Actualités 2012
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités concours 2012
Bah meme avec mes 2 bouquins, j'ai toujours pas les bonnes méthodes... Je suis nulle je déprime !Memo a écrit :Salut les filles!!
Alors aurelie, je pense que tu as bien ciblé les différentes choses à faire:
-suivre l'actualité
-travailler rapidement les thèmes
-s'entrainer sur des test psychotechniques
Après, le seul conseil que je peux te donner c'est d'essayer de travailler en groupe. Pour pouvoir confronter tes idées, tes méthodes de travail à d'autre personne.
Ah et il y a un post aussi: "entrainement culture générale 2012" va y faire un tour. Angelito nous entraine à la redaction!!![]()
Debella!!!
Comment vas tu???
C'est pas grave pour le magazine de santé, te prends pas la tête!!
4 bouquin de math![]()
Et après elle dit ne pas être au niveau pour nous rejoindre sur test psychotechnique. Arrêtes de te sous estimer!!![]()
Et de toute façon on est pas là pour te juger. On est tous là pour s'entraider alors même si tu te trompes. IL VAUT MIEUX SE TROMPER ENTRE NOUS QUE LE JOUR J!!
Ensuite pour les exos de voc, certaines personnes disent qu'il n'y en a plus. Et d'autres disent que si. Donc, je sais pas vraiment...

Mon me dit que je me suis améliorée, mais je fais des fautes betes de calcul ...
Et je suis toujours la a me dépecher ...! Pourquoi ??? ...Euh je sais meme pas !!
Tu suis comment ton bouquin au fur et a mesure ou tu fais un peu de tout tous les jours ?
Je le veux tellement ce concours ! Mon homme me dit prend les 2 c'est pas perdu !! MAis si je l'ai pas !!! Ca sera perdu


Alalala je flippe déja !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Je sais pas encore trop comment le repartirmouchou64 a écrit :Bonjour les filles!
Je profite de votre discussion pour vous demander comment vous faite pour répartir votre temps?
J'ai de grosses lacunes en Maths et quand j'en fait je n'ai pas le temps pour la culture générale et vice versa...les maths me prennent énormément de temps et malheureusement je ne vois pas trop de progrès...
Merci pour vos conseils et pour vos fiches aussi qui m'aident beaucoup!!

Rien que lire l'actu ca me prend facilement 1h ...
Mais je me suis rendu compte qu'aux infos de la 6, il parlé plus clairement et plus nettement de l'actu comparait a la 6. Donc mntnt je zieute vite fait les articles et je regarde la 6, je trouve que le magazine de la santé, les 15 premieres minutes sont interressante, ca regroupe l'actu sanitaire et sociale.
Sinon on fait des fiches sur le post des fiche culture gé et la veille je met 1h ou 2h sur le sujet a traiter.. MAis en ce moment on traite pas les sujets les lus interressant et du coup j'ai l'impression de rien retenir

Et la plupart du temps je planche sur les Maths !

INFIRMIERE D.E
-
- Adepte
- Messages : 115
- Inscription : 10 oct. 2011 16:16
Re: Actualités concours 2012
Aurélie, je suis de Rennes aussi et j'ai commencé à préparer le concours il y a 15 jours, 3 semaines. Je fonctionne de la même façon que toi, je n'ai qu'un bouquin pour le moment mais j'ai acheté un lot de bouquins préparant au concours sur le bon coin, je devrais les recevoir en fin de semaine, j'ai hate !
Tu comptes passer quels concours ?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Tu comptes passer quels concours ?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Re: Actualités concours 2012
Pour le temps, moi je mets environ 1h à lire les infos. Donc tous les matins, je me réveilles, je prends mon café et je vais lire les différents articles...
Ensuite, en ce qui concerne la CG, pour les fiches il y a un post sur ce site, on est plusieurs a poster nos fiches donc ça te permet de garder un certain rythme.
Angelito post régulièrement des exercices sur "entrainements culture générale 2012" ça motive à rediger régulièrement.
Et pour les tests psychotechnique, je prends un livre et je fais deux trois exos par ci par là. Je m'impose rien à ce niveau là. à part faire 10 à 15 exos par jour minimun.
Debella j'ai l'impression que tu manques de confiance en toi. Je suis sûre que ton mari a raison et que tu t'es améliorer. Après, les maths on s'améliore qu'à force d'entrainements...
Alors courage!!!
Et non, je ne suis pas le bouquin, mais je ne fais pas un peu de tout tous les jours. ça dépend de mon humeur. Des fois j'ai envie de faire des conversions, à d'autres moments les problèmes me soulent.... Je fais un peu ce que je veux quand je veux en faite.
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Ensuite, en ce qui concerne la CG, pour les fiches il y a un post sur ce site, on est plusieurs a poster nos fiches donc ça te permet de garder un certain rythme.
Angelito post régulièrement des exercices sur "entrainements culture générale 2012" ça motive à rediger régulièrement.
Et pour les tests psychotechnique, je prends un livre et je fais deux trois exos par ci par là. Je m'impose rien à ce niveau là. à part faire 10 à 15 exos par jour minimun.
Debella j'ai l'impression que tu manques de confiance en toi. Je suis sûre que ton mari a raison et que tu t'es améliorer. Après, les maths on s'améliore qu'à force d'entrainements...
Alors courage!!!
Et non, je ne suis pas le bouquin, mais je ne fais pas un peu de tout tous les jours. ça dépend de mon humeur. Des fois j'ai envie de faire des conversions, à d'autres moments les problèmes me soulent.... Je fais un peu ce que je veux quand je veux en faite.

Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Actualités concours 2012
Memo a écrit :Pour le temps, moi je mets environ 1h à lire les infos. Donc tous les matins, je me réveilles, je prends mon café et je vais lire les différents articles...
Ensuite, en ce qui concerne la CG, pour les fiches il y a un post sur ce site, on est plusieurs a poster nos fiches donc ça te permet de garder un certain rythme.
Angelito post régulièrement des exercices sur "entrainements culture générale 2012" ça motive à rediger régulièrement.
Et pour les tests psychotechnique, je prends un livre et je fais deux trois exos par ci par là. Je m'impose rien à ce niveau là. à part faire 10 à 15 exos par jour minimun.
Debella j'ai l'impression que tu manques de confiance en toi. Je suis sûre que ton mari a raison et que tu t'es améliorer. Après, les maths on s'améliore qu'à force d'entrainements...
Alors courage!!!
Et non, je ne suis pas le bouquin, mais je ne fais pas un peu de tout tous les jours. ça dépend de mon humeur. Des fois j'ai envie de faire des conversions, à d'autres moments les problèmes me soulent.... Je fais un peu ce que je veux quand je veux en faite.
Oki d'acc, merci pour tes conseils. Et tu es forte en Maths ou ca t'arrives d'avoir des erreurs ??!
La je fais ton bouquin et j'ai a peut pres entre 28/40 et 35/40 Niveau réponse. Après je me dépêche pas, 40 questions je mets a peut près 40 minutes pour y répondre.
Je me note après plusieurs exercices en faites.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Où en est la centrale de Fukushima, sept mois après l'accident?
17-10-11 à 16:46 Réagir
Même si la situation des trois réacteurs les plus endommagés de Fukushima-Daiichi se stabilise, la gestion de l'accident de la centrale nucléaire japonaise demeure complexe. Le point sur la situation depuis le Japon.
La centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi vue d'hélicoptère en août 2011. de gauche à droite, les réacteurs 4,3,2 et 1. (kyodo/NEWSCOM/SIPA)
RéagirSept mois après le début de la catastrophe, la situation reste préoccupante à la centrale nucléaire japonaise de Fukushima-Daiichi. La Compagnie électrique de Tokyo (Tepco), qui en est l’opérateur, est parvenue récemment à un «arrêt à froid» dans les trois premiers réacteurs, ce qui est une étape cruciale dans la résolution de la crise puisque le fluide revient à une température ambiante. Mais, dans le même temps, la découverte d’une accumulation d’hydrogène dans un conduit du réacteur numéro 1 laisse planer le doute car le risque d’une nouvelle explosion ne peut toujours pas être écarté. Et la gestion des tonnes d’eau, déversées lors des opérations de secours et désormais contaminées, est toujours loin d’être réglée.
Un arrêt à froid… provisoire
Le 28 septembre à 17 heures (heure locale), la température du réacteur numéro 2 –qui avait atteint 400°C- est descendue sous la barre des 100 °C (99,4°C) pour la première fois depuis le début de l’accident, comme l’avait fait celle des réacteurs 1 et 3 au mois d’août. Ces trois réacteurs sont donc désormais «à l’arrêt à froid». C’est ce réacteur 2 qui a posé le plus de problèmes : pour obtenir ce résultat, il a en effet fallu augmenter considérablement la quantité d’eau injectée jusqu’à 10 tonnes par heure, ce qui a eu pour conséquence d’augmenter le problème des eaux contaminées (voir ci-dessous). Tepco avait mis en place un système consistant à projeter de l’eau sur le cœur des réacteurs 2 et 3 par le dessus, à la façon d’une douche. «L’obtention de cet arrêt à froid est tout à fait positif, estime Pierre-Yves Cordier, conseiller nucléaire du Commissariat à l’Energie Atomique (CEA) auprès de l’ambassade de France au Japon. Cela signifie que l’eau ne boue plus, et que les flux d’eau sont plus simples». Outre l’abaissement de la température de l’eau du circuit refroidissement sous les 100°C, le gouvernement japonais et Tepco se sont fixé comme objectif d’abaisser le niveau de radioactivité aux environs de la centrale sous le seuil de 1 millisievert par an. Aujourd’hui, il serait de 0,4 millisievert par an, selon Tepco.
Le bâtiment réacteur n°3 de la centrale endommagé par les explosions hydrogène. Photo prise fin septembre. (Ap/Sipa/Tepco)
Pour autant, la situation est loin d’être stabilisée. Selon Junichi Matsumoto, un porte-parole de la compagnie électrique, il est «en quelque sorte encore trop tôt» pour parler d’un arrêt à froid définitif parce que les niveaux de radioactivité mesurés doivent encore être confirmés. Cela devrait être effectif d’ici la fin de l’année. Cet objectif atteint est censé ouvrir la porte à un possible retour des plus de 100.000 réfugiés autour de la centrale, même si on sait déjà que certaines communes sont bien trop contaminées pour que cela soit envisageable dans des délais si rapides.
«En réduisant les émissions radioactives, nous espérons que des évacués pourront revenir chez eux aussi vite que possible», assure pourtant Yasuhiro Sonoda, un membre du Parlement nippon en charge de la crise de Fukushima. Car la crise va perdurer pendant des décennies encore. «Il faudra encore refroidir les réacteurs pendant des années, précise Pierre-Yves Cordier. La chaleur résiduelle du cœur du réacteur n’est pas énorme, mais la courbe de diminution de la température est asymptotique et il faudra du temps pour en venir à bout». Si le refroidissement cessait pendant 38 heures, les barres de combustibles des réacteurs –déjà passablement endommagées– se remettraient à fondre, selon une estimation de Tepco.
Le casse-tête des eaux contaminées
La présence de tonnes d’eau contaminée dans les sous-sols des bâtiments réacteur et des bâtiments turbine est un casse-tête depuis le 11 mars dernier. Au début de la crise, il a fallu injecter des tonnes d’eau de mer, puis des tonnes d’eau douce dès que cela a été possible, pour refroidir à tout prix les cœurs des réacteurs, déjà partiellement fondus. Cette eau s’est chargée de radionucléides et a fuité par les nombreuses brèches et fissures vers les sous-sols, jusqu’à parfois déborder vers l’océan Pacifique.
En juin, c’est la mise en place in extremis d’une usine de décontamination des eaux par le Français Areva et l’Américain Kurion qui a permis d’éviter un débordement massif d’eau hautement radioactive vers le milieu naturel, la saison des pluies ayant déjà commencé. «Nous considérons que notre mission est accomplie, se félicite Rémy Autebert, le président d’Areva Japon, interviewé par Sciences et Avenir. Elle consistait à mettre au point un système d’urgence en deux mois seulement pour régler le problème à très court terme. La saison des pluies et des typhons est maintenant passée et nous avons réussi à éviter un débordement des eaux». Prévue comme un système d’urgence, l’installation Areva-Kurion pourrait être arrêtée dans quelques mois.
Selon Areva Japon, du fait de différentes avaries et des quantités considérables d’effluents à traiter, le système Areva/ Kurion a fonctionné en moyenne à entre 70 et 75% de sa capacité nominale sur les trois derniers mois. Ce dispositif a été complété le 18 août par une installation Toshiba et un dispositif encore plus pérenne est prévu pour les mois qui viennent. Ce système de décontamination a permis de mettre en place une sorte de circuit fermé à partir du début du mois de juillet: l’eau contaminée contenue dans les sous-sols est dessalinisée, décontaminée puis réinjectée afin refroidir les réacteurs, avant de fuiter en partie vers les sous-sols où elle est pompée et traitée…
Selon Tepco, le niveau d’eau contaminée présent dans les parties basses diminue progressivement car le débit retraité (70m3/h) dépasse le débit d’eau injecté pour refroidir les réacteurs (15m3/h). De 120.000 tonnes d’eau radioactive en juin, on est ainsi passé à 100.000 tonnes aujourd’hui … ce qui reste bien loin de l’objectif des 60.000 tonnes. La différence tiendrait en grande partie à l’infiltration d’eau du milieu naturel vers les bâtiments des réacteurs par le biais des différentes brèches. Tepco assure en effet qu’entre 200 et 500 tonnes d’eau ruissellent chaque jour dans les bâtiments, car le niveau de l’eau présente dans les sous-sols est inférieur au niveau de la nappe phréatique. Un nouveau casse-tête à résoudre.
La menace d’une nouvelle explosion d’hydrogène?
Même s’il est minime, le risque n’est pas à écarter car une concentration d’hydrogène anormalement élevée a été détectée dans une conduite reliée à l'enceinte de confinement du réacteur 1 de la centrale le 22 septembre. Cette concentration de 1% reste pour l’instant inférieur au 4% qui pourrait provoquer une explosion si cet hydrogène entrait en contact avec de l’oxygène, concentré à plus de 5%. De plus, l’injection continue d’azote dans les trois réacteurs depuis plusieurs mois est censée réduire la concentration d’oxygène et donc limiter ce risque d’explosion. Ce sont en fait des techniciens qui tentaient d’installer un nouveau système de ventilation lié à l’enceinte de confinement qui ont découvert cette concentration anormale de gaz inflammables, dont de l’hydrogène, en deux points. Tepco a prévu d’effectuer des mesures supplémentaires dans tous les réacteurs pour en connaître le niveau exact et s’assurer qu’il n’existe pas d’autres points de concentration. «L’hypothèse la plus probable est que l’hydrogène se soit dégagé au début de la crise à la suite de l’oxydation des barres de combustibles», estime Pierre-Yves Cordier. Cette nouvelle menace rappelle les explosions d’hydrogène des 12, 14 et 15 mars qui ont fortement endommagé les enceintes de confinement des réacteurs 1, 2 et 3, et provoqué des dégagements radioactifs importants, représentant de 10 à 15% ceux de Tchernobyl en 1986.
Le réacteur 1 bientôt recouvert
Les photos officielles prises par Tepco montrent l’avancée des travaux de recouvrement du réacteur 1 (l'image ci-contre a été prise le 14 octobre; Tepco/AP/Sipa).
«Il ne s’agit pas d’un sarcophage comme à Tchernobyl mais d’une armature métallique recouverte d’une toile plastifiée qui doit permettre de limiter les rejets radioactifs et protéger le réacteur des intempéries», précise Pierre-Yves Cordier. Cette enceinte doit être terminée à la fin du mois d’octobre. En revanche, l’apparence chaotique des autres réacteurs n’a guère changé, mais les réacteurs 3 et 4, affectés par les explosions d’hydrogène, pourraient également être recouverts.
Au Japon, Marie Linton
pour Sciences et Avenir.fr
17/10/11Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
17-10-11 à 16:46 Réagir
Même si la situation des trois réacteurs les plus endommagés de Fukushima-Daiichi se stabilise, la gestion de l'accident de la centrale nucléaire japonaise demeure complexe. Le point sur la situation depuis le Japon.
La centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi vue d'hélicoptère en août 2011. de gauche à droite, les réacteurs 4,3,2 et 1. (kyodo/NEWSCOM/SIPA)
RéagirSept mois après le début de la catastrophe, la situation reste préoccupante à la centrale nucléaire japonaise de Fukushima-Daiichi. La Compagnie électrique de Tokyo (Tepco), qui en est l’opérateur, est parvenue récemment à un «arrêt à froid» dans les trois premiers réacteurs, ce qui est une étape cruciale dans la résolution de la crise puisque le fluide revient à une température ambiante. Mais, dans le même temps, la découverte d’une accumulation d’hydrogène dans un conduit du réacteur numéro 1 laisse planer le doute car le risque d’une nouvelle explosion ne peut toujours pas être écarté. Et la gestion des tonnes d’eau, déversées lors des opérations de secours et désormais contaminées, est toujours loin d’être réglée.
Un arrêt à froid… provisoire
Le 28 septembre à 17 heures (heure locale), la température du réacteur numéro 2 –qui avait atteint 400°C- est descendue sous la barre des 100 °C (99,4°C) pour la première fois depuis le début de l’accident, comme l’avait fait celle des réacteurs 1 et 3 au mois d’août. Ces trois réacteurs sont donc désormais «à l’arrêt à froid». C’est ce réacteur 2 qui a posé le plus de problèmes : pour obtenir ce résultat, il a en effet fallu augmenter considérablement la quantité d’eau injectée jusqu’à 10 tonnes par heure, ce qui a eu pour conséquence d’augmenter le problème des eaux contaminées (voir ci-dessous). Tepco avait mis en place un système consistant à projeter de l’eau sur le cœur des réacteurs 2 et 3 par le dessus, à la façon d’une douche. «L’obtention de cet arrêt à froid est tout à fait positif, estime Pierre-Yves Cordier, conseiller nucléaire du Commissariat à l’Energie Atomique (CEA) auprès de l’ambassade de France au Japon. Cela signifie que l’eau ne boue plus, et que les flux d’eau sont plus simples». Outre l’abaissement de la température de l’eau du circuit refroidissement sous les 100°C, le gouvernement japonais et Tepco se sont fixé comme objectif d’abaisser le niveau de radioactivité aux environs de la centrale sous le seuil de 1 millisievert par an. Aujourd’hui, il serait de 0,4 millisievert par an, selon Tepco.
Le bâtiment réacteur n°3 de la centrale endommagé par les explosions hydrogène. Photo prise fin septembre. (Ap/Sipa/Tepco)
Pour autant, la situation est loin d’être stabilisée. Selon Junichi Matsumoto, un porte-parole de la compagnie électrique, il est «en quelque sorte encore trop tôt» pour parler d’un arrêt à froid définitif parce que les niveaux de radioactivité mesurés doivent encore être confirmés. Cela devrait être effectif d’ici la fin de l’année. Cet objectif atteint est censé ouvrir la porte à un possible retour des plus de 100.000 réfugiés autour de la centrale, même si on sait déjà que certaines communes sont bien trop contaminées pour que cela soit envisageable dans des délais si rapides.
«En réduisant les émissions radioactives, nous espérons que des évacués pourront revenir chez eux aussi vite que possible», assure pourtant Yasuhiro Sonoda, un membre du Parlement nippon en charge de la crise de Fukushima. Car la crise va perdurer pendant des décennies encore. «Il faudra encore refroidir les réacteurs pendant des années, précise Pierre-Yves Cordier. La chaleur résiduelle du cœur du réacteur n’est pas énorme, mais la courbe de diminution de la température est asymptotique et il faudra du temps pour en venir à bout». Si le refroidissement cessait pendant 38 heures, les barres de combustibles des réacteurs –déjà passablement endommagées– se remettraient à fondre, selon une estimation de Tepco.
Le casse-tête des eaux contaminées
La présence de tonnes d’eau contaminée dans les sous-sols des bâtiments réacteur et des bâtiments turbine est un casse-tête depuis le 11 mars dernier. Au début de la crise, il a fallu injecter des tonnes d’eau de mer, puis des tonnes d’eau douce dès que cela a été possible, pour refroidir à tout prix les cœurs des réacteurs, déjà partiellement fondus. Cette eau s’est chargée de radionucléides et a fuité par les nombreuses brèches et fissures vers les sous-sols, jusqu’à parfois déborder vers l’océan Pacifique.
En juin, c’est la mise en place in extremis d’une usine de décontamination des eaux par le Français Areva et l’Américain Kurion qui a permis d’éviter un débordement massif d’eau hautement radioactive vers le milieu naturel, la saison des pluies ayant déjà commencé. «Nous considérons que notre mission est accomplie, se félicite Rémy Autebert, le président d’Areva Japon, interviewé par Sciences et Avenir. Elle consistait à mettre au point un système d’urgence en deux mois seulement pour régler le problème à très court terme. La saison des pluies et des typhons est maintenant passée et nous avons réussi à éviter un débordement des eaux». Prévue comme un système d’urgence, l’installation Areva-Kurion pourrait être arrêtée dans quelques mois.
Selon Areva Japon, du fait de différentes avaries et des quantités considérables d’effluents à traiter, le système Areva/ Kurion a fonctionné en moyenne à entre 70 et 75% de sa capacité nominale sur les trois derniers mois. Ce dispositif a été complété le 18 août par une installation Toshiba et un dispositif encore plus pérenne est prévu pour les mois qui viennent. Ce système de décontamination a permis de mettre en place une sorte de circuit fermé à partir du début du mois de juillet: l’eau contaminée contenue dans les sous-sols est dessalinisée, décontaminée puis réinjectée afin refroidir les réacteurs, avant de fuiter en partie vers les sous-sols où elle est pompée et traitée…
Selon Tepco, le niveau d’eau contaminée présent dans les parties basses diminue progressivement car le débit retraité (70m3/h) dépasse le débit d’eau injecté pour refroidir les réacteurs (15m3/h). De 120.000 tonnes d’eau radioactive en juin, on est ainsi passé à 100.000 tonnes aujourd’hui … ce qui reste bien loin de l’objectif des 60.000 tonnes. La différence tiendrait en grande partie à l’infiltration d’eau du milieu naturel vers les bâtiments des réacteurs par le biais des différentes brèches. Tepco assure en effet qu’entre 200 et 500 tonnes d’eau ruissellent chaque jour dans les bâtiments, car le niveau de l’eau présente dans les sous-sols est inférieur au niveau de la nappe phréatique. Un nouveau casse-tête à résoudre.
La menace d’une nouvelle explosion d’hydrogène?
Même s’il est minime, le risque n’est pas à écarter car une concentration d’hydrogène anormalement élevée a été détectée dans une conduite reliée à l'enceinte de confinement du réacteur 1 de la centrale le 22 septembre. Cette concentration de 1% reste pour l’instant inférieur au 4% qui pourrait provoquer une explosion si cet hydrogène entrait en contact avec de l’oxygène, concentré à plus de 5%. De plus, l’injection continue d’azote dans les trois réacteurs depuis plusieurs mois est censée réduire la concentration d’oxygène et donc limiter ce risque d’explosion. Ce sont en fait des techniciens qui tentaient d’installer un nouveau système de ventilation lié à l’enceinte de confinement qui ont découvert cette concentration anormale de gaz inflammables, dont de l’hydrogène, en deux points. Tepco a prévu d’effectuer des mesures supplémentaires dans tous les réacteurs pour en connaître le niveau exact et s’assurer qu’il n’existe pas d’autres points de concentration. «L’hypothèse la plus probable est que l’hydrogène se soit dégagé au début de la crise à la suite de l’oxydation des barres de combustibles», estime Pierre-Yves Cordier. Cette nouvelle menace rappelle les explosions d’hydrogène des 12, 14 et 15 mars qui ont fortement endommagé les enceintes de confinement des réacteurs 1, 2 et 3, et provoqué des dégagements radioactifs importants, représentant de 10 à 15% ceux de Tchernobyl en 1986.
Le réacteur 1 bientôt recouvert
Les photos officielles prises par Tepco montrent l’avancée des travaux de recouvrement du réacteur 1 (l'image ci-contre a été prise le 14 octobre; Tepco/AP/Sipa).
«Il ne s’agit pas d’un sarcophage comme à Tchernobyl mais d’une armature métallique recouverte d’une toile plastifiée qui doit permettre de limiter les rejets radioactifs et protéger le réacteur des intempéries», précise Pierre-Yves Cordier. Cette enceinte doit être terminée à la fin du mois d’octobre. En revanche, l’apparence chaotique des autres réacteurs n’a guère changé, mais les réacteurs 3 et 4, affectés par les explosions d’hydrogène, pourraient également être recouverts.
Au Japon, Marie Linton
pour Sciences et Avenir.fr
17/10/11Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Re: Actualités concours 2012
Vieillesse et addiction: un problème croissant
17-10-11 à 10:40 Réagir
La toxicomanie et la dépendance augmentent chez les personnes âgées mais les structures et les traitements adaptés à ce public font défaut.
RéagirEn Europe et en Amérique du Nord, la surconsommation de substances légales en vente libre (tabac, alcool et certains médicaments) ou sur ordonnance (antidépresseur, anxiolytiques, sédatifs, hypnotiques, myorelaxants) est un phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur chez les personnes âgées. Une étude récente indique par exemple que le nombre de personnes de plus de 50 ans vivant avec une dépendance pourrait doubler entre 2000 et 2020.
Or, avec l’âge, certaines substances ont un impact physiologique plus important. L’organisme n’a en effet plus les mêmes capacités de filtration et d’élimination, notamment chez les personnes ayant une insuffisance hépatique ou rénale. La logique serait d’alléger les prescriptions (par exemple avec des demi-doses) plutôt que de les augmenter ou de les maintenir au fil des ans. Mais les médecins ont quelquefois la main lourde et bien souvent entourage et soignants ont du mal à prendre conscience de cet abus de substances, de cette addiction.
Dans un éditorial qui paraît dans le journal of the British Geriatrics Society (BGS), le professeur Peter Crome appelle les services de santé prenant en charge ce public à prendre la dépendance chez les personnes âgées avec plus de sérieux. En systématisant par exemple l’évaluation de la consommation de substances psychoactives, et surtout en intégrant les patients détectés dans un processus de soin. Car en dépit d’une croyance assez répandue (même chez les professionnels), la recherche montre «que le sevrage accompagné des personnes âgées produit des résultats semblables, et parfois supérieurs, que chez des personnes plus jeunes.»
C’est d’ailleurs aussi un problème car les aidants ne sont pas formés à la prise en charge de ce type de pathologie et les structures spécialisées sont quasiment inexistantes. Avec le vieillissement de la population et l’augmentation de la prévalence de l’addiction chez les plus de 50 ans, le nombre de patients concernés va rapidement devenir très important. Une prise de conscience des pouvoirs publics est nécessaire afin que ces phénomènes addictifs puissent être correctement traités.
L’abus de médicaments ou d’alcool est à l’origine de plusieurs pathologies associées : chutes fréquentes, changements dans les habitudes alimentaires, perte de poids, irritabilité et agitation. Ce mois-ci, Sciences et Avenir publie d’ailleurs les résultats d’une étude indiquant que la consommation chronique d'anxiolytiques et de somnifères augmenterait le risque d’entrée dans la maladie d'Alzheimer. En particulier une prescription prolongée abusive. Certains troubles cognitifs peuvent aussi faire penser à l’apparition d’une démence alors qu’ils sont peut-être le fait d’une surconsommation médicamenteuse ou alcoolique.
J.I.
Sciences et Avenir.fr
17/10/2011Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
17-10-11 à 10:40 Réagir
La toxicomanie et la dépendance augmentent chez les personnes âgées mais les structures et les traitements adaptés à ce public font défaut.
RéagirEn Europe et en Amérique du Nord, la surconsommation de substances légales en vente libre (tabac, alcool et certains médicaments) ou sur ordonnance (antidépresseur, anxiolytiques, sédatifs, hypnotiques, myorelaxants) est un phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur chez les personnes âgées. Une étude récente indique par exemple que le nombre de personnes de plus de 50 ans vivant avec une dépendance pourrait doubler entre 2000 et 2020.
Or, avec l’âge, certaines substances ont un impact physiologique plus important. L’organisme n’a en effet plus les mêmes capacités de filtration et d’élimination, notamment chez les personnes ayant une insuffisance hépatique ou rénale. La logique serait d’alléger les prescriptions (par exemple avec des demi-doses) plutôt que de les augmenter ou de les maintenir au fil des ans. Mais les médecins ont quelquefois la main lourde et bien souvent entourage et soignants ont du mal à prendre conscience de cet abus de substances, de cette addiction.
Dans un éditorial qui paraît dans le journal of the British Geriatrics Society (BGS), le professeur Peter Crome appelle les services de santé prenant en charge ce public à prendre la dépendance chez les personnes âgées avec plus de sérieux. En systématisant par exemple l’évaluation de la consommation de substances psychoactives, et surtout en intégrant les patients détectés dans un processus de soin. Car en dépit d’une croyance assez répandue (même chez les professionnels), la recherche montre «que le sevrage accompagné des personnes âgées produit des résultats semblables, et parfois supérieurs, que chez des personnes plus jeunes.»
C’est d’ailleurs aussi un problème car les aidants ne sont pas formés à la prise en charge de ce type de pathologie et les structures spécialisées sont quasiment inexistantes. Avec le vieillissement de la population et l’augmentation de la prévalence de l’addiction chez les plus de 50 ans, le nombre de patients concernés va rapidement devenir très important. Une prise de conscience des pouvoirs publics est nécessaire afin que ces phénomènes addictifs puissent être correctement traités.
L’abus de médicaments ou d’alcool est à l’origine de plusieurs pathologies associées : chutes fréquentes, changements dans les habitudes alimentaires, perte de poids, irritabilité et agitation. Ce mois-ci, Sciences et Avenir publie d’ailleurs les résultats d’une étude indiquant que la consommation chronique d'anxiolytiques et de somnifères augmenterait le risque d’entrée dans la maladie d'Alzheimer. En particulier une prescription prolongée abusive. Certains troubles cognitifs peuvent aussi faire penser à l’apparition d’une démence alors qu’ils sont peut-être le fait d’une surconsommation médicamenteuse ou alcoolique.
J.I.
Sciences et Avenir.fr
17/10/2011Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
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Re: Actualités concours 2012
C'est très bien!! Ce sont de super résultat!!!28/40 et 35/40 Niveau réponse
En ce qui me concerne je suis aussi dans ses eaux là. Je ne compte pas tout le temps. Mais le sans faute me fuit pour l'instant.
Je me répétes une nouvelle fois "NE TE SOUS ESTIME PAS!!"
Tu as de bons résultats, vraiment. Il faut que tu prennes confiance en toi.
Après, plus tu t'entraines, plus tu deviens rapide. Mais déjà 40 minutes 40 questions certains n'y arrivent pas. Alors ne te stresses pas! Et ai confiance en toi!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Montpellier: Admise sur LP!!
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Re: Actualités concours 2012
Merci Memo de tes encouragements!
Motivée motivée !!! lool
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Motivée motivée !!! lool

INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Heureuse de te l'entendre dire!!
ON VA Y ARRIVER!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

ON VA Y ARRIVER!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012
Merci pour vos conseils mémo et debella!
Pour les fiches je fais pareil,je mets aussi 1 à 2h mais je suit mon livre donc je ne peut pas poster je suis pas en même temps que vous.Par contre je vais aller faire un tour sur l'entrainement culture générale...
Pour l'actu je crois que je vais faire ça,une heure au café c'est une bonne idée!
Pour les maths par contre j'espère que pour moi aussi l'entraînement va payer parce que là c'est désesperant (enfin surtout les calculs ,la logique je me débrouille, mais racines carrées, équations....
au secours!!) j'ai tellement peur de pas avoir le concours à cause de ça!!
motivation,motivation!!!
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Pour les fiches je fais pareil,je mets aussi 1 à 2h mais je suit mon livre donc je ne peut pas poster je suis pas en même temps que vous.Par contre je vais aller faire un tour sur l'entrainement culture générale...
Pour l'actu je crois que je vais faire ça,une heure au café c'est une bonne idée!

Pour les maths par contre j'espère que pour moi aussi l'entraînement va payer parce que là c'est désesperant (enfin surtout les calculs ,la logique je me débrouille, mais racines carrées, équations....

motivation,motivation!!!

J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Re: Actualités concours 2012
Courage Mouchou ! Moi pareil, les équations j'étais nulle. Et a force j'ai eu le déclic, et maintenant c'est surement la partie que j'arrive le mieux avec les problemes.mouchou64 a écrit :Merci pour vos conseils mémo et debella!
Pour les fiches je fais pareil,je mets aussi 1 à 2h mais je suit mon livre donc je ne peut pas poster je suis pas en même temps que vous.Par contre je vais aller faire un tour sur l'entrainement culture générale...
Pour l'actu je crois que je vais faire ça,une heure au café c'est une bonne idée!![]()
Pour les maths par contre j'espère que pour moi aussi l'entraînement va payer parce que là c'est désesperant (enfin surtout les calculs ,la logique je me débrouille, mais racines carrées, équations....au secours!!) j'ai tellement peur de pas avoir le concours à cause de ça!!
motivation,motivation!!!
Les problèmes pareilles je comprenais rien du tout...Et je suis de plus en plus a l'aise..
Bon comme dis plus haut je fais encore des erreurs, quand y a trop de - ... C'est la cata.
La je planche mes racine carrée, par je suis pas type top ! Y a toujours un truc qui me contrarie ..
L'aire et les volume c chaud aussi..
Je commence a bien cernée mes lacunes, pour faire et refaire ..

Sinon la logique, la aujoudhui c'est ma priorité !

JE LE VEUX, JE LE VEUX, JE LE VEUX !!!!

Tu as quel livre Mouchou ?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Premiers tests antialcool dans les soirées étudiantes
Des associations de jeunes commencent à contrôler les excès liés à l'alcool.
Ils n'ont pas été pris au dépourvu et avaient même été prévenus quelques jours plus tôt. Les étudiants qui organisaient une soirée dans une discothèque de Valenciennes la semaine dernière ont reçu la visite d'un petit comité qui n'avait rien de festif. L'Association de lutte contre l'alcoolisme, le Comité national de lutte contre le bizutage et une association d'étudiants ont fait irruption pour vérifier ensemble qu'il n'y avait aucun dérapage. Dans leur collimateur notamment : l'alcool et ses excès, qui sont à l'origine de tant de drames. On ne compte plus, en effet, les comas éthyliques parmi les jeunes et les accidents mortels de la circulation. Les 18-24 ans représentent 21 % des tués (pour 9 % de la population), et 40 % de ces décès sont liés à l'alcool.
Cette visite de contrôle, baptisée «testing», est la première du genre organisée en France, après le lancement de ce nouveau dispositif au début du mois par le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Laurent Wauquiez. En affirmant sa volonté de responsabiliser les organisateurs des soirées étudiantes, ce dernier avait voulu trouver le moyen de monter des opérations de contrôle fondées sur le dialogue et l'information. Quoi de mieux, alors, que de recourir à des jeunes se portant volontaires pour mener en douceur ces visites avec des associations… Les étudiants parlent aux étudiants. Le testing est né.
«Avant de contrôler la soirée, on travaille en amont avec les organisateurs - des associations d'étudiants - afin de les inciter à fournir par exemple des éthylotests», explique Matthieu Bach, vice-président de l'association, Promotion et défense des étudiants (PDE). Une rencontre qui vise aussi à instaurer de nouvelles habitudes : «Comme celle de désigner celui qui ne boira pas car il sera le conducteur.» Ou encore à faire connaître la loi. Bien qu'interdits depuis 2009 car favorisant le binge drinking (consommation rapide), les open bars (la vente au forfait de l'alcool) se pratiquent souvent par méconnaissance des règles, selon le responsable de PDE, qui précise : «On n'est pas là pour faire du répressif ou de la délation mais pour accompagner les responsables qui montent ces événements.»
Ce premier testing à Valenciennes a permis de relever une pratique aussi contestable que constante : les boissons non alcoolisées vendues au même prix que la bière. «Les jeunes consomment alors de l'alcool», regrette le président de PDE, Steven Da Cruz, présent à cette première visite. La prochaine aura lieu ce jeudi à Reims.
Des opérations nécessaires
Encore dans une phase de rodage, ces opérations, dont le nombre devrait monter en puissance dès 2012, semblent pour le moins nécessaire. Une étude publiée la semaine dernière et commandée par la Prévention routière et Assureurs Prévention rappelle que l'alcool coule à flots au cours de ces fêtes. Réalisée par le Crédoc, auprès de 267 associations étudiantes, cette enquête livre une photographie de la situation. On y apprend que dans 25 % des cas, les open bars y sont pratiqués et que les boissons alcoolisées proposées y sont vendues à prix réduit ou offertes. Autre enseignement : la moitié des organisateurs ne mettent jamais en œuvre une quelconque action de prévention et ignorent en majorité que leur responsabilité pénale peut être engagée en cas d'accident. En révélant cette enquête, la Prévention routière et Assureurs Prévention ont, en parallèle, annoncé le lancement d'une nouvelle campagne ciblant ces soirées. L'objectif est le même : mettre un terme à tous les excès liés à l'alcool.
--------------------------------------------------------------------------------
Un clip choc sur huit chaînes
Âmes sensibles, s'abstenir. Un clip choc de la sécurité routière, baptisé Insoutenable, va être diffusé sur huit chaînes de télévision(TF1, France 2, France 3, M6, W9, France 4, NRJ12 et NT1) ce jeudi entre 19 h 50 et 20 h 40. Le thème abordé : l'alcool au volant chez les jeunes. Sur les images : la fête, des adolescents qui s'enivrent, qui prennent ensuite la voiture, et c'est le drame. Le traitement donne l'impression que l'on assiste à un véritable accident. Pour ce résultat réaliste, de réels sauveteurs s'étaient d'ailleurs mêlés aux acteurs du film lors du tournage. En parallèle, on assiste à la terrible mission d'un gendarme. La mine défaite et en pleine nuit, il frappe à la porte d'un foyer.
Une mère de famille ouvre et apprend la mort de son fils.
Cette vidéo de 2 minutes est la version courte d'un clip de 5 minutes diffusé l'an passé sur YouTube. Ce dernier avait frappé les esprits. Insoutenable avait fait le buzz et avait été visionné par plus de 2 millions d'internautes une semaine après son lancement.
«Avec cette version plus courte,on espère créer un électrochoc», admet Jean-Luc Névache, délégué interministériel à la sécurité routière, en poursuivant : «Ce film est dur, c'est vrai, mais c'est la réalité qui est dure.» L'an passé, 331 jeunes (entre 18 et 24 ans) ont trouvé la mort dans un accident lié à l'alcool.
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Des associations de jeunes commencent à contrôler les excès liés à l'alcool.
Ils n'ont pas été pris au dépourvu et avaient même été prévenus quelques jours plus tôt. Les étudiants qui organisaient une soirée dans une discothèque de Valenciennes la semaine dernière ont reçu la visite d'un petit comité qui n'avait rien de festif. L'Association de lutte contre l'alcoolisme, le Comité national de lutte contre le bizutage et une association d'étudiants ont fait irruption pour vérifier ensemble qu'il n'y avait aucun dérapage. Dans leur collimateur notamment : l'alcool et ses excès, qui sont à l'origine de tant de drames. On ne compte plus, en effet, les comas éthyliques parmi les jeunes et les accidents mortels de la circulation. Les 18-24 ans représentent 21 % des tués (pour 9 % de la population), et 40 % de ces décès sont liés à l'alcool.
Cette visite de contrôle, baptisée «testing», est la première du genre organisée en France, après le lancement de ce nouveau dispositif au début du mois par le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Laurent Wauquiez. En affirmant sa volonté de responsabiliser les organisateurs des soirées étudiantes, ce dernier avait voulu trouver le moyen de monter des opérations de contrôle fondées sur le dialogue et l'information. Quoi de mieux, alors, que de recourir à des jeunes se portant volontaires pour mener en douceur ces visites avec des associations… Les étudiants parlent aux étudiants. Le testing est né.
«Avant de contrôler la soirée, on travaille en amont avec les organisateurs - des associations d'étudiants - afin de les inciter à fournir par exemple des éthylotests», explique Matthieu Bach, vice-président de l'association, Promotion et défense des étudiants (PDE). Une rencontre qui vise aussi à instaurer de nouvelles habitudes : «Comme celle de désigner celui qui ne boira pas car il sera le conducteur.» Ou encore à faire connaître la loi. Bien qu'interdits depuis 2009 car favorisant le binge drinking (consommation rapide), les open bars (la vente au forfait de l'alcool) se pratiquent souvent par méconnaissance des règles, selon le responsable de PDE, qui précise : «On n'est pas là pour faire du répressif ou de la délation mais pour accompagner les responsables qui montent ces événements.»
Ce premier testing à Valenciennes a permis de relever une pratique aussi contestable que constante : les boissons non alcoolisées vendues au même prix que la bière. «Les jeunes consomment alors de l'alcool», regrette le président de PDE, Steven Da Cruz, présent à cette première visite. La prochaine aura lieu ce jeudi à Reims.
Des opérations nécessaires
Encore dans une phase de rodage, ces opérations, dont le nombre devrait monter en puissance dès 2012, semblent pour le moins nécessaire. Une étude publiée la semaine dernière et commandée par la Prévention routière et Assureurs Prévention rappelle que l'alcool coule à flots au cours de ces fêtes. Réalisée par le Crédoc, auprès de 267 associations étudiantes, cette enquête livre une photographie de la situation. On y apprend que dans 25 % des cas, les open bars y sont pratiqués et que les boissons alcoolisées proposées y sont vendues à prix réduit ou offertes. Autre enseignement : la moitié des organisateurs ne mettent jamais en œuvre une quelconque action de prévention et ignorent en majorité que leur responsabilité pénale peut être engagée en cas d'accident. En révélant cette enquête, la Prévention routière et Assureurs Prévention ont, en parallèle, annoncé le lancement d'une nouvelle campagne ciblant ces soirées. L'objectif est le même : mettre un terme à tous les excès liés à l'alcool.
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Un clip choc sur huit chaînes
Âmes sensibles, s'abstenir. Un clip choc de la sécurité routière, baptisé Insoutenable, va être diffusé sur huit chaînes de télévision(TF1, France 2, France 3, M6, W9, France 4, NRJ12 et NT1) ce jeudi entre 19 h 50 et 20 h 40. Le thème abordé : l'alcool au volant chez les jeunes. Sur les images : la fête, des adolescents qui s'enivrent, qui prennent ensuite la voiture, et c'est le drame. Le traitement donne l'impression que l'on assiste à un véritable accident. Pour ce résultat réaliste, de réels sauveteurs s'étaient d'ailleurs mêlés aux acteurs du film lors du tournage. En parallèle, on assiste à la terrible mission d'un gendarme. La mine défaite et en pleine nuit, il frappe à la porte d'un foyer.
Une mère de famille ouvre et apprend la mort de son fils.
Cette vidéo de 2 minutes est la version courte d'un clip de 5 minutes diffusé l'an passé sur YouTube. Ce dernier avait frappé les esprits. Insoutenable avait fait le buzz et avait été visionné par plus de 2 millions d'internautes une semaine après son lancement.
«Avec cette version plus courte,on espère créer un électrochoc», admet Jean-Luc Névache, délégué interministériel à la sécurité routière, en poursuivant : «Ce film est dur, c'est vrai, mais c'est la réalité qui est dure.» L'an passé, 331 jeunes (entre 18 et 24 ans) ont trouvé la mort dans un accident lié à l'alcool.
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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ESI 2012/2015!!
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Re: Actualités concours 2012
Les vertus des vitamines et des oxydants remises en cause
Plusieurs études démontrent qu'une surconsommation de certains micronutriments populaires peut être dangereuse.
Les risques posés par les oxydants et les vertus des vitamines pour les neutraliser et préserver la santé sont remis en question par nombre d'études, dont plusieurs révèlent le danger d'une surconsommation de certains de ces micronutriments populaires.
"Tout le monde est un peu perdu, car logiquement les vitamines, des anti-oxydants, devraient agir contre les maladies, mais toutes les données cliniques ne montrent aucune différence", explique le Dr Toren Finkel, directeur du Centre de médecine moléculaire aux Instituts nationaux de la santé (NIH). "Cela signifie qu'il faut revoir nos hypothèses sur les mécanismes de ces maladies et du rôle des oxydants", poursuit-il dans un entretien avec l'AFP.
"Retourner dans le laboratoire"
"On est toujours parti de l'idée que les oxydants étaient mauvais pour l'organisme, et depuis ces dix dernières années, on commence à se rendre compte que ce n'était pas forcément vrai", précise le chercheur. Ainsi, des recherches ont montré que les cellules utilisent les oxydants pour signaler une inflammation et que ces derniers n'endommagent pas toujours l'organisme, jouant un rôle utile, souligne-t-il.
"Il faut donc retourner dans le laboratoire pour effectuer des recherches avec des cellules ou des animaux afin de mieux comprendre le rôle des oxydants et des vitamines", estime le Dr Finkel. "Durant de nombreuses années, nous avons utilisé ces vitamines sans connaître leurs effets", concède-t-il. "Nous disposons de nombreuses données montrant qu'une carence de certaines vitamines est néfaste, mais cela ne veut pas dire qu'en absorber beaucoup est mieux", selon lui.
Ainsi, une étude publiée le 11 octobre aux États-Unis indique une augmentation de 17 % du risque de cancer de la prostate chez des hommes prenant de la vitamine E à haute dose. Une autre recherche américaine menée avec des femmes, parue le 10 octobre, révèle que des multivitamines étaient inutiles et accroissaient légèrement leur risque de mortalité. Déjà en 2007, des chercheurs avaient établi un lien entre un danger accru de diabète adulte et des suppléments de sélénium.
Un régime sain suffit
Le problème, "c'est que le public pense que plus est mieux et sans danger", relève David Schardt, nutritionniste au "Center for Science in the Public Interest", un organisme à but non lucratif. "Mais maintenant, nous découvrons que certaines vitamines prises en grande quantité peuvent avoir des effets néfastes inattendus que nous ne comprenons pas", dit-il à l'AFP. "Il y a aussi un grand nombre de personnes qui ont la foi, presque comme une religion, en leurs vitamines", une attitude encouragée par une industrie qui pèse 20 milliards de dollars par an aux États-Unis, où la moitié de la population consomme ces compléments alimentaires, explique ce nutritionniste. En outre, les fabricants de vitamines peuvent quasiment attribuer toutes les vertus à leurs produits aux États-Unis à l'exception de prétendre qu'ils traitent des maladies.
Patsy Brannon, professeur de nutrition à l'université Cornell (New York, nord-est), note que ce sont plus souvent les personnes se nourrissant bien et choisissant des aliments vitaminés qui prennent des compléments de vitamines. Ainsi, ils peuvent très vite atteindre des doses élevées et potentiellement risquées. Ces compléments sont néanmoins nécessaires pour certains, comme les femmes enceintes et les personnes âgées souffrant de carences chroniques.
Mais, pour la population générale, un régime alimentaire sain, composé de légumes et fruits riches en fibres ainsi que de protéines animales, fournit les vitamines et autres micronutriments nécessaires, indique-t-elle à l'AFP. Une recherche parue fin août dans le Journal of Nutrition montre qu'un grand nombre d'Américains se nourrissent mal et ne prennent pas de compléments vitaminés. Ainsi, 25 % ont une carence en vitamine C, 34 % en vitamine A et 60 % en vitamine E, qui se trouvent surtout dans les fruits et légumes.
LE pointÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Plusieurs études démontrent qu'une surconsommation de certains micronutriments populaires peut être dangereuse.
Les risques posés par les oxydants et les vertus des vitamines pour les neutraliser et préserver la santé sont remis en question par nombre d'études, dont plusieurs révèlent le danger d'une surconsommation de certains de ces micronutriments populaires.
"Tout le monde est un peu perdu, car logiquement les vitamines, des anti-oxydants, devraient agir contre les maladies, mais toutes les données cliniques ne montrent aucune différence", explique le Dr Toren Finkel, directeur du Centre de médecine moléculaire aux Instituts nationaux de la santé (NIH). "Cela signifie qu'il faut revoir nos hypothèses sur les mécanismes de ces maladies et du rôle des oxydants", poursuit-il dans un entretien avec l'AFP.
"Retourner dans le laboratoire"
"On est toujours parti de l'idée que les oxydants étaient mauvais pour l'organisme, et depuis ces dix dernières années, on commence à se rendre compte que ce n'était pas forcément vrai", précise le chercheur. Ainsi, des recherches ont montré que les cellules utilisent les oxydants pour signaler une inflammation et que ces derniers n'endommagent pas toujours l'organisme, jouant un rôle utile, souligne-t-il.
"Il faut donc retourner dans le laboratoire pour effectuer des recherches avec des cellules ou des animaux afin de mieux comprendre le rôle des oxydants et des vitamines", estime le Dr Finkel. "Durant de nombreuses années, nous avons utilisé ces vitamines sans connaître leurs effets", concède-t-il. "Nous disposons de nombreuses données montrant qu'une carence de certaines vitamines est néfaste, mais cela ne veut pas dire qu'en absorber beaucoup est mieux", selon lui.
Ainsi, une étude publiée le 11 octobre aux États-Unis indique une augmentation de 17 % du risque de cancer de la prostate chez des hommes prenant de la vitamine E à haute dose. Une autre recherche américaine menée avec des femmes, parue le 10 octobre, révèle que des multivitamines étaient inutiles et accroissaient légèrement leur risque de mortalité. Déjà en 2007, des chercheurs avaient établi un lien entre un danger accru de diabète adulte et des suppléments de sélénium.
Un régime sain suffit
Le problème, "c'est que le public pense que plus est mieux et sans danger", relève David Schardt, nutritionniste au "Center for Science in the Public Interest", un organisme à but non lucratif. "Mais maintenant, nous découvrons que certaines vitamines prises en grande quantité peuvent avoir des effets néfastes inattendus que nous ne comprenons pas", dit-il à l'AFP. "Il y a aussi un grand nombre de personnes qui ont la foi, presque comme une religion, en leurs vitamines", une attitude encouragée par une industrie qui pèse 20 milliards de dollars par an aux États-Unis, où la moitié de la population consomme ces compléments alimentaires, explique ce nutritionniste. En outre, les fabricants de vitamines peuvent quasiment attribuer toutes les vertus à leurs produits aux États-Unis à l'exception de prétendre qu'ils traitent des maladies.
Patsy Brannon, professeur de nutrition à l'université Cornell (New York, nord-est), note que ce sont plus souvent les personnes se nourrissant bien et choisissant des aliments vitaminés qui prennent des compléments de vitamines. Ainsi, ils peuvent très vite atteindre des doses élevées et potentiellement risquées. Ces compléments sont néanmoins nécessaires pour certains, comme les femmes enceintes et les personnes âgées souffrant de carences chroniques.
Mais, pour la population générale, un régime alimentaire sain, composé de légumes et fruits riches en fibres ainsi que de protéines animales, fournit les vitamines et autres micronutriments nécessaires, indique-t-elle à l'AFP. Une recherche parue fin août dans le Journal of Nutrition montre qu'un grand nombre d'Américains se nourrissent mal et ne prennent pas de compléments vitaminés. Ainsi, 25 % ont une carence en vitamine C, 34 % en vitamine A et 60 % en vitamine E, qui se trouvent surtout dans les fruits et légumes.
LE pointÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Sexualité : Les Françaises en veulent plus !
Pour France-Soir, le sexologue Pascal De Sutter lève le drap sur nos comportements marqués par les désirs des femmes.
Comment faisons-nous l’amour ? Sommes-nous différents des autres ? Les femmes ont-elles changé ? Fondée sur les dernières études sur la sexualité des Français, M6 diffuse mardi soir la deuxième saison des Français, l’amour et le sexe, toujours commentée par le sexologue Pascal De Sutter (docteur en psychologie, professeur à l’université de Louvain et auteur de La Sexualité des gens heureux aux éditions des Arènes). Pour des audiences au septième ciel…
FRANCE-SOIR En quoi la sexualité des Français a-t-elle changé ?
PASCAL DE SUTTER Outre le fait que les pratiques sexuelles orales, fellation et cunnilingus, font partie du répertoire sexuel, on constate que les femmes s’émancipent. Elles veulent une sexualité désirée, accomplie et du plaisir. Elles prennent le pouvoir en quelque sorte. Il n’est plus question aujourd’hui du devoir conjugal de nos grands-mères. C’est d’ailleurs très bon pour leur santé mentale et physique puisqu’une sexualité épanouie augmente l’espérance de vie.
F.-S. Pourtant, il y a encore 21 % des hommes en France qui pensent qu’une femme ayant une relation sexuelle le premier soir est une femme facile…
P. D. S. C’est une spécificité latine. Ces hommes pensent que si elle accepte le premier soir, c’est qu’elle n’est pas sélective. Et que si elle le fait aussi rapidement avec eux, c’est qu’elle fait de même avec d’autres et qu’elle pourrait les tromper… Ils veulent qu’une femme avec laquelle ils envisagent de s’engager soit difficile à conquérir. Ils ont l’illusion que si elle est moins accessible, elle leur sera plus fidèle.
F.-S. Une étude déclare que 15 à 20 % des femmes auraient eu une relation extraconjugale. Les femmes sont-elles plus infidèles ?
P. D. S. C'est difficile de chiffrer étant donné le secret qui entoure cette activité. Quoi qu’il en soit, la femme adultérine se sent souvent coupable, non seulement face à son conjoint, mais aussi face à ses enfants et à son entourage. Elle n’assume pas pour des raisons culturelles. Pour justifier son amant, elle va dénigrer son compagnon en disant qu’il la délaissait, la négligeait…
F.-S. 20 % des hommes ont une sexualité ritualisée (amour à heure fixe). Ce ne sont plus les femmes qui ont la migraine ?
P. D. S. Six couples sur dix font l’amour le soir en se couchant. Ils veulent peu d’efforts et un orgasme facilement accessible. Ils abandonnent ce qui leur paraît compliqué et fatigant et préfèrent se retrouver à jours fixes. Mais cette formule la plus simple, plus confortable et plus élémentaire fait tomber les couples dans la routine. C’est comme manger des spaghetti bolognaise à chaque repas, à un moment on n’arrive plus à apprécier.
F.-S. Un Français sur deux manque de désir dans son couple…
P. D. S. C’est énorme et c’est un phénomène nouveau. Et c’est encore plus important dans les pays comme la Corée ou le Japon où les hommes sont beaucoup plus stressés que chez nous. Mais vous savez, 20 % des hommes déclarent ne plus avoir de désir pour leur femme. Il y a le stress, certes. Mais je pose la question : l’homme est-il fait pour avoir du désir pour la même femme pendant des décennies ? Chez les primates, entre une partenaire habituelle et une nouvelle, le mâle choisit la nouvelle. C’est biologique d’être attiré par la nouveauté.
F.-S. Pour avoir une vie de couple harmonieuse, faut-il avoir une vie sexuelle épanouie ?
P. D. S. Oui, sauf dans le cas où les deux partenaires font le choix de renoncer à la vie sexuelle. Ils peuvent avoir une vie harmonieuse. Mais il faut être deux à le vouloir.
F.-S. La crise influence la sexualité des Français ?
P. D. S. Oui, ça joue sur le comportement sexuel et ça l’affecte. Quand un couple a des problèmes d’argent, il est moins porté sur la joyeuseté de la sexualité. Cela le stresse et l’angoisse. Les sorties, les vacances (on voit bien que les couples ont plus de rapports durant cette période) contribuent à une sexualité épanouie. Mais ça nécessite un peu de moyens.
F.-S. Comment pimenter une vie sexuelle ?
P. D. S. Il faut prendre du temps, s’organiser pour avoir des moments privilégiés pour faire l’amour. Quand on n’a pas envie d’aller à sa séance de sport et qu’on y va quand même, on en ressort bien, en forme et détendu. Le désir, c’est pareil. Les femmes ne doivent pas que séduire leur conjoint, elles peuvent être dans la séduction envers d’autres hommes. Cela leur procure une nouvelle attirance pour leur partenaire. Ou prendre un amant, par exemple, c’est très bon pour le désir sexuel.
F.-S. L’amour ne dure-t-il que trois ans ?
P. D. S. Sur le plan neurochimique, quand on est amoureux, on sécrète notamment l’ocytocine et la dopamine qui nous rend dépendant à l’autre. Durant la phase passion, on est fusionnel, on fait des efforts pour l’autre, on est totalement dans la séduction. Mais cela ne dure que trois ans car passé ce délai, l’euphorie des débuts laisse place à l’affection et à la complicité. Le couple prend pleinement conscience des défauts de l’autre. Même les histoires les plus passionnelles laissent place à un amour plus profond, plus durable, plus stable voire plus sain.
F.-S. Comment la sexualité des Français est elle perçue à l’étranger ?
P. D. S. Les Français sont vus comme des charmeurs, des séducteurs, plus machistes et plus performants. Mais depuis l’affaire Dominique Strauss-Kahn, les Nord-Américains les perçoivent comme plus dominants et plus harcelants. C’est une illusion évidemment. Quant aux Françaises, c’est culturel, on s’imagine qu’on doit leur faire la cour, qu’elles attendent à ce que ce soit l’homme qui fasse des avances, même si elle aura la décision finale. Elles ont l’image d’être plus réservées, contrairement aux Américaines qui n’hésitent pas à faire des avances.
LES FRANÇAIS, L’AMOUR ET LE SEXE
22 H 30 - M6
La sexualité des Français en chiffres
6 Français sur 10 font le plus souvent l’amour le soir et préfèrent la position du missionnaire.
63 % des hommes et 49 % des femmes pensent que réaliser leurs fantasmes réveille leur désir.
1 couple sur 6 se sépare pendant la grossesse.
Les femmes déclarent 4,4 partenaires sexuels au cours de leur vie contre 1,8 en 1970, et 10,9 % des femmes et 35,4 % des hommes déclarent avoir eu plus de 10 partenaires sexuels dans leur vie.
100 % des couples tombent un jour dans la routine.
2 % des Français avouent avoir essayé des pratiques sexuelles alternatives.
55 % des femmes accordent plus d’importance à la tendresse qu’à la performance sexuelle.
63 % des hommes et 49 % des femmes pensent qu’il faut réaliser ses fantasmes qui sont en majorité l’infirmière pour l’homme et le pompier pour la femme.
6 % des hommes souffrent d’addiction au sexe.
Le phénomène couguar
L’âge idéal sexuel serait un homme de 20 ans avec une femme de 40 ans. Pourquoi ? Parce qu’à cet âge l’homme est plus vigoureux, plus attirant physiquement, toujours partant pour suivre le rythme et les envies de la quadra qui est à l’apogée de sa sexualité puisqu’elle a de l’expérience, connaît parfaitement son corps et ses zones érogènes. C’est ce qu’on appelle le phénomène couguar. Ces femmes plus âgées, actives, qui se lassent de leurs conjoints qui ne les font plus vibrer, ne cachent plus leur attirance pour les toy boys. Mais qu’en pensent les femmes de l’émission de M6 ?
France soirÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Pour France-Soir, le sexologue Pascal De Sutter lève le drap sur nos comportements marqués par les désirs des femmes.
Comment faisons-nous l’amour ? Sommes-nous différents des autres ? Les femmes ont-elles changé ? Fondée sur les dernières études sur la sexualité des Français, M6 diffuse mardi soir la deuxième saison des Français, l’amour et le sexe, toujours commentée par le sexologue Pascal De Sutter (docteur en psychologie, professeur à l’université de Louvain et auteur de La Sexualité des gens heureux aux éditions des Arènes). Pour des audiences au septième ciel…
FRANCE-SOIR En quoi la sexualité des Français a-t-elle changé ?
PASCAL DE SUTTER Outre le fait que les pratiques sexuelles orales, fellation et cunnilingus, font partie du répertoire sexuel, on constate que les femmes s’émancipent. Elles veulent une sexualité désirée, accomplie et du plaisir. Elles prennent le pouvoir en quelque sorte. Il n’est plus question aujourd’hui du devoir conjugal de nos grands-mères. C’est d’ailleurs très bon pour leur santé mentale et physique puisqu’une sexualité épanouie augmente l’espérance de vie.
F.-S. Pourtant, il y a encore 21 % des hommes en France qui pensent qu’une femme ayant une relation sexuelle le premier soir est une femme facile…
P. D. S. C’est une spécificité latine. Ces hommes pensent que si elle accepte le premier soir, c’est qu’elle n’est pas sélective. Et que si elle le fait aussi rapidement avec eux, c’est qu’elle fait de même avec d’autres et qu’elle pourrait les tromper… Ils veulent qu’une femme avec laquelle ils envisagent de s’engager soit difficile à conquérir. Ils ont l’illusion que si elle est moins accessible, elle leur sera plus fidèle.
F.-S. Une étude déclare que 15 à 20 % des femmes auraient eu une relation extraconjugale. Les femmes sont-elles plus infidèles ?
P. D. S. C'est difficile de chiffrer étant donné le secret qui entoure cette activité. Quoi qu’il en soit, la femme adultérine se sent souvent coupable, non seulement face à son conjoint, mais aussi face à ses enfants et à son entourage. Elle n’assume pas pour des raisons culturelles. Pour justifier son amant, elle va dénigrer son compagnon en disant qu’il la délaissait, la négligeait…
F.-S. 20 % des hommes ont une sexualité ritualisée (amour à heure fixe). Ce ne sont plus les femmes qui ont la migraine ?
P. D. S. Six couples sur dix font l’amour le soir en se couchant. Ils veulent peu d’efforts et un orgasme facilement accessible. Ils abandonnent ce qui leur paraît compliqué et fatigant et préfèrent se retrouver à jours fixes. Mais cette formule la plus simple, plus confortable et plus élémentaire fait tomber les couples dans la routine. C’est comme manger des spaghetti bolognaise à chaque repas, à un moment on n’arrive plus à apprécier.
F.-S. Un Français sur deux manque de désir dans son couple…
P. D. S. C’est énorme et c’est un phénomène nouveau. Et c’est encore plus important dans les pays comme la Corée ou le Japon où les hommes sont beaucoup plus stressés que chez nous. Mais vous savez, 20 % des hommes déclarent ne plus avoir de désir pour leur femme. Il y a le stress, certes. Mais je pose la question : l’homme est-il fait pour avoir du désir pour la même femme pendant des décennies ? Chez les primates, entre une partenaire habituelle et une nouvelle, le mâle choisit la nouvelle. C’est biologique d’être attiré par la nouveauté.
F.-S. Pour avoir une vie de couple harmonieuse, faut-il avoir une vie sexuelle épanouie ?
P. D. S. Oui, sauf dans le cas où les deux partenaires font le choix de renoncer à la vie sexuelle. Ils peuvent avoir une vie harmonieuse. Mais il faut être deux à le vouloir.
F.-S. La crise influence la sexualité des Français ?
P. D. S. Oui, ça joue sur le comportement sexuel et ça l’affecte. Quand un couple a des problèmes d’argent, il est moins porté sur la joyeuseté de la sexualité. Cela le stresse et l’angoisse. Les sorties, les vacances (on voit bien que les couples ont plus de rapports durant cette période) contribuent à une sexualité épanouie. Mais ça nécessite un peu de moyens.
F.-S. Comment pimenter une vie sexuelle ?
P. D. S. Il faut prendre du temps, s’organiser pour avoir des moments privilégiés pour faire l’amour. Quand on n’a pas envie d’aller à sa séance de sport et qu’on y va quand même, on en ressort bien, en forme et détendu. Le désir, c’est pareil. Les femmes ne doivent pas que séduire leur conjoint, elles peuvent être dans la séduction envers d’autres hommes. Cela leur procure une nouvelle attirance pour leur partenaire. Ou prendre un amant, par exemple, c’est très bon pour le désir sexuel.
F.-S. L’amour ne dure-t-il que trois ans ?
P. D. S. Sur le plan neurochimique, quand on est amoureux, on sécrète notamment l’ocytocine et la dopamine qui nous rend dépendant à l’autre. Durant la phase passion, on est fusionnel, on fait des efforts pour l’autre, on est totalement dans la séduction. Mais cela ne dure que trois ans car passé ce délai, l’euphorie des débuts laisse place à l’affection et à la complicité. Le couple prend pleinement conscience des défauts de l’autre. Même les histoires les plus passionnelles laissent place à un amour plus profond, plus durable, plus stable voire plus sain.
F.-S. Comment la sexualité des Français est elle perçue à l’étranger ?
P. D. S. Les Français sont vus comme des charmeurs, des séducteurs, plus machistes et plus performants. Mais depuis l’affaire Dominique Strauss-Kahn, les Nord-Américains les perçoivent comme plus dominants et plus harcelants. C’est une illusion évidemment. Quant aux Françaises, c’est culturel, on s’imagine qu’on doit leur faire la cour, qu’elles attendent à ce que ce soit l’homme qui fasse des avances, même si elle aura la décision finale. Elles ont l’image d’être plus réservées, contrairement aux Américaines qui n’hésitent pas à faire des avances.
LES FRANÇAIS, L’AMOUR ET LE SEXE
22 H 30 - M6
La sexualité des Français en chiffres
6 Français sur 10 font le plus souvent l’amour le soir et préfèrent la position du missionnaire.
63 % des hommes et 49 % des femmes pensent que réaliser leurs fantasmes réveille leur désir.
1 couple sur 6 se sépare pendant la grossesse.
Les femmes déclarent 4,4 partenaires sexuels au cours de leur vie contre 1,8 en 1970, et 10,9 % des femmes et 35,4 % des hommes déclarent avoir eu plus de 10 partenaires sexuels dans leur vie.
100 % des couples tombent un jour dans la routine.
2 % des Français avouent avoir essayé des pratiques sexuelles alternatives.
55 % des femmes accordent plus d’importance à la tendresse qu’à la performance sexuelle.
63 % des hommes et 49 % des femmes pensent qu’il faut réaliser ses fantasmes qui sont en majorité l’infirmière pour l’homme et le pompier pour la femme.
6 % des hommes souffrent d’addiction au sexe.
Le phénomène couguar
L’âge idéal sexuel serait un homme de 20 ans avec une femme de 40 ans. Pourquoi ? Parce qu’à cet âge l’homme est plus vigoureux, plus attirant physiquement, toujours partant pour suivre le rythme et les envies de la quadra qui est à l’apogée de sa sexualité puisqu’elle a de l’expérience, connaît parfaitement son corps et ses zones érogènes. C’est ce qu’on appelle le phénomène couguar. Ces femmes plus âgées, actives, qui se lassent de leurs conjoints qui ne les font plus vibrer, ne cachent plus leur attirance pour les toy boys. Mais qu’en pensent les femmes de l’émission de M6 ?
France soirÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie