j'ai des difficultés en stage

[augusta]

Comme étoilette, il faut que tu t'accroches pour valider ce diplome.
Rien ne t'oblige à travailler par la suite dans un service où les soins techniques sont importants.
Et une fois salariée, tu pourras poursuivre vers psychomot'.

Bon courage pour la suite du stage et franchement, ne vous arrêtez pas sur une IDE!

[execho]

je pense que tu te positionnes par rapport au soin technique d'une façon qui te démoralise.Le soin technique est un soin à une personne.La satisfaction vient de savoir que si il est bien fait,que la prescription lui sera bénéfique, que la relation était au mieux,tu as fais quelque chose de bien.Donc,il faut comprendre la pathologie,être dans la bienveillance, la coopération inter disciplinaire et maîtriser le geste.Le geste:il faut que tu te procures du matériel et que tu t'exerces sans malade,des seringues,des aiguilles,des sets de perfusions,des sets à pansement.Il n'est pas interdit d'avoir du plaisir à bien mettre une aiguille,mais ce n'est pas obligatoire,la plupart du temps,c'est même source d'une belle indifférence car réussir devient une habitude. La satisfaction vient quand on constate un bon résultat du traitement avec un malade débarrassé de son problème et que tu as bien accompagné en signalant à l'équipe ce qui se passe bien ou mal.C'est ce que l'on devrait bien faire voir aux élèves,c'est motivant.Mais l'apprentissage,c'est passer du je ne sais pas à je sais.Bon courage.

[dody-38]

Je veux partager mon expérience avec toi. Je voulais devenir infirmière mais en plein cursus je m apercois que je suis plus à l aise avec les AS que les IDE. Malheureusement ne voulant pas decevoir mon entourage, j ai attendu la 3ème année pour arrêter et je ne regrette pas une seconde mon choix.
J ai fait 1an de vacations puis 6 ans en service d hemodialyse. J ai passer mon diplome d AP cette annee. J ai un poste dans un super service et je suis epanoui.

[Lenalan]

Comme disais mes formateurs l'autre jour, une personne piochée au hasard dans la rue est capable de faire une prise de sang ou poser un cathéter en quelques heures, c'est à la portée de n'importe qui et ce n'est pas à ça que se résume le métier d'infirmier(e), c'est même très loin d'être ça. Bon évidemment il y en a qui sont plus à l'aise que d'autres, pour ma part je peux pas dire que j'adore poser une perf ou faire une prise de sang (mais les pansements oui, j'adore ). Tout simplement parce que notre manque de maîtrise en la matière nous donne l'impression d'une montagne insurmontable, et de se fait la sensation désagréable de faire des choses pas maîtrisées nous donnent l'impression qu'on déteste, on est peut-être plus à l'aise en faisant une toilette (à une personne âgée, ou un bain à un bébé) qu'en allant poser une VVP ou piquer dans une CIP. Mais chemin faisant et l'expérience aidant, on se rend compte que tous ces actes ne sont qu'anecdotiques et ne font partie que d'un tout (à maîtriser cela dit!) pour exercer un métier qui est loin de se résumer à des actes techniques (qui sont relativement simples comparé à tout le reste).
Tout comme le métier d'AS ne se résume pas à faire des toilettes et à donner à manger aux gens.
Je n'avais pas compris ça il y a 11 ans quand j'ai arrêté mes études d'IDE pour être AS (entre autres parce que les gestes techniques n'étaient pas mon truc et que je passais ma vie à les fuir, alors que justement il aurait fallu se forcer à les affronter). J'ai mis quelques années à comprendre que j'adore le métier d'AS mais que c'est surtout IDE que je veux être Alors ma foi, de retour en 1ère année, je ne suis peut-être pas super à l'aise avec la technique mais je vais mettre le paquet pour que ça ne soit plus un problème (c'est à dire maîtriser tout ça rapidement, ou du moins même si je ne réussis pas à tous les coups, ne plus en avoir peur ).

Après le truc qu'il faut savoir c'est si c'est vraiment le métier d'IDE qui ne te plaît pas (ça arrive aussi!) ou si c'est juste les soins "techniques" qui te rebutent. Parce que si ce n'est "que ça" tu peux très bien travailler plus tard dans un secteur où il y a très peu de soins techniques. Et surtout, le plus important: ne te laisse pas décourager par des IDE qui ont oublié qu'elles ont été un jour à ta place!

[Dancehalltime]

+ 1 à ce qui a été dit plus haut.
Il faut que tu t'accroche pour valider ton diplôme. Tu es tombé sur une conne d'ide, tu en croisera peut être d'autres mais te focalise pas sur elles, même si c'est super dur quand on passe des journées de merde à cause de ces nanas ...
Y'a des journées où on pleure car on a eu l'impression d'être une sous merde mais ça fait parti du jeu, ça arrive encore une fois diplômée.

Pour la "technique" faut que tu force à le faire juste pour les valider et avoir ton diplôme.
On a tous des choses qu'on aime pas dans ce métier, que ce soit sur le plan théorique ou pratique.
Si tu savais le nombre de cours que j'ai appris par cœur histoire de valider le partiel mais qui ne m'intéressais pas pour un sous...
Mais bon pas le choix si on veut valider la théorie via les UE.

La pratique c'est pareil. Par exemple moi j'aime pas un tas de trucs : les pansements me font monstrueusement chier, tout ce qui est tracheo, gastrostomie j'en parle même pas... Mais j'ai jouer à la bonne petite élève lorsque qu'il a fallut apprendre car ces soins font parti de nos compétences.

Aujourd'hui encore quand il faut perfuser un patient ça me gonfle carrément (je préfére les voies centrales on est tranquille) mais bon jle fais bien...

Tu trouvera un poste qui correspond à tes attentes, y'a pas que l'hôpital dans la vie.

[mimille05]

Merci pour vos témoignages... Je n'ai pas le temps d'y répondre la, mais je ferai une réponse plus longue demain...

[Elfy2410]

bonjour,
quoi que tu décide de faire, il faut assumer ton choix et d'être épanouie dans ce que tu fais.
être infirmière c'est avoir un la chance d'exercer dans des services hospi ou extra hospi très diversifiés. avec des soins techniques...ou pas.
si tu décide d'arrêter la formation, ne pense pas que c'est un échec. ça deviendra une expérience. toute connaissance est bonne à prendre. parfois il faut mieux changer de direction plutôt de s'ennuyer dans ce qu'on fait.
tu es jeune, rien n'est perdu.
j'ai un parcours atypique : BAC L, FAC de droit (DEUG), 3ans en grande surface, diplôme d'AP, 5 ans en crèche. en 2010, j'ai intégré l'IFSI pour devenir infirmière...un gros défi, j'avais 33 ans. après 3 ans de travail intense, de doutes, des pleures aussi parfois, (et des moment formidables aussi!!!!!) je suis diplômée.
il m'est arrivé de vouloir arrêter (le stress, la peur de ne pas y arriver, la peur des responsabilités...), mais j'ai rien lâché.
en tant qu'étudiant on rencontre des professionnels pas toujours très délicats, voir pas sympa du tout...il faut faire avec. mais on fait des rencontres super aussi, des soignants formidables, à l'écoute, réconfortant, qui accompagnent et c'est à ça qu'il faut se raccrocher.
bon courage.

[mimille05]

Merci de vos témoignages...
Je suis en gros craquage, j'ai finis ramassée par les aides soignantes du service en fin de matinée...
Depuis deux jours je tourne avec une infirmière, très compétente techniquement, mais qui passe son temps à pourrir les élèves, mon collègue de promo en a fait les frais la semaine dernière...
Elle m'a passé un énorme savon pour rien, j'ai craqué, je me suis défendu, j'ai fini en pleurs. Sa collègue m'a dit d'aller prendre l'air, je suis allée dans les vestiaires, impossible de m'arrêter. Les as m'ont ramassé à la petite cuillère, m'ont écouté, m'ont dit que c'était inadmissible de parler comme ça aux élèves, que si elle ne voulait pas encadrer qu'elle ne se mette pas sur le secteur ou il y a les élèves.
J'ai craqué nerveusement, j'ai la boule au ventre tous les jours avant d'y aller, je pleure à chaque fois en sortant de ma journée... La cadre n'est jamais la, elle ne vient que pour manger le midi, ne me demande jamais si ça va, et ne m'a jamais vu travailler, elle écoute juste les mauvais échos, car les bons échos, qui sont notés sur ma feuille de suivi, je n'en n'ai jamais entendu parler...
Je suis à bout, à 2 doigts d'aller chez mon médecin pour qu'il me prescrive quelque chose.
Ça n'a jamais été comme ça dans mes autres stages, toujours de bonnes critiques, bonne adaptabilité avec l'équipe, aucun soucis.
Je ne sais plus quoi faire, je suis en train d'écrire un brouillon de mail pour envoyer à mon formateur, pour être la plus objective possible.
J'ai toujours reconnu mes erreurs, posé des questions...

L'histoire est longue, pas sûre que vous aillez envie de tout lire...

[maricafro]

Salut mimille, en lisant ton témoignage je me suis un peu retrouvée, moi, il y a 3 ans. Comme toi j'ai un parcours atypique (j'étais en faculté de géographie avant d'attaquer l'IFSI) et j'ai débuté mes études d'infirmières à 22 ans. La première année a été top ( bonnes notes, bons stages, bons rapports...). Quand je suis rentrée en deuxième année je suis partie en stage en réeducation fonctionnelle ( mon premier stage "technique") et là, le drame: je suis tombée sur une équipe en pleine crise , avec des infirmières qui ne pouvaient plus voir en peinture les étudiants. Résultats: j'ai subi pendant 5 semaines leurs critiques parce je ne savais pas faire un pansement, je ne savais pas piquer, je ne savais pas prioriser, je n'allais jamais assez vite... Au départ j'ai pris sur moi, et vu que je n'étais pas à l'aise avec les soins techniques leurs reproches permanents ont finis par me convaincre moi même que je ne valais rien! Bref, un enfer, je partais tous les matins la boule au ventre, je versais ma petite larme dans les vestiaires tout les jours, je rentrais à la maison déprimée. J'ai remis sérieusement mon choix d'être IDE. Moi aussi je préférais être avec les AS, qui étaient bien plus bienveillantes que les IDE, et qui entretenaient de meilleurs rapports avec les patients...
Au bout de 5 semaines (sur 10 de stage) j'ai craquée, j'ai été voir mon médecin et lui ai demandé de m'arrêter. J'ai été à l'école et j'ai demandé un rendez vous avec mon référent pédagogique. J'ai fondu en larme, et lui ai expliqué que je voulais tout plaquer. J'ai passé la théorie du semestre 3 ( que j'ai validé) et ai demandé à faire un report d'année. J'ai pris plusieurs mois pour moi, j'ai bossé en tant qu'AS en intérim, j'ai pu échanger avec beaucoup de professionnelles ( AS et IDE). Le mois de septembre suivant je suis revenue vers l'école,j'ai voulu reprendre, j'ai fait un stage de rattrapage de 5 semaines dans un service de chirurgie qui s'est super bien passée même si je n'étais toujours pas très à l'aise avec les soins techniques ( mais là bas les IDE m'ont évalués ma capacité à progresser et à apprendre plutôt que mes compétences techniques pures et dures). J'ai eu ensuite d'autres stages, pas forcement tous évidents, mais j'ai tenu bon et je suis aujourd'hui diplômée. J'ai désertée les services hyper techniques pour m'orienter vers la psychiatrie.

La morale de l'histoire: tu croiseras toujours en service des profils de professionnelle différent, le tout c'est de le savoir pour relativiser:
- les "blasées" épuisées de leur travail, les conditions...elles viennent travailler parcequ'il le faut ( ca devient un job alimentaire). Du coup toi, tu es la petite jeune qui va retarder ou racourcir leur pause café de 9h30, qui va poser trop de questions....
- les "j'aurais ma vengeance un jour": ce sont celles qui ont souffert pendant leurs études (systeme de MSP). Elles prennent leur revanche en quelque sorte. "J'en ai chier alors toi aussi"....ce n'est pas très intelligent mais on ne peut rien faire tant qu'elles ne se sont pas remises en questions
- les bienveillantes: oui il y en a et heureusement, elles sont plus nombreuses que les deux premières catégories. Elles sont contentes que des jeunes s’intéressent à leur profession pas facile, mais si enrichissante. Elles t'encadrent, te font évoluer, te donne envie d'aller plus loin...

Ne te décourage surtout pas, si tu as besoin de temps, prend le, tu as validé ta première année, tu peux toujours travaillé en tant qu'AS le temps pour toi de réfléchir à ce qui te convient le mieux. La deuxième année est très dure dans ce sens ou on te demande d'adopter une posture professionnelle. Et ce n'est pas évident car nous n'avons pas beaucoup de cartes en main. En tout cas tu n'es pas seule et dit toi bien que si tu es là c'est que TU EN ES CAPABLE!!! si tu veux en parler en MP n''hesite pas

[lili33700]

Incroyable tout le monde vit la même chose alors ! Je suis d'accord avec ce qui est dit plus haut.

Moi, 1ere année super. 2ème année : peu de soins techniques super !
j'ai senti le vent tourné en 3ème année où on m'a mis en stage "technique" pour valider ts les actes techniques d'un coup !
Et là, j'ai explosé en vol : 15 jours d'arrêt, en pleurs, incapable de réagir après avoir piqué en CIP, poser des chimio, poser des VVP et des transfusions et fait du palliatif...... J'ai terminé la formation par du ssr qui s'est très bien passé (trop bien les pansements) mais j'ai compris que mon tripe à moi, c'est la psychiatrie et l'étrangeté de l'autre ! C'est vrai que tt cela paraît simple et ma famille n'a pas compris mes difficultés. Mais il y a des choses qui nous dépassent parfois. Moi j'aime parler, écouter, consoler, éduquer.

Mais attention au CHOMAGE; CAR ACTUELLEMENT on ne peut plus choisir où l'on veut exercer. Alors si on a des lacunes, on ne peut pas travailler. Finalement avec le recul, je pense qu'il vaut mieux faire la formation en 4 ans et être bien et rassurée plutôt que de cravacher en 3 ans en perdant ses rêves. mieux vaut prendre son temps plutôt que de se retrouver dans une impasse. Et finalement, que ce soit 3 ans ou 4, tout le monde s'en fout !!! c'est le même diplôme.

[uneesi]

Bonjour,
Je ressens exactement la même chose, mes stages "non techniques" (policlinique, centre d'hébergement, psy...) se sont très bien passés mais mes stages davantage techniques (ou hospitaliers) beaucoup moins bien :/
Je me rends également compte que je n'aime pas l'hôpital, je trouve qu'il y règne une mauvaise ambiance, je n'aime pas cette hiérarchie pesante, ces jugements incessants...
Après un stage idyllique dans un centre d'hébergement pour SDF nécessitant des soins j'ai réalisé que j'avais ma place quelque part.
Aujourd'hui je suis en stage à l'hôpital en chirurgie dans un service qui ne me plait pas, avec des professionnels qui ne communiquent quasiment pas avec les patients (affligeant...) Tout ce que je n'aime pas ! Mais malgré tout j'essaie de m'accrocher, juste pour que des cases soient cochées sur cette malheureuse feuille de notation...
Je te conseille de t'accrocher à tes stages qui se sont bien passés, relis tes appréciations des stages positifs (moi je me répète sans cesse ce qu'une IDE m'a dit "tu feras une excellente professionnelle, accroche toi".)
Bon courage, j'espère que ça va mieux pour toi.

[mohamed84]

Bonjour à tous,

Je vous écris car je m'inquiète et j'aurais besoin de conseils.
Je suis ESI première année. Il me reste encore une semaine en stage en hôpital, en unité Alzheimer. Ca allait jusqu'à la moitié du stage, depuis, les critiques sont plus nombreuses.
Je m'explique : on me reproche de ne pas prendre d'initiative, de ne pas être curieux, de ne pas accepter les remarques. Pour la prise d'initiatives, je ne peux pas faire plus que ça, j'essaie de voir si tout va bien au niveau des patients dans les chambres, je demande aux autres s'ils ont besoin d'aide. On me reproche de ne pas aider les patients à manger pendant les repas. J'essaie de les stimuler mais on ne peut pas les forcer, surtout que la réaction de personnes Alzheimer peut être imprévisible. Je regarde aussi si tout le monde a mangé, je débarrasse la table quand il le faut. Je distribue l'eau l'après-midi.
Pour la curiosité, je pose plein de questions mais on me demande de faire des recherches alors j'ai un problème de posture par rapport à ça.
Le problème, c'est que sur le bilan hebdomadaire, tous ces détails sont notés alors qu'ils ne sont pas représentatifs de ce que je fais. Il y a une espèce d'effet loupe qui fait que mon travail n'est pas valorisé.
De plus, l'infirmière veut me voir encore sur un change pour valider la compétence 3 alors que j'ai été évalué par le formateur sur une toilette et que ça s'est très bien passé. Comme si je devais me justifier en permanence. C'est pas super encourageant tout ça. Je me pose des questions et me demande si je suis si nul que ça...

Merci pour votre aide

[augusta]

Bonjour,

Ce n'est pas parce que l'équipe te donne des axes d'amélioration que tu es nul.
Il faut prendre toutes ces remarques comme tel: un axe d'amélioration.

Poser des questions c'est bien mais il est normal que tu fasses des recherches (c'est quand même la base du nouveau référentiel). Rien ne t'empêche ensuite de rediscuter/repréciser ce que tu as trouvé avec l'équipe.

[ch0ukette]

Bonjour mes chers collègues! :p
Voilà j'écris ce message car je suis un peu perdue.
Je suis en 2ème année et suis actuellement en stage en psychiatrie. Je suis de retour dans le service depuis début janvier, mais ça faisait déjà un mois que je n'y étais pas retournée (deux semaines dans un autre service puis les deux semaines de vacances).
Habituellement, mes stages sont plutôt difficiles au début, les premières semaines, pour trouver mes marques etc... Mais là, c'est le contraire!!
Mon retour est assez difficile. Je n'arrive plus vraiment à me motiver, voyant les infirmiers m'ignorer pour la plupart. Je ne trouve ma motivation que grâce aux patients!! C'est réellement avec eux que je sais pourquoi je fais cette formation... Mais voilà, il ne me reste plus que deux semaines de stage et je crains vraiment d'avoir une mauvaise appréciation car il n'y a pas une grande entente avec l'équipe.
C'est bizarre, mais j'ai remarqué que je m'entends principalement avec les infirmiers qui ne sont présents qu’exceptionnellement dans le service ...
J'ai tout de même parlé à quelques personnes du service, de mon sentiment un peu amer vis à vis du service, le fait que je ne me sentais pas tellement intégrée...mais aucune réponse ni conseil de leur part!!!
Si vous pouviez me donner des conseils pour bien terminer mon stage, ça serait gentil... Merci

[myloma]

bonjour choukette

je pense qu'il ne faut pas trop attendre que les "autres "fassent le pas vers toi
tu arrives dans un service, c'est à toi de te présenter, de faire le pas vers les collègues
pas facile, je te l'accorde avec les personnalités et susceptibilités des uns et des autres
j ai l impression que tu as peur et que tu te mets en retrait, du coup, il est difficile d'échanger? psycho de bazar, je te l'accorde mais je suis surprise que ce soit ainsi à chaque stage.
il te faudra travailler sur toi pour comprendre ce qui bloque dans la relation à l'autre, ou alors c est la peur de mal faire qui te bloque
c'est sûr, il faut que la situation évolue pour que tu te sentes à l aise dans ce que tu fais
de plus, bosser en équipe est bien souvent agréable, en cas de situation difficile, l'équipe est là, on peut échanger sur ce qui bloque avec le patient et trouver des solutions.
tu devras apprendre à composer avec l'équipe, pas facile, je le sais, mais je te dis cela sans vouloir te blesser