Actualités 2012
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités concours 2012
A quelle heure Memo, l’émission sur la PMA ?
MErci
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MErci

INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Apparement c'est déjà passé
C'était sur France 2 "C'est toute une histoire... Ils sont pret à tout pour avoir des enfants."
Au bout de 10 minutes ils expliqueraient rapidement les techniques de PMA. C'est tout ce que mon amie à vu...
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C'était sur France 2 "C'est toute une histoire... Ils sont pret à tout pour avoir des enfants."
Au bout de 10 minutes ils expliqueraient rapidement les techniques de PMA. C'est tout ce que mon amie à vu...

Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités concours 2012
J'avais déjà mis un article dessus je crois mais ils en parlaient de manière négative, des dérives possible en rapport avec L'IVG...
Un test fiable pour connaître le sexe du bébé à seulement 7 semaines de grossesse
Plus besoin d'attendre la deuxième échographie pour connaître le sexe de votre enfant ! Des chercheurs américains ont avéré l'efficacité de tests analysant le sang maternel dans la détermination du sexe du fœtus, et ce dès la septième semaine de grossesse. Ce test serait également une bonne alternative à l'amniocentèse dans le diagnostic d'anomalies génétiques. Explications.
Des tests utilisant des cellules fœtales prélevées dans le sang maternel après sept semaines de grossesse sont efficaces et sans risque pour déterminer le sexe du fœtus et certains risques d'anomalies génétiques, selon une analyse de plusieurs études publiée mardi.
En revanche des tests effectués sur l'urine de la mère ne paraissent pas fiables pour établir le sexe de l'enfant, concluent également les auteurs de ces travaux parus aux États-Unis, dans le Journal of the American Medical Association (Jama) daté du 10 août.
Une alternative à l'amniocentèse ?
L'analyse des cellules fœtales dans le sang de femmes enceintes peut offrir une bonne alternative à l'amniocentèse qui permet d'effectuer une analyse cytogénétique ou du chromosome du fœtus, mais qui est plus risquée.
L'amniocentèse est actuellement la procédure médicale de choix pour déterminer des anomalies génétiques et le sexe du fœtus mais présente en effet un faible risque de provoquer une fausse-couche.
Quant à l'échographie, elle peut également déterminer le sexe de l'enfant dès les onze semaines de grossesse mais cette méthode n'est pas jugée fiable.
« Le recours à l'analyse du sang maternel pour déterminer sans danger et avec une très grande fiabilité le sexe du fœtus, réduirait le nombre des pertes du fœtus résultant de l'amniocentèse et devrait être bien accueilli par les femmes enceintes portant des foetus présentant un risque d'anomalies génétiques liées au sexe », écrivent les chercheurs, dont Stephanie Devaney, des Instituts nationaux américains de la santé (NIH), principale auteur de cette communication.
Une fiabilité entre 95 et 99 %
Dans certains pays comme l'Espagne, la France, la Grande-Bretagne et les Pays-Bas, ce test est déjà utilisé cliniquement de manière routinière malgré l'absence d'une évaluation officielle de ses performances. Récemment, des sociétés ont commencé à proposer ce test à la vente directement aux consommateurs via Internet, indiquent les auteurs de la recherche.
Ce test est présenté comme non médical et destiné à être utilisé par de futurs parents curieux de connaître le sexe de leur enfant, expliquent-ils. Ces chercheurs précisent que dans certains cas, le test a établi le sexe du fœtus avec un taux d'exactitude allant de 95 à 99 % dès les cinq à sept premières semaines de grossesse. Pour parvenir à cette estimation, ils ont analysé 57 études recensant 3.524 grossesses pour lesquelles le fœtus était mâle et 3.017 grossesses avec un fœtus femelle.
Futura scienceÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Un test fiable pour connaître le sexe du bébé à seulement 7 semaines de grossesse
Plus besoin d'attendre la deuxième échographie pour connaître le sexe de votre enfant ! Des chercheurs américains ont avéré l'efficacité de tests analysant le sang maternel dans la détermination du sexe du fœtus, et ce dès la septième semaine de grossesse. Ce test serait également une bonne alternative à l'amniocentèse dans le diagnostic d'anomalies génétiques. Explications.
Des tests utilisant des cellules fœtales prélevées dans le sang maternel après sept semaines de grossesse sont efficaces et sans risque pour déterminer le sexe du fœtus et certains risques d'anomalies génétiques, selon une analyse de plusieurs études publiée mardi.
En revanche des tests effectués sur l'urine de la mère ne paraissent pas fiables pour établir le sexe de l'enfant, concluent également les auteurs de ces travaux parus aux États-Unis, dans le Journal of the American Medical Association (Jama) daté du 10 août.
Une alternative à l'amniocentèse ?
L'analyse des cellules fœtales dans le sang de femmes enceintes peut offrir une bonne alternative à l'amniocentèse qui permet d'effectuer une analyse cytogénétique ou du chromosome du fœtus, mais qui est plus risquée.
L'amniocentèse est actuellement la procédure médicale de choix pour déterminer des anomalies génétiques et le sexe du fœtus mais présente en effet un faible risque de provoquer une fausse-couche.
Quant à l'échographie, elle peut également déterminer le sexe de l'enfant dès les onze semaines de grossesse mais cette méthode n'est pas jugée fiable.
« Le recours à l'analyse du sang maternel pour déterminer sans danger et avec une très grande fiabilité le sexe du fœtus, réduirait le nombre des pertes du fœtus résultant de l'amniocentèse et devrait être bien accueilli par les femmes enceintes portant des foetus présentant un risque d'anomalies génétiques liées au sexe », écrivent les chercheurs, dont Stephanie Devaney, des Instituts nationaux américains de la santé (NIH), principale auteur de cette communication.
Une fiabilité entre 95 et 99 %
Dans certains pays comme l'Espagne, la France, la Grande-Bretagne et les Pays-Bas, ce test est déjà utilisé cliniquement de manière routinière malgré l'absence d'une évaluation officielle de ses performances. Récemment, des sociétés ont commencé à proposer ce test à la vente directement aux consommateurs via Internet, indiquent les auteurs de la recherche.
Ce test est présenté comme non médical et destiné à être utilisé par de futurs parents curieux de connaître le sexe de leur enfant, expliquent-ils. Ces chercheurs précisent que dans certains cas, le test a établi le sexe du fœtus avec un taux d'exactitude allant de 95 à 99 % dès les cinq à sept premières semaines de grossesse. Pour parvenir à cette estimation, ils ont analysé 57 études recensant 3.524 grossesses pour lesquelles le fœtus était mâle et 3.017 grossesses avec un fœtus femelle.
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Re: Actualités concours 2012
le botulisme, une maladie rare
Le botulisme est une maladie rare mais pas exceptionnelle en France, puisqu’on en recense une vingtaine de cas dans le pays chaque année. Elle n’est pas contagieuse. Selon l’Institut Pasteur, « c’est une affection neurologique grave provoquée par une toxine très puissante produite par la bactérie Clostridium botulinum », qui « se développe notamment dans les aliments mal conservés ». « Elle se manifeste d’abord par des troubles visuels, puis une sécheresse de la bouche et une difficulté de déglutition, puis par une fatigue pouvant évoluer vers une paralysie atteignant progressivement tous les muscles du corps », précise l’institut.
source: http://www.lejsl.com/actualite/2011/09/ ... rareÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Le botulisme est une maladie rare mais pas exceptionnelle en France, puisqu’on en recense une vingtaine de cas dans le pays chaque année. Elle n’est pas contagieuse. Selon l’Institut Pasteur, « c’est une affection neurologique grave provoquée par une toxine très puissante produite par la bactérie Clostridium botulinum », qui « se développe notamment dans les aliments mal conservés ». « Elle se manifeste d’abord par des troubles visuels, puis une sécheresse de la bouche et une difficulté de déglutition, puis par une fatigue pouvant évoluer vers une paralysie atteignant progressivement tous les muscles du corps », précise l’institut.
source: http://www.lejsl.com/actualite/2011/09/ ... rareÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012
De la tapenade mal stérilisée à l'origine de huit cas de botulisme
FAITS DIVERS
Huit personnes souffrant de botulisme ont été hospitalisées dans un état grave après avoir consommé de la tapenade artisanale fabriquée par une entreprise de Cavaillon, dont le système de stérilisation, jamais contrôlé, était défaillant.
L'enquête a permis d'identifier l'aliment en cause : il s'agit d'une conserve de tapenade d'olives vertes aux amandes produite par l'établissement "La ruche" de Cavaillon (Vaucluse) et vendue sous la marque "les délices de Marie-Claire". L'atelier de production, installé en 2000, n'avait jamais fait l'objet de contrôle.
Un malfaiteur tué lors d'un braquage
Hauts-de-Seine. Un malfaiteur a été mortellement blessé par balle hier lors d'une tentative d'attaque à main armée dont les enquêteurs soulignent la similitude avec le modus operandi décrit dans un reportage diffusé dimanche sur la chaîne M6. Une source proche de l'enquête remarquait que "le mode opératoire utilisé mardi par les quatre malfaiteurs, habillés de combinaisons blanches de peintre, était semblable à celui décrit dans un reportage diffusé dimanche soir sur M6 de l'émission Zone interdite intitulé -braquage et guerre des gangs-".
Une voiture s'embrase : trois morts
Marne. Trois personnes ont été tuées dans la nuit de lundi à mardi dans la commune de Chaumuzy en percutant un lampadaire avec leur véhicule qui s'est ensuite embrasé.
Les victimes sont probablement des saisonniers venus faire les vendanges dans une des communes viticoles du secteur, ont précisé les gendarmes.
L'enquête a été confiée à la brigade de gendarmerie de Reims.
Un voleur de métaux électrocuté dans un transformateur
Loire. Un voleur de métaux de 28 ans a été grièvement blessé au contact d'un transformateur électrique dans lequel il s'était introduit, hier à Saint-Etienne, a-t-on appris auprès du parquet.
L'homme, qui avait pénétré avec plusieurs complices dans l'enceinte de l'entreprise sidérurgique Ascométal, "a semble-t-il été traversé par un arc électrique de 30 000 volts", d'après la même source.
Il a été conduit dans un premier temps au CHU de Saint-Etienne puis, devant la gravité de son état, héliporté au centre des grands brûlés de Lyon.
Trois de ses complices interpellés sur place par la police ont été placés en garde-à-vue, a précisé le parquet.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
FAITS DIVERS
Huit personnes souffrant de botulisme ont été hospitalisées dans un état grave après avoir consommé de la tapenade artisanale fabriquée par une entreprise de Cavaillon, dont le système de stérilisation, jamais contrôlé, était défaillant.
L'enquête a permis d'identifier l'aliment en cause : il s'agit d'une conserve de tapenade d'olives vertes aux amandes produite par l'établissement "La ruche" de Cavaillon (Vaucluse) et vendue sous la marque "les délices de Marie-Claire". L'atelier de production, installé en 2000, n'avait jamais fait l'objet de contrôle.
Un malfaiteur tué lors d'un braquage
Hauts-de-Seine. Un malfaiteur a été mortellement blessé par balle hier lors d'une tentative d'attaque à main armée dont les enquêteurs soulignent la similitude avec le modus operandi décrit dans un reportage diffusé dimanche sur la chaîne M6. Une source proche de l'enquête remarquait que "le mode opératoire utilisé mardi par les quatre malfaiteurs, habillés de combinaisons blanches de peintre, était semblable à celui décrit dans un reportage diffusé dimanche soir sur M6 de l'émission Zone interdite intitulé -braquage et guerre des gangs-".
Une voiture s'embrase : trois morts
Marne. Trois personnes ont été tuées dans la nuit de lundi à mardi dans la commune de Chaumuzy en percutant un lampadaire avec leur véhicule qui s'est ensuite embrasé.
Les victimes sont probablement des saisonniers venus faire les vendanges dans une des communes viticoles du secteur, ont précisé les gendarmes.
L'enquête a été confiée à la brigade de gendarmerie de Reims.
Un voleur de métaux électrocuté dans un transformateur
Loire. Un voleur de métaux de 28 ans a été grièvement blessé au contact d'un transformateur électrique dans lequel il s'était introduit, hier à Saint-Etienne, a-t-on appris auprès du parquet.
L'homme, qui avait pénétré avec plusieurs complices dans l'enceinte de l'entreprise sidérurgique Ascométal, "a semble-t-il été traversé par un arc électrique de 30 000 volts", d'après la même source.
Il a été conduit dans un premier temps au CHU de Saint-Etienne puis, devant la gravité de son état, héliporté au centre des grands brûlés de Lyon.
Trois de ses complices interpellés sur place par la police ont été placés en garde-à-vue, a précisé le parquet.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012
Servier : après le Mediator, le Protelos sur la sellette
Le laboratoire Servier aurait falsifié des documents relatifs au Protelos, selon le quotidien «Libération».
| LP/Frédéric Dugit Réagir
De nouvelles révélations pourraient bien accabler un peu plus les laboratoires Servier. Après avoir dévoilé mardi deux témoignages embarrassants dans l'affaire du Mediator, le journal «Libération» affirme ce mercredi que Servier «a également falsifié des documents relatifs à un autre médicament», le Protelos. SUR LE MÊME SUJET
Mediator: pas d'impact sur les ventes de Servier Mediator: déjà «500 appels» et «130 dossiers» d'indemnisation reçus « L’avenir de Servier est extrêmement menacé » Mediator: Servier accusé de mensonge, son avocat dément Plusieurs milliers de nouvelles plaintes déposées contre Servier
En juin déjà, «le Parisien» rapportait que ce traitement contre l'ostéoporose commercialisé depuis 2004 était sur la sellette. La Commission nationale de pharmacovigilance du 6 juillet 2010 portant sur la période de janvier 2006 au 31 mars 2009, a en effet relevé : « 884 effets indésirables ont été enregistrés. Ils sont graves dans 23% des cas ». Selon les pharmacologues, le produit serait également impliqué dans deux décès. « Concernant les décès, et après analyse médicale des cas, le rôle de Protelos peut être retenu dans un cas de décès par Dress (une forme d’allergie grave) et ne peut pas être éliminé dans la survenue d’une embolie pulmonaire mortelle », écrivaient-ils.
«Servier a caché aux autorités de santé des cas d'effets secondaires du Protelos»
Or, «Libération» assure ce mercredi matin qu'un rapport d'inspection de l'Agence européenne des médicaments (EMA) sur le système de pharmacovigilance du labo «conclut que Servier a caché aux autorités de santé des cas d'effets secondaires du Protelos».
Selon le quotidien, «un autre front judiciaire menace le laboratoire Servier», déjà convoqués par les juges d'instruction en charge de l'enquête sur le Mediator en vue d'une possible mise en examen. Concernant le Protelos, le rapport «accablant est aujourd'hui entre les mains des juges» et a été réalisé par l'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) à la demande de l'EMA, assure Libé. Servier n'aurait pas déclaré aux autorités des cas graves susceptibles de remettre en cause le médicament, selon le rapport. Un rapport «jugé si inquiétant que l'EMA a ordonné une réévaluation de tous les médicaments de Servier, ainsi qu'une nouvelle inspection du labo», affirme le quotidien.
Leparisien.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Le laboratoire Servier aurait falsifié des documents relatifs au Protelos, selon le quotidien «Libération».
| LP/Frédéric Dugit Réagir
De nouvelles révélations pourraient bien accabler un peu plus les laboratoires Servier. Après avoir dévoilé mardi deux témoignages embarrassants dans l'affaire du Mediator, le journal «Libération» affirme ce mercredi que Servier «a également falsifié des documents relatifs à un autre médicament», le Protelos. SUR LE MÊME SUJET
Mediator: pas d'impact sur les ventes de Servier Mediator: déjà «500 appels» et «130 dossiers» d'indemnisation reçus « L’avenir de Servier est extrêmement menacé » Mediator: Servier accusé de mensonge, son avocat dément Plusieurs milliers de nouvelles plaintes déposées contre Servier
En juin déjà, «le Parisien» rapportait que ce traitement contre l'ostéoporose commercialisé depuis 2004 était sur la sellette. La Commission nationale de pharmacovigilance du 6 juillet 2010 portant sur la période de janvier 2006 au 31 mars 2009, a en effet relevé : « 884 effets indésirables ont été enregistrés. Ils sont graves dans 23% des cas ». Selon les pharmacologues, le produit serait également impliqué dans deux décès. « Concernant les décès, et après analyse médicale des cas, le rôle de Protelos peut être retenu dans un cas de décès par Dress (une forme d’allergie grave) et ne peut pas être éliminé dans la survenue d’une embolie pulmonaire mortelle », écrivaient-ils.
«Servier a caché aux autorités de santé des cas d'effets secondaires du Protelos»
Or, «Libération» assure ce mercredi matin qu'un rapport d'inspection de l'Agence européenne des médicaments (EMA) sur le système de pharmacovigilance du labo «conclut que Servier a caché aux autorités de santé des cas d'effets secondaires du Protelos».
Selon le quotidien, «un autre front judiciaire menace le laboratoire Servier», déjà convoqués par les juges d'instruction en charge de l'enquête sur le Mediator en vue d'une possible mise en examen. Concernant le Protelos, le rapport «accablant est aujourd'hui entre les mains des juges» et a été réalisé par l'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) à la demande de l'EMA, assure Libé. Servier n'aurait pas déclaré aux autorités des cas graves susceptibles de remettre en cause le médicament, selon le rapport. Un rapport «jugé si inquiétant que l'EMA a ordonné une réévaluation de tous les médicaments de Servier, ainsi qu'une nouvelle inspection du labo», affirme le quotidien.
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En préparation pour le concours primptemps 2012 

Re: Actualités concours 2012
Rugby : une lutte antidopage sans précédent lors du Mondial 2011
Trois cents contrôles urinaires et sanguins seront effectués pendant la Coupe du monde, qui débute vendredi en Nouvelle-Zélande, a annoncé mercredi Tim Ricketts, responsable du programme antidopage de l'International Rugby Board (IRB).
"Il s'agit du plus large programme mené lors d'une Coupe du monde. Nous allons effectuer 300 contrôles pendant la compétition, que ce soit lors des matchs comme en dehors des jours de match. Des joueurs de chacune des 20 équipes participant au Mondial seront contrôlés", a déclaré M. Ricketts. "Le fait d'effectuer des contrôles urinaires et sanguins nous permettra de rechercher tous les produits, y compris l'EPO [érythropoïétine]", a-t-il précisé.
Les contrôles seront menés par l'agence antidopage néo-zélandaise Drug free sport New Zealand, et les analyses seront effectuées par le laboratoire de Sydney (Australie), reconnu par l'Agence mondiale antidopage (AMA). "Nous disposerons des résultats dans un délai de quarante-huit heures après le contrôle", a indiqué M. Ricketts. Au cours des trois derniers mois, en amont de la Coupe du monde, l'IRB (organe suprême du rugby) a mené 295 contrôles auprès des 20 équipes participant au Mondial. Tous se sont révélés négatifs, a indiqué le responsable du programme antidopage.
LE CAS HUGET
"Nous sommes confiants dans le fait que ce sera un tournoi propre", a avancé Tim Ricketts. L'avant-Coupe du monde a été marqué par l'exclusion de l'équipe de France, le 4 août, de l'ailier Yoann Huget pour manquement au règlement antidopage. Il avait fait l'objet de trois avertissements de la part de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) pour manquements aux exigences de localisation. Il a été suspendu pour trois mois le 19 août par la Fédération française de rugby. L'AFLD a la possibilité de se saisir de l'affaire dans un délai de deux mois suivant la sanction.
Par ailleurs, Tim Ricketts a précisé que plus de 1 000 contrôles antidopage avaient été effectués depuis 2010 ; un seul s'est révélé positif. Enfin, l'IRB a annoncé l'organisation d'une journée spécifique de lutte contre le dopage, le 25 septembre. Lors des trois matchs de la Coupe du monde disputés ce jour-là, Argentine-Ecosse, Irlande-Russie et Fidji-Samoa, chaque joueur portera avant le coup d'envoi un tee-shirt portant l'inscription "Gardons le rugby propre". Les équipes ne jouant pas ce jour-là seront également associées à la campagne.
Le mondeÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Trois cents contrôles urinaires et sanguins seront effectués pendant la Coupe du monde, qui débute vendredi en Nouvelle-Zélande, a annoncé mercredi Tim Ricketts, responsable du programme antidopage de l'International Rugby Board (IRB).
"Il s'agit du plus large programme mené lors d'une Coupe du monde. Nous allons effectuer 300 contrôles pendant la compétition, que ce soit lors des matchs comme en dehors des jours de match. Des joueurs de chacune des 20 équipes participant au Mondial seront contrôlés", a déclaré M. Ricketts. "Le fait d'effectuer des contrôles urinaires et sanguins nous permettra de rechercher tous les produits, y compris l'EPO [érythropoïétine]", a-t-il précisé.
Les contrôles seront menés par l'agence antidopage néo-zélandaise Drug free sport New Zealand, et les analyses seront effectuées par le laboratoire de Sydney (Australie), reconnu par l'Agence mondiale antidopage (AMA). "Nous disposerons des résultats dans un délai de quarante-huit heures après le contrôle", a indiqué M. Ricketts. Au cours des trois derniers mois, en amont de la Coupe du monde, l'IRB (organe suprême du rugby) a mené 295 contrôles auprès des 20 équipes participant au Mondial. Tous se sont révélés négatifs, a indiqué le responsable du programme antidopage.
LE CAS HUGET
"Nous sommes confiants dans le fait que ce sera un tournoi propre", a avancé Tim Ricketts. L'avant-Coupe du monde a été marqué par l'exclusion de l'équipe de France, le 4 août, de l'ailier Yoann Huget pour manquement au règlement antidopage. Il avait fait l'objet de trois avertissements de la part de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) pour manquements aux exigences de localisation. Il a été suspendu pour trois mois le 19 août par la Fédération française de rugby. L'AFLD a la possibilité de se saisir de l'affaire dans un délai de deux mois suivant la sanction.
Par ailleurs, Tim Ricketts a précisé que plus de 1 000 contrôles antidopage avaient été effectués depuis 2010 ; un seul s'est révélé positif. Enfin, l'IRB a annoncé l'organisation d'une journée spécifique de lutte contre le dopage, le 25 septembre. Lors des trois matchs de la Coupe du monde disputés ce jour-là, Argentine-Ecosse, Irlande-Russie et Fidji-Samoa, chaque joueur portera avant le coup d'envoi un tee-shirt portant l'inscription "Gardons le rugby propre". Les équipes ne jouant pas ce jour-là seront également associées à la campagne.
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Dernière modification par Memo le 07 sept. 2011 10:30, modifié 1 fois.
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Re: Actualités concours 2012
Plus d'un Européen sur trois souffre de troubles mentaux
La recherche et la prise en charge restent insuffisantes pour ces maladies très fréquentes mais dissimulées et mal perçues.
Les maladies mentales et les affections neurologiques sont l'un des plus grands défis sanitaires que l'Europe doit relever. Ces troubles qui concerneraient chaque année en Europe plus de 38% de la population restent encore trop souvent dissimulés, non traités, notamment du fait de la stigmatisation qui les entoure. Alors qu'une prise en charge adaptée permettrait, dans un certain nombre de cas, de les guérir ou, tout au moins, d'améliorer la qualité de vie des personnes qui en souffrent. C'est ce que révèle une enquête européenne portant sur plus de 30 pays et présentée hier lors de la réunion à Paris du Collège européen de neuropsychopharmacologie. Ce travail mesure également l'impact très négatif de ces affections sur la qualité de la vie.
Cette étude menée au cours de l'année 2010 sur une population de 514 millions de personnes s'est intéressée aux troubles mentaux des enfants et des adolescents (2-17 ans), des adultes (18-65 ans) et des personnes âgées (plus de 65 ans). Elle s'est également penchée sur les troubles neurologiques qui concernent plus particulièrement les personnes âgées.
Une discrète augmentation de la dépression
Dans leurs investigations, les chercheurs, dirigés par le professeur Hans-Ulrich Wittchen (Allemagne), ont distingué les différents désordres pouvant frapper le cerveau: les troubles psychiatriques d'un côté, comme la dépression, les troubles bipolaires ou la schizophrénie et les maladies neurologiques, de l'autre, comme les attaques cérébrales, les maladies de Parkinson ou d'Alzheimer.
Ainsi, les troubles anxieux concerneraient 14% des Européens, l'insomnie 7% et la dépression 6,9% avec finalement peu de variations d'un pays à l'autre. La dépendance à l'alcool et à d'autres drogues frappe plus de 4% de cette population. Pour ce qui est des troubles neurologiques, la démence (qu'il s'agisse de maladie d'Alzheimer ou de troubles d'origine vasculaire) affecterait 1% des plus de 65 ans et 30% des plus de 85 ans. Par ailleurs, excepté pour l'addiction aux drogues ou à l'alcool et pour le retard mental qui sont plus fréquents dans certains pays de l'Est, il n'y a pas de différence significative entre les pays.
Une enquête similaire réalisée en 2005 montre que la fréquence des maladies psychiatriques est stable, avec peut-être une discrète augmentation de la dépression. En revanche, le nombre de personnes souffrant de pathologies neurologiques augmente du fait de l'accroissement de l'espérance de vie associée à un risque accru de démence. Par ailleurs, depuis 2005 (année où une enquête similaire a été menée), aucune amélioration dans la proportion des personnes souffrant de troubles mentaux n'a été notée: seul un tiers des patients reçoivent un traitement adapté. «Trop peu de patients bénéficient sans délai d'une thérapeutique adaptée selon les règles de l'art», soulignent les auteurs de l'étude publiée dans la revue européenne de neuropsychopharmacologie. Au total, du fait d'une insuffisance de prise en charge, les pathologies mentales et neurologiques représentent plus d'un quart des années de vie avec incapacité, par rapport à l'ensemble des maladies. «Il y a un déficit énorme de soutien à la recherche et à la prise en charge des affections qui touchent le cerveau, explique le Pr Michel Hamon, président scientifique du congrès (université Pierre et Marie Curie, Paris). Ces statistiques intéressantes ne reflètent pas de surcroît la douleur intense liée à ces pathologies. Pour ce qui est de la France, elle se situe en termes de fréquence dans la moyenne européenne.»
Même écho de la part du Pr Jean-Pierre Lépine (Hôpital Lariboisière, Paris) qui a contribué à cette enquête pour la France: «Maintenant, il faut prendre son bâton de pèlerin pour convaincre les décideurs qu'il faut s'intéresser aux maladies mentales. Le simple fait d'en parler, de donner ces chiffres contribue à lever un peu la stigmatisation.»
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
La recherche et la prise en charge restent insuffisantes pour ces maladies très fréquentes mais dissimulées et mal perçues.
Les maladies mentales et les affections neurologiques sont l'un des plus grands défis sanitaires que l'Europe doit relever. Ces troubles qui concerneraient chaque année en Europe plus de 38% de la population restent encore trop souvent dissimulés, non traités, notamment du fait de la stigmatisation qui les entoure. Alors qu'une prise en charge adaptée permettrait, dans un certain nombre de cas, de les guérir ou, tout au moins, d'améliorer la qualité de vie des personnes qui en souffrent. C'est ce que révèle une enquête européenne portant sur plus de 30 pays et présentée hier lors de la réunion à Paris du Collège européen de neuropsychopharmacologie. Ce travail mesure également l'impact très négatif de ces affections sur la qualité de la vie.
Cette étude menée au cours de l'année 2010 sur une population de 514 millions de personnes s'est intéressée aux troubles mentaux des enfants et des adolescents (2-17 ans), des adultes (18-65 ans) et des personnes âgées (plus de 65 ans). Elle s'est également penchée sur les troubles neurologiques qui concernent plus particulièrement les personnes âgées.
Une discrète augmentation de la dépression
Dans leurs investigations, les chercheurs, dirigés par le professeur Hans-Ulrich Wittchen (Allemagne), ont distingué les différents désordres pouvant frapper le cerveau: les troubles psychiatriques d'un côté, comme la dépression, les troubles bipolaires ou la schizophrénie et les maladies neurologiques, de l'autre, comme les attaques cérébrales, les maladies de Parkinson ou d'Alzheimer.
Ainsi, les troubles anxieux concerneraient 14% des Européens, l'insomnie 7% et la dépression 6,9% avec finalement peu de variations d'un pays à l'autre. La dépendance à l'alcool et à d'autres drogues frappe plus de 4% de cette population. Pour ce qui est des troubles neurologiques, la démence (qu'il s'agisse de maladie d'Alzheimer ou de troubles d'origine vasculaire) affecterait 1% des plus de 65 ans et 30% des plus de 85 ans. Par ailleurs, excepté pour l'addiction aux drogues ou à l'alcool et pour le retard mental qui sont plus fréquents dans certains pays de l'Est, il n'y a pas de différence significative entre les pays.
Une enquête similaire réalisée en 2005 montre que la fréquence des maladies psychiatriques est stable, avec peut-être une discrète augmentation de la dépression. En revanche, le nombre de personnes souffrant de pathologies neurologiques augmente du fait de l'accroissement de l'espérance de vie associée à un risque accru de démence. Par ailleurs, depuis 2005 (année où une enquête similaire a été menée), aucune amélioration dans la proportion des personnes souffrant de troubles mentaux n'a été notée: seul un tiers des patients reçoivent un traitement adapté. «Trop peu de patients bénéficient sans délai d'une thérapeutique adaptée selon les règles de l'art», soulignent les auteurs de l'étude publiée dans la revue européenne de neuropsychopharmacologie. Au total, du fait d'une insuffisance de prise en charge, les pathologies mentales et neurologiques représentent plus d'un quart des années de vie avec incapacité, par rapport à l'ensemble des maladies. «Il y a un déficit énorme de soutien à la recherche et à la prise en charge des affections qui touchent le cerveau, explique le Pr Michel Hamon, président scientifique du congrès (université Pierre et Marie Curie, Paris). Ces statistiques intéressantes ne reflètent pas de surcroît la douleur intense liée à ces pathologies. Pour ce qui est de la France, elle se situe en termes de fréquence dans la moyenne européenne.»
Même écho de la part du Pr Jean-Pierre Lépine (Hôpital Lariboisière, Paris) qui a contribué à cette enquête pour la France: «Maintenant, il faut prendre son bâton de pèlerin pour convaincre les décideurs qu'il faut s'intéresser aux maladies mentales. Le simple fait d'en parler, de donner ces chiffres contribue à lever un peu la stigmatisation.»
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012
L'incroyable descendance des donneurs de sperme aux USA
Faute de limite légale, certains donneurs ont engendré jusqu'à 150 enfants. Une situation qui inquiète les familles et les spécialistes.
Il y a sept ans, Cynthia Daily et son mari ont eu recours à un don de sperme pour concevoir un bébé. Sept ans plus tard, Mme Daily a recherché sur Internet la trace des éventuels demi-frères ou sœurs de son enfant, nés du même donneur. Elle a pour cela créé un groupe, qui a grossi au fil des ans, au point d'atteindre aujourd'hui les…150 membres, rapporte le New York Times.
Et le cas des Daily n'est pas isolé, selon le quotidien américain. De plus en plus d'enfants issus d'un même donneur se retrouvent grâce à Internet, formant des groupes qui atteignent régulièrement cinquante membres. Car si la législation française garantit l'anonymat des donneurs et des receveurs, qui ne peuvent donc entrer en contact, aux Etats-Unis, les donneurs se voient attribuer un numéro qui peut être communiqué aux couples élevant l'enfant, et donc à l'enfant lui-même, selon le choix de la clinique ou de la banque de sperme. C'est grâce à ce numéro que les descendants d'un même donneur parviennent à se retrouver sur Internet, ou qu'un donneur peut entrer en contact avec les enfants engendrés avec son sperme.
Un nombre d'inséminations illimité
Sur «The donor sibling registry» (qui pourrait se traduire par «Le registre des frères et sœurs nés de donneurs»), un site web créé en 2000, les raisons mises en avant pour s'inscrire sont multiples : volonté de créer des liens avec ce nouveau type de famille élargie, que ce soit entre frères et sœurs ou entre le donneur et sa descendance, mais aussi de partager des informations médicales utiles. La créatrice du site, Wendy Kramer, qui a elle-même eu son fils Ryan grâce à un don de sperme, a indiqué au Figaro que son «registre» comptait 32.000 personnes dans le monde entier, y compris en France quand le couple a traversé l'Atlantique pour accéder plus facilement à un don. Il est possible de s'inscrire anonymement.
Ce rapprochement peut générer de nouveaux liens affectifs. Cynthia Daily est ainsi partie en vacances avec des demi-frères de son enfant et leurs familles. La situation est plus délicate lorsque ces frères et sœurs vivent dans une zone géographique assez restreinte sans se connaître, avec le risque d'entretenir une relation amoureuse, et donc incestueuse malgré eux.
Comment en est-on arrivé à cette situation ubuesque outre-Atlantique ? La loi américaine n'impose aucune limite dans l'usage fait par les cliniques et banques de sperme des gamètes données par les volontaires. Or, un simple don fournit entre 20 et 150 millions de spermatozoïdes, ce qui permet potentiellement de concevoir des centaines d'enfants, selon la qualité des gamètes. Pour éviter tout risque d'inceste et pour ne pas nuire à la diversité génétique de la population, certains pays ont limité le nombre de naissances autorisé par donneur. En France, la loi fixe celui-ci à 10.
Des graves questions éthiques
Aux États-Unis, certains parents sont affolés de découvrir que leur enfant a 18 demi-frères et sœurs, témoigne la fondatrice de «The donor sibling registry» Wendy Kramer. Et de plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer le manque d'éthique des cliniques spécialisées et banques de sperme. Les autorités américaines commencent du reste à s'interroger sur la nécessité de revoir le système, au vu du nombre croissant d'inséminations par donneur. Le Dr Robert G. Brzyski, président du comité d'éthique de la Société américaine de médecine reproductive, a longtemps douté qu'un même donneur puisse donner lieu à une centaine de naissances. Mais la situation a changé avec l'augmentation des inséminations et les pratiques plus ou moins raisonnables des organismes spécialisés, reconnaît-il. Si autrefois les risques de consanguinité involontaire semblaient très restreints, «il faut aujourd'hui réévaluer les critères et les règles pour définir un nombre approprié d'enfants (issus d'un même donneur)», confie-t-il au New York Times.
Les donneurs eux-mêmes se sentent trompés. «Quand j'ai demandé combien d'enfants pourraient naître de mon don, on m'a répondu (…) qu'il était très rare qu'un donneur ait plus de 10 enfants», confie l'un d'entre eux au NYT. Plus tard, il découvrit que certains en avaient des douzaines. Aujourd'hui, sa colère va contre les banques de spermes. «Ce qu'ils ont fait est injuste et répréhensible pour les donneurs, les familles, les enfants».
Quant aux enfants, on ignore encore comment ils vivent l'existence de telles fratries. «Les experts n'en parlent pas aux familles quand ils les conseillent sur les solutions à l'infertilité», déplore Wendy Kramer. «Mais comment peut-on créer des liens avec autant de frères et sœurs ? Que signifie le mot «famille» pour ces enfants ?».
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Faute de limite légale, certains donneurs ont engendré jusqu'à 150 enfants. Une situation qui inquiète les familles et les spécialistes.
Il y a sept ans, Cynthia Daily et son mari ont eu recours à un don de sperme pour concevoir un bébé. Sept ans plus tard, Mme Daily a recherché sur Internet la trace des éventuels demi-frères ou sœurs de son enfant, nés du même donneur. Elle a pour cela créé un groupe, qui a grossi au fil des ans, au point d'atteindre aujourd'hui les…150 membres, rapporte le New York Times.
Et le cas des Daily n'est pas isolé, selon le quotidien américain. De plus en plus d'enfants issus d'un même donneur se retrouvent grâce à Internet, formant des groupes qui atteignent régulièrement cinquante membres. Car si la législation française garantit l'anonymat des donneurs et des receveurs, qui ne peuvent donc entrer en contact, aux Etats-Unis, les donneurs se voient attribuer un numéro qui peut être communiqué aux couples élevant l'enfant, et donc à l'enfant lui-même, selon le choix de la clinique ou de la banque de sperme. C'est grâce à ce numéro que les descendants d'un même donneur parviennent à se retrouver sur Internet, ou qu'un donneur peut entrer en contact avec les enfants engendrés avec son sperme.
Un nombre d'inséminations illimité
Sur «The donor sibling registry» (qui pourrait se traduire par «Le registre des frères et sœurs nés de donneurs»), un site web créé en 2000, les raisons mises en avant pour s'inscrire sont multiples : volonté de créer des liens avec ce nouveau type de famille élargie, que ce soit entre frères et sœurs ou entre le donneur et sa descendance, mais aussi de partager des informations médicales utiles. La créatrice du site, Wendy Kramer, qui a elle-même eu son fils Ryan grâce à un don de sperme, a indiqué au Figaro que son «registre» comptait 32.000 personnes dans le monde entier, y compris en France quand le couple a traversé l'Atlantique pour accéder plus facilement à un don. Il est possible de s'inscrire anonymement.
Ce rapprochement peut générer de nouveaux liens affectifs. Cynthia Daily est ainsi partie en vacances avec des demi-frères de son enfant et leurs familles. La situation est plus délicate lorsque ces frères et sœurs vivent dans une zone géographique assez restreinte sans se connaître, avec le risque d'entretenir une relation amoureuse, et donc incestueuse malgré eux.
Comment en est-on arrivé à cette situation ubuesque outre-Atlantique ? La loi américaine n'impose aucune limite dans l'usage fait par les cliniques et banques de sperme des gamètes données par les volontaires. Or, un simple don fournit entre 20 et 150 millions de spermatozoïdes, ce qui permet potentiellement de concevoir des centaines d'enfants, selon la qualité des gamètes. Pour éviter tout risque d'inceste et pour ne pas nuire à la diversité génétique de la population, certains pays ont limité le nombre de naissances autorisé par donneur. En France, la loi fixe celui-ci à 10.
Des graves questions éthiques
Aux États-Unis, certains parents sont affolés de découvrir que leur enfant a 18 demi-frères et sœurs, témoigne la fondatrice de «The donor sibling registry» Wendy Kramer. Et de plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer le manque d'éthique des cliniques spécialisées et banques de sperme. Les autorités américaines commencent du reste à s'interroger sur la nécessité de revoir le système, au vu du nombre croissant d'inséminations par donneur. Le Dr Robert G. Brzyski, président du comité d'éthique de la Société américaine de médecine reproductive, a longtemps douté qu'un même donneur puisse donner lieu à une centaine de naissances. Mais la situation a changé avec l'augmentation des inséminations et les pratiques plus ou moins raisonnables des organismes spécialisés, reconnaît-il. Si autrefois les risques de consanguinité involontaire semblaient très restreints, «il faut aujourd'hui réévaluer les critères et les règles pour définir un nombre approprié d'enfants (issus d'un même donneur)», confie-t-il au New York Times.
Les donneurs eux-mêmes se sentent trompés. «Quand j'ai demandé combien d'enfants pourraient naître de mon don, on m'a répondu (…) qu'il était très rare qu'un donneur ait plus de 10 enfants», confie l'un d'entre eux au NYT. Plus tard, il découvrit que certains en avaient des douzaines. Aujourd'hui, sa colère va contre les banques de spermes. «Ce qu'ils ont fait est injuste et répréhensible pour les donneurs, les familles, les enfants».
Quant aux enfants, on ignore encore comment ils vivent l'existence de telles fratries. «Les experts n'en parlent pas aux familles quand ils les conseillent sur les solutions à l'infertilité», déplore Wendy Kramer. «Mais comment peut-on créer des liens avec autant de frères et sœurs ? Que signifie le mot «famille» pour ces enfants ?».
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Re: Actualités concours 2012
Les cellules souches pour sauver des espèces en voie d'extinction?
SCIENCES - Des chercheurs pensent pouvoir créer des animaux in vitro à partir d'un simple échantillon de peau congelée...
De notre correspondant à Los Angeles
Il ne reste que sept rhinocéros blanc du Nord dans le monde. L'espèce, comme des milliers d'autres, se trouve au bord de l'extinction. Si le clonage était envisagé comme méthode miracle pour inverser la tendance, le faible taux de réussite et les complications génétiques rencontrées ont poussé les chercheurs à explorer d'autres pistes. L'une d'elles, qui mise sur les propriétés des cellules souches, est détaillée dans le magazine Nature par l'équipe de Jeanne Loring, de l’institut de recherche Scripps de la Jolla en Californie.
La version courte? Les scientifiques ont réussi, à partir de cellules de peau de rhinocéros, à obtenir des cellules souches. S'ils parviennent à différentier ces cellules «mères» en gamètes (spermatozoïdes, ovule), ils pourraient alors, si tout va bien, donner naissance à un bébé rhino via fécondation in vitro.
Controverse éthique
Pour obtenir les cellules souches, ils ont en quelque sorte inversé le processus de différenciation cellulaire des cellules de peau via un rétrovirus. Un peu comme si à partir d'un gâteau, on réussissait à recréer des œufs et de la farine, pour ensuite en faire une tarte. L'équipe de Jeanne Loring n'a pas encore réussi à créer des spermatozoïdes, mais la biologiste se dit «optimiste». Le mois dernier, des chercheurs japonais ont réussi cette procédure chez la souris.
Ces expériences s'accompagnent évidemment d'un débat éthique. Outre le classique «l'homme joue à l'apprenti sorcier en manipulant le vivant», certains estiment que l'extinction –et l'apparition– d'espèces fait partie des cycles naturels de la planète et que de s'en mêler pourrait avoir des conséquences non mesurées. A peu près tous les scientifiques s'accordent cependant sur le fait que l'activité humaine menace la biodiversité.
Les chercheurs travaillent ici en partenariat avec le zoo de San Diego, qui a congelé des échantillons de plus de 800 espèces menacées d'extinction depuis 1972. Pour recréer des dinosaures à la Jurrasic Park, il faudra donc repasser.
—Philippe Berry
Le 20minutesÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
SCIENCES - Des chercheurs pensent pouvoir créer des animaux in vitro à partir d'un simple échantillon de peau congelée...
De notre correspondant à Los Angeles
Il ne reste que sept rhinocéros blanc du Nord dans le monde. L'espèce, comme des milliers d'autres, se trouve au bord de l'extinction. Si le clonage était envisagé comme méthode miracle pour inverser la tendance, le faible taux de réussite et les complications génétiques rencontrées ont poussé les chercheurs à explorer d'autres pistes. L'une d'elles, qui mise sur les propriétés des cellules souches, est détaillée dans le magazine Nature par l'équipe de Jeanne Loring, de l’institut de recherche Scripps de la Jolla en Californie.
La version courte? Les scientifiques ont réussi, à partir de cellules de peau de rhinocéros, à obtenir des cellules souches. S'ils parviennent à différentier ces cellules «mères» en gamètes (spermatozoïdes, ovule), ils pourraient alors, si tout va bien, donner naissance à un bébé rhino via fécondation in vitro.
Controverse éthique
Pour obtenir les cellules souches, ils ont en quelque sorte inversé le processus de différenciation cellulaire des cellules de peau via un rétrovirus. Un peu comme si à partir d'un gâteau, on réussissait à recréer des œufs et de la farine, pour ensuite en faire une tarte. L'équipe de Jeanne Loring n'a pas encore réussi à créer des spermatozoïdes, mais la biologiste se dit «optimiste». Le mois dernier, des chercheurs japonais ont réussi cette procédure chez la souris.
Ces expériences s'accompagnent évidemment d'un débat éthique. Outre le classique «l'homme joue à l'apprenti sorcier en manipulant le vivant», certains estiment que l'extinction –et l'apparition– d'espèces fait partie des cycles naturels de la planète et que de s'en mêler pourrait avoir des conséquences non mesurées. A peu près tous les scientifiques s'accordent cependant sur le fait que l'activité humaine menace la biodiversité.
Les chercheurs travaillent ici en partenariat avec le zoo de San Diego, qui a congelé des échantillons de plus de 800 espèces menacées d'extinction depuis 1972. Pour recréer des dinosaures à la Jurrasic Park, il faudra donc repasser.
—Philippe Berry
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Re: Actualités concours 2012
Certains d'entre vous on déjà passé le concours????
GWENDO proposait de mettre plusieurs question à la fin des articles pour nous entrainer....
Si certains d'entre vous on des idées...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Si certains d'entre vous on des idées...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012
Oui, moi je l'ai déjà passé ^^Memo a écrit :Certains d'entre vous on déjà passé le concours????
GWENDO proposait de mettre plusieurs question à la fin des articles pour nous entrainer....
Si certains d'entre vous on des idées...
Déjà les premières questions c'est tout le temps : Identifier les idées principales du texte, la problématique etc..Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

S1 : EHPAD
S2 : Long séjour
Re: Actualités concours 2012
J'ai pas encore reviser, des examens blancs de culture gé, du coup je n'arrive pas trop a imaginer les questions
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Troubles de la fertilité : un responsable identifié dans le cerveau
Cette découverte pourrait aider à mettre au point de nouveaux traitements chez les femmes concernées.
Un nouvel acteur intervenant dans le contrôle de la fertilité vient d'être identifié dans le cerveau de souris par Vincent Prévot et ses collaborateurs (Inserm U837 et université Lille 2 Droit et Santé) ; sa défaillance provoque immanquablement un retard pubertaire ou une fertilité très basse chez l'animal. Leurs travaux, publiés le 5 septembre 2011 dans le journal de l'académie américaine des sciences (PNAS), constituent un réel espoir vers un premier traitement des troubles de la fertilité provenant du système nerveux central (absence de règles d'origine hypothalamique, retard pubertaire ou encore puberté précoce).
"La fonction de reproduction est déterminée par des événements qui prennent place dans le cerveau", explique Vincent Prévot. Au moment de la puberté, l'activation d'une poignée de neurones très spécialisés (appelés les neurones à GnRH), localisés dans l'hypothalamus, conduit à une sécrétion de l'hormone GnRH (Gonadotropin Releasing Hormone). Cette dernière stimule la synthèse et la libération de deux autres hormones qui vont promouvoir la croissance des organes sexuels secondaires au moment de la puberté. Elles fonctionnent ensuite tout au long de la vie pour assurer la fonction reproductive.
Depuis quelques années, les chercheurs pensaient que les neurones à GnRH recevaient des informations émanant de cellules nerveuses situées dans leur environnement proche pour fonctionner. L'activation de ces neurones voisins devait constituer l'élément déclencheur de l'augmentation de la sécrétion de GnRH nécessaire à la survenue de la puberté et de la fertilité. Or, l'équipe de Vincent Prévot vient de prouver que la libération d'une autre hormone (la prostaglandine E2) par d'autres cellules présentes dans le cerveau est indispensable au déclenchement de toute la cascade conduisant à l'activation des fonctions de reproduction. A contrario, cette activité est interrompue par l'inhibition de la synthèse de prostaglandine E2.
Un nouvel acteur dans le contrôle de la fertilité vient donc d'être identifié, sa défaillance provoquant immanquablement retard pubertaire ou hypofertilité. Pour Vincent Prévot, "l'identification de cette hormone dévoile un rôle primordial de certaines cellules non nerveuses du cerveau dans le contrôle d'une grande fonction biologique chez les mammifères. De plus, elle ouvre de nouvelles pistes thérapeutiques pour le traitement des troubles de la fertilité." Une découverte d'autant plus importante que l'infertilité touche actuellement plusieurs millions de couples dans le monde. Et l'équipe de Lille souligne, mais sans en rappeler les causes, que les experts prédisent qu'elle doublera en Europe, au cours des dix prochaines années.
Par ANNE JEANBLANC
Le Point.fr - Publié le 05/09/2011 à 20:59 - Modifié le 05/09/2011 à 20:30Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Cette découverte pourrait aider à mettre au point de nouveaux traitements chez les femmes concernées.
Un nouvel acteur intervenant dans le contrôle de la fertilité vient d'être identifié dans le cerveau de souris par Vincent Prévot et ses collaborateurs (Inserm U837 et université Lille 2 Droit et Santé) ; sa défaillance provoque immanquablement un retard pubertaire ou une fertilité très basse chez l'animal. Leurs travaux, publiés le 5 septembre 2011 dans le journal de l'académie américaine des sciences (PNAS), constituent un réel espoir vers un premier traitement des troubles de la fertilité provenant du système nerveux central (absence de règles d'origine hypothalamique, retard pubertaire ou encore puberté précoce).
"La fonction de reproduction est déterminée par des événements qui prennent place dans le cerveau", explique Vincent Prévot. Au moment de la puberté, l'activation d'une poignée de neurones très spécialisés (appelés les neurones à GnRH), localisés dans l'hypothalamus, conduit à une sécrétion de l'hormone GnRH (Gonadotropin Releasing Hormone). Cette dernière stimule la synthèse et la libération de deux autres hormones qui vont promouvoir la croissance des organes sexuels secondaires au moment de la puberté. Elles fonctionnent ensuite tout au long de la vie pour assurer la fonction reproductive.
Depuis quelques années, les chercheurs pensaient que les neurones à GnRH recevaient des informations émanant de cellules nerveuses situées dans leur environnement proche pour fonctionner. L'activation de ces neurones voisins devait constituer l'élément déclencheur de l'augmentation de la sécrétion de GnRH nécessaire à la survenue de la puberté et de la fertilité. Or, l'équipe de Vincent Prévot vient de prouver que la libération d'une autre hormone (la prostaglandine E2) par d'autres cellules présentes dans le cerveau est indispensable au déclenchement de toute la cascade conduisant à l'activation des fonctions de reproduction. A contrario, cette activité est interrompue par l'inhibition de la synthèse de prostaglandine E2.
Un nouvel acteur dans le contrôle de la fertilité vient donc d'être identifié, sa défaillance provoquant immanquablement retard pubertaire ou hypofertilité. Pour Vincent Prévot, "l'identification de cette hormone dévoile un rôle primordial de certaines cellules non nerveuses du cerveau dans le contrôle d'une grande fonction biologique chez les mammifères. De plus, elle ouvre de nouvelles pistes thérapeutiques pour le traitement des troubles de la fertilité." Une découverte d'autant plus importante que l'infertilité touche actuellement plusieurs millions de couples dans le monde. Et l'équipe de Lille souligne, mais sans en rappeler les causes, que les experts prédisent qu'elle doublera en Europe, au cours des dix prochaines années.
Par ANNE JEANBLANC
Le Point.fr - Publié le 05/09/2011 à 20:59 - Modifié le 05/09/2011 à 20:30Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Je suis comme toi Debella.
J'ai à peine commencée mes fiches alors pour les sujets de Concours.....
Jen merci pour tes conseils
Si d'autres personnes pouvaient nous aider...
Bon je me lance alors, il faut bien commencer un jour
Alors pour ton article Debella "Troubles de la fertilité : un responsable identifié dans le cerveau"
Idée principale: mise en évidence d'une hormone libéré par le cerveau activant les fonctions de reproduction tout au long de la vie.
Problèmatique: Sera t elle présente chez l'homme????
Je sais pas trop quoi mettre en problèmatique si quelqu'un pouvait me guider...
Merci d'avance pour votre aide
Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

J'ai à peine commencée mes fiches alors pour les sujets de Concours.....

Jen merci pour tes conseils

Si d'autres personnes pouvaient nous aider...

Bon je me lance alors, il faut bien commencer un jour

Alors pour ton article Debella "Troubles de la fertilité : un responsable identifié dans le cerveau"
Idée principale: mise en évidence d'une hormone libéré par le cerveau activant les fonctions de reproduction tout au long de la vie.
Problèmatique: Sera t elle présente chez l'homme????

Je sais pas trop quoi mettre en problèmatique si quelqu'un pouvait me guider...
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