Actualités 2012
Modérateurs : Modérateurs, Concours IFSI
Re: Actualités 2012
Si je vous posais la question, ( que l on pourrait vous poser à l'oral
)
Qu'est ce qui vous a marqué dans l'actualité récemment?
Vous diriez..??Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

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Re: Actualités 2012
les prothèse PIP
la perte du triple A
Le commandant abandonnant son bateau, son équipage et ses passagers
les intoxications à E.coli
tsunami au japon
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la perte du triple A
Le commandant abandonnant son bateau, son équipage et ses passagers
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Dernière modification par sixela95 le 19 janv. 2012 14:33, modifié 1 fois.
Maman de trois filoups, 32a, ESI 2012-2015 St Quentin- Picardie
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Laborantine en reconversion
S1: MAS
S2: SSR
S3: Médecine gériatrique
S4: EHPAD
Re: Actualités 2012
PIP : la société chargée du contrôle sur la sellette
Par Marie-Amélie Lombard - le 17/01/2012
Les ex-employés de Jean-Claude Mas affirment que tout était organisé pour tromper les enquêteurs de TÜV.
En attendant l'audition du patron de PIP (Poly Implant Prothèse), la pression s'accentue sur l'organisme de certification TÜV, censé contrôler la production des prothèses mammaires PIP.
Le principal angle d'attaque porte sur l'effectivité du contrôle exercé par l'organisme certificateur, pourtant très renommé en Allemagne. Plusieurs déclarations faites lors de l'enquête pour «tromperie aggravée» menée par le parquet de Marseille laissent perplexe. Ainsi, la «responsable qualité de PIP» déclare-t-elle sur procès-verbal: «Si la comptabilité avait été vérifiée par TÜV lors des audits, TÜV se serait nécessairement rendu compte que les quantités facturées par Nusil (fabricant de silicone médical, NDLR) ne correspondaient pas du tout aux quantités très supérieures nécessaires à la fabrication du total des prothèses vendues.» En effet, PIP s'était mis à fabriquer son «gel maison», à partir de silicone industriel, et à moindre coût, pour remplir ses prothèses. En d'autres termes, le différentiel entre les commandes de gel médical et la production d'implants aurait dû attirer l'attention des inspecteurs.
Défaut de vigilanceEn outre, les visites de contrôle étaient annoncées à l'avance. «Par principe, TÜV ne faisait pas d'inspections ni de visites inopinées», confirme ainsi aux enquêteurs le directeur du département médical de TÜV Rheinland France. Et son directeur général d'ajouter: «PIP était prévenu au minimum dix jours avant le déroulement des audits.» Pendant ce laps de temps, ont expliqué les ex-employés de l'entreprise varoise, le ménage était fait. Non seulement les conteneurs de gel non conforme disparaissaient sur des camions, loin des regards curieux, mais le système informatique était nettoyé pour dissimuler tout indice de tromperie. L'organisme certificateur est donc largement critiqué pour n'avoir exercé, des années durant, qu'un contrôle théorique et ne pas avoir effectué, notamment, de contrôle de traçabilité.
Un défaut de vigilance dénoncé notamment par Me Georges Holleaux, avocat de la Caisse nationale d'assurance-maladie, qui estime que les vérifications doivent être approfondies. Me Holleaux s'appuie sur l'affaire du téléphérique du pic de Bure (20 morts en juillet 1999 dans les Hautes-Alpes). L'Apave-Sud, certificateur, avait été condamné pour n'avoir pas suffisamment contrôlé l'attache de la cabine. «Sauf à retirer toute effectivité à cette exigence réglementaire de vérification technique, celle-ci ne pouvait se limiter à un simple examen visuel extérieur», a ainsi jugé la cour d'appel de Grenoble.
Système informatique truquéDans un dossier où l'aspect financier est très présent, TÜV est aussi en ligne de mire. «On va là où les poches sont profondes…», résume un avocat. Jean-Claude Mas apparemment insolvable, PIP déclaré en faillite, son assureur Allianz tentant de se dégager de sa garantie, les «poches» ne sont pas si nombreuses. TÜV, solide groupe allemand, en fait partie. D'où les différentes procédures civiles ou pénales qui le visent aujourd'hui. Silencieux jusqu'à présent, l'organisme de certification n'a pourtant pas l'intention de porter la responsabilité du scandale PIP, société contre laquelle il a lui-même porté plainte. Selon les auditeurs de TÜV - qui venaient en principe à deux lors de la visite du site à La Seyne-sur-Mer (Var) pendant un ou deux jours -, PIP était passé maître dans l'art de la dissimulation: le personnel était «briefé», le système informatique truqué, les documents papier soigneusement triés.
Or, le contrôle se limitait à vérifier le process qualité au regard des normes européennes, assure-t-on chez TÜV, où l'on répète que l'objectif d'un tel audit n'est pas de rechercher une fraude. Une faille évidente dans la surveillance sanitaire des prothèses, de vastes débats en perspective devant les tribunaux.
Lorsque les auditeurs de TÜV tournaient les talons, le patron de PIP fêtait, dit-on, l'événement au restaurant.
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Par Marie-Amélie Lombard - le 17/01/2012
Les ex-employés de Jean-Claude Mas affirment que tout était organisé pour tromper les enquêteurs de TÜV.
En attendant l'audition du patron de PIP (Poly Implant Prothèse), la pression s'accentue sur l'organisme de certification TÜV, censé contrôler la production des prothèses mammaires PIP.
Le principal angle d'attaque porte sur l'effectivité du contrôle exercé par l'organisme certificateur, pourtant très renommé en Allemagne. Plusieurs déclarations faites lors de l'enquête pour «tromperie aggravée» menée par le parquet de Marseille laissent perplexe. Ainsi, la «responsable qualité de PIP» déclare-t-elle sur procès-verbal: «Si la comptabilité avait été vérifiée par TÜV lors des audits, TÜV se serait nécessairement rendu compte que les quantités facturées par Nusil (fabricant de silicone médical, NDLR) ne correspondaient pas du tout aux quantités très supérieures nécessaires à la fabrication du total des prothèses vendues.» En effet, PIP s'était mis à fabriquer son «gel maison», à partir de silicone industriel, et à moindre coût, pour remplir ses prothèses. En d'autres termes, le différentiel entre les commandes de gel médical et la production d'implants aurait dû attirer l'attention des inspecteurs.
Défaut de vigilanceEn outre, les visites de contrôle étaient annoncées à l'avance. «Par principe, TÜV ne faisait pas d'inspections ni de visites inopinées», confirme ainsi aux enquêteurs le directeur du département médical de TÜV Rheinland France. Et son directeur général d'ajouter: «PIP était prévenu au minimum dix jours avant le déroulement des audits.» Pendant ce laps de temps, ont expliqué les ex-employés de l'entreprise varoise, le ménage était fait. Non seulement les conteneurs de gel non conforme disparaissaient sur des camions, loin des regards curieux, mais le système informatique était nettoyé pour dissimuler tout indice de tromperie. L'organisme certificateur est donc largement critiqué pour n'avoir exercé, des années durant, qu'un contrôle théorique et ne pas avoir effectué, notamment, de contrôle de traçabilité.
Un défaut de vigilance dénoncé notamment par Me Georges Holleaux, avocat de la Caisse nationale d'assurance-maladie, qui estime que les vérifications doivent être approfondies. Me Holleaux s'appuie sur l'affaire du téléphérique du pic de Bure (20 morts en juillet 1999 dans les Hautes-Alpes). L'Apave-Sud, certificateur, avait été condamné pour n'avoir pas suffisamment contrôlé l'attache de la cabine. «Sauf à retirer toute effectivité à cette exigence réglementaire de vérification technique, celle-ci ne pouvait se limiter à un simple examen visuel extérieur», a ainsi jugé la cour d'appel de Grenoble.
Système informatique truquéDans un dossier où l'aspect financier est très présent, TÜV est aussi en ligne de mire. «On va là où les poches sont profondes…», résume un avocat. Jean-Claude Mas apparemment insolvable, PIP déclaré en faillite, son assureur Allianz tentant de se dégager de sa garantie, les «poches» ne sont pas si nombreuses. TÜV, solide groupe allemand, en fait partie. D'où les différentes procédures civiles ou pénales qui le visent aujourd'hui. Silencieux jusqu'à présent, l'organisme de certification n'a pourtant pas l'intention de porter la responsabilité du scandale PIP, société contre laquelle il a lui-même porté plainte. Selon les auditeurs de TÜV - qui venaient en principe à deux lors de la visite du site à La Seyne-sur-Mer (Var) pendant un ou deux jours -, PIP était passé maître dans l'art de la dissimulation: le personnel était «briefé», le système informatique truqué, les documents papier soigneusement triés.
Or, le contrôle se limitait à vérifier le process qualité au regard des normes européennes, assure-t-on chez TÜV, où l'on répète que l'objectif d'un tel audit n'est pas de rechercher une fraude. Une faille évidente dans la surveillance sanitaire des prothèses, de vastes débats en perspective devant les tribunaux.
Lorsque les auditeurs de TÜV tournaient les talons, le patron de PIP fêtait, dit-on, l'événement au restaurant.
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Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités 2012
Éducation : les effets positifs du recrutement «sur profil»
REPORTAGE - Dans un quartier populaire du nord de la ville, le collège des Capucins bénéficie de trois de ces postes créés par le dispositif «Éclair».
Sabah Cariou, Arnaud Pousset et Olivier Le Dall: tous âgés de 32 ans, ces professeurs ont été recrutés depuis deux à trois ans au collège des Capucins dans les quartiers nord de Melun (Seine-et-Marne). Ils occupent ces fameux «postes à profil» ouverts dans les établissements Éclair.
Le collège correspond aux caractéristiques habituelles des zones sensibles: 70 % de ses 360 élèves sont d'origine défavorisée et 35 nationalités s'y côtoient. De 30 à 45 % des enfants entrant en sixième ont déjà un à deux ans de retard, énumère le principal, Laurent Déprez. Pour compenser ces difficultés, le collège a eu droit il y a deux ans à la transformation de trois emplois en postes sur profil et à la création de trois postes de «préfet des études» chargés chacun d'un niveau d'études.
Certains bénéficient d'une prime, les autres de décharges horaires. «J'ai donné un avis sur chaque candidat que j'ai reçu, six pour trois postes, et le rectorat m'a suivi dans mes choix», explique-t-il. Ces enseignants constituent une «vraie valeur ajoutée », parce qu'ils peuvent développer des compétences différentes dans l'établissement. «Je suis, grâce à eux, beaucoup plus entouré. On est dans une dynamique positive.»
Faire le lien entre des structures
L'une des idées principales est de faciliter le passage entre l'école primaire et la sixième, souvent difficile pour les élèves fragiles. Sabah Cariou a été recrutée pour cette raison préfet des étudesen sixième après l'avis du principal. Professeur des écoles, elle a aussi été enseignante spécialisée pour enfants en difficulté dans le passé, et a enseigné comme professeur de lettres au collège, un profil polyvalent idéal qui permet de faire le lien entre des structures qui s'ignorent trop souvent. «Je connais les élèves, leurs parcours, leurs personnalités lorsqu'ils arrivent au collège. Ils ne sont pas perdus », explique-t-elle.
Comme ses collègues, ce n'est pas la promesse d'une prime, qu'elle n'a de toute façon toujours pas reçue, qui l'a poussée à candidater. Mais d'abord et avant tout l'intérêt du projet. «Le travail en équipe auprès d'enfants en difficulté, c'est exactement ce que je voulais faire», explique-t-elle. «Les formulations des consignes des enseignants sont différentes entre l'école et le collège. On peut les expliquer aux enfants et lever ainsi certains blocages», explique cette enseignante qui a l'habitude de seconder d'autres collègues à leur demande: «Le fait d'être à deux est intéressant. On analyse ce qui ne va pas dans le cours. Et lorsqu'un groupe d'élèves ne comprend pas, je les prends tout de suite à part pour réexpliquer. On personnalise plus, on répond mieux aux besoins de chacun.»
Les trois enseignants expliquent faire «beaucoup de recherche pédagogique». Arnaud Pousset, professeur de mathématiques qui intervient à la fois en collège et en primaire, s'est ainsi rendu compte qu'il «fallait beaucoup insister sur la mémorisation» quitte à réexpliquer à l'aide de schémas et de dessins la façon dont on apprend par cœur: «Ils ne comprennent pas des termes comme mémoriser. Alors on leur dit que pour apprendre, il faut écrire, tracer, répéter oralement et intérieurement. Cela peut sembler évident, mais tous ne le savent pas à l'entrée au collège».
Oiseau rare
Dans les classes de CM2 entourant le collège, il a mis en place un concours, le «défi maths» en insistant sur les compétences non acquises par les élèves lors des tests nationaux. «Ce qui m'intéressait, c'était de faire autre chose que de l'enseignement pur et dur et de me rendre utile différemment. C'est aussi un moyen de s'investir dans le fonctionnement de l'établissement.» En plus de ses heures d'enseignement d'histoire-géographie, Olivier Le Dall est préfet des études pour les classes de troisième: «Je leur parle d'orientation, j'organise des visites de lycées. J'ai mis en place des partenariats de théâtre avec la ville de Melun.» Ce fonctionnement différent donne des résultats: depuis quatre ans, les résultats du brevet ont progressé de 10 %. Le principal a déjà une idée précise du poste qu'il demandera l'an prochain. Il espère attirer un oiseau rare, un professeur susceptible d'enseigner toutes les matières scientifiques pour les élèves de sixième «parce qu'une seule méthode de travail à cet âge, ça marche beaucoup mieux. Il pourrait s'agir d'un professeur des écoles, car ils ont l'habitude d'enseigner plusieurs matières». Initié par un professeur de technologie qui part «hélas» cette année à la retraite, ce projet a beaucoup de succès: «Les parents auraient souhaité que je le propose pour toutes les classes…»
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REPORTAGE - Dans un quartier populaire du nord de la ville, le collège des Capucins bénéficie de trois de ces postes créés par le dispositif «Éclair».
Sabah Cariou, Arnaud Pousset et Olivier Le Dall: tous âgés de 32 ans, ces professeurs ont été recrutés depuis deux à trois ans au collège des Capucins dans les quartiers nord de Melun (Seine-et-Marne). Ils occupent ces fameux «postes à profil» ouverts dans les établissements Éclair.
Le collège correspond aux caractéristiques habituelles des zones sensibles: 70 % de ses 360 élèves sont d'origine défavorisée et 35 nationalités s'y côtoient. De 30 à 45 % des enfants entrant en sixième ont déjà un à deux ans de retard, énumère le principal, Laurent Déprez. Pour compenser ces difficultés, le collège a eu droit il y a deux ans à la transformation de trois emplois en postes sur profil et à la création de trois postes de «préfet des études» chargés chacun d'un niveau d'études.
Certains bénéficient d'une prime, les autres de décharges horaires. «J'ai donné un avis sur chaque candidat que j'ai reçu, six pour trois postes, et le rectorat m'a suivi dans mes choix», explique-t-il. Ces enseignants constituent une «vraie valeur ajoutée », parce qu'ils peuvent développer des compétences différentes dans l'établissement. «Je suis, grâce à eux, beaucoup plus entouré. On est dans une dynamique positive.»
Faire le lien entre des structures
L'une des idées principales est de faciliter le passage entre l'école primaire et la sixième, souvent difficile pour les élèves fragiles. Sabah Cariou a été recrutée pour cette raison préfet des étudesen sixième après l'avis du principal. Professeur des écoles, elle a aussi été enseignante spécialisée pour enfants en difficulté dans le passé, et a enseigné comme professeur de lettres au collège, un profil polyvalent idéal qui permet de faire le lien entre des structures qui s'ignorent trop souvent. «Je connais les élèves, leurs parcours, leurs personnalités lorsqu'ils arrivent au collège. Ils ne sont pas perdus », explique-t-elle.
Comme ses collègues, ce n'est pas la promesse d'une prime, qu'elle n'a de toute façon toujours pas reçue, qui l'a poussée à candidater. Mais d'abord et avant tout l'intérêt du projet. «Le travail en équipe auprès d'enfants en difficulté, c'est exactement ce que je voulais faire», explique-t-elle. «Les formulations des consignes des enseignants sont différentes entre l'école et le collège. On peut les expliquer aux enfants et lever ainsi certains blocages», explique cette enseignante qui a l'habitude de seconder d'autres collègues à leur demande: «Le fait d'être à deux est intéressant. On analyse ce qui ne va pas dans le cours. Et lorsqu'un groupe d'élèves ne comprend pas, je les prends tout de suite à part pour réexpliquer. On personnalise plus, on répond mieux aux besoins de chacun.»
Les trois enseignants expliquent faire «beaucoup de recherche pédagogique». Arnaud Pousset, professeur de mathématiques qui intervient à la fois en collège et en primaire, s'est ainsi rendu compte qu'il «fallait beaucoup insister sur la mémorisation» quitte à réexpliquer à l'aide de schémas et de dessins la façon dont on apprend par cœur: «Ils ne comprennent pas des termes comme mémoriser. Alors on leur dit que pour apprendre, il faut écrire, tracer, répéter oralement et intérieurement. Cela peut sembler évident, mais tous ne le savent pas à l'entrée au collège».
Oiseau rare
Dans les classes de CM2 entourant le collège, il a mis en place un concours, le «défi maths» en insistant sur les compétences non acquises par les élèves lors des tests nationaux. «Ce qui m'intéressait, c'était de faire autre chose que de l'enseignement pur et dur et de me rendre utile différemment. C'est aussi un moyen de s'investir dans le fonctionnement de l'établissement.» En plus de ses heures d'enseignement d'histoire-géographie, Olivier Le Dall est préfet des études pour les classes de troisième: «Je leur parle d'orientation, j'organise des visites de lycées. J'ai mis en place des partenariats de théâtre avec la ville de Melun.» Ce fonctionnement différent donne des résultats: depuis quatre ans, les résultats du brevet ont progressé de 10 %. Le principal a déjà une idée précise du poste qu'il demandera l'an prochain. Il espère attirer un oiseau rare, un professeur susceptible d'enseigner toutes les matières scientifiques pour les élèves de sixième «parce qu'une seule méthode de travail à cet âge, ça marche beaucoup mieux. Il pourrait s'agir d'un professeur des écoles, car ils ont l'habitude d'enseigner plusieurs matières». Initié par un professeur de technologie qui part «hélas» cette année à la retraite, ce projet a beaucoup de succès: «Les parents auraient souhaité que je le propose pour toutes les classes…»
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités 2012
Le gouvernement espère enrayer les divorces
Le Point.fr - Publié le 18/01/2012 à 10:10 - Modifié le 19/01/2012 à 08:12
En 2010, 251 654 mariages ont été enregistrés alors que 134 000 divorces ont été prononcés, selon l'Insee.
Le gouvernement va faire jeudi des propositions pour valoriser le mariage civil et mieux préparer les couples à cette union, espérant au passage limiter le nombre des divorces, un projet qui divise les spécialistes de la famille. En France, la moitié des mariages se soldent désormais par un divorce. En effet, en 2010, 251 654 mariages ont été enregistrés alors que près de 134 000 divorces ont été prononcés, selon l'Insee. Or, pour le gouvernement, ces séparations ont un coût.
"Les conséquences, elles sont humaines, et en même temps financières. Ça déstabilise un couple, ça précarise un foyer, ça rend très difficile la vie de celle ou celui qui reste seul", relevait à l'automne Claude Greff, la secrétaire d'État chargée de la Famille. Jeudi, elle entend annoncer une série de propositions pour, notamment, mieux responsabiliser les futurs candidats au mariage. Plusieurs groupes de travail réunissant associations, élus, représentants de différents ministères, ont planché depuis juin sur le sujet. "Il faut faire en sorte que les gens s'engagent en connaissance de cause", fait-on valoir à la Confédération nationale des associations familiales catholiques (CNAFC), partie prenante.
La Confédération a notamment plaidé pour le développement d'un "temps de préparation pour les futurs époux à partir des articles du Code civil", qui sont "trop méconnus et mériteraient d'être expliqués". "Par exemple, de nombreux mariés ne savent pas qu'ils s'engagent à être solidaires vis-à-vis de leur belle-famille", indique Serge Gillotin, président de l'association Cap Mariage, spécialisée dans la préparation des couples aux unions civiles. "Mieux les préparer, c'est leur donner des atouts pour le jour où ils rencontreront des difficultés", assure-t-il. À l'automne, Claude Greff avait évoqué un "kit de préparation au mariage civil". "Pourquoi pas une préparation au pacs ?" ironise Michel Bozon, directeur de recherche à l'Institut national d'études démographiques à Paris (Ined).
"Un cautère sur une jambe de bois"
Béatrice Weiss-Gout, avocate spécialisée en droit de la famille, salue à l'inverse le projet : "Les gens n'ont souvent aucune idée des obligations et des conséquences du mariage", dit-elle, prenant l'exemple d'un chef d'entreprise qui ignorait que, en cas de divorce, il devait partager la valeur de sa société avec son épouse. "Permettre aux couples de mieux se préparer et de renforcer le dialogue dès le départ serait très utile, à condition qu'on y mette vraiment les moyens, sinon, c'est comme un cautère sur une jambe de bois", estime-t-elle.
Pour François de Singly, professeur de sociologie à l'université Paris-Descartes, spécialiste de la famille, "pour une raison mystérieuse, en France, pays de la laïcité, le mariage civil a toujours été assez bâclé, laissant au mariage religieux les fastes de la cérémonie". Selon lui, il est ainsi intéressant de "réhabiliter le mariage civil du point de vue de l'institution, de nombreuses personnes décidant de se marier à l'église uniquement pour avoir une cérémonie". Pour autant, "il est totalement illusoire de penser qu'une meilleure compréhension du Code civil permettrait une diminution du nombre de divorces", estime-t-il.
Le sociologue en veut pour preuve que les divorces sont le plus souvent décidés par les femmes, qui estiment que leurs maris ne font plus attention à elles ou ne participent pas assez aux tâches domestiques. Deux manquements, observe-t-il, "qui ne sont pas mentionnés dans le contrat de mariage"...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Le Point.fr - Publié le 18/01/2012 à 10:10 - Modifié le 19/01/2012 à 08:12
En 2010, 251 654 mariages ont été enregistrés alors que 134 000 divorces ont été prononcés, selon l'Insee.
Le gouvernement va faire jeudi des propositions pour valoriser le mariage civil et mieux préparer les couples à cette union, espérant au passage limiter le nombre des divorces, un projet qui divise les spécialistes de la famille. En France, la moitié des mariages se soldent désormais par un divorce. En effet, en 2010, 251 654 mariages ont été enregistrés alors que près de 134 000 divorces ont été prononcés, selon l'Insee. Or, pour le gouvernement, ces séparations ont un coût.
"Les conséquences, elles sont humaines, et en même temps financières. Ça déstabilise un couple, ça précarise un foyer, ça rend très difficile la vie de celle ou celui qui reste seul", relevait à l'automne Claude Greff, la secrétaire d'État chargée de la Famille. Jeudi, elle entend annoncer une série de propositions pour, notamment, mieux responsabiliser les futurs candidats au mariage. Plusieurs groupes de travail réunissant associations, élus, représentants de différents ministères, ont planché depuis juin sur le sujet. "Il faut faire en sorte que les gens s'engagent en connaissance de cause", fait-on valoir à la Confédération nationale des associations familiales catholiques (CNAFC), partie prenante.
La Confédération a notamment plaidé pour le développement d'un "temps de préparation pour les futurs époux à partir des articles du Code civil", qui sont "trop méconnus et mériteraient d'être expliqués". "Par exemple, de nombreux mariés ne savent pas qu'ils s'engagent à être solidaires vis-à-vis de leur belle-famille", indique Serge Gillotin, président de l'association Cap Mariage, spécialisée dans la préparation des couples aux unions civiles. "Mieux les préparer, c'est leur donner des atouts pour le jour où ils rencontreront des difficultés", assure-t-il. À l'automne, Claude Greff avait évoqué un "kit de préparation au mariage civil". "Pourquoi pas une préparation au pacs ?" ironise Michel Bozon, directeur de recherche à l'Institut national d'études démographiques à Paris (Ined).
"Un cautère sur une jambe de bois"
Béatrice Weiss-Gout, avocate spécialisée en droit de la famille, salue à l'inverse le projet : "Les gens n'ont souvent aucune idée des obligations et des conséquences du mariage", dit-elle, prenant l'exemple d'un chef d'entreprise qui ignorait que, en cas de divorce, il devait partager la valeur de sa société avec son épouse. "Permettre aux couples de mieux se préparer et de renforcer le dialogue dès le départ serait très utile, à condition qu'on y mette vraiment les moyens, sinon, c'est comme un cautère sur une jambe de bois", estime-t-elle.
Pour François de Singly, professeur de sociologie à l'université Paris-Descartes, spécialiste de la famille, "pour une raison mystérieuse, en France, pays de la laïcité, le mariage civil a toujours été assez bâclé, laissant au mariage religieux les fastes de la cérémonie". Selon lui, il est ainsi intéressant de "réhabiliter le mariage civil du point de vue de l'institution, de nombreuses personnes décidant de se marier à l'église uniquement pour avoir une cérémonie". Pour autant, "il est totalement illusoire de penser qu'une meilleure compréhension du Code civil permettrait une diminution du nombre de divorces", estime-t-il.
Le sociologue en veut pour preuve que les divorces sont le plus souvent décidés par les femmes, qui estiment que leurs maris ne font plus attention à elles ou ne participent pas assez aux tâches domestiques. Deux manquements, observe-t-il, "qui ne sont pas mentionnés dans le contrat de mariage"...Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités 2012
Faut-il tout dire à son médecin ?
Le Point.fr - Publié le 18/01/2012 à 18:01
Cacher certains symptômes pour protéger sa vie privée est risqué. Interview.
En France, 54,4 % des patients atteints d'une "maladie sensible" indiquent ne pas avoir communiqué d'informations aux soignants par crainte d'atteinte à la vie privée. C'est l'un des résultats d'une étude réalisée en ligne en septembre 2011 pour FairWarning, qui se présente comme "le leader des solutions de protection des données de santé à caractère personnel". 22 % des personnes interrogées décaleraient le moment de consulter par crainte de non-respect de la confidentialité. Et près d'un patient sur trois chercherait des soins en dehors de sa zone habituelle (parmi ces derniers, 40,1 % seraient prêts à parcourir plus de 50 kilomètres pour éviter d'être soignés dans un établissement dont ils douteraient de la protection de leurs données de santé). Mais 67 % des patients français déclarent être confiants dans la protection de leurs dossiers médicaux et de leur vie privée. Commentaires du docteur François Baumann, médecin généraliste, enseignant à Paris V et membre de la commission du DMP (dossier médical personnalisé).
Le Point.fr : Comprenez-vous la crainte des personnes souffrant d'une "maladie sensible" ?
Docteur François Baumann : Globalement, dans ma pratique, il y a trois types d'affections pour lesquelles les patients sont les plus attentifs au respect du secret médical : c'est le sida, le cancer et les problèmes psychiatriques. On voit encore des gens qui refusent un arrêt de travail fait par un psychiatre et qui demandent que ce soit leur généraliste qui signe le papier alors que les psychiatres ont la possibilité de ne pas faire apparaître leur titre sur des arrêts de travail. Dans certains centres de psychiatrie, ces médecins ont des doubles ordonnances. Mais j'ai récemment reçu une sportive de haut niveau qui avait une bronchite, mais qui était terrorisée à l'idée que cela se sache.
Mais peut-on être bien soigné si l'on ne dit pas tout à son médecin ?
La réponse est clairement non. Or le comportement des patients est parfois paradoxal. Ils demandent légitimement les meilleurs soins, mais ils hésitent à se confier, de peur que leur employeur ou d'autres personnes connaissent leurs problèmes de santé. En dehors des "maladies sensibles", il existe aussi des gens très pudiques, qui ont beaucoup de mal à parler d'eux-mêmes et de leur santé. Il faut donc que le médecin arrive à mettre suffisamment en confiance son patient pour qu'il lui dise ce qui est nécessaire pour sa santé. Cela s'apprend.
Les risques de divulgation d'informations médicales sont-ils plus importants avec les dossiers informatisés (le fameux DMP) qu'avec les anciens dossiers papier ?
C'est probable. Même si les dossiers papier peuvent toujours être consultés, par exemple lors d'une enquête de police, le risque de perte de la confidentialité est supérieur pour les données qui circulent sur Internet. Mais l'enjeu est à la hauteur du risque. Si une personne fait une crise d'asthme pendant ses vacances, loin de chez elle, elle a plus de chances d'être correctement traitée si le médecin qui la reçoit sait immédiatement de quoi elle souffre et quels sont ses traitements. Il faut jouer cartes sur table avec son médecin, les conséquences potentielles néfastes d'une "omission" sont inférieures aux bénéfices.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Le Point.fr - Publié le 18/01/2012 à 18:01
Cacher certains symptômes pour protéger sa vie privée est risqué. Interview.
En France, 54,4 % des patients atteints d'une "maladie sensible" indiquent ne pas avoir communiqué d'informations aux soignants par crainte d'atteinte à la vie privée. C'est l'un des résultats d'une étude réalisée en ligne en septembre 2011 pour FairWarning, qui se présente comme "le leader des solutions de protection des données de santé à caractère personnel". 22 % des personnes interrogées décaleraient le moment de consulter par crainte de non-respect de la confidentialité. Et près d'un patient sur trois chercherait des soins en dehors de sa zone habituelle (parmi ces derniers, 40,1 % seraient prêts à parcourir plus de 50 kilomètres pour éviter d'être soignés dans un établissement dont ils douteraient de la protection de leurs données de santé). Mais 67 % des patients français déclarent être confiants dans la protection de leurs dossiers médicaux et de leur vie privée. Commentaires du docteur François Baumann, médecin généraliste, enseignant à Paris V et membre de la commission du DMP (dossier médical personnalisé).
Le Point.fr : Comprenez-vous la crainte des personnes souffrant d'une "maladie sensible" ?
Docteur François Baumann : Globalement, dans ma pratique, il y a trois types d'affections pour lesquelles les patients sont les plus attentifs au respect du secret médical : c'est le sida, le cancer et les problèmes psychiatriques. On voit encore des gens qui refusent un arrêt de travail fait par un psychiatre et qui demandent que ce soit leur généraliste qui signe le papier alors que les psychiatres ont la possibilité de ne pas faire apparaître leur titre sur des arrêts de travail. Dans certains centres de psychiatrie, ces médecins ont des doubles ordonnances. Mais j'ai récemment reçu une sportive de haut niveau qui avait une bronchite, mais qui était terrorisée à l'idée que cela se sache.
Mais peut-on être bien soigné si l'on ne dit pas tout à son médecin ?
La réponse est clairement non. Or le comportement des patients est parfois paradoxal. Ils demandent légitimement les meilleurs soins, mais ils hésitent à se confier, de peur que leur employeur ou d'autres personnes connaissent leurs problèmes de santé. En dehors des "maladies sensibles", il existe aussi des gens très pudiques, qui ont beaucoup de mal à parler d'eux-mêmes et de leur santé. Il faut donc que le médecin arrive à mettre suffisamment en confiance son patient pour qu'il lui dise ce qui est nécessaire pour sa santé. Cela s'apprend.
Les risques de divulgation d'informations médicales sont-ils plus importants avec les dossiers informatisés (le fameux DMP) qu'avec les anciens dossiers papier ?
C'est probable. Même si les dossiers papier peuvent toujours être consultés, par exemple lors d'une enquête de police, le risque de perte de la confidentialité est supérieur pour les données qui circulent sur Internet. Mais l'enjeu est à la hauteur du risque. Si une personne fait une crise d'asthme pendant ses vacances, loin de chez elle, elle a plus de chances d'être correctement traitée si le médecin qui la reçoit sait immédiatement de quoi elle souffre et quels sont ses traitements. Il faut jouer cartes sur table avec son médecin, les conséquences potentielles néfastes d'une "omission" sont inférieures aux bénéfices.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités 2012
Disparités Hommes-Femmes
http://www.20minutes.fr/article/862890/ ... dienÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
http://www.20minutes.fr/article/862890/ ... dienÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Dernière modification par kysa le 19 janv. 2012 15:48, modifié 1 fois.
DE 2015
IBO en Guadeloupe
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Re: Actualités 2012
Mésothéliome, nouvelle maladie à déclaration obligatoire - InformationHospitalière.com
Suite à un décret paru cette semaine dans le Journal officiel, le mésothéliome, cancer touchant la plèvre (revêtement des poumons), est désormais la trente-et-unième maladie faisant l'objet d'une déclaration obligatoire. Cette décision, qui s’intègre parfaitement au Plan cancer 2009-2013, devrait permettre de mieux comprendre les facteurs de risques mis en cause, autres que l’exposition à l’amiante.
D’après les informations fournies par , l’Institut de veille sanitaire (InVS) et par l'Institut national du cancer (INCa), le seul facteur de risque, identifié comme étant à l’origine du développement d’un mésothéliome, est l’exposition à l’amiante. Selon les experts, de nombreuses années peuvent s’écouler avant que les premiers symptômes de la maladie apparaissent. Actuellement, on estime que chaque année, entre 800 et 1 200 personnes sont nouvellement touchées par ce type de cancer.
Désormais, quand un médecin diagnostiquera un nouveau cas de mésothéliome, il aura l’obligation de le notifier à l’Agence régionale de santé (ARS) dont il dépend. Cette dernière fera ensuite remonter l’information à l’InVS qui aura pour mission de traiter l’ensemble des données.
Comme il était convenu dans le plan cancer 2009-2013, six régions françaises ont mis en place, depuis janvier 2011, ce dispositif de déclarations obligatoire afin de vérifier sa faisabilité.
La déclaration obligatoire n’a pas pour but de ficher les individus, mais d’augmenter les connaissances médicales sur certaines maladies, et notamment, sur leurs facteurs de risques. Grâce aux données ainsi recueillies, l’InVS pourra observer si certaines régions sont plus touchées que d’autres, et tenter de mieux comprendre, lorsque l’exposition est non-professionnelle, quelle en est la source…Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Suite à un décret paru cette semaine dans le Journal officiel, le mésothéliome, cancer touchant la plèvre (revêtement des poumons), est désormais la trente-et-unième maladie faisant l'objet d'une déclaration obligatoire. Cette décision, qui s’intègre parfaitement au Plan cancer 2009-2013, devrait permettre de mieux comprendre les facteurs de risques mis en cause, autres que l’exposition à l’amiante.
D’après les informations fournies par , l’Institut de veille sanitaire (InVS) et par l'Institut national du cancer (INCa), le seul facteur de risque, identifié comme étant à l’origine du développement d’un mésothéliome, est l’exposition à l’amiante. Selon les experts, de nombreuses années peuvent s’écouler avant que les premiers symptômes de la maladie apparaissent. Actuellement, on estime que chaque année, entre 800 et 1 200 personnes sont nouvellement touchées par ce type de cancer.
Désormais, quand un médecin diagnostiquera un nouveau cas de mésothéliome, il aura l’obligation de le notifier à l’Agence régionale de santé (ARS) dont il dépend. Cette dernière fera ensuite remonter l’information à l’InVS qui aura pour mission de traiter l’ensemble des données.
Comme il était convenu dans le plan cancer 2009-2013, six régions françaises ont mis en place, depuis janvier 2011, ce dispositif de déclarations obligatoire afin de vérifier sa faisabilité.
La déclaration obligatoire n’a pas pour but de ficher les individus, mais d’augmenter les connaissances médicales sur certaines maladies, et notamment, sur leurs facteurs de risques. Grâce aux données ainsi recueillies, l’InVS pourra observer si certaines régions sont plus touchées que d’autres, et tenter de mieux comprendre, lorsque l’exposition est non-professionnelle, quelle en est la source…Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités 2012
Grippe : pourquoi l'épidémie n'est pas encore arrivée ?
L'épidémie de grippe annuelle n'a pas encore eu lieu. Si elle est en retard par rapport aux années précédentes, elle peut encore frapper. Restons prudents !
• Tout savoir sur la grippe grâce à notre dossier complet
Pour celles et ceux qui ne s’en étaient pas aperçus, la grippe est quasiment portée disparue en France. « Au cours des quarante dernières années, nous n’avons jamais traversé un hiver sans épidémie de grippe », lance le virologue Bruno Lina. Il n’en reste pas moins que celle de 2011/2012 est en retard. Pourquoi ?
Les derniers bilans des médecins Sentinelles et du Réseau des Grog font état d’une « activité faible » et d’une « présence encore discrète de la grippe». Depuis son poste de directeur du Centre national de référence de la grippe à Lyon, Bruno Lina observe avec attention les indicateurs actuels.
« D’une manière générale, lors des 20 dernières années l’épidémie de grippe est arrivée au plus tôt au début du mois de novembre, et au plus tard début mars, explique-t-il. Nous sommes donc toujours dans la fenêtre de tir, mais il est vrai que cette année, [la grippe] semble plutôt tardive. Et absolument aucun indicateur ne permet de prévoir la date d’arrivée de l’épidémie, et encore moins son intensité. Ce n’est pas parce qu’elle est tardive qu’elle sera plus ou moins virulente. »
L'hémisphère nord épargné par l'épidémie de grippe
La situation de la France n’est pas singulière. Elle est semblable sur l’ensemble de l’hémisphère nord. « Aux États-Unis et au Canada, nous commençons à voir un peu plus de cas avec une prédominance de virusH3N2. La seule chose que nous puissions dire est que nous aurons une épidémie à dominante H3N2. »
Cette souche figure bien dans la composition du vaccin 2011/2012. « Celles et ceux qui veulent se faire vacciner peuvent encore aller voir leur médecin », glisse au passage Bruno Lina. D’un point de vue administratif d’ailleurs, les bons permettant aux personnes à risque de subir l'injection du vaccingratuitement sont valables jusqu’au 31 janvier.
Quant aux patients qui n'ont pas reçu la piqûre préventive au début du mois d’octobre, qu’ils se rassurent, « ils sont toujours protégés. Certes le taux d’anticorps diminue avec le temps mais l’effet est quand même prolongé environ six mois ». Ce qui signifie que si l’épidémie « se pointait à la mi-mars, nous pourrions nous retrouver dans une situation problématique, conclut Bruno Lina. Mais nous n’en sommes pas encore là… »
18/01/2012 sciencesavenir.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
L'épidémie de grippe annuelle n'a pas encore eu lieu. Si elle est en retard par rapport aux années précédentes, elle peut encore frapper. Restons prudents !
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Pour celles et ceux qui ne s’en étaient pas aperçus, la grippe est quasiment portée disparue en France. « Au cours des quarante dernières années, nous n’avons jamais traversé un hiver sans épidémie de grippe », lance le virologue Bruno Lina. Il n’en reste pas moins que celle de 2011/2012 est en retard. Pourquoi ?
Les derniers bilans des médecins Sentinelles et du Réseau des Grog font état d’une « activité faible » et d’une « présence encore discrète de la grippe». Depuis son poste de directeur du Centre national de référence de la grippe à Lyon, Bruno Lina observe avec attention les indicateurs actuels.
« D’une manière générale, lors des 20 dernières années l’épidémie de grippe est arrivée au plus tôt au début du mois de novembre, et au plus tard début mars, explique-t-il. Nous sommes donc toujours dans la fenêtre de tir, mais il est vrai que cette année, [la grippe] semble plutôt tardive. Et absolument aucun indicateur ne permet de prévoir la date d’arrivée de l’épidémie, et encore moins son intensité. Ce n’est pas parce qu’elle est tardive qu’elle sera plus ou moins virulente. »
L'hémisphère nord épargné par l'épidémie de grippe
La situation de la France n’est pas singulière. Elle est semblable sur l’ensemble de l’hémisphère nord. « Aux États-Unis et au Canada, nous commençons à voir un peu plus de cas avec une prédominance de virusH3N2. La seule chose que nous puissions dire est que nous aurons une épidémie à dominante H3N2. »
Cette souche figure bien dans la composition du vaccin 2011/2012. « Celles et ceux qui veulent se faire vacciner peuvent encore aller voir leur médecin », glisse au passage Bruno Lina. D’un point de vue administratif d’ailleurs, les bons permettant aux personnes à risque de subir l'injection du vaccingratuitement sont valables jusqu’au 31 janvier.
Quant aux patients qui n'ont pas reçu la piqûre préventive au début du mois d’octobre, qu’ils se rassurent, « ils sont toujours protégés. Certes le taux d’anticorps diminue avec le temps mais l’effet est quand même prolongé environ six mois ». Ce qui signifie que si l’épidémie « se pointait à la mi-mars, nous pourrions nous retrouver dans une situation problématique, conclut Bruno Lina. Mais nous n’en sommes pas encore là… »
18/01/2012 sciencesavenir.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
ESI 2013-2016 VILLE EVARD à Neuilly sur Marne (93)
Re: Actualités 2012
Combattre l’obésité sans se fatiguer : peut-être possible avec l'irisine
Une hormone naturelle, l'irisine, pourrait contrer l’obésité et son cortège de pathologies. Certains espèrent la délivrer sous forme de médicament d’ici six ans. Si tout se passe comme prévu…
• Tout savoir sur l'obésité grâce à notre dossier complet
Face à l’obésité grandissante dans le monde et en France, un surplus d’activité physique est conseillé pour compenser la prise alimentaire excédentaire. Car la pratique sportive procure de nombreux avantages pour la santé : utilisation de la graisse, fabrication de muscle, meilleure régulation de l’appétit, amélioration de la circulation sanguine…
Mais certains rêveraient de tous ces effets bénéfiques sans ne bouger rien d’autre que le pouce pour changer de chaîne sur la télé. Un fantasme qui pourrait être accessible d’ici quelques années grâce à la découverte d’une nouvelle hormone par des chercheurs américains de l’université de Harvard, dont les résultats ont été publiés le 11 janvier dans Nature.
Leur expérience visait à cerner les mécanismes d’activation de la protéinePGC1-alpha, un corégulateur de la transcription ciblant des gènes dumétabolisme énergétique et à saisir la communication qui s’établit entre le muscle et le reste du corps.
Irisine, du mythe à la réalité
Ils ont alors stimulé la synthèse de PGC1-alpha et constaté l’expression d’une protéine de membrane, FNDC5, qui est ensuite clivée et qui libère unehormone jusque-là inconnue. Baptisée irisine, en hommage à la figure mythologique Iris, messagère des dieux de l’Olympe, cette molécule est l’intermédiaire entre le tissu adipeux et le muscle.
Testée in vitro, cette molécule agit directement sur les adipocytes (cellules du tissu adipeux) blancs, peu consommatrices en énergie, en les transformant plus ou moins en adipocytes bruns, des cellules qui brûlent des calories pour maintenir la température du corps à son niveau normal.
Pour en savoir encore plus, ils ont nourri des souris avec une alimentation très riche. Une partie d’entre elles recevait une administration intramusculaire d’un précurseur de l’irisine, quand un placebo était injecté chez les autres. Malgré le même mode de vie, les rongeurs traités à l’irisine étaient moins lourds et avaient une glycémie mieux régulée. Leurs cellules adipeuses ont en fait brûlé davantage de calories et consommé plus d’oxygène.
Un médicament contre l’obésité, pas contre la paresse
Cette hormone est naturellement produite par l’organisme. Cependant, elle ne s’accumule dans le sang qu’après 3 semaines de courses dans une roue chez des souris, et après 10 semaines d’exercices d’endurance chez l’Homme.
Un supplément sous forme médicamenteuse a donc été évoqué par les chercheurs, d'autant que la structure de l’irisine est identique chez les rongeurs et chez l’espèce humaine. Une information qui rend le généticien spécialiste de l’obésité, Sven Enerbäck (université de Göteborg), non impliqué dans l'étude, très optimiste : « Si tout fonctionne au mieux, alors je pense qu’un médicament sera disponible dans six ans ».
Les auteurs, eux, sont plus prudents, à l’image de Pontus Boström. « À l’avenir, nous espérons effectivement être en mesure de donner de l’irisine pour traiter des maladies métaboliques, mais il y a encore un long chemin à parcourir. »
Si un jour nous disposions réellement d’une telle pilule, il ne faudrait pas la laisser en libre accès. Elle devra être réservée à des personnes malades, souffrant d’obésité, de diabètes et d’autres maladies du métabolisme, mais ne pas servir de prétexte à toutes les personnes ne trouvant pas le courage ou la motivation de faire un peu de sport.
18/01/2012 futurasciences.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Une hormone naturelle, l'irisine, pourrait contrer l’obésité et son cortège de pathologies. Certains espèrent la délivrer sous forme de médicament d’ici six ans. Si tout se passe comme prévu…
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Face à l’obésité grandissante dans le monde et en France, un surplus d’activité physique est conseillé pour compenser la prise alimentaire excédentaire. Car la pratique sportive procure de nombreux avantages pour la santé : utilisation de la graisse, fabrication de muscle, meilleure régulation de l’appétit, amélioration de la circulation sanguine…
Mais certains rêveraient de tous ces effets bénéfiques sans ne bouger rien d’autre que le pouce pour changer de chaîne sur la télé. Un fantasme qui pourrait être accessible d’ici quelques années grâce à la découverte d’une nouvelle hormone par des chercheurs américains de l’université de Harvard, dont les résultats ont été publiés le 11 janvier dans Nature.
Leur expérience visait à cerner les mécanismes d’activation de la protéinePGC1-alpha, un corégulateur de la transcription ciblant des gènes dumétabolisme énergétique et à saisir la communication qui s’établit entre le muscle et le reste du corps.
Irisine, du mythe à la réalité
Ils ont alors stimulé la synthèse de PGC1-alpha et constaté l’expression d’une protéine de membrane, FNDC5, qui est ensuite clivée et qui libère unehormone jusque-là inconnue. Baptisée irisine, en hommage à la figure mythologique Iris, messagère des dieux de l’Olympe, cette molécule est l’intermédiaire entre le tissu adipeux et le muscle.
Testée in vitro, cette molécule agit directement sur les adipocytes (cellules du tissu adipeux) blancs, peu consommatrices en énergie, en les transformant plus ou moins en adipocytes bruns, des cellules qui brûlent des calories pour maintenir la température du corps à son niveau normal.
Pour en savoir encore plus, ils ont nourri des souris avec une alimentation très riche. Une partie d’entre elles recevait une administration intramusculaire d’un précurseur de l’irisine, quand un placebo était injecté chez les autres. Malgré le même mode de vie, les rongeurs traités à l’irisine étaient moins lourds et avaient une glycémie mieux régulée. Leurs cellules adipeuses ont en fait brûlé davantage de calories et consommé plus d’oxygène.
Un médicament contre l’obésité, pas contre la paresse
Cette hormone est naturellement produite par l’organisme. Cependant, elle ne s’accumule dans le sang qu’après 3 semaines de courses dans une roue chez des souris, et après 10 semaines d’exercices d’endurance chez l’Homme.
Un supplément sous forme médicamenteuse a donc été évoqué par les chercheurs, d'autant que la structure de l’irisine est identique chez les rongeurs et chez l’espèce humaine. Une information qui rend le généticien spécialiste de l’obésité, Sven Enerbäck (université de Göteborg), non impliqué dans l'étude, très optimiste : « Si tout fonctionne au mieux, alors je pense qu’un médicament sera disponible dans six ans ».
Les auteurs, eux, sont plus prudents, à l’image de Pontus Boström. « À l’avenir, nous espérons effectivement être en mesure de donner de l’irisine pour traiter des maladies métaboliques, mais il y a encore un long chemin à parcourir. »
Si un jour nous disposions réellement d’une telle pilule, il ne faudrait pas la laisser en libre accès. Elle devra être réservée à des personnes malades, souffrant d’obésité, de diabètes et d’autres maladies du métabolisme, mais ne pas servir de prétexte à toutes les personnes ne trouvant pas le courage ou la motivation de faire un peu de sport.
18/01/2012 futurasciences.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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Re: Actualités 2012
Téléchargement : la justice américaine ferme Megaupload
C'est la première bataille d'une longue guerre à venir. La justice américaine a ordonné jeudi la fermeture du site Megaupload.com, plateforme emblématique et controversée du téléchargement direct sur internet, accusée de violation des droits d'auteur. Aussitôt, les pirates d'Anonymous ont répliqué en annonçant avoir mis hors service le site du FBI, d'Universal Music ou du ministère de la Justice américain.
Quatre responsables du site basé à Hong Kong, dont son fondateur, Kim Dotcom, 37 ans, ont été interpellés à Auckland (Nouvelle-Zélande) sur la base de mandats d'arrêt délivrés par les Etats-Unis. Le FBI (police fédérale américaine) et le ministère de la Justice américain ont estimé, dans un communiqué commun, qu'il s'agissait de l'une des plus «grandes affaires de violation de droits d'auteur jamais traitées aux Etats-Unis».
Dans la nuit de jeudi à vendredi, Nicolas Sarkozy s'est félicité de cette opération à travers un communiqué : «La lutte contre les sites de téléchargement direct ou de streaming illégaux, qui fondent leur modèle commercial sur le piratage des oeuvres, constitue une impérieuse nécessité pour la préservation de la diversité culturelle et le renouvellement de la création».
Suivez les événements en direct:
8h35. L'affaire Megaupload, star de Twitter. Sans surprise, la fermeture de Megaupload fait bouillonner Twitter. #megaupload, #Anonymous, #FBI, #Fileserve sont présents dans les «trending topics» (les dix sujets les plus évoqués à un instant donné)
8h20. Nicolas Dupont-Aignan attaque Sarkozy. NDA accuse: «Le chef de l'Etat tombe en réalité le masque des intérêts qu'il défend, ceux des majors, et semble oublier la solution de la licence globale qui permettrait la légalisation du téléchargement tout en protégeant les auteurs. Il n’y a en effet pas de raison que cela soit toujours les citoyens qui payent pour accéder à la culture alors que les intermédiaires commerciaux s’enrichissent.»
Sur Megaupload en particulier, le candidat à l'élection présidentielle prend de la hauteur: «Derrière les conditions et les circonstances de la fermeture du site américain MegaUpload se joue en réalité le futur de la liberté d’expression sur Internet. Ce soir, ce sont des milliers de contenus privés et personnels hébergés sur le site megaUpload qui ont été arbitrairement rendus inaccessibles».
7h50. «Absurde» pour Attali. Pour Jacques Attali, interrogé sur Europe1, la fermeture du site d'hébergement Megaupload par les autorités américaines «est une absurdité». «C’est une grande bataille pour savoir si on va avoir une gratuité d’accès et une autre forme de rémunération pour les artistes. Je suis contre Hadopi, pour une autre rémunération pour les artistes, donc cette fermeture est une absurdité parce qu’elle va être relancée par d’autres qui vont remplacer».
7h40. En savoir plus: quand des stars hollywoodiennes soutenaient Megaupload
7h25. La «stupeur» du Parti Pirate. Pour Maxime Rouquet, coprésident du Parti Pirate, «cette affaire met en lumière la surenchère répressive autour du partage et de la diffusion de la culture. Au lieu de doter l'industrie du droit d'auteur de toujours plus de moyens répressifs, et de traiter comme un réseau de mafieux toute plateforme qui génère du profit en diffusant des oeuvres, il faudrait mettre en place un mécanisme simple et équitable pour que les auteurs et les artistes tirent profit de la diffusion commerciale de leurs oeuvres».
3 heures. La satisfaction de Nicolas Sarkozy. Le chef de l'Etat français souligne dans un communiqué «que la lutte contre les sites de téléchargement direct ou de streaming illégaux, qui fondent leur modèle commercial sur le piratage des oeuvres, constitue une impérieuse nécessité pour la préservation de la diversité culturelle et le renouvellement de la création».
Minuit. La réplique d'Anonymous. Le collectif de pirates Anonymous annonce sur Twitter avoir mis hors service les sites du ministère de la Justice américain, de la maison de disque Universal Music et de l'association professionnelle du disque RIAA.
23h15. Coup de tonnerre. La justice américaine a ordonné la fermeture du site Megaupload.com, une des plus importantes plateformes de partage de fichiers sur internet, et poursuit sept de ses employés pour violation des droits d'auteur, annoncent les autorités américaines.
LeParisien.frÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
C'est la première bataille d'une longue guerre à venir. La justice américaine a ordonné jeudi la fermeture du site Megaupload.com, plateforme emblématique et controversée du téléchargement direct sur internet, accusée de violation des droits d'auteur. Aussitôt, les pirates d'Anonymous ont répliqué en annonçant avoir mis hors service le site du FBI, d'Universal Music ou du ministère de la Justice américain.
Quatre responsables du site basé à Hong Kong, dont son fondateur, Kim Dotcom, 37 ans, ont été interpellés à Auckland (Nouvelle-Zélande) sur la base de mandats d'arrêt délivrés par les Etats-Unis. Le FBI (police fédérale américaine) et le ministère de la Justice américain ont estimé, dans un communiqué commun, qu'il s'agissait de l'une des plus «grandes affaires de violation de droits d'auteur jamais traitées aux Etats-Unis».
Dans la nuit de jeudi à vendredi, Nicolas Sarkozy s'est félicité de cette opération à travers un communiqué : «La lutte contre les sites de téléchargement direct ou de streaming illégaux, qui fondent leur modèle commercial sur le piratage des oeuvres, constitue une impérieuse nécessité pour la préservation de la diversité culturelle et le renouvellement de la création».
Suivez les événements en direct:
8h35. L'affaire Megaupload, star de Twitter. Sans surprise, la fermeture de Megaupload fait bouillonner Twitter. #megaupload, #Anonymous, #FBI, #Fileserve sont présents dans les «trending topics» (les dix sujets les plus évoqués à un instant donné)
8h20. Nicolas Dupont-Aignan attaque Sarkozy. NDA accuse: «Le chef de l'Etat tombe en réalité le masque des intérêts qu'il défend, ceux des majors, et semble oublier la solution de la licence globale qui permettrait la légalisation du téléchargement tout en protégeant les auteurs. Il n’y a en effet pas de raison que cela soit toujours les citoyens qui payent pour accéder à la culture alors que les intermédiaires commerciaux s’enrichissent.»
Sur Megaupload en particulier, le candidat à l'élection présidentielle prend de la hauteur: «Derrière les conditions et les circonstances de la fermeture du site américain MegaUpload se joue en réalité le futur de la liberté d’expression sur Internet. Ce soir, ce sont des milliers de contenus privés et personnels hébergés sur le site megaUpload qui ont été arbitrairement rendus inaccessibles».
7h50. «Absurde» pour Attali. Pour Jacques Attali, interrogé sur Europe1, la fermeture du site d'hébergement Megaupload par les autorités américaines «est une absurdité». «C’est une grande bataille pour savoir si on va avoir une gratuité d’accès et une autre forme de rémunération pour les artistes. Je suis contre Hadopi, pour une autre rémunération pour les artistes, donc cette fermeture est une absurdité parce qu’elle va être relancée par d’autres qui vont remplacer».
7h40. En savoir plus: quand des stars hollywoodiennes soutenaient Megaupload
7h25. La «stupeur» du Parti Pirate. Pour Maxime Rouquet, coprésident du Parti Pirate, «cette affaire met en lumière la surenchère répressive autour du partage et de la diffusion de la culture. Au lieu de doter l'industrie du droit d'auteur de toujours plus de moyens répressifs, et de traiter comme un réseau de mafieux toute plateforme qui génère du profit en diffusant des oeuvres, il faudrait mettre en place un mécanisme simple et équitable pour que les auteurs et les artistes tirent profit de la diffusion commerciale de leurs oeuvres».
3 heures. La satisfaction de Nicolas Sarkozy. Le chef de l'Etat français souligne dans un communiqué «que la lutte contre les sites de téléchargement direct ou de streaming illégaux, qui fondent leur modèle commercial sur le piratage des oeuvres, constitue une impérieuse nécessité pour la préservation de la diversité culturelle et le renouvellement de la création».
Minuit. La réplique d'Anonymous. Le collectif de pirates Anonymous annonce sur Twitter avoir mis hors service les sites du ministère de la Justice américain, de la maison de disque Universal Music et de l'association professionnelle du disque RIAA.
23h15. Coup de tonnerre. La justice américaine a ordonné la fermeture du site Megaupload.com, une des plus importantes plateformes de partage de fichiers sur internet, et poursuit sept de ses employés pour violation des droits d'auteur, annoncent les autorités américaines.
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Re: Actualités 2012
Près d'un avortement sur deux dans le monde est clandestin
Par le figaro.fr - le 19/01/2012
Ces pratiques risquées, qui explosent là où l'IVG est illégale, ont tué 47.000 femmes l'an dernier, principalement dans des pays en développement.
Le nombre d'avortements clandestins tend à progresser dans le monde, en majorité dans les pays en développement où l'interruption volontaire de grossesse (IVG) est illégale, alors qu'il serait possible de les éviter, notamment en donnant plus facilement accès aux femmes à la contraception.
Selon une étude de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et du Guttmacher Institute parue jeudi dans la revue The Lancet, le taux d'avortement mondial est resté globalement stable entre 2003 et 2008, après avoir décru entre 1995 et 2003. En revanche, la part des avortements «non médicalisés» dans ces IVG a progressé: elle est passée de 44% en 1995, à 47% en 2003 puis 49% en 2008.
Les avortements clandestins ont causé 47.000 décès en 2008. «Cette mortalité se situe presque entièrement dans les pays en développement», précise le Guttmacher Institute, institut basé aux Etats-Unis spécialisé dans la reproduction et la sexualité. En outre, chaque année, environ 8,5 millions de femmes des régions en développement souffrent de complications d'avortement et parmi celles-ci, trois millions ne reçoivent pas les soins nécessaires.
Le continent africain est le principal point noir: cette région ne rassemble que 17% de la population féminine du monde en développement en âge de procréer, mais représente la moitié de la mortalité imputable à l'avortement non médicalisé.
Forte disparité régionale en Europe
Les législations restrictives en matière d'IVG ne sont pas associées à de moindres taux d'avortement, tout au contraire, relève l'étude. Les deux régions réputées les plus «restrictives», l'Afrique et l'Amérique latine, affichent des taux d'avortement élevés - 29 et 32 pour 1000 femmes en âge de procréer. Sur ces continents, le taux d'avortements non médicalisés, c'est à dire réalisés par des personnes non qualifiées ou dans des lieux ne respectant pas les exigences d'hygiène de base, atteint les 95 à 97%. Or «tous ces décès et complications pourraient facilement être évités, estime Gilda Sedgh, chercheuse au Guttmacher Institute et principale auteure de l'étude. L'avortement est une procédure médicale très simple et sûre».
Pour les auteurs, offrir un meilleur accès à la contraception aux femmes des pays pauvres pourrait déjà améliorer la situation. Il faudrait aussi adapter les législations trop restrictives sur l'avortement.
En Europe de l'Ouest, où les IVG sont généralement légales, le taux d'avortement n'est que de 12 pour 1000. L'étude note toutefois une forte disparité régionale en Europe, avec un taux faible à l'ouest et au nord (17 pour 1000) mais beaucoup plus élevé en Europe de l'Est (43 pour 1000) «Cet écart s'explique par les niveaux relativement faibles des pratiques contraceptives modernes» à l'est, explique le Guttmacher Institute.
A l'échelle mondiale, la baisse du taux d'avortement observée entre 1995 et 2003 ne s'est pas poursuivie en 2008, sans doute en conséquence d'une stagnation observée dans l'usage des contraceptifs, selon Gilda Sedgh. «Sauf investissement accru dans des services de planification familiale de qualité, on peut s'attendre à ce que cette tendance persiste», estime-t-elle.
(Avec agences)
Le figaroÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Par le figaro.fr - le 19/01/2012
Ces pratiques risquées, qui explosent là où l'IVG est illégale, ont tué 47.000 femmes l'an dernier, principalement dans des pays en développement.
Le nombre d'avortements clandestins tend à progresser dans le monde, en majorité dans les pays en développement où l'interruption volontaire de grossesse (IVG) est illégale, alors qu'il serait possible de les éviter, notamment en donnant plus facilement accès aux femmes à la contraception.
Selon une étude de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et du Guttmacher Institute parue jeudi dans la revue The Lancet, le taux d'avortement mondial est resté globalement stable entre 2003 et 2008, après avoir décru entre 1995 et 2003. En revanche, la part des avortements «non médicalisés» dans ces IVG a progressé: elle est passée de 44% en 1995, à 47% en 2003 puis 49% en 2008.
Les avortements clandestins ont causé 47.000 décès en 2008. «Cette mortalité se situe presque entièrement dans les pays en développement», précise le Guttmacher Institute, institut basé aux Etats-Unis spécialisé dans la reproduction et la sexualité. En outre, chaque année, environ 8,5 millions de femmes des régions en développement souffrent de complications d'avortement et parmi celles-ci, trois millions ne reçoivent pas les soins nécessaires.
Le continent africain est le principal point noir: cette région ne rassemble que 17% de la population féminine du monde en développement en âge de procréer, mais représente la moitié de la mortalité imputable à l'avortement non médicalisé.
Forte disparité régionale en Europe
Les législations restrictives en matière d'IVG ne sont pas associées à de moindres taux d'avortement, tout au contraire, relève l'étude. Les deux régions réputées les plus «restrictives», l'Afrique et l'Amérique latine, affichent des taux d'avortement élevés - 29 et 32 pour 1000 femmes en âge de procréer. Sur ces continents, le taux d'avortements non médicalisés, c'est à dire réalisés par des personnes non qualifiées ou dans des lieux ne respectant pas les exigences d'hygiène de base, atteint les 95 à 97%. Or «tous ces décès et complications pourraient facilement être évités, estime Gilda Sedgh, chercheuse au Guttmacher Institute et principale auteure de l'étude. L'avortement est une procédure médicale très simple et sûre».
Pour les auteurs, offrir un meilleur accès à la contraception aux femmes des pays pauvres pourrait déjà améliorer la situation. Il faudrait aussi adapter les législations trop restrictives sur l'avortement.
En Europe de l'Ouest, où les IVG sont généralement légales, le taux d'avortement n'est que de 12 pour 1000. L'étude note toutefois une forte disparité régionale en Europe, avec un taux faible à l'ouest et au nord (17 pour 1000) mais beaucoup plus élevé en Europe de l'Est (43 pour 1000) «Cet écart s'explique par les niveaux relativement faibles des pratiques contraceptives modernes» à l'est, explique le Guttmacher Institute.
A l'échelle mondiale, la baisse du taux d'avortement observée entre 1995 et 2003 ne s'est pas poursuivie en 2008, sans doute en conséquence d'une stagnation observée dans l'usage des contraceptifs, selon Gilda Sedgh. «Sauf investissement accru dans des services de planification familiale de qualité, on peut s'attendre à ce que cette tendance persiste», estime-t-elle.
(Avec agences)
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Montpellier: Admise sur LP!!
ESI 2012/2015!!
Stage: S1 Crèche S2 Gériatrie S3 Médecine Générale S4 Psychiatrie
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Re: Actualités 2012
68 % des Français estiment que leurs dépenses de santé ont augmenté
Près de sept Français sur dix (68%) jugent que leur budget santé a augmenté par rapport à il y a deux ans, selon un sondage Sofinscope-Opinionway réalisé pour le quotidien Metro, publié jeudi 19 janvier. Ils sont seulement 6 % à estimer que ce budget a diminué et 25 % d'entre eux pensent qu'il n'a pas changé.
Le budget santé moyen restant à charge s'élève à 570 euros par an selon cette étude, sachant qu'il est plus élevé chez les 60 ans et plus : 21 % l'évaluent à plus de 1 251 euros dans cette catégorie d'âge. Face à ce constat, 47 % des Français disent qu'ils font réaliser plus souvent des devis avant d'engager des soins. Par ailleurs, 77 % déclarent acheter davantage de médicaments génériques ; 65 % disent faire davantage attention à leurs pratiques pour mieux protéger leur santé ; 37 % ont pris une mutuelle qui rembourse mieux et 26 % une mutuelle moins chère.
Du fait de l'augmentation de ces dépenses, 48 % des Français déclarent avoir remis à plus tard ou renoncé à l'achat de lunettes, lentilles ou prothèses dentaires. En outre, 35 % ont renoncé ou repoussé une consultation chez un spécialiste, 28 % l'achat de petits matériels médicaux et 26 % l'achat de médicaments.
Pour autant, les Français ne semblent par se tourner vers l'étranger ou Internet pour leurs dépenses de santé : seuls 9 % disent acheter le petit matériel comme les pansements ou les thermomètres à l'étranger et 7 % déclarent acheter leurs médicaments à l'étranger ou sur Internet.
Ce sondage a été réalisé par Internet entre le 4 et le 6 janvier auprès d'un échantillon de 1 010 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus et constitué selon la méthode des quotas
Le mondeÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Près de sept Français sur dix (68%) jugent que leur budget santé a augmenté par rapport à il y a deux ans, selon un sondage Sofinscope-Opinionway réalisé pour le quotidien Metro, publié jeudi 19 janvier. Ils sont seulement 6 % à estimer que ce budget a diminué et 25 % d'entre eux pensent qu'il n'a pas changé.
Le budget santé moyen restant à charge s'élève à 570 euros par an selon cette étude, sachant qu'il est plus élevé chez les 60 ans et plus : 21 % l'évaluent à plus de 1 251 euros dans cette catégorie d'âge. Face à ce constat, 47 % des Français disent qu'ils font réaliser plus souvent des devis avant d'engager des soins. Par ailleurs, 77 % déclarent acheter davantage de médicaments génériques ; 65 % disent faire davantage attention à leurs pratiques pour mieux protéger leur santé ; 37 % ont pris une mutuelle qui rembourse mieux et 26 % une mutuelle moins chère.
Du fait de l'augmentation de ces dépenses, 48 % des Français déclarent avoir remis à plus tard ou renoncé à l'achat de lunettes, lentilles ou prothèses dentaires. En outre, 35 % ont renoncé ou repoussé une consultation chez un spécialiste, 28 % l'achat de petits matériels médicaux et 26 % l'achat de médicaments.
Pour autant, les Français ne semblent par se tourner vers l'étranger ou Internet pour leurs dépenses de santé : seuls 9 % disent acheter le petit matériel comme les pansements ou les thermomètres à l'étranger et 7 % déclarent acheter leurs médicaments à l'étranger ou sur Internet.
Ce sondage a été réalisé par Internet entre le 4 et le 6 janvier auprès d'un échantillon de 1 010 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus et constitué selon la méthode des quotas
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Re: Actualités 2012
La France condamnée pour un traitement inhumain
La France a été condamnée hier par la Cours européenne des droits de l'homme pour avoir enfermé durant quinze jour un couple de demandeurs d'asile kazakhs et leurs enfants en bas âge dans un centre de rétention inadapté à Rouen, "un traitement inhumain et dégradant".
20Minutes Lyon, Vendredi 20 Janvier 2012Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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20Minutes Lyon, Vendredi 20 Janvier 2012Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
DE 2015
IBO en Guadeloupe
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Re: Actualités 2012
SOMALIE - MSF ferme deux dispensaires
Médecins sans frontières (MSF) a annoncé hier avoir fermé deux dispensaires de Mogadiscio, après la mort, le mois dernier, de deux de ses travailleurs de santé dans la capitale somalienne.
20 Minutes Lyon 20/01Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
Médecins sans frontières (MSF) a annoncé hier avoir fermé deux dispensaires de Mogadiscio, après la mort, le mois dernier, de deux de ses travailleurs de santé dans la capitale somalienne.
20 Minutes Lyon 20/01Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.
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