Entraînement culture générale 2012

[Nanouu]

Coucou tout le monde je suis entrain de faire une fiche sur les maladies chroniques et je voudrais que vous m'éclairiez sur la différences entre les maladies chroniques et les affections de longues durées (ALD) merciii !

c'est la même chose ^^ une maladie chronique est une affection de longue durée.

Ah bon ! D'accord mdr je pense qu'il y vait une petite différence donc je peux dire MC = ALD ?
Très bien tout vos sujets, j'adore ce que tu écrit @cherry bomb

@stepit42 : nous mettras tu une correction ? je vais essayer de le faire demain, le sujet est super interessant je sais pas où tu as trouvé ça ! Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[Cherry Bomb]

Merci stepit42. J'ai traité ce sujet mais pas du point de vu des enfants. Je trouve ca vraiment bien.

Je bosse dessus ce soir !Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[william57]

Stepi 42, envoye moi ton adresse mail, comme ça je pourrais te montrer des trucs sur la cg Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[Cherry Bomb]

Avez-vous un chiffre concernant le nombre d'enfant handicapés en France qui ne sont pas scolarisés ?

Edit : J'ai trouvé quelques chiffres sur ce site si cela vous intéresse : http://senateur-kammermann.com/2012/02/ ... andicapes/

J'ai d'ailleurs eu beaucoup de mal à trouver des chiffres.

Il y aurait environs 300 000 enfants handicapés en France en 2012. Dont 214 000 qui serait scolarisé en milieu ordinaire.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[Zackfair]

je sais qu'il y a 1 500 000 handicapés en âge de travaillerÉquipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[stepit42]

je l'ai trouvé sur ce site mais je n'ai pas la correction! par contre on pourrait échanger nos idées je trouve que c'est un sujet très intéressant qui parle de l'autisme (grande cause nationale 2012) et du handicap (sujet d'actualité avec le film "intouchables") Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[Nanouu]

je l'ai trouvé sur ce site mais je n'ai pas la correction! par contre on pourrait échanger nos idées je trouve que c'est un sujet très intéressant qui parle de l'autisme (grande cause nationale 2012) et du handicap (sujet d'actualité avec le film "intouchables")

D'accord bah on s'aider en corrigeant alors, voilà mon travail fait en 2h en condition d'examen ! :
dites moi ce que vous en pensez j'ai besoin de vos avis

1) Le mythe des « enfants sauvages est présent depuis longtemps dans notre société. Il explique que les humains s’adaptent à la culture dans laquelle ils vivent. Deux autres cas d’enfants insociables existent : les enfants – placards et les autistes. Les premiers sont des enfants n’ayant eu presque aucun contact avec d’autres personnes. Ils donnent envie de croire que c’est la société qui créée les rapports humains. Mais les autistes établissent le paradoxe de cette conclusion : même super stimulés la socialisation ne se fera jamais normalement chez ces enfants. Donc pour devenir un être humain sociable il faut côtoyer la société mais aussi être capable de recevoir des informations sociales. Le cerveau et son milieu sont indissociables, c’est ce que nous explique le mythe des enfants sauvages.


2) L’autisme est une maladie affectant un individu dès sa naissance, elle a pour conséquence une absence de langage, des arriérations mentales, des crises de colère ou encore un repli sur soi. Cette maladie affecte donc gravement la socialisation du malade.
Mais une méthode est prônée par certains individus pour enrayer cette maladie. Elle s’appelle la « stimulation intensive ». Celle-ci consiste en une équipe très présente auprès de l’enfant, dès son plus jeune âge, qui essaye de l’éduquer et de le socialiser. Certaines équipes sont auprès du malade 7j/7 et 24h/24, et parlent de réels progrès. Mais est-ce exact ? La stimulation intensive est-elle une bonne méthode ? Pour répondre à cette question nous verrons dans un premier temps les aspects positifs de cette méthode puis dans un deuxième temps ces aspects négatifs.
La stimulation de l’enfant peut l’aider à ne pas rester seul dans son monde. De plus on peut se dire qu’au bout de plusieurs années de cette méthode l’enfant acquérira des mécanismes de socialisation. Ce qui ne peut qu’être bénéfique pour lui.
Mais au contraire des individus dénoncent cette méthode. En effet celle-ci reviendrait à s’acharner sur l’enfant. A force d’être stimulé celui-ci peut en avoir marre et se replier encore plus sur lui-même pour y échapper. L’enfant a besoin de pose, de repos pendant ces apprentissages, ce qui n’est pas respecté dans cette méthode si elle est pratiquée tous les jours.
En conclusion cette méthode n’est pas une mauvaise méthode, même si ce n’est pas la meilleure qu’il existe. Elle ne doit pas être poussée à bout, et c’est certainement le mot « intensive » qui fait peur. Malgré cela, grâce à elle des progrès sont notable. Même si elle ne permet pas de guérir elle procure une amélioration, au quotidien de ces malades.

3) Le handicap a toujours été présent dans notre société. Il peut être de deux formes : congénitaux ou acquis, mais dans tous les cas ils entraînent soit une déficience, une incapacité ou un désavantage. Actuellement 10% de la population française est handicapées, sous toutes ces formes. Le handicap est lié à la notion de norme, et dès son plus jeune âge l’enfant y est confronté. Cela commence par l’entrée de celui-ci à l’école : un enfant doit il s’adapter à l’école ou est-ce à l’école de s’adapter aux handicaps de chacun ? Nous allons voir que ces questions sont à nuancer.
Un enfant handicapé est confronté à de nombreux problèmes lors de son entrée à l’école. Pour illustrer nos propos nous prendront l’exemple d’un élève en fauteuil roulant.
Cette enfant doit s’adapter à la structure quand par exemple celle-ci est une vieille école construite sans ascenseur. Mais l’école peut aussi s’adapter à l’enfant en mettant sa classe systématiquement au rez de chaussée. Ainsi l’enfant se résout à ne pas avoir accès aux étages mais il n’est pas pénalisé et peut quand même suivre ces cours.
Donc l’enfant peut évoluer dans le même milieu que les autres, avoir le même apprentissage mais une aide doit lui être apportée en raison de son handicap.
C’est par exemple le cas d’un enfant hyperactif qui a besoin d’un accompagnateur pour le calmer, le recadrer. Sa maîtresse s’occupant déjà de tous ces camarades ne pouvant le faire.
Pour conclure, on voit bien que c’est l’école et l’enfant qui s’adaptent chacun un peu de leurs côtés. L’enfant évolue avec des non handicapes, mais la maîtresse accepte la présence d’un accompagnateur pour l’aider dans le cas d’un enfant hyperactif. Cette adaptation mutuelle permet à l’enfant de ne pas se sentir exclu de la société. De plus ces camarades se familiariseront à son handicap, l’acceptant donc plus facilement, et ayant un autre regarde sur son handicap. En fin il faut souligner que depuis quelques années de réel progrès sont fait pour que l’école soit accessible à tous (aménagement pour les fauteuils roulants par exemple) même s’il reste encore beaucoup à faire.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[stepit42]

Question n°1
Résumez le texte en une dizaine de lignes.

Les enfants sauvages existent depuis longtemps: cependant, on pense aujourd'hui qu'il s’agissait d'enfants autistes. Pourtant il existe de vrais enfants sauvages: on les appelle les "enfants placards". Ces enfants sont privés de tout contact, d'échange, de regard, de mots et subissent des troubles du développement intellectuel, affectif et physique. La chaleur des contacts est une condition essentielle du développement. Les autistes souffrent eux de déficits dans la communication, le langage et l'adaptation sociale alors qu'ils bénéficient de contacts sociaux. La société est donc une condition nécessaire mais non suffisante pour "fabriquer" un humain. Lorsque l'environnement manque, des perturbations se produisent: c'est le cas des "enfants-placard". Au contraire, si le cerveau n'arrive pas à capturer des informations sociales car il est défaillant, on parle d'"enfants autistes". Le cerveau et son environnement interagissent donc dans un processus de construction réciproque.Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[stepit42]

Question n°2
Selon vous, la « stimulation intensive » des enfants autistes est-elle une bonne méthode ?

Un enfant autiste est un enfant souffrant de graves déficits dans la communication, le langage et l'adaptation sociale. Ces enfants vivent repliés sur eux-mêmes. En effet, très tôt dans leur développement s'est déréglé un dispositif neuropsychologique ayant affecté profondément la relation à autrui. Mais est-ce la société par le biais de la socialisation, l'éducation et la culture qui fabrique l’être humain? Dans une première partie, nous verrons en quoi la stimulation intensive est une bonne méthode pour soigner l'autisme et nous verrons dans une 2ème partie, en quoi elle ne demeure pas efficace.

Les enfants autistes étaient autrefois perçus comme des enfants sauvages en raison des signes tels que le repli sur soi, l'absence de langage, les crises de colère et l’arriération mentale de ces enfants. En effet, ces enfants vivaient seuls, enfermés dans des chambres (d'orphelinat la plupart du temps), c'est pourquoi on les appelle "les enfants placards". Ces enfants étaient privés de contacts, d'échanges, de regards et subissaient donc de graves troubles de développement intellectuel, affectif et physique. En effet, un enfant élevé hors de tout échange avec ses semblables n'est pas "normal". Donc la chaleur des contacts est une condition essentielle de leur développement. Les enfants placards ne se développement pas en raison d'une absence de contacts sociaux, c’est pourquoi la stimulation intensive serait une bonne méthode dans ce cas. Or l'enfant autiste n'est pas un enfant placard: en effet, l'enfant autiste a un déficit neuropsychologique affectant la relation à autrui. Dans ce cas-là, tous les contacts par la stimulation intensive vont lui permettre de pas être à la fois autiste et enfant placard: même s'il ne comprend pas ou ne réagit pas à nos mots, il ne faut pas l'exclure de tout contact et il faut favoriser la stimulation intensive. De plus, d'après des scientifiques, celle-ci a entraîné de réels progrès. Par ailleurs, il existe de nombreux degrés d'autisme: il existe également des autistes ayant un quotient intellectuel élevé et qui s'épanouisse dans l'art (peinture,...). Cependant, est-ce la socialisation, les contacts qui fabrique l’être humain? Nous allons voir que ce n'est pas vraiment le cas des enfants autistes.

On sait aujourd'hui que les enfants autistes souffrent d'un dérèglement du dispositif neuropsychologique affectant la relation à autrui. De nombreuses méthodes ont été mises en place afin de soigner l’autisme comme la stimulation intensive: en effet, des équipes tenaient tous les jours de soigner les enfants autistes en les éduquant et en les socialisant. Même s'il y a eu des progrès réels, il est impossible de guérir les autistes. En effet, contrairement aux enfants placards qui sont des enfants n’ayant pas de dérèglement au niveau du cerveau mais qui ont un manque de socialisation par manque de contacts, les enfants autistes quant à eux ont des contacts mais souffrent d'un déficit au niveau du cerveau. Même si les contacts sociaux sont répétés de façon intensive dans le cas de enfants autistes, ceux-ci ne permettent pas d'en faire un humain "normal" en raison de l'altération de départ du cerveau. En effet, si le cerveau n'est pas équipé correctement pour capter les informations, les mots, les regards qui s'adressent aux enfants autistes, la sollicitation intensive ne parviendra pas à combler totalement ce déficit. La société est donc une condition nécessaire mais insuffisante pour fabriquer un humain. Il faudrait effectivement un processus de coproduction entre le cerveau et son milieu.

La stimulation intensive par le biais de nombreux contacts, d’échanges, de mots n'est pas suffisante dans le cas des enfants autistes et ne guérit pas l'enfant autiste souffrant d'un déficit neuropsychologique de départ affectant la relation à autrui. Cependant, la socialsiation est une condition sine qua none pour en faire un "humain normal". Elle entraîne de réels progrès mais quelle est alors LA solution, non pas pour guérir cette maladie incurable, mais pour mieux accompagner l'enfant autiste?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[stepit42]

Question n°3
La loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées renforce les actions en faveur de la scolarisation des élèves handicapés. Elle affirme le droit pour chacun à une scolarisation en milieu ordinaire au plus près de son domicile. A la lumière du texte et de vos connaissances, indiquez si c'est aux enfants handicapés de s'adapter à l'école ou si c'est à l'école de s'adapter aux handicaps de chacun.

En France, c'est la politique de l’intégration des personnes handicapées qui est favorisée. La loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées agit sur 5 axes: l'emploi, l'accessibilité, la compensation du handicap, la création de MDPH et agit en faveur de la scolarisation des élèves handicapées. Nous verrons dans une première partie que c'est à l'enfant handicapé de s'adapter à l'école et dans une deuxième partie que c'est à l'école de s'adapter face aux handicaps de chacun.

La loi du 11 février 2005 affirme le droit à une scolarisation en milieu ordinaire au plus près du domicile des enfants handicapés. En effet, l'enfant handicapé va par ce biais rencontrer des enfants ne souffrant pas d'handicap: il va se sentir inséré, intégré parmi des enfants "normaux" et va se sentir "normal". De plus, les autres enfants vont reconnaître le droit à la différence et vont développer des valeurs humaines. Par ailleurs, l'enfant handicapé va se confronter aux attentes de la vie ordinaire. L'enfant handicapé devra s'adapter à l'école en venant tout comme les autres enfants aux mêmes horaires, en ayant le même emploi du temps, en ayant des devoirs, en créant des relations avec ses camarades de classe, en bénéficiant d'une scolarisation normale. Cependant, l'école doit aussi s’adapter aux enfants handicapés.

En effet, l'école doit tout d'abord permettre l’accessibilité des enfants handicapés au sein de l'école: création de pentes pour fauteuils roulants, d’ascenseur,... De plus, comme l'énonce la loi du 11 février 2005, l'enfant handicapé va avoir le droit à une auxiliaire de vie scolaire pour prendre des notes, pour l'assister au moment des cours,... Par ailleurs, l'école doit permettre un suivi personnalisé de l'enfant handicapé et lui faire bénéficier d'aide scolaire quand il en a besoin. De plus, l'école est un lieu d'apprentissages ouvert à tous et acceptant le droit à la différence sans faire de discrimination envers des enfants handicapés. Par ailleurs, l'insertion à l'école va leur permettre de s'insérer dans la vie en société, d'obtenir des diplômes et dans le futur, va favoriser l'insertion professionnelle.

L'enfant handicapé doit donc s'adapter à l'école en répondant aux besoins "ordinaires" des enseignants comme des devoirs mais aussi en se se créant une place dans la classe. L'école doit aussi s'adapter aux enfants handicapés avec une accessibilité par le biais d'ascenseur et de pente mais également en effectuant un suivi personnalisé de l'enfant handicapé au sein de l'école. L'insertion en milieu ordinaire d'un enfant handicapé va le confronter à ceux que vivent les enfants ordinaires et va lui permettre de s'intégrer dans la société et plus tard dans la vie professionnelle. De plus, chaque citoyen et chaque professionnel de santé doit accepter le droit à la différence et favoriser l'intégration des personnes handicapées sur le respect de la non-discrimination. Par ailleurs, se pose réellement la question du handicap: qu'est-ce-que vraiment le handicap si ce n'est qu'une différence par rapport à une norme de la société?Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[stepit42]

Je pense avoir fait du hors-sujet à certains moments mais bon... Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[stepit42]

Un autre sujet sur la SOLITUDE

Le Premier ministre François Fillon a attribué mardi 23 novembre le label de Grande Cause nationale pour 2011 au collectif d’associations « Pas de solitude dans une France fraternelle« , constitué autour de la Société de Saint-Vincent-de-Paul. La canicule de 2003 avait révélé au grand jour la solitude dans laquelle se trouvaient des milliers de personnes âgées, décédées du fait de cet isolement. Aujourd’hui, une étude réalisée par la Fondation de France témoigne de ce mal profond qui touche toute la société. Souffrir de la solitude, c’est quand on ne manque à personne, c’est avoir la sensation de disparaître aux yeux du monde. Cela touche des personnes de tous les âges et de toutes les catégories sociales. L’étude de la Fondation de France pour la première fois apporte des chiffres concrets sur l’étendue du phénomène.

Étude de la Fondation de France

Cette étude pionnière sur le sujet a été réalisée auprès de 4000 personnes âgées de 18 ans et plus selon la méthode de quotas (âge, sexe, catégorie socioprofessionnelle, territoire). Les données de l’enquête de la Fondation de France publiée en juillet 2010 font frémir.4 millions de personnes en France souffriraient de solitude, soit 9% de la population nationale. Pas de liens amicaux, familiaux ni amoureux, ni de relations de voisinage. 11% des Français se considèrent comme « seuls ». 1 Français sur 10 a moins de 3 conversations personnelles par an.
La solitude ne doit pas être ressentie comme un mal bénin. 5% des Français en souffrent véritablement, du fait d’une impossibilité de communiquer, de tisser des liens avec autrui, de partager des émotions. En conséquent, les personnes seules éprouvent en plus souvent le sentiment d’inutilité, de culpabilité, de détresse, de dégoût de soi, ce qui débouchera parfois par des pulsions suicidaires. 2 millions de personnes ressentent la solitude comme une souffrance aigue. La difficulté est de sortir de cette situation d’isolement. Ainsi, 80% des personnes isolées le sont depuis longtemps. L’engrenage est tel que ces personnes ont du mal à se projeter, à s’en sortir. Et plus le temps passe, plus cela devient compliqué.

Une solitude qui touche tous les âges

Il serait faux de considérer la solitude comme un mal qui touche uniquement les personnes âgées. S’il est vrai que les personnes de plus de 75 ans répondent à hauteur de 16% être en état de solitude, les plus jeunes aussi ne sont pas épargnés désormais.
9% de la population âgée de 40 à 49 ans se trouve en état d’isolement objectif, c’est-à-dire sans aucun lien social (familial, amoureux, amical, professionnel). Parmi les 4 millions de Français qui ressentent la solitude, 1 million a moins de 50 ans et 2 millions moins de 60 ans. Il s’agit là de données tout à fait préoccupantes, puisque les seniors arriveraient mieux à faire le deuil de leur vie sociale. Pour ce qui est des 40-60 ans, la solitude s’accompagne souvent d’une grande détresse. Odile de Laurence, responsable de l’Observatoire de la Fondation de France, tire la sonnette d’alarme : « La grande majorité de ces personnes a perdu contact avec son entourage suite à une rupture familiale ou à la perte de son travail, pour la plupart il y a déjà plusieurs années. Et beaucoup vivent dans la précarité. Cet isolement touche autant les citadins que les ruraux, et cela dès l’âge de 40 ans. Quand ces résultats sont sortis, nous avons pris un coup de massue sur la tête. Il faut absolument réagir. »

Une perte des liens sociaux à tous les niveaux

19% des Français n’ont pas de relations amicales régulières, c’est-à-dire qu’ils ne sont amenés à rencontrer leurs amis ou à échanger avec eux à distance, que deux à trois fois par an. 9% des Français déclarent n’avoir aucun ami.
Les liens familiaux aussi se réduisent. 33% des Français ne rencontrent pas les membres de leur famille au-delà de quelque fois dans l’année. Les liens professionnels sont difficiles à tisser : 20% des Français estiment qu’il ne leur est pas possible de développer une relation amicale au travail, c’est-à-dire que dans le cadre de leur travail, il ne leur arrive jamais de d’aborder d’autres sujets que le travail. 1 Français sur 2 n’entretient aucune relation de voisinage.
Pour 56% des Français, l’isolement objectif est associé à une rupture familiale (divorce, décès du conjoint, départ des enfants). Ensuite, la perte d’emploi, un déménagement, un changement dans la vie professionnelle affecte aussi profondément le réseau social. 14 % des personnes associent leur isolement à la perte de leur emploi.

Une inégalité face à l’isolement

Les personnes ayant un revenu faible sont plus facilement touchées par la situation d’isolement. Les personnes dont le revenu est inférieur à 1000 euros ont 4 fois plus de chances d’être en situation d’isolement objectif. Il a été établi, grâce à l’enquête, que la corrélation entre pauvreté et isolement est forte, de même qu’entre capital social et capital économique.

Les catégories les plus touchées par l’isolement et la solitude sont les personnes âgées seules et dépendantes, les foyers monoparentaux précaires suite au départ des enfants, les couples « repliés » qui n’ont pas développé de liens autres que celui du conjoint, les personnes malades, les personnes en situation de handicap, les travailleurs pauvres et les travailleurs indépendants.

Un fait important que l’enquête souligne est la très faible disparité du point de vue géographique. Les personnes se sentent aussi seules en ville qu’en campagne.
Si l’isolement objectif se définit comme une absence de contact social réelle, 11% de la population français se dit en état d’isolement bien que disposant d’importants liens sociaux. Bien des Français peuvent avoir un travail, des amis, un partenaire de vie et se sentir seuls pour autant. La plupart d’entre eux s’accorderont à dire qu’il s’agit là d’un phénomène en aggravation. Il apparaît évident que le phénomène de solitude semble bien plus étendu qu’il n’en paraît.
Une réaction des autorités semblait opportune face à ce mal contemporain. Ainsi, la lutte contre la solitude a obtenu le label Grande cause nationale 2011.
Publication Internet Décembre 2010

Question n°1
3 points
Reformuler le thème du texte en une phrase.

Question n°2
6 points
Relever les principales caractéristiques de la solitude évoquées dans le texte.
Votre réponse doit être rédigée.

Question n°3
9 points
Comment pouvez-vous expliquer l'aggravation de cet état de solitude ?
Argumenter.

Je n'ai pas la correction, il s'agit encore d'un sujet trouvé sur le site. Mais je pense que c'est un sujet intéressant et d'actualité et que même si nous n'avons pas la correction, le fait même de réfléchir sur ce sujet est enrichissant pour l'épreuve de culture générale. Si vous voulez, on peut nous corriger entre nous. Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[Cherry Bomb]

Je vais faire seulement la question 3 sur le handicap. Car j'aimerais revoir les mastermind et autres réjouissances car mon concours est demain Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[Cherry Bomb]

Question 3

On estime a 300 000 le nombre d’enfants handicapés en France. La loi du 11 février 2005 pour l’égalité des chances et des droits des personnes handicapés prône, entre autres, la scolarisation de ses enfants en milieu ordinaire. Toutefois, cela demande quelques ajustements de part et d’autre. Nous verrons dans un premier temps que c’est à l’enfant de s’adapter à l’école puis dans un second temps que c’est à l’école de s’adapter au handicap de chacun.

Il s’agit avant tout d’un enfant. De ce fait, il a besoin comme tous les enfants dits « normaux » de se sentir intégrer au sein d’une classe, de se faire des amis. Tout comme eux, il devra respecter les règles de l’établissement, se contraindre a des horaires et un emploi du temps déterminé, mais aussi faire ses devoirs et apprendre ses leçons. De plus, d’un point de vu humain, cela apprend aux enfants a accepter la différence et ainsi contribuer a changer le regard que porte la société sur le handicap.

Cependant, l’école doit tout mettre en œuvre de son coté pour faciliter l’accessibilité de l’enfant au sein de l’école. Ainsi, il se sentira autonome et non dépendant de ses camarades ou du personnel enseignant. Pour cela, la création d’ascenseur ou encore de porte plus large pour permettre au fauteuil roulant de circuler est nécessaire. De plus, l’enfant a le droit de bénéficier d’une auxiliaire de vie scolaire pour l’aider dans ses tâches comme noter les cours.

Il est important pour ses enfants d’évoluer dans un milieu ordinaire afin qu’eux aussi se sentent finalement ordinaire. L’école, lieu d’apprentissage pour tous, va lui permettre de se former par le biais de diplôme, mais aussi de devenir quelqu’un a travers son intégration sociale. Etre différent ne doit plus être un handicap. D’ailleurs, la différence n’est-elle pas synonyme d’enrichissement ?


Voila, mon texte est beaucoup moins long que les votres j'espère que ce n'est aps trop grave Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.

[Nanouu]

Personne ne dit rien sur le sujet des autres ... ?
Alors je commence :
@stepit j'ai adoré ce que tu as écrit mais ça me semble super long ! L'as tu fais en 2h ?
@Cherry bomb : je trouve ta réponse beaucoup mieux que la mienne, j'étais un peu brouillon dans la trois .... Tu as su faire cours , consi & correct ! je trouve

sinon on a un peu près fais toutes les mêmes axes, pesant le pour et le contre à chaque fois, ce qu'il faut faire quoi Équipe de modération : Ce topic a été verrouillé et déplacé car il a déjà été traité et/ou ne figure pas dans le bon forum. Merci de consulter ce lien pour lire la suite.