Actualités 2012
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Re: Actualités concours 2012
Marseille : un arrêté municipal interdit la mendicité
Marseille veut mettre de l'ordre dans ses rues. Lundi matin, un arrêté a été entériné par la municipalité phocéenne afin de lutter «contre les comportements portant atteinte à l'ordre public», et notamment les actes de mendicité. Le texte vise en particulier les actes de «sollicitation et quête», la «tranquillité et la commodité de passage», mais pas seulement. La consommation d'alcool sur la voie publique est également dans le collimateur de la mairie marseillaise.
Signé par l'adjointe à la Sécurité, Caroline Pozmentier, ce texte doit fournir un cadre légal aux forces de l'ordre, qui pourront désormais verbaliser les contrevenants à hauteur de 38 euros par infraction. David-Olivier Reverdy, secrétaire régional du syndicat de police Alliance, s'est félicité lundi d'une telle disposition, estimant qu'elle «facilite la tâche des patrouilles de gardiens de la paix et ne peut que renforcer la lutte contre le sentiment d'insécurité qui gagne l'opinion publique».
La question des Roms en attente d'une table-ronde
Cet arrêté est le premier pris dans la ville dans un cadre permanent et aussi large, puisqu'il concerne tout le périmètre du centre, du Stade Vélodrome à la gare Saint-Charles en passant par le Vieux-Port. Plusieurs villes françaises comme Montpellier, Nice ou Chartres, avaient déjà adopté ce type d'arrêté. La ville phocéenne avait déjà pris un arrêté visant à réprimer les «comportements agressifs», notamment ceux des laveurs de vitres de voitures aux feux rouges. Un phénomène qui a pratiquement disparu dans la commune, selon les observateurs.
Le maire UMP Jean-Claude Gaudin avait jusqu'ici refusé de prendre tout arrêté «anti-mendicité», notamment sur la question des Roms, affirmant gérer le problème «en respectant le sens humaniste le plus complet». Interpellé lundi en conseil municipal sur la nécessité de trouver une solution d'accueil pérenne pour les roms, le maire de Marseille a renvoyé l'organisation d'une table-ronde, promise depuis une série d'expulsions, au bon vouloir de la préfecture. Depuis des semaines, la mairie et la préfecture se renvoient la balle quand à la date de cette discussion.
LeParisien.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Marseille veut mettre de l'ordre dans ses rues. Lundi matin, un arrêté a été entériné par la municipalité phocéenne afin de lutter «contre les comportements portant atteinte à l'ordre public», et notamment les actes de mendicité. Le texte vise en particulier les actes de «sollicitation et quête», la «tranquillité et la commodité de passage», mais pas seulement. La consommation d'alcool sur la voie publique est également dans le collimateur de la mairie marseillaise.
Signé par l'adjointe à la Sécurité, Caroline Pozmentier, ce texte doit fournir un cadre légal aux forces de l'ordre, qui pourront désormais verbaliser les contrevenants à hauteur de 38 euros par infraction. David-Olivier Reverdy, secrétaire régional du syndicat de police Alliance, s'est félicité lundi d'une telle disposition, estimant qu'elle «facilite la tâche des patrouilles de gardiens de la paix et ne peut que renforcer la lutte contre le sentiment d'insécurité qui gagne l'opinion publique».
La question des Roms en attente d'une table-ronde
Cet arrêté est le premier pris dans la ville dans un cadre permanent et aussi large, puisqu'il concerne tout le périmètre du centre, du Stade Vélodrome à la gare Saint-Charles en passant par le Vieux-Port. Plusieurs villes françaises comme Montpellier, Nice ou Chartres, avaient déjà adopté ce type d'arrêté. La ville phocéenne avait déjà pris un arrêté visant à réprimer les «comportements agressifs», notamment ceux des laveurs de vitres de voitures aux feux rouges. Un phénomène qui a pratiquement disparu dans la commune, selon les observateurs.
Le maire UMP Jean-Claude Gaudin avait jusqu'ici refusé de prendre tout arrêté «anti-mendicité», notamment sur la question des Roms, affirmant gérer le problème «en respectant le sens humaniste le plus complet». Interpellé lundi en conseil municipal sur la nécessité de trouver une solution d'accueil pérenne pour les roms, le maire de Marseille a renvoyé l'organisation d'une table-ronde, promise depuis une série d'expulsions, au bon vouloir de la préfecture. Depuis des semaines, la mairie et la préfecture se renvoient la balle quand à la date de cette discussion.
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Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités concours 2012
Les vols dans les magasins progressent et se professionnalisent
Le Point.fr - Publié le 18/10/2011 à 09:14
Une étude a mesuré la "démarque inconnue", différence entre les stocks théoriques et réels, causée essentiellement par des vols.
Les vols dans les magasins sont repartis à la hausse en France entre la mi-2010 et la mi-2011, progressant de 2,9 % en valeur, selon une étude publiée mardi, qui pointe une "professionnalisation" du vol à l'étalage. L'étude, réalisée dans 43 pays par le Centre de recherche dans la distribution (Center for Retail Research, basé en Angleterre) auprès de 1 187 groupes, pour la société de sécurité Checkpoint Systems, mesure la "démarque inconnue", c'est-à-dire la différence entre les stocks théoriques et réels, qui résulte de vols, mais aussi d'erreurs administratives ou des fournisseurs.
En France, la facture pour les distributeurs est repartie à la hausse, pour renouer avec le montant atteint deux ans plus tôt, 4,9 milliards d'euros, ou 1,40 % du chiffre d'affaires, contre 4,7 milliards d'euros ou 1,36 % des ventes il y a un an. L'équivalent, selon l'étude, d'un impôt annuel de 200 euros par foyer. Les distributeurs estiment que les vols sont commis à 44 % par les clients, 30,1 % par le personnel et 7,2 % par les fournisseurs.
"Des voleurs mieux renseignés déjouent plus facilement les dispositifs standard de sécurité et ceux qui se font attraper sont les voleurs qui restent occasionnels, avec des montants moins élevés", a expliqué à l'AFP Cédric Brossard, directeur marketing pour la division textile Europe de Checkpoint Systems. "Il y a une professionnalisation du vol", qui devient "un vrai métier pour certaines personnes, avec de vraies commandes", a-t-il indiqué, évoquant "énormément de distributeurs qui estiment avoir subi une augmentation de la criminalité organisée". "Dès qu'il y a un nouveau produit, il peut générer un marché noir", a-t-il ajouté. A contrario, il ne pense pas que l'inflation sur les produits alimentaires ait eu un impact important sur la recrudescences des vols, notant par exemple que le café faisait déjà partie des produits les plus dérobés.
"Pas de solution miracle"
En Europe, les larcins ont progressé plus fortement qu'en France, de 7,8 %, mais représente une proportion moindre des ventes, de 1,39 %, soit 36,23 milliards d'euros. Le montant moyen du vol à l'étalage y recule de 17,5 % à 93,85 euros et celui des vols du personnel baisse de 27 % à 1 381,4 euros. Au niveau mondial, les vols progressent de 6,6 % à 88,88 milliards d'euros, soit 1,45 % des ventes des distributeurs, contre 1,36 % un an plut tôt.
Toujours au centre des convoitises, les produits onéreux de marques connues et de petite taille, plus faciles à dissimuler et à revendre. "Les vols ne concernent pas en priorité les produits de première nécessité", selon l'étude. Parmi les articles les plus dérobés, les accessoires de mode, des produits alimentaires haut-de-gamme comme les plats cuisinés et les spiritueux, des articles de santé/beauté comme les produits de rasage et les parfums, ou encore des produits technologiques, comme les lecteurs MP3 et les smartphones.
En Europe, la hausse de la démarque inconnue est intervenue malgré une progression de près de 2 % à 8,45 milliards d'euros des dépenses en matière de sécurité et de prévention des pertes, soit 0,30 % du chiffre d'affaires des distributeurs. "Ceux qui ont limité le vol ou réussi à le faire baisser ont mis en place une multitude des solutions, il n'y a malheureusement pas une solution miracle", a indiqué Cédric Brossard. Le nombre de voleurs à l'étalage et d'employés malhonnêtes arrêtés par les distributeurs sur l'année étudiée dépasse les 6 millions, selon l'étude.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Le Point.fr - Publié le 18/10/2011 à 09:14
Une étude a mesuré la "démarque inconnue", différence entre les stocks théoriques et réels, causée essentiellement par des vols.
Les vols dans les magasins sont repartis à la hausse en France entre la mi-2010 et la mi-2011, progressant de 2,9 % en valeur, selon une étude publiée mardi, qui pointe une "professionnalisation" du vol à l'étalage. L'étude, réalisée dans 43 pays par le Centre de recherche dans la distribution (Center for Retail Research, basé en Angleterre) auprès de 1 187 groupes, pour la société de sécurité Checkpoint Systems, mesure la "démarque inconnue", c'est-à-dire la différence entre les stocks théoriques et réels, qui résulte de vols, mais aussi d'erreurs administratives ou des fournisseurs.
En France, la facture pour les distributeurs est repartie à la hausse, pour renouer avec le montant atteint deux ans plus tôt, 4,9 milliards d'euros, ou 1,40 % du chiffre d'affaires, contre 4,7 milliards d'euros ou 1,36 % des ventes il y a un an. L'équivalent, selon l'étude, d'un impôt annuel de 200 euros par foyer. Les distributeurs estiment que les vols sont commis à 44 % par les clients, 30,1 % par le personnel et 7,2 % par les fournisseurs.
"Des voleurs mieux renseignés déjouent plus facilement les dispositifs standard de sécurité et ceux qui se font attraper sont les voleurs qui restent occasionnels, avec des montants moins élevés", a expliqué à l'AFP Cédric Brossard, directeur marketing pour la division textile Europe de Checkpoint Systems. "Il y a une professionnalisation du vol", qui devient "un vrai métier pour certaines personnes, avec de vraies commandes", a-t-il indiqué, évoquant "énormément de distributeurs qui estiment avoir subi une augmentation de la criminalité organisée". "Dès qu'il y a un nouveau produit, il peut générer un marché noir", a-t-il ajouté. A contrario, il ne pense pas que l'inflation sur les produits alimentaires ait eu un impact important sur la recrudescences des vols, notant par exemple que le café faisait déjà partie des produits les plus dérobés.
"Pas de solution miracle"
En Europe, les larcins ont progressé plus fortement qu'en France, de 7,8 %, mais représente une proportion moindre des ventes, de 1,39 %, soit 36,23 milliards d'euros. Le montant moyen du vol à l'étalage y recule de 17,5 % à 93,85 euros et celui des vols du personnel baisse de 27 % à 1 381,4 euros. Au niveau mondial, les vols progressent de 6,6 % à 88,88 milliards d'euros, soit 1,45 % des ventes des distributeurs, contre 1,36 % un an plut tôt.
Toujours au centre des convoitises, les produits onéreux de marques connues et de petite taille, plus faciles à dissimuler et à revendre. "Les vols ne concernent pas en priorité les produits de première nécessité", selon l'étude. Parmi les articles les plus dérobés, les accessoires de mode, des produits alimentaires haut-de-gamme comme les plats cuisinés et les spiritueux, des articles de santé/beauté comme les produits de rasage et les parfums, ou encore des produits technologiques, comme les lecteurs MP3 et les smartphones.
En Europe, la hausse de la démarque inconnue est intervenue malgré une progression de près de 2 % à 8,45 milliards d'euros des dépenses en matière de sécurité et de prévention des pertes, soit 0,30 % du chiffre d'affaires des distributeurs. "Ceux qui ont limité le vol ou réussi à le faire baisser ont mis en place une multitude des solutions, il n'y a malheureusement pas une solution miracle", a indiqué Cédric Brossard. Le nombre de voleurs à l'étalage et d'employés malhonnêtes arrêtés par les distributeurs sur l'année étudiée dépasse les 6 millions, selon l'étude.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012
Arthrose : de nouvelles alternatives à la chirurgie
Les traitements combinent la lutte contre la douleur et contre le handicap.
«L'arthrose n'est plus considérée comme une simple usure du cartilage liée au vieillissement, mais comme un syndrome qui affecte l'ensemble des tissus de l'articulation, et même les tendons et les muscles qui s'y rattachent, rappelle François Rannou, rhumatologue et directeur de recherche Inserm à l'hôpital Cochin (Paris). Sa prise en charge doit donc être multimodale, pour tenir compte de tous les éléments en jeu.»
Si l'âge est bien un facteur de risque de l'arthrose, elle peut cependant se développer très tôt et mettre de nombreuses années avant de présenter des symptômes cliniques visibles. À l'heure actuelle, cette maladie se retrouve ainsi chez 16 % des personnes de plus de 55 ans et atteint 70 % des plus de 65 ans, un chiffre en augmentation régulière depuis une vingtaine d'années. En 2030, l'arthrose pourrait toucher 22 % de la population française.

L'arthrose se manifeste par des douleurs au niveau des articulations, qui peuvent être raides, gonflées, rouges et chaudes, notamment pendant les poussées inflammatoires. Le diagnostic peut être facilement confirmé par une radiographie qui révèle un ou plusieurs signes : une densification de l'os, un pincement de l'articulation et la présence de petites excroissances osseuses, les ostéophytes.
Il n'existe pas, à l'heure actuelle, de traitement curatif de l'arthrose : aucun médicament n'a montré d'effet sur la progression de la maladie. La prise en charge repose donc sur le traitement de la douleur mais également sur l'amélioration du handicap fonctionnel que l'arthrose provoque, notamment pour les articulations de la main, du genou et de la hanche.
Le surpoids est un facteur de risque «Le premier traitement envisagé est médical, et non simplement médicamenteux. Même si le cartilage est entièrement détruit, la chirurgie n'est pas nécessairement la meilleure option», explique le Pr Francis Berenbaum, responsable du service de rhumatologie à l'hôpital Saint-Antoine (Paris).
Pour l'arthrose du genou et du poignet, le premier facteur de risque est le surpoids. Quelques kilos en moins suffisent souvent à soulager les symptômes, notamment au niveau des genoux. Si une activité physique traumatisante peut favoriser l'apparition de la maladie, la sédentarité est un facteur aggravant des symptômes pour toutes les arthroses. Il faut donc maintenir ou établir une activité physique modérée et régulière.
La kinésithérapie, qui mobilise les articulations, a démontré son efficacité. Les orthèses, qui permettent de corriger un défaut d'orientation dans l'articulation, sont particulièrement efficaces sur l'arthrose du pouce mais également du genou. L'utilisation de la canne ne doit pas être négligée car elle apporte un réel soulagement, notamment lors des poussées.
Infiltration de corticoïdes À ces approches mécaniques s'ajoute souvent, dès le départ, un traitement médicamenteux de la douleur par du paracétamol, qui reste le traitement de référence. Des anti-inflammatoires non stéroïdiens sont également prescrits avec une efficacité sur la douleur similaire au paracétamol mais plus d'effets secondaires.
Si ces traitements ne suffisent pas, le médecin peut prescrire des dérivés codéinés ou du tramadol, dont les effets secondaires et la mauvaise tolérance chez de nombreux patients nécessitent un suivi très serré. «Il est possible d'ajouter des traitements symptomatiques d'action lente, comme la glucosamine ou les dérivés d'avocat et de soja, indique le Pr Berenbaum. Contrairement à ce que certaines publicités - désormais retirées - ont pu indiquer, ces traitements n'ont aucun effet structurel sur l'articulation, mais quelques essais ont montré un effet symptomatique légèrement supérieur au placebo.»
Il existe par ailleurs des médicaments qui peuvent être appliqués localement. Les infiltrations de corticoïdes permettent de soulager rapidement la douleur et de réduire la durée des poussées inflammatoires. De l'acide hyaluronique peut également être injecté dans le genou, seule articulation où son action a été démontrée, avec un effet transitoire qui ne s'observe que chez certains patients. Enfin les pommades anti-inflammatoires sont d'autant plus intéressantes qu'elles ne provoquent que très peu d'effets secondaires.
Dans tous les cas, les symptômes sont d'autant mieux pris en charge que la maladie est détectée tôt, avec une réduction plus évidente du handicap. La recherche, qui progresse lentement, en partie faute de financement et d'intérêt de la part des autorités, s'attache donc à développer également des outils de diagnostic précoce, qui pourraient déjà permettre de franchir un grand pas pour limiter les conséquences de la maladie, en attendant la mise au point de traitements curatifs…
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Les traitements combinent la lutte contre la douleur et contre le handicap.
«L'arthrose n'est plus considérée comme une simple usure du cartilage liée au vieillissement, mais comme un syndrome qui affecte l'ensemble des tissus de l'articulation, et même les tendons et les muscles qui s'y rattachent, rappelle François Rannou, rhumatologue et directeur de recherche Inserm à l'hôpital Cochin (Paris). Sa prise en charge doit donc être multimodale, pour tenir compte de tous les éléments en jeu.»
Si l'âge est bien un facteur de risque de l'arthrose, elle peut cependant se développer très tôt et mettre de nombreuses années avant de présenter des symptômes cliniques visibles. À l'heure actuelle, cette maladie se retrouve ainsi chez 16 % des personnes de plus de 55 ans et atteint 70 % des plus de 65 ans, un chiffre en augmentation régulière depuis une vingtaine d'années. En 2030, l'arthrose pourrait toucher 22 % de la population française.

L'arthrose se manifeste par des douleurs au niveau des articulations, qui peuvent être raides, gonflées, rouges et chaudes, notamment pendant les poussées inflammatoires. Le diagnostic peut être facilement confirmé par une radiographie qui révèle un ou plusieurs signes : une densification de l'os, un pincement de l'articulation et la présence de petites excroissances osseuses, les ostéophytes.
Il n'existe pas, à l'heure actuelle, de traitement curatif de l'arthrose : aucun médicament n'a montré d'effet sur la progression de la maladie. La prise en charge repose donc sur le traitement de la douleur mais également sur l'amélioration du handicap fonctionnel que l'arthrose provoque, notamment pour les articulations de la main, du genou et de la hanche.
Le surpoids est un facteur de risque «Le premier traitement envisagé est médical, et non simplement médicamenteux. Même si le cartilage est entièrement détruit, la chirurgie n'est pas nécessairement la meilleure option», explique le Pr Francis Berenbaum, responsable du service de rhumatologie à l'hôpital Saint-Antoine (Paris).
Pour l'arthrose du genou et du poignet, le premier facteur de risque est le surpoids. Quelques kilos en moins suffisent souvent à soulager les symptômes, notamment au niveau des genoux. Si une activité physique traumatisante peut favoriser l'apparition de la maladie, la sédentarité est un facteur aggravant des symptômes pour toutes les arthroses. Il faut donc maintenir ou établir une activité physique modérée et régulière.
La kinésithérapie, qui mobilise les articulations, a démontré son efficacité. Les orthèses, qui permettent de corriger un défaut d'orientation dans l'articulation, sont particulièrement efficaces sur l'arthrose du pouce mais également du genou. L'utilisation de la canne ne doit pas être négligée car elle apporte un réel soulagement, notamment lors des poussées.
Infiltration de corticoïdes À ces approches mécaniques s'ajoute souvent, dès le départ, un traitement médicamenteux de la douleur par du paracétamol, qui reste le traitement de référence. Des anti-inflammatoires non stéroïdiens sont également prescrits avec une efficacité sur la douleur similaire au paracétamol mais plus d'effets secondaires.
Si ces traitements ne suffisent pas, le médecin peut prescrire des dérivés codéinés ou du tramadol, dont les effets secondaires et la mauvaise tolérance chez de nombreux patients nécessitent un suivi très serré. «Il est possible d'ajouter des traitements symptomatiques d'action lente, comme la glucosamine ou les dérivés d'avocat et de soja, indique le Pr Berenbaum. Contrairement à ce que certaines publicités - désormais retirées - ont pu indiquer, ces traitements n'ont aucun effet structurel sur l'articulation, mais quelques essais ont montré un effet symptomatique légèrement supérieur au placebo.»
Il existe par ailleurs des médicaments qui peuvent être appliqués localement. Les infiltrations de corticoïdes permettent de soulager rapidement la douleur et de réduire la durée des poussées inflammatoires. De l'acide hyaluronique peut également être injecté dans le genou, seule articulation où son action a été démontrée, avec un effet transitoire qui ne s'observe que chez certains patients. Enfin les pommades anti-inflammatoires sont d'autant plus intéressantes qu'elles ne provoquent que très peu d'effets secondaires.
Dans tous les cas, les symptômes sont d'autant mieux pris en charge que la maladie est détectée tôt, avec une réduction plus évidente du handicap. La recherche, qui progresse lentement, en partie faute de financement et d'intérêt de la part des autorités, s'attache donc à développer également des outils de diagnostic précoce, qui pourraient déjà permettre de franchir un grand pas pour limiter les conséquences de la maladie, en attendant la mise au point de traitements curatifs…
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Re: Actualités concours 2012
Neuf mois de grossesse : une longue durée due à une attaque virale ?
Quelles différences existe-t-il entre ces trois mammifères : tatou, opossum, et humain ? Au delà d’un génome qui diverge de quelques pour cent et d'une physionomie qui leur est propre, chacune de ces espèces a une durée de gestation plus ou moins longue. Quelque deux semaines chez l’opossum, jusqu’à neuf mois, chez nous, humains. Selon une étude américaine très sérieuse publiée dans la revue Nature Genetics, cette différence pourrait s’expliquer par une attaque virale, bactérienne ou parasitologique qu’auraient subie nos ancêtres il y a une centaine de millions d’années, et qui aurait modifié nos gènes.
Marc Lynch et ses collègues de l’Université de Yale ont essayé de comprendre pourquoi, au sein de la classe des mammifères, certaines espèces, comme les opossums, ne gardaient leur progéniture que deux semaines dans leur ventre, avant de les laisser se développer à l’air libre, dans une poche, alors que les humains ont un temps de gestation plus long (environ neuf mois), et surtout, plus complexe.
Pour cela, les chercheurs ont réalisé, tout au long de la gestation, des analyses génétiques de cellules utérines des trois mammifères ayant des grossesses différentes : tatous, opossums, et humains.
Les fœtus des tatous et des humains se développent et se nourrissent dans le ventre de leur mère à l’aide d’un placenta, tissu complexe dont n’ont pas besoin les futurs opossums. La présence de ce dernier entraîne des modifications importantes chez les futures mères, tant au niveau de leur morphologie que de leur système hormonal et immunitaire. En effet, afin d’éviter que les lymphocytes considèrent le fœtus comme un étranger et l’attaquent, ce dernier s’adapte afin d’accepter cette présence dans l’organisme.
Or, d’après les travaux menés par les chercheurs américains, cette aptitude à garder l’enfant à l’abri, dans le ventre, afin qu’il se développe, pourrait être liée à une bactérie, un virus, ou un parasite qui aurait infecté nos ancêtres il y a plus de cent millions d’années. En effet, un certain nombre de gènes qui sont activés durant la grossesse chez le tatou et chez l’homme ne le sont pas chez l’opossum. Cet ADN spécifique pourrait expliquer, dans une certaine mesure, les grossesses placentaires et leur durée. Toutefois, les chercheurs estiment que ce n’est qu’un élément de réponse et que le développement du placenta, associé à l’évolution du système immunitaire pendant la grossesse restent encore en partie inexpliquée…
Information hospitalièreÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Quelles différences existe-t-il entre ces trois mammifères : tatou, opossum, et humain ? Au delà d’un génome qui diverge de quelques pour cent et d'une physionomie qui leur est propre, chacune de ces espèces a une durée de gestation plus ou moins longue. Quelque deux semaines chez l’opossum, jusqu’à neuf mois, chez nous, humains. Selon une étude américaine très sérieuse publiée dans la revue Nature Genetics, cette différence pourrait s’expliquer par une attaque virale, bactérienne ou parasitologique qu’auraient subie nos ancêtres il y a une centaine de millions d’années, et qui aurait modifié nos gènes.
Marc Lynch et ses collègues de l’Université de Yale ont essayé de comprendre pourquoi, au sein de la classe des mammifères, certaines espèces, comme les opossums, ne gardaient leur progéniture que deux semaines dans leur ventre, avant de les laisser se développer à l’air libre, dans une poche, alors que les humains ont un temps de gestation plus long (environ neuf mois), et surtout, plus complexe.
Pour cela, les chercheurs ont réalisé, tout au long de la gestation, des analyses génétiques de cellules utérines des trois mammifères ayant des grossesses différentes : tatous, opossums, et humains.
Les fœtus des tatous et des humains se développent et se nourrissent dans le ventre de leur mère à l’aide d’un placenta, tissu complexe dont n’ont pas besoin les futurs opossums. La présence de ce dernier entraîne des modifications importantes chez les futures mères, tant au niveau de leur morphologie que de leur système hormonal et immunitaire. En effet, afin d’éviter que les lymphocytes considèrent le fœtus comme un étranger et l’attaquent, ce dernier s’adapte afin d’accepter cette présence dans l’organisme.
Or, d’après les travaux menés par les chercheurs américains, cette aptitude à garder l’enfant à l’abri, dans le ventre, afin qu’il se développe, pourrait être liée à une bactérie, un virus, ou un parasite qui aurait infecté nos ancêtres il y a plus de cent millions d’années. En effet, un certain nombre de gènes qui sont activés durant la grossesse chez le tatou et chez l’homme ne le sont pas chez l’opossum. Cet ADN spécifique pourrait expliquer, dans une certaine mesure, les grossesses placentaires et leur durée. Toutefois, les chercheurs estiment que ce n’est qu’un élément de réponse et que le développement du placenta, associé à l’évolution du système immunitaire pendant la grossesse restent encore en partie inexpliquée…
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Re: Actualités concours 2012
Médicaments sous surveillance : les 3 nouvelles listes de l'Afssaps
Dans un soucis de lisibilité, l'Afssaps a divisé en trois catégories sa liste des médicaments sous surveillance. Une réorganisation qui intervient après la mise sous surveillance de nombreux médicaments, comme Alli ou le Vastarel.
Retirés du marché, placés sous surveillance renforcée ou soumis à un plan de gestion des risques (PGR) : l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) vient de scinder en trois rubriques bien distinctes son ancienne liste des médicaments sous surveillance. Voilà qui gagnera en clarté.
L’objectif de l’Afssaps est notamment de rendre plus lisible la catégorie des médicaments sous surveillance renforcée. Celle-ci concerne en effet les molécules pour lesquelles « la détection d’un signal en cours de commercialisation conduit à surveiller plus étroitement leurs effets indésirables, voire à entreprendre la réévaluation du rapport bénéfice/risque du produit ». Ceci dans le but de s’assurer que « l’intérêt thérapeutique actuel du médicament reste supérieur aux risques auxquels il expose les patients ».
La liste des médicaments sous surveillance de l'Afssaps est désormais divisée en trois catégories.
La liste des médicaments sous surveillance de l'Afssaps est désormais divisée en trois catégories. © Fotolia
Trente médicaments sous surveillance renforcée
Au total, trente médicaments figurent sur cette liste. Parmi eux, des noms bien connus comme Alli, Protelos, Multaq ou encore Vastarel. Au total, douze de ces trente molécules font actuellement l’objet d’une réévaluation de leur balance bénéfice/risque.
Cette liste est bien différente de celle comportant les médicaments soumis à un plan de gestion des risques (PGR). Lequel est obligatoirement requis pour tous « les médicaments contenant une nouvelle substance active ou appartenant à une nouvelle classe thérapeutique ». Soixante-et-une molécules sont actuellement suivies dans le cadre d’un PGR.
L’Afssaps précise enfin que « les patients ne doivent en aucun cas interrompre d’eux-mêmes leur traitement s’ils constatent qu’un de leurs médicaments fait partie » d’une de ces listes. « En cas de doute, il est indispensable de demander l’avis de son médecin ou de son pharmacien. ».
Futura scienceÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Dans un soucis de lisibilité, l'Afssaps a divisé en trois catégories sa liste des médicaments sous surveillance. Une réorganisation qui intervient après la mise sous surveillance de nombreux médicaments, comme Alli ou le Vastarel.
Retirés du marché, placés sous surveillance renforcée ou soumis à un plan de gestion des risques (PGR) : l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) vient de scinder en trois rubriques bien distinctes son ancienne liste des médicaments sous surveillance. Voilà qui gagnera en clarté.
L’objectif de l’Afssaps est notamment de rendre plus lisible la catégorie des médicaments sous surveillance renforcée. Celle-ci concerne en effet les molécules pour lesquelles « la détection d’un signal en cours de commercialisation conduit à surveiller plus étroitement leurs effets indésirables, voire à entreprendre la réévaluation du rapport bénéfice/risque du produit ». Ceci dans le but de s’assurer que « l’intérêt thérapeutique actuel du médicament reste supérieur aux risques auxquels il expose les patients ».
La liste des médicaments sous surveillance de l'Afssaps est désormais divisée en trois catégories.
La liste des médicaments sous surveillance de l'Afssaps est désormais divisée en trois catégories. © Fotolia
Trente médicaments sous surveillance renforcée
Au total, trente médicaments figurent sur cette liste. Parmi eux, des noms bien connus comme Alli, Protelos, Multaq ou encore Vastarel. Au total, douze de ces trente molécules font actuellement l’objet d’une réévaluation de leur balance bénéfice/risque.
Cette liste est bien différente de celle comportant les médicaments soumis à un plan de gestion des risques (PGR). Lequel est obligatoirement requis pour tous « les médicaments contenant une nouvelle substance active ou appartenant à une nouvelle classe thérapeutique ». Soixante-et-une molécules sont actuellement suivies dans le cadre d’un PGR.
L’Afssaps précise enfin que « les patients ne doivent en aucun cas interrompre d’eux-mêmes leur traitement s’ils constatent qu’un de leurs médicaments fait partie » d’une de ces listes. « En cas de doute, il est indispensable de demander l’avis de son médecin ou de son pharmacien. ».
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Re: Actualités concours 2012
Les cabines de bronzage interdites aux mineurs en Californie
Face aux risques importants que représentent les cabines de bronzage, l'État de Californie a mis en place l'interdiction d'accès à ses cabines UV pour les moins de 18 ans.
La Californie est devenue le premier État américain à interdire aux mineurs l'accès aux cabines de bronzage, réputées favoriser les cancers de la peau, en vertu d'une loi promulguée par le gouverneur de Californie Jerry Brown.
Le gouverneur de l'État (dont la partie sud jouit d'un généreux soleil quasiment toute l'année) n'a pas été sensible aux arguments de l'industrie du bronzage artificiel, qui estimait que la loi en vigueur, qui exige une autorisation parentale pour les mineurs de 14 à 18 ans, était suffisante.
Les cabines de bronzage sont désormais interdites aux mineurs en Californie.
Les cabines de bronzage sont désormais interdites aux mineurs en Californie. © Whatsername, Flickr CC by sa 2.0
Une prévention contre le mélanome
« La décision de la Californie d'interdire aux moins de 18 ans l'accès aux cabines de bronzage est un pas dans la bonne direction pour une activité inutile, qui présente des risques significatifs pour la santé », a déclaré Wendy K.D. Selig, responsable de l'Alliance pour la recherche sur le mélanome (MRA). « De nombreuses études ont prouvé que le bronzage en cabines contribue au cancer de la peau, notamment le mélanome, qui peut être mortel », ajoute-t-elle.
Aux États-Unis, le mélanome est le cancer le plus fréquent chez les femmes âgées de 25 à 29 ans.
Le sénateur démocrate Ted Lieu, promoteur de la loi, a salué la décision du gouverneur, soulignant que l'interdiction était soutenue par des médecins, des infirmières et l'American Cancer Society. « Je félicite le gouverneur Brown pour son courage en promulguant cette loi absolument nécessaire pour protéger certains des Californiens les plus vulnérables, nos enfants. Si les gens connaissaient les vrais dangers des cabines de bronzage, ils seraient stupéfiés », a-t-il ajouté.
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Face aux risques importants que représentent les cabines de bronzage, l'État de Californie a mis en place l'interdiction d'accès à ses cabines UV pour les moins de 18 ans.
La Californie est devenue le premier État américain à interdire aux mineurs l'accès aux cabines de bronzage, réputées favoriser les cancers de la peau, en vertu d'une loi promulguée par le gouverneur de Californie Jerry Brown.
Le gouverneur de l'État (dont la partie sud jouit d'un généreux soleil quasiment toute l'année) n'a pas été sensible aux arguments de l'industrie du bronzage artificiel, qui estimait que la loi en vigueur, qui exige une autorisation parentale pour les mineurs de 14 à 18 ans, était suffisante.
Les cabines de bronzage sont désormais interdites aux mineurs en Californie.
Les cabines de bronzage sont désormais interdites aux mineurs en Californie. © Whatsername, Flickr CC by sa 2.0
Une prévention contre le mélanome
« La décision de la Californie d'interdire aux moins de 18 ans l'accès aux cabines de bronzage est un pas dans la bonne direction pour une activité inutile, qui présente des risques significatifs pour la santé », a déclaré Wendy K.D. Selig, responsable de l'Alliance pour la recherche sur le mélanome (MRA). « De nombreuses études ont prouvé que le bronzage en cabines contribue au cancer de la peau, notamment le mélanome, qui peut être mortel », ajoute-t-elle.
Aux États-Unis, le mélanome est le cancer le plus fréquent chez les femmes âgées de 25 à 29 ans.
Le sénateur démocrate Ted Lieu, promoteur de la loi, a salué la décision du gouverneur, soulignant que l'interdiction était soutenue par des médecins, des infirmières et l'American Cancer Society. « Je félicite le gouverneur Brown pour son courage en promulguant cette loi absolument nécessaire pour protéger certains des Californiens les plus vulnérables, nos enfants. Si les gens connaissaient les vrais dangers des cabines de bronzage, ils seraient stupéfiés », a-t-il ajouté.
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Re: Actualités concours 2012
Et si notre Smartphone faisait aussi microscope ?
Véritables ordinateurs portables de poche, les Smartphones sont capables de bien des prouesses, et même au delà de ce qu'on pourrait imaginer. Selon des travaux publiés dans la revue Plos One, il y a quelques mois, et présentés hier lors de la réunion annuelle de la Société américaine d’optique, il serait tout à fait possible à l’aide d’une bille de verre placée sur l’objectif de l’appareil photo intégré de transformer celui ci en un microscope capable notamment de compter les globules dans le sang.
Afin de permettre à tous et notamment aux pays en voie de développement de bénéficier d’un système de santé minimal efficient, Sebastian Wachsmann-Hogui et ses collaborateurs de l’Université de Californie de Davis ont cherché à mettre en place un système simple, à faible coût, permettant de faire des analyses médicales rudimentaires en toutes circonstances. Ils ont donc essayé d’adapter aux Smartphones un système de loupe capable de grossir un échantillon plus de 350 fois. A l’aide d’une bille de verre d’un millimètre de diamètre, ils ont réussi à atteindre une résolution de l’ordre de 1,5 micron, ce qui est largement suffisant pour distinguer les cellules contenues dans le sang.
Bien que le concept ne soit pas nouveau et que plusieurs prototypes aient déjà été réalisés, c’est la première fois que le système est aussi simple et peu coûteux.
Suite à ces premiers résultats encourageants, les chercheurs ont amélioré leur technique à l’aide d’un logiciel capable de fusionner un certain nombre d’images prises à des distances différentes, afin d’obtenir un cliché final parfaitement net.
Si, pour l’instant, les essais de cette nouvelle application pour Smartphone n’ont été effectués qu’en laboratoire, l’équipe de Sebastian Wachsmann-Hogui espère bientôt faire des expériences sur le terrain afin de montrer l’intérêt de son procédé et de confirmer sa viabilité. Des négociations sont d’ailleurs en cours entre les chercheurs et des industriels afin de remplacer la bille de verre par une bille en plastique, ce qui permettrait de transformer son Smartphone en microscope pour moins de deux euros.
Information hospitalièreÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Véritables ordinateurs portables de poche, les Smartphones sont capables de bien des prouesses, et même au delà de ce qu'on pourrait imaginer. Selon des travaux publiés dans la revue Plos One, il y a quelques mois, et présentés hier lors de la réunion annuelle de la Société américaine d’optique, il serait tout à fait possible à l’aide d’une bille de verre placée sur l’objectif de l’appareil photo intégré de transformer celui ci en un microscope capable notamment de compter les globules dans le sang.
Afin de permettre à tous et notamment aux pays en voie de développement de bénéficier d’un système de santé minimal efficient, Sebastian Wachsmann-Hogui et ses collaborateurs de l’Université de Californie de Davis ont cherché à mettre en place un système simple, à faible coût, permettant de faire des analyses médicales rudimentaires en toutes circonstances. Ils ont donc essayé d’adapter aux Smartphones un système de loupe capable de grossir un échantillon plus de 350 fois. A l’aide d’une bille de verre d’un millimètre de diamètre, ils ont réussi à atteindre une résolution de l’ordre de 1,5 micron, ce qui est largement suffisant pour distinguer les cellules contenues dans le sang.
Bien que le concept ne soit pas nouveau et que plusieurs prototypes aient déjà été réalisés, c’est la première fois que le système est aussi simple et peu coûteux.
Suite à ces premiers résultats encourageants, les chercheurs ont amélioré leur technique à l’aide d’un logiciel capable de fusionner un certain nombre d’images prises à des distances différentes, afin d’obtenir un cliché final parfaitement net.
Si, pour l’instant, les essais de cette nouvelle application pour Smartphone n’ont été effectués qu’en laboratoire, l’équipe de Sebastian Wachsmann-Hogui espère bientôt faire des expériences sur le terrain afin de montrer l’intérêt de son procédé et de confirmer sa viabilité. Des négociations sont d’ailleurs en cours entre les chercheurs et des industriels afin de remplacer la bille de verre par une bille en plastique, ce qui permettrait de transformer son Smartphone en microscope pour moins de deux euros.
Information hospitalièreÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012
Le Point.fr - Publié le 17/10/2011 à 22:07
Les allergies respiratoires, grande cause nationale 2012 ?
Le quart de la population française souffre d'allergies respiratoires et le nombre de personnes concernées a doublé en vingt ans.
Les rhinites, plus connues sous le nom de rhume des foins, et l'asthme perturbent la vie de millions de Français. Pour tenter de les faire mieux connaître, d'améliorer leur diagnostic et leur traitement et de fédérer la recherche, Daniel Vervloet se bat pour que les allergies respiratoires deviennent la "Grande cause nationale 2012", attribuée par le Premier ministre. Professeur émérite de pneumologie à l'université de la Méditerranée et président de la Fédération française d'allergologie, le Pr Vervloet justifie son action.
Le Point.fr : Pourquoi vous êtes-vous limité aux allergies respiratoires ?
Daniel Vervloet : Parce que cela permet de simplifier le message. Mais, en pratique, beaucoup d'enfants qui ont des allergies respiratoires ont en plus un eczéma ou une allergie alimentaire associée. On sait que l'allergie alimentaire augmente la sévérité de l'asthme et que l'asthme aggrave l'allergie alimentaire. En partant de l'allergie respiratoire, on peut aborder ce problème dans sa globalité.
D'autre part, les allergies respiratoires sont les plus fréquentes. La rhinite allergique touche 20 % de la population, l'asthme bronchique atteint 9 % des enfants, 6 % des adultes. Ces maladies chroniques sont à l'origine d'un manque de sommeil, donc d'épisodes de somnolence diurne et d'une certaine irritabilité. Chez les enfants, elles limitent la capacité de concentration et donc d'apprentissage, elles freinent la pratique des sports. Enfin, en fonction des pollens auxquels ils sont allergiques et des dates d'examen, les jeunes sont plus ou moins gênés dans leurs études.
Vous vous battez aussi pour la création d'une spécialité d'allergologie. Quelle est la situation actuelle ?
L'asthmatique consulte en général un pneumologue et l'allergique aux pollens est souvent suivi par un ORL ou un médecin ayant une compétence allergologique. Mais la situation est franchement plus compliquée pour les parents d'un bébé qui a un eczéma, une allergie alimentaire et un asthme... Il faut donc des médecins capables de traiter les différents visages de cette maladie. Comme dans d'autres pays européens, il faut créer une véritable spécialité de médecin allergologue et mettre en place un enseignement spécifique.
Le label "grande cause nationale" bénéficierait-il aussi à la recherche ?
Évidemment, et les connaissances nouvelles dans ce domaine sont passionnantes. Pendant très longtemps, on a dit que le tabagisme ainsi que la pollution atmosphérique aggravaient les allergies pré-existantes. Maintenant on sait que ces facteurs environnementaux peuvent même créer la maladie. En plus de la génétique, qui explique pourquoi les enfants d'allergiques sont plus sujets à ces maladies, on découvre peu à peu la place de l'épigénétique. Dans ce cas, l'environnement ne provoque pas une mutation des gènes, mais il entraîne des modifications chimiques sur la structure du chromosome du nourrisson et même du foetus dans le ventre maternel. C'est ainsi que le tabagisme passif et les particules de diesel peuvent créer un asthme.
À l'inverse, on a récemment découvert des modifications épigénétiques ayant un effet protecteur. Depuis longtemps, on sait que les enfants des femmes enceintes vivant à la ferme sont protégés contre les allergies. Les chercheurs ont découvert chez les veaux, vaches et cochons des bactéries qui modifieraient, cette fois dans le "bon" sens, l'expression des gènes.
Bénéficier du label "grande cause" nous permettrait de créer des unités de recherche spécifiques, réunissant les équipes de recherche travaillant en immunologie, dermatologie, pneumologie...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Les allergies respiratoires, grande cause nationale 2012 ?
Le quart de la population française souffre d'allergies respiratoires et le nombre de personnes concernées a doublé en vingt ans.
Les rhinites, plus connues sous le nom de rhume des foins, et l'asthme perturbent la vie de millions de Français. Pour tenter de les faire mieux connaître, d'améliorer leur diagnostic et leur traitement et de fédérer la recherche, Daniel Vervloet se bat pour que les allergies respiratoires deviennent la "Grande cause nationale 2012", attribuée par le Premier ministre. Professeur émérite de pneumologie à l'université de la Méditerranée et président de la Fédération française d'allergologie, le Pr Vervloet justifie son action.
Le Point.fr : Pourquoi vous êtes-vous limité aux allergies respiratoires ?
Daniel Vervloet : Parce que cela permet de simplifier le message. Mais, en pratique, beaucoup d'enfants qui ont des allergies respiratoires ont en plus un eczéma ou une allergie alimentaire associée. On sait que l'allergie alimentaire augmente la sévérité de l'asthme et que l'asthme aggrave l'allergie alimentaire. En partant de l'allergie respiratoire, on peut aborder ce problème dans sa globalité.
D'autre part, les allergies respiratoires sont les plus fréquentes. La rhinite allergique touche 20 % de la population, l'asthme bronchique atteint 9 % des enfants, 6 % des adultes. Ces maladies chroniques sont à l'origine d'un manque de sommeil, donc d'épisodes de somnolence diurne et d'une certaine irritabilité. Chez les enfants, elles limitent la capacité de concentration et donc d'apprentissage, elles freinent la pratique des sports. Enfin, en fonction des pollens auxquels ils sont allergiques et des dates d'examen, les jeunes sont plus ou moins gênés dans leurs études.
Vous vous battez aussi pour la création d'une spécialité d'allergologie. Quelle est la situation actuelle ?
L'asthmatique consulte en général un pneumologue et l'allergique aux pollens est souvent suivi par un ORL ou un médecin ayant une compétence allergologique. Mais la situation est franchement plus compliquée pour les parents d'un bébé qui a un eczéma, une allergie alimentaire et un asthme... Il faut donc des médecins capables de traiter les différents visages de cette maladie. Comme dans d'autres pays européens, il faut créer une véritable spécialité de médecin allergologue et mettre en place un enseignement spécifique.
Le label "grande cause nationale" bénéficierait-il aussi à la recherche ?
Évidemment, et les connaissances nouvelles dans ce domaine sont passionnantes. Pendant très longtemps, on a dit que le tabagisme ainsi que la pollution atmosphérique aggravaient les allergies pré-existantes. Maintenant on sait que ces facteurs environnementaux peuvent même créer la maladie. En plus de la génétique, qui explique pourquoi les enfants d'allergiques sont plus sujets à ces maladies, on découvre peu à peu la place de l'épigénétique. Dans ce cas, l'environnement ne provoque pas une mutation des gènes, mais il entraîne des modifications chimiques sur la structure du chromosome du nourrisson et même du foetus dans le ventre maternel. C'est ainsi que le tabagisme passif et les particules de diesel peuvent créer un asthme.
À l'inverse, on a récemment découvert des modifications épigénétiques ayant un effet protecteur. Depuis longtemps, on sait que les enfants des femmes enceintes vivant à la ferme sont protégés contre les allergies. Les chercheurs ont découvert chez les veaux, vaches et cochons des bactéries qui modifieraient, cette fois dans le "bon" sens, l'expression des gènes.
Bénéficier du label "grande cause" nous permettrait de créer des unités de recherche spécifiques, réunissant les équipes de recherche travaillant en immunologie, dermatologie, pneumologie...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012
VIH : une espérance de vie augmentée de 16 ans depuis 1996 !
[17 octobre 2011 - 16h57]
Bonne nouvelle sur le front du VIH ! Au Royaume-Uni, l’espérance de vie des patients infectés par le virus a augmenté de 16 ans depuis 1996. En fait depuis l’introduction des antirétroviraux à haute efficacité. De nos jours, soulignent les auteurs d’un travail britannique, « un diagnostic précoce associé à un traitement démarré au bon moment ont vraiment un impact très positif sur l’espérance de vie ». A l’image de toute autre maladie chronique.
Le Dr Margaret May et son équipe de la faculté de Médecine de Bristol, se sont appuyées sur les données d’une grande étude épidémiologique démarrée en 2001 : la UK Collaborative HIV Cohort. Ils ont analysé les dossiers médicaux de 17 661 patients, suivis dans des hôpitaux britanniques depuis 1996.
Au total, 7% (1 248) d’entre eux sont décédés au cours de la période de suivi. Les résultats montrent que « l’espérance de vie à l’âge de 20 ans d’un patient infecté par le VIH est passée de 30 ans en 1996, à 46 ans en 2009 », précise Margaret May.
Elle a toutefois observé d’importantes différences selon le sexe. C’est ainsi que l’espérance de vie – toujours à 20 ans - des femmes, est supérieure de 10 ans à celle des hommes : 50 ans contre 40 ans ! Aujourd’hui, un homme infecté par le VIH vit en moyenne jusqu’à 60 ans, au lieu de 70 ans pour une femme. Dans la population générale, ces chiffres s’élèvent respectivement à 78 et 82 ans.
Ne pas baisser la vigilance
Cette étude a donc le mérite de chiffrer un phénomène déjà bien connu dans les pays développés. Sans surprise, les auteurs mettent en évidence l’apport des antirétroviraux et un meilleur suivi des patients, toujours « plus nombreux à avoir un taux de lymphocytes CD4 élevé ». Or ces derniers sont essentiels au bon fonctionnement de notre système immunitaire.
Margaret May insiste toutefois sur l’importance d’un diagnostic précoce. Et pour cause, plus le traitement est démarré tôt, plus le gain d’espérance de vie sera important. « Aujourd’hui, l’infection à VIH est devenue une maladie chronique avec un bon pronostic si le traitement est initié précocement », explique-t-elle.
Publié dans le British Medical Journal, ce travail a également fait l’objet d’un éditorial, signé du Dr Mark Gompels (Bristol). Il souligne que « ces résultats sont très rassurants pour les patients et ils devraient également être diffusés aux populations à risque ». Dans tous les cas, ces bonnes nouvelles ne doivent pas faire baisser la vigilance. Autrement dit, le préservatif reste toujours le meilleur moyen de prévention contre le VIH…et toutes les autres infections sexuellement transmissibles (IST).
Source : British Medical Journal, BMJ 2011 ;343 :doi:10.1136/bmj.d6593Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[17 octobre 2011 - 16h57]
Bonne nouvelle sur le front du VIH ! Au Royaume-Uni, l’espérance de vie des patients infectés par le virus a augmenté de 16 ans depuis 1996. En fait depuis l’introduction des antirétroviraux à haute efficacité. De nos jours, soulignent les auteurs d’un travail britannique, « un diagnostic précoce associé à un traitement démarré au bon moment ont vraiment un impact très positif sur l’espérance de vie ». A l’image de toute autre maladie chronique.
Le Dr Margaret May et son équipe de la faculté de Médecine de Bristol, se sont appuyées sur les données d’une grande étude épidémiologique démarrée en 2001 : la UK Collaborative HIV Cohort. Ils ont analysé les dossiers médicaux de 17 661 patients, suivis dans des hôpitaux britanniques depuis 1996.
Au total, 7% (1 248) d’entre eux sont décédés au cours de la période de suivi. Les résultats montrent que « l’espérance de vie à l’âge de 20 ans d’un patient infecté par le VIH est passée de 30 ans en 1996, à 46 ans en 2009 », précise Margaret May.
Elle a toutefois observé d’importantes différences selon le sexe. C’est ainsi que l’espérance de vie – toujours à 20 ans - des femmes, est supérieure de 10 ans à celle des hommes : 50 ans contre 40 ans ! Aujourd’hui, un homme infecté par le VIH vit en moyenne jusqu’à 60 ans, au lieu de 70 ans pour une femme. Dans la population générale, ces chiffres s’élèvent respectivement à 78 et 82 ans.
Ne pas baisser la vigilance
Cette étude a donc le mérite de chiffrer un phénomène déjà bien connu dans les pays développés. Sans surprise, les auteurs mettent en évidence l’apport des antirétroviraux et un meilleur suivi des patients, toujours « plus nombreux à avoir un taux de lymphocytes CD4 élevé ». Or ces derniers sont essentiels au bon fonctionnement de notre système immunitaire.
Margaret May insiste toutefois sur l’importance d’un diagnostic précoce. Et pour cause, plus le traitement est démarré tôt, plus le gain d’espérance de vie sera important. « Aujourd’hui, l’infection à VIH est devenue une maladie chronique avec un bon pronostic si le traitement est initié précocement », explique-t-elle.
Publié dans le British Medical Journal, ce travail a également fait l’objet d’un éditorial, signé du Dr Mark Gompels (Bristol). Il souligne que « ces résultats sont très rassurants pour les patients et ils devraient également être diffusés aux populations à risque ». Dans tous les cas, ces bonnes nouvelles ne doivent pas faire baisser la vigilance. Autrement dit, le préservatif reste toujours le meilleur moyen de prévention contre le VIH…et toutes les autres infections sexuellement transmissibles (IST).
Source : British Medical Journal, BMJ 2011 ;343 :doi:10.1136/bmj.d6593Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012
Médicaments sur ordonnance : toujours pas de publicité
[17 octobre 2011 - 15h15]
Par la voix de son commissaire chargé de la santé John Dalli, la Commission européenne maintient l’interdiction de la publicité des médicaments soumis à prescription médicale. Un nouveau texte à venir, qui sera présenté prochainement au Parlement européen et au Conseil des ministres, inquiète le Bureau européen des Unions de Consommateurs (BEUC).
« Dans ses (nouvelles) propositions, la Commission modifie son texte original de 2008 et répond aux demandes du Parlement européen », explique la Commission. Si elle maintient bien l’interdiction de la publicité actuellement applicable aux médicaments délivrés sur ordonnance, elle prévoit de la modifier sur quelques points. Certains types d’informations seulement pourront être fournis au public. Par exemple celles figurant sur l’étiquette, dans la notice ou ayant trait au prix, aux essais cliniques ou encore aux précautions d’emploi des produits en question. « La diffusion d’informations concernant les médicaments délivrés sur ordonnance ne sera autorisée que via un nombre limité de moyens de communication – sites web officiellement enregistrés ou documents imprimés mis à la disposition sur demande spécifique de particuliers. La publication dans la presse généraliste ne sera pas autorisée », précise la Commission.
En débat au Parlement européen
Cette dernière affirme que les informations fournies devront se conformer à des critères de qualité agréés. « Elles devront être objectives, factuellement correctes et ne pas induire en erreur. Toute information n’ayant pas été au préalable approuvée devra être vérifiée par les autorités compétentes ». Sur ce point précis, le BEUC ne cache pas son inquiétude. « Si l’Agence européenne du médicament n’a pas approuvé les documents qui lui sont soumis par les laboratoires dans un délai de 60 jours, l’information sera considérée comme validée. Mais que se passera-t-il si celle-ci reçoit une énorme quantité de documents à évaluer ? »
John Dalli se veut rassurant. Dans un communiqué, il affirme vouloir donner « la priorité aux droits, aux intérêts et à la sécurité des patients. Nos propositions obligent l’industrie à fournir aux patients certaines informations capitales » insiste-t-il. Les propositions de la Commission seront prochainement débattues au Parlement européen et au Conseil des ministres.
Pour aller plus loin : prenez connaissance des nouvelles propositions de la Commission européenne.
Source : BEUC, 11 octobre 2011 - Commission européenne, 12 octobre 2011Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
[17 octobre 2011 - 15h15]
Par la voix de son commissaire chargé de la santé John Dalli, la Commission européenne maintient l’interdiction de la publicité des médicaments soumis à prescription médicale. Un nouveau texte à venir, qui sera présenté prochainement au Parlement européen et au Conseil des ministres, inquiète le Bureau européen des Unions de Consommateurs (BEUC).
« Dans ses (nouvelles) propositions, la Commission modifie son texte original de 2008 et répond aux demandes du Parlement européen », explique la Commission. Si elle maintient bien l’interdiction de la publicité actuellement applicable aux médicaments délivrés sur ordonnance, elle prévoit de la modifier sur quelques points. Certains types d’informations seulement pourront être fournis au public. Par exemple celles figurant sur l’étiquette, dans la notice ou ayant trait au prix, aux essais cliniques ou encore aux précautions d’emploi des produits en question. « La diffusion d’informations concernant les médicaments délivrés sur ordonnance ne sera autorisée que via un nombre limité de moyens de communication – sites web officiellement enregistrés ou documents imprimés mis à la disposition sur demande spécifique de particuliers. La publication dans la presse généraliste ne sera pas autorisée », précise la Commission.
En débat au Parlement européen
Cette dernière affirme que les informations fournies devront se conformer à des critères de qualité agréés. « Elles devront être objectives, factuellement correctes et ne pas induire en erreur. Toute information n’ayant pas été au préalable approuvée devra être vérifiée par les autorités compétentes ». Sur ce point précis, le BEUC ne cache pas son inquiétude. « Si l’Agence européenne du médicament n’a pas approuvé les documents qui lui sont soumis par les laboratoires dans un délai de 60 jours, l’information sera considérée comme validée. Mais que se passera-t-il si celle-ci reçoit une énorme quantité de documents à évaluer ? »
John Dalli se veut rassurant. Dans un communiqué, il affirme vouloir donner « la priorité aux droits, aux intérêts et à la sécurité des patients. Nos propositions obligent l’industrie à fournir aux patients certaines informations capitales » insiste-t-il. Les propositions de la Commission seront prochainement débattues au Parlement européen et au Conseil des ministres.
Pour aller plus loin : prenez connaissance des nouvelles propositions de la Commission européenne.
Source : BEUC, 11 octobre 2011 - Commission européenne, 12 octobre 2011Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités concours 2012
Je viens de finir de tout lire !!
Qu'est ce qui en a, dans les journaux télévisés ont en voit qu'un quart !
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Qu'est ce qui en a, dans les journaux télévisés ont en voit qu'un quart !

INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
Courage Mouchou ! Moi pareil, les équations j'étais nulle. Et a force j'ai eu le déclic, et maintenant c'est surement la partie que j'arrive le mieux avec les problemes.
Les problèmes pareilles je comprenais rien du tout...Et je suis de plus en plus a l'aise..
Bon comme dis plus haut je fais encore des erreurs, quand y a trop de - ... C'est la cata.
La je planche mes racine carrée, par je suis pas type top ! Y a toujours un truc qui me contrarie ..
L'aire et les volume c chaud aussi..
Je commence a bien cernée mes lacunes, pour faire et refaire ..
Sinon la logique, la aujoudhui c'est ma priorité !
JE LE VEUX, JE LE VEUX, JE LE VEUX !!!!
Tu as quel livre Mouchou ?[/quote]
ça me rassure!j'espère l'avoir rapidement moi "le déclic"
J'ai le livre: tests d'aptitude concours infirmier chez nathan.Et toi?Sinon le vendredi je suis à la prépa et ils nous donnent des feuillets de problèmes,calculs,logique,tests d'attention,planning à faire dans la semaine...Le temps fou que je passe à essayer de résoudre un problème!!!
C'est surtout à cause des maths que j'ai fait la prépa et pour le moment je suis un peu déçue je ne progresse pas...Il y a juste les masterminds,les plannings et les tests d'attention où je me débrouille...Mais les problèmes et les calculs c'est vraiment l'horreur....mais je m'accroche je vais pas lacher!!!!
il me le faut ce concours!!!!!!
Aller cet aprem...REproblèmes
Bon courage et bon aprem!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Les problèmes pareilles je comprenais rien du tout...Et je suis de plus en plus a l'aise..
Bon comme dis plus haut je fais encore des erreurs, quand y a trop de - ... C'est la cata.
La je planche mes racine carrée, par je suis pas type top ! Y a toujours un truc qui me contrarie ..
L'aire et les volume c chaud aussi..
Je commence a bien cernée mes lacunes, pour faire et refaire ..

Sinon la logique, la aujoudhui c'est ma priorité !

JE LE VEUX, JE LE VEUX, JE LE VEUX !!!!

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ça me rassure!j'espère l'avoir rapidement moi "le déclic"

J'ai le livre: tests d'aptitude concours infirmier chez nathan.Et toi?Sinon le vendredi je suis à la prépa et ils nous donnent des feuillets de problèmes,calculs,logique,tests d'attention,planning à faire dans la semaine...Le temps fou que je passe à essayer de résoudre un problème!!!

C'est surtout à cause des maths que j'ai fait la prépa et pour le moment je suis un peu déçue je ne progresse pas...Il y a juste les masterminds,les plannings et les tests d'attention où je me débrouille...Mais les problèmes et les calculs c'est vraiment l'horreur....mais je m'accroche je vais pas lacher!!!!
il me le faut ce concours!!!!!!
Aller cet aprem...REproblèmes

Bon courage et bon aprem!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
Re: Actualités concours 2012
J'ai acheté trop "pleins" de livres lool
Mon homme me dit qe je vais quand meme les utilisé ! Il a pas tord mais v'la le budget..
En prépa il t'explique pas du tout les Maths ? Y a pas un prof qui passe et vous fait des cours ?
Pour les problèmes, je voulais même abandonné, j'ai arrêté 2 semaines d'en faire et rééssayer petit a petit en regardant les réponses. Et mon mari m'aider et un coup c'est rentré tout seul.
Bon y en a encore ou j'ai des lacunes, comme les interet ou les parts
Aujourd'hui j'ai fait 40 questions de logiques (ds questions facile) en 40 minutes et j'ai eu 4 fautes, je suis contente !
La je suis entrain de plancher culture gé et je relie l'actu a mes fiches.(J'ai trouvé super ton idées Mémo)
Si tu as des soucis avec les problèmes ou autres, tu peux aller dans "entraînements test psycho" et le poster, y aura toujours quelqu'un pour t'aider et t'expliquer
Moi aussi je me suis inscrite en prépa pour les Maths
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Mon homme me dit qe je vais quand meme les utilisé ! Il a pas tord mais v'la le budget..
En prépa il t'explique pas du tout les Maths ? Y a pas un prof qui passe et vous fait des cours ?
Pour les problèmes, je voulais même abandonné, j'ai arrêté 2 semaines d'en faire et rééssayer petit a petit en regardant les réponses. Et mon mari m'aider et un coup c'est rentré tout seul.
Bon y en a encore ou j'ai des lacunes, comme les interet ou les parts

Aujourd'hui j'ai fait 40 questions de logiques (ds questions facile) en 40 minutes et j'ai eu 4 fautes, je suis contente !
La je suis entrain de plancher culture gé et je relie l'actu a mes fiches.(J'ai trouvé super ton idées Mémo)
Si tu as des soucis avec les problèmes ou autres, tu peux aller dans "entraînements test psycho" et le poster, y aura toujours quelqu'un pour t'aider et t'expliquer

Moi aussi je me suis inscrite en prépa pour les Maths

INFIRMIERE D.E
Re: Actualités concours 2012
T'inquiètes pas mouchou, tu l'auras le déclic!!!Aujourd'hui j'ai fait 40 questions de logiques (ds questions facile) en 40 minutes et j'ai eu 4 fautes, je suis contente !
Felicitation!!
La je suis entrain de plancher culture gé et je relie l'actu a mes fiches.(J'ai trouvé super ton idées Mémo)
Mon idée???
Si tu as des soucis avec les problèmes ou autres, tu peux aller dans "entraînements test psycho" et le poster, y aura toujours quelqu'un pour t'aider et t'expliquer
Je confirme!!
Moi aussi je me suis inscrite en prépa pour les Maths
Tu va pouvoir nous poster des exos!!
Debella t'a parfaitement expliquer la situation. Maintenant il va falloir t'armer de patiente!!

Courage!!Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
Re: Actualités concours 2012
Merci beaucoup les filles!!!
Pfff oui vraiment j'espère en finir avec tout ces calculs et ces problèmes...
A la prépa on a un prof de maths qui corrige nos exercices a faire durant la semaine,la correction est détaillée mais je suis quand même à la ramasse alors que la plupart de la prépa est plutot bonne en maths et a plus de difficultés pour la culture gé,moi c'est tout l'inverse
Là je suis en train de reprendre tout depuis le début (collège) pour me faire une petite remise à niveau,je pensais qu'on allais le faire en prépa mais non
Bravo Debella je vois que tes efforts payent c'est super ton résultat!!ça me donne du courage!
Mémo je posterai des problèmes et essayerai de participer à l'entrainement culture générale et test psycho dès que j'aurai réussi à mieux m'organiser et à comprendre bien les bases des maths!
Merci pour vos encouragements et bon courage
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Pfff oui vraiment j'espère en finir avec tout ces calculs et ces problèmes...
A la prépa on a un prof de maths qui corrige nos exercices a faire durant la semaine,la correction est détaillée mais je suis quand même à la ramasse alors que la plupart de la prépa est plutot bonne en maths et a plus de difficultés pour la culture gé,moi c'est tout l'inverse

Là je suis en train de reprendre tout depuis le début (collège) pour me faire une petite remise à niveau,je pensais qu'on allais le faire en prépa mais non

Bravo Debella je vois que tes efforts payent c'est super ton résultat!!ça me donne du courage!
Mémo je posterai des problèmes et essayerai de participer à l'entrainement culture générale et test psycho dès que j'aurai réussi à mieux m'organiser et à comprendre bien les bases des maths!
Merci pour vos encouragements et bon courage

J'ai décidé d'être heureuse parce que c'est bon pour la santé !
Bordeaux;28ième sur LC
Lannion:admise!!!
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