Actualités pour le concours 2011
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités pour le concours 2011
cristalia-cinderella a écrit :Par pur conflit d'intérêt vis a vis des industries pharmaceutique. Car ils sont tous financés par les industries en grandes majorité. Ils ne sont donc pas indépendant.
Voila brièvement.

Epernay => Résultat le 5 Juillet
Re: Actualités pour le concours 2011
Pécresse en croisade contre l'alcoolisme étudiant
Un verre, ça va… Au-delà, il pourrait bien y avoir quelques dégâts collatéraux au sein des bureaux des élèves des universités et des grandes écoles. Leurs responsables vont devoir apprendre la sobriété et la transmettre à leurs ouailles! Mercredi matin, Martine Daoust, la rectrice de l'académie de Poitiers remet à la ministre de l'Enseignement supérieur le rapport sur l'alcoolisme étudiant que celle-ci lui avait commandé en septembre 2010. Le résultat de dizaines d'heures d'audition donne une photographie plutôt alarmante des pratiques de bizutage et des conduites excessives des étudiants durant les week-end d'intégration.
Professeur en pharmacologie, Martine Daoust n'est pas novice en la matière. Elle a animé durant plusieurs années à Amiens, le groupe de recherche sur l'alcool et les pharmacodépendances à l'université de Picardie, elle y avait organisé une cellule de crise baptisée «Task Force» qui mêlait tous les acteurs locaux pour tenter d'endiguer ce fléau. Dans le rapport que dévoile ce mercredi Le Figaro, elle dénonce «la complaisance de tous, y compris des établissements», note que «certains événements festifs sont des espaces de non-droit», relève que «différents partenaires financiers doivent être identifiés et responsabilisés». Elle veut «briser la loi du silence autour des pratiques dégradantes» mais refuse de résoudre le problème par des interdictions systématiques. «Toutes les expériences de prohibition se sont soldées par un échec», insiste-t-elle. Pas question de baisser les bras pour autant.
Aussi propose-t-elle trois pistes à Valérie Pécresse qui devrait les mettre en place rapidement. Première idée: sur le mode des «rave party» dont l'organisation doit être déclarée en préfecture, l'annonce de chaque manifestation étudiante pourrait à l'avenir être déposée à la mairie et/ou à la préfecture avec l'adresse du lieu des festivités, le nom de la personne responsable de l'événement et des modalités de prévention mises en œuvre (remise des clés de voiture, alcootests…) pour assurer la sécurité des participants.
Deuxième piste de réflexion: les contrôles. «Nous savons que le cadre juridique est souvent détourné, notamment en ce qui concerne les open-bars, nous organiserons des testings comme le fait la Halde en matière de discriminations. Les préfets pourraient être nos partenaires, et des sanctions seront prises en cas de non respect de la loi. La Suisse pratique déjà ce type de contrôles de façon très efficace.»
Enfin de façon plus pédagogique, Martine Daoust pense qu'il est urgent de dispenser des modules de formation qui compteraient dans l'obtention d'une licence ou d'un master comme le font déjà l'université de Nancy ou celle du Havre. «Les étudiants doivent impérativement savoir ce qu'ils risquent sur le plan sanitaire mais aussi sur le plan juridique quand ils transgressent les lois.»
Mais pourquoi ces jeunes, généralement promis à des lendemains qui chantent, franchissent-ils aussi souvent la ligne blanche? La rentrée universitaire a été cauchemardesque. Jugez plutôt. Le 27 septembre, une étudiante de l'Institut commercial de Nancy dépose plainte pour viol après une soirée étudiante organisée lors d'un séjour de son école à Grasse. Dans le même mois, un étudiant se défenestre à la suite d'une soirée arrosée à l'IUT de Limoges, une plainte pour viol est déposée à la suite d'un week-end d'intégration de l'ESC Grenoble au Canet. En mars 2010, un étudiant en pharmacie de Clermont-Ferrand décède d'un coma éthylique. Comme l'un de ses camarades de 18 ans, étudiant en droit, mort aux Deux-Alpes. C'en est trop. C'est à ce moment-là que Valérie Pécresse demande aux recteurs de recenser tous les week-ends d'intégration prévus et de s'assurer de leurs conditions de sécurité et, dans la foulée, charge Martine Daoust d'une mission pour comprendre ce phénomène qui touche les étudiants de tous les pays européens.
L'ethnologue Véronique Nahoum-Grappe (EHESS) travaille sur le sujet. «La jeunesse dorée s'est toujours encanaillée dans les bas quartiers. Dans ces écoles qui sont presque des institutions, les fêtes sont supposées souder le groupe. Les plus anciens réinventent des rituels de domination, d'avilissement, d'humiliation et tentent ainsi de briser quelque chose de l'innocence des nouveaux venus. L'alcool y est présent mais il n'est pas la clé de ces pratiques régressives.»
lefigaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Un verre, ça va… Au-delà, il pourrait bien y avoir quelques dégâts collatéraux au sein des bureaux des élèves des universités et des grandes écoles. Leurs responsables vont devoir apprendre la sobriété et la transmettre à leurs ouailles! Mercredi matin, Martine Daoust, la rectrice de l'académie de Poitiers remet à la ministre de l'Enseignement supérieur le rapport sur l'alcoolisme étudiant que celle-ci lui avait commandé en septembre 2010. Le résultat de dizaines d'heures d'audition donne une photographie plutôt alarmante des pratiques de bizutage et des conduites excessives des étudiants durant les week-end d'intégration.
Professeur en pharmacologie, Martine Daoust n'est pas novice en la matière. Elle a animé durant plusieurs années à Amiens, le groupe de recherche sur l'alcool et les pharmacodépendances à l'université de Picardie, elle y avait organisé une cellule de crise baptisée «Task Force» qui mêlait tous les acteurs locaux pour tenter d'endiguer ce fléau. Dans le rapport que dévoile ce mercredi Le Figaro, elle dénonce «la complaisance de tous, y compris des établissements», note que «certains événements festifs sont des espaces de non-droit», relève que «différents partenaires financiers doivent être identifiés et responsabilisés». Elle veut «briser la loi du silence autour des pratiques dégradantes» mais refuse de résoudre le problème par des interdictions systématiques. «Toutes les expériences de prohibition se sont soldées par un échec», insiste-t-elle. Pas question de baisser les bras pour autant.
Aussi propose-t-elle trois pistes à Valérie Pécresse qui devrait les mettre en place rapidement. Première idée: sur le mode des «rave party» dont l'organisation doit être déclarée en préfecture, l'annonce de chaque manifestation étudiante pourrait à l'avenir être déposée à la mairie et/ou à la préfecture avec l'adresse du lieu des festivités, le nom de la personne responsable de l'événement et des modalités de prévention mises en œuvre (remise des clés de voiture, alcootests…) pour assurer la sécurité des participants.
Deuxième piste de réflexion: les contrôles. «Nous savons que le cadre juridique est souvent détourné, notamment en ce qui concerne les open-bars, nous organiserons des testings comme le fait la Halde en matière de discriminations. Les préfets pourraient être nos partenaires, et des sanctions seront prises en cas de non respect de la loi. La Suisse pratique déjà ce type de contrôles de façon très efficace.»
Enfin de façon plus pédagogique, Martine Daoust pense qu'il est urgent de dispenser des modules de formation qui compteraient dans l'obtention d'une licence ou d'un master comme le font déjà l'université de Nancy ou celle du Havre. «Les étudiants doivent impérativement savoir ce qu'ils risquent sur le plan sanitaire mais aussi sur le plan juridique quand ils transgressent les lois.»
Mais pourquoi ces jeunes, généralement promis à des lendemains qui chantent, franchissent-ils aussi souvent la ligne blanche? La rentrée universitaire a été cauchemardesque. Jugez plutôt. Le 27 septembre, une étudiante de l'Institut commercial de Nancy dépose plainte pour viol après une soirée étudiante organisée lors d'un séjour de son école à Grasse. Dans le même mois, un étudiant se défenestre à la suite d'une soirée arrosée à l'IUT de Limoges, une plainte pour viol est déposée à la suite d'un week-end d'intégration de l'ESC Grenoble au Canet. En mars 2010, un étudiant en pharmacie de Clermont-Ferrand décède d'un coma éthylique. Comme l'un de ses camarades de 18 ans, étudiant en droit, mort aux Deux-Alpes. C'en est trop. C'est à ce moment-là que Valérie Pécresse demande aux recteurs de recenser tous les week-ends d'intégration prévus et de s'assurer de leurs conditions de sécurité et, dans la foulée, charge Martine Daoust d'une mission pour comprendre ce phénomène qui touche les étudiants de tous les pays européens.
L'ethnologue Véronique Nahoum-Grappe (EHESS) travaille sur le sujet. «La jeunesse dorée s'est toujours encanaillée dans les bas quartiers. Dans ces écoles qui sont presque des institutions, les fêtes sont supposées souder le groupe. Les plus anciens réinventent des rituels de domination, d'avilissement, d'humiliation et tentent ainsi de briser quelque chose de l'innocence des nouveaux venus. L'alcool y est présent mais il n'est pas la clé de ces pratiques régressives.»
lefigaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
futur esi 2011 je l'espère vraiment
candidate à lyon rockfeller,Orléans,Montpellier,Besancon et Clermont ferrand
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Re: Actualités pour le concours 2011
Accros à la médecine esthétique
La scène se passe dans le cabinet de médecine esthétique d'un quartier chic de la capitale. Une patiente s'emporte : «Puisque je vous dis que j'en ai vraiment besoin ! Les rides sur mon front, je les vois encore !» Le médecin tente de la raisonner : «Madame, vous êtes déjà venue la semaine dernière, il faut laisser au produit le temps d'agir et puis il est impératif d'espacer les injections de plusieurs mois. - Bon alors faites-moi des séances de laser à la place !» insiste la patiente. Un cas isolé ? Pas sûr. «Certaines actrices voudraient qu'on les pique tous les jours», témoigne Maryse Slous, médecin esthétique à Paris. Sans doute la vision de corps parfaits, de silhouettes zéro défaut exhibées par les médias peuvent-elles conduire à ce genre d'interventionnisme débridé. Et dans les salles d'attente, désormais, il n'est plus rare de croiser une adepte des injections à répétition, un quinqua démarrant une liposuccion du ventre et enchaînant avec les cuisses, les fesses, puis les bras ou encore des femmes pourtant jolies désirant une transformation globale, nez, bouche, poitrine, pommettes…
Sont-ils tous accros pour autant ?
Pas nécessairement. «Il faut distinguer plusieurs types de patients, explique Stéphane Guichard, chirurgien plasticien et esthétique. Certaines personnes traitent un défaut bien précis et s'arrêtent là. D'autres veulent gommer plusieurs imperfections et reviennent d'autant plus facilement que la première intervention s'est bien passée. Ces deux catégories constituent l'essentiel des consultations. Elles ne posent aucune difficulté. Et puis il y a le problème des demandes pathologiques. Il s'agit en général de patients qui entreprennent des opérations à répétition soit parce qu'ils courent après un idéal inatteignable, soit parce qu'ils viennent réparer une chirurgie ratée et qu'ils se sentent dénaturés. Dans ces cas-là, on peut parler de véritable addiction. Mais cela demeure encore rare», tempère le docteur Guichard.
D'après la psychiatre et psychothérapeute Françoise Millet-Bartoli, auteur notamment de La Beauté sur mesure, psychologie et chirurgie esthétique (Odile Jacob) , les femmes seraient plus touchées que les hommes. Surtout la tranche des 40-60 ans, d'une grande fragilité narcissique. «C'est un moment de transition très déstabilisant, une période où l'on perd beaucoup de choses. Les enfants s'en vont, la jeunesse s'efface, les signes de l'âge s'installent, les divorces sont fréquents et le chômage pas rare.» De quoi faire sérieusement vaciller toutes les certitudes que l'on avait acquises jusqu'ici et douter de son identité.
Les personnes atteintes de disgrâces imaginaires cèdent aussi plus facilement à la frénésie opératoire. «Ceux qui souffrent de dysmorphophobie se focalisent sur des défauts physiques qui n'existent pas ou sont minimes, et n'ont de cesse de les corriger, explique Françoise Millet-Bartoli. Ils sont obnubilés par la moindre ridule, au point, pour certains, de ne plus se montrer. En réalité, leurs défauts supposés masquent une insatisfaction plus profonde. À travers une intervention, ces personnes recherchent en quelque sorte une chirurgie de la personnalité “par physique interposé”».
«Tout ira mieux dans ma vie»
Charge alors au chirurgien ou au médecin de les rediriger vers un psy. Car ce n'est pas forcément en modifiant une partie de son corps que l'on améliorera une estime de soi défaillante. D'après la psychiatre, les interventions à répétition révèlent d'ailleurs bien souvent un état dépressif sous-jacent, que les patients ne veulent - ou ne peuvent - pas reconnaître. Reste que la chirurgie et la médecine esthétique peuvent aussi améliorer considérablement la vie relationnelle et aider à prendre confiance en soi.
Comment, alors, repérer les demandes pathologiques ? Maryse Slous estime que l'on devient addict dès lors que l'on réclame des injections tous les deux à trois mois. «Dans ces cas-là, j'oriente vers des soins moins agressifs d'électrostimulation ou de la lumière pulsée.» «Le critère, c'est d'avoir une requête construite, insiste pour sa part le docteur Guichard. Et avant tout, une personne se fait opérer pour elle, pas pour sauver un mariage, plaire à ses enfants ou pour copier les amies.»
Pour Françoise Millet-Bartoli, les patients doivent se poser la question : qu'est-ce que j'en attends ? L'intervention sera bénéfique si on recherche un effet bonne mine, défatiguant, pour booster son moral et sa confiance en soi. Si la demande est trop vague, «tout ira mieux dans ma vie», ou au contraire trop précise, «je veux le même nez que Claudia Schiffer», alors on risque l'insatisfaction et l'engrenage de la multirécidive.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
La scène se passe dans le cabinet de médecine esthétique d'un quartier chic de la capitale. Une patiente s'emporte : «Puisque je vous dis que j'en ai vraiment besoin ! Les rides sur mon front, je les vois encore !» Le médecin tente de la raisonner : «Madame, vous êtes déjà venue la semaine dernière, il faut laisser au produit le temps d'agir et puis il est impératif d'espacer les injections de plusieurs mois. - Bon alors faites-moi des séances de laser à la place !» insiste la patiente. Un cas isolé ? Pas sûr. «Certaines actrices voudraient qu'on les pique tous les jours», témoigne Maryse Slous, médecin esthétique à Paris. Sans doute la vision de corps parfaits, de silhouettes zéro défaut exhibées par les médias peuvent-elles conduire à ce genre d'interventionnisme débridé. Et dans les salles d'attente, désormais, il n'est plus rare de croiser une adepte des injections à répétition, un quinqua démarrant une liposuccion du ventre et enchaînant avec les cuisses, les fesses, puis les bras ou encore des femmes pourtant jolies désirant une transformation globale, nez, bouche, poitrine, pommettes…
Sont-ils tous accros pour autant ?
Pas nécessairement. «Il faut distinguer plusieurs types de patients, explique Stéphane Guichard, chirurgien plasticien et esthétique. Certaines personnes traitent un défaut bien précis et s'arrêtent là. D'autres veulent gommer plusieurs imperfections et reviennent d'autant plus facilement que la première intervention s'est bien passée. Ces deux catégories constituent l'essentiel des consultations. Elles ne posent aucune difficulté. Et puis il y a le problème des demandes pathologiques. Il s'agit en général de patients qui entreprennent des opérations à répétition soit parce qu'ils courent après un idéal inatteignable, soit parce qu'ils viennent réparer une chirurgie ratée et qu'ils se sentent dénaturés. Dans ces cas-là, on peut parler de véritable addiction. Mais cela demeure encore rare», tempère le docteur Guichard.
D'après la psychiatre et psychothérapeute Françoise Millet-Bartoli, auteur notamment de La Beauté sur mesure, psychologie et chirurgie esthétique (Odile Jacob) , les femmes seraient plus touchées que les hommes. Surtout la tranche des 40-60 ans, d'une grande fragilité narcissique. «C'est un moment de transition très déstabilisant, une période où l'on perd beaucoup de choses. Les enfants s'en vont, la jeunesse s'efface, les signes de l'âge s'installent, les divorces sont fréquents et le chômage pas rare.» De quoi faire sérieusement vaciller toutes les certitudes que l'on avait acquises jusqu'ici et douter de son identité.
Les personnes atteintes de disgrâces imaginaires cèdent aussi plus facilement à la frénésie opératoire. «Ceux qui souffrent de dysmorphophobie se focalisent sur des défauts physiques qui n'existent pas ou sont minimes, et n'ont de cesse de les corriger, explique Françoise Millet-Bartoli. Ils sont obnubilés par la moindre ridule, au point, pour certains, de ne plus se montrer. En réalité, leurs défauts supposés masquent une insatisfaction plus profonde. À travers une intervention, ces personnes recherchent en quelque sorte une chirurgie de la personnalité “par physique interposé”».
«Tout ira mieux dans ma vie»
Charge alors au chirurgien ou au médecin de les rediriger vers un psy. Car ce n'est pas forcément en modifiant une partie de son corps que l'on améliorera une estime de soi défaillante. D'après la psychiatre, les interventions à répétition révèlent d'ailleurs bien souvent un état dépressif sous-jacent, que les patients ne veulent - ou ne peuvent - pas reconnaître. Reste que la chirurgie et la médecine esthétique peuvent aussi améliorer considérablement la vie relationnelle et aider à prendre confiance en soi.
Comment, alors, repérer les demandes pathologiques ? Maryse Slous estime que l'on devient addict dès lors que l'on réclame des injections tous les deux à trois mois. «Dans ces cas-là, j'oriente vers des soins moins agressifs d'électrostimulation ou de la lumière pulsée.» «Le critère, c'est d'avoir une requête construite, insiste pour sa part le docteur Guichard. Et avant tout, une personne se fait opérer pour elle, pas pour sauver un mariage, plaire à ses enfants ou pour copier les amies.»
Pour Françoise Millet-Bartoli, les patients doivent se poser la question : qu'est-ce que j'en attends ? L'intervention sera bénéfique si on recherche un effet bonne mine, défatiguant, pour booster son moral et sa confiance en soi. Si la demande est trop vague, «tout ira mieux dans ma vie», ou au contraire trop précise, «je veux le même nez que Claudia Schiffer», alors on risque l'insatisfaction et l'engrenage de la multirécidive.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
futur esi 2011 je l'espère vraiment
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Re: Actualités pour le concours 2011
Les agressions de médecins en augmentation
Deux praticiens ont été attaqués à l'arme blanche en moins d'une semaine.
Comment soigner sereinement dans un climat d'insécurité croissante ? Telle est l'interrogation de nombreux praticiens suite aux agressions à l'arme blanche d'une gynécologue-obstétricienne à la clinique de Soyaux (Charente), jeudi dernier, et d'un médecin gastro-entérologue à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil (Val-de-Marne). Ce dernier a été poignardé mardi par une femme déguisée en infirmière. Dans ces deux établissements, la tension et l'émoi sont palpables. Cette question de l'insécurité du personnel soignant s'était déjà posée après le meurtre de deux infirmières paloises par un ancien patient schizophrène, en décembre 2004.
Violence des patients
Deux organismes sont aujourd'hui chargés d'analyser les faits de violences subis par les médecins. Or l'Observatoire de la sécurité des médecins, créé en 2004 par le Conseil national de l'Ordre, notait, principalement chez les généralistes libéraux, une nette aggravation des violences en 2009. Celles-ci, verbales ou physiques, émanent le plus souvent du patient lui-même. Les départements de Seine-Saint-Denis, du Val-d'Oise, de l'Isère, de Seine-Maritime, du Nord ou du Val-de-Marne sont les plus touchés. Le Dr Bernard Le Douarin, en charge de l'Observatoire, indique que ces tendances devraient être confirmées dans les chiffres 2010 en cours d'analyse. Il se montre «très préoccupé» et indique que l'Observatoire travaille à l'élaboration d'outils pour lutter contre ce phénomène, en collaboration avec les ministères de la Santé, de la Justice et de l'Intérieur. Un «socle» de travail commun est donc attendu par les médecins sur le terrain. Encore faut-il résoudre pour cela le problème du non signalement, fréquent, de ces agressions par leurs victimes.
Selon l 'Observatoire national des violences hospitalières, créé en 2005 sous l'égide du ministère de la Santé, les actes volontaires de violences physiques représentaient 59 % des atteintes subies en 2008, principalement dans les services de psychiatrie et d'urgence. «Des claques, des coups, des insultes, ça arrive de plus en plus souvent mais une agression aussi grave, on n'a jamais vu ça ici», confie Jean-Marc Devauchelle, délégué SUD à Henri-Mondor. Même inquiétude de la part de Philippe Choupin, directeur de la clinique de Soyaux : «on vit quotidiennement une agressivité qui n'existait pas il y a dix ans », reconnaît-il .
Le sentiment d'insécurité n'est pas sans incidences sur la démographie médicale déjà en souffrance dans certaines zones. Il motive le départ des médecins puis de l'ensemble de la chaîne de santé, infirmières, pharmacies… Pour le Dr Le Douarin, par ailleurs président du conseil départemental de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne, le service de permanence des soins (soirs et week-end) n'a pu être pleinement assuré que par l'emploi de vigiles, conditionnant la participation de femmes à ce service. Il s'agit de «donner la possibilité aux médecins d'exercer leur mission dans un cadre assurant leur sécurité», bien qu'il soit «difficile de mettre un officier de police derrière chacun d'eux». À l'hôpital Henri-Mondor, la vigilance s'impose. Doté d'agents antimalveillance, l'établissement pourrait renforcer son dispositif de sécurité en augmentant les rondes.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Deux praticiens ont été attaqués à l'arme blanche en moins d'une semaine.
Comment soigner sereinement dans un climat d'insécurité croissante ? Telle est l'interrogation de nombreux praticiens suite aux agressions à l'arme blanche d'une gynécologue-obstétricienne à la clinique de Soyaux (Charente), jeudi dernier, et d'un médecin gastro-entérologue à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil (Val-de-Marne). Ce dernier a été poignardé mardi par une femme déguisée en infirmière. Dans ces deux établissements, la tension et l'émoi sont palpables. Cette question de l'insécurité du personnel soignant s'était déjà posée après le meurtre de deux infirmières paloises par un ancien patient schizophrène, en décembre 2004.
Violence des patients
Deux organismes sont aujourd'hui chargés d'analyser les faits de violences subis par les médecins. Or l'Observatoire de la sécurité des médecins, créé en 2004 par le Conseil national de l'Ordre, notait, principalement chez les généralistes libéraux, une nette aggravation des violences en 2009. Celles-ci, verbales ou physiques, émanent le plus souvent du patient lui-même. Les départements de Seine-Saint-Denis, du Val-d'Oise, de l'Isère, de Seine-Maritime, du Nord ou du Val-de-Marne sont les plus touchés. Le Dr Bernard Le Douarin, en charge de l'Observatoire, indique que ces tendances devraient être confirmées dans les chiffres 2010 en cours d'analyse. Il se montre «très préoccupé» et indique que l'Observatoire travaille à l'élaboration d'outils pour lutter contre ce phénomène, en collaboration avec les ministères de la Santé, de la Justice et de l'Intérieur. Un «socle» de travail commun est donc attendu par les médecins sur le terrain. Encore faut-il résoudre pour cela le problème du non signalement, fréquent, de ces agressions par leurs victimes.
Selon l 'Observatoire national des violences hospitalières, créé en 2005 sous l'égide du ministère de la Santé, les actes volontaires de violences physiques représentaient 59 % des atteintes subies en 2008, principalement dans les services de psychiatrie et d'urgence. «Des claques, des coups, des insultes, ça arrive de plus en plus souvent mais une agression aussi grave, on n'a jamais vu ça ici», confie Jean-Marc Devauchelle, délégué SUD à Henri-Mondor. Même inquiétude de la part de Philippe Choupin, directeur de la clinique de Soyaux : «on vit quotidiennement une agressivité qui n'existait pas il y a dix ans », reconnaît-il .
Le sentiment d'insécurité n'est pas sans incidences sur la démographie médicale déjà en souffrance dans certaines zones. Il motive le départ des médecins puis de l'ensemble de la chaîne de santé, infirmières, pharmacies… Pour le Dr Le Douarin, par ailleurs président du conseil départemental de l'Ordre des médecins du Val-de-Marne, le service de permanence des soins (soirs et week-end) n'a pu être pleinement assuré que par l'emploi de vigiles, conditionnant la participation de femmes à ce service. Il s'agit de «donner la possibilité aux médecins d'exercer leur mission dans un cadre assurant leur sécurité», bien qu'il soit «difficile de mettre un officier de police derrière chacun d'eux». À l'hôpital Henri-Mondor, la vigilance s'impose. Doté d'agents antimalveillance, l'établissement pourrait renforcer son dispositif de sécurité en augmentant les rondes.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
futur esi 2011 je l'espère vraiment
candidate à lyon rockfeller,Orléans,Montpellier,Besancon et Clermont ferrand
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Re: Actualités pour le concours 2011
Pourquoi l'adoption est si difficile
Un rapport de l'Académie de Médecine pointe toutes les difficultés que rencontrent les futurs parents pour adopter un enfant.
Plus de 20 000 familles en attente d'un enfant, souvent depuis plusieurs années, d'un côté, seulement 726 enfants adoptés en 2008 de l'autre. Le rapport de l'Académie de médecine rendu public ce mardi part d'un constat impressionnant: entre 1985 et 2008, le nombre d'adoptions nationales a chuté de 1749 à 726, tandis que, dans le même temps, l'adoption internationale passait de 960 à 3160, avec un pic de 4136 en 2005.
Pourquoi?
Une procédure trop complexe
Pas moins de 5 lois ont été votées autour de cette question ces dernières années: 1996, 1998, 2002, 2005 et 2007. Au total, quatre ministères sont impliqués (Famille, Relations sociales, Justice, Finances) et la procédure qui concerne les enfants dits "en danger" (132 adoptés sur 726, les autres étant orphelins, abandonnés ou nés "sous X") est extrêmement lourde. Schématiquement, un signalement est effectué auprès du Service d'aide sociale à l'enfance (ASE) qui aboutit, selon les cas, à un classement sans suite, au placement de l'enfant ou à son maintien dans sa famille avec Aide éducative en milieu ouvert (AEMO).
Dans les cas les plus graves, le Procureur de la république est alerté et, au besoin, le Président du Conseil Général peut demander la mise de l'enfant sous tutelle de l'Etat, voire une déclaration judiciaire d'abandon des parents. Mais, entre la multiplicité des acteurs judiciaires (juge des Enfants, des tutelles, des affaires familiales, du tribunal de grand instance...), le cloisonnement des services et l'hétérogénéité des systèmes selon les régions, la procédure prend, en moyenne, 5 ou 6 ans.
Des enfants peu et mal signalés
Officiellement, près de 20 000 enfants sont signalés en moyenne chaque année pour des cas de maltraitance présumés (physique, psychologique, sexuelle...). Dans la réalité, ils sont sans doute beaucoup plus mais les médecins, pourtant en première ligne, hésitent à faire de tels signalements: 3% seulement d'entre eux émanent effectivement du corps médical. L'Académie de médecine regrette, à ce propos, qu'un tel signalement ne soit toujours pas rendu obligatoire et que les praticiens s'abritent derrière le code de déontologie qui stipule que "le secret concerne tout ce qui est venu à la connaissance du médecin dans l'exercice de ses fonctions, c'est-à-dire non seulement ce qui lui a été confié, mais ce qu'il a vu, entendu et compris". Rappelons pourtant que le Code pénal considère qu'il n'y a pas violation du secret professionel lorsqu'il s'agit de sévices commis sur un mineur.
Des considérations trop idéologiques
"L'intérêt supérieur de l'enfant", prôné par la Convention internationale des Droits de l'enfant et par la Convention européeenne des Droits de l'Homme est systématiquement invoqué en cas de décision de justice. Mais, en pratique, la plupart des juges l'interprètent de façon univoque, c'est-à-dire en s'appuyant sur ce que l'Académie de médecine appelle "le sacro-saint lien biologique". Dans une directive du Code civil en effet est mentionné que "chaque fois qu'il est possible, le mineur doit être maintenu dans son milieu actuel". Pour l'Académie, on pourrait tout aussi bien considérer que cet "intérêt supérieur" serait de remplacer au plus vite une famille insuffisante, voire pathologique pour cet enfant, par une famille accueillante, responsable et généreuse. Quant aux enfants dont "les parents se sont manifestement désintéressés pendant l'année" (article 325 du Code Civil), et qui ont donc vocation à devenir Pupilles de l'Etat et, par là-même, adoptables, leur nombre a chuté de 70% entre 1989 et 2008. Là encore, la plupart des décisions qui sont prises valorisent le maintien de l'enfant dans sa famille. L'Académie se prononce donc en faveur de la création d'une filière de familles d'accueil bénévoles (et non rémunérées), ce qui permettrait aux candidats de "monter la priorité qu'ils accordent au bonheur de l'enfant et donnerait à l'adoption son véritable sens: une famille à l'enfant, et non l'inverse".Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Un rapport de l'Académie de Médecine pointe toutes les difficultés que rencontrent les futurs parents pour adopter un enfant.
Plus de 20 000 familles en attente d'un enfant, souvent depuis plusieurs années, d'un côté, seulement 726 enfants adoptés en 2008 de l'autre. Le rapport de l'Académie de médecine rendu public ce mardi part d'un constat impressionnant: entre 1985 et 2008, le nombre d'adoptions nationales a chuté de 1749 à 726, tandis que, dans le même temps, l'adoption internationale passait de 960 à 3160, avec un pic de 4136 en 2005.
Pourquoi?
Une procédure trop complexe
Pas moins de 5 lois ont été votées autour de cette question ces dernières années: 1996, 1998, 2002, 2005 et 2007. Au total, quatre ministères sont impliqués (Famille, Relations sociales, Justice, Finances) et la procédure qui concerne les enfants dits "en danger" (132 adoptés sur 726, les autres étant orphelins, abandonnés ou nés "sous X") est extrêmement lourde. Schématiquement, un signalement est effectué auprès du Service d'aide sociale à l'enfance (ASE) qui aboutit, selon les cas, à un classement sans suite, au placement de l'enfant ou à son maintien dans sa famille avec Aide éducative en milieu ouvert (AEMO).
Dans les cas les plus graves, le Procureur de la république est alerté et, au besoin, le Président du Conseil Général peut demander la mise de l'enfant sous tutelle de l'Etat, voire une déclaration judiciaire d'abandon des parents. Mais, entre la multiplicité des acteurs judiciaires (juge des Enfants, des tutelles, des affaires familiales, du tribunal de grand instance...), le cloisonnement des services et l'hétérogénéité des systèmes selon les régions, la procédure prend, en moyenne, 5 ou 6 ans.
Des enfants peu et mal signalés
Officiellement, près de 20 000 enfants sont signalés en moyenne chaque année pour des cas de maltraitance présumés (physique, psychologique, sexuelle...). Dans la réalité, ils sont sans doute beaucoup plus mais les médecins, pourtant en première ligne, hésitent à faire de tels signalements: 3% seulement d'entre eux émanent effectivement du corps médical. L'Académie de médecine regrette, à ce propos, qu'un tel signalement ne soit toujours pas rendu obligatoire et que les praticiens s'abritent derrière le code de déontologie qui stipule que "le secret concerne tout ce qui est venu à la connaissance du médecin dans l'exercice de ses fonctions, c'est-à-dire non seulement ce qui lui a été confié, mais ce qu'il a vu, entendu et compris". Rappelons pourtant que le Code pénal considère qu'il n'y a pas violation du secret professionel lorsqu'il s'agit de sévices commis sur un mineur.
Des considérations trop idéologiques
"L'intérêt supérieur de l'enfant", prôné par la Convention internationale des Droits de l'enfant et par la Convention européeenne des Droits de l'Homme est systématiquement invoqué en cas de décision de justice. Mais, en pratique, la plupart des juges l'interprètent de façon univoque, c'est-à-dire en s'appuyant sur ce que l'Académie de médecine appelle "le sacro-saint lien biologique". Dans une directive du Code civil en effet est mentionné que "chaque fois qu'il est possible, le mineur doit être maintenu dans son milieu actuel". Pour l'Académie, on pourrait tout aussi bien considérer que cet "intérêt supérieur" serait de remplacer au plus vite une famille insuffisante, voire pathologique pour cet enfant, par une famille accueillante, responsable et généreuse. Quant aux enfants dont "les parents se sont manifestement désintéressés pendant l'année" (article 325 du Code Civil), et qui ont donc vocation à devenir Pupilles de l'Etat et, par là-même, adoptables, leur nombre a chuté de 70% entre 1989 et 2008. Là encore, la plupart des décisions qui sont prises valorisent le maintien de l'enfant dans sa famille. L'Académie se prononce donc en faveur de la création d'une filière de familles d'accueil bénévoles (et non rémunérées), ce qui permettrait aux candidats de "monter la priorité qu'ils accordent au bonheur de l'enfant et donnerait à l'adoption son véritable sens: une famille à l'enfant, et non l'inverse".Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
futur esi 2011 je l'espère vraiment
candidate à lyon rockfeller,Orléans,Montpellier,Besancon et Clermont ferrand
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Re: Actualités pour le concours 2011
"Un profil Facebook à 70 ans, bonjour la futilité ? Eh bien non"
Ils étaient 6,5 % parmi les plus de 65 ans en France (soit 700 000 personnes) à détenir un compte sur Facebook en décembre 2010, selon l'Observatoire des usages Internet de Médiamétrie – une proportion qui a doublé en un an. Que ce soit pour maintenir des liens avec leurs petits-enfants, retrouver de vieux amis, d'anciennes amours ou rester en phase avec les innovations technologiques, de plus en plus de personnes âgées plébiscitent le réseau social. D'autres y ont goûté... et ont détesté.
Ne pas vouloir adhérer à Facebook entraîne une rupture avec la nouvelle génération. C'est à nous de nous adapter aux nouvelles formes de communication.
C'est là que j'ai retrouvé d'anciens étudiants devenus partenaires, amis et parfois maîtres à penser. C'est un espace intergénérationnel où l'on peut partager enthousiasmes, indignations, invitations à des activités, pétitions pour de grandes et petites causes...
"Bien pratique pour faire circuler les nouvelles au sein de la famille",
Je suis cependant bien consciente des dérives possibles. On peut y perdre beaucoup de temps, et il m'est arrivé d'inciter mes petits-enfants à plus de discrétion sur leur vie privée.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Ils étaient 6,5 % parmi les plus de 65 ans en France (soit 700 000 personnes) à détenir un compte sur Facebook en décembre 2010, selon l'Observatoire des usages Internet de Médiamétrie – une proportion qui a doublé en un an. Que ce soit pour maintenir des liens avec leurs petits-enfants, retrouver de vieux amis, d'anciennes amours ou rester en phase avec les innovations technologiques, de plus en plus de personnes âgées plébiscitent le réseau social. D'autres y ont goûté... et ont détesté.
Ne pas vouloir adhérer à Facebook entraîne une rupture avec la nouvelle génération. C'est à nous de nous adapter aux nouvelles formes de communication.
C'est là que j'ai retrouvé d'anciens étudiants devenus partenaires, amis et parfois maîtres à penser. C'est un espace intergénérationnel où l'on peut partager enthousiasmes, indignations, invitations à des activités, pétitions pour de grandes et petites causes...
"Bien pratique pour faire circuler les nouvelles au sein de la famille",
Je suis cependant bien consciente des dérives possibles. On peut y perdre beaucoup de temps, et il m'est arrivé d'inciter mes petits-enfants à plus de discrétion sur leur vie privée.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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candidate à lyon rockfeller,Orléans,Montpellier,Besancon et Clermont ferrand
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Re: Actualités pour le concours 2011
Les accidents domestiques responsables de 18 500 morts par an
Selon les derniers chiffres de l'Institut de veille sanitaire (INVS), les accidents de la vie courante représentent chaque année en France environ 18 500 morts : entre 11 500 accidents domestiques mortels (chutes, incendies, bricolage, ingestion de produits) et 7 000 morts lors d'accidents scolaires, de sports ou de loisirs.
Ces accidents représentent la troisième cause de mortalité en France derrière les cancers et les maladies cardiovasculaires. Ils font aussi 4,5 millions de blessés, dont 2,7 millions pour les seuls accidents domestiques. La dernière étude détaillée, portant sur l'année 2006, révèle qu'ils ont représenté 3,6 % de la mortalité totale de l'année. Les chutes représentaient à elles seules la moitié des tués, devant les suffocations (15 %). Les noyades et les intoxications ont chacune représenté un millier de morts, tandis qu'on recensait 496 victimes du feu.
LES CHUTES, FRÉQUENTES CHEZ LES SÉNIORS
Les deux tiers des morts avaient plus de 75 ans. 60 % de ces personnes âgées mortes accidentellement sont décédées d'une chute. Leur deuxième cause de mortalité accidentelle était la suffocation (16 % des cas). On ne comptait que 266 morts de moins de 15 ans (1,5 % du total), mais les AcVC constituent tout de même la première cause de mortalité pour ces enfants, surtout par noyade (80 cas) et suffocation (49).
Les chiffres de l'INVS montrent toutefois une baisse de 11 % de l'ensemble de ces accidents pour la période 2004-2006 par rapport à la période 2000-2002, notamment pour les moins de 15 ans, et probablement "grâce aux campagnes de prévention et à la réglementation des produits pour enfants", indique l'INVS.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Selon les derniers chiffres de l'Institut de veille sanitaire (INVS), les accidents de la vie courante représentent chaque année en France environ 18 500 morts : entre 11 500 accidents domestiques mortels (chutes, incendies, bricolage, ingestion de produits) et 7 000 morts lors d'accidents scolaires, de sports ou de loisirs.
Ces accidents représentent la troisième cause de mortalité en France derrière les cancers et les maladies cardiovasculaires. Ils font aussi 4,5 millions de blessés, dont 2,7 millions pour les seuls accidents domestiques. La dernière étude détaillée, portant sur l'année 2006, révèle qu'ils ont représenté 3,6 % de la mortalité totale de l'année. Les chutes représentaient à elles seules la moitié des tués, devant les suffocations (15 %). Les noyades et les intoxications ont chacune représenté un millier de morts, tandis qu'on recensait 496 victimes du feu.
LES CHUTES, FRÉQUENTES CHEZ LES SÉNIORS
Les deux tiers des morts avaient plus de 75 ans. 60 % de ces personnes âgées mortes accidentellement sont décédées d'une chute. Leur deuxième cause de mortalité accidentelle était la suffocation (16 % des cas). On ne comptait que 266 morts de moins de 15 ans (1,5 % du total), mais les AcVC constituent tout de même la première cause de mortalité pour ces enfants, surtout par noyade (80 cas) et suffocation (49).
Les chiffres de l'INVS montrent toutefois une baisse de 11 % de l'ensemble de ces accidents pour la période 2004-2006 par rapport à la période 2000-2002, notamment pour les moins de 15 ans, et probablement "grâce aux campagnes de prévention et à la réglementation des produits pour enfants", indique l'INVS.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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candidate à lyon rockfeller,Orléans,Montpellier,Besancon et Clermont ferrand
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Re: Actualités pour le concours 2011
Bonjour à tous! Enfait je viens écrire un petit message pour avoir un petit renseignement sur les concours qui se déroulent au mois d'octobre novembre et dont la rentrée se fait en février! J'aimerai savoir comment ca se passe si on est en retard par rapport au autres, si ducoup on travaille pendant les mois d'été?
Voila j'attend vos réponses, merci d'avance =)Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Voila j'attend vos réponses, merci d'avance =)Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Actualités pour le concours 2011
Un grand merci pour toi chocobon, de nous faire partager les bonnes actualités que tu déniches sur le web.
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ESI 2012-2015 CRF Toulouse
dernière ligne droite
dernière ligne droite

Re: Actualités pour le concours 2011
sympas ces dernières actualités
merci
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merci

IDE 2014
Re: Actualités pour le concours 2011
syl24 a écrit :Bonjour à tous! Enfait je viens écrire un petit message pour avoir un petit renseignement sur les concours qui se déroulent au mois d'octobre novembre et dont la rentrée se fait en février! J'aimerai savoir comment ca se passe si on est en retard par rapport au autres, si ducoup on travaille pendant les mois d'été?
Voila j'attend vos réponses, merci d'avance =)
coucou!!
Alors si tu rentre en février tu ne travaille pas le mois d'été , tu es en vacance comme les autres.

Par contre quand tu va terminer ta première année en février, une semaine aprés tu rentre directement en seconde année, tu n'a pas de vacance entre la fin de la premiére année et le début de seconde année!
voila

IDE 2014 ouiiiii
Re: Actualités pour le concours 2011
Prisons : l'Etat condamné pour atteinte à la dignité humaine
Le tribunal administratif de Rouen a condamné jeudi 3 mars l'Etat à verser de 500 à 4 000 euros de provision à vingt-cinq détenus pour des conditions de détention "contraires à la dignité" humaine.
Le tribunal a jugé en référé "contraires à la dignité inhérente à la personne humaine" les conditions de détention à la maison d'arrêt de la Bonne-Nouvelle, à Rouen, dont la destruction est prévue à partir de 2015. Il a notamment relevé un "manque caractérisé d'hygiène et d'intimité" dans les cellules – avec deux détenus pour 10 à 13 m², sans cloisonnement des sanitaires ni ventilation suffisante.
90 AUTRES REQUÊTES INDIVIDUELLES
Me Etienne Noël, avocat des plaignants et président de l'Observatoire international des prisons en Normandie, a précisé que "90 autres requêtes individuelles" étaient en cours. Selon lui, 550 détenus se partagent 290 cellules à la maison d'arrêt, alors qu'un minimum de 7 m2 par détenu est requis. En décembre, la cour administrative d'appel de Douai (Nord) avait confirmé une précédente décision du tribunal administratif de Rouen condamnant l'Etat pour les mauvaises conditions de détention de 38 détenus dans cette prison .Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Le tribunal administratif de Rouen a condamné jeudi 3 mars l'Etat à verser de 500 à 4 000 euros de provision à vingt-cinq détenus pour des conditions de détention "contraires à la dignité" humaine.
Le tribunal a jugé en référé "contraires à la dignité inhérente à la personne humaine" les conditions de détention à la maison d'arrêt de la Bonne-Nouvelle, à Rouen, dont la destruction est prévue à partir de 2015. Il a notamment relevé un "manque caractérisé d'hygiène et d'intimité" dans les cellules – avec deux détenus pour 10 à 13 m², sans cloisonnement des sanitaires ni ventilation suffisante.
90 AUTRES REQUÊTES INDIVIDUELLES
Me Etienne Noël, avocat des plaignants et président de l'Observatoire international des prisons en Normandie, a précisé que "90 autres requêtes individuelles" étaient en cours. Selon lui, 550 détenus se partagent 290 cellules à la maison d'arrêt, alors qu'un minimum de 7 m2 par détenu est requis. En décembre, la cour administrative d'appel de Douai (Nord) avait confirmé une précédente décision du tribunal administratif de Rouen condamnant l'Etat pour les mauvaises conditions de détention de 38 détenus dans cette prison .Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités pour le concours 2011
Burqa : les nouvelles règles en vigueur dès le 11 avril
Dissimuler son visage dans l'espace public constituera une infraction passible d'une amende pouvant aller jusqu'à 150 euros.
Qu'elles soient françaises ou touristes, Saoudiennes sur les Champs-Élysées ou immigrées: elles ne pourront plus porter le niqab dans la rue en France, à partir du 11 avril. Le compte à rebours vient d'être enclenché mercredi matin, par la publication au Journal officiel de «la circulaire d'application de la loi interdisant la dissimulation du visage dans l'espace public». Le texte se veut sobre. «Car cette loi est un symbole fort, mais elle ne concerne qu'une minorité», rappelle-t-on à Matignon. Il n'y aura donc pas de traque aux quelque 2000 femmes portant la burqa.
Si une dame refuse de se découvrir dans un service public, on lui demandera de quitter les lieux. Si elle persiste, «la loi ne confère en aucun cas à un agent le pouvoir de contraindre une personne à se découvrir ou à sortir. L'exercice d'une telle contrainte constituerait une voie de fait et exposerait son auteur à des poursuites pénales. Elle est donc absolument proscrite», met en garde la circulaire, pour éviter les dérapages. «Les agents du service public doivent faire appel aux forces de l'ordre», rappelle-t-on à Matignon.
Concrètement, les policiers devront alors procéder à un contrôle d'identité de la personne entièrement voilée pour établir le «constat d'infraction». Si elle accepte de montrer son visage, alors elle recevra une convocation pour une audience devant un juge de proximité, chargé d'évaluer l'infraction. Il pourra proposer un simple stage de citoyenneté ou opter pour une amende allant jusqu'à 150 euros au maximum. Si la femme refuse d'ôter sa burqa lors du contrôle de ses papiers, alors elle sera emmenée au poste de police.
Les policiers que l'on dit réticents, craignant d'enflammer des quartiers déjà sous tension, «donneront la priorité à leurs missions urgentes. Mais s'ils croisent une femme entièrement voilée lors d'une patrouille, ils relèveront l'infraction, avec discernement», explique-t-on au cabinet du premier ministre.
Dans les commerces, les bars, les cinémas, les restaurants, les hôtels, chacun pourra décider de placarder les grands posters mis à disposition par l'État, qui rappellent que «La République se vit à visage découvert». Près de 100.000 affiches et 400.000 dépliants ont été imprimés, tandis qu'un site Internet fournit ce matériel à tous ceux qui le désirent.
Les gérants pourront demander aux clientes de se découvrir ou de quitter les lieux et recourir aux forces de l'ordre en cas de blocage… Tout comme ils pourront fermer les yeux. «Nous ne voulons mettre personne en difficulté et ce n'est pas aux citoyens de faire cesser cette infraction», explique-t-on au cabinet de François Fillon.
Rue, transports en commun, écoles et universités, commerces, cinémas, parcs, cafés… La circulaire détaille la notion nouvelle en droit «d'espace public». Les femmes en burqa pourront en revanche circuler dans des voitures privées, comme passagères. Il ne leur est pas interdit de conduire, à condition qu'elles puissent effectuer toutes les manœuvres rapidement et sans entrave…
En attendant les premiers cas, le ministère de la Ville est chargé d'une mission d'approche plus ciblée de ces femmes. Les préfets, sous-préfets à l'égalité des chances et délégués des préfets dans les quartiers, tout comme le réseau des femmes relais et les associations seront mobilisés pour aller au-devant des familles et relayer un message d'égalité homme-femme. Discrètement. Comme s'il ne fallait pas rallumer les braises du débat.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Dissimuler son visage dans l'espace public constituera une infraction passible d'une amende pouvant aller jusqu'à 150 euros.
Qu'elles soient françaises ou touristes, Saoudiennes sur les Champs-Élysées ou immigrées: elles ne pourront plus porter le niqab dans la rue en France, à partir du 11 avril. Le compte à rebours vient d'être enclenché mercredi matin, par la publication au Journal officiel de «la circulaire d'application de la loi interdisant la dissimulation du visage dans l'espace public». Le texte se veut sobre. «Car cette loi est un symbole fort, mais elle ne concerne qu'une minorité», rappelle-t-on à Matignon. Il n'y aura donc pas de traque aux quelque 2000 femmes portant la burqa.
Si une dame refuse de se découvrir dans un service public, on lui demandera de quitter les lieux. Si elle persiste, «la loi ne confère en aucun cas à un agent le pouvoir de contraindre une personne à se découvrir ou à sortir. L'exercice d'une telle contrainte constituerait une voie de fait et exposerait son auteur à des poursuites pénales. Elle est donc absolument proscrite», met en garde la circulaire, pour éviter les dérapages. «Les agents du service public doivent faire appel aux forces de l'ordre», rappelle-t-on à Matignon.
Concrètement, les policiers devront alors procéder à un contrôle d'identité de la personne entièrement voilée pour établir le «constat d'infraction». Si elle accepte de montrer son visage, alors elle recevra une convocation pour une audience devant un juge de proximité, chargé d'évaluer l'infraction. Il pourra proposer un simple stage de citoyenneté ou opter pour une amende allant jusqu'à 150 euros au maximum. Si la femme refuse d'ôter sa burqa lors du contrôle de ses papiers, alors elle sera emmenée au poste de police.
Les policiers que l'on dit réticents, craignant d'enflammer des quartiers déjà sous tension, «donneront la priorité à leurs missions urgentes. Mais s'ils croisent une femme entièrement voilée lors d'une patrouille, ils relèveront l'infraction, avec discernement», explique-t-on au cabinet du premier ministre.
Dans les commerces, les bars, les cinémas, les restaurants, les hôtels, chacun pourra décider de placarder les grands posters mis à disposition par l'État, qui rappellent que «La République se vit à visage découvert». Près de 100.000 affiches et 400.000 dépliants ont été imprimés, tandis qu'un site Internet fournit ce matériel à tous ceux qui le désirent.
Les gérants pourront demander aux clientes de se découvrir ou de quitter les lieux et recourir aux forces de l'ordre en cas de blocage… Tout comme ils pourront fermer les yeux. «Nous ne voulons mettre personne en difficulté et ce n'est pas aux citoyens de faire cesser cette infraction», explique-t-on au cabinet de François Fillon.
Rue, transports en commun, écoles et universités, commerces, cinémas, parcs, cafés… La circulaire détaille la notion nouvelle en droit «d'espace public». Les femmes en burqa pourront en revanche circuler dans des voitures privées, comme passagères. Il ne leur est pas interdit de conduire, à condition qu'elles puissent effectuer toutes les manœuvres rapidement et sans entrave…
En attendant les premiers cas, le ministère de la Ville est chargé d'une mission d'approche plus ciblée de ces femmes. Les préfets, sous-préfets à l'égalité des chances et délégués des préfets dans les quartiers, tout comme le réseau des femmes relais et les associations seront mobilisés pour aller au-devant des familles et relayer un message d'égalité homme-femme. Discrètement. Comme s'il ne fallait pas rallumer les braises du débat.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
futur esi 2011 je l'espère vraiment
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Re: Actualités pour le concours 2011
Voici ma première actu :
Inégalités entre les sexes et VIH/sida
Bien qu'au niveau mondial il y ait à peu près autant de femmes que d'hommes qui souffrent du VIH, les chiffres globaux cachent des différences considérables quant à ce que la maladie implique pour les hommes et les femmes.
Certaines de ces différences sont dues à des particularités biologiques, mais dans la plupart des cas elles résultent de normes définies par la société.
Les femmes sont probablement plus susceptibles d'être infectées par le VIH au cours de n'importe quel genre de rapports sexuels que les hommes en raison de facteurs biologiques – les zones de muqueuses exposées durant les rapports sexuels sont plus étendues chez les femmes que chez les hommes; plus grande quantité de fluides transférés par l'homme que par la femme; plus forte teneur en virus des fluides sexuels transmis par les hommes; et des microdéchirures des tissus du vagin (ou du rectum) peuvent être causées par la pénétration sexuelle. Les jeunes femmes sont plus particulièrement susceptibles d'être infectées.
Les normes de genre peuvent aussi avoir un impact sur la transmission du VIH. Dans bien des régions, par exemple, les normes de genre permettent aux hommes d'avoir plus de partenaires sexuels que les femmes. À cause des facteurs biologiques mentionnés plus haut, cela signifie que dans bien des régions où les rapports hétérosexuels sont le principal mode de transmission du VIH, les taux d'infection sont beaucoup plus élevés parmi les jeunes femmes que parmi les jeunes hommes.
Les relations sexuelles forcées, que trop de femmes (et certains hommes) subissent à un moment ou un autre de leur vie, peuvent même accroître les risques de transmission du VIH, elles provoquent souvent des traumatismes et des déchirures de tissus.
Les femmes ne sont parfois pas bien informées du lien qui existe entre la sexualité et l'épidémie du VIH/sida parce qu'elles ne sont pas "censées" avoir une bonne connaissance de la sexualité; les hommes ne sont parfois pas bien informés non plus car ils sont "censés" tout savoir sur la sexualité.
Les femmes souhaitent souvent que leurs partenaires utilisent des préservatifs (ou ne cherchent pas à avoir de rapports sexuels) mais elles n'ont pas le pouvoir d'imposer leur point de vue.
Par crainte de violence et/ou d'abandon, les femmes (qui sont souvent plus vulnérables que les hommes pour des raisons sociales, économiques et physiques) ne souhaitent parfois pas savoir si elles sont infectées par le VIH et/ou dire à leur partenaire qu'elles sont touchées par le VIH si les résultats de test sont positifs.
Les membres du sexe féminin d'une famille se chargent déjà de la majeure partie des soins que requièrent les proches touchés par le VIH, et des personnes pour lesquelles le sida a encore d'autres conséquences négatives, tels que les orphelins. Les systèmes de soins de santé (et peut-être tout particulièrement ceux qui sont l'objet de réformes visant à réduire les coûts) peuvent accroître ce fardeau qui repose sur les femmes en comptant de plus en plus sur ce genre de soins de santé non rémunérés, en partant du principe que ce rôle incombe "naturellement" aux femmes.
Les efforts de prévention de la transmission du VIH de la mère à l'enfant ne permettront peut-être pas d'obtenir les résultats escomptés s'ils ne sont pas centrés sur les femmes et leur rôle biologique dans la transmission de la maladie. En plus de leur rôle de père, beaucoup d'hommes contrôlent les finances de la famille et l'accès des femmes aux soins de santé.
Si l'on ne parvient pas à impliquer les hommes, les femmes ne seront pas en mesure de tirer profit des programmes de prévention de la transmission du VIH de la mère à l'enfant, même si elles sont personnellement convaincues de l'utilité de tels programmes. De plus si ces programmes ne traitent les femmes qu'en tant que mères, et pas aussi en tant que personnes qui ont besoin de soins à titre individuel, ils pourraient violer les droits de l'homme et des femmes et ne pas arriver à attirer autant de participants que possible.
Pris sur : http://www.who.int/gender/hiv_aids/fr/index.html
En espérant vous apporter du savoir en plus!
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Inégalités entre les sexes et VIH/sida
Bien qu'au niveau mondial il y ait à peu près autant de femmes que d'hommes qui souffrent du VIH, les chiffres globaux cachent des différences considérables quant à ce que la maladie implique pour les hommes et les femmes.
Certaines de ces différences sont dues à des particularités biologiques, mais dans la plupart des cas elles résultent de normes définies par la société.
Les femmes sont probablement plus susceptibles d'être infectées par le VIH au cours de n'importe quel genre de rapports sexuels que les hommes en raison de facteurs biologiques – les zones de muqueuses exposées durant les rapports sexuels sont plus étendues chez les femmes que chez les hommes; plus grande quantité de fluides transférés par l'homme que par la femme; plus forte teneur en virus des fluides sexuels transmis par les hommes; et des microdéchirures des tissus du vagin (ou du rectum) peuvent être causées par la pénétration sexuelle. Les jeunes femmes sont plus particulièrement susceptibles d'être infectées.
Les normes de genre peuvent aussi avoir un impact sur la transmission du VIH. Dans bien des régions, par exemple, les normes de genre permettent aux hommes d'avoir plus de partenaires sexuels que les femmes. À cause des facteurs biologiques mentionnés plus haut, cela signifie que dans bien des régions où les rapports hétérosexuels sont le principal mode de transmission du VIH, les taux d'infection sont beaucoup plus élevés parmi les jeunes femmes que parmi les jeunes hommes.
Les relations sexuelles forcées, que trop de femmes (et certains hommes) subissent à un moment ou un autre de leur vie, peuvent même accroître les risques de transmission du VIH, elles provoquent souvent des traumatismes et des déchirures de tissus.
Les femmes ne sont parfois pas bien informées du lien qui existe entre la sexualité et l'épidémie du VIH/sida parce qu'elles ne sont pas "censées" avoir une bonne connaissance de la sexualité; les hommes ne sont parfois pas bien informés non plus car ils sont "censés" tout savoir sur la sexualité.
Les femmes souhaitent souvent que leurs partenaires utilisent des préservatifs (ou ne cherchent pas à avoir de rapports sexuels) mais elles n'ont pas le pouvoir d'imposer leur point de vue.
Par crainte de violence et/ou d'abandon, les femmes (qui sont souvent plus vulnérables que les hommes pour des raisons sociales, économiques et physiques) ne souhaitent parfois pas savoir si elles sont infectées par le VIH et/ou dire à leur partenaire qu'elles sont touchées par le VIH si les résultats de test sont positifs.
Les membres du sexe féminin d'une famille se chargent déjà de la majeure partie des soins que requièrent les proches touchés par le VIH, et des personnes pour lesquelles le sida a encore d'autres conséquences négatives, tels que les orphelins. Les systèmes de soins de santé (et peut-être tout particulièrement ceux qui sont l'objet de réformes visant à réduire les coûts) peuvent accroître ce fardeau qui repose sur les femmes en comptant de plus en plus sur ce genre de soins de santé non rémunérés, en partant du principe que ce rôle incombe "naturellement" aux femmes.
Les efforts de prévention de la transmission du VIH de la mère à l'enfant ne permettront peut-être pas d'obtenir les résultats escomptés s'ils ne sont pas centrés sur les femmes et leur rôle biologique dans la transmission de la maladie. En plus de leur rôle de père, beaucoup d'hommes contrôlent les finances de la famille et l'accès des femmes aux soins de santé.
Si l'on ne parvient pas à impliquer les hommes, les femmes ne seront pas en mesure de tirer profit des programmes de prévention de la transmission du VIH de la mère à l'enfant, même si elles sont personnellement convaincues de l'utilité de tels programmes. De plus si ces programmes ne traitent les femmes qu'en tant que mères, et pas aussi en tant que personnes qui ont besoin de soins à titre individuel, ils pourraient violer les droits de l'homme et des femmes et ne pas arriver à attirer autant de participants que possible.
Pris sur : http://www.who.int/gender/hiv_aids/fr/index.html
En espérant vous apporter du savoir en plus!

Re: Actualités pour le concours 2011
papillon54 a écrit :rosedesiles a écrit :Un conseil à tous les internautes qui se préparent au concours. Si vous cherchez des informations sur l'actualité sanitaire et sociale, inscrivez-vous sur le site santé log. Ainsi, vous aurez accès à tous les dossiers qui traitent de divers sujets. Si vous vous contentez seulement d'aller sur la page, vous n'aurez qu'une certaines quanttité d'infos à votre disposition. Mais si vous vous inscrivez, vous pourrez naviguer en toute liberté sur le site et consulter pleins de dossiers très intéréssants. Ca ne prends que quelques minutes, l'inscription est très rapide et vous ne le regretterez pas!Moi j'en suis déjà fan, j'y vais tous les jours.
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Merci beaucoup!!!!
