Culture Générale
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Re: Fiches Culture Générale 2013
coucou vous allez tous bien?
moi non plus suis pas trop là car semaine dure au boulot j'ai fais plus d'heures car il y avait des absents don t(inquiète pas chloé on est tous speed
desbisous
louloute
moi non plus suis pas trop là car semaine dure au boulot j'ai fais plus d'heures car il y avait des absents don t(inquiète pas chloé on est tous speed
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Re: Fiches Culture Générale 2013
et will j'adore tes smileys je les veux!!! 

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Re: Fiches Culture Générale 2013
Moi ça va pas
Jme suis embrouillé avec un imbécile. J'ai peur des conséquences.

Jme suis embrouillé avec un imbécile. J'ai peur des conséquences.

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Re: Fiches Culture Générale 2013
@ will: ben pourquoi tu t'es embrouillé? ça peut avoir des vraies conséquences?
j'espère que ça va s'arranger au mieux courage!!!
louloute
et bonne journée à tous
j'espère que ça va s'arranger au mieux courage!!!
louloute
et bonne journée à tous
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Re: Fiches Culture Générale 2013
aiie :swilliamm20 a écrit :Moi ça va pas![]()
Jme suis embrouillé avec un imbécile. J'ai peur des conséquences.
jsp que c est pas trop grave et que sa va vite s'arranger

y a des imbéciles partout :/
se prépare aux concours de printemps de 2013
terminale st2s
Objectifs:
* avoir le concours
* avoir le bac
terminale st2s
Objectifs:
* avoir le concours
* avoir le bac
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Re: Fiches Culture Générale 2013
Louloute21L13 a écrit :coucou vous allez tous bien?
moi non plus suis pas trop là car semaine dure au boulot j'ai fais plus d'heures car il y avait des absents don t(inquiète pas chloé on est tous speed
desbisous
louloute
yopp sa marche

jsp que tu n aura plus trop d heures supp à faire :s
bsxx
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Re: Fiches Culture Générale 2013
Surtout dans la gente masculine, là on atteint des records.Miss Cakahuette 26 a écrit :aiie :swilliamm20 a écrit :Moi ça va pas![]()
Jme suis embrouillé avec un imbécile. J'ai peur des conséquences.
jsp que c est pas trop grave et que sa va vite s'arranger
y a des imbéciles partout :/


Re: Fiches Culture Générale 2013
Coucou tout le monde
week end trop froid, c'est trop nul !!! c'est un temps à bosser lool.
Bon voila le debut de ma fiche sur la maltraitance
La maltraitance
Qu'entend on réellement par "maltraitance" ?
On peut définir la maltraitance comme tout acte ou comportement physique, verbal ou autre nuisant au bien-être, à l’épanouissement ou au développement de la personne.
Les solutions et enjeux de la maltraitance sont divers car les formes de la maltraitance sont multiples.
Il faut également prendre en compte qu’elle sévit auprès de catégories de personnes différentes.
Si l’on assimile généralement ces personnes sous la notion de personnes fragiles, il faut néanmoins prendre en compte que la maltraitance n’est pas tout à fait la même pour une personne âgée,pour une femme, pour une personne handicapée ou pour un enfant.
Ces différentes formes auprès de différents publics ont des causes, des enjeux et des solutions différentes, ce qui fait du champ de la maltraitance un milieu complexe.
Néanmoins, il est tenu pour acquis de discerner trois grandes catégories de maltraitance:
=>la maltraitance physique,
=>la maltraitance psychologique
=>la maltraitance financière.
Elles couvrent l’ensemble des publics même si certaines appartiennent davantage à un public qu’à un autre, ainsi la maltraitance financière est ainsi plus menaçante chez les personnes âgées que chez les enfants.
I)La maltraitance des enfants:
La maltraitance à enfant n'est pas un phénomène récent, même si c'est aujourd'hui que l'on en parle le plus.
C'est la prise de conscience de ce problème, le déliement des langues, la médiatisation de certaines affaires et l'élaboration de textes législatifs (convention des droits de l'enfant par exemple) qui ont transformé notre perception de cette forme de violence à enfant.
A)Les différentes formes de maltraitance :
En ce qui concerne les différentes formes de violences commises à l'égard des enfants il faut attendre le sommet de Stockholm, en août 1996, pour arriver, après bien des heures de débats, à en distinguer très clairement trois sortes :
1) Les violences physiques
2) Les violences sexuelles
3) Les violences psychologiques
1) Les violences physiques :
De toutes les formes de violence, les violences physiques sont celles qui se voit.
Elles sont donc plus:
=>repérables,
=>plus mesurables,
=>plus facile à identifier.
La maltraitance physique se reconnaît par les traces qu'elle laisse sur le corps de l'enfant : hématomes, brûlures, fracture, et par l'intention effective de l'auteur d'infliger un sévices pour se faire obéir, pour dominer et maîtriser l'autre.
Malgré tout l'enfant va tenter de dissimuler les traces de coups portés sur lui car il ne supporte pas que l'on puisse voir son corps meurtri.
L'enfant ne souhaite pas montrer du doigt l'auteur de ces violences surtout quand c'est papa ou maman.
Les adultes doivent donc limiter le poids de la parole comme unique indicateur de souffrance. Il ne faut donc pas attendre que l'enfant s'exprime pour agir !
2) Les violences sexuelles :
Ce type de violence revêt des formes diverses :
=>de la "haute criminalité" comme dans l'affaire Dutroux à des agressions beaucoup plus légères, plus insidieuses, plus sournoises mais tout aussi traumatisantes.
L'adulte maltraitant profite de sa position de toute-puissance pour imposer à l'enfant un autre langage, son discours, sa domination en matière sexuelle. Il exerce alors un abus d'autorité.
Aujourd'hui, c'est sur Internet que ce développent ce type de criminalité.
3)Les violences psychologiques :
Définir les violences psychologiques est un exercice compliqué.
Pour une situation donnée, les évaluations peuvent être différentes.
Il est en effet très complexe de cerner cette forme de violence car ce qui est ressenti à présent comme une violence psychologique à l'égard d'un enfant était vécu, il y a encore cinq ou dix ans, comme un comportement social normal d'éducation stricte.
Enfermer un enfant dans un placard relevait d'un pratique éducative courante.
Aujourd'hui chacun s'accorde à penser que c'est insupportable et qu'il s'agit d'un violence psychologique.
Les agressions verbales, les dévalorisations systématiques, les humiliations concernant leur niveau scolaire, leur apparence, leur physique, leurs capacités intellectuelles, bref tout ce qui remet en cause leur intégrité font partie des violences psychologiques.
B)Qui sont les auteurs ? :
Pour prévenir les diverses formes de maltraitance, il est impossible de s'intéresser aux victimes sans se préoccuper des auteurs.
La violence dont est victime l'enfant maltraité est principalement exercée par une personne de son entourage familier (membres de la famille, éducateur, instituteur, etc...).
L'agression extérieure commise par un individu étranger à l'univers affectif de l'enfant reste rare.
C)Les enfants à risques:
D'année en année, le nombre d'enfants qui risquent la maltraitance augmente.
97 % des départements citent les carences éducatives comme premier facteur de risque.
Les conflits et séparations familiales viennent en seconde position suivi de près par les problèmes psychopathologiques des parents (alcool, drogue...).
Le chômage, la précarité et les difficultés financières représentent également un signal d'alerte à ne pas négliger.
D)Que dit la loi ? :
Pour les professionnels, assistantes sociales, éducateurs, médecins, instituteurs, le principe du secret professionnel est défini par les articles 226-13 et 226-14 du code pénal.
Cependant les personnes astreintes au secret professionnel doivent toujours faire part des mauvais traitements à l'égard des mineurs de moins de 15 ans.
La révélation du secret dans ce cas est possible (article 226-14 du code pénal).
Dans tous les cas toute personne ayant connaissance de l'existence d'un enfant maltraité ou supposé l'être doit aviser les autorités médicales, judiciaires ou administratives.
Ne pas le faire serait tomber sous la coupe de la non assistance à personne en danger (article 443-3 du code pénal).
E)La parole de l'enfant :
On dit les enfants bavards, prêts à s'inventer des histoires tant leur imagination est débordante.
Pourtant, il existe un domaine où les enfants font attention à ce qu'ils disent : celui des violences dont ils sont victimes.
L'enfant maltraité, silencieux, se protège inconsciemment en gardant sous silence les violences dont il est l'objet.
C'est pour mettre un terme à l'horreur vécue qu'il se décide parfois à en parler.
Ne pas prendre ses propos au sérieux, c'est exercer sur lui une nouvelle violence.
Cependant, certaines affaires récentes (Outreau par exemple) ont remis gravement en cause la prise en compte de la parole des enfants dans le cas des maltraitances sexuelles.
F)Il n'y a pas de fatalité :
Lutter contre les mauvais traitements, ce doit être l'engagement de toute notre société.
Un système de protection judiciaire de l'enfant en danger a été mis en place progressivement.
Cependant il est extrêmement complexe.
Les efforts doivent se poursuivre notamment par l'engagement encore plus grand des acteurs sociaux et judiciaires.
Pour prévenir les risques de maltraitance envers les enfants il est nécessaire également :
=> pour les parents, de maintenir la fonction parentale spécialement dans les périodes sensibles de la vie familiale.
=> pour tous les enfants améliorer leur condition de vie, et promouvoir leur écoute dans tous les lieux où l'on discute des sujets concernant leur protection.
=> pour les familles vulnérables, réduire les facteurs de risques susceptibles de générer de la maltraitance.

Bon voila le debut de ma fiche sur la maltraitance

La maltraitance
Qu'entend on réellement par "maltraitance" ?
On peut définir la maltraitance comme tout acte ou comportement physique, verbal ou autre nuisant au bien-être, à l’épanouissement ou au développement de la personne.
Les solutions et enjeux de la maltraitance sont divers car les formes de la maltraitance sont multiples.
Il faut également prendre en compte qu’elle sévit auprès de catégories de personnes différentes.
Si l’on assimile généralement ces personnes sous la notion de personnes fragiles, il faut néanmoins prendre en compte que la maltraitance n’est pas tout à fait la même pour une personne âgée,pour une femme, pour une personne handicapée ou pour un enfant.
Ces différentes formes auprès de différents publics ont des causes, des enjeux et des solutions différentes, ce qui fait du champ de la maltraitance un milieu complexe.
Néanmoins, il est tenu pour acquis de discerner trois grandes catégories de maltraitance:
=>la maltraitance physique,
=>la maltraitance psychologique
=>la maltraitance financière.
Elles couvrent l’ensemble des publics même si certaines appartiennent davantage à un public qu’à un autre, ainsi la maltraitance financière est ainsi plus menaçante chez les personnes âgées que chez les enfants.
I)La maltraitance des enfants:
La maltraitance à enfant n'est pas un phénomène récent, même si c'est aujourd'hui que l'on en parle le plus.
C'est la prise de conscience de ce problème, le déliement des langues, la médiatisation de certaines affaires et l'élaboration de textes législatifs (convention des droits de l'enfant par exemple) qui ont transformé notre perception de cette forme de violence à enfant.
A)Les différentes formes de maltraitance :
En ce qui concerne les différentes formes de violences commises à l'égard des enfants il faut attendre le sommet de Stockholm, en août 1996, pour arriver, après bien des heures de débats, à en distinguer très clairement trois sortes :
1) Les violences physiques
2) Les violences sexuelles
3) Les violences psychologiques
1) Les violences physiques :
De toutes les formes de violence, les violences physiques sont celles qui se voit.
Elles sont donc plus:
=>repérables,
=>plus mesurables,
=>plus facile à identifier.
La maltraitance physique se reconnaît par les traces qu'elle laisse sur le corps de l'enfant : hématomes, brûlures, fracture, et par l'intention effective de l'auteur d'infliger un sévices pour se faire obéir, pour dominer et maîtriser l'autre.
Malgré tout l'enfant va tenter de dissimuler les traces de coups portés sur lui car il ne supporte pas que l'on puisse voir son corps meurtri.
L'enfant ne souhaite pas montrer du doigt l'auteur de ces violences surtout quand c'est papa ou maman.
Les adultes doivent donc limiter le poids de la parole comme unique indicateur de souffrance. Il ne faut donc pas attendre que l'enfant s'exprime pour agir !
2) Les violences sexuelles :
Ce type de violence revêt des formes diverses :
=>de la "haute criminalité" comme dans l'affaire Dutroux à des agressions beaucoup plus légères, plus insidieuses, plus sournoises mais tout aussi traumatisantes.
L'adulte maltraitant profite de sa position de toute-puissance pour imposer à l'enfant un autre langage, son discours, sa domination en matière sexuelle. Il exerce alors un abus d'autorité.
Aujourd'hui, c'est sur Internet que ce développent ce type de criminalité.
3)Les violences psychologiques :
Définir les violences psychologiques est un exercice compliqué.
Pour une situation donnée, les évaluations peuvent être différentes.
Il est en effet très complexe de cerner cette forme de violence car ce qui est ressenti à présent comme une violence psychologique à l'égard d'un enfant était vécu, il y a encore cinq ou dix ans, comme un comportement social normal d'éducation stricte.
Enfermer un enfant dans un placard relevait d'un pratique éducative courante.
Aujourd'hui chacun s'accorde à penser que c'est insupportable et qu'il s'agit d'un violence psychologique.
Les agressions verbales, les dévalorisations systématiques, les humiliations concernant leur niveau scolaire, leur apparence, leur physique, leurs capacités intellectuelles, bref tout ce qui remet en cause leur intégrité font partie des violences psychologiques.
B)Qui sont les auteurs ? :
Pour prévenir les diverses formes de maltraitance, il est impossible de s'intéresser aux victimes sans se préoccuper des auteurs.
La violence dont est victime l'enfant maltraité est principalement exercée par une personne de son entourage familier (membres de la famille, éducateur, instituteur, etc...).
L'agression extérieure commise par un individu étranger à l'univers affectif de l'enfant reste rare.
C)Les enfants à risques:
D'année en année, le nombre d'enfants qui risquent la maltraitance augmente.
97 % des départements citent les carences éducatives comme premier facteur de risque.
Les conflits et séparations familiales viennent en seconde position suivi de près par les problèmes psychopathologiques des parents (alcool, drogue...).
Le chômage, la précarité et les difficultés financières représentent également un signal d'alerte à ne pas négliger.
D)Que dit la loi ? :
Pour les professionnels, assistantes sociales, éducateurs, médecins, instituteurs, le principe du secret professionnel est défini par les articles 226-13 et 226-14 du code pénal.
Cependant les personnes astreintes au secret professionnel doivent toujours faire part des mauvais traitements à l'égard des mineurs de moins de 15 ans.
La révélation du secret dans ce cas est possible (article 226-14 du code pénal).
Dans tous les cas toute personne ayant connaissance de l'existence d'un enfant maltraité ou supposé l'être doit aviser les autorités médicales, judiciaires ou administratives.
Ne pas le faire serait tomber sous la coupe de la non assistance à personne en danger (article 443-3 du code pénal).
E)La parole de l'enfant :
On dit les enfants bavards, prêts à s'inventer des histoires tant leur imagination est débordante.
Pourtant, il existe un domaine où les enfants font attention à ce qu'ils disent : celui des violences dont ils sont victimes.
L'enfant maltraité, silencieux, se protège inconsciemment en gardant sous silence les violences dont il est l'objet.
C'est pour mettre un terme à l'horreur vécue qu'il se décide parfois à en parler.
Ne pas prendre ses propos au sérieux, c'est exercer sur lui une nouvelle violence.
Cependant, certaines affaires récentes (Outreau par exemple) ont remis gravement en cause la prise en compte de la parole des enfants dans le cas des maltraitances sexuelles.
F)Il n'y a pas de fatalité :
Lutter contre les mauvais traitements, ce doit être l'engagement de toute notre société.
Un système de protection judiciaire de l'enfant en danger a été mis en place progressivement.
Cependant il est extrêmement complexe.
Les efforts doivent se poursuivre notamment par l'engagement encore plus grand des acteurs sociaux et judiciaires.
Pour prévenir les risques de maltraitance envers les enfants il est nécessaire également :
=> pour les parents, de maintenir la fonction parentale spécialement dans les périodes sensibles de la vie familiale.
=> pour tous les enfants améliorer leur condition de vie, et promouvoir leur écoute dans tous les lieux où l'on discute des sujets concernant leur protection.
=> pour les familles vulnérables, réduire les facteurs de risques susceptibles de générer de la maltraitance.
Re: Fiches Culture Générale 2013
Suite 
II)Maltraitance aux femmes:
définitions:
Les Nations Unies définissent la violence à l'égard des femmes de la façon suivante :
«tous les actes de violence dirigés contre le sexe féminin, et causant ou pouvant causer aux femmes un préjudice ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, y compris la menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que ce soit dans la vie publique ou dans la vie privée».
Bien que la maltraitance conjugale semble poser d’emblée la femme comme victime et l’homme comme agresseur, des études montrent qu’il existe une égalité entre les sexes sur les maltraitances exercées.
=>Moins d’hommes meurent suite à des violences conjugales, mais tous les ans des hommes sont ainsi tués.
Ce phénomène serait sous-estimé, car peu d’hommes en viennent à porter plainte, par peur de paraître ridicule, de ne pas avoir de crédibilité, ou de s’engager dans un processus de rupture qui risquerait de leur faire perdre le contact avec leurs enfants.
A)violence d’un partenaire intime
Tout comportement qui, dans le cadre d’une relation intime (partenaire ou ex-partenaire), cause un préjudice d’ordre physique, sexuel ou psychologique, notamment les actes d’agression physique, les relations sexuelles forcées, la violence psychologique et tout autre acte de domination.
B)violence sexuelle
Tout acte sexuel, tentative d’acte sexuel ou tout autre acte exercé par autrui contre la sexualité d’une personne en faisant usage de la force, quelle que soit sa relation avec la victime, dans n’importe quel contexte.
Cette définition englobe le viol, défini comme une pénétration par la force physique ou tout autre moyen de coercition de la vulve ou de l’anus, au moyen du pénis, d’autres parties du corps ou d’un objet.
C)Ampleur du problème
Les enquêtes auprès de la population fondées sur les déclarations des victimes fournissent les estimations les plus précises sur la prévalence de la violence exercée par les partenaires intimes ou de la violence sexuelle qui se manifeste hors conflits.
L’enquête multipays de l’OMS sur la santé des femmes et la violence domestique à l’encontre des femmes, menée dans 10 pays principalement en développement, a permis de constater que chez les femmes de 15 à 49 ans:
==>entre 15% des femmes au Japon et 71% des femmes en Éthiopie ont déclaré avoir subi des violences physiques et/ou sexuelle de la part d’un partenaire intime;
==>entre 0,3 et 11,5% des femmes ont déclaré avoir subi des violences sexuelles depuis l’âge de 15 ans de la part de personnes qui n’étaient pas leur partenaire;
==>de nombreuses femmes ont déclaré que leur première expérience sexuelle s’est déroulée sous la contrainte – 17% dans les zones rurales de Tanzanie, 24% dans les zones rurales du Pérou et 30% dans les zones rurales du Bangladesh.
Les actes de violence imputables à un partenaire intime et les actes de violence sexuelle sont principalement commis par des hommes contre des jeunes filles ou des femmes. Les sévices sexuels infligés aux enfants touchent aussi bien les garçons que les filles.
Des études internationales indiquent qu’environ 20% des femmes et 5 à 10% des hommes déclarent avoir été victimes de violence sexuelle dans leur enfance.
D)Facteurs de risque
Les facteurs de risque liés à la violence exercée par le partenaire intime et à la violence sexuelle apparaissent au niveau individuel, familial, communautaire et sociétal au sens large.
Certains facteurs sont liés aux auteurs de violence, d’autres aux victimes et d’autres encore aux deux.
1)Facteurs de risque concernant la violence exercée par le partenaire intime et la violence sexuelle:
==>faible niveau d’instruction (pour les auteurs comme pour les victimes);
==>exposition à la maltraitance pendant l’enfance (auteurs et victimes);
==>exposition à la violence familiale (auteurs et victimes);
==>troubles antisociaux de la personnalité (auteurs);
==>usage nocif de l’alcool (auteurs et victimes);
==>multiplicité des partenaires ou suspicion d’infidélité de la part du partenaire (auteurs); et
==>attitude d’acceptation de la violence et de l’inégalité entre les sexes (auteurs et victimes).
2)Facteurs de risque spécifiquement liés à la violence exercée par le partenaire intime:
==>antécédents d’actes violents (auteurs et victimes);
==>mésentente et insatisfaction conjugales (auteurs et victimes).
3)Facteurs de risque spécifiquement liés à la violence sexuelle:
==>croyances relatives à l’honneur de la famille et à la pureté sexuelle;
==>idéologies sur les droits sexuels de l’homme;
==>faiblesse des sanctions juridiques contre la violence sexuelle.
L’inégalité des femmes par rapport aux hommes et le recours normatif à la violence pour résoudre des conflits sont étroitement associés tant à la violence exercée par le partenaire intime qu’à la violence sexuelle exercée par d’autres que le partenaire.
E)Conséquences sur la santé
La violence d’un partenaire intime et la violence sexuelle entraînent à court et long terme de graves problèmes de santé physique, mentale, sexuelle et génésique pour les victimes et leurs enfants et elles ont de ce fait des coûts sociaux et économiques élevés.
==>Les effets sur la santé peuvent être des céphalées, des douleurs du dos, des douleurs abdominales, des fibromyalgies, des troubles digestifs, une mobilité réduite et un mauvais état de santé général. Dans certains cas, il peut en résulter des traumatismes plus ou moins graves, parfois mortels.
==>La violence d’un partenaire intime et la violence sexuelle peuvent entraîner des grossesses non désirées, des problèmes gynécologiques, des avortements et des infections sexuellement transmissibles, dont le VIH.
La violence d’un partenaire intime pendant une grossesse augmente aussi la probabilité de fausse couche, de naissance d’enfants mort-nés, d’accouchement prématuré et d’insuffisance pondérale à la naissance.
==>Ces formes de violence peuvent entraîner des dépressions, des états de stress post-traumatiques, des troubles du sommeil, de l’alimentation, des perturbations émotionnelles et des tentatives de suicide.
==>La violence sexuelle, en particulier pendant l’enfance, peut entraîner une augmentation du tabagisme, l’usage abusif de drogues et d’alcool et des comportements sexuels à risque à un stade ultérieur de la vie. On l’associe aussi à une tendance à recourir à la violence (pour les hommes) ou à être victime de violences (pour les femmes).
F)Impact sur les enfants
==>Les enfants grandissant dans des familles ou sévit la violence du partenaire intime peuvent souffrir de tout un éventail de troubles comportementaux et émotionnels susceptibles de les amener ultérieurement à commettre des actes violents ou à en être victime.
==>On a également associé à la violence du partenaire intime des taux plus élevés de morbidité et de mortalité chez les nourrissons et les enfants (maladies diarrhéiques ou malnutrition par exemple).
G)Coûts socio-économiques
Les coûts socio-économiques de la violence du partenaire intime et de la violence sexuelle sont énormes et se répercutent dans toute la société.
Les femmes peuvent souffrir d’isolement, les amener ultérieurement à commettre des actes violents ou à en être victime.
On retrouve les facteurs de risque associés à la violence du partenaire intime et à la violence sexuelle chez les individus, dans les familles, dans les communautés et plus largement dans la société.
Certains facteurs sont liés aux auteurs des violences, d’autres aux victimes et d’autres encore aux deux.
H)Prévention et riposte
L’essentiel à retenir
Alors que 122 femmes sont mortes sous les coups de leur conjoint en 2011, la lutte contre les violences faites aux femmes a été décrétée « Grande cause nationale » par le Premier ministre pour l’année 2010.
Cette priorité s’est traduite dans la loi du 9 juillet 2010 relative aux violences faites spécifiquement aux femmes, aux violences au sein des couples et aux incidences de ces dernières sur les enfants et a été adoptée à l’unanimité par les députés et les sénateurs, qui ont ainsi montré que ce combat transcendait tous les clivages politiques.
Cette loi a marqué une nouvelle étape dans la lutte contre les violences faites aux femmes :
==>Elle donne au juge les moyens de prévenir les violences avec un dispositif novateur, l’ordonnance de protection des victimes ;
==>Elle adapte notre arsenal juridique à toutes les formes de violence ;
==>Elle s’appuie sur de nouveaux moyens technologiques pour renforcer la protection des femmes victimes de violence.
Quelques chiffres :
==>3 jours : c’est la fréquence à laquelle une femme meurt sous les coups de son compagnon en moyenne par an.
==>75 000 : c’est le nombre estimé de femmes victimes de viol chaque année.
==>17,4 % : c’est la part des homicides commis en France qui seraient dus à des violences conjugales.
les objectifs du plan triennal 2011-2013:
Le nouveau plan triennal 2011-2013 de lutte contre les violences faites aux femmes témoigne que la lutte contre les violences faites aux femmes reste une préoccupation majeure du Gouvernement.
Ce plan est porteur d’une double ambition :
==>maintenir une vigilance collective soutenue
==>aborder des questions nouvelles. Il prend en compte les violences intra-familiales, les mariages forcés, la polygamie et les mutilations sexuelles et dénonce, pour la première fois, les violences sexistes et sexuelles au travail, les viols et les agressions sexuelles et le recours à la prostitution.
Trois priorités : protection, prévention et solidarité
Le volet « solidarité » du plan comprend le lancement de campagnes de communication à destination du grand public pendant les trois années du plan.
La campagne a été préparée par l’agence DDB et mise en oeuvre par la Délégation à l’Information et à la Communication, en lien avec le Service du Droit des Femmes et de l’Egalité du ministère.
L’objectif de la campagne de 2011, est de sensibiliser et d’informer les femmes victimes, de l’existence du 3919, numéro d’appel d’aide, pour accompagner et orienter les femmes, victimes de : violences conjugales, agressions sexuelles, viols …
En 2011, la campagne de communication était axée sur la sensibilisation et l’information de l’existence du 3919, numéro d’appel d’aide, pour accompagner et orienter les femmes victimes de : violences conjugales, agressions sexuelles, viols …
La campagne « Violences faites aux femmes. Osez en parler », avait pour objectif d’inciter les femmes à sortir du silence et à passer à l’action, en appelant le 39.19.
Il est à noter que ce numéro déjà gratuit depuis un poste fixe et invisible sur les factures, l’est devenu depuis un téléphone portable, grâce à l’engagement des opérateurs Bouygues, Free et Orange.
L’objectif de la campagne 2012 est de sensibiliser et d’informer les femmes et tout public sur le harcèlement sexuel par le lancement le 13 novembre 2012 par la garde des sceaux, ministre de la justice et la ministre des droits des femmes du site gouvernemental ainsi que de faire de la formation des professionnels sur les violences sexistes et sexuelles un grand enjeu de la lutte contre les violences faites aux femmes.

II)Maltraitance aux femmes:
définitions:
Les Nations Unies définissent la violence à l'égard des femmes de la façon suivante :
«tous les actes de violence dirigés contre le sexe féminin, et causant ou pouvant causer aux femmes un préjudice ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, y compris la menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que ce soit dans la vie publique ou dans la vie privée».
Bien que la maltraitance conjugale semble poser d’emblée la femme comme victime et l’homme comme agresseur, des études montrent qu’il existe une égalité entre les sexes sur les maltraitances exercées.
=>Moins d’hommes meurent suite à des violences conjugales, mais tous les ans des hommes sont ainsi tués.
Ce phénomène serait sous-estimé, car peu d’hommes en viennent à porter plainte, par peur de paraître ridicule, de ne pas avoir de crédibilité, ou de s’engager dans un processus de rupture qui risquerait de leur faire perdre le contact avec leurs enfants.
A)violence d’un partenaire intime
Tout comportement qui, dans le cadre d’une relation intime (partenaire ou ex-partenaire), cause un préjudice d’ordre physique, sexuel ou psychologique, notamment les actes d’agression physique, les relations sexuelles forcées, la violence psychologique et tout autre acte de domination.
B)violence sexuelle
Tout acte sexuel, tentative d’acte sexuel ou tout autre acte exercé par autrui contre la sexualité d’une personne en faisant usage de la force, quelle que soit sa relation avec la victime, dans n’importe quel contexte.
Cette définition englobe le viol, défini comme une pénétration par la force physique ou tout autre moyen de coercition de la vulve ou de l’anus, au moyen du pénis, d’autres parties du corps ou d’un objet.
C)Ampleur du problème
Les enquêtes auprès de la population fondées sur les déclarations des victimes fournissent les estimations les plus précises sur la prévalence de la violence exercée par les partenaires intimes ou de la violence sexuelle qui se manifeste hors conflits.
L’enquête multipays de l’OMS sur la santé des femmes et la violence domestique à l’encontre des femmes, menée dans 10 pays principalement en développement, a permis de constater que chez les femmes de 15 à 49 ans:
==>entre 15% des femmes au Japon et 71% des femmes en Éthiopie ont déclaré avoir subi des violences physiques et/ou sexuelle de la part d’un partenaire intime;
==>entre 0,3 et 11,5% des femmes ont déclaré avoir subi des violences sexuelles depuis l’âge de 15 ans de la part de personnes qui n’étaient pas leur partenaire;
==>de nombreuses femmes ont déclaré que leur première expérience sexuelle s’est déroulée sous la contrainte – 17% dans les zones rurales de Tanzanie, 24% dans les zones rurales du Pérou et 30% dans les zones rurales du Bangladesh.
Les actes de violence imputables à un partenaire intime et les actes de violence sexuelle sont principalement commis par des hommes contre des jeunes filles ou des femmes. Les sévices sexuels infligés aux enfants touchent aussi bien les garçons que les filles.
Des études internationales indiquent qu’environ 20% des femmes et 5 à 10% des hommes déclarent avoir été victimes de violence sexuelle dans leur enfance.
D)Facteurs de risque
Les facteurs de risque liés à la violence exercée par le partenaire intime et à la violence sexuelle apparaissent au niveau individuel, familial, communautaire et sociétal au sens large.
Certains facteurs sont liés aux auteurs de violence, d’autres aux victimes et d’autres encore aux deux.
1)Facteurs de risque concernant la violence exercée par le partenaire intime et la violence sexuelle:
==>faible niveau d’instruction (pour les auteurs comme pour les victimes);
==>exposition à la maltraitance pendant l’enfance (auteurs et victimes);
==>exposition à la violence familiale (auteurs et victimes);
==>troubles antisociaux de la personnalité (auteurs);
==>usage nocif de l’alcool (auteurs et victimes);
==>multiplicité des partenaires ou suspicion d’infidélité de la part du partenaire (auteurs); et
==>attitude d’acceptation de la violence et de l’inégalité entre les sexes (auteurs et victimes).
2)Facteurs de risque spécifiquement liés à la violence exercée par le partenaire intime:
==>antécédents d’actes violents (auteurs et victimes);
==>mésentente et insatisfaction conjugales (auteurs et victimes).
3)Facteurs de risque spécifiquement liés à la violence sexuelle:
==>croyances relatives à l’honneur de la famille et à la pureté sexuelle;
==>idéologies sur les droits sexuels de l’homme;
==>faiblesse des sanctions juridiques contre la violence sexuelle.
L’inégalité des femmes par rapport aux hommes et le recours normatif à la violence pour résoudre des conflits sont étroitement associés tant à la violence exercée par le partenaire intime qu’à la violence sexuelle exercée par d’autres que le partenaire.
E)Conséquences sur la santé
La violence d’un partenaire intime et la violence sexuelle entraînent à court et long terme de graves problèmes de santé physique, mentale, sexuelle et génésique pour les victimes et leurs enfants et elles ont de ce fait des coûts sociaux et économiques élevés.
==>Les effets sur la santé peuvent être des céphalées, des douleurs du dos, des douleurs abdominales, des fibromyalgies, des troubles digestifs, une mobilité réduite et un mauvais état de santé général. Dans certains cas, il peut en résulter des traumatismes plus ou moins graves, parfois mortels.
==>La violence d’un partenaire intime et la violence sexuelle peuvent entraîner des grossesses non désirées, des problèmes gynécologiques, des avortements et des infections sexuellement transmissibles, dont le VIH.
La violence d’un partenaire intime pendant une grossesse augmente aussi la probabilité de fausse couche, de naissance d’enfants mort-nés, d’accouchement prématuré et d’insuffisance pondérale à la naissance.
==>Ces formes de violence peuvent entraîner des dépressions, des états de stress post-traumatiques, des troubles du sommeil, de l’alimentation, des perturbations émotionnelles et des tentatives de suicide.
==>La violence sexuelle, en particulier pendant l’enfance, peut entraîner une augmentation du tabagisme, l’usage abusif de drogues et d’alcool et des comportements sexuels à risque à un stade ultérieur de la vie. On l’associe aussi à une tendance à recourir à la violence (pour les hommes) ou à être victime de violences (pour les femmes).
F)Impact sur les enfants
==>Les enfants grandissant dans des familles ou sévit la violence du partenaire intime peuvent souffrir de tout un éventail de troubles comportementaux et émotionnels susceptibles de les amener ultérieurement à commettre des actes violents ou à en être victime.
==>On a également associé à la violence du partenaire intime des taux plus élevés de morbidité et de mortalité chez les nourrissons et les enfants (maladies diarrhéiques ou malnutrition par exemple).
G)Coûts socio-économiques
Les coûts socio-économiques de la violence du partenaire intime et de la violence sexuelle sont énormes et se répercutent dans toute la société.
Les femmes peuvent souffrir d’isolement, les amener ultérieurement à commettre des actes violents ou à en être victime.
On retrouve les facteurs de risque associés à la violence du partenaire intime et à la violence sexuelle chez les individus, dans les familles, dans les communautés et plus largement dans la société.
Certains facteurs sont liés aux auteurs des violences, d’autres aux victimes et d’autres encore aux deux.
H)Prévention et riposte
L’essentiel à retenir
Alors que 122 femmes sont mortes sous les coups de leur conjoint en 2011, la lutte contre les violences faites aux femmes a été décrétée « Grande cause nationale » par le Premier ministre pour l’année 2010.
Cette priorité s’est traduite dans la loi du 9 juillet 2010 relative aux violences faites spécifiquement aux femmes, aux violences au sein des couples et aux incidences de ces dernières sur les enfants et a été adoptée à l’unanimité par les députés et les sénateurs, qui ont ainsi montré que ce combat transcendait tous les clivages politiques.
Cette loi a marqué une nouvelle étape dans la lutte contre les violences faites aux femmes :
==>Elle donne au juge les moyens de prévenir les violences avec un dispositif novateur, l’ordonnance de protection des victimes ;
==>Elle adapte notre arsenal juridique à toutes les formes de violence ;
==>Elle s’appuie sur de nouveaux moyens technologiques pour renforcer la protection des femmes victimes de violence.
Quelques chiffres :
==>3 jours : c’est la fréquence à laquelle une femme meurt sous les coups de son compagnon en moyenne par an.
==>75 000 : c’est le nombre estimé de femmes victimes de viol chaque année.
==>17,4 % : c’est la part des homicides commis en France qui seraient dus à des violences conjugales.
les objectifs du plan triennal 2011-2013:
Le nouveau plan triennal 2011-2013 de lutte contre les violences faites aux femmes témoigne que la lutte contre les violences faites aux femmes reste une préoccupation majeure du Gouvernement.
Ce plan est porteur d’une double ambition :
==>maintenir une vigilance collective soutenue
==>aborder des questions nouvelles. Il prend en compte les violences intra-familiales, les mariages forcés, la polygamie et les mutilations sexuelles et dénonce, pour la première fois, les violences sexistes et sexuelles au travail, les viols et les agressions sexuelles et le recours à la prostitution.
Trois priorités : protection, prévention et solidarité
Le volet « solidarité » du plan comprend le lancement de campagnes de communication à destination du grand public pendant les trois années du plan.
La campagne a été préparée par l’agence DDB et mise en oeuvre par la Délégation à l’Information et à la Communication, en lien avec le Service du Droit des Femmes et de l’Egalité du ministère.
L’objectif de la campagne de 2011, est de sensibiliser et d’informer les femmes victimes, de l’existence du 3919, numéro d’appel d’aide, pour accompagner et orienter les femmes, victimes de : violences conjugales, agressions sexuelles, viols …
En 2011, la campagne de communication était axée sur la sensibilisation et l’information de l’existence du 3919, numéro d’appel d’aide, pour accompagner et orienter les femmes victimes de : violences conjugales, agressions sexuelles, viols …
La campagne « Violences faites aux femmes. Osez en parler », avait pour objectif d’inciter les femmes à sortir du silence et à passer à l’action, en appelant le 39.19.
Il est à noter que ce numéro déjà gratuit depuis un poste fixe et invisible sur les factures, l’est devenu depuis un téléphone portable, grâce à l’engagement des opérateurs Bouygues, Free et Orange.
L’objectif de la campagne 2012 est de sensibiliser et d’informer les femmes et tout public sur le harcèlement sexuel par le lancement le 13 novembre 2012 par la garde des sceaux, ministre de la justice et la ministre des droits des femmes du site gouvernemental ainsi que de faire de la formation des professionnels sur les violences sexistes et sexuelles un grand enjeu de la lutte contre les violences faites aux femmes.
-
- Forcené
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Re: Fiches Culture Générale 2013
coucou moi la L7 ce sera demain car j'ai fait que bosser depuis mercredi
vais en faire un peu ce soir et la suite demain
bisous vais me reposer
vais en faire un peu ce soir et la suite demain
bisous vais me reposer
- Miss Cakahuette 26
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Re: Fiches Culture Générale 2013
coucou Will et Louloutte 
ma L7, je la mettrai surement demain en fait pask là j ai pas fini du tt :s
eske sa va vs tous?

ma L7, je la mettrai surement demain en fait pask là j ai pas fini du tt :s
eske sa va vs tous?
se prépare aux concours de printemps de 2013
terminale st2s
Objectifs:
* avoir le concours
* avoir le bac
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- Forcené
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Re: Fiches Culture Générale 2013
coucou chloé oui ça va mais fatiguée de la semaine trop de boulot
vais essayer de continuer la L7 ce soir et demain je la posterai dans la journée
bisous
reposez vous bien
louloute
vais essayer de continuer la L7 ce soir et demain je la posterai dans la journée
bisous
reposez vous bien
louloute
- Miss Cakahuette 26
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Re: Fiches Culture Générale 2013
en fait nn c est bon, j ai rien de plus à mettre :s
la voici cette L7 :p
----------------------------------------------------------------------------------------------------
L7 LA MALTRAITANCE
----------------------------------------------------------------------------------------------------
1- Définitions :
La maltraitance désigne des mauvais traitements infligés à des personnes que l’on traite avec brutalité, rigueur ou sévérité. Ces victimes sont souvent dépendantes et sans défense. La maltraitance a fréquemment des conséquences durables sur la santé physiologique et psychique des victimes.
Les différents types de maltraitance
A) la maltraitance des enfants
‐ les violences physiques (coups voire blessures)
‐ les situations de privation (de nourriture, de soins, d'affection ou d'attention)
‐ les violences
‐ les violences sexuelles (viol, agression et atteinte sexuelle, inceste
‐ les maltraitances ou violences non reconnues encore moins visibles : sous couvert d'éducation, de corrections, de culture ou de religion (circoncision), on afflige à l'enfant des violences encouragées par la société
B) la maltraitance des personnes âgées et des personnes handicapées
‐ les violences physiques : coups, brûlures, ligotage, soins brusques sans information ou préparation, non‐satisfaction des demandes pour des besoins physiologiques, violences sexuelles, meurtre dont euthanasie ;
‐ les violences psychiques ou morales : langage irrespectueux ou dévalorisant, absence de considération, chantages, abus d'autorité, comportements d'infantilisation, non‐respect de l'intimité, injonctions paradoxales ;
‐ les violences matérielles et financières : vols, exigences de pourboire, escroqueries diverses, locaux inadaptés ;
‐ les violences médicales ou médicamenteuses : manque de soins de base, non‐information sur les traitements ou les soins, abus de traitement sédatif ou neuroleptique, défaut de soins de rééducation, non‐prise en compte de la douleur ;
‐ les négligences actives : toutes formes de sévices, abus, abandons, manquements pratiqués avec l'intention de nuire ;
‐ les négligences passives : relevant de l'ignorance, de l'inattention de l'entourage ;
‐ la privation ou la violation des droits : limitation de la liberté de la personne, privation de l'exercice des droits civiques, d'une pratique religieuse ;
C) la maltraitance des femmes
-violences conjugales
-viols, abus sexuel
2- Les conséquences de ces maltraitances
‐ alcoolisme et toxicomanies
‐ troubles cognitifs et retards de développement
‐ comportements violents, délinquants, téméraires
‐ troubles de l’alimentation ou du sommeil
‐ mauvais résultats scolaires
‐ relations de mauvaise qualité
‐ problèmes de santé génésique
‐ état de stress post‐traumatique
‐ dépression et anxiété
‐ comportements suicidaires et automutilations
‐ suicides
‐ mort
3- La prévention
A) mesures de prévention spécifiques à l’enfant
Les écoles, les organisations et les parents peuvent tous contribuer à réduire le nombre d'abus. Il est toutefois surprenant de constater que les agresseurs font souvent partie de l'entourage intime de
L'enfant (parents, famille, amis proches). Il faut donc éduquer les personnes qui fréquentent
Régulièrement les enfants, même si elles appartiennent à une sphère plus large (professeurs,
Médecins, etc.). La prévention des abus ne doit pas nécessairement passer par la description
Détaillée d'une agression, ni d'un agresseur potentiel. Il n'est pas non plus nécessaire de dire aux
Enfants que le danger peut venir de ceux qu'ils aiment. Une prévention positive et concrète peut leur donner la capacité d'identifier et d'agir par eux‐mêmes au moment où ils se sentent menacés. Cette technique leur donne également la possibilité de se prendre en charge et d'être les auteurs de leur propre bien‐être.
Mais ayant enseigné à l'enfant comment se responsabiliser, il faut aussi lui donner une structure de soutien qui lui permettra de se manifester en toute confiance en cas d'abus.
La meilleure défense des enfants contre les abus est en effet : la confiance en soi et en ses propres
Capacités, l'aptitude à évaluer et à maîtriser des situations diverses ; l'assurance qu'il sera entendu et compris ; savoir où et comment trouver de l'aide.
B) la prévention contre la maltraitance des personnes âgées et handicapées
• Il existe plusieurs formes de maltraitance;
‐physique : couts, blessures, soins brusques sans explication ou information
‐psychique : dévalorisation, abus d'autorité, chantage
‐médical ou médicamenteuse ; abus de sédatifs ou neuroleptiques, manque de soins
‐négligences active : avec la conscience de nuire
‐négligence passive : ignorance ou inattention
• Les facteurs
‐environnent socio‐ économique : manque de ressources, difficultés financières..
‐environnement familiale : problèmes conjugaux
‐environnement sociaux culturels : isolement, déracinement
• Les mesures prises
‐un numéro pour signaler toute forme de maltraitance le 3977
‐lancement de la culture de bientraitance (visites surprises, diagnostics de bientraitance, assises
Interrégionales...)
‐progression des moyens attribués aux établissements et aux services aux personnes âgées.
‐formation du personnel de santé à la bientraitance
la voici cette L7 :p
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L7 LA MALTRAITANCE
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1- Définitions :
La maltraitance désigne des mauvais traitements infligés à des personnes que l’on traite avec brutalité, rigueur ou sévérité. Ces victimes sont souvent dépendantes et sans défense. La maltraitance a fréquemment des conséquences durables sur la santé physiologique et psychique des victimes.
Les différents types de maltraitance
A) la maltraitance des enfants
‐ les violences physiques (coups voire blessures)
‐ les situations de privation (de nourriture, de soins, d'affection ou d'attention)
‐ les violences
‐ les violences sexuelles (viol, agression et atteinte sexuelle, inceste
‐ les maltraitances ou violences non reconnues encore moins visibles : sous couvert d'éducation, de corrections, de culture ou de religion (circoncision), on afflige à l'enfant des violences encouragées par la société
B) la maltraitance des personnes âgées et des personnes handicapées
‐ les violences physiques : coups, brûlures, ligotage, soins brusques sans information ou préparation, non‐satisfaction des demandes pour des besoins physiologiques, violences sexuelles, meurtre dont euthanasie ;
‐ les violences psychiques ou morales : langage irrespectueux ou dévalorisant, absence de considération, chantages, abus d'autorité, comportements d'infantilisation, non‐respect de l'intimité, injonctions paradoxales ;
‐ les violences matérielles et financières : vols, exigences de pourboire, escroqueries diverses, locaux inadaptés ;
‐ les violences médicales ou médicamenteuses : manque de soins de base, non‐information sur les traitements ou les soins, abus de traitement sédatif ou neuroleptique, défaut de soins de rééducation, non‐prise en compte de la douleur ;
‐ les négligences actives : toutes formes de sévices, abus, abandons, manquements pratiqués avec l'intention de nuire ;
‐ les négligences passives : relevant de l'ignorance, de l'inattention de l'entourage ;
‐ la privation ou la violation des droits : limitation de la liberté de la personne, privation de l'exercice des droits civiques, d'une pratique religieuse ;
C) la maltraitance des femmes
-violences conjugales
-viols, abus sexuel
2- Les conséquences de ces maltraitances
‐ alcoolisme et toxicomanies
‐ troubles cognitifs et retards de développement
‐ comportements violents, délinquants, téméraires
‐ troubles de l’alimentation ou du sommeil
‐ mauvais résultats scolaires
‐ relations de mauvaise qualité
‐ problèmes de santé génésique
‐ état de stress post‐traumatique
‐ dépression et anxiété
‐ comportements suicidaires et automutilations
‐ suicides
‐ mort
3- La prévention
A) mesures de prévention spécifiques à l’enfant
Les écoles, les organisations et les parents peuvent tous contribuer à réduire le nombre d'abus. Il est toutefois surprenant de constater que les agresseurs font souvent partie de l'entourage intime de
L'enfant (parents, famille, amis proches). Il faut donc éduquer les personnes qui fréquentent
Régulièrement les enfants, même si elles appartiennent à une sphère plus large (professeurs,
Médecins, etc.). La prévention des abus ne doit pas nécessairement passer par la description
Détaillée d'une agression, ni d'un agresseur potentiel. Il n'est pas non plus nécessaire de dire aux
Enfants que le danger peut venir de ceux qu'ils aiment. Une prévention positive et concrète peut leur donner la capacité d'identifier et d'agir par eux‐mêmes au moment où ils se sentent menacés. Cette technique leur donne également la possibilité de se prendre en charge et d'être les auteurs de leur propre bien‐être.
Mais ayant enseigné à l'enfant comment se responsabiliser, il faut aussi lui donner une structure de soutien qui lui permettra de se manifester en toute confiance en cas d'abus.
La meilleure défense des enfants contre les abus est en effet : la confiance en soi et en ses propres
Capacités, l'aptitude à évaluer et à maîtriser des situations diverses ; l'assurance qu'il sera entendu et compris ; savoir où et comment trouver de l'aide.
B) la prévention contre la maltraitance des personnes âgées et handicapées
• Il existe plusieurs formes de maltraitance;
‐physique : couts, blessures, soins brusques sans explication ou information
‐psychique : dévalorisation, abus d'autorité, chantage
‐médical ou médicamenteuse ; abus de sédatifs ou neuroleptiques, manque de soins
‐négligences active : avec la conscience de nuire
‐négligence passive : ignorance ou inattention
• Les facteurs
‐environnent socio‐ économique : manque de ressources, difficultés financières..
‐environnement familiale : problèmes conjugaux
‐environnement sociaux culturels : isolement, déracinement
• Les mesures prises
‐un numéro pour signaler toute forme de maltraitance le 3977
‐lancement de la culture de bientraitance (visites surprises, diagnostics de bientraitance, assises
Interrégionales...)
‐progression des moyens attribués aux établissements et aux services aux personnes âgées.
‐formation du personnel de santé à la bientraitance
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Re: Fiches Culture Générale 2013
toi aussi repose toi, tu le mérites bienLouloute21L13 a écrit :coucou chloé oui ça va mais fatiguée de la semaine trop de boulot
vais essayer de continuer la L7 ce soir et demain je la posterai dans la journée
bisous
reposez vous bien
louloute

gros zoubby a tous <3
Chloé
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