Culture Générale
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Re: Fiches Culture Générale 2013
Bonjour a tous !
Je m'appel Tanguy, j'ai dix sept ans je suis en terminale S et on peut dire que je commence a travailler le concours pr Pontivy le 20 mars
Quoiqu'il en soit je suis pres a tout pr reussir !!!!
Tout d'abord je voulais vous remercier tous pour le travail de titan que vous avez realisé ! C'est tt simplement incroyable tout ce que vous avez écris !!!
Depuis le depart je vous suis et a chaque fois je voulais poster une fiche c'etait trop tard vous etiez deja a la suivante. Je m'en veux vmt de ne pas avoir participer car c'est une communauté a laquelle chacun doit apporter une pierre a l'édifice. En tt cas merci du fond du coeur pr ce travail remarquable ! Vous m'avez permis de pas perdre le fil, de pas me decourager, mnt que je suis a niveau j'ai bien l'intention de vous aider !!!
Encore merci et a tres vite pr de nouvelles fiches !

Je m'appel Tanguy, j'ai dix sept ans je suis en terminale S et on peut dire que je commence a travailler le concours pr Pontivy le 20 mars

Tout d'abord je voulais vous remercier tous pour le travail de titan que vous avez realisé ! C'est tt simplement incroyable tout ce que vous avez écris !!!
Depuis le depart je vous suis et a chaque fois je voulais poster une fiche c'etait trop tard vous etiez deja a la suivante. Je m'en veux vmt de ne pas avoir participer car c'est une communauté a laquelle chacun doit apporter une pierre a l'édifice. En tt cas merci du fond du coeur pr ce travail remarquable ! Vous m'avez permis de pas perdre le fil, de pas me decourager, mnt que je suis a niveau j'ai bien l'intention de vous aider !!!
Encore merci et a tres vite pr de nouvelles fiches !

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Re: Fiches Culture Générale 2013
Pourriez ous svp me donner le prochain sujet de fiche que je vous aide un peu ? merci 

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Re: Fiches Culture Générale 2013
L20 ADDICTIONS ALCOOL DROGUE TABAC ETC..
MERCI
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Re: Fiches Culture Générale 2013
Voici ma L20 un peu longue mais trop trop de choses à mettre!!
L20. ADDICTIONS ET DEPENDANCES
I.DEFINITION
L’OMS définit l’addiction comme "un état de dépendance périodique ou chronique à des substances ou à des comportements". La dépendance se caractérise par la survenue de symptômes de sevrage en cas d’absence de la substance ou activité addictive, ainsi que par le développement d’une tolérance impliquant une augmentation de la dose nécessaire – quels que soient les signes de destruction physique ou psychique.
On estime qu’environ 90% des personnes sont victimes d’une quelconque dépendance. Cette dépendance peut aller d’une simples habitude à des dépendances impliquant un potentiel de destruction physique et mentale. La dépendance peut porter sur des substances (médicaments, drogues, etc.) ou non (travail, internet, etc.).
ALCOOLISME: trouble du comportement se caracterisant par la perte de liberté de s'abstenir d'alcool.Taux légal d'alcoolemie au volant 0.5g/litre de sang pour les automobilistes et 0.2g/l pour les poids lourds.
TABAGISME: intoxication aiguë ou chronique se manifestant par un ensemble de troubles physiologiques et psychiques provoqués par l'abus de tabac
III.FORMES
Dépendances non liées à une substance fréquentes:
Des éléments ne contenant aucune substance addictive peuvent, eux-aussi, donner lieu à un état d’enivrement. Cet état, engendré par une distribution accrue d’endorphine («hormone du bonheur»), peut entraîner une dépendance à partir du plaisir initialement ressenti. Pour ce type de dépendance, la situation de vie et la personnalité de chacun joue également un rôle.
Quelques exemples:
Troubles alimentaires: anorexie, boulimie et binge eating(hyperphagie compulsitionnelle)
Co-dépendance (le désir de toujours vouloir aider autrui, compulsion à aider)
Travail (Workaholic, dépendant du travail)
Sport (les coureurs de marathon sont particulièrement exposés)
Médias : internet, chat, téléphone mobile, SMS, jeux vidéo, etc.
Télévision (dépendance aux séries, feuilletons, etc.)
Dépendance sexuelle, dépendance affective, dépendance relationnelle (soumission, idolation, etc.)
Jeu
Situations extrêmes (bungee-jumping, escalade libre, conduite à vitesse élevée)
Vol (kleptomanie)
Nettoyage
etc.
Exemple de dépendances à une substance
Le terme drogue désigne les substances conduisant à une dépendance. Parmi ces substances, on compte notamment la nicotine, les médicaments addictifs, les stupéfiants ainsi que l’alcool. Leur point commun est qu’elles altèrent la conscience ou la manière de percevoir les choses et peuvent déclencher des sensations que le sujet trouve agréable.
Effet excitant
Drogues légales comme l’alcool en quantité modérée, la caféine, la nicotine
Stimulants comme les amphétamines, speed
Ecstasy (drogue de synthèse)
Cocaïne et crack
Substances à inhaler
Gaz hilarant
Effet tranquillisant:
Médicaments tranquillisants, notamment les benzodiazépines
Somnifères comme les barbituriques
Antalgiques
Alcool en grande quantité
Opiacés comme la morphine ou l’héroïne
Effet hallucinogène
Cannabis (marijuana)
LSD (abréviation de acide lysergique diéthylamide)
Cactus Peyote, qui contient de la mescaline
Champignons magiques
Polytoxicomanie
Le terme polytoxicomanie désigne une dépendance multiple. De nombreuses personnes dépendantes à une substance le sont également à d’autres en parallèle, ce qui complique considérablement le traitement. L'alcool est presque tjs présent.
De nouvelles drogues de synthèse apparaissent regulièrement pour contourner la legislation.
III.Causes
Les causes de survenue d’une dépendance sont multiples. La survenue d’une addiction dépend de la disponibilité de la drogue, de son action, du potentiel de dépendance ou encore de facteurs sociaux. Néanmoins, la cause des dépendances n'est souvent pas très claire. Il est probable que beaucoup de facteurs différents provoquent ou déclenchent une dépendance.
Facteurs de risque individuels fréquents:
Manque d’assurance ou l’inverse: trop grande estime de soi
Influençabilité (effet de groupe, particulièrement durant l’adolescence, exemple des parents et des personnes de confiance)
Ennui
Incapacité à aborder les problèmes, incapacité à gérer les conflits
Souhait d’augmenter ses performances (au travail, dans un sport)
Troubles relationnels
Maladies (psychiques, physiques)
Perturbation des relations familiales
IVTROUBLES (SYMPTOMES)
La dépendance ne se développe pas d’un jour à l’autre. Souvent, des années sont nécessaires pour que le sujet abuse d’une substance par simple habitude ou, plus tard, qu’il développe une dépendance. En revanche, pour certaines substances, le développement de la dépendance est très rapide.
Exemple de l’alcool et de l’héroïne: beaucoup de gens parviennent à consommer de l’alcool avec modération sans devenir dépendants.
Au contraire, d’autres substances entraînent très rapidement une dépendance psychique et/ou physique: c’est le cas pour l’héroïne pour laquelle quelques jours suffisent ou encore le crack (mélange de cocaïne) qui ne nécessite parfois qu’une seule prise.
Stades de développement d’une dépendance
Phase d’essai: durant cette phase, le sujet veut essayer et expérimenter quelque chose de nouveau. Toutes les substances ne rendent pas immédiatement dépendant mais pour certaines, une seule consommation suffit (héroïne, crack)
Phase d’abus: consommation excessive, le plus souvent de substances psychotropes ou d’alcool. Durant cette phase, des détériorations physiques et psycho-sociales peuvent déjà survenir, mais celles-ci sont ignorées par le sujet.
Phase d’accoutumance: le psychisme et l’organisme se sont adaptés à la substance nocive (développement d’une tolérance). Par conséquent, la dose doit fréquemment être augmentée pour obtenir l’effet désiré.
Dépendance psychique, physique: une fois arrivé à cette phase, il est pratiquement impossible de renoncer et toute la vie du sujet est dictée par sa dépendance. Les amis, la famille et l’emploi du sujet passent au second plan. Les tentatives de la personne de s’en sortir par elle-même échouent. Il n’est pas rare que les sujets connaissent leurs premiers démêlés avec la justice lorsqu’ils ont atteints ce stade (criminalité d’approvisionnement, prostitution, détournement d’argent, etc.)
Signes physiques de sevrage en cas de dépendance à une substance addictive avec formation d'une tolérance
Les symptômes sont plus ou moins prononcés en fonction de la substance:
Transpiration
Tremblements, grelottements
Crampes musculaires
Palpitations cardiaques
Céphalées
Sensation d'avoir froid
Vertige
Pupilles dilatées
Troubles gastro-intestinaux
Douleurs
Agitation, troubles du sommeil
Fatigue
Crises épileptiques, brèves pertes de mémoire (blackout)
Faiblesse ; parfois, altérations cutanées ou symptômes neurologiques en raison d'une alimentation insuffisante
Epuisement
Signes psychiques de sevrage
Hallucinations, idées délirantes
Troubles du comportement
Troubles de la perception
Troubles psychosomatiques (névrose, angoisse)
Troubles affectifs (troubles maniaco-dépressifs)
Troubles de la mémoire
Troubles de la concentration et de la performance
Démence
Si de tels symptômes apparaissent, il convient de noter que les substances addictives sont souvent consommées pour rendre les symptômes d'une maladie psychique supportables.
Signes de sevrage d'une dépendance non liée à une substance addictive
Pour ce type de dépendance, les difficultés psycho-sociales prédominent par rapport aux signes physiques, qui peuvent toutefois aussi être présents.
Les signes suivants peuvent laisser penser à une dépendance:
Désir fréquent et insurmontable, par ex. de se connecter à internet, d'aller au casino, de jouer, de chatter, de regarder la télévision; il en résulte un isolement et une forte restriction des autres centres d'intérêt
Pertes de contrôle avec sentiments de culpabilité croissants
Singularité qui dérange au sein du cercle des personnes proches (amis, partenaire, famille) et négligence
Diminution de la capacité de travail
Dissimulation / dédramatisation des habitudes
Endettement et donc, passage dans l'illégalité
Perte de la notion du temps
Le degré de satisfaction disparaît toujours de plus en plus rapidement (sorte de développement d'une tolérance)
Troubles psychiques en cas de sevrage: nervosité, irritabilité, dépression, troubles du sommeil, agressivité, pensées suicidaires
Tentatives infructueuses répétées de se restreindre
V.Examens (diagnostic)
Anamnèse détaillée avec prise en compte des symptômes décrits par le patient. Consultations médicales fréquentes en raison des symptômes vagues et confus, demandes répétées d'ordonnance pour des sirops antitussifs, des antalgiques ou des tranquillisants. Des accidents fréquents peuvent aussi être le signe d'une dépendance désavouée.
Anamnèse de la dépendance: durée et indications sur les doses consommées, mode de consommation, association de plusieurs substances addictives, circonstances sociales, action espérée des substances, tentatives de traitement personnelles ou médicales.
Anamnèse sociale: famille, environnement social, travail, loisirs, finances, situation par rapport à la justice
Diagnostic de maladies physiques en tant que co-responsables, maladies concomitantes ou conséquences de la dépendance.
Analyses de laboratoire: présence de drogue dans l'organisme, analyses urinaires et sanguines (fonction rénale et hépatique, paramètre inflammatoire, éventuellement hépatite, tuberculose)
Evaluation psychiatrique
VI.Options thérapeutiques
Le chemin pour se sortir d'une dépendance est long et sa durée sera proportionnelle à la durée de la dépendance. Le traitement ne pourra réussir que si le sujet est conscient et comprend qu'il est dépendant. Il doit réellement vouloir s'en sortir et devenir abstinent.
Le mode de traitement dépendra de l'état psychiatrique, psychique et physique du sujet.
Le traitement de sevrage comporte plusieurs phases:
Phase de motivation: elle vise à faire prendre conscience de son problème et de l'urgence d'une abstinence à la personne.
Phase de désintoxication: pour les dépendances à une substance, la désintoxication doit généralement se faire dans le cadre d'une hospitalisation. Elle s'accompagne d'une prise en charge psychique et physique importantes.
Phase de sevrage:Généralement, cette phase est également assortie d'une hospitalisation. Parfois, elle peut s'effectuer en ambulatoire suivi. Elle comporte : psychothérapie, thérapie familiale, thérapie comportementale, exercices de relaxation, etc. Sa durée varie entre 6 semaines et 6 mois.
Phase de suivi et réinsertion: cette phase se concentre essentiellement sur la prévention des rechutes. A cet effet, des groupes de soutien, le médecin de traitant, les thérapies résidentielles ou le suivi ambulatoire peuvent intervenir.
sevrage du tabac: patch antitabac et arrêt volontaire radical avec ou non l'aide de CHAMPIX commercialisé en france pour attenuer sensa de manque
VII.Évolution
Une minorité de personnes parviennent à se tirer d'une dépendance à des drogues ou médicaments par elles-mêmes. Le taux d'abstinence après un traitement de sevrage est d'environ 20-40% pour les personnes dépendantes aux drogues. Toutefois, le taux de rechute est aussi relativement élevé.
Le comportement de dépendance doit être remplacé par un comportement et un mode de vie sains. Souvent, une ancienne dépendance est remplacée par une nouvelle. Ce cas de figure est acceptable si la nouvelle dépendance est moins néfaste pour le sujet et son entourage que l'ancienne dépendance.
QUELQUES CHIFFRES
au niveau mondial
210 millions addicts à la drogue: 4.8% population mondiale agée de 15à 64ans cannbis,amphet,cocaîne opiacés++
Estimation mondiale CA trafic stup: [300 ET 500] milliards dollars 2ème marché après les armes.
en Europe
200 000 décès liés à la drogue/an remède; en hausse dans pays européens 6500 à7000 décès
heroïne et cocaÏne: tjs plus d'adepte surtout Europe de l'ouest
cannabis : la plus consommée 9millions jeunes europeens au cours du dernier mois.
IX en france
A.LES CHIFFRES
drogues .5 millions d usager du cannabis++ et ectasy en recul
alcool: la plus consommatrice des pays d'UE,
1ere exportateur et producteur mondial de vin 5ème biere et 3ème spiritueux
12L/AN/ha de 15 ans ou+
tabac: 5000 décès annuels liés au tabagisme passif
. en 2012 selon INPES:
-secteurs hotellerie-restauration: 44.7% de conso de TABAC
et construction sont propices aux conso:32.7% des conso d'ALCOOL
-secteurs arts et spectacles: 16.6% Cannabis et cocaïne
-augmentation usage des +1/3 des fumeurs reguliers cannabis 13.2% et conso d'alcool 9.3% liée au travail.
B.POLEMIQUES AUTOUR DES DROGUES
-dépénaliser?: conso illégale mais tolérée mais l'usager n'est plus passibles de sanctions penales dc de prison
-légaliser?: mise en vente des stups illicites avec les drogues licites,alcool,tabac.Prohibition de la conso: théorie du commerce passif.
-libéraliser?: conso illégale mais tolérée: permet d'identifier et d'entourer le consommateur: prescription produits de substitution telle que la methadone mais celle-ci ouvre une autre forme de dépendance!
-ouvrir des salles de conso supervisées? dites salles de shoot très plebiscitees par les pro.
X.PREVENTION
- briser les tabous et le silence
-prevention, conseils, accueil:
.Primaire: lutte contre l'exclusion et marginalisation ds zone à risque et developper les campagnes pub
.Secondaire et Tertiaire: diversifier service d'accueil de jour et abris de nuit, traitement post-cure; x campagnes de prevention fortes sans rôle moralisateur.
CF plan gouvernemental 2008/2011:3 phases de com
XI ACTUALITES
1ER JUILLET 2012: ethylotest obligatoire ds les autos
1ER DECEMBRE 2011; mise àdisposition d'ethylo des clients ds dicothèque
1ER FEVRIER 2007: interdiction de fumer dans les lieux publics
JANVIER 2008 : et bars-tabacs, restau,disco
Loi Evin de 1991: relative à la lutte contre le tabagisme et à l'alcoolisme.Notamment interdit la publicité.
L'Assemblée nationale a adopté jeudi 25 octobre une hausse des prix du tabac au 1er juillet 2013, et une réforme de la structure de la fiscalité sur les produits du tabac dès le 1er janvier, dans le cadre du budget de la sécurité sociale.
L'augmentation des taxes le 1er juillet devrait se traduire par un relèvement de 30 centimes (+ 4,5 %) du prix du paquet de cigarettes et de plus de 60 centimes (environ 10 %) de celui des paquets de tabac à rouler, selon des sources proches du dossier.
Cet article du PLFSS (projet de loi de financement de la Sécurité sociale) réforme, au 1er janvier, la structure complexe des taxes sur le tabac en étendant à tous les produits (cigares, cigarillos, tabac à rouler) les mécanismes actuellement appliqués aux cigarettes. Le but est d'éviter un détournement de consommation vers d'autres produits, en particulier le tabac à rouler, en cas de hausse des prix des cigarettes.
L20. ADDICTIONS ET DEPENDANCES
I.DEFINITION
L’OMS définit l’addiction comme "un état de dépendance périodique ou chronique à des substances ou à des comportements". La dépendance se caractérise par la survenue de symptômes de sevrage en cas d’absence de la substance ou activité addictive, ainsi que par le développement d’une tolérance impliquant une augmentation de la dose nécessaire – quels que soient les signes de destruction physique ou psychique.
On estime qu’environ 90% des personnes sont victimes d’une quelconque dépendance. Cette dépendance peut aller d’une simples habitude à des dépendances impliquant un potentiel de destruction physique et mentale. La dépendance peut porter sur des substances (médicaments, drogues, etc.) ou non (travail, internet, etc.).
ALCOOLISME: trouble du comportement se caracterisant par la perte de liberté de s'abstenir d'alcool.Taux légal d'alcoolemie au volant 0.5g/litre de sang pour les automobilistes et 0.2g/l pour les poids lourds.
TABAGISME: intoxication aiguë ou chronique se manifestant par un ensemble de troubles physiologiques et psychiques provoqués par l'abus de tabac
III.FORMES
Dépendances non liées à une substance fréquentes:
Des éléments ne contenant aucune substance addictive peuvent, eux-aussi, donner lieu à un état d’enivrement. Cet état, engendré par une distribution accrue d’endorphine («hormone du bonheur»), peut entraîner une dépendance à partir du plaisir initialement ressenti. Pour ce type de dépendance, la situation de vie et la personnalité de chacun joue également un rôle.
Quelques exemples:
Troubles alimentaires: anorexie, boulimie et binge eating(hyperphagie compulsitionnelle)
Co-dépendance (le désir de toujours vouloir aider autrui, compulsion à aider)
Travail (Workaholic, dépendant du travail)
Sport (les coureurs de marathon sont particulièrement exposés)
Médias : internet, chat, téléphone mobile, SMS, jeux vidéo, etc.
Télévision (dépendance aux séries, feuilletons, etc.)
Dépendance sexuelle, dépendance affective, dépendance relationnelle (soumission, idolation, etc.)
Jeu
Situations extrêmes (bungee-jumping, escalade libre, conduite à vitesse élevée)
Vol (kleptomanie)
Nettoyage
etc.
Exemple de dépendances à une substance
Le terme drogue désigne les substances conduisant à une dépendance. Parmi ces substances, on compte notamment la nicotine, les médicaments addictifs, les stupéfiants ainsi que l’alcool. Leur point commun est qu’elles altèrent la conscience ou la manière de percevoir les choses et peuvent déclencher des sensations que le sujet trouve agréable.
Effet excitant
Drogues légales comme l’alcool en quantité modérée, la caféine, la nicotine
Stimulants comme les amphétamines, speed
Ecstasy (drogue de synthèse)
Cocaïne et crack
Substances à inhaler
Gaz hilarant
Effet tranquillisant:
Médicaments tranquillisants, notamment les benzodiazépines
Somnifères comme les barbituriques
Antalgiques
Alcool en grande quantité
Opiacés comme la morphine ou l’héroïne
Effet hallucinogène
Cannabis (marijuana)
LSD (abréviation de acide lysergique diéthylamide)
Cactus Peyote, qui contient de la mescaline
Champignons magiques
Polytoxicomanie
Le terme polytoxicomanie désigne une dépendance multiple. De nombreuses personnes dépendantes à une substance le sont également à d’autres en parallèle, ce qui complique considérablement le traitement. L'alcool est presque tjs présent.
De nouvelles drogues de synthèse apparaissent regulièrement pour contourner la legislation.
III.Causes
Les causes de survenue d’une dépendance sont multiples. La survenue d’une addiction dépend de la disponibilité de la drogue, de son action, du potentiel de dépendance ou encore de facteurs sociaux. Néanmoins, la cause des dépendances n'est souvent pas très claire. Il est probable que beaucoup de facteurs différents provoquent ou déclenchent une dépendance.
Facteurs de risque individuels fréquents:
Manque d’assurance ou l’inverse: trop grande estime de soi
Influençabilité (effet de groupe, particulièrement durant l’adolescence, exemple des parents et des personnes de confiance)
Ennui
Incapacité à aborder les problèmes, incapacité à gérer les conflits
Souhait d’augmenter ses performances (au travail, dans un sport)
Troubles relationnels
Maladies (psychiques, physiques)
Perturbation des relations familiales
IVTROUBLES (SYMPTOMES)
La dépendance ne se développe pas d’un jour à l’autre. Souvent, des années sont nécessaires pour que le sujet abuse d’une substance par simple habitude ou, plus tard, qu’il développe une dépendance. En revanche, pour certaines substances, le développement de la dépendance est très rapide.
Exemple de l’alcool et de l’héroïne: beaucoup de gens parviennent à consommer de l’alcool avec modération sans devenir dépendants.
Au contraire, d’autres substances entraînent très rapidement une dépendance psychique et/ou physique: c’est le cas pour l’héroïne pour laquelle quelques jours suffisent ou encore le crack (mélange de cocaïne) qui ne nécessite parfois qu’une seule prise.
Stades de développement d’une dépendance
Phase d’essai: durant cette phase, le sujet veut essayer et expérimenter quelque chose de nouveau. Toutes les substances ne rendent pas immédiatement dépendant mais pour certaines, une seule consommation suffit (héroïne, crack)
Phase d’abus: consommation excessive, le plus souvent de substances psychotropes ou d’alcool. Durant cette phase, des détériorations physiques et psycho-sociales peuvent déjà survenir, mais celles-ci sont ignorées par le sujet.
Phase d’accoutumance: le psychisme et l’organisme se sont adaptés à la substance nocive (développement d’une tolérance). Par conséquent, la dose doit fréquemment être augmentée pour obtenir l’effet désiré.
Dépendance psychique, physique: une fois arrivé à cette phase, il est pratiquement impossible de renoncer et toute la vie du sujet est dictée par sa dépendance. Les amis, la famille et l’emploi du sujet passent au second plan. Les tentatives de la personne de s’en sortir par elle-même échouent. Il n’est pas rare que les sujets connaissent leurs premiers démêlés avec la justice lorsqu’ils ont atteints ce stade (criminalité d’approvisionnement, prostitution, détournement d’argent, etc.)
Signes physiques de sevrage en cas de dépendance à une substance addictive avec formation d'une tolérance
Les symptômes sont plus ou moins prononcés en fonction de la substance:
Transpiration
Tremblements, grelottements
Crampes musculaires
Palpitations cardiaques
Céphalées
Sensation d'avoir froid
Vertige
Pupilles dilatées
Troubles gastro-intestinaux
Douleurs
Agitation, troubles du sommeil
Fatigue
Crises épileptiques, brèves pertes de mémoire (blackout)
Faiblesse ; parfois, altérations cutanées ou symptômes neurologiques en raison d'une alimentation insuffisante
Epuisement
Signes psychiques de sevrage
Hallucinations, idées délirantes
Troubles du comportement
Troubles de la perception
Troubles psychosomatiques (névrose, angoisse)
Troubles affectifs (troubles maniaco-dépressifs)
Troubles de la mémoire
Troubles de la concentration et de la performance
Démence
Si de tels symptômes apparaissent, il convient de noter que les substances addictives sont souvent consommées pour rendre les symptômes d'une maladie psychique supportables.
Signes de sevrage d'une dépendance non liée à une substance addictive
Pour ce type de dépendance, les difficultés psycho-sociales prédominent par rapport aux signes physiques, qui peuvent toutefois aussi être présents.
Les signes suivants peuvent laisser penser à une dépendance:
Désir fréquent et insurmontable, par ex. de se connecter à internet, d'aller au casino, de jouer, de chatter, de regarder la télévision; il en résulte un isolement et une forte restriction des autres centres d'intérêt
Pertes de contrôle avec sentiments de culpabilité croissants
Singularité qui dérange au sein du cercle des personnes proches (amis, partenaire, famille) et négligence
Diminution de la capacité de travail
Dissimulation / dédramatisation des habitudes
Endettement et donc, passage dans l'illégalité
Perte de la notion du temps
Le degré de satisfaction disparaît toujours de plus en plus rapidement (sorte de développement d'une tolérance)
Troubles psychiques en cas de sevrage: nervosité, irritabilité, dépression, troubles du sommeil, agressivité, pensées suicidaires
Tentatives infructueuses répétées de se restreindre
V.Examens (diagnostic)
Anamnèse détaillée avec prise en compte des symptômes décrits par le patient. Consultations médicales fréquentes en raison des symptômes vagues et confus, demandes répétées d'ordonnance pour des sirops antitussifs, des antalgiques ou des tranquillisants. Des accidents fréquents peuvent aussi être le signe d'une dépendance désavouée.
Anamnèse de la dépendance: durée et indications sur les doses consommées, mode de consommation, association de plusieurs substances addictives, circonstances sociales, action espérée des substances, tentatives de traitement personnelles ou médicales.
Anamnèse sociale: famille, environnement social, travail, loisirs, finances, situation par rapport à la justice
Diagnostic de maladies physiques en tant que co-responsables, maladies concomitantes ou conséquences de la dépendance.
Analyses de laboratoire: présence de drogue dans l'organisme, analyses urinaires et sanguines (fonction rénale et hépatique, paramètre inflammatoire, éventuellement hépatite, tuberculose)
Evaluation psychiatrique
VI.Options thérapeutiques
Le chemin pour se sortir d'une dépendance est long et sa durée sera proportionnelle à la durée de la dépendance. Le traitement ne pourra réussir que si le sujet est conscient et comprend qu'il est dépendant. Il doit réellement vouloir s'en sortir et devenir abstinent.
Le mode de traitement dépendra de l'état psychiatrique, psychique et physique du sujet.
Le traitement de sevrage comporte plusieurs phases:
Phase de motivation: elle vise à faire prendre conscience de son problème et de l'urgence d'une abstinence à la personne.
Phase de désintoxication: pour les dépendances à une substance, la désintoxication doit généralement se faire dans le cadre d'une hospitalisation. Elle s'accompagne d'une prise en charge psychique et physique importantes.
Phase de sevrage:Généralement, cette phase est également assortie d'une hospitalisation. Parfois, elle peut s'effectuer en ambulatoire suivi. Elle comporte : psychothérapie, thérapie familiale, thérapie comportementale, exercices de relaxation, etc. Sa durée varie entre 6 semaines et 6 mois.
Phase de suivi et réinsertion: cette phase se concentre essentiellement sur la prévention des rechutes. A cet effet, des groupes de soutien, le médecin de traitant, les thérapies résidentielles ou le suivi ambulatoire peuvent intervenir.
sevrage du tabac: patch antitabac et arrêt volontaire radical avec ou non l'aide de CHAMPIX commercialisé en france pour attenuer sensa de manque
VII.Évolution
Une minorité de personnes parviennent à se tirer d'une dépendance à des drogues ou médicaments par elles-mêmes. Le taux d'abstinence après un traitement de sevrage est d'environ 20-40% pour les personnes dépendantes aux drogues. Toutefois, le taux de rechute est aussi relativement élevé.
Le comportement de dépendance doit être remplacé par un comportement et un mode de vie sains. Souvent, une ancienne dépendance est remplacée par une nouvelle. Ce cas de figure est acceptable si la nouvelle dépendance est moins néfaste pour le sujet et son entourage que l'ancienne dépendance.
QUELQUES CHIFFRES
au niveau mondial
210 millions addicts à la drogue: 4.8% population mondiale agée de 15à 64ans cannbis,amphet,cocaîne opiacés++
Estimation mondiale CA trafic stup: [300 ET 500] milliards dollars 2ème marché après les armes.
en Europe
200 000 décès liés à la drogue/an remède; en hausse dans pays européens 6500 à7000 décès
heroïne et cocaÏne: tjs plus d'adepte surtout Europe de l'ouest
cannabis : la plus consommée 9millions jeunes europeens au cours du dernier mois.
IX en france
A.LES CHIFFRES
drogues .5 millions d usager du cannabis++ et ectasy en recul
alcool: la plus consommatrice des pays d'UE,
1ere exportateur et producteur mondial de vin 5ème biere et 3ème spiritueux
12L/AN/ha de 15 ans ou+
tabac: 5000 décès annuels liés au tabagisme passif
. en 2012 selon INPES:
-secteurs hotellerie-restauration: 44.7% de conso de TABAC
et construction sont propices aux conso:32.7% des conso d'ALCOOL
-secteurs arts et spectacles: 16.6% Cannabis et cocaïne
-augmentation usage des +1/3 des fumeurs reguliers cannabis 13.2% et conso d'alcool 9.3% liée au travail.
B.POLEMIQUES AUTOUR DES DROGUES
-dépénaliser?: conso illégale mais tolérée mais l'usager n'est plus passibles de sanctions penales dc de prison
-légaliser?: mise en vente des stups illicites avec les drogues licites,alcool,tabac.Prohibition de la conso: théorie du commerce passif.
-libéraliser?: conso illégale mais tolérée: permet d'identifier et d'entourer le consommateur: prescription produits de substitution telle que la methadone mais celle-ci ouvre une autre forme de dépendance!
-ouvrir des salles de conso supervisées? dites salles de shoot très plebiscitees par les pro.
X.PREVENTION
- briser les tabous et le silence
-prevention, conseils, accueil:
.Primaire: lutte contre l'exclusion et marginalisation ds zone à risque et developper les campagnes pub
.Secondaire et Tertiaire: diversifier service d'accueil de jour et abris de nuit, traitement post-cure; x campagnes de prevention fortes sans rôle moralisateur.
CF plan gouvernemental 2008/2011:3 phases de com
XI ACTUALITES
1ER JUILLET 2012: ethylotest obligatoire ds les autos
1ER DECEMBRE 2011; mise àdisposition d'ethylo des clients ds dicothèque
1ER FEVRIER 2007: interdiction de fumer dans les lieux publics
JANVIER 2008 : et bars-tabacs, restau,disco
Loi Evin de 1991: relative à la lutte contre le tabagisme et à l'alcoolisme.Notamment interdit la publicité.
L'Assemblée nationale a adopté jeudi 25 octobre une hausse des prix du tabac au 1er juillet 2013, et une réforme de la structure de la fiscalité sur les produits du tabac dès le 1er janvier, dans le cadre du budget de la sécurité sociale.
L'augmentation des taxes le 1er juillet devrait se traduire par un relèvement de 30 centimes (+ 4,5 %) du prix du paquet de cigarettes et de plus de 60 centimes (environ 10 %) de celui des paquets de tabac à rouler, selon des sources proches du dossier.
Cet article du PLFSS (projet de loi de financement de la Sécurité sociale) réforme, au 1er janvier, la structure complexe des taxes sur le tabac en étendant à tous les produits (cigares, cigarillos, tabac à rouler) les mécanismes actuellement appliqués aux cigarettes. Le but est d'éviter un détournement de consommation vers d'autres produits, en particulier le tabac à rouler, en cas de hausse des prix des cigarettes.
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Re: Fiches Culture Générale 2013
A rajouter options therapeutiques ds le sevrage therapeutique
L'arrêt du tabac : une prise en charge des substituts nicotiniques
Article mis à jour le 31 août 2012 L'Assurance Maladie vous accompagne dans l'arrêt du tabac. Elle prend en charge, sur prescription médicale établie par un médecin ou une sage-femme, les traitements par substituts nicotiniques (patch, gomme, pastille, inhalateur... ) à hauteur de 50 € par année civile et par bénéficiaire. Pour les femmes enceintes, ce montant est porté à 150 € à compter du 1erseptembre 2011.
L'arrêt du tabac : une prise en charge des substituts nicotiniques
Article mis à jour le 31 août 2012 L'Assurance Maladie vous accompagne dans l'arrêt du tabac. Elle prend en charge, sur prescription médicale établie par un médecin ou une sage-femme, les traitements par substituts nicotiniques (patch, gomme, pastille, inhalateur... ) à hauteur de 50 € par année civile et par bénéficiaire. Pour les femmes enceintes, ce montant est porté à 150 € à compter du 1erseptembre 2011.
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Re: Fiches Culture Générale 2013
Je n'arrive decidement pas a rediger quoi que ce soit ca m'enerve et je m'en excuse aupres de vous de ne pas etre plus utile que ca....
J'ai trouver qqs infos complementaires :
L20-Addictions, Tabac, Drogue, Alcool...
I-Definition
Addiction : asservissement d'un sujet a une substance ou une activité plus ou moins nefaste pour la santé du sujet dont il a contracté l'habitude par usage plus ou moins frequents et répété.
II-Les differentes formes d'addiction
-Cigarettes
-Alcool
-Drogue de tt sortes
-Jeux en ligne ou autre cyberdependance (telephone, ordinateur, reseaux sociaux)
-Paris (sportifs ou non)
-Poker ou autres jeux d'argent
-Nourriture
-Sexe
J'ai trouver qqs infos complementaires :
L20-Addictions, Tabac, Drogue, Alcool...
I-Definition
Addiction : asservissement d'un sujet a une substance ou une activité plus ou moins nefaste pour la santé du sujet dont il a contracté l'habitude par usage plus ou moins frequents et répété.
II-Les differentes formes d'addiction
-Cigarettes
-Alcool
-Drogue de tt sortes
-Jeux en ligne ou autre cyberdependance (telephone, ordinateur, reseaux sociaux)
-Paris (sportifs ou non)
-Poker ou autres jeux d'argent
-Nourriture
-Sexe
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Re: Fiches Culture Générale 2013
Meme pas puisque VIRGUINIE03 avait deja tt mis !
Promis a la prochaine je me rattrape !!
Promis a la prochaine je me rattrape !!

Re: Fiches Culture Générale 2013
Bonjour j'ai un sujet sur le milieu carcéral, que j'ai fais avec une prof en cours en prépa, ça vous interresse ?
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Re: Fiches Culture Générale 2013
Tu peux mettre ce que tu as ca n'handicapera personne je pense et peut etre que les chefs de ce topic inclueront ton travail dans une fiche 

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Re: Fiches Culture Générale 2013
Oui oui mago2 je pense que ça va interesser tout le monde merci
Re: Fiches Culture Générale 2013
Conditions de vie : liens avec la famille
Pour maintenir les liens familiaux il y a ales lettres, les parloirs. Les proches des détenus sont 500 000 (adultes et enfants)
En maison d’arrêt : 30 min a 1h par semaine.
Centre de détention / maison centrale : w-e et jours férié (maximum 3h)
Il y a des parloirs communs et dans certains cas des parloirs intimes (avec femmes et enfants). Il y a des unités de vie familiale, ou il peut recevoir la famille pendant 2 ou 3 jours (on a pu le voir au Québec), c’est en fait une petite maison qui est dans la prison.
Il y en a qui n’ont pas de visite ou qui ont perdu tout contact, donc pour la vie sociale, il y a des visiteurs de prisons (qui ne savent pas les crimes). Ils s’écrivent des lettres avec ces visiteurs également.
Les femmes détenues : elles ont souvent peu de visite de leur conjoint car les conjoints s’en vont. Mais elles ont la visite de leurs enfants et de leur famille d’origine (parents frère).
Pour les femmes enceintes en prison : accouchement en hôpital, elles ne sont plus menottées en accouchant. Elles peuvent ensuite le garder jusqu'à 18mois, en effet il y a des prisons avec des nurseries (cellules adaptée), il y a environ 70 places dans ces cellules.
Elles sont isolées des autres détenus, promenade pas en même temps que les autres détenus. Lorsque la mère est incarcérée après 18mois : famille d’accueil adaptée.
Pourquoi 18 mois ?
Car à 18 mois il marche, donc on estime ensuite l’espace trop réduit.
Les enfants plus tard deviennent sensibles aux bruits de clés, et problème de vue : distance lointaine.
Une femme ayant un enfant de 2 mois peut venir avec en prison.
Si le père est incarcéré aussi, il est présenté à son père
Les activités des détenus en prison :
20% des détenus ont une formation, mais les formateurs n’aiment pas vraiment les prisons car ils sont mal rémunérés. Les formateurs luttent contre l’illettrisme et formation professionnel.
Il y en a peu qui profite de la formation. Le détenu peut travailler : nettoyage ou service. Si c’est ça, le détenu est choisi, non dangereux car ils sont hors de la cellule.
Ils peuvent avoir un travail un travail hors prison : usine conditionnement. C’est de la sous traitante de détenus. Ils sont rémunérés : 50% du salaire minimum ou au nombre de boite a la journée.
40% des détenus travail : avantageux pour les entreprises.
Avec cet argent, soit ils épargnent ou ils peuvent acheter en prison (ps : manque de serviette hygiénique ou dentifrice)
Parfois il y a de la prostitution pour avoir de l’argent ( => ouvrage Véronique Vasseur)
Pour les détenus qui doivent indemnisés les victimes : ils gardent l’argent pour l’indemnisation.
S’ils ne sont ni former ni avec un travail il y a aussi des activités : sportives, ils peuvent faire peinture, théâtre, poterie et parfois des concerts en prison.
Les délinquants sexuels ne sortent jamais. Ils ont un surnom : les pointeurs.
Mineurs : 13ans-18ans
(Près ici : Valencienne ou Mantes la Jolie)
Il y a des enseignants qui interviennent = remise à niveau. Mais il y a peu d’intervenant
Centre éducatif fermé crée à partir de 2007 : près de Beauvais et Doudeville. Prend en charge de jeune délinquant : faut que ce soit le premier délit car espoir de le remettre sur le droit chemin. C’est une enceinte de 6m de haut, pour donner le symbole de la limite. Ce sont des éducateurs dans ces prisons : PJJ : protection judiciaire de la jeunesse (maximum 60 mineurs)
Ce sont à 100% des garçons ; Ces centres existent depuis 5/6ans.
Résultats mitigés : perspectives éducatives difficile à mettre en œuvre. Gouvernement à prévu de les fermer.
Chez les mineurs les tentatives de suicides sont supérieures par rapports aux majeurs. Il y a énormément de jeunes poly toxicomane (plusieurs drogues) et il y a un sevrage lors de leur incarcération.
Système de santé en milieu carcéral :
Loi de 1994 : le détenu en prison pris en charge par l’assurance maladie à 100% sans cotiser, c’est l’état qui prend en charge.
Prise en charge somatique (physique) et psychiatrique.
A l’intérieur de la prison, on a des unités de consultations et de soins ambulatoire (UCSA) pour les somatiques. Il y a les soins en milieu pénitentiaire (soin infirmier : distribution médoc’) soin dentaire, examens laboratoire.
Si jamais le détenu doit être hospitalisé :
Si c’est – de 48h ou urgence : hôpital le plus proche et il sera escorté et surveillé (Pour IRM ou des trucs comme ça)
Si c’est + de 48h : unités hospitalière sécurisée interrégionale (UHSI), il y en a 8 en France.
C’est une unité construite à coté d’un hôpital à l’intérieur c’est comme un hôpital mais avec des chambres fermées a clé.
Pour les psychique et psychiatrique : (SMPR) service médico psychologique régional (170), c’est à l’intérieur ou à coté des prisons : soit maison d’arrêt ou centre de détention.
Le détenu peut demander a voir un psychologue ou un psychiatre. Le détenu peut être pris en charge dans un hôpital de jour. Si ça ne va pas bien du tout => hospitalisé en hôpital psychiatrique.
Si détenu trouble la prison sans être conscient hospitalisé en hôpital psychiatrique.
Si détenu incontrôlable : UMD (unité médicalisée pour patient difficiles)
Les médecins font des vacations : ce sont des spécialistes qui sont habilité à aller en prison
Niveau d'étude des détenus :
60 % des détenus ont un niveau CM2
15 % sont illettrés, c'est-à-dire qui a appris à lire écrire mais il ne le maîtrise toujours pas
20 % ont un niveau CAP-BEP (ils n'ont pas de diplôme)
(PS niveau d'illettrisme en France égale 8 %)
Le plus efficace est de leur apprendre à maîtriser la langue française durant leur détention.
Les pathologies chez les détenus :
-Les détenus sont surreprésentés dans le pourcentage du VIH du à la drogue. En effet la toxicomanie amène à la séropositivité.
Il est deux fois plus de séropositifs en prison que en population générale.
-Les détenus sont aussi touchés par des troubles psychiques : un détenu sur cinq (20 %) à côtoyer des milieux psychiatriques avant d'être incarcéré. Les conditions de vie des prisons augmentent les troubles psychiques et en provoque d'autres.
50 % sont des troubles dépressifs, 35 % des troubles de dépendance à des drogues, 25 % troublent psychiques comme la schizophrénie ou des psychoses.
Cela fait plus de 100 % car en effet on peut avoir plusieurs de ses troubles à la fois.
Augmentation des troubles psychiques dans les prisons :
Plus de détenus plus les conditions de vie sont moins bonnes donc plus il y a de troubles. De plus les troubles psychiques sont mieux diagnostiqués. Il y a plus assez de place en psychiatrie donc les gens sont de leur prison d'où plus de détenus qui ont des troubles psychiques.
En 1900 il y avait 85 000 lits dans les hôpitaux psychiatriques aujourd'hui il n'y en a que 40 000.
Cela explique le taux de suicide en prison, supérieur six fois auto général, (un suicide tous les trois jours) et trois tentatives par jour. Les tentatives de suicide se font par pendaison, par médicaments qui sont stockés en allant l'infirmerie, suicide par auto lise, digestion de produits toxiques, ou ingurgitation de lames de rasoir ou de fourchette. Beaucoup de suicides se font au début d'incarcération à cause du choc que de l'enfermement.
j'espère qu'il n'y a pas trop de fautes mais je promets rien! Je pense que ça peut être utile
Pour maintenir les liens familiaux il y a ales lettres, les parloirs. Les proches des détenus sont 500 000 (adultes et enfants)
En maison d’arrêt : 30 min a 1h par semaine.
Centre de détention / maison centrale : w-e et jours férié (maximum 3h)
Il y a des parloirs communs et dans certains cas des parloirs intimes (avec femmes et enfants). Il y a des unités de vie familiale, ou il peut recevoir la famille pendant 2 ou 3 jours (on a pu le voir au Québec), c’est en fait une petite maison qui est dans la prison.
Il y en a qui n’ont pas de visite ou qui ont perdu tout contact, donc pour la vie sociale, il y a des visiteurs de prisons (qui ne savent pas les crimes). Ils s’écrivent des lettres avec ces visiteurs également.
Les femmes détenues : elles ont souvent peu de visite de leur conjoint car les conjoints s’en vont. Mais elles ont la visite de leurs enfants et de leur famille d’origine (parents frère).
Pour les femmes enceintes en prison : accouchement en hôpital, elles ne sont plus menottées en accouchant. Elles peuvent ensuite le garder jusqu'à 18mois, en effet il y a des prisons avec des nurseries (cellules adaptée), il y a environ 70 places dans ces cellules.
Elles sont isolées des autres détenus, promenade pas en même temps que les autres détenus. Lorsque la mère est incarcérée après 18mois : famille d’accueil adaptée.
Pourquoi 18 mois ?
Car à 18 mois il marche, donc on estime ensuite l’espace trop réduit.
Les enfants plus tard deviennent sensibles aux bruits de clés, et problème de vue : distance lointaine.
Une femme ayant un enfant de 2 mois peut venir avec en prison.
Si le père est incarcéré aussi, il est présenté à son père
Les activités des détenus en prison :
20% des détenus ont une formation, mais les formateurs n’aiment pas vraiment les prisons car ils sont mal rémunérés. Les formateurs luttent contre l’illettrisme et formation professionnel.
Il y en a peu qui profite de la formation. Le détenu peut travailler : nettoyage ou service. Si c’est ça, le détenu est choisi, non dangereux car ils sont hors de la cellule.
Ils peuvent avoir un travail un travail hors prison : usine conditionnement. C’est de la sous traitante de détenus. Ils sont rémunérés : 50% du salaire minimum ou au nombre de boite a la journée.
40% des détenus travail : avantageux pour les entreprises.
Avec cet argent, soit ils épargnent ou ils peuvent acheter en prison (ps : manque de serviette hygiénique ou dentifrice)
Parfois il y a de la prostitution pour avoir de l’argent ( => ouvrage Véronique Vasseur)
Pour les détenus qui doivent indemnisés les victimes : ils gardent l’argent pour l’indemnisation.
S’ils ne sont ni former ni avec un travail il y a aussi des activités : sportives, ils peuvent faire peinture, théâtre, poterie et parfois des concerts en prison.
Les délinquants sexuels ne sortent jamais. Ils ont un surnom : les pointeurs.
Mineurs : 13ans-18ans
(Près ici : Valencienne ou Mantes la Jolie)
Il y a des enseignants qui interviennent = remise à niveau. Mais il y a peu d’intervenant
Centre éducatif fermé crée à partir de 2007 : près de Beauvais et Doudeville. Prend en charge de jeune délinquant : faut que ce soit le premier délit car espoir de le remettre sur le droit chemin. C’est une enceinte de 6m de haut, pour donner le symbole de la limite. Ce sont des éducateurs dans ces prisons : PJJ : protection judiciaire de la jeunesse (maximum 60 mineurs)
Ce sont à 100% des garçons ; Ces centres existent depuis 5/6ans.
Résultats mitigés : perspectives éducatives difficile à mettre en œuvre. Gouvernement à prévu de les fermer.
Chez les mineurs les tentatives de suicides sont supérieures par rapports aux majeurs. Il y a énormément de jeunes poly toxicomane (plusieurs drogues) et il y a un sevrage lors de leur incarcération.
Système de santé en milieu carcéral :
Loi de 1994 : le détenu en prison pris en charge par l’assurance maladie à 100% sans cotiser, c’est l’état qui prend en charge.
Prise en charge somatique (physique) et psychiatrique.
A l’intérieur de la prison, on a des unités de consultations et de soins ambulatoire (UCSA) pour les somatiques. Il y a les soins en milieu pénitentiaire (soin infirmier : distribution médoc’) soin dentaire, examens laboratoire.
Si jamais le détenu doit être hospitalisé :
Si c’est – de 48h ou urgence : hôpital le plus proche et il sera escorté et surveillé (Pour IRM ou des trucs comme ça)
Si c’est + de 48h : unités hospitalière sécurisée interrégionale (UHSI), il y en a 8 en France.
C’est une unité construite à coté d’un hôpital à l’intérieur c’est comme un hôpital mais avec des chambres fermées a clé.
Pour les psychique et psychiatrique : (SMPR) service médico psychologique régional (170), c’est à l’intérieur ou à coté des prisons : soit maison d’arrêt ou centre de détention.
Le détenu peut demander a voir un psychologue ou un psychiatre. Le détenu peut être pris en charge dans un hôpital de jour. Si ça ne va pas bien du tout => hospitalisé en hôpital psychiatrique.
Si détenu trouble la prison sans être conscient hospitalisé en hôpital psychiatrique.
Si détenu incontrôlable : UMD (unité médicalisée pour patient difficiles)
Les médecins font des vacations : ce sont des spécialistes qui sont habilité à aller en prison
Niveau d'étude des détenus :
60 % des détenus ont un niveau CM2
15 % sont illettrés, c'est-à-dire qui a appris à lire écrire mais il ne le maîtrise toujours pas
20 % ont un niveau CAP-BEP (ils n'ont pas de diplôme)
(PS niveau d'illettrisme en France égale 8 %)
Le plus efficace est de leur apprendre à maîtriser la langue française durant leur détention.
Les pathologies chez les détenus :
-Les détenus sont surreprésentés dans le pourcentage du VIH du à la drogue. En effet la toxicomanie amène à la séropositivité.
Il est deux fois plus de séropositifs en prison que en population générale.
-Les détenus sont aussi touchés par des troubles psychiques : un détenu sur cinq (20 %) à côtoyer des milieux psychiatriques avant d'être incarcéré. Les conditions de vie des prisons augmentent les troubles psychiques et en provoque d'autres.
50 % sont des troubles dépressifs, 35 % des troubles de dépendance à des drogues, 25 % troublent psychiques comme la schizophrénie ou des psychoses.
Cela fait plus de 100 % car en effet on peut avoir plusieurs de ses troubles à la fois.
Augmentation des troubles psychiques dans les prisons :
Plus de détenus plus les conditions de vie sont moins bonnes donc plus il y a de troubles. De plus les troubles psychiques sont mieux diagnostiqués. Il y a plus assez de place en psychiatrie donc les gens sont de leur prison d'où plus de détenus qui ont des troubles psychiques.
En 1900 il y avait 85 000 lits dans les hôpitaux psychiatriques aujourd'hui il n'y en a que 40 000.
Cela explique le taux de suicide en prison, supérieur six fois auto général, (un suicide tous les trois jours) et trois tentatives par jour. Les tentatives de suicide se font par pendaison, par médicaments qui sont stockés en allant l'infirmerie, suicide par auto lise, digestion de produits toxiques, ou ingurgitation de lames de rasoir ou de fourchette. Beaucoup de suicides se font au début d'incarcération à cause du choc que de l'enfermement.
j'espère qu'il n'y a pas trop de fautes mais je promets rien! Je pense que ça peut être utile

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- Forcené
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Re: Fiches Culture Générale 2013
coucou oui merci à tous ceux qui se joignent à nous virguinie, unijambiste mago 2 ....d'ailleurs merci Mago je viens de voir ton truc sur le milieu carcéral c'est top !!. c'est cool d'être plus nombreux
je mets le résumé de la L19 demain
des bises
louloute
et au fait y a pas d'chef ici on est tous des chefs!!!
gros bisous
je mets le résumé de la L19 demain
des bises
louloute
et au fait y a pas d'chef ici on est tous des chefs!!!


gros bisous

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- Régulier
- Messages : 31
- Inscription : 18 janv. 2013 17:11
Re: Fiches Culture Générale 2013
waouh mago2 super ta fiche sur le milieu carceral!
merci et à toi aussi louloute pour ton resumé de la L19!!
il sera super comme dab!!
bisous
merci et à toi aussi louloute pour ton resumé de la L19!!
il sera super comme dab!!
bisous
Re: Fiches Culture Générale 2013
Bonjour, voilà une revenante
Tout d'abord je voudrais vous présentez mes meilleurs voeux pour l'année 2013
Je ne sais même pas si vous vous rappeler de moi je n'avais eu le temps que de me présenter, je n'ai même pas eu l'occasion de faire une fiche avec vous et pour celà je vous présente mes excuses
Des difficultés personnelles on fait que j'ai dû laisser tout tomber quelque temps, ce qui fait qu'avec le retard que j'avais déjà c'est sûre pour moi le concours 2013 est mort, je n'arriverais jamais à rattrapé pour cette année.
Par contre si vous êtes d'accord je voudrais continuer la route avec vous car il n'est jamais trop tôt pour commencer donc je commence moi pour 2014
Pour répondre aux questions qui m'avait était posées et auquelles je n'avais pas eu le temps de répondre j'habite dans le Pas-de-Calais et ce n'est pas vraiment une reconversion en faite je reprends mon rêve ou je l'avais laissé pour élever mes enfants.
Bon je vous laisse car j'ai quand meme 25 pages de retard à rattraper.
Bonne journée


Je ne sais même pas si vous vous rappeler de moi je n'avais eu le temps que de me présenter, je n'ai même pas eu l'occasion de faire une fiche avec vous et pour celà je vous présente mes excuses

Des difficultés personnelles on fait que j'ai dû laisser tout tomber quelque temps, ce qui fait qu'avec le retard que j'avais déjà c'est sûre pour moi le concours 2013 est mort, je n'arriverais jamais à rattrapé pour cette année.
Par contre si vous êtes d'accord je voudrais continuer la route avec vous car il n'est jamais trop tôt pour commencer donc je commence moi pour 2014

Pour répondre aux questions qui m'avait était posées et auquelles je n'avais pas eu le temps de répondre j'habite dans le Pas-de-Calais et ce n'est pas vraiment une reconversion en faite je reprends mon rêve ou je l'avais laissé pour élever mes enfants.
Bon je vous laisse car j'ai quand meme 25 pages de retard à rattraper.
Bonne journée
comment travailler la culture générale ?
Comment vous faites pour bosser la culture générale pour ceux qui bossent avec un livre ?
Moi, je lis le chapitre, ensuite je le recopie sur mon cahier en enlevant ce qui me paraît pas important à savoir. Ensuite, je l'apprends paragraphe par paragraphe. Puis je ré-apprends par coeur le chapitre précédent (donc 2ème fois que je l'apprends).
Et de temps en temps, je reviens sur les chapitres plus anciens pour les ré-apprendre une 3ème fois.
Malgré ça, j'ai l'impression de rien retenir.
Je songe aussi à copier par ailleurs les plans de chapitres pour les mémoriser pour avoir déjà un plan en tête pour le sujet d'oral.
Moi, je lis le chapitre, ensuite je le recopie sur mon cahier en enlevant ce qui me paraît pas important à savoir. Ensuite, je l'apprends paragraphe par paragraphe. Puis je ré-apprends par coeur le chapitre précédent (donc 2ème fois que je l'apprends).
Et de temps en temps, je reviens sur les chapitres plus anciens pour les ré-apprendre une 3ème fois.
Malgré ça, j'ai l'impression de rien retenir.
Je songe aussi à copier par ailleurs les plans de chapitres pour les mémoriser pour avoir déjà un plan en tête pour le sujet d'oral.