Non il y a aussi du chômage dans la profession et ce n'est plus une voie où il y a la sécurité de l'emploi !

Alors avant de vous embarquer pour 3 ans d'études réfléchissait bien car vous allez vous battre pour avoir un emploi, puis si vous en avez un vous aurez le droit à un salaire de misère, des conditions de travaille qui ne cesse de se détériorer, une reconnaissance quasi nul...

Franchement jsuis au chômage depuis 2 ans bientôt alors franchement ...
Avoir un salaire de misère ça me va c mieux que rien, de mauvaises conditions de travail ça me va aussi c mieux que pas avoir de travail, une reconnaissance quasie nulle pour l'instant on en a aucune pour moi alors franchement...
Bref tu m'as pas dissuadé Nostradamus.

[Lightmeup]

Ben moi ça m'empêchera pas d'exercer le métier que je veux !!!
Au pire, les gens qui font infirmier juste parce qu'il y a du taf, euh... Je ferai pas de commentaires xD et ceux qui sont vraiment motivés par le métier, trouveront du boulot, c'est pas non plus un secteur ultra-bouché hein...

[williamm20]

Ben moi ça m'empêchera pas d'exercer le métier que je veux !!!
Au pire, les gens qui font infirmier juste parce qu'il y a du taf, euh... Je ferai pas de commentaires xD et ceux qui sont vraiment motivés par le métier, trouveront du boulot, c'est pas non plus un secteur ultra-bouché hein...

C clair: il y a plein d'avantage ben déjà soigner les genss, se sentir utile, le travail d'équipe etc...

Et pis choisir un métier juste pour le fait qu'il y aurait ou non du chômage ben ça mène pas loin.

[madisa]

C clair: il y a plein d'avantage ben déjà soigner les genss, se sentir utile, le travail d'équipe etc...

Et pis choisir un métier juste pour le fait qu'il y aurait ou non du chômage ben ça mène pas loin.[/quote]

Précisément, choisir une profession où il y a des débouchés mène à une bonne intégration, un sentiment d'utilité, une valorisation narcissique et la possibilité extrêmement importante d'avoir un toit et de manger...
Mais t'as raison, ça mène pas loin....
N'est-ce pas toi qui pourtant te plains d'être au chômage depuis deux ans?
Tu ne choisirais peut-être pas infirmier s'il n'y avait pas dans tes représentations de la profession l'idée que "y a du boulot"....

Et puis, on ne peut tout de même pas reprocher à Klop de vouloir prévenir selon son point de vue les aspirants au concours! Si?
Est-ce bien utile de l'affubler de petits noms, ô combien spirituels tel que "Nostradamus" et autre?
Bonjour le niveau William...

Après, libre à chacun de trouver ses intérêts ou non dans la réalité du milieu professionnel et de toute façon, il est évident que c'est à chacun de faire ses expériences.
Alors oui quand on a plus le choix il y a encore des postes de disponibles dans d'autres régions, mais personne ne veut y bosser pourquoi à votre avis?
Jo a déjà évoqué les conditions de travail, je vais pas refaire un laïus dessus....

Alors William quand tu dis que t'es prêt à bosser pour pas grand chose et de devenir le sauveur des gens en devenant infirmier ben crucifie toi pour l'exemple ce sera pareil!
Quand tu dis que tu veux être utile, je me dis qu'il va falloir que tu révises ta copie parce que si t'es aussi utile en tant qu' IDE que le sont tes commentaires sur ce fil, je voudrais pas être le patient que t'auras demain en face de toi!

Bref! J'arrête cet interlude.
Alors révisez bien tous, obtenez le droit de rentrer dans un ifsi et éclatez vous dans ce boulot, je pense que chacun vous le souhaite très sincèrement!
Oui c'est un métier riche et humain, c'est vrai.
c'est vrai qu'il y a moins de chômage que dans d'autres professions.
C'est vrai qu'il offre une carrière pour se former et s'améliorer....
Mais n'idéalisez pas trop non plus sinon la chute va être dure....
A bon entendeur et tant pis pour les autres...

[la chieuse93]

je suis assez d'accord, madisa, moi aussi je suis au chômage de puis un an, en reconversion professionnelle et j'ai bien réfléchit avant de me tourner vers le métier d’infirmière et de préparer le concours, mais le fait est que c'est en partie parce que je sais qu'il y a du boulot derrière, et je pense pas que le fait d'avoir se raisonnement est incompatible avec le fait de vouloir faire ce métier...
a l'heure actuelle, c'est quand même mieux de partir sur des études et sur un métier ou y a des débouchées...

[madisa]

je suis assez d'accord, madisa, moi aussi je suis au chômage de puis un an, en reconversion professionnelle et j'ai bien réfléchit avant de me tourner vers le métier d’infirmière et de préparer le concours, mais le fait est que c'est en partie parce que je sais qu'il y a du boulot derrière, et je pense pas que le fait d'avoir se raisonnement est incompatible avec le fait de vouloir faire ce métier...
a l'heure actuelle, c'est quand même mieux de partir sur des études et sur un métier ou y a des débouchées...

Absolument, c'est ce que je disais!
Il n'y a aucun mal à vouloir aborder cette profession parce qu'il y a plus de débouchés qu'ailleurs!
Je trouve ça un peu hypocrite justement de dire qu'on le fait uniquement par "passion", "volonté d'être utile", "amour de la piqure", ou autre.....
Surtout quand on a déjà un diplôme, un passé pro ou ce genre de parcours....
Pas de soucis donc

Ce que je disais c'est qu'il faut se méfier des représentations assez élevées qu'on peut avoir d'une profession sinon il se peut que la chute soit dure....
Et ce n'est pas parce qu'on est au chômage depuis un moment (avec toute la souffrance et les difficultés que cela engendre hélas...) qu'on doit faire l'autruche sur les conditions réelles d'exercice dans certains (de + en + apparemment) lieux de travail.
Mais, à mon sens, cela reste une profession pour laquelle l'investissement vaut la peine.... Bien sûr!

[Lenalan]

je suis assez d'accord, madisa, moi aussi je suis au chômage de puis un an, en reconversion professionnelle et j'ai bien réfléchit avant de me tourner vers le métier d’infirmière et de préparer le concours, mais le fait est que c'est en partie parce que je sais qu'il y a du boulot derrière, et je pense pas que le fait d'avoir se raisonnement est incompatible avec le fait de vouloir faire ce métier...
a l'heure actuelle, c'est quand même mieux de partir sur des études et sur un métier ou y a des débouchées...

Absolument, c'est ce que je disais!
Il n'y a aucun mal à vouloir aborder cette profession parce qu'il y a plus de débouchés qu'ailleurs!
Je trouve ça un peu hypocrite justement de dire qu'on le fait uniquement par "passion", "volonté d'être utile", "amour de la piqure", ou autre.....
Surtout quand on a déjà un diplôme, un passé pro ou ce genre de parcours....
Pas de soucis donc

Ce que je disais c'est qu'il faut se méfier des représentations assez élevées qu'on peut avoir d'une profession sinon il se peut que la chute soit dure....
Et ce n'est pas parce qu'on est au chômage depuis un moment (avec toute la souffrance et les difficultés que cela engendre hélas...) qu'on doit faire l'autruche sur les conditions réelles d'exercice dans certains (de + en + apparemment) lieux de travail.
Mais, à mon sens, cela reste une profession pour laquelle l'investissement vaut la peine.... Bien sûr!

Par "vocation" je lis souvent, ça m'horripile
Ah non, moi ça ma révolte qu'on ait des conditions de travail déplorables (je parle en tant qu'AS mais c'est pareil pour les IDE), des salaires de misère pour le travail qu'on fait dans certains endroits. Le fait qu'il y ait plus de débouchés que dans une autre profession, que ça nous protège du chômage, qu'on aime notre métier n'excuse rien, on est pas des pigeons non plus. On est pas bonne-soeur, on a pas la vocation qui fait qu'on fasse voeu de pauvreté comme on entre au couvent, on fait une formation professionnelle dans un métier qu'on aime, certes, mais c'est pas une raison pour qu'on accepte n'importe quelle condition parce que "c'est mieux que le chômage".....

[williamm20]

C clair: il y a plein d'avantage ben déjà soigner les genss, se sentir utile, le travail d'équipe etc...

Et pis choisir un métier juste pour le fait qu'il y aurait ou non du chômage ben ça mène pas loin.

Précisément, choisir une profession où il y a des débouchés mène à une bonne intégration, un sentiment d'utilité, une valorisation narcissique et la possibilité extrêmement importante d'avoir un toit et de manger...
Mais t'as raison, ça mène pas loin....
N'est-ce pas toi qui pourtant te plains d'être au chômage depuis deux ans?
Si et c parce que j'avais choisi une orientation juste pour pas être au chômage et que je compte pas refaire deux fois la même erreur.
Tu ne choisirais peut-être pas infirmier s'il n'y avait pas dans tes représentations de la profession l'idée que "y a du boulot"....
Non car avec la crise on ne sait pas ce qui nous attend.
Et puis, on ne peut tout de même pas reprocher à Klop de vouloir prévenir selon son point de vue les aspirants au concours! Si?
Est-ce bien utile de l'affubler de petits noms, ô combien spirituels tel que "Nostradamus" et autre?
Bonjour le niveau William...
Oui c vrai mais intituler le topic INFIRMIER =CHOMAGE c pas malin non plus
Après, libre à chacun de trouver ses intérêts ou non dans la réalité du milieu professionnel et de toute façon, il est évident que c'est à chacun de faire ses expériences.
Alors oui quand on a plus le choix il y a encore des postes de disponibles dans d'autres régions, mais personne ne veut y bosser pourquoi à votre avis?
Jo a déjà évoqué les conditions de travail, je vais pas refaire un laïus dessus....

Alors William quand tu dis que t'es prêt à bosser pour pas grand chose et de devenir le sauveur des gens en devenant infirmier ben crucifie toi pour l'exemple ce sera pareil! Non je suis pas très croyant
Quand tu dis que tu veux être utile, je me dis qu'il va falloir que tu révises ta copie parce que si t'es aussi utile en tant qu' IDE que le sont tes commentaires sur ce fil, je voudrais pas être le patient que t'auras demain en face de toi!
Merci sympa, mais t'inquiète pas pour moi, j'ai déjà eu des patients et ils m'ont dit qu'ils ont hatent que je sois en fasse d'eux en temps que professionnel que ce soit des personnes âgées ou des personnes souffrants de troubles de la personnalité
Bref! J'arrête cet interlude.
Alors révisez bien tous, obtenez le droit de rentrer dans un ifsi et éclatez vous dans ce boulot, je pense que chacun vous le souhaite très sincèrement!
Oui c'est un métier riche et humain, c'est vrai.
c'est vrai qu'il y a moins de chômage que dans d'autres professions.
C'est vrai qu'il offre une carrière pour se former et s'améliorer....
Mais n'idéalisez pas trop non plus sinon la chute va être dure....
Oui c vrai là je te rejoins à 100%
A bon entendeur et tant pis pour les autres...[/quote]

[Maxymiou]

Je m'adresse aux IDE qui écrivent sur ce topic :
- Vous êtes IDE au chomage ? Vous travaillez ? et surtout OU ???
- Lorsque vous avez choisi de faire ces études : On vous a prévenu que vous étiez PEUT ETRE en train de choisir un mauvais choix
- Vos conditions de travail sont si terribles que vous songer à quitter votre blouse et à vous reconvertir ?
- La formation que vous avez reçue ne correspondait pas à ce vous attendiez ?

Pour ma part j'ai choisi de faire ce métier il y a un bon moment. Et vraiment je n'ai pas pensé Infirmier = travail assuré !!
On m'a même dit : Si tu ne reussis pas fais... plombier... il y a du boulot
Bah non je n'ai rien contre ce métier mais je ne ferai pas pour la seule raison qu'il en manque . je ne sais pas si on en manque autant que ça d'ailleurs

Car c'est souvent qu'on me dit : Il manque des infirmieres !!
Maintenant je pourrait dire ... eh bien ce n'est pas tout a fait vrai