Culture Générale
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Re: Fiches Culture Générale 2013
euh c moi qui me suis proposé pour le résumé de la L22 je vais rajouter ce que tu as mis zala et je le posteLouloute21L13 a écrit :ok je le fais le résumé de la L22
je vous fais des bibis
louloute
bisous
Re: livres, manuels culture générale
C'est effectivement ce livre que j'ai!
Je te donne mon avis mais après je n'ai pas encore passé le concours donc je n'ai peut-être pas tout à fait raison : selon moi les fiches de ce livre sont plutôt complètes, claires, et vont à l'essentiel. Je pense qu'elles peuvent suffirent mais uniquement à condition de faire beaucoup d'annales. Si tu te contentes uniquement de les apprendre, ça me parait un peu maigre. D'autant que j'ai rarement vu des sujets qui se limitaient à un seul thème (c'est souvent plusieurs choses mélangées, d'où l'intérêt de s'entraîner).
En ce qui concerne les tests d'aptitude, les fiches de ce livre sont extra, elles sont très explicites et aident vraiment à comprendre, mais après même combat si tu te cantonnes aux quelques exercices du livre ce n'est pas suffisant. Il faut faire beaucoup d'annales à côté. Surtout pour les tests d'aptitudes.
J'ajoute : si tu as des lacunes ou des difficultés en maths ce petit livre ne suffira pas. C'est là que le méga guide peut être utile : ils ont de nombreux chapitres qui reprennent toutes les bases en maths, avec des cours et des exercices (fractions, calculs, probabilités...). Mais je pense pas que ça vaille le coup de dépenser 30€ dans le méga guide si seuls les chapitres maths t'intéressent, on peut très bien trouver des cours du même genre sur internet par exemple.
Pour résumer selon moi le plus important c'est de s'entraîner et de se mettre en condition : des concours blancs, des annales, le tout en se chronométrant.
+ Ne surtout pas oublier pour la culture G de suivre l'actualité sanitaire et sociale (tv, radio, magazines, sites...)
Je te donne mon avis mais après je n'ai pas encore passé le concours donc je n'ai peut-être pas tout à fait raison : selon moi les fiches de ce livre sont plutôt complètes, claires, et vont à l'essentiel. Je pense qu'elles peuvent suffirent mais uniquement à condition de faire beaucoup d'annales. Si tu te contentes uniquement de les apprendre, ça me parait un peu maigre. D'autant que j'ai rarement vu des sujets qui se limitaient à un seul thème (c'est souvent plusieurs choses mélangées, d'où l'intérêt de s'entraîner).
En ce qui concerne les tests d'aptitude, les fiches de ce livre sont extra, elles sont très explicites et aident vraiment à comprendre, mais après même combat si tu te cantonnes aux quelques exercices du livre ce n'est pas suffisant. Il faut faire beaucoup d'annales à côté. Surtout pour les tests d'aptitudes.
J'ajoute : si tu as des lacunes ou des difficultés en maths ce petit livre ne suffira pas. C'est là que le méga guide peut être utile : ils ont de nombreux chapitres qui reprennent toutes les bases en maths, avec des cours et des exercices (fractions, calculs, probabilités...). Mais je pense pas que ça vaille le coup de dépenser 30€ dans le méga guide si seuls les chapitres maths t'intéressent, on peut très bien trouver des cours du même genre sur internet par exemple.
Pour résumer selon moi le plus important c'est de s'entraîner et de se mettre en condition : des concours blancs, des annales, le tout en se chronométrant.
+ Ne surtout pas oublier pour la culture G de suivre l'actualité sanitaire et sociale (tv, radio, magazines, sites...)
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Retrouvez mon parcours et mes pensées sur : etdemainmatin.wordpress.com
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Re: livres, manuels culture générale
Salut Sophie,
Merci pour ta réponse qui est de nouveau très complète
J'ai un excellent manuel du CNED concernant les maths qui m'est sacrément utile, et je bosse les tests tous les jours (depuis 2 jours...
pas grave je vais rattraper mon retard
). Je viens de commander 2 bouquins de plus pour pouvoir rapidement commencer la culture générale.
Tes conseils sont précieux et je t'en remercie. Je te souhaite que çà marche cette année, à priori si on bosse régulièrement et sérieusement l'écrit et que le feeling passe à l'oral, il n'y a pas de raison
Bon weekend Sophie
Merci pour ta réponse qui est de nouveau très complète

J'ai un excellent manuel du CNED concernant les maths qui m'est sacrément utile, et je bosse les tests tous les jours (depuis 2 jours...


Tes conseils sont précieux et je t'en remercie. Je te souhaite que çà marche cette année, à priori si on bosse régulièrement et sérieusement l'écrit et que le feeling passe à l'oral, il n'y a pas de raison

Bon weekend Sophie

ESI 2013-2016 à CRF Bègles
Re: Fiches Culture Générale 2013
Les pilules contraceptives.
*Il existe 4 générations. Ce mot fait référence à l’évolution de la composition des pilules.
*Les risques associés varient en fonction de la génération.
*La pilule de première génération fait référence aux pilules commercialisées dans les années 60 et qui contenaient de fortes doses d’œstrogène (hormone sexuelle de la femme). Les effets secondaires sont le gonflement des seins, des nausées, des migraines et des troubles vasculaires. Il ne reste plus que la Triella qui est commercialisée.
*Les pilules de deuxième génération sont apparues dans les années 70 et 80, elles contiennent des progestatifs ce qui permet de baisser la dose d’œstrogène. Mais il existe toujours un petit risque de thrombose veineuse. Minidril, Adepal sont des pilules de deuxième génération.
*Le lévonorgestrel (progestatif) est aussi utilisé pour la pilule du lendemain : Norlevo.
*Les pilules de troisième génération ont été commercialisées dans les années 90. Elles contiennent de nouveaux progestatifs qui sont censés avoir moins d’effet secondaires (moins de prise de poids). Mais en réalité, le risque de d’accident thrombo-embolique est deux fois plus élevé.
*En septembre dernier, la ministre de la Santé avait décidé de mettre fin à leur remboursement à partir de septembre 2013. Puis cette date a été avancé de 6 mois = 31 mars 2013. Cela est dû au débat sur les effets secondaires et à une action judicaire qui a été intentée envers ces pilules. Le débat a été relancé à la mi-décembre par le dépôt d’une plainte d’une jeune femme qui a été victime d’un AVC qu’elle impute à la prise en charge d’une pilule de troisième génération. C’est la première plainte déposée en France.
*Les pilules de quatrième génération sont les dernières à avoir fait leur apparition. Le progestatif le plus utilisé est la drospirénone. Les spécialités les plus connues sont Jasmine et Yaz. Les effets secondaires sont les mêmes que pour celles de troisième génération.
*Il existe 4 générations. Ce mot fait référence à l’évolution de la composition des pilules.
*Les risques associés varient en fonction de la génération.
*La pilule de première génération fait référence aux pilules commercialisées dans les années 60 et qui contenaient de fortes doses d’œstrogène (hormone sexuelle de la femme). Les effets secondaires sont le gonflement des seins, des nausées, des migraines et des troubles vasculaires. Il ne reste plus que la Triella qui est commercialisée.
*Les pilules de deuxième génération sont apparues dans les années 70 et 80, elles contiennent des progestatifs ce qui permet de baisser la dose d’œstrogène. Mais il existe toujours un petit risque de thrombose veineuse. Minidril, Adepal sont des pilules de deuxième génération.
*Le lévonorgestrel (progestatif) est aussi utilisé pour la pilule du lendemain : Norlevo.
*Les pilules de troisième génération ont été commercialisées dans les années 90. Elles contiennent de nouveaux progestatifs qui sont censés avoir moins d’effet secondaires (moins de prise de poids). Mais en réalité, le risque de d’accident thrombo-embolique est deux fois plus élevé.
*En septembre dernier, la ministre de la Santé avait décidé de mettre fin à leur remboursement à partir de septembre 2013. Puis cette date a été avancé de 6 mois = 31 mars 2013. Cela est dû au débat sur les effets secondaires et à une action judicaire qui a été intentée envers ces pilules. Le débat a été relancé à la mi-décembre par le dépôt d’une plainte d’une jeune femme qui a été victime d’un AVC qu’elle impute à la prise en charge d’une pilule de troisième génération. C’est la première plainte déposée en France.
*Les pilules de quatrième génération sont les dernières à avoir fait leur apparition. Le progestatif le plus utilisé est la drospirénone. Les spécialités les plus connues sont Jasmine et Yaz. Les effets secondaires sont les mêmes que pour celles de troisième génération.
Re: Fiches Culture Générale 2013
WILLIAMM a écrit :Les pilules contraceptives.
*Il existe 4 générations. Ce mot fait référence à l’évolution de la composition des pilules.
*Les risques associés varient en fonction de la génération.
*La pilule de première génération fait référence aux pilules commercialisées dans les années 60 et qui contenaient de fortes doses d’œstrogène (hormone sexuelle de la femme). Les effets secondaires sont le gonflement des seins, des nausées, des migraines et des troubles vasculaires. Il ne reste plus que la Triella qui est commercialisée.
*Les pilules de deuxième génération sont apparues dans les années 70 et 80, elles contiennent des progestatifs ce qui permet de baisser la dose d’œstrogène. Mais il existe toujours un petit risque de thrombose veineuse. Minidril, Adepal sont des pilules de deuxième génération.
*Le lévonorgestrel (progestatif) est aussi utilisé pour la pilule du lendemain : Norlevo.
*Les pilules de troisième génération ont été commercialisées dans les années 90. Elles contiennent de nouveaux progestatifs qui sont censés avoir moins d’effet secondaires (moins de prise de poids). Mais en réalité, le risque de d’accident thrombo-embolique est deux fois plus élevé.
*En septembre dernier, la ministre de la Santé avait décidé de mettre fin à leur remboursement à partir de septembre 2013. Puis cette date a été avancé de 6 mois = 31 mars 2013. Cela est dû au débat sur les effets secondaires et à une action judicaire qui a été intentée envers ces pilules. Le débat a été relancé à la mi-décembre par le dépôt d’une plainte d’une jeune femme qui a été victime d’un AVC qu’elle impute à la prise en charge d’une pilule de troisième génération. C’est la première plainte déposée en France.
*Les pilules de quatrième génération sont les dernières à avoir fait leur apparition. Le progestatif le plus utilisé est la drospirénone. Les spécialités les plus connues sont Jasmine et Yaz. Les effets secondaires sont les mêmes que pour celles de troisième génération.
Merci, sujet d'actualité!

SS1 : Crèche
SS2 : Pneumologie
SS3 : EHPAD
SS4a : Unité neuro-vasculaire
SS4b : Urgences neuro-vasculaires
SS2 : Pneumologie
SS3 : EHPAD
SS4a : Unité neuro-vasculaire
SS4b : Urgences neuro-vasculaires
Re: Fiches Culture Générale 2013
Les filles, avec Cristal on poste les fiches d'actu en CG sur le topic du mag de la santé parce que ici c surtout les grands thèmes.



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Re: Entraînement culture générale 2013
je passe le 1 er concours à marseille blancarde le 16/03 et ensuite toulon la garde le 23/03 et enfin CRF ollioules le 06/04.
je REjète un oeil à ton travail et je te dis ce que jen pense..
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ESI 2014-2017
Tres contente est fiere d'être prise...
Report de l'annee 2013..
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Re: Entraînement culture générale 2013
Q 1 : j'aimerais beaucoup pouvoir sortir un résumé du même style !! je trouve cela très bien.
Q2 : "Être autiste c'est le reste" ça veut dire quoi ?
par ailleurs je pense que tu devrais plus développer l'argumentation des biens faits de la stimulation intensive.
Attention à la grammaire : d'atténuer: tu peux remplacer par prendre!
stimulation intensiVE;.
Q3 : je trouve ça bien..
A la fin de mes textes je relis et je me dit :"est ce que je réponds bien à la question? "
je poste mon devoir du prochain texte surement demain.. bon weekend à toi..
Le 28, c'est bientot.. j 'espère que tu es pas trop stressée?
Q2 : "Être autiste c'est le reste" ça veut dire quoi ?
par ailleurs je pense que tu devrais plus développer l'argumentation des biens faits de la stimulation intensive.
Attention à la grammaire : d'atténuer: tu peux remplacer par prendre!
stimulation intensiVE;.
Q3 : je trouve ça bien..
A la fin de mes textes je relis et je me dit :"est ce que je réponds bien à la question? "
je poste mon devoir du prochain texte surement demain.. bon weekend à toi..
Le 28, c'est bientot.. j 'espère que tu es pas trop stressée?
ESI 2014-2017
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Re: Questionnaire prepa IFSI
Merci pour tes réponses
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Re: Fiches Culture Générale 2013
merci mon will
@tous le résumé de la L22 sera là demain soir car le week end je bosse
bisous
louloute
@tous le résumé de la L22 sera là demain soir car le week end je bosse
bisous
louloute
Prepa concours infirmier
Bonsoir ,
Je passe 2 concours cette année le 23 mars et 11 avril ( pour l'ecrit )
je commence les revisions ,
pouvez vous me donné des conseils je suis en vacances je compte faire 1 à 2 heures de revision pour l'ecrit ( epreuve francais , test psycho )
pensez vous que c'est assez ?
je tiens a précisé que j'ai passé le concours l'année derniere mais loupé oral avec 11 et 15 a l'ecrit 1 7.5 a l'oral
merci pour vos conseils les filles
Je passe 2 concours cette année le 23 mars et 11 avril ( pour l'ecrit )
je commence les revisions ,
pouvez vous me donné des conseils je suis en vacances je compte faire 1 à 2 heures de revision pour l'ecrit ( epreuve francais , test psycho )
pensez vous que c'est assez ?
je tiens a précisé que j'ai passé le concours l'année derniere mais loupé oral avec 11 et 15 a l'ecrit 1 7.5 a l'oral
merci pour vos conseils les filles

2013 :
TFE ...
TFE ...
Re: Prepa concours infirmier
salut pouvez vous me donnée svp des exemple de teste numérique un exemple d'une année précédente ?
Re: Entraînement culture générale 2013
bonjour,je passe mon premier concours dans 2semaines,je me joins à vous alors pour l'entrainement en culture générale.
que me conseillez vous?
que me conseillez vous?
Re: Prepa concours infirmier
bonjour ,
on en trouve facilement dans les livres j'ai acheté le gros livre pour revisé l'ecrit et l'oral plus un petit avec que des tests .
on en trouve facilement dans les livres j'ai acheté le gros livre pour revisé l'ecrit et l'oral plus un petit avec que des tests .
2013 :
TFE ...
TFE ...
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- Forcené
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Re: Fiches Culture Générale 2013
Voici le résumé de la L22 enfin!!!!! désolée pour le retard
j'ai laissé beaucoup de ce que tu as mis Virguinie car c'est très intéressant
Résumé L22 Internet / communication / médias / loisirs
I Définitions et états des lieux
1 Définition des moyens de communication
Les moyens ou supports de communication sont les outils qui permettent la diffusion de l’information. Ils servent d'intermédiaires pour que l'émetteur puisse exprimer et communiquer son message au récepteur. Les moyens peuvent être oraux, gestuels ou matériels.
2 Les moyens de communication d’avant Internet
Les supports et modes de communication ont évolué au cours de l’Histoire. La première forme de communication a été orale, les hommes en évoluant ont ensuite commencé à développer une nouvelle façon de communiquer comme en témoigne les peintures datant de la préhistoire (il y a 40 000 ans). Les premières écritures datent de 6000 ans. L’écriture s’est ensuite développée et a permis la création de divers supports, l’enseigne, l’affiche peinte ( moyen âge ), l’imprimerie ( 15éme siècle ), la presse ( 17éme siècle ), l’affichage ( 19ème siècle), le télégraphe ( 1837 ), le téléphone ( 1876), le cinéma ( 1900 – 1910 ), la radio ( 1920 ), la télévision ( 1940 ).
3 Les moyens de communication d’aujourd’hui
L’accès à Internet s’est fortement développé depuis 10 ans, aujourd’hui plus de 64% des ménages ont accès à Internet. Le taux d’équipement en ordinateurs et autres technologies prévues pour recevoir l’Internet est de 67%. 38% des internautes utilisent et surfent sur Internet grâce à leurs téléphones mobiles, 80% des internautes déclarent utiliser l’Internet tous les jours. Les Supports les plus utilisés par les individu aujourd’hui en matière de communication sont les SMS, le téléphone, le face à face et les fonctionnalités d’Internet : l’email, les médias sociaux, et les messages instantanés (conversation avec un autre individu, comme les Chats).
4 Les futurs moyens de communication Internet
Les futurs moyens de communication via Internet posent la question de la fiabilité de celui-ci. En effet à l’origine Internet devait pouvoir mettre en relation quelques machines localisées dans des universités Américaines. Ce réseau n’était pas prévu pour les évolutions qu’il a connues, en matière de programmes et de technologies. Ce système mis à grande échelle, a vu ses limites dépassées, ce qui a parfois entraîné une fragilisation et donc des ratés. Ces erreurs ont conduit à des failles permettant des attaques malveillantes et des plantages de serveurs. Cette fragilité et les problèmes qu’elle entraîne vont jouer un rôle majeur dans l’évolution de l’Internet et de ces futures applications. De plus l’une des critiques du système Internet est la part de consommation électrique de réseau qui s’élève entre 1 à 4% de l’électricité mondiale.
Au delà de ces problèmes, les supports de communication devraient évoluer dans deux sens, l’un devrait permettre une communication avec les autres plus poussée et la seconde une communication avec soi même basée sur l’assistanat.
a) La communication avec les autres
Tous les six mois une nouvelle mode dans les réseaux sociaux se dégage (Skype, Myspace, SecondLife, Facebook, Twitter…), cependant ces sites ont un risque permanent : provoquer la lassitude de leurs utilisateurs. De plus en plus de monde est inscrit sur ces communautés. L’utilisateur a de plus en plus de chance d’y croiser des gens avec qui il n’a pas forcement envie de partager sa vie virtuelle.
La liberté des utilisateurs à établir des relations entre eux est primordiale, les modèles gratuits sont ceux qui marchent le mieux. Ils doivent sans cesse redoubler d’originalité pour pouvoir rester compétitif et donner envie à l’utilisateur de partager un moment de sa vie sur les sites.
Cependant ces sites vont devoir évoluer pour proposer toujours plus de contenus multimédias et d’applications. L’internaute cherche de plus en plus à intégrer une communauté où il pourra partager plus que sa vie, une passion ou un intérêt commun qu’il aurait avec d’autres individus. Les sites vont devoir cultiver ces niches, rassembler les individus autour d’un thème, même si cela doit ralentir une ascension universelle. Ils devront également incorporer un système pour que l’utilisateur arrête de partager ses informations sur plusieurs plateformes, comme le font déjà certains sites qui récupèrent les informations Facebook des utilisateurs pour les copier dans leur compte. Les internautes souhaitent de plus en plus maîtriser leur présence sur Internet et cela est un enjeu de taille que va devoir relever le web 2.0.
b) La communication avec soi même.
L’une des évolutions majeures en terme de communication sera un Internet plus intelligent. Lorsque les utilisateurs tapent des mots clés dans un moteur de recherche les résultats ne sont pas toujours pertinents. Une innovation serait de classer les sites selon les intérêts des utilisateurs, grâce à un logiciel avec des paramètres préalablement définis.
L’Internet des objets facilitera la vie de tous les individus, le principe est simple : incorporer Internet dans diverses machines pour les rendre intelligentes et plus pratiques pour l’utilisateur. Un frigo proposant des recettes avec les ingrédients contenus, la localisation des clés dans une maison… Les objets échangeraient des informations soit entre eux, soit sur le net, sans que l’utilisateur ait un rôle à jouer. L’un de ces objets précurseurs, présent sur le marché est un parapluie qui s’éclaire si le temps est, ou risque d’être pluvieux. Il récupère des données météorologiques en dialoguant avec le réseau Wifi de l’utilisateur.
II Internet
est un système d'interconnexion de machines et constitue un réseau informatique mondial, utilisant un ensemble standardisé de protocoles de transfert de données. C'est donc un réseau de réseaux, sans centre névralgique, composé de millions de réseaux aussi bien publics que privés, universitaires, commerciaux et gouvernementaux. Internet transporte un large spectre d'information et permet l'élaboration d'applications et de services variés comme le courrier électronique, la messagerie instantanée et le World Wide Web.
Internet ayant été popularisé par l'apparition du World Wide Web, les deux sont parfois confondus par le public non averti. Le World Wide Web n'est pourtant que l'une des applications d'Internet.
L'accès à Internet peut être obtenu grâce à un fournisseur d'accès à Internet via divers moyens de communication électronique : soit filaire (réseau téléphonique commuté (bas débit), ADSL, fibre optique jusqu'au domicile), soit sans fil (WiMAX, par satellite, 4G+). Un utilisateur d'Internet est désigné par le néologisme « internaute ».
•Population concernée : Les jeunes sont les plus concernés par Internet mais surtout par ces dangers. C’est une population plus à risques car elle est souvent confrontée à ces risques mal connus pour eux. De plus, ce sont les jeunes qui fréquentent le plus la toile.
Cependant, les « plus vieux » peuvent aussi être victimes des dangers d’internet car désormais, on peut aller voir son compte bancaire sur internet, faire ces achats… tout ceci nécessitant l’entrée de son propre code de carte bleue. Avec ce code, l’accès aux comptes bancaires est facilité mais les fraudes et les pièges sont présents malgré les logiciels de sécurité que les hackers, ces criminels de la toile, arrivent à détourner.
•Internet est-il un outil de connaissance si formidable ?
Depuis quelques années, le savoir n’est plus réservé aux universitaires ou aux professionnels, et les sites de vulgarisation, notamment médicale, se multiplient.
Dans le domaine de la santé, cette démocratisation présente des dérives et des dangers…
Tout d’abord, les sites de vulgarisation médicale sont de qualités très diverses. Certains sont écrits par des gens incompétents, des patients déçus, voire des professionnels aux intentions mercantiles.
Beaucoup de sites proposent des blogs et des forums où l’on peut poser toutes sortes de questions.
Mais le plus souvent, il est difficile de déterminer les compétences de celui qui nous répond, et donc la fiabilité de son propos.
Beaucoup d’internautes échangent leurs expériences et se risquent, à des conseils médicaux, voire à des diagnostics souvent farfelus et angoissants. De plus, il existe des sites « militants » aux allures scientifiques, prônant, par exemple, tel ou tel mode de garde ou médecine parallèle.
Des associations de papas (en business avec des avocats !) expliquant que la garde alternée est une nécessité vitale pour l’équilibre de l’enfant, ou au contraire des sites féministes évoquant les graves dangers d’un tel mode de garde…
Méfiez-vous de ceux qui vantent un type de soins ou s’érigent vigoureusement contre tel autre.
La médecine n’est pas une affaire de convictions, ou de militantisme quelconque, mais une discipline scientifique reposant notamment sur des études portant sur des centaines de cas.
Une expérience personnelle n’a aucune valeur scientifique, elle n’est qu’un simple témoignage dont vous ne pouvez ni vérifier l’authenticité, ni tirer des conclusions.
Mais la qualité des informations sur Internet n’est pas l’unique coupable de ces dérives, car certains sites sont tout à fait sérieux. Internet est alors un instrument dont il faut savoir faire bon usage.
Pensez simplement qu’il est possible que vous ne présentiez pas les symptômes dont vous cherchez les causes ! Par exemple, se sentir d’humeur changeante ne correspond pas forcément au symptôme « cyclothymie », ainsi vous ne souffrez probablement pas du trouble bipolaire dont vous avez lu 1000 descriptions sur Internet…
Il est difficile de différencier un symptôme réel de simples variantes de la normale. Cette appréciation, seul le médecin a la compétence et l’expérience de la faire.
S’il vous est arrivé de surfer sur Internet à la recherche d’un diagnostic, vous avez dû remarquer que votre œil était anormalement attiré par les maladies les plus graves. Et d’ailleurs, ces explorations, loin de vous rassurer, intensifient quasi systématiquement vos inquiétudes. Par exemple, vous lirez que votre ganglion isolé est le plus souvent bénin, mais c’est l’idée d’être frappé par un lymphome qui vous hantera. Eh bien, sachez que ce n’est pas Internet mais votre inconscient qui est responsable de cet excès ! C’est-à-dire qu’une part de notre psychisme cherche à les combattre, mais qu’une autre (inconsciente) tente de les maintenir en vie.
Ainsi, les informations inquiétantes sont une sorte de nourriture pour ces angoisses hypocondriaques.
Internet se mue alors en un formidable garde-manger pour ces angoisses voraces !
Pour finir, rajoutons qu’il existe un bénéfice secondaire à s’octroyer soi-même de tels diagnostics.
En effet, cela permet au patient d’éviter toute introspection, ou remise en cause douloureuse.
« Protégé » par une maladie supposée, il n’y a plus lieu de penser !
En voici une dérive d’Internet : tuer la réflexion en la noyant dans un torrent d’informations…
•Dangers d’internet Chez les jeunes
Les jeunes ne se rendent pas compte de la publicité liée aux informations qu'ils diffusent sur leurs blogs, sur les réseaux sociaux ou encore les messageries instantanées.
Ils n'ont pas vraiment conscience que l'anonymat n'existe pas.
L impact réel d'Internet est difficilement mesurable, que ce soit au niveau des menaces sur la santé (épilepsie, dangers de la cyberdépendance et de l'addiction aux jeux vidéos, ondes liées au téléphone portable...), au niveau des comportements liés aux publicités intempestives ou au niveau de la diffusion de contenus violents : les jeux vidéos sanglants, les images brutales et pornographiques, les publicités à caractère pornographique (le sexting est le fait de recevoir des photos de charme sur son téléphone portable).
•La lutte contre la cybercriminalité
Le caractère anonyme d'Internet pousse certains jeunes à mettre en ligne des informations qu'ils ne diraient à personne parce qu'ils peuvent se sentir loin de leur victime. La cyberintimidation est par exemple le fait d'envoyer des insultes ou des menaces, des images truquées mettant en scène les victimes dans des situations embarrassantes ou dégradantes par l'envoi de mails, de SMS (Short Message Service) ou à travers les blogs.
Des adultes utilisent également ces nouvelles technologies pour commettre des infractions : mise en ligne de photos à caractère pédophile, envoi de photos à caractères pornographique sur les téléphones portables via les SMS (sexting), prise de contact sur les forums (sites d'échange, de discussion) sous une fausse identité et en cachant son âge pour rencontrer un mineur (pédophilie), fraude à la carte bleue sur Internet, escroquerie lors d'une vente/achat sur Internet, piratage d'un ordinateur, gravure pour soi ou pour autrui de musiques, films ou logiciels...
• La prévention
- depuis la loi de 5 mars 2007 sur la prévention de la délinquance, le happy slapping et la diffusion des vidéos sont passibles de sanctions pénales.
- et cf ci dessous la loi HADOPI de 2009
III LOI HADOPI
Définition
La loi HADOPI ou la loi pour la création et internet est une loi française introduite en 2009 dans le but de contrôler et de réguler l’accès internet et d’encourager à respecter le droit d’auteur. La loi a été adoptée le 12 mai 2009 par l’assemblée nationale et le 13 mai 2009 par le Sénat français. Elle a été complétée par une nouvelle loi, dite « Hadopi 2 » qui a été adoptée par le Sénat le 15 septembre 2009
Après des passages devant de multiples instances de l'État, le Conseil constitutionnel en déclare certaines mesures clés contraires à la constitution, et la loi est promulguée, sans celles-ci, le 12 juin 2009
Depuis ce moment, la loi fait l’objet de nombreux débats et est hautement controversée. Le sujet est encore d’actualité aujourd’hui.
Après la censure de la loi Hadopi 1 par le conseil constitutionnel le 10 juin 2009, la loi Hadopi 2 est adoptée le 15 septembre 2009.
Qu'est-ce que la loi Hadopi 2 ?
La loi Hadopi 2 est une loi contre le téléchargement illégal. Cette loi tient son nom de la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet. Cette loi est inspirée d’une loi de Grande-Bretagne et des États-Unis qui a déjà prouvé son efficacité
Les sanctions prévues par cette loi
Les sanctions sont qualifiées de « ripostes graduées ». Après qu’un internaute ait téléchargé illégalement une œuvre, il sera d’abord rappelé à l’ordre par des e-mails puis en cas de récidive par une lettre recommandée. Enfin s’il continue son abonnement Internet sera suspendu durant une année ou résilié. En cas de téléchargement intensif l’internaute encourra une amende de 1 500 € a 300 000 € et éventuellement un temps d’emprisonnement.
Les polémiques dues à cette loi
Il y a de nombreux opposants à la loi Hadopi 2 : associations, groupes et simples individus. Ils jugent en général qu'elle instaure une « procédure judiciaire expéditive », « irrespectueuse des droits fondamentaux »1, qu'elle ne sert à rien2 et que la suppression de l’accès à Internet d'une personne est disproportionnée.
Les risques de cette loi
Risque de se voir pirater son compte Internet par wifi. Ainsi certaines personnes risquent de se voir infliger des sanctions pendant que les pirates continuent à télécharger illégalement.
Coûts de mise en œuvre et d'exploitation
Les coûts d'application de la nouvelle loi estimés par le ministère de la Culture à 6,7 millions d'euros. Les fournisseurs d'accès sont en désaccord total avec ces estimations; d'après eux, les coûts atteindront plusieurs dizaines de millions d'euros (100 millions selon La Fédération française des télécoms). De plus, les internautes recevraient l'injonction d'installer sur leur ordinateur un logiciel de sécurisation payant et non interopérable.
Autre loi importante: LOI INFORMATIQUE ET LIBERTE du 6 janvier 1978, définit les principes à respecter lors de la collecte, du traitement et de la conservation des données personnelles. Elle renforce les droits des personnes sur leurs données, prévoit une simplification des formalités administratives déclaratives et précise les pouvoirs de contrôle et de sanction de la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL)
IV MEDIAS
Le terme média désigne, dans l'acception la plus large, tout moyen de diffusion ou naturel (comme le langage, l'écriture, l'affiche) ou technique (comme la radio, la télévision, le cinéma, Internet), permettant la communication, soit de façon unilatérale (transmission d’un message), soit de façon multilatérale par un échange d'informations.
L'expression médias de masse (de l'anglais « mass-media ») caractérise les médias qui ont acquis une diffusion à grande échelle pour répondre rapidement à une demande d'information d'un public vaste, complété dans de nombreux cas par une demande de distraction. La plupart des entreprises dites de média emploient des journalistes et des animateurs de divertissement. Ils recueillent dans un premier temps des informations auprès de sources d'information, en leur assurant la protection des sources d'information, ce qui leur permet d'acquérir une audience, et valorisent dans un second temps leur audience par la vente d'espaces publicitaires. À côté de ce modèle dominant, les chaînes de téléachat et les périodiques ne diffusant que des petites annonces et publicités sont aussi considérés comme des médias.
V Télé réalité, Facebook :
Le règne du couple voyeurisme – exhibitionnisme ?
La télé réalité, et la presse people, jadis honnis, ont aujourd’hui une place de choix dans le paysage médiatique des sociétés occidentales. Et les réseaux sociaux ont envahis internet en quelques années.
Comment expliquer une telle appétence pour l’intimité des autres ?
Psychanalyse d’un succès « éblouissant »… : Secret story, star academy, l’amour est dans le pré, toutes ces îles de tentations squattent les écrans et les discussions de cours d’école ou de bureau.
L’intérêt de ces programmes est assez pauvre, pourtant ils suscitent un engouement indéniable.
Leur point commun est de faire de l’exposition de la vie privée d’anonymes un fond de commerce juteux. Evidemment, la presse people ou les reportages divulguant l’intimité des célébrités, en font de même pour les stars.
Le participant, inconnu ou non, veut se montrer et le spectateur aime le regarder.
Pour le psychanalyste cela porte un nom : Vouloir être vu dans son intimité s’appelle l’exhibitionnisme, et se passionner pour ce genre de spectacle se nomme voyeurisme.
Le couple pulsionnel exhibitionnisme – voyeurisme est ainsi la clef de voûte de cet édifice médiatique.
Ces pulsions sont normalement présentes dans le psychisme de chacun, elles sont tantôt assouvies, tantôt jugées honteuses et condamnées par la part morale de l’inconscient, le surmoi.
Ainsi l’enfant, ou l’acteur, qui se donne en spectacle devant un parent ou un public, satisfait sans honte une pulsion exhibitionniste.
De même le lecteur d’une autobiographie, ou le badaud admirant les passantes, apaise sereinement son voyeurisme. Pour autant, cet enfant, cet acteur, ce lecteur ou ce badaud, assumant leur pulsionnalité, ne sont pas des pervers !
Alors à quel moment notre envie de voir et d’être vu dépasse-t-elle les bornes ? La perversion en psychiatrie ne se définit pas par la présence d’une pulsion, encore une fois cela est naturel, mais par sa puissance, et le besoin impérieux de l’assouvir.
Le psychisme est sans cesse aux prises avec des conflits internes, des envies inconscientes auxquelles s’opposent des interdits. Il s’agit donc d’une bataille, d’un rapport de force entre l’intensité de la pulsion et la force d’une motion de censure interne.
Ainsi tout ce qui nourrira la pulsion la rendra plus forte, et ce qui la déculpabilisera la rapprochera irrémédiablement d’une réalisation. Et c’est précisément de cette manière que les médias opèrent.
La télé, la presse ou internet, gave le téléspectateur d’images et d’informations excitantes, tout en lui répétant que son intérêt est sain puisque partagé par des millions de personnes.
Ainsi le spectateur ou le lecteur surexcité peut se ruer sans déshonneur sur sa télécommande ou son magazine.
Le succès est alors exponentiel, plus il y a de programmes plus le voyeurisme est chauffé, et moins le voyeur se sent isolé et honteux !
Le pervers est seul avec son plaisir, l’autre n’est qu’un instrument de jouissance (un sex-toy !), une chose, il n’y a point de partage.
Ainsi l’exhibitionniste n’a que faire de ceux qui le regardent, et le voyeur ne se soucie guère des sentiments de ses proies.
Dans la presse people la vie des stars est jetée en pâture aux désirs des lecteurs, quoiqu’il en coute à la célébrité ou à sa famille ; il n’est pas question d’amour, mais de masturbation sur l’autre !
Le people consentant est lui aussi dans une perversion, car il veut être vu par tous, donc personne en particulier, il ne veut pas leur faire du bien, mais jouir sous leur yeux, le regard du peuple est son support masturbatoire. Cependant, il serait simpliste et malhonnête de jeter la responsabilité de nos dérives perverses sur les médias.
Nous pouvons détourner un produit de sa vocation première à des fins voyeuristes ou exhibitionnistes, sans l’aide de quelconques marchands !
Les blogs internet, you tube et les réseaux sociaux en sont de parfaits exemples.
Facebook permet de retrouver des amis et d’échanger rapidement des informations avec ses proches.
Pour autant, ce sont des applications secondaires qui rencontrent le plus grand succès.
L’internaute exhibe son intimité à travers des photos personnelles ou une mise à jour régulière de son statut, informant la planète de sa situation amoureuse et de son activité quotidienne.
Et, directement sur son ordinateur ou son iphone, « l’ami » immédiatement prévenu par une « alerte », n’en perd pas une miette !
Le couple exhibitionnisme – voyeurisme est, ainsi, excité et satisfait en permanence…
Problème : l’énergie psychique, nourriture vitale de nos pulsions et de nos actes, n’est pas infinie.
Le surinvestissement d’un fantasme se fait, alors, au prix du désinvestissement d’autres opérations psychiques.
A titre d’exemple, lorsque vous êtes amoureux le reste du monde paraît sans intérêt.
Ainsi, cette idylle perverse voyeuriste se vit indiscutablement au détriment des autres passions, rêves ou projets épanouissants…
Alors, pour une fois, espérons que l’histoire d’ « amour » entre la société et le couple voyeurisme – exhibitionnisme ne dure pas, et puisse de nouveau laisser place à des investissements psychiques plus constructifs !
•La télé Chez les jeunes
a) Les conséquences de la télévision sur les enfants
Certains enfants sont plus réceptifs que d'autres aux images et aux messages violents.
Cela peut les rendre plus craintifs ou au contraire accroître leur comportement agressif.
Plus l'enfant vieillit et plus la peur liée aux événements réels augmente puisqu'il est en mesure de mieux distinguer la violence réelle de celle qui est fictive.
La télévision peut être instructive et ludique pour l'enfant, mais c'est l'usage qui en est fait qui est déterminant.
Les documents en lien avec la santé sur les écrans de télévisions sont peu nombreux. Les yeux peuvent être particulièrement fragilisés lorsque la durée de visionnage est élevée.
La télévision est également un facteur déterminant dans le problème de l'obésité chez l'enfant.
b) les conseils
La télévision est l'un des médias les plus influents dans la vie des enfants (15 heures par semaine en moyenne). Pour les moins de quatre ans, les pédopsychiatres affirment qu'il faut éviter de prolonger l'écoute au-delà de 30 minutes par jour, ce qui rendrait l'enfant sur stimulé et donc fatigué, irritable, avec des problèmes d'insomnie ou d'endormissement. Entre quatre et six ans, pas plus d'une heure de télévision par jour. Entre 6 et 11 ans, il faut contrôler l'utilisation de la télévision afin d'éviter que celle-ci empiète sur le temps consacré à la lecture et aux devoirs, et qu'il y ait des effets négatifs sur les résultats scolaires.
VII LOISIRS
Le loisir est l'activité que l'on effectue durant le temps libre dont on peut disposer. Ce temps libre s'oppose au temps prescrit, c'est-à-dire contraint par les occupations habituelles (emploi, activités domestiques, éducation des enfants...) ou les servitudes qu’elles imposent (transports, par exemple).
Le mot, dérivé du verbe latin licere (« être permis »), renvoie, au début du XIIe siècle, aux notions positives de « liberté », et d'« oisiveté ». Puis, à partir du XVIIIe siècle, il évolue vers le sens de « distraction ».
Loisir et loisirs : glissement sémantique
On qualifie également le loisir de « temps libre », soit un temps usuellement consacré à des activités essentiellement non productives d’un point de vue macroéconomique, activités souvent ludiques ou culturelles : bricolage, jardinage, sports, divertissements... Cela a entraîné par la suite un glissement sémantique du terme « loisir » (temps libre) vers celui de « loisirs » (divertissements et sports).
. Beaucoup usent du terme comme synonyme de « divertissement », ce qui constitue une déviation importante de signification.
L'expression « industrie des loisirs » fait directement écho à cette notion de loisirs-divertissements, en proposant une vision productiviste voire mercantile de la production de biens et de services propres à satisfaire les besoins des ménages liés à leur temps de loisir : on considère ici que ce temps est dédié à la consommation de masse, pour s’occuper.
Il est possible que les raisons ou valeurs profondes pour lesquelles nous vivons peuvent, en ordre probable d'importance, être les suivantes : le travail, la consommation, les communications, les sports, les jeux, la lecture, l'Internet, la télévision, les expositions et lieux à visiter, les sorties au cinéma, les parcs d'attractions et divertissements à sensations, les voyages, la sexualité, etc. Ces quelques éléments énumérés peuvent, s'ils ne font pas partie de loisirs, être cependant des indices sur quoi effectuer une recherche en rapport avec ceux-ci.
Actualités 2012 2013:
- Suicide d’une canadienne en octobre 2012 Amanda TODD après 6 mois de harcèlement sur internet
- A 18 ans un Brestois à cause d’un chantage subis sur la toile a mis fin à ses jours aussi en octobre 2012 : sa petite amie l’avait menacé de mettre leurs ébats amoureux sur internet si il ne lui donnait pas 200 euros..
- Les Anonymous en novembre 2012 ont bloqué + de 650 sites internet israéliens pour la plupart gouvernementaux et institutionnels pour protester contre le mouvement « pillier de défense » de l’état hébreux contre la Palestine. Ce groupe a une influence notable par internet sur le monde.
Voilou
vu qu'il n'y a pas encore de L23 je pense que tout le monde est très occupé car le concours approche et donc on est en mode entrainement
Est ce qu'on continue quand même les fiches ou chacun gère les dernières comme il veut?
Juste une suggestion voyant que nous sommes très en retard..
bises louloute
en ce qui me concerne j'aurai plus le temps je révise maintenant.
bisous
j'ai laissé beaucoup de ce que tu as mis Virguinie car c'est très intéressant
Résumé L22 Internet / communication / médias / loisirs
I Définitions et états des lieux
1 Définition des moyens de communication
Les moyens ou supports de communication sont les outils qui permettent la diffusion de l’information. Ils servent d'intermédiaires pour que l'émetteur puisse exprimer et communiquer son message au récepteur. Les moyens peuvent être oraux, gestuels ou matériels.
2 Les moyens de communication d’avant Internet
Les supports et modes de communication ont évolué au cours de l’Histoire. La première forme de communication a été orale, les hommes en évoluant ont ensuite commencé à développer une nouvelle façon de communiquer comme en témoigne les peintures datant de la préhistoire (il y a 40 000 ans). Les premières écritures datent de 6000 ans. L’écriture s’est ensuite développée et a permis la création de divers supports, l’enseigne, l’affiche peinte ( moyen âge ), l’imprimerie ( 15éme siècle ), la presse ( 17éme siècle ), l’affichage ( 19ème siècle), le télégraphe ( 1837 ), le téléphone ( 1876), le cinéma ( 1900 – 1910 ), la radio ( 1920 ), la télévision ( 1940 ).
3 Les moyens de communication d’aujourd’hui
L’accès à Internet s’est fortement développé depuis 10 ans, aujourd’hui plus de 64% des ménages ont accès à Internet. Le taux d’équipement en ordinateurs et autres technologies prévues pour recevoir l’Internet est de 67%. 38% des internautes utilisent et surfent sur Internet grâce à leurs téléphones mobiles, 80% des internautes déclarent utiliser l’Internet tous les jours. Les Supports les plus utilisés par les individu aujourd’hui en matière de communication sont les SMS, le téléphone, le face à face et les fonctionnalités d’Internet : l’email, les médias sociaux, et les messages instantanés (conversation avec un autre individu, comme les Chats).
4 Les futurs moyens de communication Internet
Les futurs moyens de communication via Internet posent la question de la fiabilité de celui-ci. En effet à l’origine Internet devait pouvoir mettre en relation quelques machines localisées dans des universités Américaines. Ce réseau n’était pas prévu pour les évolutions qu’il a connues, en matière de programmes et de technologies. Ce système mis à grande échelle, a vu ses limites dépassées, ce qui a parfois entraîné une fragilisation et donc des ratés. Ces erreurs ont conduit à des failles permettant des attaques malveillantes et des plantages de serveurs. Cette fragilité et les problèmes qu’elle entraîne vont jouer un rôle majeur dans l’évolution de l’Internet et de ces futures applications. De plus l’une des critiques du système Internet est la part de consommation électrique de réseau qui s’élève entre 1 à 4% de l’électricité mondiale.
Au delà de ces problèmes, les supports de communication devraient évoluer dans deux sens, l’un devrait permettre une communication avec les autres plus poussée et la seconde une communication avec soi même basée sur l’assistanat.
a) La communication avec les autres
Tous les six mois une nouvelle mode dans les réseaux sociaux se dégage (Skype, Myspace, SecondLife, Facebook, Twitter…), cependant ces sites ont un risque permanent : provoquer la lassitude de leurs utilisateurs. De plus en plus de monde est inscrit sur ces communautés. L’utilisateur a de plus en plus de chance d’y croiser des gens avec qui il n’a pas forcement envie de partager sa vie virtuelle.
La liberté des utilisateurs à établir des relations entre eux est primordiale, les modèles gratuits sont ceux qui marchent le mieux. Ils doivent sans cesse redoubler d’originalité pour pouvoir rester compétitif et donner envie à l’utilisateur de partager un moment de sa vie sur les sites.
Cependant ces sites vont devoir évoluer pour proposer toujours plus de contenus multimédias et d’applications. L’internaute cherche de plus en plus à intégrer une communauté où il pourra partager plus que sa vie, une passion ou un intérêt commun qu’il aurait avec d’autres individus. Les sites vont devoir cultiver ces niches, rassembler les individus autour d’un thème, même si cela doit ralentir une ascension universelle. Ils devront également incorporer un système pour que l’utilisateur arrête de partager ses informations sur plusieurs plateformes, comme le font déjà certains sites qui récupèrent les informations Facebook des utilisateurs pour les copier dans leur compte. Les internautes souhaitent de plus en plus maîtriser leur présence sur Internet et cela est un enjeu de taille que va devoir relever le web 2.0.
b) La communication avec soi même.
L’une des évolutions majeures en terme de communication sera un Internet plus intelligent. Lorsque les utilisateurs tapent des mots clés dans un moteur de recherche les résultats ne sont pas toujours pertinents. Une innovation serait de classer les sites selon les intérêts des utilisateurs, grâce à un logiciel avec des paramètres préalablement définis.
L’Internet des objets facilitera la vie de tous les individus, le principe est simple : incorporer Internet dans diverses machines pour les rendre intelligentes et plus pratiques pour l’utilisateur. Un frigo proposant des recettes avec les ingrédients contenus, la localisation des clés dans une maison… Les objets échangeraient des informations soit entre eux, soit sur le net, sans que l’utilisateur ait un rôle à jouer. L’un de ces objets précurseurs, présent sur le marché est un parapluie qui s’éclaire si le temps est, ou risque d’être pluvieux. Il récupère des données météorologiques en dialoguant avec le réseau Wifi de l’utilisateur.
II Internet
est un système d'interconnexion de machines et constitue un réseau informatique mondial, utilisant un ensemble standardisé de protocoles de transfert de données. C'est donc un réseau de réseaux, sans centre névralgique, composé de millions de réseaux aussi bien publics que privés, universitaires, commerciaux et gouvernementaux. Internet transporte un large spectre d'information et permet l'élaboration d'applications et de services variés comme le courrier électronique, la messagerie instantanée et le World Wide Web.
Internet ayant été popularisé par l'apparition du World Wide Web, les deux sont parfois confondus par le public non averti. Le World Wide Web n'est pourtant que l'une des applications d'Internet.
L'accès à Internet peut être obtenu grâce à un fournisseur d'accès à Internet via divers moyens de communication électronique : soit filaire (réseau téléphonique commuté (bas débit), ADSL, fibre optique jusqu'au domicile), soit sans fil (WiMAX, par satellite, 4G+). Un utilisateur d'Internet est désigné par le néologisme « internaute ».
•Population concernée : Les jeunes sont les plus concernés par Internet mais surtout par ces dangers. C’est une population plus à risques car elle est souvent confrontée à ces risques mal connus pour eux. De plus, ce sont les jeunes qui fréquentent le plus la toile.
Cependant, les « plus vieux » peuvent aussi être victimes des dangers d’internet car désormais, on peut aller voir son compte bancaire sur internet, faire ces achats… tout ceci nécessitant l’entrée de son propre code de carte bleue. Avec ce code, l’accès aux comptes bancaires est facilité mais les fraudes et les pièges sont présents malgré les logiciels de sécurité que les hackers, ces criminels de la toile, arrivent à détourner.
•Internet est-il un outil de connaissance si formidable ?
Depuis quelques années, le savoir n’est plus réservé aux universitaires ou aux professionnels, et les sites de vulgarisation, notamment médicale, se multiplient.
Dans le domaine de la santé, cette démocratisation présente des dérives et des dangers…
Tout d’abord, les sites de vulgarisation médicale sont de qualités très diverses. Certains sont écrits par des gens incompétents, des patients déçus, voire des professionnels aux intentions mercantiles.
Beaucoup de sites proposent des blogs et des forums où l’on peut poser toutes sortes de questions.
Mais le plus souvent, il est difficile de déterminer les compétences de celui qui nous répond, et donc la fiabilité de son propos.
Beaucoup d’internautes échangent leurs expériences et se risquent, à des conseils médicaux, voire à des diagnostics souvent farfelus et angoissants. De plus, il existe des sites « militants » aux allures scientifiques, prônant, par exemple, tel ou tel mode de garde ou médecine parallèle.
Des associations de papas (en business avec des avocats !) expliquant que la garde alternée est une nécessité vitale pour l’équilibre de l’enfant, ou au contraire des sites féministes évoquant les graves dangers d’un tel mode de garde…
Méfiez-vous de ceux qui vantent un type de soins ou s’érigent vigoureusement contre tel autre.
La médecine n’est pas une affaire de convictions, ou de militantisme quelconque, mais une discipline scientifique reposant notamment sur des études portant sur des centaines de cas.
Une expérience personnelle n’a aucune valeur scientifique, elle n’est qu’un simple témoignage dont vous ne pouvez ni vérifier l’authenticité, ni tirer des conclusions.
Mais la qualité des informations sur Internet n’est pas l’unique coupable de ces dérives, car certains sites sont tout à fait sérieux. Internet est alors un instrument dont il faut savoir faire bon usage.
Pensez simplement qu’il est possible que vous ne présentiez pas les symptômes dont vous cherchez les causes ! Par exemple, se sentir d’humeur changeante ne correspond pas forcément au symptôme « cyclothymie », ainsi vous ne souffrez probablement pas du trouble bipolaire dont vous avez lu 1000 descriptions sur Internet…
Il est difficile de différencier un symptôme réel de simples variantes de la normale. Cette appréciation, seul le médecin a la compétence et l’expérience de la faire.
S’il vous est arrivé de surfer sur Internet à la recherche d’un diagnostic, vous avez dû remarquer que votre œil était anormalement attiré par les maladies les plus graves. Et d’ailleurs, ces explorations, loin de vous rassurer, intensifient quasi systématiquement vos inquiétudes. Par exemple, vous lirez que votre ganglion isolé est le plus souvent bénin, mais c’est l’idée d’être frappé par un lymphome qui vous hantera. Eh bien, sachez que ce n’est pas Internet mais votre inconscient qui est responsable de cet excès ! C’est-à-dire qu’une part de notre psychisme cherche à les combattre, mais qu’une autre (inconsciente) tente de les maintenir en vie.
Ainsi, les informations inquiétantes sont une sorte de nourriture pour ces angoisses hypocondriaques.
Internet se mue alors en un formidable garde-manger pour ces angoisses voraces !
Pour finir, rajoutons qu’il existe un bénéfice secondaire à s’octroyer soi-même de tels diagnostics.
En effet, cela permet au patient d’éviter toute introspection, ou remise en cause douloureuse.
« Protégé » par une maladie supposée, il n’y a plus lieu de penser !
En voici une dérive d’Internet : tuer la réflexion en la noyant dans un torrent d’informations…
•Dangers d’internet Chez les jeunes
Les jeunes ne se rendent pas compte de la publicité liée aux informations qu'ils diffusent sur leurs blogs, sur les réseaux sociaux ou encore les messageries instantanées.
Ils n'ont pas vraiment conscience que l'anonymat n'existe pas.
L impact réel d'Internet est difficilement mesurable, que ce soit au niveau des menaces sur la santé (épilepsie, dangers de la cyberdépendance et de l'addiction aux jeux vidéos, ondes liées au téléphone portable...), au niveau des comportements liés aux publicités intempestives ou au niveau de la diffusion de contenus violents : les jeux vidéos sanglants, les images brutales et pornographiques, les publicités à caractère pornographique (le sexting est le fait de recevoir des photos de charme sur son téléphone portable).
•La lutte contre la cybercriminalité
Le caractère anonyme d'Internet pousse certains jeunes à mettre en ligne des informations qu'ils ne diraient à personne parce qu'ils peuvent se sentir loin de leur victime. La cyberintimidation est par exemple le fait d'envoyer des insultes ou des menaces, des images truquées mettant en scène les victimes dans des situations embarrassantes ou dégradantes par l'envoi de mails, de SMS (Short Message Service) ou à travers les blogs.
Des adultes utilisent également ces nouvelles technologies pour commettre des infractions : mise en ligne de photos à caractère pédophile, envoi de photos à caractères pornographique sur les téléphones portables via les SMS (sexting), prise de contact sur les forums (sites d'échange, de discussion) sous une fausse identité et en cachant son âge pour rencontrer un mineur (pédophilie), fraude à la carte bleue sur Internet, escroquerie lors d'une vente/achat sur Internet, piratage d'un ordinateur, gravure pour soi ou pour autrui de musiques, films ou logiciels...
• La prévention
- depuis la loi de 5 mars 2007 sur la prévention de la délinquance, le happy slapping et la diffusion des vidéos sont passibles de sanctions pénales.
- et cf ci dessous la loi HADOPI de 2009
III LOI HADOPI
Définition
La loi HADOPI ou la loi pour la création et internet est une loi française introduite en 2009 dans le but de contrôler et de réguler l’accès internet et d’encourager à respecter le droit d’auteur. La loi a été adoptée le 12 mai 2009 par l’assemblée nationale et le 13 mai 2009 par le Sénat français. Elle a été complétée par une nouvelle loi, dite « Hadopi 2 » qui a été adoptée par le Sénat le 15 septembre 2009
Après des passages devant de multiples instances de l'État, le Conseil constitutionnel en déclare certaines mesures clés contraires à la constitution, et la loi est promulguée, sans celles-ci, le 12 juin 2009
Depuis ce moment, la loi fait l’objet de nombreux débats et est hautement controversée. Le sujet est encore d’actualité aujourd’hui.
Après la censure de la loi Hadopi 1 par le conseil constitutionnel le 10 juin 2009, la loi Hadopi 2 est adoptée le 15 septembre 2009.
Qu'est-ce que la loi Hadopi 2 ?
La loi Hadopi 2 est une loi contre le téléchargement illégal. Cette loi tient son nom de la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet. Cette loi est inspirée d’une loi de Grande-Bretagne et des États-Unis qui a déjà prouvé son efficacité
Les sanctions prévues par cette loi
Les sanctions sont qualifiées de « ripostes graduées ». Après qu’un internaute ait téléchargé illégalement une œuvre, il sera d’abord rappelé à l’ordre par des e-mails puis en cas de récidive par une lettre recommandée. Enfin s’il continue son abonnement Internet sera suspendu durant une année ou résilié. En cas de téléchargement intensif l’internaute encourra une amende de 1 500 € a 300 000 € et éventuellement un temps d’emprisonnement.
Les polémiques dues à cette loi
Il y a de nombreux opposants à la loi Hadopi 2 : associations, groupes et simples individus. Ils jugent en général qu'elle instaure une « procédure judiciaire expéditive », « irrespectueuse des droits fondamentaux »1, qu'elle ne sert à rien2 et que la suppression de l’accès à Internet d'une personne est disproportionnée.
Les risques de cette loi
Risque de se voir pirater son compte Internet par wifi. Ainsi certaines personnes risquent de se voir infliger des sanctions pendant que les pirates continuent à télécharger illégalement.
Coûts de mise en œuvre et d'exploitation
Les coûts d'application de la nouvelle loi estimés par le ministère de la Culture à 6,7 millions d'euros. Les fournisseurs d'accès sont en désaccord total avec ces estimations; d'après eux, les coûts atteindront plusieurs dizaines de millions d'euros (100 millions selon La Fédération française des télécoms). De plus, les internautes recevraient l'injonction d'installer sur leur ordinateur un logiciel de sécurisation payant et non interopérable.
Autre loi importante: LOI INFORMATIQUE ET LIBERTE du 6 janvier 1978, définit les principes à respecter lors de la collecte, du traitement et de la conservation des données personnelles. Elle renforce les droits des personnes sur leurs données, prévoit une simplification des formalités administratives déclaratives et précise les pouvoirs de contrôle et de sanction de la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL)
IV MEDIAS
Le terme média désigne, dans l'acception la plus large, tout moyen de diffusion ou naturel (comme le langage, l'écriture, l'affiche) ou technique (comme la radio, la télévision, le cinéma, Internet), permettant la communication, soit de façon unilatérale (transmission d’un message), soit de façon multilatérale par un échange d'informations.
L'expression médias de masse (de l'anglais « mass-media ») caractérise les médias qui ont acquis une diffusion à grande échelle pour répondre rapidement à une demande d'information d'un public vaste, complété dans de nombreux cas par une demande de distraction. La plupart des entreprises dites de média emploient des journalistes et des animateurs de divertissement. Ils recueillent dans un premier temps des informations auprès de sources d'information, en leur assurant la protection des sources d'information, ce qui leur permet d'acquérir une audience, et valorisent dans un second temps leur audience par la vente d'espaces publicitaires. À côté de ce modèle dominant, les chaînes de téléachat et les périodiques ne diffusant que des petites annonces et publicités sont aussi considérés comme des médias.
V Télé réalité, Facebook :
Le règne du couple voyeurisme – exhibitionnisme ?
La télé réalité, et la presse people, jadis honnis, ont aujourd’hui une place de choix dans le paysage médiatique des sociétés occidentales. Et les réseaux sociaux ont envahis internet en quelques années.
Comment expliquer une telle appétence pour l’intimité des autres ?
Psychanalyse d’un succès « éblouissant »… : Secret story, star academy, l’amour est dans le pré, toutes ces îles de tentations squattent les écrans et les discussions de cours d’école ou de bureau.
L’intérêt de ces programmes est assez pauvre, pourtant ils suscitent un engouement indéniable.
Leur point commun est de faire de l’exposition de la vie privée d’anonymes un fond de commerce juteux. Evidemment, la presse people ou les reportages divulguant l’intimité des célébrités, en font de même pour les stars.
Le participant, inconnu ou non, veut se montrer et le spectateur aime le regarder.
Pour le psychanalyste cela porte un nom : Vouloir être vu dans son intimité s’appelle l’exhibitionnisme, et se passionner pour ce genre de spectacle se nomme voyeurisme.
Le couple pulsionnel exhibitionnisme – voyeurisme est ainsi la clef de voûte de cet édifice médiatique.
Ces pulsions sont normalement présentes dans le psychisme de chacun, elles sont tantôt assouvies, tantôt jugées honteuses et condamnées par la part morale de l’inconscient, le surmoi.
Ainsi l’enfant, ou l’acteur, qui se donne en spectacle devant un parent ou un public, satisfait sans honte une pulsion exhibitionniste.
De même le lecteur d’une autobiographie, ou le badaud admirant les passantes, apaise sereinement son voyeurisme. Pour autant, cet enfant, cet acteur, ce lecteur ou ce badaud, assumant leur pulsionnalité, ne sont pas des pervers !
Alors à quel moment notre envie de voir et d’être vu dépasse-t-elle les bornes ? La perversion en psychiatrie ne se définit pas par la présence d’une pulsion, encore une fois cela est naturel, mais par sa puissance, et le besoin impérieux de l’assouvir.
Le psychisme est sans cesse aux prises avec des conflits internes, des envies inconscientes auxquelles s’opposent des interdits. Il s’agit donc d’une bataille, d’un rapport de force entre l’intensité de la pulsion et la force d’une motion de censure interne.
Ainsi tout ce qui nourrira la pulsion la rendra plus forte, et ce qui la déculpabilisera la rapprochera irrémédiablement d’une réalisation. Et c’est précisément de cette manière que les médias opèrent.
La télé, la presse ou internet, gave le téléspectateur d’images et d’informations excitantes, tout en lui répétant que son intérêt est sain puisque partagé par des millions de personnes.
Ainsi le spectateur ou le lecteur surexcité peut se ruer sans déshonneur sur sa télécommande ou son magazine.
Le succès est alors exponentiel, plus il y a de programmes plus le voyeurisme est chauffé, et moins le voyeur se sent isolé et honteux !
Le pervers est seul avec son plaisir, l’autre n’est qu’un instrument de jouissance (un sex-toy !), une chose, il n’y a point de partage.
Ainsi l’exhibitionniste n’a que faire de ceux qui le regardent, et le voyeur ne se soucie guère des sentiments de ses proies.
Dans la presse people la vie des stars est jetée en pâture aux désirs des lecteurs, quoiqu’il en coute à la célébrité ou à sa famille ; il n’est pas question d’amour, mais de masturbation sur l’autre !
Le people consentant est lui aussi dans une perversion, car il veut être vu par tous, donc personne en particulier, il ne veut pas leur faire du bien, mais jouir sous leur yeux, le regard du peuple est son support masturbatoire. Cependant, il serait simpliste et malhonnête de jeter la responsabilité de nos dérives perverses sur les médias.
Nous pouvons détourner un produit de sa vocation première à des fins voyeuristes ou exhibitionnistes, sans l’aide de quelconques marchands !
Les blogs internet, you tube et les réseaux sociaux en sont de parfaits exemples.
Facebook permet de retrouver des amis et d’échanger rapidement des informations avec ses proches.
Pour autant, ce sont des applications secondaires qui rencontrent le plus grand succès.
L’internaute exhibe son intimité à travers des photos personnelles ou une mise à jour régulière de son statut, informant la planète de sa situation amoureuse et de son activité quotidienne.
Et, directement sur son ordinateur ou son iphone, « l’ami » immédiatement prévenu par une « alerte », n’en perd pas une miette !
Le couple exhibitionnisme – voyeurisme est, ainsi, excité et satisfait en permanence…
Problème : l’énergie psychique, nourriture vitale de nos pulsions et de nos actes, n’est pas infinie.
Le surinvestissement d’un fantasme se fait, alors, au prix du désinvestissement d’autres opérations psychiques.
A titre d’exemple, lorsque vous êtes amoureux le reste du monde paraît sans intérêt.
Ainsi, cette idylle perverse voyeuriste se vit indiscutablement au détriment des autres passions, rêves ou projets épanouissants…
Alors, pour une fois, espérons que l’histoire d’ « amour » entre la société et le couple voyeurisme – exhibitionnisme ne dure pas, et puisse de nouveau laisser place à des investissements psychiques plus constructifs !
•La télé Chez les jeunes
a) Les conséquences de la télévision sur les enfants
Certains enfants sont plus réceptifs que d'autres aux images et aux messages violents.
Cela peut les rendre plus craintifs ou au contraire accroître leur comportement agressif.
Plus l'enfant vieillit et plus la peur liée aux événements réels augmente puisqu'il est en mesure de mieux distinguer la violence réelle de celle qui est fictive.
La télévision peut être instructive et ludique pour l'enfant, mais c'est l'usage qui en est fait qui est déterminant.
Les documents en lien avec la santé sur les écrans de télévisions sont peu nombreux. Les yeux peuvent être particulièrement fragilisés lorsque la durée de visionnage est élevée.
La télévision est également un facteur déterminant dans le problème de l'obésité chez l'enfant.
b) les conseils
La télévision est l'un des médias les plus influents dans la vie des enfants (15 heures par semaine en moyenne). Pour les moins de quatre ans, les pédopsychiatres affirment qu'il faut éviter de prolonger l'écoute au-delà de 30 minutes par jour, ce qui rendrait l'enfant sur stimulé et donc fatigué, irritable, avec des problèmes d'insomnie ou d'endormissement. Entre quatre et six ans, pas plus d'une heure de télévision par jour. Entre 6 et 11 ans, il faut contrôler l'utilisation de la télévision afin d'éviter que celle-ci empiète sur le temps consacré à la lecture et aux devoirs, et qu'il y ait des effets négatifs sur les résultats scolaires.
VII LOISIRS
Le loisir est l'activité que l'on effectue durant le temps libre dont on peut disposer. Ce temps libre s'oppose au temps prescrit, c'est-à-dire contraint par les occupations habituelles (emploi, activités domestiques, éducation des enfants...) ou les servitudes qu’elles imposent (transports, par exemple).
Le mot, dérivé du verbe latin licere (« être permis »), renvoie, au début du XIIe siècle, aux notions positives de « liberté », et d'« oisiveté ». Puis, à partir du XVIIIe siècle, il évolue vers le sens de « distraction ».
Loisir et loisirs : glissement sémantique
On qualifie également le loisir de « temps libre », soit un temps usuellement consacré à des activités essentiellement non productives d’un point de vue macroéconomique, activités souvent ludiques ou culturelles : bricolage, jardinage, sports, divertissements... Cela a entraîné par la suite un glissement sémantique du terme « loisir » (temps libre) vers celui de « loisirs » (divertissements et sports).
. Beaucoup usent du terme comme synonyme de « divertissement », ce qui constitue une déviation importante de signification.
L'expression « industrie des loisirs » fait directement écho à cette notion de loisirs-divertissements, en proposant une vision productiviste voire mercantile de la production de biens et de services propres à satisfaire les besoins des ménages liés à leur temps de loisir : on considère ici que ce temps est dédié à la consommation de masse, pour s’occuper.
Il est possible que les raisons ou valeurs profondes pour lesquelles nous vivons peuvent, en ordre probable d'importance, être les suivantes : le travail, la consommation, les communications, les sports, les jeux, la lecture, l'Internet, la télévision, les expositions et lieux à visiter, les sorties au cinéma, les parcs d'attractions et divertissements à sensations, les voyages, la sexualité, etc. Ces quelques éléments énumérés peuvent, s'ils ne font pas partie de loisirs, être cependant des indices sur quoi effectuer une recherche en rapport avec ceux-ci.
Actualités 2012 2013:
- Suicide d’une canadienne en octobre 2012 Amanda TODD après 6 mois de harcèlement sur internet
- A 18 ans un Brestois à cause d’un chantage subis sur la toile a mis fin à ses jours aussi en octobre 2012 : sa petite amie l’avait menacé de mettre leurs ébats amoureux sur internet si il ne lui donnait pas 200 euros..
- Les Anonymous en novembre 2012 ont bloqué + de 650 sites internet israéliens pour la plupart gouvernementaux et institutionnels pour protester contre le mouvement « pillier de défense » de l’état hébreux contre la Palestine. Ce groupe a une influence notable par internet sur le monde.
Voilou
vu qu'il n'y a pas encore de L23 je pense que tout le monde est très occupé car le concours approche et donc on est en mode entrainement
Est ce qu'on continue quand même les fiches ou chacun gère les dernières comme il veut?
Juste une suggestion voyant que nous sommes très en retard..
bises louloute
en ce qui me concerne j'aurai plus le temps je révise maintenant.
bisous