j'ai des doutes sur ma capacité /envie de devenir IDE
Modérateurs : Modérateurs, ESI
- Maripasoula
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Re: Envie d'arrêter, que faire ?
Pour aller dans ton sens :
- en effet tu donnes l'impression de ne pas être du tout motivé ni à ta place dans cette formation
- ce n'est pas normal que cela ait des conséquences sur ta santé
- c'est inquiétant que même en stage tu aies été mal à l'aise (quoique, tu écris qu'avec les patients ça se passait bien...)
Mais d'un autre côté :
- c'est vrai que cette formation est difficile, et que beaucoup ont eu du mal, même si ils sont devenus après d'excellents professionnels. Moi je trouvais les cours mal faits, pas clairs, avec "des jargons" inutiles et prétentieux ; et puis les monitrices "hors du temps", peu à l'écoute et refusant les critiques... J'ai serré les dents et suis rentrée dans le moule pendant 3 ans, parce que, en stage, je m'éclatais !
- tu ne dis pas ton âge... si tu sors du bac et que ce stage était ton premier contact avec le milieu professionnel, c'est normal que tu n'aies pas trouvé ta place dans l'équipe ! Surtout si tu n'as pas l'habitude d'être avec des gens plus âgés que toi, si tu es réservé, ou au contraire très "dans ta génération". Cela viendra au fil du temps.
- le fait que les aspects professionnels du stage t'aient plu montre que, malgré tout, le métier pourrait te plaire !?
- enfin, tu parles d'arrêter... mais... quel est ton projet, tes envies, du coup ?
Peut-être que tu devrais réfléchir à ce dont tu as vraiment envie avant de prendre ta décision ?
Ce n'est pas facile de se retrouver dans une formation professionnelle, surtout après un bac général, et ça vaut parfois le coup de prendre sur soi...
Bien sûr, ton moniteur, tes amis du lycée qui sont dans d'autres filières, un centre d'orientation... ou l'équipe de ton futur stage pourront t'aider à y voir plus clair.
Bon courage !
- en effet tu donnes l'impression de ne pas être du tout motivé ni à ta place dans cette formation
- ce n'est pas normal que cela ait des conséquences sur ta santé
- c'est inquiétant que même en stage tu aies été mal à l'aise (quoique, tu écris qu'avec les patients ça se passait bien...)
Mais d'un autre côté :
- c'est vrai que cette formation est difficile, et que beaucoup ont eu du mal, même si ils sont devenus après d'excellents professionnels. Moi je trouvais les cours mal faits, pas clairs, avec "des jargons" inutiles et prétentieux ; et puis les monitrices "hors du temps", peu à l'écoute et refusant les critiques... J'ai serré les dents et suis rentrée dans le moule pendant 3 ans, parce que, en stage, je m'éclatais !
- tu ne dis pas ton âge... si tu sors du bac et que ce stage était ton premier contact avec le milieu professionnel, c'est normal que tu n'aies pas trouvé ta place dans l'équipe ! Surtout si tu n'as pas l'habitude d'être avec des gens plus âgés que toi, si tu es réservé, ou au contraire très "dans ta génération". Cela viendra au fil du temps.
- le fait que les aspects professionnels du stage t'aient plu montre que, malgré tout, le métier pourrait te plaire !?
- enfin, tu parles d'arrêter... mais... quel est ton projet, tes envies, du coup ?
Peut-être que tu devrais réfléchir à ce dont tu as vraiment envie avant de prendre ta décision ?
Ce n'est pas facile de se retrouver dans une formation professionnelle, surtout après un bac général, et ça vaut parfois le coup de prendre sur soi...
Bien sûr, ton moniteur, tes amis du lycée qui sont dans d'autres filières, un centre d'orientation... ou l'équipe de ton futur stage pourront t'aider à y voir plus clair.
Bon courage !
Il vaut mieux pomper même s'il ne se passe rien, que risquer qu'il se passe quelque chose de pire en ne pompant pas.
(devise shadok)
IDE FPH depuis 1994.
(devise shadok)
IDE FPH depuis 1994.
Re: arrêter la formation à la fin de la 1ère année?
C'est pas une généralité, il y en a beaucoup qui aiment plus les soins de nursing que les soins "techniques", comme moi, je trouve que c'est un moment privilégié et j'adore faire des toilettes (je préfère largement une toilette à poser une sonde urinaire par exemple, ou poser une perfusion, j'ai jamais courru après et je trouve pas ça plus intéressant qu'une toilette ou plus "valorisant"!), ça m'étonnerait que ça change plus tard même si je deviens IDE, et j'espère toujours faire des toilettes (moins qu'en étant AS c'est clair mais j'espère pas ne plus en faire du tout, ça me manquerait!)....ptiteluludu22 a écrit :Bonsoir,
Je trouve cela dommage de voir les choses de cette manière, c'est sûr l'EHPAD en 1ere année c'est grrr mais bon il ne faut pas oublier que même si on est pas là pour devenir AS, notre premier c'est le leur!!!
Et en 1ére année, il faut bien commencer par quelque chose.
Je sais (et je suis passée par là), les 1ers stages, on veut faire pleins de soins techniques et pas de toilette.
Mais c'est comme ça, faut débuter.
Et puis vous avez encore 2 ans pour des tas de soins techniques.
Bon courage et ne te démotive pas, ce n'est qu'un cap à passer, il y a encore trop de choses à voir pour te dire que tu t'ennuies et que ta formation ne te sert à rien, en 3 éme année tu diras l'inverse
Bonne soirée
J'ai jamais vraiment compris pourquoi certaines IDE considéraient la toilette comme "un cap à passer, bientôt on en fera plus", je ne vois pas ce qu'il y a de désagréable là-dedans, on est tranquille avec le patient, ça lui fait du bien, on peut discuter, on le remet au propre et confortable.... C'est plutôt agréable pour tout le monde non?
Et pourquoi l'EHPAD c'est "grrrrrrr"? A part les conditions de travail, c'est un de mes secteurs préférés les personnes âgées...... je suis dispensée du stage de 5 semaines en S1 mai j'aurais été ravie de le faire en EHPAD (mais surtout pas en crèche, ça c'est grrrrrrr)!
Infirmière DE 2016 En EHPAD
Aide-Soignante DE 2004 En EHPAD
Aide-Soignante DE 2004 En EHPAD
Re: arrêter la formation à la fin de la 1ère année?
Salut,
Je me permet de te donner ma propre expérience et point de vue car je reconnais un peu dans tes propos le jeune homme que j'étais il y a un lorsque j'ai commencé la formation.
Ayant déjà travaillé auparavant, je dois avouer que mon premier stage ( qui fut en maison de retraite ) fut un véritable choc. La position de stagiaire est horrible dans le milieu hospitalier. Je n'appréciais pas l'attitude de la plupart des professionnelles a mon égard. Je les trouvais aigries, méchantes et parfois stupides, que ce soit avec moi ou avec certains patients. Et a mon avis tu retrouvera ça dans beaucoup de lieu de stage, l'humain étant ce qu'il est, il y a peu d'espoir a avoir a ce niveau.
Mais j'ai aussi eu la chance d'être parfois encadré par des gens patients, que ce soit avec moi ou avec les patients/résidents. Je trouve que sur bien des aspects, le stagiaire est proche du patient, comme le patient il est là de passage, comme le patient il est dépendant des infirmier(e)s ( pour apprendre surtout ) et comme le patient, son vécu et son ressentit peut être fortement influencé par la manière dont il est prit en charge.
Concernant les toilettes j'étais comme toi au début. Bon déjà il y a les odeurs, le ressentis du toucher, l'intimité de l'autre et la tienne, et évidement que pour un néophyte c'est quand même pas rien de surmonter ça, surtout qu'on est finalement peu préparé, 1 moi d'IFSI et hop ! Tu te retrouve au front.
Mais tu es garant du bien être de ton patient. Ca veut dire que si son bien être est altéré, c'est toi qui en est responsable. Il y a une flaque d'eau par terre dans sa chambre ? Il peut chuter, ça peut le déranger, il est de ton devoir de la nettoyer. Alors oui, il y a l'ash qui passe faire " le ménage " une fois par jour mais tu peux pas aller la chercher a chaque petite chose, donc tu vas faire tout ce qui est possible pour le bien être de ton patient et ça peut être le fait de passer la serpillère. Pour les toilettes, c'est encore plus naturel puisque si quelqu'un a besoin d'une toilette parce-que sa protection est souillée, j'imagine que ça altère quand même pas mal son bien être. Enfin perso je péterai un câble si je baignais dans mon caca. A partir de là, quand " ça sonne " il est de ton devoir de réagir. C'est donc pas " le travail d'as ", sans compter qu'elles ne peuvent pas non plus être au four et au moulin. S'il n'y a pas beaucoup de soins techniques, on peut faire la toilette d'une chambre qui n'a pas encore " été faite ", et si tout est fini a 9h et bien tant mieux, tout le monde sera content.
Là en gros, t'as deux patients a ta charge a ce que j'ai compris. Soit au top sur leur traitement, les effets indésirables, ce qu'ils risquent, leurs antécédents. Je sais pas si vous avez vu la démarche de soin en cours, mais fais en, et si t'es au top sur les 2 tu demande a prendre d'autres patients en charge. Te décourage pas.
Je me permet de te donner ma propre expérience et point de vue car je reconnais un peu dans tes propos le jeune homme que j'étais il y a un lorsque j'ai commencé la formation.
Ayant déjà travaillé auparavant, je dois avouer que mon premier stage ( qui fut en maison de retraite ) fut un véritable choc. La position de stagiaire est horrible dans le milieu hospitalier. Je n'appréciais pas l'attitude de la plupart des professionnelles a mon égard. Je les trouvais aigries, méchantes et parfois stupides, que ce soit avec moi ou avec certains patients. Et a mon avis tu retrouvera ça dans beaucoup de lieu de stage, l'humain étant ce qu'il est, il y a peu d'espoir a avoir a ce niveau.
Mais j'ai aussi eu la chance d'être parfois encadré par des gens patients, que ce soit avec moi ou avec les patients/résidents. Je trouve que sur bien des aspects, le stagiaire est proche du patient, comme le patient il est là de passage, comme le patient il est dépendant des infirmier(e)s ( pour apprendre surtout ) et comme le patient, son vécu et son ressentit peut être fortement influencé par la manière dont il est prit en charge.
Concernant les toilettes j'étais comme toi au début. Bon déjà il y a les odeurs, le ressentis du toucher, l'intimité de l'autre et la tienne, et évidement que pour un néophyte c'est quand même pas rien de surmonter ça, surtout qu'on est finalement peu préparé, 1 moi d'IFSI et hop ! Tu te retrouve au front.
Mais tu es garant du bien être de ton patient. Ca veut dire que si son bien être est altéré, c'est toi qui en est responsable. Il y a une flaque d'eau par terre dans sa chambre ? Il peut chuter, ça peut le déranger, il est de ton devoir de la nettoyer. Alors oui, il y a l'ash qui passe faire " le ménage " une fois par jour mais tu peux pas aller la chercher a chaque petite chose, donc tu vas faire tout ce qui est possible pour le bien être de ton patient et ça peut être le fait de passer la serpillère. Pour les toilettes, c'est encore plus naturel puisque si quelqu'un a besoin d'une toilette parce-que sa protection est souillée, j'imagine que ça altère quand même pas mal son bien être. Enfin perso je péterai un câble si je baignais dans mon caca. A partir de là, quand " ça sonne " il est de ton devoir de réagir. C'est donc pas " le travail d'as ", sans compter qu'elles ne peuvent pas non plus être au four et au moulin. S'il n'y a pas beaucoup de soins techniques, on peut faire la toilette d'une chambre qui n'a pas encore " été faite ", et si tout est fini a 9h et bien tant mieux, tout le monde sera content.
Là en gros, t'as deux patients a ta charge a ce que j'ai compris. Soit au top sur leur traitement, les effets indésirables, ce qu'ils risquent, leurs antécédents. Je sais pas si vous avez vu la démarche de soin en cours, mais fais en, et si t'es au top sur les 2 tu demande a prendre d'autres patients en charge. Te décourage pas.
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Re: Envie d'arrêter, que faire ?
Coucou
Je n'ai pas lu tous les messages postés, mais j'ai lu avec attention ton message initial. J'ai 30 ans, je suis maman de 2 petits bouts, un bac +5 en environnement et j'avais un CDI dans mon domaine. Tout ça c'est super mais le problème c'est que ce que je faisais ne collait pas du tout avec mes convictions. Je me suis longuement interrogée sur une reconversion. Les questionnements ont parfois été douloureux. Eh oui, les choix sont toujours difficiles. A 17 ans je voulais être médecin mais je n'avais pas confiance en moi. A 25 ans et bac +5 je voulais toujours être médecin. J'ai eu les enfants et là j'ai dit adieu à la médecine. Je me suis donc lancée dans les études d'infirmière. Le choix a été très difficile, vraiment. Mon mari, quant à lui est passé d'ingénieur à la médecine un an avant moi. Ca aussi ça a été dur. Mes beaux-parents surtout ne nous ont pas soutenus dans ce projet insensé. Aujourd'hui on l'a fait et on fait ce qu'on aime.
Ecoute-toi d'abord, et rien que toi. Il n'y a que toi qui sait ce que tu aime. Ne continue pas dans une voie qui n'est pas la tienne, même si le tournant est douloureux. Une carrière dans ce que tu n'aime pas c'est long.
PS: la vieillesse, c'est quand les regrets dépassent les rêves!
Je n'ai pas lu tous les messages postés, mais j'ai lu avec attention ton message initial. J'ai 30 ans, je suis maman de 2 petits bouts, un bac +5 en environnement et j'avais un CDI dans mon domaine. Tout ça c'est super mais le problème c'est que ce que je faisais ne collait pas du tout avec mes convictions. Je me suis longuement interrogée sur une reconversion. Les questionnements ont parfois été douloureux. Eh oui, les choix sont toujours difficiles. A 17 ans je voulais être médecin mais je n'avais pas confiance en moi. A 25 ans et bac +5 je voulais toujours être médecin. J'ai eu les enfants et là j'ai dit adieu à la médecine. Je me suis donc lancée dans les études d'infirmière. Le choix a été très difficile, vraiment. Mon mari, quant à lui est passé d'ingénieur à la médecine un an avant moi. Ca aussi ça a été dur. Mes beaux-parents surtout ne nous ont pas soutenus dans ce projet insensé. Aujourd'hui on l'a fait et on fait ce qu'on aime.
Ecoute-toi d'abord, et rien que toi. Il n'y a que toi qui sait ce que tu aime. Ne continue pas dans une voie qui n'est pas la tienne, même si le tournant est douloureux. Une carrière dans ce que tu n'aime pas c'est long.
PS: la vieillesse, c'est quand les regrets dépassent les rêves!
ESI 2012-2015
S1: SSIAD
S2: EHPAD
Maman d'une petite puce de 5 ans et d'un petit bonhomme de 3 ans et demi.
S1: SSIAD
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Re: Envie d'arrêter, que faire ?
Coucou,
Moi je suis IDE depuis juillet 2012 et je peux te dire une chose, en 1ère année je voulais arréter la formation !!
J'ai eu un 1er stage dans lequel je ne me sentais pas du tout à ma place (EHPAD) je ne trouvais rien d'intéressant ni dans le métier aide soignant ni dans celui d'infirmier. J'avais choisi d'être infirmière pour plusieures raisons que je ne retrouvais pas dans ce lieu de stage. Autrement dit, toutes mes attentes et tous les espoirs que j'avais avant d'entrer à l'IFSI se sont envolés en à peine 5 semaines !! Et ça c'est très dur.
Quand tu te fais une image de quelque chose et que la vérité ne reflète en rien ce que tu t'étais imaginé, ça fait tomber de haut !!
Bref j'ai décidé de m'accrocher car comme toi, je ne voulais pas décevoir mes parents qui tenaient beaucoup à ce métier. La 1ère année a été difficile tant sur le plan des stages que sur le plan théorique car beaucoup de cours indigestes (biologie fondamentale..) d'autant plus que ma promo était la 1ère du nouveau référentiel (j'vous dit pas la galère !!)
J'ai commencé a vraiment prendre mes marques en début de 2ème année puis ca a été de mieux en mieux (grace à des stages ou j'ai retrouvé les valeurs que je cherchais chez les IDE). Et me voila aujourd'hui diplomée depuis 6 mois.. Comme quoi un mauvais début ne rime pas forcément avec ECHEC
En tout cas ce qui est sur c'est qu'il ne faut pas que tu te ruine la santé pour des études. Si tu penses que ce n'est pas fait pour toi, alors ca ne sert à rien de continuer. Après je pense qu'il faut que tu te laisses un peu plus de temps, ca ne fait que 4 mois que tu es entré à l'IFSI et le début n'est pas évident.
As-tu d'autres idées de formation ou de métier qui te tenterait?
Bon courage en tout cas !
Moi je suis IDE depuis juillet 2012 et je peux te dire une chose, en 1ère année je voulais arréter la formation !!
J'ai eu un 1er stage dans lequel je ne me sentais pas du tout à ma place (EHPAD) je ne trouvais rien d'intéressant ni dans le métier aide soignant ni dans celui d'infirmier. J'avais choisi d'être infirmière pour plusieures raisons que je ne retrouvais pas dans ce lieu de stage. Autrement dit, toutes mes attentes et tous les espoirs que j'avais avant d'entrer à l'IFSI se sont envolés en à peine 5 semaines !! Et ça c'est très dur.
Quand tu te fais une image de quelque chose et que la vérité ne reflète en rien ce que tu t'étais imaginé, ça fait tomber de haut !!
Bref j'ai décidé de m'accrocher car comme toi, je ne voulais pas décevoir mes parents qui tenaient beaucoup à ce métier. La 1ère année a été difficile tant sur le plan des stages que sur le plan théorique car beaucoup de cours indigestes (biologie fondamentale..) d'autant plus que ma promo était la 1ère du nouveau référentiel (j'vous dit pas la galère !!)
J'ai commencé a vraiment prendre mes marques en début de 2ème année puis ca a été de mieux en mieux (grace à des stages ou j'ai retrouvé les valeurs que je cherchais chez les IDE). Et me voila aujourd'hui diplomée depuis 6 mois.. Comme quoi un mauvais début ne rime pas forcément avec ECHEC
En tout cas ce qui est sur c'est qu'il ne faut pas que tu te ruine la santé pour des études. Si tu penses que ce n'est pas fait pour toi, alors ca ne sert à rien de continuer. Après je pense qu'il faut que tu te laisses un peu plus de temps, ca ne fait que 4 mois que tu es entré à l'IFSI et le début n'est pas évident.
As-tu d'autres idées de formation ou de métier qui te tenterait?
Bon courage en tout cas !
Il ne faut pas perdre sa vie à la gagner..
23 ans, IDE en médecine générale depuis Juillet 2012..
23 ans, IDE en médecine générale depuis Juillet 2012..
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- Inscription : 20 janv. 2013 13:23
Re: Envie d'arrêter, que faire ?
Bonjour,
Je suis Infirmière et maintenant en fin de formation de sophrologie.
Dans le cadre de mon travail de fin d'études, je dois réaliser un accompagnement.
C'est pourquoi je viens vers vous aujourd'hui, j'ai besoin de plusieurs volontaires souhaitant se préparer aux concours, étant sujet au stress notamment et souhaitant être accompagnés grâce à la sophrologie afin de pouvoir passer ses concours sereinement.
Les volontaires devront habiter la région parisienne et idéalement l'Essonne.
Si vous êtes intéressés et que vous souhaitez plus de renseignements, vous pouvez me contacter sur mon mail: asparnas.sophro@gmail.com
À très bientôt
Je suis Infirmière et maintenant en fin de formation de sophrologie.
Dans le cadre de mon travail de fin d'études, je dois réaliser un accompagnement.
C'est pourquoi je viens vers vous aujourd'hui, j'ai besoin de plusieurs volontaires souhaitant se préparer aux concours, étant sujet au stress notamment et souhaitant être accompagnés grâce à la sophrologie afin de pouvoir passer ses concours sereinement.
Les volontaires devront habiter la région parisienne et idéalement l'Essonne.
Si vous êtes intéressés et que vous souhaitez plus de renseignements, vous pouvez me contacter sur mon mail: asparnas.sophro@gmail.com
À très bientôt
Re: Envie d'arrêter, que faire ?
en fait,au moment ou on apprend les cours,il n'y a pas tellement de raisons que cela plaise.Par contre quand on écoute le cours,on peut être content de s'instruire sur le sujet traité,le plaisir est gâché si on pense que l'on ne và jamais réussir à retenir cela.Tout ça pour te dire,est ce que tu ne te sens pas de niveau pour apprendre ou est ce que tu croyais que l'apprentissage de la biologie ou autre c'était toujours une grande source de joie.En fait la source de joie c'est quand on a réussi à s'enfermer deux heures pour apprendre un cours difficile et que après c'est fait:ouf!Je pense que tes parents voudraient que tu fasses cette expérience et que tu la réussisse et ensuite ils discuteront.Je ne sais pas si ils ont raison.
Re: Envie d'arrêter, que faire ?
Dans le même cas que toi, ainsi qu'une vingtaines de personnes de ma promo que je fréquente.
Je suis sur d'avoir foiré la plupart de mes partielles et j'en ai d'autres qui suivent les 2 prochaines semaines.
Évidemment j'ai bossé ce qu'on pourrait dire 1/3 des cours par manque de motivation. C'est dommage parce que franchement les cours, je les trouve très facile (comparé à ce qu'on peut voir en médecine ou aux autre études sup), c'est juste qu'ils sont mal foutu et chiant à apprendre car on en voit pas directement l'utilité dans notre métier (en on t-elle réellement une pour certains cours?)
--> Aussi le manque de motivation de la moitié de la promo, les journées qui raccourcissent et le stress des partielles font que je commence à me demander ce que je fais dans cette formation.
Des fois je me demande pourquoi ils ne font pas des évaluations toutes les 2 semaines voire les semaines depuis le début de l'année? Cela m'aurait forcé à travailler et aurait banalisé cette action.
Seul le fais que j'ai galéré à avoir le concours (2 fois) m'attache encore à cette formation, ainsi que l'envie de découvrir mon 2eme stage et la 2eme année surtout, beaucoup plus intéressante d'après pas mal de monde. Aussi une seule idée d'avenir: le bloc, plus précisément IADE et sa complexité.
Et pour ce qui est de l'intégration dans ma promo, NADA maintenant, je traine avec 5-6 personnes et c'est tout, j’éprouve un énorme désintérêt pour le reste de la promo (pourtant j'en ai passé du temps avec beaucoup d'autres gens), certains ne doivent même plus me reconnaître, mais bon c'est comme ça, osef.
Juste pour te dire que t'es pas la/le seul, accroches toi, ait ta 1ere année au moins (tu pourra bosser en tant qu'aide soignant cet été comme ça) et occupes toi l'esprit, fais spontanément ce que t'aimes faire et surtout, évite les ATDP si possible
Je suis sur d'avoir foiré la plupart de mes partielles et j'en ai d'autres qui suivent les 2 prochaines semaines.
Évidemment j'ai bossé ce qu'on pourrait dire 1/3 des cours par manque de motivation. C'est dommage parce que franchement les cours, je les trouve très facile (comparé à ce qu'on peut voir en médecine ou aux autre études sup), c'est juste qu'ils sont mal foutu et chiant à apprendre car on en voit pas directement l'utilité dans notre métier (en on t-elle réellement une pour certains cours?)
--> Aussi le manque de motivation de la moitié de la promo, les journées qui raccourcissent et le stress des partielles font que je commence à me demander ce que je fais dans cette formation.
Des fois je me demande pourquoi ils ne font pas des évaluations toutes les 2 semaines voire les semaines depuis le début de l'année? Cela m'aurait forcé à travailler et aurait banalisé cette action.
Seul le fais que j'ai galéré à avoir le concours (2 fois) m'attache encore à cette formation, ainsi que l'envie de découvrir mon 2eme stage et la 2eme année surtout, beaucoup plus intéressante d'après pas mal de monde. Aussi une seule idée d'avenir: le bloc, plus précisément IADE et sa complexité.
Et pour ce qui est de l'intégration dans ma promo, NADA maintenant, je traine avec 5-6 personnes et c'est tout, j’éprouve un énorme désintérêt pour le reste de la promo (pourtant j'en ai passé du temps avec beaucoup d'autres gens), certains ne doivent même plus me reconnaître, mais bon c'est comme ça, osef.
Juste pour te dire que t'es pas la/le seul, accroches toi, ait ta 1ere année au moins (tu pourra bosser en tant qu'aide soignant cet été comme ça) et occupes toi l'esprit, fais spontanément ce que t'aimes faire et surtout, évite les ATDP si possible

ESI 2012-2015
Doute sur mon orientation
Bonjour a tous 
Voila je vous expose mon problème, je suis en 1ere année, et je doute d'être dans la formation qui me convient vraiment.. le métier ne me rebute pas, mais je n 'ai pas la passion pour cette profession, je n'ai jamais vraiment eut le "déclic" comme ils disent lors des entretiens oraux.. Les cours ne me plaisent pas plus que ça a part ceux qui enseignent vraiment de la biologie pure (comme la 2.1 et la 2.2)
Je songe très sérieusement a me ré-orienter, mais j'ai peur de finalement faire le mauvais choix... J'ai vu beaucoup de témoignages comme quoi apres quelques mois d'exercices, des jeunes diplômés arrêtent le métier. Pour ma part je pense avoir trop idéalisé la profession... mais après 2 ans de perdu, j'ai vraiment pas envie de refaire a nouveaux un mauvais choix. C'est pour ça que je poste ici, afin de savoir si il y a des témoignages de personnes qui pourraient m'aider.
Je vous remercie d'avance.

Voila je vous expose mon problème, je suis en 1ere année, et je doute d'être dans la formation qui me convient vraiment.. le métier ne me rebute pas, mais je n 'ai pas la passion pour cette profession, je n'ai jamais vraiment eut le "déclic" comme ils disent lors des entretiens oraux.. Les cours ne me plaisent pas plus que ça a part ceux qui enseignent vraiment de la biologie pure (comme la 2.1 et la 2.2)
Je songe très sérieusement a me ré-orienter, mais j'ai peur de finalement faire le mauvais choix... J'ai vu beaucoup de témoignages comme quoi apres quelques mois d'exercices, des jeunes diplômés arrêtent le métier. Pour ma part je pense avoir trop idéalisé la profession... mais après 2 ans de perdu, j'ai vraiment pas envie de refaire a nouveaux un mauvais choix. C'est pour ça que je poste ici, afin de savoir si il y a des témoignages de personnes qui pourraient m'aider.
Je vous remercie d'avance.
- augusta
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Re: Doute sur mon orientation
Si tu es en 1ère année, au niveau des stages, tu n'as pas du voir grand chose.
Tu as fait quoi exactement?
Tu parles de "passion"....je trouve ça fort.
Je ne pense pas avoir une passion pour le métier...il y a des jours où j'adore mon travail, et des jours où ça me gonfle. Tant qu'il y a plus de bons moments que de mauvais, je le garde. Mais pas de passion pour moi. Je dirais plutôt un vif intérêt.
Quand j'étais en formation, j'adorais les cours....la théorie me plaisait plus que la pratique (enfin j'étais plus à l'aise dans la 1ère que dans la 2ème), donc en stage....je subissais plus que je ne kiffais. Sauf dans la discipline que j'ai choisie (ou qui me convient le mieux, la psy).
Donc je pense que tu devrais essayer de voir ce que vont donner tes prochains stages.
Tu as fait quoi exactement?
Tu parles de "passion"....je trouve ça fort.
Je ne pense pas avoir une passion pour le métier...il y a des jours où j'adore mon travail, et des jours où ça me gonfle. Tant qu'il y a plus de bons moments que de mauvais, je le garde. Mais pas de passion pour moi. Je dirais plutôt un vif intérêt.
Quand j'étais en formation, j'adorais les cours....la théorie me plaisait plus que la pratique (enfin j'étais plus à l'aise dans la 1ère que dans la 2ème), donc en stage....je subissais plus que je ne kiffais. Sauf dans la discipline que j'ai choisie (ou qui me convient le mieux, la psy).
Donc je pense que tu devrais essayer de voir ce que vont donner tes prochains stages.
"Penser, c'est penser jusqu'où on pourrait penser différemment" Michel Foucault
Re: Doute sur mon orientation
Merci de ta réponse 
Oui de toute façon je compte bien finir mon année scolaire, mais si mes idées ne changent pas d'ici la, je pense bien me ré-orienter.. En fait, je sais pas vraiment comment l'expliquer mais je pense fortement que le métier ne me plairait peut être pas vraiment... C'est peut être pour cela que j'ai eut des notes assez faibles lors de mes oraux d'ailleurs...

Oui de toute façon je compte bien finir mon année scolaire, mais si mes idées ne changent pas d'ici la, je pense bien me ré-orienter.. En fait, je sais pas vraiment comment l'expliquer mais je pense fortement que le métier ne me plairait peut être pas vraiment... C'est peut être pour cela que j'ai eut des notes assez faibles lors de mes oraux d'ailleurs...
Re: Doute sur mon orientation
Bonsoir
Actuellement en deuxième année je rejoins un peu ce qu'a dit Augusta, en première année les stages c'est pas top top ... Pour ma part j'ai réalisée mon premier stage en EHPAD (long séjour) et le second en Institut Médico Educatif (lieu de vie), à mon plus grand désarroi des stages ou la pratique se fait très rare ! Donc je doute que ce n'est pas très motivant, mais c'est la première année !!!
En revanche en deuxième année sa devient nettement plus différent, pour ma part j'ai trouvée un grand changement. Tout d'abord par rapport aux enseignements théoriques, étudier les pathologies devient super intéressant. Les enseignements pratiques c'est la même chose, bilan sanguin, sondage urinaire... et plus capilluve et tout le tralala ^^ !
Et puis en stage on nous laisse beaucoup plus d'autonomie, et puis ils deviennent plus intéressants !
Il faut savoir que c'est un métier rempli de responsabilités, et que bien sur sa ne doit pas obligatoirement être une "passion" mais il faut l'aimer ce métier, sinon sa se ressent de suite.
Je te souhaite bon courage, en espérant que tu trouveras ton chemin !

Actuellement en deuxième année je rejoins un peu ce qu'a dit Augusta, en première année les stages c'est pas top top ... Pour ma part j'ai réalisée mon premier stage en EHPAD (long séjour) et le second en Institut Médico Educatif (lieu de vie), à mon plus grand désarroi des stages ou la pratique se fait très rare ! Donc je doute que ce n'est pas très motivant, mais c'est la première année !!!
En revanche en deuxième année sa devient nettement plus différent, pour ma part j'ai trouvée un grand changement. Tout d'abord par rapport aux enseignements théoriques, étudier les pathologies devient super intéressant. Les enseignements pratiques c'est la même chose, bilan sanguin, sondage urinaire... et plus capilluve et tout le tralala ^^ !
Et puis en stage on nous laisse beaucoup plus d'autonomie, et puis ils deviennent plus intéressants !
Il faut savoir que c'est un métier rempli de responsabilités, et que bien sur sa ne doit pas obligatoirement être une "passion" mais il faut l'aimer ce métier, sinon sa se ressent de suite.
Je te souhaite bon courage, en espérant que tu trouveras ton chemin !
┣▇▇▇═─ ESI 2o11-2o14
Dernière ligne droite !
Dernière ligne droite !
Re: Doute sur mon orientation
Bonsoir
vois tu moi les stages, ce n'est pas vraiment le problème, je ne me fie pas aux stages pour prendre cette décision, parce que je me doute que ça peut varier énormément. Mon doute repose plus sur la globalité du métier... est-ce que je suis sur de vouloir etre régulièrement confronté a la souffrance? est que la relation patient/soignant me plait vraiment?
J'ai bien peur que non malheureusement, et je sais que IDE est un beau métier, mais peut être pas fait pour moi, j'ai un autre projet en tête...

vois tu moi les stages, ce n'est pas vraiment le problème, je ne me fie pas aux stages pour prendre cette décision, parce que je me doute que ça peut varier énormément. Mon doute repose plus sur la globalité du métier... est-ce que je suis sur de vouloir etre régulièrement confronté a la souffrance? est que la relation patient/soignant me plait vraiment?
J'ai bien peur que non malheureusement, et je sais que IDE est un beau métier, mais peut être pas fait pour moi, j'ai un autre projet en tête...
Re: Doute sur mon orientation
D'accord d'accord
C'est à toi seule de prendre la décision de continuer ou non alors !
La souffrance revient régulièrement, et nous en avons chacun une vision totalement différente.
Ton destin est entre tes mains
En tout cas quelle que soit ta décision je te souhaite bon courage et de t'épanouir dans ce qui te plaira vraiment !

C'est à toi seule de prendre la décision de continuer ou non alors !
La souffrance revient régulièrement, et nous en avons chacun une vision totalement différente.
Ton destin est entre tes mains

En tout cas quelle que soit ta décision je te souhaite bon courage et de t'épanouir dans ce qui te plaira vraiment !
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Dernière ligne droite !
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Re: Envie d'arrêter, que faire ?
Bonsoir, merci encore pour les réponses, j'ai quelques problèmes internet du coup j'suis pas présent souvent ^^
J'ai pris rdv demain midi avec ma référente du S1, on verra bien ce qu'elle en pense, mais plus ça va, plus je lâche le truc.
En ce qui concerne ma réorientation, ça peut paraître bête mais j'ai eu comme un déclic lors de mon 1er stage, même si le mot est fort. Je l'ai fait dans une structure foyer occupationnel/MAS, donc en présence d'Aides Medico-Psychologique, et notamment de Moniteurs Educateurs. J'ai bien aimé ce que faisaient ces derniers. De toute façon dans le métier d'inf, c'est + le côté relationnel, préventif et peut-être éducatif que j'appréciais. Du coup j'ai remis en question mes réelles envies. Au collège je voulais être dans la petite enfance, j'ai fais mon fameux stage de 3ème en crèche, j'ai bien aimé mais j'ai appris qu'il fallait passer par inf pour être dans la puériculture, alors j'ai suivi le cursus. Et avec du recul je me rends compte que j'ai zappé l'autre côté du métier d'inf. Et me suis rendu compte qu'a l'IFSI, malgré mes stages en prépa, c'était un côté qui me plaisait pas.
Du coup en ce moment je me renseigne pas mal sur les métiers + axés vers l'animation, l'éducation, qui je pense me conviendraient mieux, c'est ce que je me dis et c'est ce que me disent mes potes et mes parents quand j'en parle, par rapport à mon caractère, le côté relationnel qui passe bien et ma certaine capacité à "malheureusement" gérer les problèmes, abaisser les tensions etc..
Je connais une éduc spé dans ma famille, et on m'a mis en contact avec une autre, ce qui va m'aider à y voir clair dans tout ça et à réfléchir sur peut-être ma réorientation vers ces milieux.
Je sais que le métier d'educ spé est difficile d'accès donc je vais pas me lancer là-dedans sans reflechir ni m'être assez renseigné si c'est pour faire une nouvelle erreur, et me penche aussi vers le metier de moniteur éducateur, même si pour l'instant je n'en suis qu'a la phase de recherche.
Je pense que mon rdv avec ma référente demain va m'aider aussi, même si je pense avoir atteint un point de non-retour et qu'elle va pas réussir à me motiver à continuer, mais j'espère qu'elle va me rassurer au moins par rapport à ma culpabilité..!
J'ai pris rdv demain midi avec ma référente du S1, on verra bien ce qu'elle en pense, mais plus ça va, plus je lâche le truc.
En ce qui concerne ma réorientation, ça peut paraître bête mais j'ai eu comme un déclic lors de mon 1er stage, même si le mot est fort. Je l'ai fait dans une structure foyer occupationnel/MAS, donc en présence d'Aides Medico-Psychologique, et notamment de Moniteurs Educateurs. J'ai bien aimé ce que faisaient ces derniers. De toute façon dans le métier d'inf, c'est + le côté relationnel, préventif et peut-être éducatif que j'appréciais. Du coup j'ai remis en question mes réelles envies. Au collège je voulais être dans la petite enfance, j'ai fais mon fameux stage de 3ème en crèche, j'ai bien aimé mais j'ai appris qu'il fallait passer par inf pour être dans la puériculture, alors j'ai suivi le cursus. Et avec du recul je me rends compte que j'ai zappé l'autre côté du métier d'inf. Et me suis rendu compte qu'a l'IFSI, malgré mes stages en prépa, c'était un côté qui me plaisait pas.
Du coup en ce moment je me renseigne pas mal sur les métiers + axés vers l'animation, l'éducation, qui je pense me conviendraient mieux, c'est ce que je me dis et c'est ce que me disent mes potes et mes parents quand j'en parle, par rapport à mon caractère, le côté relationnel qui passe bien et ma certaine capacité à "malheureusement" gérer les problèmes, abaisser les tensions etc..
Je connais une éduc spé dans ma famille, et on m'a mis en contact avec une autre, ce qui va m'aider à y voir clair dans tout ça et à réfléchir sur peut-être ma réorientation vers ces milieux.
Je sais que le métier d'educ spé est difficile d'accès donc je vais pas me lancer là-dedans sans reflechir ni m'être assez renseigné si c'est pour faire une nouvelle erreur, et me penche aussi vers le metier de moniteur éducateur, même si pour l'instant je n'en suis qu'a la phase de recherche.
Je pense que mon rdv avec ma référente demain va m'aider aussi, même si je pense avoir atteint un point de non-retour et qu'elle va pas réussir à me motiver à continuer, mais j'espère qu'elle va me rassurer au moins par rapport à ma culpabilité..!