Actualités pour le concours 2011
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités pour le concours 2011
L'enfant, un malade pas comme les autres
il y a 3 heures 41 min
Quel plébiscite ! Plus de neuf parents sur dix ont confiance dans les conseils que le pharmacien leur donne sur les affections bénignes de l'enfance. Et ceci d'autant plus que leur enfant est jeune. C'est l'un des résultats marquants de la Grande Enquête Officinale (GEO), menée en 2008 par Le Quotidien du Pharmacien et le laboratoire de médicaments génériques Biogaran.
Quel plébiscite ! Plus de neuf parents sur dix ont confiance dans les conseils que le pharmacien leur donne sur les affections bénignes de l’enfance. Et ceci d’autant plus que leur enfant est jeune. C’est l’un des résultats marquants de la Grande Enquête Officinale (GEO), menée en 2008 par Le Quotidien du Pharmacien et le laboratoire de médicaments génériques Biogaran.
L’enfant il est vrai, est un patient particulier. Et les parents ont souvent besoin d’être rassurés par le pharmacien. Comme les conseils ne sont pas donnés directement à l’enfant mais à ses parents, il est indispensable de s’assurer qu’ils les comprennent bien et sont en mesure de les appliquer. Pas étonnant donc, que 68% des parents interrogés aient observé que leur pharmacien prenait systématiquement le temps d’expliquer les règles de bon usage.
Un coin enfant dans chaque officine ?
Les parents souhaiteraient recevoir davantage d’informations. Principaux domaines évoqués : l’équilibre alimentaire des enfants, le respect du calendrier vaccinal et l’hygiène du sommeil. Enfin, parents et pharmaciens sont favorables à la mise en place d’un « coin enfant » dans les officines. Celles-ci sont aujourd’hui de plus en plus nombreuses à proposer un espace avec des sièges et des jeux adaptés aux plus petits. Dans la mesure où il apporte une plus grande tranquillité - moins de cris et d’agitation pour les enfants, moins d’énervement pour les parents - il participe également d’une dispensation pharmaceutique plus sûre et plus efficace...
Source : Enquête GEO réalisée par BVA auprès de 2 636 pharmaciens titulaires d’une officine et de 24 000 patients, Le Quotidien du Pharmacien/Biogaran, 2008Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
il y a 3 heures 41 min
Quel plébiscite ! Plus de neuf parents sur dix ont confiance dans les conseils que le pharmacien leur donne sur les affections bénignes de l'enfance. Et ceci d'autant plus que leur enfant est jeune. C'est l'un des résultats marquants de la Grande Enquête Officinale (GEO), menée en 2008 par Le Quotidien du Pharmacien et le laboratoire de médicaments génériques Biogaran.
Quel plébiscite ! Plus de neuf parents sur dix ont confiance dans les conseils que le pharmacien leur donne sur les affections bénignes de l’enfance. Et ceci d’autant plus que leur enfant est jeune. C’est l’un des résultats marquants de la Grande Enquête Officinale (GEO), menée en 2008 par Le Quotidien du Pharmacien et le laboratoire de médicaments génériques Biogaran.
L’enfant il est vrai, est un patient particulier. Et les parents ont souvent besoin d’être rassurés par le pharmacien. Comme les conseils ne sont pas donnés directement à l’enfant mais à ses parents, il est indispensable de s’assurer qu’ils les comprennent bien et sont en mesure de les appliquer. Pas étonnant donc, que 68% des parents interrogés aient observé que leur pharmacien prenait systématiquement le temps d’expliquer les règles de bon usage.
Un coin enfant dans chaque officine ?
Les parents souhaiteraient recevoir davantage d’informations. Principaux domaines évoqués : l’équilibre alimentaire des enfants, le respect du calendrier vaccinal et l’hygiène du sommeil. Enfin, parents et pharmaciens sont favorables à la mise en place d’un « coin enfant » dans les officines. Celles-ci sont aujourd’hui de plus en plus nombreuses à proposer un espace avec des sièges et des jeux adaptés aux plus petits. Dans la mesure où il apporte une plus grande tranquillité - moins de cris et d’agitation pour les enfants, moins d’énervement pour les parents - il participe également d’une dispensation pharmaceutique plus sûre et plus efficace...
Source : Enquête GEO réalisée par BVA auprès de 2 636 pharmaciens titulaires d’une officine et de 24 000 patients, Le Quotidien du Pharmacien/Biogaran, 2008Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
- rosedesiles
- Compte supprimé ou banni
- Messages : 2417
- Inscription : 06 nov. 2009 14:51
Re: Actualités pour le concours 2011
'Tention les yeux! Violet1 se met à fond la....!
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

Bébé 1 en route en ce moment. 
Et un report de plus...

Et un report de plus...
Re: Actualités pour le concours 2011
rosedesiles a écrit :'Tention les yeux! Violet1 se met à fond la....!


Re: Actualités pour le concours 2011
Allergies alimentaires: plus fréquentes chez les asthmatiques
il y a 2 heures 20 min
L'enquête révèle également que les enfants et les hommes seraient deux fois plus touchés par les allergies alimentaires que le reste de la population.
Pour réaliser leurs travaux, les chercheurs ont analysé les données de 8.023 personnes âgées de 1 an à plus de 60 ans ayant réalisé des tests sanguins pour déceler une éventuelle allergie à l'arachide, au lait, à l'oeuf ou aux crevettes.
Résultat, les scientifiques ont découvert que les allergies alimentaires étaient deux fois plus fréquentes chez les personnes qui étaient asthmatiques. L'étude démontre également que plus l'asthme est sévère, plus les patients sont susceptibles de développer une allergie alimentaire.
Ainsi, les patients asthmatiques étaient 3,8 fois plus susceptibles de souffrir d'une allergie alimentaire et les personnes ayant fréquenté un service d'urgence en raison de lourdes crises d'asthme étaient 7 fois plus susceptibles de souffrir de telles allergies.
Les chercheurs ont également découvert que les enfants et adolescents âgés de 1 à 19 ans et les hommes avaient 2 fois plus de chance de développer une allergie alimentaire que la population générale.
Dernier constat de l'étude, les allergies alimentaires les plus fréquentes sont celles à l'arachide, notamment chez les 6-19 ans.
"Notre étude suggère que les allergies alimentaires peuvent être un facteur important, et même un déclencheur sous-estimé, pour les exacerbations de l'asthme sévère. Les personnes ayant une allergie alimentaire et de l'asthme doivent impérativement être suivies de près", expliquent les principaux auteurs de l'étude.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
il y a 2 heures 20 min
L'enquête révèle également que les enfants et les hommes seraient deux fois plus touchés par les allergies alimentaires que le reste de la population.
Pour réaliser leurs travaux, les chercheurs ont analysé les données de 8.023 personnes âgées de 1 an à plus de 60 ans ayant réalisé des tests sanguins pour déceler une éventuelle allergie à l'arachide, au lait, à l'oeuf ou aux crevettes.
Résultat, les scientifiques ont découvert que les allergies alimentaires étaient deux fois plus fréquentes chez les personnes qui étaient asthmatiques. L'étude démontre également que plus l'asthme est sévère, plus les patients sont susceptibles de développer une allergie alimentaire.
Ainsi, les patients asthmatiques étaient 3,8 fois plus susceptibles de souffrir d'une allergie alimentaire et les personnes ayant fréquenté un service d'urgence en raison de lourdes crises d'asthme étaient 7 fois plus susceptibles de souffrir de telles allergies.
Les chercheurs ont également découvert que les enfants et adolescents âgés de 1 à 19 ans et les hommes avaient 2 fois plus de chance de développer une allergie alimentaire que la population générale.
Dernier constat de l'étude, les allergies alimentaires les plus fréquentes sont celles à l'arachide, notamment chez les 6-19 ans.
"Notre étude suggère que les allergies alimentaires peuvent être un facteur important, et même un déclencheur sous-estimé, pour les exacerbations de l'asthme sévère. Les personnes ayant une allergie alimentaire et de l'asthme doivent impérativement être suivies de près", expliquent les principaux auteurs de l'étude.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Actualités pour le concours 2011
Binge drinking, de plus en plus tôt
il y a 5 heures 16 min
La rentrée universitaire n'est pas uniquement synonyme de retour aux études. Les traditionnelles journées d'intégration et les soirées étudiantes, amènent aussi leur lot d'alcoolisations parfois extrêmes.
La rentrée universitaire n’est pas uniquement synonyme de retour aux études. Les traditionnelles journées d’intégration et les soirées étudiantes, amènent aussi leur lot d’alcoolisations parfois extrêmes.
Le binge drinking ou alcoolisation massive, a toujours été pratiqué dans la population étudiante. Toutefois, un nouveau phénomène inquiète les spécialistes : les collégiens et les lycéens prennent de plus en plus tôt exemple sur leurs aînés.
S’il fait référence à une alcoolisation massive concentrée sur une courte période de temps, le concept de binge drinking n’en reste pas moins flou. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) l’a cependant défini avec davantage de précision. Elle admet aujourd’hui que ce comportement correspond à la consommation d’au moins 5 verres pour un homme, et 4 verres pour une femme, lors d’une même occasion. Autrement dit lors d’une même soirée. Or dans la pratique, les jeunes consomment souvent bien davantage…
« Les étudiants de première année quittent le milieu familial et profitent de leur liberté fraîchement acquise pour boire de l’alcool. Les ivresses régulières – soit plus de 10 dans l’année – se poursuivent en deuxième année. Elles y sont même trois fois plus nombreuses », explique le Dr Philippe Arvers, addictologue à Grenoble. Ces soirées, dont le but unique est l’alcoolisation voire le coma éthylique, ne sont pas une nouveauté. Elles sont connues de longue date, « surtout dans certaines filières comme médecine et pharmacie ». Une enquête de la Mutuelle des Etudiants (LMDE) menée auprès de 2 000 jeunes en 2008, indiquait que 6 d’entre eux sur 10 consommaient de l’alcool. Et 13% admettaient même boire des alcools forts au moins une fois par semaine.
Ivresses au collège et au lycée
Début 2007, la mutuelle étudiante SMENO a étudié les consommations d’alcool des lycéens. Constat alarmant : 16% des garçons (et 9% des filles) déclarent une ivresse par semaine. Résultat confirmé par « une hausse du nombre d’hospitalisations dues à l’alcool chez les moins de 15 ans ces 2 dernières années, d’après le bureau des addictions à la Direction générale de la Santé (DGS) », indique le Dr Arvers.
« En consommant de l’alcool en grandes quantités, ces très jeunes adolescents prennent des risques importants », explique notre spécialiste. Lésions de la substance blanche du cerveau, relations sexuelles non-protégées, accidents de la route… les risques sont graves et les séquelles cérébrales peuvent être sévères. « Ils mettent en péril toute leur vie scolaire », insiste notre addictologue, qui participe à des actions de sensibilisation auprès d’étudiants, de collégiens et de lycéens. Plaquettes d’information, courts métrages et interventions dans les établissements, « les jeunes se sentent davantage concernés lorsqu’on les fait participer à la prévention », note le Dr Arvers.
Notons que l’Institut (INPES) a lancé en 2010 un site Internet www.alcoolinfoservice.fr. D’abord destiné aux buveurs réguliers, proposera à partir du second semestre 2011 une rubrique destinée aux jeunes. Ces derniers y trouveront « des informations et des conseils spécifiques à leur mode de consommation ». Une brochure intitulée Alcool, plus d’infos pour moins d’intox est quant à elle disponible depuis 2008.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
il y a 5 heures 16 min
La rentrée universitaire n'est pas uniquement synonyme de retour aux études. Les traditionnelles journées d'intégration et les soirées étudiantes, amènent aussi leur lot d'alcoolisations parfois extrêmes.
La rentrée universitaire n’est pas uniquement synonyme de retour aux études. Les traditionnelles journées d’intégration et les soirées étudiantes, amènent aussi leur lot d’alcoolisations parfois extrêmes.
Le binge drinking ou alcoolisation massive, a toujours été pratiqué dans la population étudiante. Toutefois, un nouveau phénomène inquiète les spécialistes : les collégiens et les lycéens prennent de plus en plus tôt exemple sur leurs aînés.
S’il fait référence à une alcoolisation massive concentrée sur une courte période de temps, le concept de binge drinking n’en reste pas moins flou. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) l’a cependant défini avec davantage de précision. Elle admet aujourd’hui que ce comportement correspond à la consommation d’au moins 5 verres pour un homme, et 4 verres pour une femme, lors d’une même occasion. Autrement dit lors d’une même soirée. Or dans la pratique, les jeunes consomment souvent bien davantage…
« Les étudiants de première année quittent le milieu familial et profitent de leur liberté fraîchement acquise pour boire de l’alcool. Les ivresses régulières – soit plus de 10 dans l’année – se poursuivent en deuxième année. Elles y sont même trois fois plus nombreuses », explique le Dr Philippe Arvers, addictologue à Grenoble. Ces soirées, dont le but unique est l’alcoolisation voire le coma éthylique, ne sont pas une nouveauté. Elles sont connues de longue date, « surtout dans certaines filières comme médecine et pharmacie ». Une enquête de la Mutuelle des Etudiants (LMDE) menée auprès de 2 000 jeunes en 2008, indiquait que 6 d’entre eux sur 10 consommaient de l’alcool. Et 13% admettaient même boire des alcools forts au moins une fois par semaine.
Ivresses au collège et au lycée
Début 2007, la mutuelle étudiante SMENO a étudié les consommations d’alcool des lycéens. Constat alarmant : 16% des garçons (et 9% des filles) déclarent une ivresse par semaine. Résultat confirmé par « une hausse du nombre d’hospitalisations dues à l’alcool chez les moins de 15 ans ces 2 dernières années, d’après le bureau des addictions à la Direction générale de la Santé (DGS) », indique le Dr Arvers.
« En consommant de l’alcool en grandes quantités, ces très jeunes adolescents prennent des risques importants », explique notre spécialiste. Lésions de la substance blanche du cerveau, relations sexuelles non-protégées, accidents de la route… les risques sont graves et les séquelles cérébrales peuvent être sévères. « Ils mettent en péril toute leur vie scolaire », insiste notre addictologue, qui participe à des actions de sensibilisation auprès d’étudiants, de collégiens et de lycéens. Plaquettes d’information, courts métrages et interventions dans les établissements, « les jeunes se sentent davantage concernés lorsqu’on les fait participer à la prévention », note le Dr Arvers.
Notons que l’Institut (INPES) a lancé en 2010 un site Internet www.alcoolinfoservice.fr. D’abord destiné aux buveurs réguliers, proposera à partir du second semestre 2011 une rubrique destinée aux jeunes. Ces derniers y trouveront « des informations et des conseils spécifiques à leur mode de consommation ». Une brochure intitulée Alcool, plus d’infos pour moins d’intox est quant à elle disponible depuis 2008.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Actualités pour le concours 2011
Les rivières mondiales en état de crise
Info rédaction, publiée le 04 octobre 2010
Une étude publiée dans la revue scientifique Nature dresse un bilan alarmant de l'état des rivières du monde. Pollution, urbanisation ou surexploitation sont autant de menaces qui pèsent sur les cours d’eau de la planète.
"Les rivières mondiales sont vraiment en état de crise", alerte Peter McIntyre, professeur de zoologie à l'université du Wisconsin aux États-Unis, et auteur de cette étude à laquelle a participé un groupe international de chercheurs. Grâce à une modélisation informatique, ils ont dressé le bilan de santé des plus grandes rivières du monde, en évaluant l'accès à l'eau pour les populations humaines et l'état de l'environnement.
Vingt-trois "facteurs de stress" ont été pris en compte, tels que le niveau de pollution, la richesse de la faune et de la flore aquatique, le taux d'urbanisation, le développement agricole et industriel ou le captage d'eau. Et les conclusions sont alarmantes : près de 80% de la population mondiale vit dans des zones où les rivières sont gravement menacées. Sur les 47 rivières et fleuves les plus importants, représentant la moitié de l'eau douce du globe, 30 sont considérés comme au moins "moyennement" menacés. "Huit d’entre eux sont exposés à une menace très élevée en termes d’accès à l’eau pour la population et quatorze à une menace très élevée pour la biodiversité", soulignent les chercheurs.
Cette situation ne concerne pas seulement les pays en développement, même si les pays riches ont massivement investi dans des barrages, des réservoirs ou l'aménagement des bassins versants. Ces initiatives ont permis de diminuer de 95% les risques qui pèsent sur l'approvisionnement en eau, mais elles n'ont pas contribué à mettre un terme aux tensions sur les rivières, ayant souvent eu un impact négatif sur l'environnement aquatique. Les rivières des États-Unis et de l'Europe de l'Ouest sont ainsi très menacées malgré des années d'investissement dans des mesures de contrôle de la pollution et dans la protection de l’environnement.
Quant aux pays les plus pauvres, qui ne disposent pas des moyens suffisants pour la construction d'infrastructures, ils abritent 3,4 milliards d'habitants exposés à la menace la plus élevée. "La majeure partie de l'Afrique, de vastes zones d'Asie centrale, la Chine, l'Inde, le Pérou ou la Bolivie se débattent pour mettre en place des réseaux élémentaires d'eau potable et d'assainissement", souligne l'étude.
Ce rapport est d'autant plus inquiétant que les scientifiques n'ont pas pu intégrer à leurs recherches la pollution minière et les rejets de substances pharmaceutiques dans les rivières.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Info rédaction, publiée le 04 octobre 2010
Une étude publiée dans la revue scientifique Nature dresse un bilan alarmant de l'état des rivières du monde. Pollution, urbanisation ou surexploitation sont autant de menaces qui pèsent sur les cours d’eau de la planète.
"Les rivières mondiales sont vraiment en état de crise", alerte Peter McIntyre, professeur de zoologie à l'université du Wisconsin aux États-Unis, et auteur de cette étude à laquelle a participé un groupe international de chercheurs. Grâce à une modélisation informatique, ils ont dressé le bilan de santé des plus grandes rivières du monde, en évaluant l'accès à l'eau pour les populations humaines et l'état de l'environnement.
Vingt-trois "facteurs de stress" ont été pris en compte, tels que le niveau de pollution, la richesse de la faune et de la flore aquatique, le taux d'urbanisation, le développement agricole et industriel ou le captage d'eau. Et les conclusions sont alarmantes : près de 80% de la population mondiale vit dans des zones où les rivières sont gravement menacées. Sur les 47 rivières et fleuves les plus importants, représentant la moitié de l'eau douce du globe, 30 sont considérés comme au moins "moyennement" menacés. "Huit d’entre eux sont exposés à une menace très élevée en termes d’accès à l’eau pour la population et quatorze à une menace très élevée pour la biodiversité", soulignent les chercheurs.
Cette situation ne concerne pas seulement les pays en développement, même si les pays riches ont massivement investi dans des barrages, des réservoirs ou l'aménagement des bassins versants. Ces initiatives ont permis de diminuer de 95% les risques qui pèsent sur l'approvisionnement en eau, mais elles n'ont pas contribué à mettre un terme aux tensions sur les rivières, ayant souvent eu un impact négatif sur l'environnement aquatique. Les rivières des États-Unis et de l'Europe de l'Ouest sont ainsi très menacées malgré des années d'investissement dans des mesures de contrôle de la pollution et dans la protection de l’environnement.
Quant aux pays les plus pauvres, qui ne disposent pas des moyens suffisants pour la construction d'infrastructures, ils abritent 3,4 milliards d'habitants exposés à la menace la plus élevée. "La majeure partie de l'Afrique, de vastes zones d'Asie centrale, la Chine, l'Inde, le Pérou ou la Bolivie se débattent pour mettre en place des réseaux élémentaires d'eau potable et d'assainissement", souligne l'étude.
Ce rapport est d'autant plus inquiétant que les scientifiques n'ont pas pu intégrer à leurs recherches la pollution minière et les rejets de substances pharmaceutiques dans les rivières.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Actualités pour le concours 2011
Un peu de social...
La délinquance des filles explose
(le monde.fr / 05-10-2010)
Les filles mineures sont de plus en plus en cause pour des faits de délinquance, une hausse sensible sur cinq ans pour les violences aux personnes, selon une étude (PDF) de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) qui doit être rendue publique mardi 5 octobre.
"Nous constatons qu'il y a de moins en moins d'écart avec les garçons pour ce qui est de régler leurs comptes", relève notamment le criminologue Christophe Soullez, l'un des responsables de l'ONDRP, organisme chargé de la publication des statistiques officielles de la délinquance, et l'Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice. Cette augmentation de la délinquance des adolescentes est "particulièrement forte en région parisienne et en zone sensible, surtout pour les bandes", précise Christophe Soullez.
Entre 1996 et 2009, la hausse du nombre de mineures mises en cause a été de 6,8 % chaque année, une hausse "régulière" mais plus importante que celle des garçons. Selon une étude précédente de l'ONDRP, sur 1 174 837 mis en cause pour des crimes et délits non routiers en 2009, 18,3 % (près de 215 000 contre près de 144 000 en 1996) étaient mineurs, filles ou garçons, soit une augmentation globale annuelle légère (3,3 %).
"UN CONTENTIEUX, DES JALOUSIES, DES VENGEANCES"
Le sociologue Sebastian Roché rappelle que "le gros des violences physiques et à main armée reste le fait des garçons". De fait, seulement un mineur sur dix mis en cause dans un vol avec violence est une fille, selon l'ONDRP. Mais "il ne serait pas illogique que la délinquance des filles progresse", poursuit-il. "La frontière entre les genres est moins imperméable, l'égalisation des conditions et des styles de vie adolescents pouvant aider les filles à faire 'comme les garçons' car s'identifiant à leurs modèles de rôle", poursuit Sebastian Roché.
Selon l'ONDRP, ces chiffres sont significatifs du "rythme élevé d'augmentation" des mineures mises en cause dans la délinquance : en 2004, elles étaient mises en cause dans 4 200 atteintes aux personnes — le point noir de la délinquance en France. En 2009, le chiffre est passé à 7 500, soit une augmentation de 83,7 %. "Pour un oui pour un non, un contentieux, des jalousies, des vengeances, il y a un recours à la violence, c'est un phénomène nouveau et récent", fait-il valoir.
Selon l'ONDRP, entre 2004 et 2009, les filles "mineures sont majoritairement impliquées pour des atteintes aux biens", mais il y a une hausse de 80 % de leur nombre s'agissant des violences et menaces. Le nombre de filles mises en cause pour des violences physiques non crapuleuses, comme les coups et blessures volontaires, a doublé. "Des situations banales dégénèrent vite chez elles", relève Christophe Soullez, selon qui "ce n'est pas nécessairement un problème de bandes". En atteste la récente mise en examen à Orléans pour "complicité" d'une adolescente de 13 ans dans une affaire de violences et de séquestration d'une de ses camarades dans un foyer d'où elles s'étaient enfuies. Sebastian Roché appelle toutefois à la prudence en se demandant si la hausse s'explique par "une plus grande attention donnée par la police à une délinquance qui attire l'attention politique, à une tendance de fond, ou à une combinaison des deux".Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
La délinquance des filles explose
(le monde.fr / 05-10-2010)
Les filles mineures sont de plus en plus en cause pour des faits de délinquance, une hausse sensible sur cinq ans pour les violences aux personnes, selon une étude (PDF) de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) qui doit être rendue publique mardi 5 octobre.
"Nous constatons qu'il y a de moins en moins d'écart avec les garçons pour ce qui est de régler leurs comptes", relève notamment le criminologue Christophe Soullez, l'un des responsables de l'ONDRP, organisme chargé de la publication des statistiques officielles de la délinquance, et l'Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice. Cette augmentation de la délinquance des adolescentes est "particulièrement forte en région parisienne et en zone sensible, surtout pour les bandes", précise Christophe Soullez.
Entre 1996 et 2009, la hausse du nombre de mineures mises en cause a été de 6,8 % chaque année, une hausse "régulière" mais plus importante que celle des garçons. Selon une étude précédente de l'ONDRP, sur 1 174 837 mis en cause pour des crimes et délits non routiers en 2009, 18,3 % (près de 215 000 contre près de 144 000 en 1996) étaient mineurs, filles ou garçons, soit une augmentation globale annuelle légère (3,3 %).
"UN CONTENTIEUX, DES JALOUSIES, DES VENGEANCES"
Le sociologue Sebastian Roché rappelle que "le gros des violences physiques et à main armée reste le fait des garçons". De fait, seulement un mineur sur dix mis en cause dans un vol avec violence est une fille, selon l'ONDRP. Mais "il ne serait pas illogique que la délinquance des filles progresse", poursuit-il. "La frontière entre les genres est moins imperméable, l'égalisation des conditions et des styles de vie adolescents pouvant aider les filles à faire 'comme les garçons' car s'identifiant à leurs modèles de rôle", poursuit Sebastian Roché.
Selon l'ONDRP, ces chiffres sont significatifs du "rythme élevé d'augmentation" des mineures mises en cause dans la délinquance : en 2004, elles étaient mises en cause dans 4 200 atteintes aux personnes — le point noir de la délinquance en France. En 2009, le chiffre est passé à 7 500, soit une augmentation de 83,7 %. "Pour un oui pour un non, un contentieux, des jalousies, des vengeances, il y a un recours à la violence, c'est un phénomène nouveau et récent", fait-il valoir.
Selon l'ONDRP, entre 2004 et 2009, les filles "mineures sont majoritairement impliquées pour des atteintes aux biens", mais il y a une hausse de 80 % de leur nombre s'agissant des violences et menaces. Le nombre de filles mises en cause pour des violences physiques non crapuleuses, comme les coups et blessures volontaires, a doublé. "Des situations banales dégénèrent vite chez elles", relève Christophe Soullez, selon qui "ce n'est pas nécessairement un problème de bandes". En atteste la récente mise en examen à Orléans pour "complicité" d'une adolescente de 13 ans dans une affaire de violences et de séquestration d'une de ses camarades dans un foyer d'où elles s'étaient enfuies. Sebastian Roché appelle toutefois à la prudence en se demandant si la hausse s'explique par "une plus grande attention donnée par la police à une délinquance qui attire l'attention politique, à une tendance de fond, ou à une combinaison des deux".Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
32 ans - Candidate aux concours 2011
Maman de 2 enfants (5 et 3 ans)
Admise sur liste principale à Bordeaux Bagatelle, Bordeaux Charles Perrens, Dax et Bayonne !!!
Maman de 2 enfants (5 et 3 ans)
Admise sur liste principale à Bordeaux Bagatelle, Bordeaux Charles Perrens, Dax et Bayonne !!!
-
- Messages : 6
- Inscription : 14 sept. 2010 10:32
Re: Actualités pour le concours 2011
Les violences conjugales ont coûté la vie à 140 femmes en 2009
Alors que le gouvernement vient de renforcer l'arsenal juridique contre les violences conjugales, cent quarante femmes ont péri en 2009 sous les coups de leur conjoint, des chiffres officiels sans doute sous-estimés.
Après 156 femmes en 2008, le ministère de l'Intérieur a recensé 140 femmes ayant succombé aux violences de leur compagnon, a déclaré mercredi Nadine Morano en visitant le Centre national d'information sur les droits des femmes et des familles (CNIDFF).
En légère baisse, "ces chiffres sont un petit vent d'encouragement mais on ne peut pas encore parler de satisfaction", a commenté la secrétaire d'Etat à la Famille, précisant aussi que 25 hommes avaient perdu la vie sous les coups de leur conjointe.
Dix enfants ont aussi succombé dans ces circonstances, a-t-elle précisé.
Mais selon une étude publiée en juin par un cabinet spécialisé dans la prévention de ce type de violences, les chiffres officiels sous-estiment la réalité.
Selon ce cabinet, qui a compilé données judiciaires, policières et sanitaires, il y aurait eu par exemple de l'ordre de 460 décès liés aux violences conjugales en 2006, si l'on compte les femmes (137) et les hommes (31) tués par leur conjoint mais aussi les d'enfants (14) morts dans un contexte de violences conjugales.
Ce chiffre comprend aussi les suicides des agresseurs (46) et des victimes (232).
Même s'ils ne sont pas eux-mêmes victimes des coups, les enfants sont très fréquemment des "victimes collatérales", a souligné Mme Morano, reprenant un constat des associations et des psychiatres.
60% des enfants témoins de violences conjugales souffrent de stress post-traumatiques et certains d'entre eux risquent ensuite de reproduire les violences dans leur couple, a encore exposé la secrétaire d'Etat.
La dernière campagne officielle de prévention cible d'ailleurs l'impact sur les petits.
Après un clip télé diffusé en septembre, mettant en scène un petit garçon et une petite fille qui jouent à la dînette et se mettent à reproduire une violente dispute parentale, une affiche va être diffusée sur internet et placardée dans les centres d'information.
On y voit, en noir et blanc, une petite fille s'apprêtant à planter une fourchette dans un ours en peluche qu'elle tient fermement contre une porte.
"Les enfants apprennent beaucoup de leurs parents, y compris les violences conjugales", peut-on lire, avec un appel à contacter le numéro d'urgence 3919.
Nadine Morano a aussi discuté avec des juristes des Centres d'information sur le droit des femmes à propos de la loi votée cet été qui créé le délit de violences psychologiques et permet au juge aux affaires familiales de rendre une ordonnance de protection avant même que la victime porte plainte.
Dans ses démarches, la victime peut être aidée d'une association, qui doit être "qualifiée", selon la loi.
Mais plusieurs juristes s'inquiètent de savoir qui va désigner ces associations.
"Nous n'avons pas eu de réponse" de Nadine Morano sur ce point, a estimé, déçue, Marie Petot, directrice du CIDFF de Nanterre, qui aurait aimé en savoir plus sur les "relations entre associations et justice" avec la nouvelle loi.
La directrice générale du CNIDFF Annie Guilberteau a aussi fait part de ses "réserves" sur le délit de violence psychologique, craignant que les conjoints violents ne tentent de l'utiliser contre leurs conjointes.
Il existe 114 CIDFF, en partie financés par l'Etat. Leur principe date de 1972.
Les violences faites aux femmes sont la grande cause nationale 2010.
Le site pour la lutte contre les violences faites aux femmesÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Alors que le gouvernement vient de renforcer l'arsenal juridique contre les violences conjugales, cent quarante femmes ont péri en 2009 sous les coups de leur conjoint, des chiffres officiels sans doute sous-estimés.
Après 156 femmes en 2008, le ministère de l'Intérieur a recensé 140 femmes ayant succombé aux violences de leur compagnon, a déclaré mercredi Nadine Morano en visitant le Centre national d'information sur les droits des femmes et des familles (CNIDFF).
En légère baisse, "ces chiffres sont un petit vent d'encouragement mais on ne peut pas encore parler de satisfaction", a commenté la secrétaire d'Etat à la Famille, précisant aussi que 25 hommes avaient perdu la vie sous les coups de leur conjointe.
Dix enfants ont aussi succombé dans ces circonstances, a-t-elle précisé.
Mais selon une étude publiée en juin par un cabinet spécialisé dans la prévention de ce type de violences, les chiffres officiels sous-estiment la réalité.
Selon ce cabinet, qui a compilé données judiciaires, policières et sanitaires, il y aurait eu par exemple de l'ordre de 460 décès liés aux violences conjugales en 2006, si l'on compte les femmes (137) et les hommes (31) tués par leur conjoint mais aussi les d'enfants (14) morts dans un contexte de violences conjugales.
Ce chiffre comprend aussi les suicides des agresseurs (46) et des victimes (232).
Même s'ils ne sont pas eux-mêmes victimes des coups, les enfants sont très fréquemment des "victimes collatérales", a souligné Mme Morano, reprenant un constat des associations et des psychiatres.
60% des enfants témoins de violences conjugales souffrent de stress post-traumatiques et certains d'entre eux risquent ensuite de reproduire les violences dans leur couple, a encore exposé la secrétaire d'Etat.
La dernière campagne officielle de prévention cible d'ailleurs l'impact sur les petits.
Après un clip télé diffusé en septembre, mettant en scène un petit garçon et une petite fille qui jouent à la dînette et se mettent à reproduire une violente dispute parentale, une affiche va être diffusée sur internet et placardée dans les centres d'information.
On y voit, en noir et blanc, une petite fille s'apprêtant à planter une fourchette dans un ours en peluche qu'elle tient fermement contre une porte.
"Les enfants apprennent beaucoup de leurs parents, y compris les violences conjugales", peut-on lire, avec un appel à contacter le numéro d'urgence 3919.
Nadine Morano a aussi discuté avec des juristes des Centres d'information sur le droit des femmes à propos de la loi votée cet été qui créé le délit de violences psychologiques et permet au juge aux affaires familiales de rendre une ordonnance de protection avant même que la victime porte plainte.
Dans ses démarches, la victime peut être aidée d'une association, qui doit être "qualifiée", selon la loi.
Mais plusieurs juristes s'inquiètent de savoir qui va désigner ces associations.
"Nous n'avons pas eu de réponse" de Nadine Morano sur ce point, a estimé, déçue, Marie Petot, directrice du CIDFF de Nanterre, qui aurait aimé en savoir plus sur les "relations entre associations et justice" avec la nouvelle loi.
La directrice générale du CNIDFF Annie Guilberteau a aussi fait part de ses "réserves" sur le délit de violence psychologique, craignant que les conjoints violents ne tentent de l'utiliser contre leurs conjointes.
Il existe 114 CIDFF, en partie financés par l'Etat. Leur principe date de 1972.
Les violences faites aux femmes sont la grande cause nationale 2010.
Le site pour la lutte contre les violences faites aux femmesÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
- rosedesiles
- Compte supprimé ou banni
- Messages : 2417
- Inscription : 06 nov. 2009 14:51
Re: Actualités pour le concours 2011
2011, ANNEE DES PATIENTS ET DE LEURS DROITS
Car 70% des patients ne connaissent pas leurs droits, selon le sondage BVA réalisé en septembre, pour le Ministère de la Santé. Quelles sont les modalités d’accès au dossier médical, qui est la personne de confiance, qu’est ce qu’un consentement éclairé, c’est avant tout pour des droits plus lisibles, que le ministère lance « 2011, l’Année des patients et de leurs droits ».
Les patients sont directement concernés mais le sont également pour leurs proches malades ou hospitalisés et d’autant que chaque citoyen est aujourd’hui plus impliqué dans la gestion de sa propre santé. Les professionnels de santé également, en particulier sur les 2 premiers axes de réflexion :
3 axes de travail préparatoire ont ainsi été retenus :
Faire vivre les droits des patients : ou comment faire en sorte que les droits en matière de santé soient plus visibles pour les citoyens et comment mieux les appliquer ? Comment renforcer la place des usagers et de leurs représentants, et mieux les associer à la décision de santé publique ? La question de l’information du patient, l’accès à la connaissance des droits pour les personnes les plus vulnérables et les moyens concrets d’information mis à disposition des usagers et de leurs représentants seront au centre des travaux et feront l’objet de recommandations.
La bientraitance à l’hôpital : la Haute Autorité de Santé avait dénoncé la « maltraitance ordinaire » que peuvent subir malades, proches et professionnels en milieu hospitalier en début d’année. La qualité des soins, l’humanité, le respect de la personne et la prise en compte de son point de vue devraient être respectés à tous les niveaux de l’institution. Sur ce sujet, la mission devra identifier les moments clés, quotidiens, au cours desquels se noue une relation bientraitante : l’accueil et l’accompagnement des patients et de leurs proches oi l’assistance dans les besoins fondamentaux (toilette, soins d'hygiène, repas, aide à la mobilité…)…et établir des propositions qui seront soumises à discussion lors de six débats en région, au premier semestre 2011.
Le citoyen, acteur de sa santé : 55% des Français se « visualisent » ainsi et demandent à être mieux informés et à pouvoir participer davantage à leur prise en charge et aux décisions qui les concernent. Sur cet axe, la mission devra analyser ces bouleversements qui modifient la relation soignant-soigné.
Sur ces 3 axes, une attention particulière sera accordée à la question des inégalités, précise le Ministère, car tous les citoyens ne sont pas égaux devant la capacité de s’informer et d’agir vis-à-vis de leur santé.
Source : Ministère de la santé, HAS « La maltraitance ordinaire dans les établissements de santé »Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Car 70% des patients ne connaissent pas leurs droits, selon le sondage BVA réalisé en septembre, pour le Ministère de la Santé. Quelles sont les modalités d’accès au dossier médical, qui est la personne de confiance, qu’est ce qu’un consentement éclairé, c’est avant tout pour des droits plus lisibles, que le ministère lance « 2011, l’Année des patients et de leurs droits ».
Les patients sont directement concernés mais le sont également pour leurs proches malades ou hospitalisés et d’autant que chaque citoyen est aujourd’hui plus impliqué dans la gestion de sa propre santé. Les professionnels de santé également, en particulier sur les 2 premiers axes de réflexion :
3 axes de travail préparatoire ont ainsi été retenus :



Sur ces 3 axes, une attention particulière sera accordée à la question des inégalités, précise le Ministère, car tous les citoyens ne sont pas égaux devant la capacité de s’informer et d’agir vis-à-vis de leur santé.
Source : Ministère de la santé, HAS « La maltraitance ordinaire dans les établissements de santé »Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Bébé 1 en route en ce moment. 
Et un report de plus...

Et un report de plus...
Re: Actualités pour le concours 2011
Solution minérale miracle : attention danger
Info rédaction, publiée le 08 octobre 2010
Vendu sur internet, le produit "Solution minérale miracle" propose aux individus du monde entier de lutter contre le sida et autres maladies mortelles à l'aide de ce seul produit. Aujourd'hui, sa dangerosité est pointée du doigt.
Plus qu'un placebo ayant pour but de redonner espoir aux personnes atteintes d'un cancer, d'une hépatite ou du VIH, la "Solution minérale miracle" est surtout dangereuse de par sa composition. Ainsi, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) et la Direction générale de la santé s'associent pour alerter les consommateurs sur les risques liés à la consommation du produit. L'alerte a été lancée après que plusieurs centres antipoison ont observé des intoxications à la suite de l'absorption de ce produit explique Relaxnews.
Vendu sur internet, le produit "Solution minérale miracle" est composé de chlorite de sodium, de dioxyde de chlore ainsi que d'acide citrique. Au contact de la peau ou des muqueuses, il provoque irritations, douleurs, fièvre ou encore vomissements. Toute personne ayant utilisé ce produit est invitée à consulter un médecin.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Info rédaction, publiée le 08 octobre 2010
Vendu sur internet, le produit "Solution minérale miracle" propose aux individus du monde entier de lutter contre le sida et autres maladies mortelles à l'aide de ce seul produit. Aujourd'hui, sa dangerosité est pointée du doigt.
Plus qu'un placebo ayant pour but de redonner espoir aux personnes atteintes d'un cancer, d'une hépatite ou du VIH, la "Solution minérale miracle" est surtout dangereuse de par sa composition. Ainsi, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) et la Direction générale de la santé s'associent pour alerter les consommateurs sur les risques liés à la consommation du produit. L'alerte a été lancée après que plusieurs centres antipoison ont observé des intoxications à la suite de l'absorption de ce produit explique Relaxnews.
Vendu sur internet, le produit "Solution minérale miracle" est composé de chlorite de sodium, de dioxyde de chlore ainsi que d'acide citrique. Au contact de la peau ou des muqueuses, il provoque irritations, douleurs, fièvre ou encore vomissements. Toute personne ayant utilisé ce produit est invitée à consulter un médecin.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Actualités pour le concours 2011
Chambre d'hôpital payante : des médecins dénoncent cette nouvelle mesure
Info rédaction, publiée le 08 octobre 2010
Paris, France - Afin d'observer un retour à l'équilibre financier ces prochaines années, l'Assistance publique des hôpitaux de Paris (APHP) a annoncé la prochaine mise en place d'un supplément à payer pour les patients souhaitant une chambre individuelle. Cette nouvelle mesure est vivement critiquée par certains médecins.
Avec 90 millions d'euros de déficit estimé en 2010, l'Assistance publique des hôpitaux de Paris a besoin de renflouer ses caisses. Pour ce faire, elle a choisi de mettre en place une nouvelle mesure tarifaire, consistant à faire payer les patients émettant le souhait d'occuper une chambre individuelle lors de leur hospitalisation. Une mesure que certains médecins sont loin d'approuver.
Ainsi, le professeur André Grimaldi explique sur France Culture : "J'ai appris hier que désormais, quand vous voudrez une chambre seul à la Pitié-Salpêtrière, il vous en coûtera 40 euros la nuit. On était l'hôpital-entreprise, maintenant on est l'hôpital-hôtel !". D'autres médecins reprochent à cette mesure d'être en totale contradiction avec un accès aux hôpitaux égal pour tous. Il n'empêche que l'APHP est bien décidée à l'appliquer, et la facturation des chambres individuelles pourrait bien être appliquée dès cet hiver.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Info rédaction, publiée le 08 octobre 2010
Paris, France - Afin d'observer un retour à l'équilibre financier ces prochaines années, l'Assistance publique des hôpitaux de Paris (APHP) a annoncé la prochaine mise en place d'un supplément à payer pour les patients souhaitant une chambre individuelle. Cette nouvelle mesure est vivement critiquée par certains médecins.
Avec 90 millions d'euros de déficit estimé en 2010, l'Assistance publique des hôpitaux de Paris a besoin de renflouer ses caisses. Pour ce faire, elle a choisi de mettre en place une nouvelle mesure tarifaire, consistant à faire payer les patients émettant le souhait d'occuper une chambre individuelle lors de leur hospitalisation. Une mesure que certains médecins sont loin d'approuver.
Ainsi, le professeur André Grimaldi explique sur France Culture : "J'ai appris hier que désormais, quand vous voudrez une chambre seul à la Pitié-Salpêtrière, il vous en coûtera 40 euros la nuit. On était l'hôpital-entreprise, maintenant on est l'hôpital-hôtel !". D'autres médecins reprochent à cette mesure d'être en totale contradiction avec un accès aux hôpitaux égal pour tous. Il n'empêche que l'APHP est bien décidée à l'appliquer, et la facturation des chambres individuelles pourrait bien être appliquée dès cet hiver.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Actualités pour le concours 2011
Grossesse : les professionnels de santé invités à mieux aider les parents
Info rédaction, publiée le 08 octobre 2010
France – L’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) vient de publier une brochure pour promouvoir un meilleur accompagnement des futurs parents de la part des professionnels de santé.
Conscient du peu d’information délivré aux familles durant la grossesse, l’Inpes édite un guide à destination des médecins, des gynécologues, des sages-femmes et de tous les soignants en contact avec les futurs parents. Le fascicule a pour objectif de pousser ces professionnels à aider la future famille à construire ses choix concernant l’arrivée de l’enfant, en abordant six axes de travail importants :
- Favoriser l'expression et proposer une écoute,
- Aborder et évaluer une situation,
- Informer et expliquer,
- Accompagner la réflexion du couple,
- S'engager auprès de la parturiente,
- Faire le lien avec les autres intervenants.
Lorsque l’on connaît le manque de temps déjà crucial pour les soins, on s’interroge quant à la concrétisation des objectifs de ce guide, qui implique un réel soutien psychologique et une approche personnalisée pour chaque couple.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Info rédaction, publiée le 08 octobre 2010
France – L’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) vient de publier une brochure pour promouvoir un meilleur accompagnement des futurs parents de la part des professionnels de santé.
Conscient du peu d’information délivré aux familles durant la grossesse, l’Inpes édite un guide à destination des médecins, des gynécologues, des sages-femmes et de tous les soignants en contact avec les futurs parents. Le fascicule a pour objectif de pousser ces professionnels à aider la future famille à construire ses choix concernant l’arrivée de l’enfant, en abordant six axes de travail importants :
- Favoriser l'expression et proposer une écoute,
- Aborder et évaluer une situation,
- Informer et expliquer,
- Accompagner la réflexion du couple,
- S'engager auprès de la parturiente,
- Faire le lien avec les autres intervenants.
Lorsque l’on connaît le manque de temps déjà crucial pour les soins, on s’interroge quant à la concrétisation des objectifs de ce guide, qui implique un réel soutien psychologique et une approche personnalisée pour chaque couple.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Actualités pour le concours 2011
Sida : le test de dépistage remboursé à 100%
il y a 2 heures 30 min
Le but : faire baisser "le nombre de séropositifs qui s'ignorent".
En décembre , les généralistes pourront proposer un test de dépistage du sida à tous leurs patients âgés de 15 à 70 ans. Cette opération sera accompagnée d'une campagne de communication d'envergure, a révélé la ministre au quotidien.
Le test ne sera néanmoins pas obligatoire. "Il ne s'agit pas d'obliger qui que ce soit, ce serait éthiquement insoutenable, mais d'étendre ce dépistage au-delà des moments stratégiques de la vie comme la grossesse".
Roselyne Bachelot a également annoncé la mise en place "d'au moins" dix centres de dépistage communautaires dès l'an prochain pour inciter les populations à risque, notamment les homosexuels masculins, à se faire dépister. Des "centres de santé sexuelle" verront aussi le jour en France pour permettre aux usagers "de se faire dépister pour le sida et de se renseigner sur la contraception ou l'IVG", a déclaré la ministre au Parisien.
Retrouvez cet article sur TopSante.comÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
il y a 2 heures 30 min
Le but : faire baisser "le nombre de séropositifs qui s'ignorent".
En décembre , les généralistes pourront proposer un test de dépistage du sida à tous leurs patients âgés de 15 à 70 ans. Cette opération sera accompagnée d'une campagne de communication d'envergure, a révélé la ministre au quotidien.
Le test ne sera néanmoins pas obligatoire. "Il ne s'agit pas d'obliger qui que ce soit, ce serait éthiquement insoutenable, mais d'étendre ce dépistage au-delà des moments stratégiques de la vie comme la grossesse".
Roselyne Bachelot a également annoncé la mise en place "d'au moins" dix centres de dépistage communautaires dès l'an prochain pour inciter les populations à risque, notamment les homosexuels masculins, à se faire dépister. Des "centres de santé sexuelle" verront aussi le jour en France pour permettre aux usagers "de se faire dépister pour le sida et de se renseigner sur la contraception ou l'IVG", a déclaré la ministre au Parisien.
Retrouvez cet article sur TopSante.comÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Actualités pour le concours 2011
L'automédication gagne du terrain
il y a 4 heures 35 min
Substituts nicotiniques pour arrêter de fumer, antihistaminiques contre les allergies De plus en plus de médicaments, auparavant vendus uniquement sur ordonnance, peuvent maintenant être achetés en pharmacie sans prescription médicale .
Antihistaminiques, antiacides… Comment utiliser sans risque ces produits.
Substituts nicotiniques pour arrêter de fumer, antihistaminiques contre les allergies… De plus en plus de médicaments, auparavant vendus uniquement sur ordonnance, peuvent maintenant être achetés en pharmacie sans prescription médicale.
Derniers en date, des cousins et petits frères du célèbre Mopral (oméprazole) sont depuis quelques mois en automédication* pour soulager les brûlures d'estomac et autres régurgitations acides. Ces symptômes, qui traduisent un reflux gastro-œsophagien (RGO), toucheraient jusqu'à 40% de la population. D'autres molécules actives sur ces troubles digestifs, comme les antiacides, étaient déjà en vente libre. Mais qu'ils soient rejoints par des molécules de la famille des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) est très symbolique. Leur chef de file, le Mopral, lancé en 1989 pour traiter les ulcères digestifs et les RGO, a caracolé en tête des médicaments les plus prescrits. Et la classe des IPP est parmi les plus coûteuses pour l'Assurance-maladie, avec un remboursement annuel de l'ordre de 1 milliard d'euros. Dans les mois à venir, d'autres médicaments puissants (les triptans, des antimigraineux) devraient devenir accessibles sans prescription.
Ventes saisonnières
Longtemps, dans l'esprit du public, automédication a rimé un peu avec bobologie et poudre de perlimpinpin, beaucoup avec réutilisation des pilules de son armoire à pharmacie au risque de consommation à mauvais escient et d'effets secondaires graves. Aujourd'hui, l'objectif est de permettre une prise en charge autonome des pathologies bénignes, avec des médicaments bien tolérés et au conditionnement adapté (dosage et nombre de comprimés limités, notices plus lisibles…). Des crises d'hémorroïdes à la toux, en passant par les acnés mineures, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a défini des dizaines de situations cliniques pouvant rentrer dans ce cadre. «Actuellement, les trois grands domaines sont les pathologies respiratoires, digestives et les douleurs, précise Daphné Lecomte-Somaggio, déléguée générale de l'Association française de l'industrie pharmaceutique pour une automédication responsable (Afipa). Il s'agit assez souvent d'infections, d'où le caractère saisonnier des ventes.»
En pratique, pour «s'automédiquer» sans danger, le premier réflexe est de s'informer. L'Afssaps a édité une série de fiches thématiques, disponibles en pharmacie ou (en cherchant bien) sur son site Internet. Lancé il y a un an et demi par l'éditeur des guides médicaux Vidal, le site EurekaSanté est souvent cité comme référence. Pour chaque symptôme sont précisées les circonstances où l'on peut se soigner seul, celles où il faut consulter un médecin «dans les jours qui viennent» ou «dans la journée». EurekaSanté attire 700.000 à 800.000 visiteurs par mois, selon Stéphane Korsia-Meffre, directeur du pôle grand public Vidal (qui édite aussi Le Guide de l'automédication Vidal, vendu à 50.000 exemplaires depuis 2004).
Mais dans la majorité des cas, c'est le pharmacien qui joue un rôle central de conseil. «L'automédication n'a de sens que si les gens sont bien informés. Ils doivent savoir le nom du principe actif qu'ils prennent et en avertir leur médecin», insiste le Pr Alain Baumelou, qui œuvre depuis des années pour le développement de ce secteur. À défaut, selon lui, les deux principaux risques de l'automédication sont le cumul de deux molécules de la même famille (l'une prise en automédication, l'autre prescrite) et les interactions entre médicaments. Malgré les progrès, le consommateur a de quoi se perdre: entre les produits devant ou derrière le comptoir, ceux uniquement destinés à l'automédication et qui ne sont jamais remboursés et ceux (tel le Doliprane) qui restent remboursables s'ils sont prescrits par un médecin… Depuis un décret de 2008 autorisant la mise en place de certains médicaments en libre accès (plus de 300), environ la moitié des officines ont développé ces espaces.
Prix libres
La mesure n'a pas encore fait décoller le marché. En 2009, les produits non prescrits ont représenté un chiffre d'affaires de 1,9 milliard d'euros, bien loin des 24,5 milliards d'euros des médicaments sur ordonnance. Mais les comportements des consommateurs commencent à évoluer, selon Déborah Wallet-Wodka, maître de conférence (université Pierre-et-Marie-Curie) et enseignante dans un master de marketing de la santé : «Nos enquêtes montrent que les patients deviennent plus experts de leur santé. Les prix sont un critère déterminant pour la moitié d'entre eux, et ils les comparent.» Ils ont bien raison. Les prix des médicaments en automédication, qui sont libres, peuvent aller du simple au triple d'une pharmacie à l'autre, selon une enquête menée par Celtipharm.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
il y a 4 heures 35 min
Substituts nicotiniques pour arrêter de fumer, antihistaminiques contre les allergies De plus en plus de médicaments, auparavant vendus uniquement sur ordonnance, peuvent maintenant être achetés en pharmacie sans prescription médicale .
Antihistaminiques, antiacides… Comment utiliser sans risque ces produits.
Substituts nicotiniques pour arrêter de fumer, antihistaminiques contre les allergies… De plus en plus de médicaments, auparavant vendus uniquement sur ordonnance, peuvent maintenant être achetés en pharmacie sans prescription médicale.
Derniers en date, des cousins et petits frères du célèbre Mopral (oméprazole) sont depuis quelques mois en automédication* pour soulager les brûlures d'estomac et autres régurgitations acides. Ces symptômes, qui traduisent un reflux gastro-œsophagien (RGO), toucheraient jusqu'à 40% de la population. D'autres molécules actives sur ces troubles digestifs, comme les antiacides, étaient déjà en vente libre. Mais qu'ils soient rejoints par des molécules de la famille des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) est très symbolique. Leur chef de file, le Mopral, lancé en 1989 pour traiter les ulcères digestifs et les RGO, a caracolé en tête des médicaments les plus prescrits. Et la classe des IPP est parmi les plus coûteuses pour l'Assurance-maladie, avec un remboursement annuel de l'ordre de 1 milliard d'euros. Dans les mois à venir, d'autres médicaments puissants (les triptans, des antimigraineux) devraient devenir accessibles sans prescription.
Ventes saisonnières
Longtemps, dans l'esprit du public, automédication a rimé un peu avec bobologie et poudre de perlimpinpin, beaucoup avec réutilisation des pilules de son armoire à pharmacie au risque de consommation à mauvais escient et d'effets secondaires graves. Aujourd'hui, l'objectif est de permettre une prise en charge autonome des pathologies bénignes, avec des médicaments bien tolérés et au conditionnement adapté (dosage et nombre de comprimés limités, notices plus lisibles…). Des crises d'hémorroïdes à la toux, en passant par les acnés mineures, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a défini des dizaines de situations cliniques pouvant rentrer dans ce cadre. «Actuellement, les trois grands domaines sont les pathologies respiratoires, digestives et les douleurs, précise Daphné Lecomte-Somaggio, déléguée générale de l'Association française de l'industrie pharmaceutique pour une automédication responsable (Afipa). Il s'agit assez souvent d'infections, d'où le caractère saisonnier des ventes.»
En pratique, pour «s'automédiquer» sans danger, le premier réflexe est de s'informer. L'Afssaps a édité une série de fiches thématiques, disponibles en pharmacie ou (en cherchant bien) sur son site Internet. Lancé il y a un an et demi par l'éditeur des guides médicaux Vidal, le site EurekaSanté est souvent cité comme référence. Pour chaque symptôme sont précisées les circonstances où l'on peut se soigner seul, celles où il faut consulter un médecin «dans les jours qui viennent» ou «dans la journée». EurekaSanté attire 700.000 à 800.000 visiteurs par mois, selon Stéphane Korsia-Meffre, directeur du pôle grand public Vidal (qui édite aussi Le Guide de l'automédication Vidal, vendu à 50.000 exemplaires depuis 2004).
Mais dans la majorité des cas, c'est le pharmacien qui joue un rôle central de conseil. «L'automédication n'a de sens que si les gens sont bien informés. Ils doivent savoir le nom du principe actif qu'ils prennent et en avertir leur médecin», insiste le Pr Alain Baumelou, qui œuvre depuis des années pour le développement de ce secteur. À défaut, selon lui, les deux principaux risques de l'automédication sont le cumul de deux molécules de la même famille (l'une prise en automédication, l'autre prescrite) et les interactions entre médicaments. Malgré les progrès, le consommateur a de quoi se perdre: entre les produits devant ou derrière le comptoir, ceux uniquement destinés à l'automédication et qui ne sont jamais remboursés et ceux (tel le Doliprane) qui restent remboursables s'ils sont prescrits par un médecin… Depuis un décret de 2008 autorisant la mise en place de certains médicaments en libre accès (plus de 300), environ la moitié des officines ont développé ces espaces.
Prix libres
La mesure n'a pas encore fait décoller le marché. En 2009, les produits non prescrits ont représenté un chiffre d'affaires de 1,9 milliard d'euros, bien loin des 24,5 milliards d'euros des médicaments sur ordonnance. Mais les comportements des consommateurs commencent à évoluer, selon Déborah Wallet-Wodka, maître de conférence (université Pierre-et-Marie-Curie) et enseignante dans un master de marketing de la santé : «Nos enquêtes montrent que les patients deviennent plus experts de leur santé. Les prix sont un critère déterminant pour la moitié d'entre eux, et ils les comparent.» Ils ont bien raison. Les prix des médicaments en automédication, qui sont libres, peuvent aller du simple au triple d'une pharmacie à l'autre, selon une enquête menée par Celtipharm.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
- rosedesiles
- Compte supprimé ou banni
- Messages : 2417
- Inscription : 06 nov. 2009 14:51
Re: Actualités pour le concours 2011
violet1 a écrit :rosedesiles a écrit :'Tention les yeux! Violet1 se met à fond la....!![]()
moque toi rosesdesiles, motivé motivé on l'est !!!


Bébé 1 en route en ce moment. 
Et un report de plus...

Et un report de plus...