Faits d'actualité pour la culture générale de 2007/2008
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
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Les pesticides étouffent les agriculteurs
[10 octobre 2007 - 08:05]
D’après une étude réalisée aux Etats-Unis, l’usage des pesticides augmenterait le risque d’asthme parmi les agriculteurs. Certains produits constitueraient ainsi un facteur de risque indépendant de ceux qui sont traditionnellement reconnus comme les pollens, poils d’animaux, acariens et autres moisissures.
Le Dr Jane Hoppin, des Instituts nationaux de la Santé américains, a suivi plus de 20 000 agriculteurs de l’Iowa et de Caroline du Nord. Et d’après son travail, 16 pesticides différents peuvent entraîner une augmentation du risque de maladie asthmatique.
« L’asthme est lié à des produits chimiques spécifiques. Nous n’avons pas établi de relation ni avec des classes particulières de pesticides, ni avec tel ou tel mode d’utilisation », précise Jane Hoppin. « Nous montrons également qu’il suffit d’une seule exposition importante à des pesticides, pour doubler le risque d’asthme chez un agriculteur donné ».Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[10 octobre 2007 - 08:05]
D’après une étude réalisée aux Etats-Unis, l’usage des pesticides augmenterait le risque d’asthme parmi les agriculteurs. Certains produits constitueraient ainsi un facteur de risque indépendant de ceux qui sont traditionnellement reconnus comme les pollens, poils d’animaux, acariens et autres moisissures.
Le Dr Jane Hoppin, des Instituts nationaux de la Santé américains, a suivi plus de 20 000 agriculteurs de l’Iowa et de Caroline du Nord. Et d’après son travail, 16 pesticides différents peuvent entraîner une augmentation du risque de maladie asthmatique.
« L’asthme est lié à des produits chimiques spécifiques. Nous n’avons pas établi de relation ni avec des classes particulières de pesticides, ni avec tel ou tel mode d’utilisation », précise Jane Hoppin. « Nous montrons également qu’il suffit d’une seule exposition importante à des pesticides, pour doubler le risque d’asthme chez un agriculteur donné ».Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Déprime ou dépression ?
[10 octobre 2007 - 09:53]
Comment faire la différence entre une déprime et une dépression ? Quelles sont les solutions de prise en charge ? Dans un livret téléchargeable en cliquant ici, vous trouverez toutes les réponses à ces questions … et à beaucoup d’autres.
La dépression : en savoir plus pour en sortir est édité par l’Institut national de Prévention et d’Education pour la Santé (INPES). En complément, vous pourrez aussi vous informer sur www.info-depression.fr. Ce dispositif est soutenu par un film d’animation diffusé à la télévision - du 29 octobre au 11 novembre - et par quatre annonces radio du 3 au 11 novembre.
Pourquoi l’INPES se lance-t-il ainsi dans des actions de masse ? Parce que près de 3 millions de Français souffrent de dépression. Parce que plus de 8 millions ont vécu ou vivront un épisode dépressif au cours de leur existence. Le problème aujourd’hui, c’est que 60% des personnes concernées ne consultent pas leur médecin. Et c’est particulièrement vrai pour les hommes, les jeunes et les personnes âgées. La dépression pourtant, requiert une vraie prise en charge. Et elle fait appel à de multiples acteurs, que le médecin traitant est sans doute le plus à même de coordonner.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[10 octobre 2007 - 09:53]
Comment faire la différence entre une déprime et une dépression ? Quelles sont les solutions de prise en charge ? Dans un livret téléchargeable en cliquant ici, vous trouverez toutes les réponses à ces questions … et à beaucoup d’autres.
La dépression : en savoir plus pour en sortir est édité par l’Institut national de Prévention et d’Education pour la Santé (INPES). En complément, vous pourrez aussi vous informer sur www.info-depression.fr. Ce dispositif est soutenu par un film d’animation diffusé à la télévision - du 29 octobre au 11 novembre - et par quatre annonces radio du 3 au 11 novembre.
Pourquoi l’INPES se lance-t-il ainsi dans des actions de masse ? Parce que près de 3 millions de Français souffrent de dépression. Parce que plus de 8 millions ont vécu ou vivront un épisode dépressif au cours de leur existence. Le problème aujourd’hui, c’est que 60% des personnes concernées ne consultent pas leur médecin. Et c’est particulièrement vrai pour les hommes, les jeunes et les personnes âgées. La dépression pourtant, requiert une vraie prise en charge. Et elle fait appel à de multiples acteurs, que le médecin traitant est sans doute le plus à même de coordonner.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Etiquettes inversées, des lots de médicaments homéopathiques retirés
[10 octobre 2007 - 11:21]
En accord avec l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS), les laboratoires Boiron annoncent le retrait de plusieurs lots de deux médicaments homéopathiques : Gingko biloba et Equisetum arvense. Une inversion d’étiquetage est en cause.
« Les flacons étiquetés ‘teinture-mère de Gingko biloba’ contiennent de la ‘teinture-mère d’Equisetum arvense’ » et vice versa », indique l’AFSSaPS. « Au plan de la toxicité, cette inversion ne semble pas entraîner de risque particulier pour les patients ».
Les lots concernés par ce retrait sont les suivants : Gingko biloba, lot S7051865 (3548 unités) et lot S7041309 (126 unités) et Equisetum arvense, lot S7051862 (883 unités), lot S7072624 (175 unités) et lot S7062040 (167 unités). « Les pharmaciens devront diffuser cette information aux patients connus pour avoir fait la demande de l’un ou l’autre de ces deux produits entre mai et octobre 2007 » conclut l’AFSSaPS.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[10 octobre 2007 - 11:21]
En accord avec l’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS), les laboratoires Boiron annoncent le retrait de plusieurs lots de deux médicaments homéopathiques : Gingko biloba et Equisetum arvense. Une inversion d’étiquetage est en cause.
« Les flacons étiquetés ‘teinture-mère de Gingko biloba’ contiennent de la ‘teinture-mère d’Equisetum arvense’ » et vice versa », indique l’AFSSaPS. « Au plan de la toxicité, cette inversion ne semble pas entraîner de risque particulier pour les patients ».
Les lots concernés par ce retrait sont les suivants : Gingko biloba, lot S7051865 (3548 unités) et lot S7041309 (126 unités) et Equisetum arvense, lot S7051862 (883 unités), lot S7072624 (175 unités) et lot S7062040 (167 unités). « Les pharmaciens devront diffuser cette information aux patients connus pour avoir fait la demande de l’un ou l’autre de ces deux produits entre mai et octobre 2007 » conclut l’AFSSaPS.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Un mauvais mariage peut nuire à la santé
AP - Mardi 9 octobre, 19h26
CHICAGO - Un mauvais mariage peut vous rendre malade, au sens propre. Car avoir de mauvaises relations, qu'elles soient conjugales ou amicales, est un facteur de stress qui contribue au risque cardio-vasculaire, selon une étude britannique.
Menée auprès de 9.011 fonctionnaires britanniques suivis pendant 12 ans, pour la plupart mariés, l'étude souligne que ceux ayant la plus mauvaise relation conjugale ont un risque majoré de 34% de faire un infarctus ou tout autre problème cardiaque, par rapport à ceux qui jouissent de bonnes relations. Ces résultats son valables tant pour les conjoints que pour les parents proches et les amis.
L'étude publiée lundi dans" Les Archives de médecine interne" fait suite aux précédentes qui soulignaient déjà le lien entre les problèmes de santé et la solitude ou le peu de relations fortes.
Ici, les chercheurs se sont penchés sur la qualité du mariage et d'autres relations importantes. "Ce que nous ajoutons ici, c'est que d'accord, être marié est en général une bonne chose, mais faites attention à la personne que vous avez épousée, la qualité de la relation a de l'importance", a déclaré le principal auteur de l'étude, Roberto De Vogli, chercheur au Collège universitaire de Londres.
Son équipe de recherche, a-t-il expliqué, réalise des tests chez des individus entretenant de mauvaises relations, à la recherche de la moindre preuve biologique d'un stress qui pourrait faire le lit de maladies cardio-vasculaires. Ceci inclut l'inflammation et des niveaux élevés d'hormones de stress.
Une autre étude récente qui s'est penchée sur la qualité des relations a donné des résultats différents. Il n'existe, selon elle, aucune association entre le malheur conjugal en général et les risques cardio-vasculaires ou une mort prématurée.
Toutefois, l'étude a montré que sur une période de dix ans, les femmes qui subissaient en silence les disputes conjugales avaient plus de risques de mourir que celles qui s'exprimaient. Chez les hommes, le simple fait d'être marié semble réduire le risque de mourir. L'étude qui porte sur près de 4.000 hommes et femmes a été publiée en juillet sur le site en ligne du journal "Psychosomatic Medicine". Dans l'étude du professeur De Vogli, le risque pour la santé est le même pour les hommes et les femmes entretenant de mauvaises relations.
Pour ces recherches, les volontaires ont rempli des questionnaires destinés notamment à évaluer leur relation avec la personne dont ils sentaient le plus proche en fonction de divers critères. On leur a notamment demandé dans quelle mesure cette personne étaient pour eux "source d'inquiétude, de problèmes ou de stress", et s'ils estimaient pouvoir se confier à elle.
Au cours des 12 années de suivi, 589 participants ont souffert de problèmes cardio-vasculaires. Ceux qui présentaient les scores les plus négatifs sur le questionnaire avaient le risque le plus élevé, même en tenant compte d'autres facteurs liés aux maladies cardio-vasculaires comme l'obésité, la pression artérielle et le tabagisme.
Pour James Coyne, professeur de psychologie, Université de Pennsylvanie qui a aussi examiné l'impact des relations sociales sur la santé, l'étude de M. De Vogli ne démontre pas que de mauvaises relations peuvent être la cause de maladies cardio-vasculaires. APÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
AP - Mardi 9 octobre, 19h26
CHICAGO - Un mauvais mariage peut vous rendre malade, au sens propre. Car avoir de mauvaises relations, qu'elles soient conjugales ou amicales, est un facteur de stress qui contribue au risque cardio-vasculaire, selon une étude britannique.
Menée auprès de 9.011 fonctionnaires britanniques suivis pendant 12 ans, pour la plupart mariés, l'étude souligne que ceux ayant la plus mauvaise relation conjugale ont un risque majoré de 34% de faire un infarctus ou tout autre problème cardiaque, par rapport à ceux qui jouissent de bonnes relations. Ces résultats son valables tant pour les conjoints que pour les parents proches et les amis.
L'étude publiée lundi dans" Les Archives de médecine interne" fait suite aux précédentes qui soulignaient déjà le lien entre les problèmes de santé et la solitude ou le peu de relations fortes.
Ici, les chercheurs se sont penchés sur la qualité du mariage et d'autres relations importantes. "Ce que nous ajoutons ici, c'est que d'accord, être marié est en général une bonne chose, mais faites attention à la personne que vous avez épousée, la qualité de la relation a de l'importance", a déclaré le principal auteur de l'étude, Roberto De Vogli, chercheur au Collège universitaire de Londres.
Son équipe de recherche, a-t-il expliqué, réalise des tests chez des individus entretenant de mauvaises relations, à la recherche de la moindre preuve biologique d'un stress qui pourrait faire le lit de maladies cardio-vasculaires. Ceci inclut l'inflammation et des niveaux élevés d'hormones de stress.
Une autre étude récente qui s'est penchée sur la qualité des relations a donné des résultats différents. Il n'existe, selon elle, aucune association entre le malheur conjugal en général et les risques cardio-vasculaires ou une mort prématurée.
Toutefois, l'étude a montré que sur une période de dix ans, les femmes qui subissaient en silence les disputes conjugales avaient plus de risques de mourir que celles qui s'exprimaient. Chez les hommes, le simple fait d'être marié semble réduire le risque de mourir. L'étude qui porte sur près de 4.000 hommes et femmes a été publiée en juillet sur le site en ligne du journal "Psychosomatic Medicine". Dans l'étude du professeur De Vogli, le risque pour la santé est le même pour les hommes et les femmes entretenant de mauvaises relations.
Pour ces recherches, les volontaires ont rempli des questionnaires destinés notamment à évaluer leur relation avec la personne dont ils sentaient le plus proche en fonction de divers critères. On leur a notamment demandé dans quelle mesure cette personne étaient pour eux "source d'inquiétude, de problèmes ou de stress", et s'ils estimaient pouvoir se confier à elle.
Au cours des 12 années de suivi, 589 participants ont souffert de problèmes cardio-vasculaires. Ceux qui présentaient les scores les plus négatifs sur le questionnaire avaient le risque le plus élevé, même en tenant compte d'autres facteurs liés aux maladies cardio-vasculaires comme l'obésité, la pression artérielle et le tabagisme.
Pour James Coyne, professeur de psychologie, Université de Pennsylvanie qui a aussi examiné l'impact des relations sociales sur la santé, l'étude de M. De Vogli ne démontre pas que de mauvaises relations peuvent être la cause de maladies cardio-vasculaires. APÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Sénat: un rapport pour limiter le nombre de médecins en zone "surdotée"
AFP - Mercredi 10 octobre, 08h51
PARIS (AFP) - Un rapport sénatorial rendu public mercredi propose de limiter l'installation de médecins dans les zones où ils sont suffisamment nombreux et de développer la "télémédecine" pour améliorer "l'accès aux soins" dans les zones manquant de praticiens.
"Le nombre de médecins en exercice n'a jamais été aussi élevé et pourtant, les disparités entre régions deviennent trop importantes pour assurer un accès à des soins de qualité sur l'ensemble du territoire", écrit Jean-Marc Juilhard dont le rapport a été approuvé par la Commission des affaires sociales du Sénat.
Pour "réduire la fracture territoriale en matière d'offre de soins", le rapport propose de "développer la +télémédecine+", de sensibiliser les étudiants et les jeunes médecins, notamment en améliorant l'information sur les aides à l'installation en "zone sous-médicalisée", et de "réguler les installations dans les zones médicalement surdotées".
Cette "régulation" doit passer par des négociations entre les caisses de Sécurité sociale et les syndicats de médecins pouvant aboutir à des "mesures d'ordre financier" telle la "réduction du tarif de consultation des professionnels de santé s'installant dans une zone surmédicalisée", comme cela se fait déjà au Canada.
Ces négociations pourraient également permettre de "recourir à un conventionnement sélectif dans les zones surmédicalisées", qui devront être précisément répertoriées, selon le rapport.
Plusieurs autres rapports ont récemment également jugé nécessaire de limiter le nombre de médecins libéraux dans les zones sur-médicalisées, pour les amener à s'installer là où la France manque de praticiens, notamment les banlieues pauvres ou certaines régions rurales.
Dans son projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2008, le gouvernement a invité médecins et caisses de Sécurité sociale à "définir les outils pour réguler l'installation de nouveaux professionnels de santé".
Un article (numéro 32) prévoit d'adapter "en fonction des besoins de santé sur le territoire" les règles de conventionnement qui relient les praticiens à l'assurance maladie et permettent aux patients de bénéficier des tarifs remboursables.
Ces projets ont suscité la colère des internes en médecine qui appellent à une nouvelle journée d'action jeudi.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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PARIS (AFP) - Un rapport sénatorial rendu public mercredi propose de limiter l'installation de médecins dans les zones où ils sont suffisamment nombreux et de développer la "télémédecine" pour améliorer "l'accès aux soins" dans les zones manquant de praticiens.
"Le nombre de médecins en exercice n'a jamais été aussi élevé et pourtant, les disparités entre régions deviennent trop importantes pour assurer un accès à des soins de qualité sur l'ensemble du territoire", écrit Jean-Marc Juilhard dont le rapport a été approuvé par la Commission des affaires sociales du Sénat.
Pour "réduire la fracture territoriale en matière d'offre de soins", le rapport propose de "développer la +télémédecine+", de sensibiliser les étudiants et les jeunes médecins, notamment en améliorant l'information sur les aides à l'installation en "zone sous-médicalisée", et de "réguler les installations dans les zones médicalement surdotées".
Cette "régulation" doit passer par des négociations entre les caisses de Sécurité sociale et les syndicats de médecins pouvant aboutir à des "mesures d'ordre financier" telle la "réduction du tarif de consultation des professionnels de santé s'installant dans une zone surmédicalisée", comme cela se fait déjà au Canada.
Ces négociations pourraient également permettre de "recourir à un conventionnement sélectif dans les zones surmédicalisées", qui devront être précisément répertoriées, selon le rapport.
Plusieurs autres rapports ont récemment également jugé nécessaire de limiter le nombre de médecins libéraux dans les zones sur-médicalisées, pour les amener à s'installer là où la France manque de praticiens, notamment les banlieues pauvres ou certaines régions rurales.
Dans son projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2008, le gouvernement a invité médecins et caisses de Sécurité sociale à "définir les outils pour réguler l'installation de nouveaux professionnels de santé".
Un article (numéro 32) prévoit d'adapter "en fonction des besoins de santé sur le territoire" les règles de conventionnement qui relient les praticiens à l'assurance maladie et permettent aux patients de bénéficier des tarifs remboursables.
Ces projets ont suscité la colère des internes en médecine qui appellent à une nouvelle journée d'action jeudi.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Grippe aviaire: bilan mitigé pour les recherches
AP - il y a 42 minutes
BERNE - Un an après le lancement de projets de recherche sur la grippe aviaire, le bilan est mitigé. Il n'a pas encore pu être établi avec certitude comment le virus H5N1, dangereux pour l'homme, a pu venir d'Asie en Europe. Le risque d'une irruption de la grippe aviaire est toujours là, qu'elle soit transportée par les oiseaux migrateurs ou par un autre vecteur.
"Comme par le passé, on ne sait pas encore clairement comment la grippe aviaire est arrivée en Europe", a expliqué à l'Associated Press Cathy Maret, porte-parole de l'Office vétérinaire fédéral suisse (OVF). En particulier, l'étude menée en Suisse par la station ornithologique de Sempach n'a pas permis de conclure que le virus est passé par la Russie, a-t-elle souligné.
Les spécialistes de Sempach ont bagué quelque 8.000 canards sauvages. Plusieurs de ces volatiles sont venus de Russie où la grippe aviaire a déjà frappé des élevages de volailles. Cette étude est réalisée avec le soutien de l'OVF, mais indépendamment des recherches internationales menées dans la région du Lac de Constance, le projet "Constanze".
En février et mars 2006, la grippe aviaire a fait une irruption soudaine dans ce secteur, à la frontière entre la Suisse, l'Allemagne et l'Autriche. Au total, 86 dépouilles d'oiseaux migrateurs contaminés par le virus H5N1 ont été découvertes. Par contre, aucun cas n'a été dépisté durant l'hiver et le début de l'année 2007. Cela montre que le virus n'est pas si fréquent parmi les oiseaux sauvages, a relevé Cathy Maret.
Malgré cela, des cas de grippe aviaire ont été dépistés cette année en France et en Allemagne. Cela signifie que le risque d'une arrivée de l'agent pathogène est toujours là. La vigilance des scientifiques ne s'est pas relâchée et ils maintiennent des contacts étroits afin de coordonner les recherches lorsqu'un cas positif est découvert.
Contrairement à l'hiver 2006, celui de 2007 a été tempéré. Il n'est donc pas exclu qu'un hiver doux entrave la diffusion de la grippe aviaire ou même l'empêche totalement. Les cas relevés en France et en Allemagne tendent à prouver que le virus se répand aussi lorsque les températures sont douces, a ajouté Mme Maret. Par contre, le virus peut survivre beaucoup plus longtemps dans l'environnement par basses températures.
Le projet trinational "Constanze", qui s'étend jusqu'en 2009, examine également si d'autres vecteurs que les oiseaux migrateurs ont servi à la diffusion du virus. Un sondage est en cours auprès des éleveurs de volailles afin qu'ils indiquent d'où proviennent leurs animaux et s'ils ont eu des contacts avec les oiseaux sauvages. Dans ce cadre, un modèle informatique va être élaboré afin de simuler la diffusion de la grippe aviaire. Là également, les travaux sont en cours, a précisé Cathy Maret.
En cas de nouvelle irruption du virus H5N1, la région du Lac de Constance sera mieux préparée qu'en 2006: elle fait l'objet d'une surveillance intensive. L'année dernière, tout le monde en a parlé et cela a permis de récolter beaucoup de dépouilles d'oiseaux contaminés. Selon l'OVF suisse, ce sera vraisemblablement à nouveau le cas si une nouvelle irruption du virus attire l'attention de l'opinion publiqueÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
AP - il y a 42 minutes
BERNE - Un an après le lancement de projets de recherche sur la grippe aviaire, le bilan est mitigé. Il n'a pas encore pu être établi avec certitude comment le virus H5N1, dangereux pour l'homme, a pu venir d'Asie en Europe. Le risque d'une irruption de la grippe aviaire est toujours là, qu'elle soit transportée par les oiseaux migrateurs ou par un autre vecteur.
"Comme par le passé, on ne sait pas encore clairement comment la grippe aviaire est arrivée en Europe", a expliqué à l'Associated Press Cathy Maret, porte-parole de l'Office vétérinaire fédéral suisse (OVF). En particulier, l'étude menée en Suisse par la station ornithologique de Sempach n'a pas permis de conclure que le virus est passé par la Russie, a-t-elle souligné.
Les spécialistes de Sempach ont bagué quelque 8.000 canards sauvages. Plusieurs de ces volatiles sont venus de Russie où la grippe aviaire a déjà frappé des élevages de volailles. Cette étude est réalisée avec le soutien de l'OVF, mais indépendamment des recherches internationales menées dans la région du Lac de Constance, le projet "Constanze".
En février et mars 2006, la grippe aviaire a fait une irruption soudaine dans ce secteur, à la frontière entre la Suisse, l'Allemagne et l'Autriche. Au total, 86 dépouilles d'oiseaux migrateurs contaminés par le virus H5N1 ont été découvertes. Par contre, aucun cas n'a été dépisté durant l'hiver et le début de l'année 2007. Cela montre que le virus n'est pas si fréquent parmi les oiseaux sauvages, a relevé Cathy Maret.
Malgré cela, des cas de grippe aviaire ont été dépistés cette année en France et en Allemagne. Cela signifie que le risque d'une arrivée de l'agent pathogène est toujours là. La vigilance des scientifiques ne s'est pas relâchée et ils maintiennent des contacts étroits afin de coordonner les recherches lorsqu'un cas positif est découvert.
Contrairement à l'hiver 2006, celui de 2007 a été tempéré. Il n'est donc pas exclu qu'un hiver doux entrave la diffusion de la grippe aviaire ou même l'empêche totalement. Les cas relevés en France et en Allemagne tendent à prouver que le virus se répand aussi lorsque les températures sont douces, a ajouté Mme Maret. Par contre, le virus peut survivre beaucoup plus longtemps dans l'environnement par basses températures.
Le projet trinational "Constanze", qui s'étend jusqu'en 2009, examine également si d'autres vecteurs que les oiseaux migrateurs ont servi à la diffusion du virus. Un sondage est en cours auprès des éleveurs de volailles afin qu'ils indiquent d'où proviennent leurs animaux et s'ils ont eu des contacts avec les oiseaux sauvages. Dans ce cadre, un modèle informatique va être élaboré afin de simuler la diffusion de la grippe aviaire. Là également, les travaux sont en cours, a précisé Cathy Maret.
En cas de nouvelle irruption du virus H5N1, la région du Lac de Constance sera mieux préparée qu'en 2006: elle fait l'objet d'une surveillance intensive. L'année dernière, tout le monde en a parlé et cela a permis de récolter beaucoup de dépouilles d'oiseaux contaminés. Selon l'OVF suisse, ce sera vraisemblablement à nouveau le cas si une nouvelle irruption du virus attire l'attention de l'opinion publiqueÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Le mobile augmenterait le risque de tumeur
Décennie de portable, l'heure du bilan
Paris, 04/10/07
Le téléphone portable est-il dangereux pour la santé ? Une récente étude vient de publier ses résultats : les chercheurs concluent qu’après 10 ans d’utilisation, le risque de développer une tumeur au cerveau est double. Le Docteur Lennart Hardell de l’hôpital universitaire d’Orebro en Suède précise que les risques majeurs se situent sur le côté du crâne, à l’endroit où le téléphone repose sur l’oreille.
Ces tumeurs au cerveau pourraient venir d’une exposition prolongée aux radiations électromagnétiques et sont d’autant plus difficiles à soigner qu’elles touchent le système nerveux. En effet, les amas de cellules grandissent à partir du nerf qui relie l’oreille au cerveau.
Jusqu’à présent, les scientifiques n’avaient pas assez de recul pour pouvoir faire des études à long terme. Aujourd’hui, cela devient possible puisque selon les scientifiques « 10 ans est une période minimum raisonnable » pour estimer les risques.
Le Docteur Hardell et son équipe ont synthétisé les résultats de 11 études évaluant sur du long terme les risques de développer une tumeur cérébrale. Seulement une étude sur les 11 a montré que l’utilisation des téléphones mobiles n’augmente pas le risque de tumeur.
De manière générale, une tumeur cérébrale a plus de risques de se développer dans les zones du cerveau les plus exposées à une radiation chronique pendant une décennie. Les chercheurs responsables de l’étude concluent qu’il faut continuer d’étudier le risque de croissance tumorale alors que d’autres types de tumeurs dont les origines sont inconnues pourraient provenir de l’utilisation des téléphones portables.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Décennie de portable, l'heure du bilan
Paris, 04/10/07
Le téléphone portable est-il dangereux pour la santé ? Une récente étude vient de publier ses résultats : les chercheurs concluent qu’après 10 ans d’utilisation, le risque de développer une tumeur au cerveau est double. Le Docteur Lennart Hardell de l’hôpital universitaire d’Orebro en Suède précise que les risques majeurs se situent sur le côté du crâne, à l’endroit où le téléphone repose sur l’oreille.
Ces tumeurs au cerveau pourraient venir d’une exposition prolongée aux radiations électromagnétiques et sont d’autant plus difficiles à soigner qu’elles touchent le système nerveux. En effet, les amas de cellules grandissent à partir du nerf qui relie l’oreille au cerveau.
Jusqu’à présent, les scientifiques n’avaient pas assez de recul pour pouvoir faire des études à long terme. Aujourd’hui, cela devient possible puisque selon les scientifiques « 10 ans est une période minimum raisonnable » pour estimer les risques.
Le Docteur Hardell et son équipe ont synthétisé les résultats de 11 études évaluant sur du long terme les risques de développer une tumeur cérébrale. Seulement une étude sur les 11 a montré que l’utilisation des téléphones mobiles n’augmente pas le risque de tumeur.
De manière générale, une tumeur cérébrale a plus de risques de se développer dans les zones du cerveau les plus exposées à une radiation chronique pendant une décennie. Les chercheurs responsables de l’étude concluent qu’il faut continuer d’étudier le risque de croissance tumorale alors que d’autres types de tumeurs dont les origines sont inconnues pourraient provenir de l’utilisation des téléphones portables.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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BPCO : la maladie du fumeur se porte… trop bien
[10 octobre 2007 - 14:26]
La broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) touche un nombre croissant de personnes à travers le monde. Bien plus en tout cas que les prévisions ne le laissaient envisager. Une nouvelle étude américaine lève le voile sur l’étendue de cette maladie, principalement causée par le tabagisme.
Dans The Lancet, le Dr Sonia Buist et ses collègues (Université Oregon Health and Sciences) soulignent que « la prévalence de la BPCO est plus élevée que prévue à travers le monde. Ce qui signifie que la maladie a été largement sous-estimée par le passé ».
Les auteurs ont étudié les cas de près de 10 000 femmes et hommes de plus de 40 ans, dans 12 pays. Le résultat est sans équivoque. En moyenne, 10,1% des participants présentaient une BPCO à un stade avancé. Soit 11,8% des hommes et 8,5% des femmes. « Des chiffres bien plus élevés que les 4,3% publiés dans une récente méta-analyse » précisent les auteurs.
Deux raisons sont avancées à cela : l’allongement de la durée de vie et le tabagisme. Un autre article également publié cette semaine dans le Lancet met en avant un facteur de risque supplémentaire : la faiblesse des fonctions respiratoires à la naissance. Cette dernière jouerait un rôle dans la propagation de la BPCO. Ce travail réalisé par des chercheurs américains de l’Université d’Arizona, propose ainsi de « mieux étudier les mécanismes qui contrôlent la maturation des poumons in utero. Cela permettrait de développer des stratégies de prévention de la BPCO à l’âge adulte ».
En France, 2,5 millions de personnes souffriraient de broncho-pneumopathie chronique obstructive, parfois même sans le savoir ! Caractérisée par une obstruction croissante des bronches, la BPCO -trop souvent confondue avec un asthme- entraîne une diminution progressive mais irréversible du débit respiratoire. En revanche c’est confirmé, l’arrêt du tabac permet bel et bien de faire reculer la mortalité. A bon entendeur…Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[10 octobre 2007 - 14:26]
La broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) touche un nombre croissant de personnes à travers le monde. Bien plus en tout cas que les prévisions ne le laissaient envisager. Une nouvelle étude américaine lève le voile sur l’étendue de cette maladie, principalement causée par le tabagisme.
Dans The Lancet, le Dr Sonia Buist et ses collègues (Université Oregon Health and Sciences) soulignent que « la prévalence de la BPCO est plus élevée que prévue à travers le monde. Ce qui signifie que la maladie a été largement sous-estimée par le passé ».
Les auteurs ont étudié les cas de près de 10 000 femmes et hommes de plus de 40 ans, dans 12 pays. Le résultat est sans équivoque. En moyenne, 10,1% des participants présentaient une BPCO à un stade avancé. Soit 11,8% des hommes et 8,5% des femmes. « Des chiffres bien plus élevés que les 4,3% publiés dans une récente méta-analyse » précisent les auteurs.
Deux raisons sont avancées à cela : l’allongement de la durée de vie et le tabagisme. Un autre article également publié cette semaine dans le Lancet met en avant un facteur de risque supplémentaire : la faiblesse des fonctions respiratoires à la naissance. Cette dernière jouerait un rôle dans la propagation de la BPCO. Ce travail réalisé par des chercheurs américains de l’Université d’Arizona, propose ainsi de « mieux étudier les mécanismes qui contrôlent la maturation des poumons in utero. Cela permettrait de développer des stratégies de prévention de la BPCO à l’âge adulte ».
En France, 2,5 millions de personnes souffriraient de broncho-pneumopathie chronique obstructive, parfois même sans le savoir ! Caractérisée par une obstruction croissante des bronches, la BPCO -trop souvent confondue avec un asthme- entraîne une diminution progressive mais irréversible du débit respiratoire. En revanche c’est confirmé, l’arrêt du tabac permet bel et bien de faire reculer la mortalité. A bon entendeur…Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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MSF propose une nouvelle approche contre la malnutrition
Reuters - il y a 2 heures 31 minutes
PARIS (Reuters) - Médecins Sans Frontières (MSF) lance un appel aux agences de Nations unies et aux bailleurs de fonds pour développer l'utilisation des pâtes nutritives prêtes à l'emploi face à la mortalité infantile liée à la malnutrition.
Chaque année cinq millions d'enfants malnutris meurent avant l'âge de cinq ans et l'aide alimentaire ne répond pas aux besoins des enfants les plus à risque, souligne mercredi l'organisation dans un communiqué.
"La question n'est pas seulement la quantité de nourriture que reçoivent les enfants, mais la qualité", souligne Christophe Fournier, président du Conseil international de MSF.
"S'ils n'ont pas l'apport nécessaire de vitamines et de nutriments essentiels dans leur alimentation, les jeunes enfants deviennent vulnérables face à des maladies qu'ils auraient normalement pu combattre facilement", ajoute-t-il.
MSF estime que les appels en faveur de l'augmentation de l'aide alimentaire "ignorent les besoins spécifiques des enfants en bas âge, qui sont le plus en danger de mort."
Les pâtes nutritives prêtes à l'emploi, qui se présentent sous forme de rations individuelles, contiennent tous les nutriments, vitamines et minéraux essentiels pour la croissance des jeunes enfants, souligne MSF.
Ces pâtes denses, à base de poudre de lait, de sucre et de graisses végétales, peuvent être produites localement, stockées et transportées facilement, même sous les climats chauds.
Selon MSF, le traitement des enfants les plus vulnérables coûterait 750 millions d'euros.
Les plus importants foyers de mortalité infantile liée à la malnutrition se trouvent dans la Corne de l'Afrique, au Sahel et en Asie du Sud.
Selon une estimation de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) citée par MSF, 20 millions de jeunes enfants souffrent de malnutrition aiguë sévère dans le monde. Or seulement 3% d'entre eux auront reçu des pâtes nutritives prêtes à l'emploi en 2007.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Reuters - il y a 2 heures 31 minutes
PARIS (Reuters) - Médecins Sans Frontières (MSF) lance un appel aux agences de Nations unies et aux bailleurs de fonds pour développer l'utilisation des pâtes nutritives prêtes à l'emploi face à la mortalité infantile liée à la malnutrition.
Chaque année cinq millions d'enfants malnutris meurent avant l'âge de cinq ans et l'aide alimentaire ne répond pas aux besoins des enfants les plus à risque, souligne mercredi l'organisation dans un communiqué.
"La question n'est pas seulement la quantité de nourriture que reçoivent les enfants, mais la qualité", souligne Christophe Fournier, président du Conseil international de MSF.
"S'ils n'ont pas l'apport nécessaire de vitamines et de nutriments essentiels dans leur alimentation, les jeunes enfants deviennent vulnérables face à des maladies qu'ils auraient normalement pu combattre facilement", ajoute-t-il.
MSF estime que les appels en faveur de l'augmentation de l'aide alimentaire "ignorent les besoins spécifiques des enfants en bas âge, qui sont le plus en danger de mort."
Les pâtes nutritives prêtes à l'emploi, qui se présentent sous forme de rations individuelles, contiennent tous les nutriments, vitamines et minéraux essentiels pour la croissance des jeunes enfants, souligne MSF.
Ces pâtes denses, à base de poudre de lait, de sucre et de graisses végétales, peuvent être produites localement, stockées et transportées facilement, même sous les climats chauds.
Selon MSF, le traitement des enfants les plus vulnérables coûterait 750 millions d'euros.
Les plus importants foyers de mortalité infantile liée à la malnutrition se trouvent dans la Corne de l'Afrique, au Sahel et en Asie du Sud.
Selon une estimation de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) citée par MSF, 20 millions de jeunes enfants souffrent de malnutrition aiguë sévère dans le monde. Or seulement 3% d'entre eux auront reçu des pâtes nutritives prêtes à l'emploi en 2007.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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La pollution a réduit d'un an l'espérance de vie en Europe, selon l'AEE
AFP - il y a 1 heure 23 minutes
BELGRADE (AFP) - L'Europe doit prendre des mesures énergiques contre la pollution qui a réduit de près d'un an l'espérance de vie de sa population et compromis la croissance des enfants, selon un rapport de l'Agence européenne pour l'environnement (AEE), diffusé mercredi à Belgrade
"On estime que les niveaux actuels, surtout d'oxyde d'azote, de particules fines et d'ozone au sol, réduisent l'espérance de vie moyenne dans les pays d'Europe occidentale et centrale de près d'un an et compromettent la croissance des enfants", souligne le rapport, intitulé "L'environnement en Europe".
Ce document de 440 pages a été présenté à Belgrade dans le cadre d'une conférence réunissant 56 pays, organisée sous les auspices de la commission économique des Nations unies pour l'Europe (CEE-ONU).
Il établit un état de l'environnement dans 53 pays dont la population totale dépasse 870 millions de personnes, une région qui comprend l'Europe de l'Est, le Caucase et l'Asie centrale, l'Europe du Sud-Est, ainsi que l'Europe occidentale et centrale.
Dans cette région, "plus de 100 millions de personnes n'ont accès ni à de l'eau potable ni à des installations sanitaires de qualité", tandis qu'au cours des 15 dernières années "la qualité de l'approvisionnement en eau et des installations sanitaires s'est détériorée" en particulier en Europe de l'Est, Caucase, Asie centrale et Europe du Sud-Est.
Depuis 2000 "la plupart des émissions polluantes ont augmenté de 10 % en raison de la reprise économique" en Europe de l'Est, dans le Caucase et en Asie centrale, souligne le rapport.
Il attire également l'attention sur "plusieurs aspects préoccupants tels que la surpêche, l'eutrophisation et des pressions grandissantes sur les zones côtières". Même si le nombre de marées noires accidentelles a diminué dans les mers européennes, "les rejets d'hydrocarbures dans le cadre des activités de routine demeurent importants", indique-t-il.
En ce qui concerne la biodiversité, "plus de 700 espèces européennes sont menacées d'extinction (...) à cause de la destruction, de la dégradation et de la perturbation de leurs habitats".
"Nous devons renforcer la volonté d'agir sur les problématiques environnementales dans la région paneuropéenne", a souligné devant la presse Jacqueline McGlade, directrice exécutive de l'AEE.
"Pour ce faire, il importe que nous comprenions mieux les problèmes qui se posent, leur nature et leur répartition parmi les différentes sociétés et générations", a-t-elle ajouté.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
AFP - il y a 1 heure 23 minutes
BELGRADE (AFP) - L'Europe doit prendre des mesures énergiques contre la pollution qui a réduit de près d'un an l'espérance de vie de sa population et compromis la croissance des enfants, selon un rapport de l'Agence européenne pour l'environnement (AEE), diffusé mercredi à Belgrade
"On estime que les niveaux actuels, surtout d'oxyde d'azote, de particules fines et d'ozone au sol, réduisent l'espérance de vie moyenne dans les pays d'Europe occidentale et centrale de près d'un an et compromettent la croissance des enfants", souligne le rapport, intitulé "L'environnement en Europe".
Ce document de 440 pages a été présenté à Belgrade dans le cadre d'une conférence réunissant 56 pays, organisée sous les auspices de la commission économique des Nations unies pour l'Europe (CEE-ONU).
Il établit un état de l'environnement dans 53 pays dont la population totale dépasse 870 millions de personnes, une région qui comprend l'Europe de l'Est, le Caucase et l'Asie centrale, l'Europe du Sud-Est, ainsi que l'Europe occidentale et centrale.
Dans cette région, "plus de 100 millions de personnes n'ont accès ni à de l'eau potable ni à des installations sanitaires de qualité", tandis qu'au cours des 15 dernières années "la qualité de l'approvisionnement en eau et des installations sanitaires s'est détériorée" en particulier en Europe de l'Est, Caucase, Asie centrale et Europe du Sud-Est.
Depuis 2000 "la plupart des émissions polluantes ont augmenté de 10 % en raison de la reprise économique" en Europe de l'Est, dans le Caucase et en Asie centrale, souligne le rapport.
Il attire également l'attention sur "plusieurs aspects préoccupants tels que la surpêche, l'eutrophisation et des pressions grandissantes sur les zones côtières". Même si le nombre de marées noires accidentelles a diminué dans les mers européennes, "les rejets d'hydrocarbures dans le cadre des activités de routine demeurent importants", indique-t-il.
En ce qui concerne la biodiversité, "plus de 700 espèces européennes sont menacées d'extinction (...) à cause de la destruction, de la dégradation et de la perturbation de leurs habitats".
"Nous devons renforcer la volonté d'agir sur les problématiques environnementales dans la région paneuropéenne", a souligné devant la presse Jacqueline McGlade, directrice exécutive de l'AEE.
"Pour ce faire, il importe que nous comprenions mieux les problèmes qui se posent, leur nature et leur répartition parmi les différentes sociétés et générations", a-t-elle ajouté.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Contre la maladie d’Alzheimer, un traitement en forme de repas
[11 octobre 2007 - 09:45]
Le repas peut-il être considéré comme un soin en gérontologie, notamment en cas de maladie d’Alzheimer ? La réponse prend la forme d’un grand OUI. A condition toutefois que ce repas fasse partie d’un véritable projet de vie. Et surtout qu’il comporte un ingrédient essentiel : le temps !
Le Dr Jean-François Pujol, gériatre et président du réseau professionnel Althéa, parle ainsi de « repas thérapeutique ». Un concept qu’il a pris soin de détailler aux 300 participants (directeurs de maisons de retraite, cuisiniers, soignants….) d’un colloque organisé récemment à Montaigu (Vendée). Le thème en était particulièrement savoureux, puisqu’il s’agissait de Conserver la mémoire du goût.
Aux yeux de Jean-François Pujol, le repas devient un soin à condition de répondre à 3 objectifs : « il doit bien sûr garantir les besoins nutritionnels spécifiques (du patient), apporter une dimension sociologique » -autrement dit, être un moment de partage- et « contribuer à maintenir l’autonomie ».
Pour le Dr Pujol, ce repas thérapeutique doit durer au moins une heure. Pas moins ! Un avis confirmé par Yves Clerq, psychologue à l’Institut Meslay de Montaigu : « Si le repas dure effectivement une heure, nous diminuons le risque de dénutrition dans des proportions considérables ». Mais d’autres détails ont leur importance : « laisser les gens choisir leur place à table, ne pas présenter à un sujet malvoyant des aliments de couleur pâle dans une assiette blanche ». Sans oublier bien sûr des mesures simples, comme le fait d’adapter l’alimentation aux capacités de mastication et de déglutition de chacun.
Comme le rappelle Jean-François Pujol, « les malades d’Alzheimer présentent un grand risque de dénutrition, laquelle est une source d’aggravation de la maladie. Une vigilance accrue par des soignants formés permet une prévention adaptée ». Rappelons que 800 000 personnes souffrent de la maladie d’Alzheimer actuellement en France. Et que seulement 40% d’entre elles vivent en institution.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[11 octobre 2007 - 09:45]
Le repas peut-il être considéré comme un soin en gérontologie, notamment en cas de maladie d’Alzheimer ? La réponse prend la forme d’un grand OUI. A condition toutefois que ce repas fasse partie d’un véritable projet de vie. Et surtout qu’il comporte un ingrédient essentiel : le temps !
Le Dr Jean-François Pujol, gériatre et président du réseau professionnel Althéa, parle ainsi de « repas thérapeutique ». Un concept qu’il a pris soin de détailler aux 300 participants (directeurs de maisons de retraite, cuisiniers, soignants….) d’un colloque organisé récemment à Montaigu (Vendée). Le thème en était particulièrement savoureux, puisqu’il s’agissait de Conserver la mémoire du goût.
Aux yeux de Jean-François Pujol, le repas devient un soin à condition de répondre à 3 objectifs : « il doit bien sûr garantir les besoins nutritionnels spécifiques (du patient), apporter une dimension sociologique » -autrement dit, être un moment de partage- et « contribuer à maintenir l’autonomie ».
Pour le Dr Pujol, ce repas thérapeutique doit durer au moins une heure. Pas moins ! Un avis confirmé par Yves Clerq, psychologue à l’Institut Meslay de Montaigu : « Si le repas dure effectivement une heure, nous diminuons le risque de dénutrition dans des proportions considérables ». Mais d’autres détails ont leur importance : « laisser les gens choisir leur place à table, ne pas présenter à un sujet malvoyant des aliments de couleur pâle dans une assiette blanche ». Sans oublier bien sûr des mesures simples, comme le fait d’adapter l’alimentation aux capacités de mastication et de déglutition de chacun.
Comme le rappelle Jean-François Pujol, « les malades d’Alzheimer présentent un grand risque de dénutrition, laquelle est une source d’aggravation de la maladie. Une vigilance accrue par des soignants formés permet une prévention adaptée ». Rappelons que 800 000 personnes souffrent de la maladie d’Alzheimer actuellement en France. Et que seulement 40% d’entre elles vivent en institution.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Contre la maladie d’Alzheimer, un traitement en forme de repas
[11 octobre 2007 - 09:45]
Le repas peut-il être considéré comme un soin en gérontologie, notamment en cas de maladie d’Alzheimer ? La réponse prend la forme d’un grand OUI. A condition toutefois que ce repas fasse partie d’un véritable projet de vie. Et surtout qu’il comporte un ingrédient essentiel : le temps !
Le Dr Jean-François Pujol, gériatre et président du réseau professionnel Althéa, parle ainsi de « repas thérapeutique ». Un concept qu’il a pris soin de détailler aux 300 participants (directeurs de maisons de retraite, cuisiniers, soignants….) d’un colloque organisé récemment à Montaigu (Vendée). Le thème en était particulièrement savoureux, puisqu’il s’agissait de Conserver la mémoire du goût.
Aux yeux de Jean-François Pujol, le repas devient un soin à condition de répondre à 3 objectifs : « il doit bien sûr garantir les besoins nutritionnels spécifiques (du patient), apporter une dimension sociologique » -autrement dit, être un moment de partage- et « contribuer à maintenir l’autonomie ».
Pour le Dr Pujol, ce repas thérapeutique doit durer au moins une heure. Pas moins ! Un avis confirmé par Yves Clerq, psychologue à l’Institut Meslay de Montaigu : « Si le repas dure effectivement une heure, nous diminuons le risque de dénutrition dans des proportions considérables ». Mais d’autres détails ont leur importance : « laisser les gens choisir leur place à table, ne pas présenter à un sujet malvoyant des aliments de couleur pâle dans une assiette blanche ». Sans oublier bien sûr des mesures simples, comme le fait d’adapter l’alimentation aux capacités de mastication et de déglutition de chacun.
Comme le rappelle Jean-François Pujol, « les malades d’Alzheimer présentent un grand risque de dénutrition, laquelle est une source d’aggravation de la maladie. Une vigilance accrue par des soignants formés permet une prévention adaptée ». Rappelons que 800 000 personnes souffrent de la maladie d’Alzheimer actuellement en France. Et que seulement 40% d’entre elles vivent en institution.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Le repas peut-il être considéré comme un soin en gérontologie, notamment en cas de maladie d’Alzheimer ? La réponse prend la forme d’un grand OUI. A condition toutefois que ce repas fasse partie d’un véritable projet de vie. Et surtout qu’il comporte un ingrédient essentiel : le temps !
Le Dr Jean-François Pujol, gériatre et président du réseau professionnel Althéa, parle ainsi de « repas thérapeutique ». Un concept qu’il a pris soin de détailler aux 300 participants (directeurs de maisons de retraite, cuisiniers, soignants….) d’un colloque organisé récemment à Montaigu (Vendée). Le thème en était particulièrement savoureux, puisqu’il s’agissait de Conserver la mémoire du goût.
Aux yeux de Jean-François Pujol, le repas devient un soin à condition de répondre à 3 objectifs : « il doit bien sûr garantir les besoins nutritionnels spécifiques (du patient), apporter une dimension sociologique » -autrement dit, être un moment de partage- et « contribuer à maintenir l’autonomie ».
Pour le Dr Pujol, ce repas thérapeutique doit durer au moins une heure. Pas moins ! Un avis confirmé par Yves Clerq, psychologue à l’Institut Meslay de Montaigu : « Si le repas dure effectivement une heure, nous diminuons le risque de dénutrition dans des proportions considérables ». Mais d’autres détails ont leur importance : « laisser les gens choisir leur place à table, ne pas présenter à un sujet malvoyant des aliments de couleur pâle dans une assiette blanche ». Sans oublier bien sûr des mesures simples, comme le fait d’adapter l’alimentation aux capacités de mastication et de déglutition de chacun.
Comme le rappelle Jean-François Pujol, « les malades d’Alzheimer présentent un grand risque de dénutrition, laquelle est une source d’aggravation de la maladie. Une vigilance accrue par des soignants formés permet une prévention adaptée ». Rappelons que 800 000 personnes souffrent de la maladie d’Alzheimer actuellement en France. Et que seulement 40% d’entre elles vivent en institution.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Carte Vitale 2, c’est parti !
[12 octobre 2007 - 07:50]
Depuis le mois de septembre, tous les jeunes qui atteignent leur seizième anniversaire se voient adresser… les documents nécessaires à l’obtention de leur carte Vitale 2. Après une phase de démarrage d’une durée de 6 mois en Bretagne, celle-ci est désormais disponible dans toute la France.
Les assurés qui n’ont plus de carte (vol, perte, carte défectueuse) doivent pour leur part prendre contact avec leur caisse d’Assurance-maladie. Ils reçoivent en retour un imprimé à remplir… et puis c’est tout simple ! Il suffit de suivre les indications données et de joindre une photo d’identité. Au cours de l’année 2008, la carte Vitale 1 sera progressivement remplacée. Et d’ici 2011, près de 59 millions de nouvelles cartes seront diffusées.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[12 octobre 2007 - 07:50]
Depuis le mois de septembre, tous les jeunes qui atteignent leur seizième anniversaire se voient adresser… les documents nécessaires à l’obtention de leur carte Vitale 2. Après une phase de démarrage d’une durée de 6 mois en Bretagne, celle-ci est désormais disponible dans toute la France.
Les assurés qui n’ont plus de carte (vol, perte, carte défectueuse) doivent pour leur part prendre contact avec leur caisse d’Assurance-maladie. Ils reçoivent en retour un imprimé à remplir… et puis c’est tout simple ! Il suffit de suivre les indications données et de joindre une photo d’identité. Au cours de l’année 2008, la carte Vitale 1 sera progressivement remplacée. Et d’ici 2011, près de 59 millions de nouvelles cartes seront diffusées.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Les micronutriments ? Au secours d’une assiette déjà équilibrée
[12 octobre 2007 - 11:02]
Au menu : pizza, viennoiserie, un p’tit soda et… des compléments alimentaires pour se donner bonne conscience. Eh bien, c’est raté ! Les compléments alimentaires ne sont pas là pour compenser la consommation de « calories vides ». Vides de quoi ? Surtout de micronutriments, justement.
C’est tout le problème des hamburgers, pizzas et autres barres chocolatées. Ils ne contribuent en rien à nourrir les cellules de notre organisme. Bien au contraire. La solution ? Privilégier les viandes, poissons, y compris les poissons gras, riches en oméga 3, les fruits et légumes, et utiliser, si nécessaire, avec l’aide d’un spécialiste, des compléments de micronutrition.
Comme leur nom l’indique, le rôle de ces derniers est de « compléter » une alimentation équilibrée et diversifiée mais néanmoins susceptible d’être carencée. Car le fait de manger sainement n’éloigne pas pour autant les risques de déficits en éléments essentiels ! Et pour cause : nous sommes tous uniques, c’est notre patrimoine génétique qui en interaction avec notre alimentation va dicter le résultat : chacun d’entre nous digère, tolère, assimile, fabrique, métabolise à sa façon, évidemment différente de celle du voisin.
D’autres paramètres peuvent aussi entrer en ligne de compte, liés à des situation de vie particulière. Comme le stress, la fatigue, la pratique intensive d’une activité physique, la grossesse, l’allaitement… Et pour savoir si votre alimentation est favorable à votre santé, adaptée à vos besoins et à votre mode de vie, demandez l’avis d’un médecin compétent en micronutrition. A l’aide d’outils spécifiques, il vous permettra d’ajuster votre alimentation et si besoin il vous conseillera les compléments alimentaires adaptés.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[12 octobre 2007 - 11:02]
Au menu : pizza, viennoiserie, un p’tit soda et… des compléments alimentaires pour se donner bonne conscience. Eh bien, c’est raté ! Les compléments alimentaires ne sont pas là pour compenser la consommation de « calories vides ». Vides de quoi ? Surtout de micronutriments, justement.
C’est tout le problème des hamburgers, pizzas et autres barres chocolatées. Ils ne contribuent en rien à nourrir les cellules de notre organisme. Bien au contraire. La solution ? Privilégier les viandes, poissons, y compris les poissons gras, riches en oméga 3, les fruits et légumes, et utiliser, si nécessaire, avec l’aide d’un spécialiste, des compléments de micronutrition.
Comme leur nom l’indique, le rôle de ces derniers est de « compléter » une alimentation équilibrée et diversifiée mais néanmoins susceptible d’être carencée. Car le fait de manger sainement n’éloigne pas pour autant les risques de déficits en éléments essentiels ! Et pour cause : nous sommes tous uniques, c’est notre patrimoine génétique qui en interaction avec notre alimentation va dicter le résultat : chacun d’entre nous digère, tolère, assimile, fabrique, métabolise à sa façon, évidemment différente de celle du voisin.
D’autres paramètres peuvent aussi entrer en ligne de compte, liés à des situation de vie particulière. Comme le stress, la fatigue, la pratique intensive d’une activité physique, la grossesse, l’allaitement… Et pour savoir si votre alimentation est favorable à votre santé, adaptée à vos besoins et à votre mode de vie, demandez l’avis d’un médecin compétent en micronutrition. A l’aide d’outils spécifiques, il vous permettra d’ajuster votre alimentation et si besoin il vous conseillera les compléments alimentaires adaptés.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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La pénurie de médecins menace la France… dès 2008
[12 octobre 2007 - 12:15]
« L’hypothèse d’une pénurie prochaine de médecins paraît d’autant plus paradoxale que la France n’a jamais compté autant de praticiens en activité qu’aujourd’hui », souligne Jean Marc Juilhard (UMP), sénateur du Puy de Dôme.
Dans son rapport sur la crise de la démographique médicale, il avance à cela trois explications :
La réduction entre 1983 et 1993 du nombre d’étudiants en médecine à cause du numerus clausus ;
Le nombre croissant de médecins partant à la retraite ;
Et la demande accrue de soins exprimée par une population vieillissante.
En fait de 2008 à 2015, le nombre des cessations d’activité sera supérieur à celui des installations (de médecins) et l’écart va s’accroître progressivement. « Pendant cette période, les modifications (liées) au numerus clausus décidées en 2004 n’auront aucune influence sur le nombre de médecins en activité. Il faudra attendre 2025 pour que le nombre d’entrées égale celui des sorties ». Si la France comptait 207 277 médecins en 2006, elle n’en aura plus que 186 000 en 2025.
Cette pénurie devrait s’accompagner d’une aggravation des inégalités d’accès aux soins entre les régions. Aujourd’hui, 2,3 millions de Français vivent dans des zones « en difficulté ou fragiles en termes de présence médicale ». Ce problème devrait s’amplifier, notamment à la campagne. Un sondage réalisé par l’Ordre national des médecins fait apparaître que 63% des étudiants en médecine et 60% des jeunes praticiens n’envisagent pas de s’installer en zone rurale.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[12 octobre 2007 - 12:15]
« L’hypothèse d’une pénurie prochaine de médecins paraît d’autant plus paradoxale que la France n’a jamais compté autant de praticiens en activité qu’aujourd’hui », souligne Jean Marc Juilhard (UMP), sénateur du Puy de Dôme.
Dans son rapport sur la crise de la démographique médicale, il avance à cela trois explications :
La réduction entre 1983 et 1993 du nombre d’étudiants en médecine à cause du numerus clausus ;
Le nombre croissant de médecins partant à la retraite ;
Et la demande accrue de soins exprimée par une population vieillissante.
En fait de 2008 à 2015, le nombre des cessations d’activité sera supérieur à celui des installations (de médecins) et l’écart va s’accroître progressivement. « Pendant cette période, les modifications (liées) au numerus clausus décidées en 2004 n’auront aucune influence sur le nombre de médecins en activité. Il faudra attendre 2025 pour que le nombre d’entrées égale celui des sorties ». Si la France comptait 207 277 médecins en 2006, elle n’en aura plus que 186 000 en 2025.
Cette pénurie devrait s’accompagner d’une aggravation des inégalités d’accès aux soins entre les régions. Aujourd’hui, 2,3 millions de Français vivent dans des zones « en difficulté ou fragiles en termes de présence médicale ». Ce problème devrait s’amplifier, notamment à la campagne. Un sondage réalisé par l’Ordre national des médecins fait apparaître que 63% des étudiants en médecine et 60% des jeunes praticiens n’envisagent pas de s’installer en zone rurale.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Puéricultrice
Vis un rêve éveillée
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