Faits d'actualité pour la culture générale de 2007/2008
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Sida: 2,5 millions d'infections en 2007, les chiffres 2006 revus à la baisse
AFP - il y a 1 heure 55 minutes
GENÈVE (AFP) - Le virus du sida a encore infecté 2,5 millions de personnes dans le monde cette année, selon le rapport annuel du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (Onusida), qui a revu en forte baisse les chiffres fournis l'an dernier.
(Publicité)
Environ 33,2 millions de personnes vivent actuellement avec le virus, a précisé l'Onusida dans son rapport à paraître mercredi.
Mais, à la suite d'une révision statistique, l'organisme onusien a réduit de près de sept millions le nombre de séropositifs qu'il avait fourni pour l'an dernier: il estime désormais que 32,7 millions de personnes vivaient l'année dernière avec le virus. Le précédent rapport annuel avançait le chiffre de 39,5 millions de personnes.
L'Onusida a expliqué ce changement par une révision des chiffres fournis par l'Inde ainsi que par cinq pays d'Afrique subsaharienne.
"Une réponse efficace au VIH/sida dépend de statistiques de santé publique fiables", a observé le directeur du département sida à l'Organisation mondiale de la santé (OMS), cité dans le rapport. "Il faut continuer à investir davantage dans tous les pays et dans tous les aspects de l'information stratégique liée à la santé", a-t-il souligné.
Quelque 2,1 millions de patients sont morts de la maladie en 2007, selon l'Onusida. La progression du nombre de personnes vivant avec le virus a marqué légèrement le pas et le pourcentage de la population mondiale touchée par la maladie est même en légère baisse.
L'Afrique subsaharienne concentre les deux-tiers des nouveaux infectés, même si leur nombre a diminué à 1,7 million cette année et que la baisse est importante par rapport à 2001, comme le souligne l'Onusida.
Le continent africain paie le plus lourd tribut à la maladie avec les trois-quarts des décès dus au sida enregistrés dans le monde. Environ 22,5 millions de personnes vivent en Afrique avec le virus du sida, soit 68% de la population mondiale contaminée.
Huit pays africains concentrent à eux seuls le tiers des nouvelles infections et des décès enregistrés chaque année dans le monde.
En Asie, ils sont aujourd'hui 4,9 millions de séropositifs, dont 440.000 nouveaux infectés en un an.
En termes relatifs, les Caraïbes sont la deuxième région du monde la plus touchée par la maladie, avec environ 1% des adultes porteurs du virus (230.000 séropositifs, 11.000 décès et 17.000 nouvelles infections en 2007).Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
AFP - il y a 1 heure 55 minutes
GENÈVE (AFP) - Le virus du sida a encore infecté 2,5 millions de personnes dans le monde cette année, selon le rapport annuel du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (Onusida), qui a revu en forte baisse les chiffres fournis l'an dernier.
(Publicité)
Environ 33,2 millions de personnes vivent actuellement avec le virus, a précisé l'Onusida dans son rapport à paraître mercredi.
Mais, à la suite d'une révision statistique, l'organisme onusien a réduit de près de sept millions le nombre de séropositifs qu'il avait fourni pour l'an dernier: il estime désormais que 32,7 millions de personnes vivaient l'année dernière avec le virus. Le précédent rapport annuel avançait le chiffre de 39,5 millions de personnes.
L'Onusida a expliqué ce changement par une révision des chiffres fournis par l'Inde ainsi que par cinq pays d'Afrique subsaharienne.
"Une réponse efficace au VIH/sida dépend de statistiques de santé publique fiables", a observé le directeur du département sida à l'Organisation mondiale de la santé (OMS), cité dans le rapport. "Il faut continuer à investir davantage dans tous les pays et dans tous les aspects de l'information stratégique liée à la santé", a-t-il souligné.
Quelque 2,1 millions de patients sont morts de la maladie en 2007, selon l'Onusida. La progression du nombre de personnes vivant avec le virus a marqué légèrement le pas et le pourcentage de la population mondiale touchée par la maladie est même en légère baisse.
L'Afrique subsaharienne concentre les deux-tiers des nouveaux infectés, même si leur nombre a diminué à 1,7 million cette année et que la baisse est importante par rapport à 2001, comme le souligne l'Onusida.
Le continent africain paie le plus lourd tribut à la maladie avec les trois-quarts des décès dus au sida enregistrés dans le monde. Environ 22,5 millions de personnes vivent en Afrique avec le virus du sida, soit 68% de la population mondiale contaminée.
Huit pays africains concentrent à eux seuls le tiers des nouvelles infections et des décès enregistrés chaque année dans le monde.
En Asie, ils sont aujourd'hui 4,9 millions de séropositifs, dont 440.000 nouveaux infectés en un an.
En termes relatifs, les Caraïbes sont la deuxième région du monde la plus touchée par la maladie, avec environ 1% des adultes porteurs du virus (230.000 séropositifs, 11.000 décès et 17.000 nouvelles infections en 2007).Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
E.S.I en 2008 on y croit !
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Espérance de vie : comme il fait bon vivre… en France !
Par Destination Santé Destination Sante - Mardi 20 novembre, 08h10
L'espérance de vie, chez les Russes de sexe masculin, s'établit aujourd'hui à 58 ans. Contre… 77,2 ans pour un Français ! Il y a parfois des comparaisons qui révèlent à quel point nous devrions nous réjouir de vivre sous nos cieux.
Un écart plus considérable que la simple arithmétique ne le laisse croire. De manière générale, l'espérance de vie dans les pays de la Communauté des Etats indépendants (la CEI rassemble les pays de l'ancienne URSS) est en moyenne inférieure de 11 années, par rapport aux pays de l'Union européenne.
Selon la Banque mondiale, « cette situation s'explique principalement par la fréquence élevée des maladies cardio-vasculaires et des traumatismes ». Le principal accusé ? L'abus de boissons alcoolisées. Il semblerait en effet que de nombreux accidents de la route, de chutes fatales, de meurtres et même de suicides lui soient imputables. Sans oublier que l'alcool est aussi à l'origine d'une augmentation considérable des maladies cardio-vasculaires.
Source : Banque mondialeÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Par Destination Santé Destination Sante - Mardi 20 novembre, 08h10
L'espérance de vie, chez les Russes de sexe masculin, s'établit aujourd'hui à 58 ans. Contre… 77,2 ans pour un Français ! Il y a parfois des comparaisons qui révèlent à quel point nous devrions nous réjouir de vivre sous nos cieux.
Un écart plus considérable que la simple arithmétique ne le laisse croire. De manière générale, l'espérance de vie dans les pays de la Communauté des Etats indépendants (la CEI rassemble les pays de l'ancienne URSS) est en moyenne inférieure de 11 années, par rapport aux pays de l'Union européenne.
Selon la Banque mondiale, « cette situation s'explique principalement par la fréquence élevée des maladies cardio-vasculaires et des traumatismes ». Le principal accusé ? L'abus de boissons alcoolisées. Il semblerait en effet que de nombreux accidents de la route, de chutes fatales, de meurtres et même de suicides lui soient imputables. Sans oublier que l'alcool est aussi à l'origine d'une augmentation considérable des maladies cardio-vasculaires.
Source : Banque mondialeÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
E.S.I en 2008 on y croit !
- aneso81
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Pendant les grèves, donnez votre sang. Car il manque !
[19 novembre 2007 - 16:50]
En raison des mouvements sociaux, les réserves de produits sanguins diminuent de manière préoccupante ! Face à cette situation pour le moins inattendue, l’Etablissement français du Sang (EFS) appelle à la mobilisation. Et il faut faire vite car « le risque de pénurie est réel ».
L’EFS signale en effet « une baisse de fréquentation de ses collectes et des sites fixes tandis que la distribution des produits aux malades continue d’augmenter, entraînant une évolution préoccupante des stocks ». Les donneurs sont donc invités à « venir donner son sang dans les prochains jours ». Un appel qui se veut particulièrement pressant aux résidents de la région parisienne, Provence-Alpes-Côte-D’azur et du Nord-Pas-de-Calais.
Pour tout complément d’information, un site internet : www.dondusang.net rubrique « Où donner ». Un numéro de téléphone est également à votre disposition, le 0810 150 150 (prix d’un appel local depuis un poste fixeÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[19 novembre 2007 - 16:50]
En raison des mouvements sociaux, les réserves de produits sanguins diminuent de manière préoccupante ! Face à cette situation pour le moins inattendue, l’Etablissement français du Sang (EFS) appelle à la mobilisation. Et il faut faire vite car « le risque de pénurie est réel ».
L’EFS signale en effet « une baisse de fréquentation de ses collectes et des sites fixes tandis que la distribution des produits aux malades continue d’augmenter, entraînant une évolution préoccupante des stocks ». Les donneurs sont donc invités à « venir donner son sang dans les prochains jours ». Un appel qui se veut particulièrement pressant aux résidents de la région parisienne, Provence-Alpes-Côte-D’azur et du Nord-Pas-de-Calais.
Pour tout complément d’information, un site internet : www.dondusang.net rubrique « Où donner ». Un numéro de téléphone est également à votre disposition, le 0810 150 150 (prix d’un appel local depuis un poste fixeÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Puéricultrice
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- aneso81
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Protelos : un traitement contre l’ostéoporose sous haute surveillance
[20 novembre 2007 - 11:05]
L’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS) vient d’émettre une mise en garde concernant le Protelos (ranélate de strontium), un médicament prescrit contre l’ostéoporose post-ménopausique. Depuis sa mise sur le marché européen en 2004, seize cas de réactions allergiques graves – dont deux mortels - ont en effet été rapportés.
Deux patientes sont en effet décédées du syndrome de DRESS, une réaction allergique qui atteint notamment le foie et les reins. Dans ce contexte, l’AFSSaPS et l’Agence européenne du Médicament (EMEA) « demandent aux patients traités par Protelos d’arrêter immédiatement et définitivement leur traitement en cas de survenue d’une éruption cutanée et de consulter rapidement un médecin ».
Le Résumé des Caractéristiques du Produit (RCP) est en cours de modification, et une lettre d’information sera prochainement adressée aux professionnels de Santé. L’AFSSaPS rappelle enfin que « tout effet indésirable grave ou inattendu » doit être signalé au Centre régional de Pharmacovigilance le plus proche.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[20 novembre 2007 - 11:05]
L’Agence française de Sécurité sanitaire des Produits de Santé (AFSSaPS) vient d’émettre une mise en garde concernant le Protelos (ranélate de strontium), un médicament prescrit contre l’ostéoporose post-ménopausique. Depuis sa mise sur le marché européen en 2004, seize cas de réactions allergiques graves – dont deux mortels - ont en effet été rapportés.
Deux patientes sont en effet décédées du syndrome de DRESS, une réaction allergique qui atteint notamment le foie et les reins. Dans ce contexte, l’AFSSaPS et l’Agence européenne du Médicament (EMEA) « demandent aux patients traités par Protelos d’arrêter immédiatement et définitivement leur traitement en cas de survenue d’une éruption cutanée et de consulter rapidement un médecin ».
Le Résumé des Caractéristiques du Produit (RCP) est en cours de modification, et une lettre d’information sera prochainement adressée aux professionnels de Santé. L’AFSSaPS rappelle enfin que « tout effet indésirable grave ou inattendu » doit être signalé au Centre régional de Pharmacovigilance le plus proche.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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- aneso81
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L'acné, une maladie qui débute à l'adolescence
AP - il y a 1 heure 47 minutes
PARIS - C'est au cours de l'adolescence qu'apparaît l'acné, une maladie inesthétique dont le retentissement psychologique est parfois dramatique chez les jeunes. Certes bénigne, l'acné nécessite toutefois un traitement.
Pathologie très fréquente chez les adolescents, l'acné "vulgaire" est caractérisée par de nombreuses lésions, notamment une séborrhée (sécrétion de corps gras par la peau) plus ou moins importante touchant surtout le visage, le dos et le haut du thorax. Elle donne à la peau un aspect luisant, parfois franchement huileux avec des pores cutanés dilatés. Simultanément, les cheveux deviennent gras.
Sur ce fond de séborrhée, peuvent apparaître des comédons ouverts ou "points noirs" et des comédons fermés ou points blancs qui obstruent le follicule pileux. Par ailleurs, certaines bactéries jouent un rôle fondamental dans la formation de lésions inflammatoires. Papules, pustules et nodules peuvent compléter le tableau...
A l'opposé de la banale acné juvénile, il existe des formes graves d'acné en raison de leur étendue, leur intensité ou leur résistance aux traitements locaux habituels. Depuis une dizaine d'années, l'isotétrinoïde, une molécule dérivée de la vitamine A fait dans ces cas-là des miracles. Mais responsable de malformations du foetus, il fait l'objet de précautions particulières chez les femmes enceintes et les jeunes femmes en âge de procréer. Même si aucun lien n'a été établie entre ce traitement et l'apparition de dépression sévères, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) recommande une surveillance accrue chez les patients traités.
Dans les cas moins sévères, le traitement est double: traitement local et traitement général. Les savons ne doivent pas contenir de produits antiseptiques, inutiles et parfois nuisibles. Les dermatologues recommandent donc des savons doux ou surgras qui ne sèchent pas la peau. Les antibiotiques locaux sont utilisés pour leur action anti-inflammatoire et antibactérienne. Leur tolérance générale est bonne et ils peuvent être prescrits avec d'autres médicaments.
La vitamine A acide diminue la formation de comédons. Elle est employée en solution alcoolisée, en gel ou crème ou en tampon à usage unique. Cette dernière est très active sur les lésions comédoniennes ouvertes et fermées et donne de bons résultats.
Mais dans les formes microkystiques ou comédoniennes, les nettoyages de peau représentent à eux seuls un traitement très efficace et sans effets secondaires.
Dans la majorité des cas, l'acné "juvénile" disparaît avec un traitement local associant volontiers un traitement antibiotique local à la vitamine A acide. Dans les formes très sévères, le traitement est différent.
L'hygiène quotidienne de l'acnéique doit rester simple et non agressive: savon surgras, laits ou démaquillants, voire crème hydratante testée non comédogène pour corriger les effets secondaires des anti-acnéiques. Le sujet en traitement doit se protéger du soleil: crème anti-solaire sur le visage. Les effets bénéfiques du soleil se soldent en effet par un regain d'acné au retour des vacances, quand le soleil a disparu.
Dans tous les cas, le traitement doit être précoce et poursuivi longtemps pour diminuer la fréquence d'apparition de lésions plus importantes et permettre aux jeunes de mieux supporter leur acné.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
AP - il y a 1 heure 47 minutes
PARIS - C'est au cours de l'adolescence qu'apparaît l'acné, une maladie inesthétique dont le retentissement psychologique est parfois dramatique chez les jeunes. Certes bénigne, l'acné nécessite toutefois un traitement.
Pathologie très fréquente chez les adolescents, l'acné "vulgaire" est caractérisée par de nombreuses lésions, notamment une séborrhée (sécrétion de corps gras par la peau) plus ou moins importante touchant surtout le visage, le dos et le haut du thorax. Elle donne à la peau un aspect luisant, parfois franchement huileux avec des pores cutanés dilatés. Simultanément, les cheveux deviennent gras.
Sur ce fond de séborrhée, peuvent apparaître des comédons ouverts ou "points noirs" et des comédons fermés ou points blancs qui obstruent le follicule pileux. Par ailleurs, certaines bactéries jouent un rôle fondamental dans la formation de lésions inflammatoires. Papules, pustules et nodules peuvent compléter le tableau...
A l'opposé de la banale acné juvénile, il existe des formes graves d'acné en raison de leur étendue, leur intensité ou leur résistance aux traitements locaux habituels. Depuis une dizaine d'années, l'isotétrinoïde, une molécule dérivée de la vitamine A fait dans ces cas-là des miracles. Mais responsable de malformations du foetus, il fait l'objet de précautions particulières chez les femmes enceintes et les jeunes femmes en âge de procréer. Même si aucun lien n'a été établie entre ce traitement et l'apparition de dépression sévères, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) recommande une surveillance accrue chez les patients traités.
Dans les cas moins sévères, le traitement est double: traitement local et traitement général. Les savons ne doivent pas contenir de produits antiseptiques, inutiles et parfois nuisibles. Les dermatologues recommandent donc des savons doux ou surgras qui ne sèchent pas la peau. Les antibiotiques locaux sont utilisés pour leur action anti-inflammatoire et antibactérienne. Leur tolérance générale est bonne et ils peuvent être prescrits avec d'autres médicaments.
La vitamine A acide diminue la formation de comédons. Elle est employée en solution alcoolisée, en gel ou crème ou en tampon à usage unique. Cette dernière est très active sur les lésions comédoniennes ouvertes et fermées et donne de bons résultats.
Mais dans les formes microkystiques ou comédoniennes, les nettoyages de peau représentent à eux seuls un traitement très efficace et sans effets secondaires.
Dans la majorité des cas, l'acné "juvénile" disparaît avec un traitement local associant volontiers un traitement antibiotique local à la vitamine A acide. Dans les formes très sévères, le traitement est différent.
L'hygiène quotidienne de l'acnéique doit rester simple et non agressive: savon surgras, laits ou démaquillants, voire crème hydratante testée non comédogène pour corriger les effets secondaires des anti-acnéiques. Le sujet en traitement doit se protéger du soleil: crème anti-solaire sur le visage. Les effets bénéfiques du soleil se soldent en effet par un regain d'acné au retour des vacances, quand le soleil a disparu.
Dans tous les cas, le traitement doit être précoce et poursuivi longtemps pour diminuer la fréquence d'apparition de lésions plus importantes et permettre aux jeunes de mieux supporter leur acné.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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- Forcené
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LES FRANÇAIS, LA SANTE, LES MEDICAMENTS, LEUR MEDECIN...
A l’occasion du 13e Forum international de la santé, les Echos et le Quotidien du médecin ont demandé à l’Ifop une enquête sur « Les comportement des Français en matière de santé ».
75 % des sondés se trouvent en bonne, très bonne ou excellente santé, 20 % l’estimant moyenne et 5 % mauvaise. Ils sont pourtant un tiers à déclarer souffrir d’une maladie chronique invalidante et 6 % une « maladie lourde ».
Si 51 % des personnes déclarent faire ce que dit leur médecin « sans le remettre en question », 50 % estime devoir décidé de la meilleure option thérapeutique et 51 % se soignent parfois (avec des médicaments) sans consulter. Mais 18 % seulement n’hésitent pas à aller ailleurs que chez leur médecin traitant.
Le médecin d’abord
65 % suivent plutôt ou totalement la prescription de leur médecin (contre 35 %) mais 30 % admettent oublier de prendre leurs médicaments. Cependant, avec ou sans ordonnance, 52 % des sondés prennent des médicaments au moins une fois par semaine (42 % tous les jours ou presque).
La moyenne du nombre de consultation chez le médecin est 5,3 visites par an, près de 50 % y allant plus de 4 fois par an (14 % consultent plus de 10 fois dans l’année).
Les patients s’estiment bien informés (91 %) sur les médicaments qu’ils prennent et font confiance à leurs pharmaciens (89 %). Pour les 41 % qui recherche activement des informations sur leur santé, 49 % s’informe auprès de leur médecin, 37 % sur Internet, 30 % dans des magazines spécialisés.
Les Français estiment qu’ils ont un très bon système de santé (90 %), mais que la facilité d’accès au soins diminue (59 %, contre 36 % en 2006) et que la qualité des soins baisse (47 % contre 33 % en 2006).
Enfin, pour pallier aux déficits du système de santé, les personnes sondées privilégient la taxation des industriels du médicament, des remboursements modulés en fonction des revenus et l’arrêt des augmentations des honoraires des professionnels de santé. [19.11.07]Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
A l’occasion du 13e Forum international de la santé, les Echos et le Quotidien du médecin ont demandé à l’Ifop une enquête sur « Les comportement des Français en matière de santé ».
75 % des sondés se trouvent en bonne, très bonne ou excellente santé, 20 % l’estimant moyenne et 5 % mauvaise. Ils sont pourtant un tiers à déclarer souffrir d’une maladie chronique invalidante et 6 % une « maladie lourde ».
Si 51 % des personnes déclarent faire ce que dit leur médecin « sans le remettre en question », 50 % estime devoir décidé de la meilleure option thérapeutique et 51 % se soignent parfois (avec des médicaments) sans consulter. Mais 18 % seulement n’hésitent pas à aller ailleurs que chez leur médecin traitant.
Le médecin d’abord
65 % suivent plutôt ou totalement la prescription de leur médecin (contre 35 %) mais 30 % admettent oublier de prendre leurs médicaments. Cependant, avec ou sans ordonnance, 52 % des sondés prennent des médicaments au moins une fois par semaine (42 % tous les jours ou presque).
La moyenne du nombre de consultation chez le médecin est 5,3 visites par an, près de 50 % y allant plus de 4 fois par an (14 % consultent plus de 10 fois dans l’année).
Les patients s’estiment bien informés (91 %) sur les médicaments qu’ils prennent et font confiance à leurs pharmaciens (89 %). Pour les 41 % qui recherche activement des informations sur leur santé, 49 % s’informe auprès de leur médecin, 37 % sur Internet, 30 % dans des magazines spécialisés.
Les Français estiment qu’ils ont un très bon système de santé (90 %), mais que la facilité d’accès au soins diminue (59 %, contre 36 % en 2006) et que la qualité des soins baisse (47 % contre 33 % en 2006).
Enfin, pour pallier aux déficits du système de santé, les personnes sondées privilégient la taxation des industriels du médicament, des remboursements modulés en fonction des revenus et l’arrêt des augmentations des honoraires des professionnels de santé. [19.11.07]Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
En mode reconversion totale PDT_028
Reçue en Juillet 2007 PDT_002 Après 1 an d'attente ma demande de financement a enfin été acceptée PDT_020 ESI Promo 2008-2011 PDT_039
Reçue en Juillet 2007 PDT_002 Après 1 an d'attente ma demande de financement a enfin été acceptée PDT_020 ESI Promo 2008-2011 PDT_039
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- Forcené
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LES HOSPITALIERS EN GREVE
Les personnels hospitaliers sont en grève aujourd’hui, notamment sur les questions salariales. Ils estiment leur perte de pouvoir d’achat à 6,5 % depuis 2000 et revendiquent des créations de postes manquants.
Le syndicat Cgt de la Santé dénonce « les non remplacements des absences pour maladie ou pour accident de travail, pour congé maternité ou autres, les glissements de tâches, l’augmentation des rotations de personnel, l’augmentation de la charge de travail, toutes ces causes [qui] accélèrent les cadences des agents qui s’essoufflent. Les personnels n’en peuvent plus et croulent sous les rythmes infernaux »
Sur ces demandes, se greffent un peu partout en France des revendications sur le maintien des hôpitaux de proximité et contre l’application de la tarification à l’activité (T2A).
A noter que les médecins hospitaliers – Intersyndicat national des praticiens hospitaliers (Inph) et la Coordination des personnels hospitaliers (Cph) – soutiennent la grève « pour la défense du service public hospitalier et contre les dérives de l’hôpital entreprise » et dénoncent « l’étranglement et la paupérisation du système public de santé français qui est programmé ».
[20.11.07]Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Les personnels hospitaliers sont en grève aujourd’hui, notamment sur les questions salariales. Ils estiment leur perte de pouvoir d’achat à 6,5 % depuis 2000 et revendiquent des créations de postes manquants.
Le syndicat Cgt de la Santé dénonce « les non remplacements des absences pour maladie ou pour accident de travail, pour congé maternité ou autres, les glissements de tâches, l’augmentation des rotations de personnel, l’augmentation de la charge de travail, toutes ces causes [qui] accélèrent les cadences des agents qui s’essoufflent. Les personnels n’en peuvent plus et croulent sous les rythmes infernaux »
Sur ces demandes, se greffent un peu partout en France des revendications sur le maintien des hôpitaux de proximité et contre l’application de la tarification à l’activité (T2A).
A noter que les médecins hospitaliers – Intersyndicat national des praticiens hospitaliers (Inph) et la Coordination des personnels hospitaliers (Cph) – soutiennent la grève « pour la défense du service public hospitalier et contre les dérives de l’hôpital entreprise » et dénoncent « l’étranglement et la paupérisation du système public de santé français qui est programmé ».
[20.11.07]Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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- Forcené
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CES JEUX DANGEREUX, POUR NOS ENFANTS
« T’es pas cap de plus respirer » : dans les cours de récré on croit que c’est sans risque, mais parfois la mort est au bout. Une association de parents de victimes veut mettre ces pratiques hors jeu.
Romain avait douze ans, Magali, treize, Christophe, dix, et Anne-Lise, quinze ans. Comme une trentaine d’enfants par an, ils ont joué au jeu du foulard et ils en sont morts. Ce jeu, que les adolescents des années 1970 appelaient le rêve indien, consiste en un étranglement volontaire réalisé seul ou à plusieurs et dont l’objectif est de vivre une expérience forte, de connaître des sensations nouvelles. Il s’agit de conjuguer une hyperventilation forcée obtenue par quelques flexions rapides des jambes et de grandes inspirations. Puis de bloquer la respiration tout en appliquant une pression sur la carotide, voire en comprimant fortement le sternum. Un évanouissement se produit, précédé de sensations de type hallucinatoire.
Cette pratique de cour d’école, d’apparence anodine, existe depuis longtemps. Beaucoup d’élèves et de parents en ont entendu parler, tout comme le jeu de la tomate – pratiqué même dans les écoles maternelles –, qui consiste à cesser de respirer jusqu’à provoquer une syncope. Trop peu en revanche connaissent les risques que peuvent entraîner ces jeux qui n’en sont pas. Ils tuent ou, à cause de la privation d’oxygène, entraînent des séquelles irréversibles au cerveau. D’abord, l’enfant ou l’adolescent teste le jeu, à plusieurs souvent, dans les cours de récréation, en centre de loisirs ou en colonie de vacances pour relever un défi, pour « être cap », sous la pression du groupe.
« Il est tombé en syncope »
Chloé, seize ans, témoigne : « Un ami m’a dit qu’il voulait avoir un flash. Il m’a expliqué qu’il allait faire des flexions en respirant très fort et que, quand il sera arrivé à un certain nombre, il allait rester debout et il fallait alors que je lui appuie très fort sur le sternum, mais qu’on devait être prêts, mon autre ami et moi, à le retenir car il allait tomber de tout son poids. J’ai effectué tout ce qu’il m’a dit et il est tombé comme une masse, convulsé et les yeux révulsés. J’ai dû lui mettre des claques pour qu’il se réveille. Il m’a proposé de le faire. Comme j’avais eu très peur, j’ai eu la chance de refuser. » Ou encore Simon, quatorze ans : « Si j’ai pratiqué ce jeu, c’est parce qu’un ami nous avait tous convaincus de le faire et qu’il n’y avait pas de danger. Son père était médecin et son oncle chirurgien, alors on lui a fait confiance. »
Un pic de mortalité à 12 ans
Par la suite, l’enfant ou l’ado peut être tenté de renouveler seul l’expérience, à l’aide d’un lien quelconque. Le risque est alors majeur, personne ne pouvant alerter les secours en cas d’étranglement prolongé après la perte de connaissance. Chaque année en France une dizaine d’enfants et d’adolescents de 7 à 18 ans en meurent. Le pic de mortalité se situe à 12 ans. Les victimes, en majorité des garçons, sont issues de tous les niveaux sociaux, et souvent même de milieux très favorisés.
Pour le Dr Jean-Claude Fisher, psychiatre spécialiste de l’adolescence, « le jeu du foulard n’a rien d’une conduite à risque – comme peuvent l’être des pratiques addictives, telles la consommation d’alcool, de drogues… ». Dans ces situations-là, le jeune connaît les dangers et s’y mesure volontairement. « Avec le jeu du foulard, nous sommes dans un tout autre cas de figure : l’enfant ou l’ado ne sait pas ce qu’il risque. Voilà pourquoi la plupart des victimes sont des enfants qui allaient bien, qui n’avaient pas de conduites morbides ni n’étaient suicidaires. Ils aimaient vivre, jouer. » « Ce n’est pas une conduite à risque, affirme également Hakima Aït El Cadi, sociologue au Cnrs, spécialiste de l’adolescence (faculté de la Timone, à Marseille). Dans la conduite à risque, on sait qu’il y a danger de mort, mais on fait quand même. Là on croit seulement que c’est un jeu et la mort est quelquefois au bout. »
Grâce à ces professionnels, on sait que l’information et la prévention sont efficaces. Une fois avertis des risques encourus, les enfants et les ados cessent généralement un jeu dont ils ne mesuraient pas les conséquences. La volonté de transgression reste rare. Malheureusement, pendant longtemps, et de peur « de populariser la pratique », médecins, enseignants et tous ceux qui interviennent auprès des jeunes ont préféré taire les dangers de cette pratique. C’est ce que dénoncent les parents d’enfants victimes, qui lancent une grande campagne d’information. Ils ont ainsi crée l’Association de parents d’enfants accidentés par strangulation (Apeas) et un site Internet. Son but : transmettre au plus grand nombre un maximum d’informations sur les dangers de cette pratique.
[02.11.07]Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
« T’es pas cap de plus respirer » : dans les cours de récré on croit que c’est sans risque, mais parfois la mort est au bout. Une association de parents de victimes veut mettre ces pratiques hors jeu.
Romain avait douze ans, Magali, treize, Christophe, dix, et Anne-Lise, quinze ans. Comme une trentaine d’enfants par an, ils ont joué au jeu du foulard et ils en sont morts. Ce jeu, que les adolescents des années 1970 appelaient le rêve indien, consiste en un étranglement volontaire réalisé seul ou à plusieurs et dont l’objectif est de vivre une expérience forte, de connaître des sensations nouvelles. Il s’agit de conjuguer une hyperventilation forcée obtenue par quelques flexions rapides des jambes et de grandes inspirations. Puis de bloquer la respiration tout en appliquant une pression sur la carotide, voire en comprimant fortement le sternum. Un évanouissement se produit, précédé de sensations de type hallucinatoire.
Cette pratique de cour d’école, d’apparence anodine, existe depuis longtemps. Beaucoup d’élèves et de parents en ont entendu parler, tout comme le jeu de la tomate – pratiqué même dans les écoles maternelles –, qui consiste à cesser de respirer jusqu’à provoquer une syncope. Trop peu en revanche connaissent les risques que peuvent entraîner ces jeux qui n’en sont pas. Ils tuent ou, à cause de la privation d’oxygène, entraînent des séquelles irréversibles au cerveau. D’abord, l’enfant ou l’adolescent teste le jeu, à plusieurs souvent, dans les cours de récréation, en centre de loisirs ou en colonie de vacances pour relever un défi, pour « être cap », sous la pression du groupe.
« Il est tombé en syncope »
Chloé, seize ans, témoigne : « Un ami m’a dit qu’il voulait avoir un flash. Il m’a expliqué qu’il allait faire des flexions en respirant très fort et que, quand il sera arrivé à un certain nombre, il allait rester debout et il fallait alors que je lui appuie très fort sur le sternum, mais qu’on devait être prêts, mon autre ami et moi, à le retenir car il allait tomber de tout son poids. J’ai effectué tout ce qu’il m’a dit et il est tombé comme une masse, convulsé et les yeux révulsés. J’ai dû lui mettre des claques pour qu’il se réveille. Il m’a proposé de le faire. Comme j’avais eu très peur, j’ai eu la chance de refuser. » Ou encore Simon, quatorze ans : « Si j’ai pratiqué ce jeu, c’est parce qu’un ami nous avait tous convaincus de le faire et qu’il n’y avait pas de danger. Son père était médecin et son oncle chirurgien, alors on lui a fait confiance. »
Un pic de mortalité à 12 ans
Par la suite, l’enfant ou l’ado peut être tenté de renouveler seul l’expérience, à l’aide d’un lien quelconque. Le risque est alors majeur, personne ne pouvant alerter les secours en cas d’étranglement prolongé après la perte de connaissance. Chaque année en France une dizaine d’enfants et d’adolescents de 7 à 18 ans en meurent. Le pic de mortalité se situe à 12 ans. Les victimes, en majorité des garçons, sont issues de tous les niveaux sociaux, et souvent même de milieux très favorisés.
Pour le Dr Jean-Claude Fisher, psychiatre spécialiste de l’adolescence, « le jeu du foulard n’a rien d’une conduite à risque – comme peuvent l’être des pratiques addictives, telles la consommation d’alcool, de drogues… ». Dans ces situations-là, le jeune connaît les dangers et s’y mesure volontairement. « Avec le jeu du foulard, nous sommes dans un tout autre cas de figure : l’enfant ou l’ado ne sait pas ce qu’il risque. Voilà pourquoi la plupart des victimes sont des enfants qui allaient bien, qui n’avaient pas de conduites morbides ni n’étaient suicidaires. Ils aimaient vivre, jouer. » « Ce n’est pas une conduite à risque, affirme également Hakima Aït El Cadi, sociologue au Cnrs, spécialiste de l’adolescence (faculté de la Timone, à Marseille). Dans la conduite à risque, on sait qu’il y a danger de mort, mais on fait quand même. Là on croit seulement que c’est un jeu et la mort est quelquefois au bout. »
Grâce à ces professionnels, on sait que l’information et la prévention sont efficaces. Une fois avertis des risques encourus, les enfants et les ados cessent généralement un jeu dont ils ne mesuraient pas les conséquences. La volonté de transgression reste rare. Malheureusement, pendant longtemps, et de peur « de populariser la pratique », médecins, enseignants et tous ceux qui interviennent auprès des jeunes ont préféré taire les dangers de cette pratique. C’est ce que dénoncent les parents d’enfants victimes, qui lancent une grande campagne d’information. Ils ont ainsi crée l’Association de parents d’enfants accidentés par strangulation (Apeas) et un site Internet. Son but : transmettre au plus grand nombre un maximum d’informations sur les dangers de cette pratique.
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PORTRAIT DE LA FRANCE DES INEGALITES
L’Insee vient de publier son « France, portrait social 2007 », bilan des évolutions économiques et sociales du pays. Un document qui s’intéresse cette année plus particulièrement au patrimoine des Français et au transferts publics liés à la santé, mais qui balaie également une trentaine de sujets et d’indicateurs du domaine social complétée par des comparaisons avec d’autres pays d’Europe.
L’Insee constate ainsi que les inégalités de patrimoine se sont très nettement accrues entre 1997 et 2003, en grande partie à cause de l’envolée des prix de l’immobilier.
Entre 1997 et 2005, le patrimoine des 10 % des ménages les moins riches est passé de 1 930 à 2 110 euros. Pour les 10 % les plus riches, ce patrimoine est passé de 296 400 euros à 450 060 euros…
Sans surprise, l’Insee explique que les familles dont le chef de famille exerce une profession libérale ont le plus gros patrimoine, 443 000 euros en moyenne. A l’autre bout de l’échelle, moins de la moitié des personnes seules avec ou sans enfant (40 % de la population) sont propriétaires.
Conséquence : les 10 % les plus riches détiennent 46 % du patrimoine global.
Des inégalités qui se creusent aussi en matière de niveau de vie. Celui-ci est calculé en divisant le revenu disponible par le nombre de personnes du foyer – un adulte comptant pour 1, les autres adultes pour 0,5, un enfant pour 0,3 –, ce qui signifie qu’une famille de deux adultes avec deux enfants doit avoir 2,1 fois plus de revenu à une personne seule pour avoir le même niveau de vie.
L’Insee constate qu’en « 2005, les 10 % d’individus les plus modestes de la population ont un niveau de vie inférieur à 780 € mensuels, tandis que 10 % des individus ont un niveau de vie supérieur à 2 450 € ». La moitié de la population avait un niveau de vie était inférieur à 1360 € en 2005, soit à peine plus que le Smic (1 218 euros bruts en 2005).
Côté santé, les documents de l’Insee montre aussi de grands écarts. Ainsi, à l’âge de 35 ans, l’espérance de vie d’un cadre était (chiffre de 1999) de 46 ans, contre 40 ans pour un employé et 39 ans pour un ouvrier. A noter que cette espérance de vie a progressé de 4,5 ans pour les cadres depuis la période 1976-1984, mais de deux ans seulement pour les ouvriers et de 1,5 an pour les employés.
[15.11.07]
« France, portrait social 2007 » :
www.insee.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
L’Insee vient de publier son « France, portrait social 2007 », bilan des évolutions économiques et sociales du pays. Un document qui s’intéresse cette année plus particulièrement au patrimoine des Français et au transferts publics liés à la santé, mais qui balaie également une trentaine de sujets et d’indicateurs du domaine social complétée par des comparaisons avec d’autres pays d’Europe.
L’Insee constate ainsi que les inégalités de patrimoine se sont très nettement accrues entre 1997 et 2003, en grande partie à cause de l’envolée des prix de l’immobilier.
Entre 1997 et 2005, le patrimoine des 10 % des ménages les moins riches est passé de 1 930 à 2 110 euros. Pour les 10 % les plus riches, ce patrimoine est passé de 296 400 euros à 450 060 euros…
Sans surprise, l’Insee explique que les familles dont le chef de famille exerce une profession libérale ont le plus gros patrimoine, 443 000 euros en moyenne. A l’autre bout de l’échelle, moins de la moitié des personnes seules avec ou sans enfant (40 % de la population) sont propriétaires.
Conséquence : les 10 % les plus riches détiennent 46 % du patrimoine global.
Des inégalités qui se creusent aussi en matière de niveau de vie. Celui-ci est calculé en divisant le revenu disponible par le nombre de personnes du foyer – un adulte comptant pour 1, les autres adultes pour 0,5, un enfant pour 0,3 –, ce qui signifie qu’une famille de deux adultes avec deux enfants doit avoir 2,1 fois plus de revenu à une personne seule pour avoir le même niveau de vie.
L’Insee constate qu’en « 2005, les 10 % d’individus les plus modestes de la population ont un niveau de vie inférieur à 780 € mensuels, tandis que 10 % des individus ont un niveau de vie supérieur à 2 450 € ». La moitié de la population avait un niveau de vie était inférieur à 1360 € en 2005, soit à peine plus que le Smic (1 218 euros bruts en 2005).
Côté santé, les documents de l’Insee montre aussi de grands écarts. Ainsi, à l’âge de 35 ans, l’espérance de vie d’un cadre était (chiffre de 1999) de 46 ans, contre 40 ans pour un employé et 39 ans pour un ouvrier. A noter que cette espérance de vie a progressé de 4,5 ans pour les cadres depuis la période 1976-1984, mais de deux ans seulement pour les ouvriers et de 1,5 an pour les employés.
[15.11.07]
« France, portrait social 2007 » :
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LA CARTE VITALE 2
Devenue incontournable pour les assurés sociaux, la cart Vitale change. La carte Vitale 2 entre en scène. Mais que change-t-elle ?. Quels renseignements comportera-t-elle ? Nécessitera-t-elle des démarches particulières ? Quelle sera sa durée de validité ? Quel est le calendrier de sa diffusion ?
Ce qui change
La carte Vitale 2 comporte la photo du titulaire.
D’une capacité plus importante (32 ko au lieu de 2 ko), elle contient, en plus de renseignements administratifs, des données personnelles relatives à :
- la désignation du médecin traitant ;
- la personne à prévenir en cas d’urgence ;
- la protection maladie complémentaire. Elle précise en outre que l’assuré a bien bénéficié d’une information sur le don d’organes et sur la manière de faire connaître sa position.
Pas de démarche particulière
Vous n’aurez à effectuer aucune démarche. Votre caisse primaire vous enverra un formulaire pour recueillir les informations nécessaires à la délivrance de la carte. Ce document rempli doit être renvoyé, accompagné d’une photo et de la photocopie d’une pièce d’identité en cours de validité portant votre photo. Vous pouvez aussi le déposer au guichet.
Si vous n’avez pas de pièce d’identité, vous devez vous présenter au guichet de votre caisse d’assurance-maladie afin de permettre la vérification de votre identité et remettre les documents.
Mise à jour
Le titulaire de la carte est tenu d’effectuer une mise à jour en cas de changement de situation. Dans un premier temps, il doit avertir sa caisse du changement. Lorsque celle-ci lui confirme que la modification a bien été prise en compte, l’assuré dispose d’un mois pour mettre sa carte à jour. (Pour mémoire, cette opération s’effectue dans les bornes prévues à cet effet.) A défaut, la carte ne peut plus être utilisée.
En outre, elle doit être mise à jour tous les ans. Sinon le titulaire perd le bénéfice du tiers payant (dispense d’avance des frais médicaux). La mise à jour lors d’un changement de situation dispense de la mise à jour annuelle.
Durée de validité
La période de validité de la nouvelle carte est de cinq ans. Mais votre caisse peut décider de la prolonger. Vous êtes alors tenu de procéder à sa mise à jour. Si votre caisse ne la prolonge pas, elle est tenue de vous en délivrer une nouvelle.
Une diffusion sur quatre ans
La diffusion de la carte Vitale 2 a commencé en Bretagne en mars 2007 et les premières cartes ont été adressées aux assurés dès le début avril.
Sa distribution a été généralisée au reste de la France à partir de septembre. Les nouvelles cartes Vitale seront d’abord distribuées aux assurés n’en ayant pas encore (nouveaux bénéficiaires, jeunes atteignant l’âge de 16 ans), ainsi qu’à ceux dont les cartes (perdues, abîmées ou volées) doivent être remplacées. Le renouvellement de l’ensemble des cartes devrait être réalisé en quatre ans.
[07.11.07]Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Devenue incontournable pour les assurés sociaux, la cart Vitale change. La carte Vitale 2 entre en scène. Mais que change-t-elle ?. Quels renseignements comportera-t-elle ? Nécessitera-t-elle des démarches particulières ? Quelle sera sa durée de validité ? Quel est le calendrier de sa diffusion ?
Ce qui change
La carte Vitale 2 comporte la photo du titulaire.
D’une capacité plus importante (32 ko au lieu de 2 ko), elle contient, en plus de renseignements administratifs, des données personnelles relatives à :
- la désignation du médecin traitant ;
- la personne à prévenir en cas d’urgence ;
- la protection maladie complémentaire. Elle précise en outre que l’assuré a bien bénéficié d’une information sur le don d’organes et sur la manière de faire connaître sa position.
Pas de démarche particulière
Vous n’aurez à effectuer aucune démarche. Votre caisse primaire vous enverra un formulaire pour recueillir les informations nécessaires à la délivrance de la carte. Ce document rempli doit être renvoyé, accompagné d’une photo et de la photocopie d’une pièce d’identité en cours de validité portant votre photo. Vous pouvez aussi le déposer au guichet.
Si vous n’avez pas de pièce d’identité, vous devez vous présenter au guichet de votre caisse d’assurance-maladie afin de permettre la vérification de votre identité et remettre les documents.
Mise à jour
Le titulaire de la carte est tenu d’effectuer une mise à jour en cas de changement de situation. Dans un premier temps, il doit avertir sa caisse du changement. Lorsque celle-ci lui confirme que la modification a bien été prise en compte, l’assuré dispose d’un mois pour mettre sa carte à jour. (Pour mémoire, cette opération s’effectue dans les bornes prévues à cet effet.) A défaut, la carte ne peut plus être utilisée.
En outre, elle doit être mise à jour tous les ans. Sinon le titulaire perd le bénéfice du tiers payant (dispense d’avance des frais médicaux). La mise à jour lors d’un changement de situation dispense de la mise à jour annuelle.
Durée de validité
La période de validité de la nouvelle carte est de cinq ans. Mais votre caisse peut décider de la prolonger. Vous êtes alors tenu de procéder à sa mise à jour. Si votre caisse ne la prolonge pas, elle est tenue de vous en délivrer une nouvelle.
Une diffusion sur quatre ans
La diffusion de la carte Vitale 2 a commencé en Bretagne en mars 2007 et les premières cartes ont été adressées aux assurés dès le début avril.
Sa distribution a été généralisée au reste de la France à partir de septembre. Les nouvelles cartes Vitale seront d’abord distribuées aux assurés n’en ayant pas encore (nouveaux bénéficiaires, jeunes atteignant l’âge de 16 ans), ainsi qu’à ceux dont les cartes (perdues, abîmées ou volées) doivent être remplacées. Le renouvellement de l’ensemble des cartes devrait être réalisé en quatre ans.
[07.11.07]Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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LES BILANS DE SANTE GRATUITS
Une fois tous les cinq ans, chaque assuré peut demander à sa caisse d’assurance-maladie, pour lui-même et ses ayants droit, à bénéficier de ce bilan de santé gratuit dans l’un des 80 centres d’examens de santé de l’assurance-maladie.
Qui peut en bénéficier ?
Cet examen de santé périodique fait partie des droits de l’assuré depuis 1945. Répondant à un objectif de prévention et d’éducation sanitaire, il est effectué gratuitement dans un des centres d’examens de santé gérés par les caisses primaires d’assurance-maladie (Cpam).
Il existe plus de 80 centres répartis sur l’ensemble du territoire. N’importe quel assuré peut prendre l’initiative de demander un bilan de santé.
Toutefois, depuis un arrêté ministériel du 20 juillet 1992, les caisses doivent proposer ce service à certaines catégories considérées comme prioritaires : chômeurs, bénéficiaires du Rmi, jeunes sans emploi, retraités, inactifs, assurés volontaires, populations exposées à des risques de santé.
Comment faire sa demande
La demande doit être formulée auprès de votre caisse primaire d’assurance-maladie. Cette dernière vous envoie alors une fiche d’inscription que vous devez retourner dûment remplie. Ensuite, elle vous fera parvenir une convocation, précisant la date, l’heure et le lieu du bilan de santé.
A cette convocation est joint un questionnaire confidentiel portant sur vos antécédents familiaux et personnels, votre état de santé et votre activité professionnelle.
Vous devez l’apporter avec vous le jour de la consultation afin d’orienter l’examen clinique et, éventuellement, d’aider le médecin à décider s’il faut ou non procéder à des examens complémentaires. A l’inverse, il permet d’éviter des examens inutiles, faute de risques existants ou parce que les tests ont déjà été pratiqués.
Quels sont les examens pratiqués ? Cet examen, dont toutes les étapes ont lieu au même endroit, dure en moyenne deux heures et demie. Il comporte une consultation médicale ainsi que des analyses et des tests personnalisés.
Selon votre âge, votre sexe et vos facteurs de risques, on surveillera des aspects différents : mensurations (taille, poids, tour de taille...), dents, cœur (électrocardiogramme), poumons (radiographie), capacité respiratoire, analyses sanguine, d’urines, tests de la vision et de l’audition, tension artérielle...
Des examens complémentaires pourront vous être proposés : test Hemoccult* pour les plus de 50 ans, examen gynécologique et frottis vaginal pour les femmes ne bénéficiant pas d’un suivi régulier...
Et après le bilan de santé ?
Plusieurs semaines après les examens, un compte rendu vous est adressé. Si votre état de santé le nécessite (par exemple en cas d’excès de cholestérol), le médecin du centre peut vous conseiller de consulter votre médecin traitant. Les frais de la première consultation seront pris en charge totalement par votre caisse d’assurance-maladie.
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Une fois tous les cinq ans, chaque assuré peut demander à sa caisse d’assurance-maladie, pour lui-même et ses ayants droit, à bénéficier de ce bilan de santé gratuit dans l’un des 80 centres d’examens de santé de l’assurance-maladie.
Qui peut en bénéficier ?
Cet examen de santé périodique fait partie des droits de l’assuré depuis 1945. Répondant à un objectif de prévention et d’éducation sanitaire, il est effectué gratuitement dans un des centres d’examens de santé gérés par les caisses primaires d’assurance-maladie (Cpam).
Il existe plus de 80 centres répartis sur l’ensemble du territoire. N’importe quel assuré peut prendre l’initiative de demander un bilan de santé.
Toutefois, depuis un arrêté ministériel du 20 juillet 1992, les caisses doivent proposer ce service à certaines catégories considérées comme prioritaires : chômeurs, bénéficiaires du Rmi, jeunes sans emploi, retraités, inactifs, assurés volontaires, populations exposées à des risques de santé.
Comment faire sa demande
La demande doit être formulée auprès de votre caisse primaire d’assurance-maladie. Cette dernière vous envoie alors une fiche d’inscription que vous devez retourner dûment remplie. Ensuite, elle vous fera parvenir une convocation, précisant la date, l’heure et le lieu du bilan de santé.
A cette convocation est joint un questionnaire confidentiel portant sur vos antécédents familiaux et personnels, votre état de santé et votre activité professionnelle.
Vous devez l’apporter avec vous le jour de la consultation afin d’orienter l’examen clinique et, éventuellement, d’aider le médecin à décider s’il faut ou non procéder à des examens complémentaires. A l’inverse, il permet d’éviter des examens inutiles, faute de risques existants ou parce que les tests ont déjà été pratiqués.
Quels sont les examens pratiqués ? Cet examen, dont toutes les étapes ont lieu au même endroit, dure en moyenne deux heures et demie. Il comporte une consultation médicale ainsi que des analyses et des tests personnalisés.
Selon votre âge, votre sexe et vos facteurs de risques, on surveillera des aspects différents : mensurations (taille, poids, tour de taille...), dents, cœur (électrocardiogramme), poumons (radiographie), capacité respiratoire, analyses sanguine, d’urines, tests de la vision et de l’audition, tension artérielle...
Des examens complémentaires pourront vous être proposés : test Hemoccult* pour les plus de 50 ans, examen gynécologique et frottis vaginal pour les femmes ne bénéficiant pas d’un suivi régulier...
Et après le bilan de santé ?
Plusieurs semaines après les examens, un compte rendu vous est adressé. Si votre état de santé le nécessite (par exemple en cas d’excès de cholestérol), le médecin du centre peut vous conseiller de consulter votre médecin traitant. Les frais de la première consultation seront pris en charge totalement par votre caisse d’assurance-maladie.
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Le stress perturbe le sommeil…
[21 novembre 2007 - 10:16]
Les grandes douleurs - séparation, perte d’emploi, deuil - exposent à des troubles du sommeil. Et ceci sur le long terme ! Selon un travail finlandais, ces troubles pourraient en effet persister jusqu’à six mois après un événement traumatisant.
Pendant 5 ans, les auteurs se sont intéressés au sommeil de plus de 19 000 Finlandais. Parmi les hommes les plus anxieux exposés à un événement négatif, le risque de présenter des troubles du sommeil était augmenté de 311%. « Nous avons constaté que le fait d’être particulièrement sensible au stress accroissait considérablement le niveau de risque », précisent les auteurs.
En effet, le risque est augmenté de « seulement » 113% chez des hommes moins sensibles aux situations de stress. « Notre travail nous a également permis de montrer que des événements particulièrement durs à vivre peuvent déclencher des troubles du sommeil chez des personnes qui en étaient pourtant indemnes ». D’où l’importance d’en parler avec son médecin afin de mettre en place la stratégie la plus adaptée.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[21 novembre 2007 - 10:16]
Les grandes douleurs - séparation, perte d’emploi, deuil - exposent à des troubles du sommeil. Et ceci sur le long terme ! Selon un travail finlandais, ces troubles pourraient en effet persister jusqu’à six mois après un événement traumatisant.
Pendant 5 ans, les auteurs se sont intéressés au sommeil de plus de 19 000 Finlandais. Parmi les hommes les plus anxieux exposés à un événement négatif, le risque de présenter des troubles du sommeil était augmenté de 311%. « Nous avons constaté que le fait d’être particulièrement sensible au stress accroissait considérablement le niveau de risque », précisent les auteurs.
En effet, le risque est augmenté de « seulement » 113% chez des hommes moins sensibles aux situations de stress. « Notre travail nous a également permis de montrer que des événements particulièrement durs à vivre peuvent déclencher des troubles du sommeil chez des personnes qui en étaient pourtant indemnes ». D’où l’importance d’en parler avec son médecin afin de mettre en place la stratégie la plus adaptée.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Les boissons énergétiques augmentent la tension
[21 novembre 2007 - 12:15]
D’après des chercheurs américains, les boissons énergétiques augmenteraient non seulement le tonus mais aussi –et c’est bien plus fâcheux- la pression artérielle ! Et cela, dès la consommation quotidienne de deux cannettes.
« Chez des personnes en bonne santé, l’augmentation n’atteint pas des niveaux dangereux » temporise James Kalus du Henry Ford Hospital de Detroit. En revanche à ses yeux, « les individus souffrant d’une maladie cardiaque ou d’hypertension artérielle devraient éviter de consommer ces boissons ». D’autant poursuit-il, « qu’elles pourraient aussi altérer l’efficacité de certains médicaments ».
Kalus pointe particulièrement du doigt les « degrés élevés de caféine et de taurine » que renferment ces breuvages. Sans compter les nombreuses incertitudes qui les entourent encore, notamment lorsqu’ils sont consommés avec de l’alcool. Voilà pourquoi l’auteur prône la prudence, en attendant la mise en place d’études complémentaires sur de plus grandes cohortes. Présenté récemment au Congrès de l’American Heart Association, son travail n’a en effet concerné que 15 personnes.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[21 novembre 2007 - 12:15]
D’après des chercheurs américains, les boissons énergétiques augmenteraient non seulement le tonus mais aussi –et c’est bien plus fâcheux- la pression artérielle ! Et cela, dès la consommation quotidienne de deux cannettes.
« Chez des personnes en bonne santé, l’augmentation n’atteint pas des niveaux dangereux » temporise James Kalus du Henry Ford Hospital de Detroit. En revanche à ses yeux, « les individus souffrant d’une maladie cardiaque ou d’hypertension artérielle devraient éviter de consommer ces boissons ». D’autant poursuit-il, « qu’elles pourraient aussi altérer l’efficacité de certains médicaments ».
Kalus pointe particulièrement du doigt les « degrés élevés de caféine et de taurine » que renferment ces breuvages. Sans compter les nombreuses incertitudes qui les entourent encore, notamment lorsqu’ils sont consommés avec de l’alcool. Voilà pourquoi l’auteur prône la prudence, en attendant la mise en place d’études complémentaires sur de plus grandes cohortes. Présenté récemment au Congrès de l’American Heart Association, son travail n’a en effet concerné que 15 personnes.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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De nombreux jouets dangereux toujours distribués aux USA
AFP - Mercredi 21 novembre, 07h56
WASHINGTON (AFP) - De très nombreux jouets distribués aux Etats-Unis restent dangereux pour les enfants, notamment à cause de hautes teneurs en plomb, malgré de récentes interdictions de distribution de jouets en provenance de Chine, montre une enquête de consommateurs publiée mardi.
Les inspecteurs du Groupe américain de recherche d'interêt public (PIRG) ont "encore constaté des problèmes par dizaines dans des magasins de jouets cet automne", a déclaré le directeur de ce programme, Ed Mierzwinski, dans un communiqué destiné à présenter la politique annuelle sécuritaire dans ce domaine aux Etats-Unis.
Quelque 73.000 enfants âgés de moins de cinq ans ont été hospitalisés en urgence, et 20 d'entre eux sont morts, à la suite de blessures liées aux manipulations de ces jouets en 2005, selon des chiffres de la commission de sécurité des produits à la consommation (CPSC).
Un autre groupe, qui siège en Californie (ouest), le Center for Environmental Health (CEH), a fait état la semaine dernière de la présence de produits ayant de hautes teneurs en plomb.
Selon le CEH, neuf jouets sur 100 achetés dans différents magasins aux Etats-Unis, présentaient de telles anomalies. Ces neuf jouets provenaient tous de Chine. L'un d'eux, un service à thé de poupée en céramique, "Starletz", contenait 21 fois plus de plomb que la limite autorisée, a encore précisé CEH.
La Chine est le plus grand exportateur de jouets du monde et en a vendu l'année dernière 22 milliards, soit 60% des ventes mondiales.
Près de 400.000 jouets fabriqués en Chine, en majorité des voitures miniatures et des robots, dont la peinture contenait un niveau trop élevé en plomb, avaient été déjà rappelés la semaine dernière aux Etats-Unis.
Les rappels se sont multipliés aux Etats-Unis ces derniers mois, la plupart du temps concernant des jouets fabriqués en Chine et présentant une trop forte teneur en plomb, mais parfois aussi des jouets ayant des défauts de conception.
Sous le feu des critiques à l'étranger, mais aussi en Chine, à cause de la mise sur le marché de produits dangereux, le gouvernement chinois a annoncé récemment une série de mesures destinées à protéger la santé des consommateurs.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
AFP - Mercredi 21 novembre, 07h56
WASHINGTON (AFP) - De très nombreux jouets distribués aux Etats-Unis restent dangereux pour les enfants, notamment à cause de hautes teneurs en plomb, malgré de récentes interdictions de distribution de jouets en provenance de Chine, montre une enquête de consommateurs publiée mardi.
Les inspecteurs du Groupe américain de recherche d'interêt public (PIRG) ont "encore constaté des problèmes par dizaines dans des magasins de jouets cet automne", a déclaré le directeur de ce programme, Ed Mierzwinski, dans un communiqué destiné à présenter la politique annuelle sécuritaire dans ce domaine aux Etats-Unis.
Quelque 73.000 enfants âgés de moins de cinq ans ont été hospitalisés en urgence, et 20 d'entre eux sont morts, à la suite de blessures liées aux manipulations de ces jouets en 2005, selon des chiffres de la commission de sécurité des produits à la consommation (CPSC).
Un autre groupe, qui siège en Californie (ouest), le Center for Environmental Health (CEH), a fait état la semaine dernière de la présence de produits ayant de hautes teneurs en plomb.
Selon le CEH, neuf jouets sur 100 achetés dans différents magasins aux Etats-Unis, présentaient de telles anomalies. Ces neuf jouets provenaient tous de Chine. L'un d'eux, un service à thé de poupée en céramique, "Starletz", contenait 21 fois plus de plomb que la limite autorisée, a encore précisé CEH.
La Chine est le plus grand exportateur de jouets du monde et en a vendu l'année dernière 22 milliards, soit 60% des ventes mondiales.
Près de 400.000 jouets fabriqués en Chine, en majorité des voitures miniatures et des robots, dont la peinture contenait un niveau trop élevé en plomb, avaient été déjà rappelés la semaine dernière aux Etats-Unis.
Les rappels se sont multipliés aux Etats-Unis ces derniers mois, la plupart du temps concernant des jouets fabriqués en Chine et présentant une trop forte teneur en plomb, mais parfois aussi des jouets ayant des défauts de conception.
Sous le feu des critiques à l'étranger, mais aussi en Chine, à cause de la mise sur le marché de produits dangereux, le gouvernement chinois a annoncé récemment une série de mesures destinées à protéger la santé des consommateurs.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Journée nationale contre l'herpès
Mercredi 21 novembre 2007
Pour la 7e année consécutive, la Journée Nationale contre l'Herpès est organisée pour informer et sensibiliser à cette maladie et ses répercussions sur la vie sociale, familiale et affective des personnes atteintes.
La journée nationale contre l'herpès met cette année l'accent sur l'herpès du visage et ses différentes formes. Selon une récente étude, 7 millions de personnes en France sont concernées par cette maladie. Souvent minimisée, elle provoque pourtant des réactions émotionnelles fortes constituant un réel « handicap » au plan social, familial et humain dans la « vie » des personnes qui en souffrent. Le Baromètre Ipsos réalisé en 2005 montre que l'herpès du visage, principalement connu en tant que bouton de fièvre, bouton d'herpès ou herpès labial, est perçu comme peu grave mais gênant (92 %) et très contagieux (86 %).
Les risques de transmission du virus HSV (Herpes Simplex Virus) sont très élevés, non seulement d'une personne à l'autre, mais aussi par auto contamination. Comme les risques liés à la transmission sont largement méconnus du grand public, il importe de diffuser les bons comportements et les gestes de prévention à adopter pour aider à vivre mieux, à mieux supporter le regard de l'autre et surtout à limiter les risques de propagation du virus sur un trop grand nombre de visages.
Or sur les 7 millions de personnes affectées en France par le virus (HSV-1) de l'herpès du visage, 1 million souffrent de crises qui reviennent fréquemment (tous les 2 mois) mais seulement la moitié d'entre elles (53 %) consultent. Pourtant il existe des solutions permettant une prévention de la transmission du virus - que ce soit à soi-même ou aux autres - et des prises en charge optimales. En parler à son médecin, c'est ainsi déjà agir !
La Journée Nationale contre l'Herpès est donc une nouvelle fois l'occasion de faire entendre des messages forts sur ce virus. Des actions de sensibilisation et d'information seront organisées en différents points pour relayer ces messages et aller au-devant du grand public. Cette campagne intervient quelques semaines après la campagne des laboratoires GlaxoSmithKline sur le thème « Ne laissez plus un bouton d'herpès gâcher les plus beaux moments de votre vie », qui invitait également les patients à consulter.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Mercredi 21 novembre 2007
Pour la 7e année consécutive, la Journée Nationale contre l'Herpès est organisée pour informer et sensibiliser à cette maladie et ses répercussions sur la vie sociale, familiale et affective des personnes atteintes.
La journée nationale contre l'herpès met cette année l'accent sur l'herpès du visage et ses différentes formes. Selon une récente étude, 7 millions de personnes en France sont concernées par cette maladie. Souvent minimisée, elle provoque pourtant des réactions émotionnelles fortes constituant un réel « handicap » au plan social, familial et humain dans la « vie » des personnes qui en souffrent. Le Baromètre Ipsos réalisé en 2005 montre que l'herpès du visage, principalement connu en tant que bouton de fièvre, bouton d'herpès ou herpès labial, est perçu comme peu grave mais gênant (92 %) et très contagieux (86 %).
Les risques de transmission du virus HSV (Herpes Simplex Virus) sont très élevés, non seulement d'une personne à l'autre, mais aussi par auto contamination. Comme les risques liés à la transmission sont largement méconnus du grand public, il importe de diffuser les bons comportements et les gestes de prévention à adopter pour aider à vivre mieux, à mieux supporter le regard de l'autre et surtout à limiter les risques de propagation du virus sur un trop grand nombre de visages.
Or sur les 7 millions de personnes affectées en France par le virus (HSV-1) de l'herpès du visage, 1 million souffrent de crises qui reviennent fréquemment (tous les 2 mois) mais seulement la moitié d'entre elles (53 %) consultent. Pourtant il existe des solutions permettant une prévention de la transmission du virus - que ce soit à soi-même ou aux autres - et des prises en charge optimales. En parler à son médecin, c'est ainsi déjà agir !
La Journée Nationale contre l'Herpès est donc une nouvelle fois l'occasion de faire entendre des messages forts sur ce virus. Des actions de sensibilisation et d'information seront organisées en différents points pour relayer ces messages et aller au-devant du grand public. Cette campagne intervient quelques semaines après la campagne des laboratoires GlaxoSmithKline sur le thème « Ne laissez plus un bouton d'herpès gâcher les plus beaux moments de votre vie », qui invitait également les patients à consulter.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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